ici vous pouvez discuter a propos de ce qui se passe et s'est passé en iraq, les nouvelles des jours , vous pouvez proposer des photos , des video , ainsi que des articles de journals .
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arsenik General de Division
messages : 4636 Inscrit le : 19/05/2012 Localisation : juste a coté Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Guerre en Irak Dim 26 Jan 2014 - 22:17
Chobham a écrit:
Ryad a écrit:
Yakuza a écrit:
qu´ils attendent une pluie de Hellfire viendra http://www.dsca.mil/major-arms-sales/iraq-agm-114kr-hellfire-missiles
Yakuza se réjouir du sang des musulmans ce n'est pas très correcte, qu'ils soient salafi khawarij ou takfiri ils sont avant tout MUSULMANS. Voir des chiites se faire exécuter ne nous autorise pas relâcher notre haine personnelle et nos désirs les plus monstrueux. Ils sont humains et eux aussi ont une famille une vie.
Parce que les autres ne se réjouissent pas du sang des musulmans ? Ces gens la n'ont même rien du pires des musulmans et font honte à notre pauvre religion ... Du moment qu'on crie que l'on tue sous prétexte que ce sont des je ne sais quoi autre que musulmans alors on peut s'en réjouir, mais du moment que ce sont des personnes qui essayent de faire régner le chaos sous l'excuse de la religion (et quelle religion !! la plus pacifiste et la plus justes de toutes). Excuse moi mais c'est de l'hypocrisie religio-sociale, ni plus ni moins et c'est ce que je résumerai par : "حلالٌ علينا وحرامٌ عليكم" .
Y'en a qui défendent de sales intérêts sous prétexte d'être des anges humanitaristes, et avec derrière eux une bande de poupée vivante qui ne se donne jamais la peine de réfléchir Outside the Box, d'essayer d'avoir une vision plus globale de la chose, des faits pour mieux en juger et savoir que ce qui se passe dans le moyen orient ne sert en rien les intérêts des peuples, ces mêmes peuples qu'on prétend défendre, mais juste une liste d'objectif et d'intérêts.
Baybars a écrit:
Chobham a écrit:
... حسبي الله ونعم الوكيل Divisez pour régner, et pourvu que les pantins ouvrent les yeux.
Ne raconte pas ça, l'armée irakienne baigne déjà dans le sectarisme comme l'armée syrienne..
Mais biensur !! Y'a que toi qui ne baigne pas dans le sectarisme et dans la propagande de mauvais goût. Donc d'après une seule photo tu juges toutes l'armée irakienne comme étant servante des khomeinites ... Tu es meilleure que la meilleure des voyantes de Jamaa Lefna à Marrakech, tu devrais y réfléchir pour plus-tard ! Bref, discuter serait inutile.
Non plusieurs et oui l'armée syrienne et irakienne baigne dans le sectarisme tu peux rajouter l'armée libanaise avec
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Sujet: Re: Guerre en Irak Dim 26 Jan 2014 - 22:45
Les rebelles prennent le sud de Falloujah (Nuaimiyah) en prenant prisonniers plusieurs soldats irakiens, ils sont traité à l'orientale comme d'habitude..
Ces personnes ont un comportement de Jahiliya, ils veulent gouvernés un Etat mais ils n'arrivent même pas à contrôlé leurs émotions.
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Sujet: Re: Guerre en Irak Dim 26 Jan 2014 - 23:59
Ryad a écrit:
Ces personnes ont un comportement de Jahiliya, ils veulent gouvernés un Etat mais ils n'arrivent même pas à contrôlé leurs émotions.
Ce sont des membres de tribus, c'est un peu normal, le comportement est violent par nature.
Capture par les rebelles dans la ville de Karmah..
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Sujet: Re: Guerre en Irak Lun 27 Jan 2014 - 1:57
je sens un libye bis ,et tout ca va ce retrouvé eparpiller dans la region et c'est repartie pour un tour
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Sujet: Re: Guerre en Irak Lun 27 Jan 2014 - 16:29
Ryad a écrit:
Ces personnes ont un comportement de Jahiliya, ils veulent gouvernés un Etat mais ils n'arrivent même pas à contrôlé leurs émotions.
Faut plutot voir la situation ou ils ont survecu avant de juger. Ces gens ont vecu dans l'injustice et les massacres pour 11 ans, et meme pendant la dictature de Saddam. Concernant Fallouja, meme l'US a eu des grandes pertes pendant l'invasion de 2003, c'est normale que l'armee de Maliki ce fait massacrer. Et n'oublions pas qu'El Fallouja se fait bombardee depuis plus que 3 jours.
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Sujet: Re: Guerre en Irak Lun 27 Jan 2014 - 17:43
n'oubliez pas aussi qu'une des cornes du diable pousse la bas d'aprés le prophéte sws ......donc la zizani qui se passe la bas se comprend
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Sujet: Re: Guerre en Irak Mer 24 Déc 2014 - 2:11
Citation :
« American Sniper », l’histoire d’un tireur d’élite sans remord ,L’ancien tireur d’élite des Navy SEALS, le Chief Petty Officer (équivalent de maître dans la Marine nationale) abattu le 2 fevrier 2013 au texas .
pyromane Colonel-Major
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Sujet: Re: Guerre en Irak Ven 8 Mai 2015 - 12:33
arsenik a écrit:
juba2 a écrit:
oui il l'a fait vous savez pourquoi car le koweit lui a demande de rembourse sa dette en cash apres la guerre irak iran pendant que l'irak defendait le sunnisme et les khalijis contre l'iran.il etait furieux je ke saurais ,aussi et question numero 2 tu as ta reponse au dessus qui resume tout.il faut faire des recherches mon ami Arsenik.
non sur la 2éme ce n'est pas écrit plus haut la réponse a la deuxième réponse est qu'il a envahit le koweit
oui les khaliji sur ce coup ont été des vrai connard mais il n'avait pas a agresser le koweit, la faute revien a lui le premier quand on te dit de te jeté par la fenêtre tu va le faire ?non , il a declenché lui même cette guerre comme un grand en 80 il l'ont couilloné et il a refait une connerie et il est bêtement tombé dans le panneau et c'est surement pas ceux qu'il a menacé qui vont le sortir de la ou il était puis en 2003,c'est l'imposture du xx1 éme siecleles usa lui sont tombé dessus sans que personne ne parle ni ne bouge un sourcil la c'est une vrai injustice
Et ce n'est surement pas l'Iran qui le défendra alors qu'il a massacré des millions d'iraniens, en gros on est d'accord pour dire que les iraniens n'y sont pour rien dans la destruction de l'Irak, et que ce sont bien les US et leurs amis Otanisés et enturbannés qui en sont responsables. Le seul bienfait que je reconnait à Saddam c'est qu'il a réussi à enrôler des chiites pour combattre des chiites, car leur vraie allégeance était à la nation et non à la religion, et ca ce n'est pas si simple à faire dans un pays comme l'Irak, mais même cela c'est probablement du aux années de laïcité du régime avant lui, et au grand niveau d'éducation de la population à l'époque.
_________________
moro Colonel
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Sujet: Re: Guerre en Irak Dim 25 Oct 2015 - 22:29
Citation :
Le mea culpa (très insuffisant) de Tony Blair sur la guerre en Irak
Dans une interview diffusée lundi par CNN, l'ancien Premier ministre britannique présente ses "excuses" pour le conflit de 2003. Mais sciemment, il oublie de dire beaucoup de choses.
Dans une interview diffusée sur CNN lundi soir, l'ancien Premier ministre de Sa Majesté, Tony Blair, va présenter ses "excuses" à propos de la guerre en Irak de 2003. Un mea culpa tardif (il vient douze ans trop tard) – et surtout très insuffisant.
Que dit Tony Blair ?
"Les renseignements étaient faux"
1 - "Je présente des excuses pour le fait que le renseignement était faux". 2 - "Je présente également des excuses, pour certaines erreurs de planification et..." 3 - "... pour notre erreur dans la compréhension de ce qui arriverait une fois que nous aurions renversé le régime." 4 - "Mais il m’est difficile de demander pardon pour avoir renversé Saddam." Et c'est tout !
Les oublis volontaires de Blair
Tony Blair oublie sciemment l’essentiel : le mensonge. Il oublie de mentionner que les renseignements sur les prétendues armes de destruction massive en Irak ont été "sex-up" (c'est-à-dire volontairement gonflés), selon le terme employé à l’époque par son spin-doctor , Alastair Campbell.
Il oublie de rappeler que certaines infos ont même été totalement inventées, comme cette affaire d’achat d’uranium au Niger.
Le mémo du 23 mars 2002
Il oublie enfin de dire qu’il a menti à son peuple et à ses alliés sur ses intentions. On a récemment découvert un mémo top secret du 23 mars 2002 écrit par Colin Powell, le secrétaire d’Etat américain à l’époque, au président Bush. "Blair est avec nous" sur l’Irak, assure l'ex-général, alors que la Maison Blanche prépare déjà la guerre qui sera déclenchée un an plus tard. A l’époque, Blair jure les grands Dieux qu’il cherche une solution diplomatique à la crise – alors qu’en secret il a déjà décidé d’intervenir militairement aux côtés des Américains.
Voilà sur quoi il aurait dû aussi, et surtout, présenter ses excuses aux Britanniques – et au monde. Sur ses mensonges qui ont (définitivement ?) discrédité la parole internationale des dirigeants occidentaux. Mais, pour cela, il faudra sans doute attendre encore douze ans...
États-Unis : le Pentagone aurait payé pour la réalisation de fausses vidéos jihadistes PAR MAXIME MAGNIER PUBLIÉ LE 04/10/2016 À 17:26
L'enquête d'une ONG britannique révèle la commande, par le département de la Défense américaine, de films de propagande siglés Al-Qaïda durant la guerre d'Irak.
L'annonce risque de faire grand bruit aux États-Unis. À un mois de l'élection présidentielle américaine, une enquête menée par une ONG britannique spécialisée dans le journalisme d'investigation, Bureau of Investigate Journalism, révèle que le Pentagone aurait dépensé plus de 540 millions de dollars entre 2006 et 2011 pour la réalisation de vidéos de propagande pour Al-Qaïda, et ce dans le but d'identifier les spectateurs de ces films.
À l'origine de la révélation, Martin Wells, un vidéaste et ex-employé de l'agence britannique de communication et de relations publiques incriminée, Bell Pottinger. L'entreprise aurait d'abord été missionnée pour produire des vidéos afin de "promouvoir les élections démocratiques". La société aurait ensuite créé des clips anti-Al-Qaïda filmés en basse qualité pour leur donner l'aspect de "productions de télévision arabes". Les vidéos étaient ensuite vendues et diffusées par des chaînes locales, dédouanant ainsi l'armée américaine.
Un système de traçage
Finalement, Bell Pottinger aurait commencé la création de fausses vidéos de propagande signées par Al-Qaïda. Le but avancé était de pouvoir tracer les spectateurs des films sensibles grâce à un encodage des CD utilisés pour graver les réalisations. L'armée américaine aurait ainsi pu localiser les ordinateurs des utilisateurs à travers leur adresse IP. Martin Wells révèle même le mode de diffusion des fausses vidéos : les militaires laissaient volontairement les DVD créés sur les lieux de perquisitions menées en Irak et certains ont été pistés jusqu'en Iran, en Syrie ou même aux États-Unis. L'enquête de Bureau of Investigate Journalism ne révèle cependant pas le résultat des traçages menés.
Si la lumière devra encore être faite sur cette affaire, le Pentagone a confirmé sa collaboration avec l'entreprise britannique de communication et de relations publiques durant la période mentionnée par l'investigation. Dans le même temps, l'ancien patron de la compagnie, Tim Bell, a confirmé au Sunday Times avoir signé un contrat avec le département de la Défense américaine et que le document comportait "des clauses de confidentialité". Il a aussi indiqué qu'il était tenu de rendre compte de la progression de la mission au Pentagone et à la CIA.
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Sujet: Re: Guerre en Irak Sam 22 Fév 2020 - 14:28
Adam Modérateur
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Sujet: Re: Guerre en Irak Lun 5 Oct 2020 - 20:27
Ministère fr des Armées a écrit:
CHAMMAL : Le Joint operational command advisor team (JOCAT), l'équipe de conseillers du commandement interarmées des opérations auprès de l'état-major irakien à Bagdad
Le colonel Laurent, nouveau commandant à Bagdad du Joint operational command advisor team (JOCAT), a présenté l'évolution de l'opération INHERENT RESOLVE, et le Military Advisor Group (MAG), son entité de tutelle. Il présente à présent l'unité qu'il commande depuis début août 2020.
Question : Colonel Laurent. Vous êtes le chef de la structure en charge de cette nouvelle fonction de conseil de très haut niveau, le JOCAT, que l'on pourrait traduire par "équipe de conseillers du commandement interarmées des opérations". Qu’est-ce que cette structure ?
Colonel Laurent : Le JOCAT est une équipe de conseillers militaires auprès de l’état-major irakien. Nous sommes encore en phase de construction et de montée en puissance mais nous serons, à terme, 58 spécialistes dans tous les états-majors irakiens, au niveau national et au niveau régional, repartis dans toutes les principales fonctions militaires : renseignement, opérations aériennes, soutien, coordination des feux, etc. Avec un large spectre d’expertise apporté par une dizaine de nations de la coalition.
Question: "Sur le terrain", comment l'action du JOCAT se concrétise ? quels sont les rapports avec les irakiens ?
C. L.: Nous sommes connectés à la réalité de l’armée irakienne en étant intégrés auprès des états-majors. Nous sommes donc :
- au fait des forces et faiblesses des forces de sécurité irakiennes par des échanges quotidiens,
- organisés autour des missions de conseil et d’expertise dans les fonctions principales des opérations,
- réactifs en étant en mesure de répondre dans des délais très courts aux sollicitations diverses de notre partenaire irakien.
Question: Quel est votre rôle en tant que chef JOCAT ?
C. L.: Sous la supervision du directeur du MAG, je commande les activités des conseillers militaires en coordonnant, synchronisant et priorisant les actions de conseils, en animant les évaluations de chaque fonction militaire et en établissant des indicateurs permettant d’optimiser les activités et la répartition du travail, vers l’amélioration de ce qui peut l’être efficacement au sein de l’état-major iraquien.
Question: Combien de personnels sous vos ordres ? Combien de Français ?
C. L.: Aujourd’hui, une partie du personnel provient des missions précédentes de la phase III, la Task Force Irak et la TF Air. Ils terminent leur durée de mandats par cet intérim sur des postes du JOCAT. Mais les spécialistes des différentes nations arrivent au JOCAT chaque semaine. Nous serons 26 au JOCAT et au moins 10 dans chaque OCAT, pour un total de 58 conseillers. Parmi eux, 5 français sont déjà présents au sein du JOCAT.
Question: Quels seront les missions de ces Français ?
C. L.: Notre présence illustre la volonté de la France d’apparaitre comme un allié fiable au sein de la coalition et auprès des irakiens. Ainsi, nous maintenons notre niveau d’engagement en nombre et nous avons postulé pour le meilleur niveau de responsabilité dans cette nouvelle organisation. Ainsi, avec mon poste de leader de cette équipe, nous avons également les trois chefs des fonctions air, feux et renseignement, ainsi qu’un poste au sein de la fonction opérations. Cela renforce notre message de continuité et de crédibilité auprès de nos partenaires dans un contexte d’incertitude dans cette partie du monde. Chaque français inséré dans cette mission représente également un capteur local d’informations pour compléter l’appréhension autonome de situation pour la France.
Question: On parle également d’Operations command advisor team (OCAT), de quoi s'agit-il ? Qu'y feront les militaires qui y seront affectés ?
C. L.: Les OCAT sont des équipes de conseillers militaires, placés sous ma responsabilité, mais qui ne sont pas organisés selon les principales fonctions militaires que j’ai présentées précédemment. Les spécificités régionales sont à prendre en considération dans ce pays, selon les religions, les ethnies et des particularités géographiques marquées. Une action au niveau de l’état-major central ne suffit pas. Les états-majors régionaux, organisés autour des troupes au sol, principalement l’armée de terre, nécessitent également cette fonction de conseil pour atteindre un niveau de coordination et de synchronisation avec l’état-major central, vers des opérations efficaces.
Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération CHAMMAL représente le volet français de l’opération internationale INHERENT RESOLVE (OIR) rassemblant 80 pays et organisations. En coordination avec le gouvernement irakien et les alliés de la France présents dans la zone, l’opération CHAMMAL apporte un soutien militaire aux forces locales engagées dans la lutte contre Daech sur leur territoire. La Coalition internationale adapte en permanence son dispositif au Levant et la France poursuit son effort dans la région car le combat contre le terrorisme continue. L’opération CHAMMAL se concentre désormais sur son pilier « appui » et compte 600 soldats insérés au sein des états-majors d’OIR ou sur les déploiements aériens et maritimes.
État-major des armées fr a écrit:
CHAMMAL : INHERENT RESOLVE phase IV, nouvelle étape pour l'opération de la coalition internationale contre Daech
L’opération INHERENT RESOLVE (OIR), est entrée depuis quelques semaines dans une nouvelle phase. Le colonel Laurent, qui vient de prendre le commandement à Bagdad du Joint Operational Command Advisor Team (JOCAT), nous explique les récentes évolutions et restructurations d’OIR.
Colonel Laurent : La mission de lutte contre Daech continue. La coalition doit poursuivre sa mission et la France maintient son niveau de participation dans une nouvelle phase de l’opération, qui s’accompagne d’une évolution de l’état-major de la coalition. Après la phase III du plan de campagne dont l’effort principal était concentré sur le combat contre le pseudo califat de Daech, le plan de la coalition programmait naturellement une phase IV dédiée à la stabilisation des opérations. Nous sommes donc entrés dans cette phase, sur décision du commandement de la coalition, dès que les points de décisions ont été franchis concernant l’évaluation de la capacité de l’ennemi commun, estimée à un niveau adéquat pour changer de phase.
L’effort principal de la phase IV d’OIR est ainsi maintenant centré sur l’atteinte d’une capacité suffisante des forces irakiennes pour combattre Daech afin de mettre en place les conditions d’une stabilité durable dans le pays et dans la région.
Communication CHAMMAL : Quels sont les changements que cela a entraînés pour OIR ?
C. L. : La coalition a donc fait évoluer l’organisation de son état-major, pour optimiser la gestion des actions à mener selon les objectifs de la phase IV. Nous sommes passés de la Task Force (TF) Irak et de la Task Force Air qui fournissaient des moyens pour combattre l’ennemi commun pendant la phase III à un appui en tant que conseillers dans la lutte contre Daech.
Même si quelques moyens sont encore fournis aux Irakiens pendant une période de transition, en particulier des moyens aériens de reconnaissance ou de frappe. L’objectif est de rendre les Irakiens autonomes dans cette lutte, en les conseillant concernant l’emploi de leurs forces et en identifiant leurs éventuelles faiblesses puis en cherchant avec eux les moyens de les faire progresser sur ces points critiques.
C. C. : On ne parle plus vraiment de formation, de quoi s’agit-il maintenant ?
C. L.: Auparavant, les TF étaient organisées pour former le niveau tactique des unités irakiennes ; les entraîner à utiliser leur matériel au quotidien. Durant cette phase IV, nous conseillons les états-majors sur leur manière d’employer leurs unités, en structurant leur appréhension d’une campagne et de la planification des opérations. Mais nous ne cherchons pas à faire de l’état-major irakien un état-major d’occidental, i.e. avec notre propre doctrine. Nous nous adaptons à leur organisation actuelle qui diffère naturellement des habitudes de nos états-majors en identifiant les améliorations simples et efficaces à mettre en place pour optimiser leurs actions contre Daech. Nous nous concentrons sur leur capacité de planification d’une campagne, sur la coordination des effets, sur la synchronisation des opérations et sur l’emploi des moyens.
C. C. : D'où la création très récente du MAG, le Military Advisor Group et du JOCAT ?
C. L. : Exactement. Ce sont les nouveaux outils de formation de très haut niveau de la coalition pour l'état-major irakien, je dirais même pour le chef d'état-major irakien.
L’opération INHERENT RESOLVE (OIR), est entrée depuis quelques semaines dans une nouvelle phase. Le colonel Laurent, qui vient de prendre le commandement à Bagdad du Joint Operational Command Advisor Team (JOCAT), nous explique les récentes évolutions et restructurations d’OIR.
Colonel Laurent : La mission de lutte contre Daech continue. La coalition doit poursuivre sa mission et la France maintient son niveau de participation dans une nouvelle phase de l’opération, qui s’accompagne d’une évolution de l’état-major de la coalition. Après la phase III du plan de campagne dont l’effort principal était concentré sur le combat contre le pseudo califat de Daech, le plan de la coalition programmait naturellement une phase IV dédiée à la stabilisation des opérations. Nous sommes donc entrés dans cette phase, sur décision du commandement de la coalition, dès que les points de décisions ont été franchis concernant l’évaluation de la capacité de l’ennemi commun, estimée à un niveau adéquat pour changer de phase.
L’effort principal de la phase IV d’OIR est ainsi maintenant centré sur l’atteinte d’une capacité suffisante des forces irakiennes pour combattre Daech afin de mettre en place les conditions d’une stabilité durable dans le pays et dans la région.
Communication CHAMMAL : Quels sont les changements que cela a entraînés pour OIR ?
C. L. : La coalition a donc fait évoluer l’organisation de son état-major, pour optimiser la gestion des actions à mener selon les objectifs de la phase IV. Nous sommes passés de la Task Force (TF) Irak et de la Task Force Air qui fournissaient des moyens pour combattre l’ennemi commun pendant la phase III à un appui en tant que conseillers dans la lutte contre Daech.
Même si quelques moyens sont encore fournis aux Irakiens pendant une période de transition, en particulier des moyens aériens de reconnaissance ou de frappe. L’objectif est de rendre les Irakiens autonomes dans cette lutte, en les conseillant concernant l’emploi de leurs forces et en identifiant leurs éventuelles faiblesses puis en cherchant avec eux les moyens de les faire progresser sur ces points critiques.
C. C. : On ne parle plus vraiment de formation, de quoi s’agit-il maintenant ?
C. L.: Auparavant, les TF étaient organisées pour former le niveau tactique des unités irakiennes ; les entraîner à utiliser leur matériel au quotidien. Durant cette phase IV, nous conseillons les états-majors sur leur manière d’employer leurs unités, en structurant leur appréhension d’une campagne et de la planification des opérations. Mais nous ne cherchons pas à faire de l’état-major irakien un état-major d’occidental, i.e. avec notre propre doctrine. Nous nous adaptons à leur organisation actuelle qui diffère naturellement des habitudes de nos états-majors en identifiant les améliorations simples et efficaces à mettre en place pour optimiser leurs actions contre Daech. Nous nous concentrons sur leur capacité de planification d’une campagne, sur la coordination des effets, sur la synchronisation des opérations et sur l’emploi des moyens.
C. C. : D'où la création très récente du MAG, le Military Advisor Group et du JOCAT ?
C. L. : Exactement. Ce sont les nouveaux outils de formation de très haut niveau de la coalition pour l'état-major irakien, je dirais même pour le chef d'état-major irakien.
Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération CHAMMAL représente le volet français de l’opération internationale Inherent Resolve (OIR) rassemblant 80 pays et organisations. En coordination avec le gouvernement irakien et les alliés de la France présents dans la zone, l’opération CHAMMAL apporte un soutien militaire aux forces locales engagées dans la lutte contre Daech sur leur territoire. La Coalition internationale adapte en permanence son dispositif au Levant et la France poursuit son effort dans la région, car le combat contre le terrorisme continue. L’opération CHAMMAL se concentre désormais sur son pilier « appui » et compte 600 soldats insérés au sein des états-majors d’OIR ou sur les déploiements aériens et maritimes.
État-major des armées fr a écrit:
CHAMMAL : Le Military advisor group (MAG), nouveau directorat en charge du conseil très haut niveau de l'opération INHERENT RESOLVE au profit du chef d'état-major irakien à Bagdad
Le colonel Laurent, nouveau commandant à Bagdad du Joint Operational Command Advisor Team (JOCAT) nous a éclairé précédemment sur la dernière phase de l'évolution de l'opération INHERENT RESOLVE. Cette évolution a conduit à la création de deux entités, le MAG et le JOCAT. Il nous présente le MAG et complète son explication.
Question : Colonel Laurent. Vous êtes au sein de la coalition, placé sous la direction d’un nouveau département, le Military advisor group (MAG), qu’est-ce que c’est exactement ?
Colonel Laurent (C.L.) : Le MAG est un directoire de l’état-major de la coalition directement sous les ordres du général Calvert, le commandant d’OIR et de niveau équivalent aux différents bureaux communément appelés « CJx ». C et J signifient Combined et Joint soit en français interalliés et interarmées. X est chiffre de 1 à 9 désigne le domaine (personnel, planification, conduite des opérations, etc.) Le MAG est commandé par le général Rideout et il a sous sa coupe le JOCAT et ses subdivisions : les Operational command advisor team (OCAT - équipes de conseillers régionaux).
Le commandant du MAG est le conseiller militaire attitré du général irakien en chef du Joint operations command Irakien (JOC-I), qui est le plus haut niveau de responsabilité des forces armées irakiennes (ce JOC-I regroupe les niveaux militaires stratégique et opératif du pays, c’est-à-dire à peu près l’équivalent en France du Centre de planification et de conduite des opérations (CPCO) et des État-major interarmées Zone de défense et de sécurité réunis.
Il revient alors au JOCAT et aux OCAT de conseiller les subdivisions de ce JOC-I en miroir.
Question :
Peut-on envisager que dans le cadre de cet accompagnement des officiers irakiens, pour une période d'échanges et un complément de formation, certains d'entre eux viennent par exemple au Combined air operation center (CAOC) d'Al Udeid pour les opérations aériennes ou alors au CPCO à Paris ou dans un centre équivalent de l'un des pays de la coalition ?
C. L. : Pour l’instant, notre mission de conseil nous oblige à être au plus près de nos partenaires locaux, afin d’être précis dans l’appréciation de la situation de leurs forces et de les conseiller utilement et efficacement. C’est dans les nombreux échanges quotidiens et dans les réunions hebdomadaires que cette relation de confiance avec le partenaire s’établit et qu’elle permet un échange fructueux. Le Enhanced Joint Operation Command (EJOC), nom de la nouvelle salle de conduite des opérations des forces armées irakiennes, est composée d’une partie Iraqi security forces (ISF), et d’une partie Coalition. Nous sommes donc physiquement à leurs côtes pour conduire cette mission de conseil.
Question : Et c'est donc par le JOCAT que vous commandez, que s'opère ce conseil de très haut niveau auprès de ces officiers irakiens.
C. L. : C'est exactement cela.
Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération CHAMMAL représente le volet français de l’opération internationale INHERENT RESOLVE (OIR) rassemblant 80 pays et organisations. En coordination avec le gouvernement irakien et les alliés de la France présents dans la zone, l’opération CHAMMAL apporte un soutien militaire aux forces locales engagées dans la lutte contre Daech sur leur territoire. La Coalition internationale adapte en permanence son dispositif au Levant et la France poursuit son effort dans la région, car le combat contre le terrorisme continue. L’opération CHAMMAL se concentre désormais sur son pilier « appui » et compte 600 soldats insérés au sein des états-majors d’OIR ou sur les déploiements aériens et maritimes.
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: Guerre en Irak Dim 30 Mai 2021 - 23:11
Military.com a écrit:
Why US Troops Blew Up Uday Hussein's Rare Lamborghini SUV in Iraq
The Lamborghini LM002 was also dubbed the "Rambo Lambo" for its intended military use
In 1977, luxury automaker Lamborghini demonstrated its new 4x4 off-road prototype vehicle for the U.S. military. Codenamed “Cheetah,” the Pentagon wasn’t impressed with the way the Lamborghini handled, and only one was ever built.
Lamborghini continued tooling the Cheetah’s design and eventually produced the LM002, a redesigned luxury version of the Cheetah. Only 328 were built, making it one of the rarest cars of our time.
In July of 2004, U.S. troops packed one with explosives and blew it up to demonstrate what an vehicle-borne improvised explosive device (VBIED) can do to the concrete barriers protecting their base.
In the late 1970s, the United States was looking to replace the M151 4×4 utility truck, a beefed-up version of the classic World War II-era Willys MB Jeep. The M151 was the Jeep’s successor, first entering service in the early 1960s. Lamborghini was contracted to produce that potential replacement.
Lamborghini produced a prototype called the Cheetah, which had a rear-mounted V8 engine, three-speed automatic transmission and a roomy interior for soldiers wearing combat gear and carrying M16 rifles. What it didn’t have was enough power to meet the requirements for the U.S. military. It also handled like a shopping cart. The Pentagon took a hard pass on the Cheetah.
The automaker didn’t give up on the design, however. The next prototype, the LM001, had a different engine but mounting it in the rear of the vehicle still caused handling problems. For the next iteration, Lamborghini finally moved the engine to the front and replaced it with a V12. When the LM002 debuted in 1986, it quickly was nicknamed the “Rambo Lambo.”
A 1988 LM002 on display in Dusseldorf, Germany
But the United States already had decided on a replacement for the M151, adopting the AM General HMMWV, the “Humvee” we all know and love. That was fine by Lamborghini, which began making the cars for the civilian market.
It was the Italian automaker’s first sport utility vehicle, an off-road car that could reach speeds of more than 100 mph. A new LM002 featured a V12 Lamborghini Countach engine, custom, run-flat tread tires, all-leather interior, power windows and air conditioning. The luxury SUV had a sticker price of $158,000 in 1986 (which is roughly $379,000 in 2021 dollars), so the 328 models Lamborghini produced ended up in the hands of ultra-wealthy buyers, like the Sultan of Brunei and Uday Hussein, son of Iraqi dictator Saddam Hussein.
That’s how an LM002 ended up in the hands of U.S. troops in 2004. Uday Hussein was killed alongside his brother, Qusay, after a prolonged shootout with the U.S. 101st Airborne Division in July 2003. The soldiers were just doing their job, wiring what looked like a beat-up old vehicle to explode to ensure their walls in Baqubah, Iraq, could withstand the blast.
Army explosives ordnance disposal technicians filled the backseat with explosives to simulate a VBIED attack
By then, his LM002 didn’t look like much, so it’s hard to blame anyone for not thinking much of it -- but car history lovers still might shed a tear.
The soldiers filled the car up with so much dynamite, all that remained of it was the LM002’s engine block and front suspension, making the LM002 even rarer than ever.
Models that survive today are worth as much as $300,000 in private sales but can fetch up to $500,000 at auction.
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: Guerre en Irak Jeu 3 Juin 2021 - 16:12
Washington Post a écrit:
Iran-backed militias turn to drone attacks, alarming U.S. forces in Iraq
U.S. military officials in Iraq have grown increasingly alarmed over attacks by Iran-backed militias using drones to evade detection systems around military bases and diplomatic facilities.
In place of rockets, militiamen have turned at times to small, fixed-wing drones that fly too low to be picked up by defensive systems, military officials and diplomats say. An official with the U.S.-led coalition described the evolving drone threat as the military mission’s biggest concern in Iraq.
In April, a drone strike targeted a CIA hangar inside the airport complex in the northern city of Irbil, according to officials familiar with the matter. The drone’s flight was tracked to within 10 miles of the site, but its path was then lost as it moved into a civilian flight path, the coalition official said.
The drone’s remains were partially recovered, and preliminary analysis suggested it was made in Iran, a coalition official said. The attack deeply concerned White House and Pentagon officials because of the covert nature of the facility and the sophistication of the strike.
Although no one was harmed in the strike, it prompted a long night of deliberations over how to respond, according to Western officials. Some U.S. officials advocated serious consideration of a military response, including the National Security Council’s coordinator for the Middle East and North Africa, Brett McGurk, said two people familiar with the matter. The Biden administration ultimately decided against taking military action.
A similar drone attack in May on the sprawling Ain al-Asad air base raised similar concerns among coalition commanders about how militias are adapting their tactics, according to officials and personnel on base.
“The damage wasn’t huge but the coalition were very upset. They told our commanders that it was a major escalation,” said one Iraqi soldier stationed at Ain al-Asad, speaking on the condition of anonymity due to the sensitivity of the situation. Ain al-Asad was previously targeted by Iran with ballistic missiles in January 2020 in response to the U.S. assassination of Iranian commander Maj. Gen. Qasem Soleimani earlier that month.
Rocket attacks by Iran-backed groups have at times killed American servicemen and Iraqi security personnel and civilians, prompting retaliatory military action from the United States and pushing Washington and Tehran to the brink of outright conflict on Iraqi soil.
Although tensions have cooled since President Biden took office, officials worry that future attacks still risk sparking a new cycle of tit-for-tat violence as Iran-backed groups try to push a rump coalition force out of Iraq altogether.
Iraqi pressure on U.S. and other coalition forces to withdraw surged last year amid outrage here over the Trump administration’s decision to kill Soleimani and Iraqi militia leader Abu Mahdi al-Muhandis using a drone strike.
U.S. troop levels have fallen roughly by half since then, in part because Iraqi security forces are now taking the lead rolling up what remains of the Islamic State. But American numbers have also declined in response to increasing rocket attacks, which left some commanders describing their soldiers as sitting ducks. There are now about 3,000 coalition troops in Iraq, including 2,500 Americans.
In the absence of effective defenses, the drone threat now raises the prospect of a sudden escalation of violence. Each fresh attack triggers a flurry of communication as U.S. officials seek to determine whether Americans have been killed or injured.
“The death of an American is their red line,” said one Western official, speaking on the condition of anonymity due to the sensitivity of the issue. “The first question the Americans always ask is: what was the casualty’s nationality?”
The top U.S. military commander in the Middle East, Marine Gen. Frank McKenzie, said earlier this month that efforts were underway to develop better defenses against the drones. While visiting northeastern Syria, McKenzie told reporters that military officials were looking for ways to cut command-and-control links between a drone and its operator, improve radar sensors to quickly identify the threat as it approached, and find effective ways to bring the aircraft down.
“We’re open to all kinds of things,” he said, according to the Associated Press. “Still, I don’t think we’re where we want to be.”
Another official said that electronic jammers are being considered, as are other systems being developed by U.S. Special Forces in Syria.
In April, the White House announced the formation of a joint working group between the United States and Israel “on the growing threat of Unmanned Aerial Vehicles [UAVs] and Precision Guided Missiles produced by Iran and provided to its proxies in the Middle East Region.”
Iraqi security personnel, speaking in interviews, described unease and frustration on military bases because of drone and rocket attacks, and emphasized that the strikes on U.S.-linked facilities pose a threat to Iraqis as well.
“I feel so frustrated when I see these attacks,” said the officer at Ain al-Asad. “We know where they come from, but we can’t do anything about it, even as officers in the Iraqi army.”
The future of the U.S.-led coalition in Iraq is the focus of ongoing discussions between U.S. and Iraqi officials. Although U.S. officials have said that the American-Iraqi relationship is in a new honeymoon period following Biden’s inauguration, Iraqi military officials have voiced frustration that they feel like a junior partner in a relationship largely centered on reducing Iranian influence in the region.
The first troop talks of Biden’s presidency took place in April and although both sides called them a successful step toward reducing the coalition presence in Iraq, the resulting communique appeared to be more a restatement of current realities than a strategic shift.
In a statement this month, a council of Iran-linked militia groups described the latest talks as “totally and completely unacceptable” and vowed to increase pressure on coalition forces. “The Iraqi resistance confirms its full readiness to perform its legitimate, national and legal duty to achieve this goal,” the council said.
Last year, U.S. officials hailed the killings of Soleimani and Muhandis as a way of weakening the threat that Iran-linked groups pose to American forces in Iraq.
Instead, that strike made the threat more diffuse. Iran-linked groups have since rallied, security officials and analysts say, seeding their militia members among a mushrooming number of smaller front groups, which now regularly attack U.S.-linked targets.
Iraq’s militia network, known as the Popular Mobilization Forces (PMF), includes some groups that are backed by Iran and others that are not. They are an official part of Iraq’s security forces, and their members command extensive influence throughout the country’s Iraqi economy and political system. Human rights groups also say the militias are behind a rising tide of assassinations targeting their critics.
In private, Iraqi government and security officials say that they fear the repercussions of any sustained effort to rein in Iran-linked groups that have been launching attacks on Western military targets or shooting activists in the street.
In the early hours of Wednesday morning, Iraqi Prime Minister Mustafa al-Kadhimi tried anyway, ordering the arrest of a senior PMF commander, Qasem Muhsen, who was linked to both. Within hours of the announcement, footage circulated on social media of militiamen insulting Kadhimi as they walked through Baghdad’s heavily fortified Green Zone toward his house.
“Hey Kadhimi, are you asleep, or are you awake?” said one.
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Sujet: Re: Guerre en Irak Lun 14 Juin 2021 - 17:34
Récit du militaire espagnol Alberto asarta ou il dit qu'il était trahi par les américains lors de la bataille de Najaf en 2004 Traduction:
Citation :
L'armée espagnole se souvient de la «première bataille de Najaf» à l'occasion de son treizième anniversaire, avec une série de souvenirs tristes qu'elle a vécus en participant avec les États-Unis à l'invasion de l'Irak.
La bataille a eu lieu dans la ville irakienne de Najaf le 4 avril 2004, et c'est la bataille la plus violente contre les forces espagnoles.
La plus grande trahison des forces espagnoles..
Le général de division Alberto Asarta, l'un des commandants militaires espagnols à Najaf pendant les événements, a décrit le traitement réservé aux forces américaines pendant la bataille comme la plus grande "trahison" à laquelle les forces de son pays ont été soumises.
Dans son entretien avec le journal espagnol El Mundo, "Asarta" dit que la tâche principale de l'unité militaire multinationale "Plus Ultra 2" en Irak était de maintenir la sécurité pour faciliter la transition politique dans un climat de stabilité, conformément à United Résolution n° 1483 du Conseil de sécurité des Nations Unies du 22 mai 2003. Il a souligné que « grâce aux efforts des forces, les conditions des citoyens irakiens se sont améliorées, puisque 101 centres éducatifs, 20 centres de santé, 20 stations électriques, en plus de 20 bâtiments appartenant à l'administration locale, 7 stations d'épuration et cinq bibliothèques, ont été restaurées, en plus d'obtenir une aide alimentaire."
Le début de la détérioration des relations .. Tentative d'intégration de « Blackwater » ..
Le général de division « Asarta » souligne que les relations entre les différents bataillons au sein de l'unité étaient bonnes et fondées sur la coopération entre tous, voire amicale avec les membres de la compagnie d'assurance américaine « Blackwater », qui était chargée de sécuriser le représentant du gouvernement intérimaire de coalition. dans la ville de Nadjaf.
Il a poursuivi qu'à partir du 4 avril 2004, les relations ont connu une détérioration importante, expliquant que "les jours suivants, il a essayé d'intégrer les membres de "Blackwater" dans le système militaire et le bataillon de défense, mais c'était une tâche impossible car ils faisaient face à leurs caprices et désobéissaient à ses ordres." Il a reconnu que « Mustafa al-Yaqoubi, l'assistant du chef chiite Muqtada al-Sadr, qui est considéré comme la principale cause du déclenchement de la bataille, a été capturé à l'insu du commandant général du bataillon espagnol, Fulgencio Col, ou le général Michislaw Pinnick, le commandant de la formation multinationale dans laquelle nous travaillions."
Soulignant qu'"aucun de nous n'était au courant des plans de cette opération ou de la manière de la mettre en œuvre, et les équipes d'opérations spéciales qui étaient présentes en Irak étaient de nature stratégique et recevaient des ordres du commandement conjoint à Bagdad".
« Le manque d'information peut être considéré comme une sorte de trahison menée par le commandement envers le général en charge du bataillon, et donc envers les forces qui travaillaient sous son commandement, car s'il avait pu connaître l'information à l'avance , il aurait élaboré les plans nécessaires pour éviter ou réduire le dérangement des forces, ou suivre des méthodes qui permettraient de réduire le nombre de victimes et de blessés parmi les soldats ou les civils. "C'était une trahison sans précédent et ne s'était produite dans aucune mission à laquelle les forces espagnoles avaient participé auparavant."
Asarta poursuit son discours, ajoutant qu'au début des attaques, il a ordonné aux soldats de la base « Andalus » de rester à leur place selon le plan établi il y a plusieurs semaines, et il comprenait comment faire face à d'éventuelles attaques, et les soldats ont pu former un front de défense en coordination avec les soldats « salvadoriens ».
"Mes ordres aux soldats étaient conformes à nos règles de confrontation et aux dispositions du droit international des conflits armés. Je leur ai ordonné de diriger leurs armes sur ceux qui tirent ou menacent les forces."
Il a souligné qu'aucun des attaquants n'a pu atteindre la base grâce à l'efficacité des défenseurs.
Il a ajouté que pendant la première heure de l'attaque, deux avions de chasse F-16 sont partis, mais il a demandé à Cole de le soutenir avec des hélicoptères pour frapper des endroits spécifiques avec une grande précision, dans le but de réduire les pertes.
Il a souligné que les hélicoptères Apache protégeaient les véhicules blindés qui avançaient vers l'ancienne prison pour secourir 30 soldats salvadoriens, 14 Honduriens et 38 Irakiens, en plus de récupérer deux cadavres et un certain nombre de blessés.
L'interdiction du dossier irakien a conduit à l'ignorance du peuple.
Le dossier irakien était un sujet tabou, tant pour le gouvernement de « José Maria Aznar », qui nous y a envoyés, que pour le gouvernement de « Luis Rodriguez Zapatero », qui a ordonné le retour des soldats.
L'absence d'informations officielles et crédibles parmi la population a entraîné la propagation de fausses nouvelles, par ignorance ou volontairement, sur le comportement idéal des soldats au combat.
Que du blabla, lorsque sont petit contingent se prendra des missiles sur la tete avec des dizaines de morts en prime il aura vite fait de changer d'avis.
QuickShark aime ce message
Northrop General de Division
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Sujet: Re: Guerre en Irak Lun 30 Aoû 2021 - 19:47
Lion de l'Atlas et lion de Babylone.. Marrakech et Baghdad..
l'Irak a occupé le Koweït avec l'aval de Washington...pdt la guerre Iran Iraq, le Koweït fut bombardé par l'Iran et aucun pays ne s'est plaint, sauf l'Irak qui a défoncer les Perse.. Bref règlement de compte entre la famille Bush et Hussein..
Le principal responsable du désastre irakien et le beau fils de Saddam, qui s'est enfui en Jordanie avec la fille de Saddam, et voulais prendre le pouvoir en dénonçant les planque d'armes WMD... aux américains, mais c'est Saddam qui montré la planque dans la résidence du beau fils aux américains.
Résultats lui et son frère ont été expulsé de Jordanie et accueilli à la frontière par les 2 fils de Saddam...
Saddam Hussein aimais bien le Maroc et la Jordanie les deux seuls pays au monde en qui il avait confiance.
_________________ الله الوطن الملك
Adam Modérateur
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Sujet: Re: Guerre en Irak Jeu 9 Sep 2021 - 16:56
Les aventures du Fighting Falcon en Irak, durant l'opération Desert Storm ...
Jeu 9 Aoû 2007 - 18:31
