Su-35

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Le Su-35 : un chasseur à un pas de la 5e génération

publié le lundi 24 septembre 2007


Le chasseur Su-35 était peut-être la nouveauté la plus attendue au récent Salon aérospatial MAKS-2007 près de Moscou. Comme prévu, il était exposé sur une aire de stationnement, en position statique. Mais, prochainement, après quelques mises au point au sol, il effectuera son premier vol. Déjà, deux Su-35 expérimentaux sont assemblés à l’usine Sukhoi de Komsomolsk-sur-l’Amour, en Extrême-Orient russe. Fin 2007, ces appareils aborderont un programme d’essais en vol. Mikhaïl Pogossian, directeur général de Sukhoi, affirme que le nouvel avion russe est déjà attendu à l’étranger. Des négociations sur la livraison du chasseur sont en cours avec plusieurs pays.


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Par Iouri Zaïtsev, de l’Académie russe du Génie, pour RIA Novosti.


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En fait, ce chasseur est connu de nom depuis suffisamment longtemps. Il y a une quinzaine d’années, un Su-27M avait été présenté à différents salons aéronautiques. Depuis, l’appareil a subi une modernisation en profondeur. Quelles sont les nouveautés ?

D’abord, le Su-35 est doté de nouveaux moteurs. Sur le plan de leur conception, ceux-ci, des AL-31FP, sont un développement des AL-31F construits en série avec recours aux technologies dites de cinquième génération. L’apparition d’une tuyère tournante, de même que la possibilité d’une modification différentielle automatique de la poussée de ses deux moteurs (commande différentielle de la poussée) garantissent un pilotage de l’avion dans tous les plans. Y compris à petites vitesses ou à des vitesses proches de zéro. Conditions dans lesquelles les organes aérodynamiques de commande cessent, traditionnellement, d’être efficaces. Si nécessaire, le système de direction de la poussée vectorielle peut être entièrement coupé, avec fixation des tuyères en position neutre.

Le nouveau radar à réseau actif à phases (FAR) constitue la base du système de commande des armements du Su-35. Ses performances, en termes de portée et de nombre de cibles suivies, sont uniques. C’est un développement du radar Bars. Le FAR assure la scanographie du faisceau, aussi bien en azimuts qu’en angles de site. Pour améliorer la visibilité dans le plan horizontal, l’antenne tournante est mécaniquement entraînée en azimut, au moyen d’un gyro-actionneur. En régime air-air, ce radar est susceptible de détecter, sur des caps de face et à des distances allant de 350 à 400 km, et aussi de suivre (sans interrompre l’observation de l’environnement) jusqu’à 30 cibles, ainsi que de tirer sur huit d’entre elles. Des cibles ponctuelles ayant des surfaces de réflexion d’un centième de mètre carré, sont détectées à une portée de 90 km. C’est une performance unique pour tout radar d’aviation.
Un radar optoélectronique d’une nouvelle conception intégrant un goniomètre infrarouge, un télémètre-localisateur laser et une chaîne de télévision assurent de nouvelles possibilités dans la commande des armements du Su-35.

Côté armements, ceux du Su-35 représentent, outre des missiles air-air connus à portée moyenne à têtes autodirectrices, à radar ou à infrarouge, actives et semi-actives, et des missiles de combat à courte portée (34 unités au total), cinq nouveaux missiles à grande portée. La nomenclature des armements guidés de la classe air-sol comprend 25 missiles anti-bâtiment et antiradar, à grande et moyenne portée. Dont le système Klab et un missile lourd à grande portée de type d’Iakhont.

Pour ce qui est des bombes d’aviation à guidage télévisuel, laser et satellite, le Su-35 ne se distingue pratiquement en rien des Su-30MK actuels. Mais, en principe, le nouveau chasseur pourrait accueillir de nouveaux modèles. L’efficacité des bombes d’aviation guidées est garantie par un viseur laser et télévisuel. Celui-ci est disposé dans un conteneur optoélectronique suspendu. Ce poste détecte, suit, mesure des distances, et éclaire au laser des cibles au sol.


La masse d’armements maximale d’un Su-35 est de 8.000 kg. Celle-ci est répartie entre les douze points de suspension. Equipé de moteurs à poussée vectorielle et d’un complexe électronique perfectionné de bord, le Su-35 dépasse notablement en performances son « ancêtre », le Su-27M. A l’opposé du Su-30, proposé sur les marchés internationaux, il est mieux adapté à un combat aérien tournoyant, notamment grâce à sa masse moins importante.
« A partir de 2010, nous nous projetons de commencer les ventes du Su-35 à l’étranger », a annoncé le directeur général de Sukhoi, Mikhaïl Pogossian. Le nouveau chasseur doit occuper une niche entre les Su-30MK actuels et ses différentes versions et les appareils, encore en développement, de cinquième génération. Le Su-35 est lui un avion de génération dite 4++, mais dont la conception fait largement appel à des technologies de cinquième génération, estime-t-on à Sukhoi. Entre 2009 et 2015, ces technologies doivent assurer au Su-35 des avantages indiscutables par rapport aux autres chasseurs multirôles de quatrième génération.

Les opinions exprimées dans cet article sont laissées à la stricte responsabilité de l’auteur.

http://www.armees.com/Le-Su-35-un-chasseur-a-un-pas-de-la-5e-generation,25270.html

Citation :

China's Su-35 fighter order reaches 100

China will actually purchase 100 instead of 24 Su-35 advanced fighters from Russia, as put down in the new contract signed during the Paris Air Show 2013, according to the Moscow-based state radio broadcaster the Voice of Russia.

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http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?cid=1101&MainCatID=11&id=20130626000088

prix yassine

Yakuza a écrit:

prix yassine

désolé pas d'info la dessus faudrait attendre d'autre sources pour confirmer/donner plus de details.

Le prix qui s'est laissé échapper durant le dernier MAKS été de 65M$/U (export) .

Le nombre '100 Su-35' si sa s'avére finale, révele bien des choses sur les programmes chinois, peut être last attempt pour mimé les AL-xx

spasibo

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Venezuela would buy Sukhoi-35 fighter aircraft

Venezuela would be one of the next international combat Russian Sukhoi Su-35 aircraft customers said Konstantín Makiyenko, Deputy Director of the Center for analysis of strategies and technologies, headquartered in Moscow, the RIA Novosti Agency.

"Growth of exports of Russian warplanes will depend on all new contracts for fighter Su-35″, Makiyenko said. He said that China plans to buy initially, 24 devices and "it is possible to then buy more and also a license for their production", since "have difficulties to copy an aircraft such as the Su-35″, as it did with the Su-27. He added that, in future, also Viet Nam, Indonesia and possibly Venezuela can buy important lots of Russian combat aircraft.

It should be recalled that in July 2012, the deceased President Hugo Chávez announced that it was negotiating with Russia the future acquisition of fighter aircraft Sukhoi Su-35.

The Su-35 is a single-seat multipurpose 4th. generation "plus plus", which can reach a maximum speed of 2,500 Km/h. Its scope is 3,600 km and up to 4,500 km with external tanks. It has a 30 mm GSh-301 cannon and has the capacity to carry eight tons of weaponry.

http://favclub.powweb.com/blog/2013/07/13/venezuela-compraria-aviones-caza-sukhoi-35/

Citation :

Le journal russe « Russia Beyond the Headlines » a pu interviewer Sergeï Bogdan, pilote d’essai chez Sukhoï et récemment médiatisé en Occident à l’occasion du salon du Bourget : il était l’homme qui était aux commandes du Su-35 qui a volé au-dessus de Paris. Il est également pilote d’essai du T-50, prototype de chasseur de 5ème génération.

Dans cet interview, il se montre particulièrement enthousiaste sur la capacités du Su-35 :

Il estime que le potentiel opérationnel du Su-35 excède celui de n’importe quel autre avion de 4ème génération de 40% (comme le Rafale, le F/A-18E/F Super Hornet ou l’Eurofighter).
Sur un certain nombre de points, il considère que le Su-35 est 10% supérieurs aux avions dits de 5ème génération.
Evidemment, il ne rentre pas plus dans le détail, et il est certain que ce genre d’affirmations est la porte ouverte à des débats sans fin. On pourra lire cet article pour se faire une idée des capacités de l’avion au regard de ses caractéristiques annoncées.

Le Su-35 est très certainement une très bonne machine, descendant largement amélioré d’un Su-27 qui a largement fait ses preuves, mais il faut attendre une mise en service opérationnelle pour se faire une vraie idée de ses capacités, qui sur le papier sont effectivement particulièrement impressionnantes.

D’ailleurs sur ce point Sergeï Bogdan est réaliste : les capacités de manœuvrabilité démontrées au salon du Bourget ne représente pas tout le potentiel de l’avion. « Les qualités d’un avion réside dans ses performances au combat ».
Il revient également sur le fait que l’industrie aéronautique russe a dû traverser des années très difficiles suite à la chute de l’URSS, et considère que ce secteur est aujourd’hui revenu « au top de sa forme » (« in top shape »), du moins sur le plan militaire.

Selon lui, la grosse carence de cette industrie est l’aviation civile et commerciale (« Quand je regarde un Airbus A380, j’aimerais que cet avion ait été conçu en Russie »), les constructeurs russes comme Sukhoï (qui a connu de nombreux problèmes avec son biréacteur Superjet 100) ou Tupolev ne récoltant qu’une part de marché infime face aux géants Boeing et Airbus.

aerofan.fr

Citation :

Su-35S overtakes F-22 in terms of ‘intellect’

October 7, 2013 Sergey Ptichkin, Rossiyskaya Gazeta
Practically the entire fifth generation fighter ideology has come to fruition in the shape of the Su-35S. This gives Russia the potential to set about creating a sixth generation combat aircraft ahead of all the other nations.

The advanced front line aviation complex PAK FA (the T-50) is completing its compulsory test phases successfully. The production fifth generation fighter is expected to enter service with the military from 2017. Meanwhile however front line units are already being equipped with an almost exact counterpart to this aircraft - the Su-35S multi-role fighter.

The point is that along with creating the virtual fifth generation fighter concept - from the very beginning it has been designed solely in digital form - the ready-made components of the future fighter were implemented and developed on the Su-35S platform. As a result the 4++ generation Su-35S was practically on a par with a fifth generation fighter across all its characteristics except the so-called stealth technology, right up to the moment it entered series production.

Moreover in terms of certain characteristics the Su-35S has already overtaken the only fifth generation fighter to enter service to date the American F-22 Raptor. Thus, the ‘Irbis’ radar control system fitted to the Su-35S is able to detect an airborne target at a record distance of up to 400 km and of tracking up to 30 targets and engaging 8 simultaneously. The radar system on the F-22 is weaker: the maximum detection range is only 300 km. Apart from that the ‘Irbis’ provides the potential to actively detect and track up to four ground targets simultaneously. In addition the Su-35S is fitted with a navigation system capable of pinpointing the aircraft’s location and its movement parameters autonomously without resorting to satellite navigation or communication with ground stations. That is to say if the GPS or GLONASS were switched off the aircraft would not be ‘blinded’.

The Russian Air Force is due to receive 48 Su-35S aircraft before the end of 2015. In practical terms that’s 50 fifth generation aircraft in as much as the Su35S is almost identical to the PAK FA in terms of the on board electronics suite, control systems and armament. Therefore it will not prove difficult for pilots to convert to the classic fifth generation fighter with its obligatory stealth technology: any pilot who has assimilated the Su-35S can easily convert to the T-50. This means that the conversion to fifth generation fighters does not start in 2017 - it is already happening now in the Russian Air Force.

The ideology of the aircraft that will dominate the skies in the second half of the 21st Century is being determined today. Whether these will be flying robots or classic manned fighters with even more up to date electronics and new armament is not really important. The main point is that the Russian aircraft industry has a head start in developing a sixth generation fighter. The quicker the Su-35S enters service with front line units and the greater their numbers, the more successful work to create a new generation of fighter aircraft will be

http://indrus.in

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Beijing purchases Su-35 for rearward-firing missile

China has decided to purchase Su-35 fighter from Russia because it is able to launch rearward-firing missiles, according to senior colonel Wu Guohui, an associate professor at Beijing's National Defense University.

The Russia-designed R-73M2, R-74ME missiles, US-designed by AIM-9X and the China-designed PL-10 all have the capability of being launched against enemy aircraft from the back of the aircraft, according to the Party-run People's Daily. The missile has a "nose cone" over the rocket engine and modified fins to prevent instability problems while briefly flying backwards after launch.

The birth of rearward-firing missiles has changed the concept of aerial warfare, according to Wu. In regular air-to-air combat, a fighter must shoot down its enemy from behind. With rearward-firing missiles and a a rearview display mounted on the helmet of the pilot, fighter pilots in the future can attack their target from the front.

China has no proper fighter yet capable of launching such a missile during actual combat. The Su-35 will be incorporated into the PLA Air Force to help pilots and the aviation industry get a feel for the new mode of combat. In the future, China will be able to make its own modifications from the Su-35 model.

wantchinatimes

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L’Indonésie a choisi le Sukhoi Su-35 !




Le ministère indonésien de la Défense (MoD) a choisi le Sukhoi Su-35 «Flanker-E » pour remplacer les actuels Northrop F-5E Tiger II de la Force aérienne. Ce programme représente la première commande à l'exportation du Su-35.  

Les avions en concurrence étaient: le Rafale de Dassault Aviation, le Lockheed-Martin F-16 « Viper », l’Airbus Eurofighter T3 et le Saab Gripen E. Il semble que le prix a joué un rôle déterminant dans le choix, on parle ce soir d’un montant d’un milliard de dollars pour 16 appareils.

Cette réussite russe, montre qu'il va falloir une fois de plus compter sur le retour des avionneurs à "l'étoile rouge" sur le marché. Ceux-ci se montrent très agressifs et devraient à l'avenir être à nouveau capable de concurrencer les USA et compliquer le travail des européens.

Les forces aériennes indonésiennes exploitent actuellement une flotte mixte d'appareils russes composée de Su-27SK, Su-27SKM, Su-30MK et de Su-30MK2, achetés par étapes depuis 2003.

Le Sukhoi Su.35 :

Le Su-35 est un appareil de la génération 4++.  Les caractéristiques de l'avion comprennent une nouvelle avionique numérique avec fusion des données, un nouveau réseau d'antennes radar progressive avec une longue portée de détection et de cibles aériennes. Son noyau est le système de gestion de l'information (SGI), qui intègre les sous-systèmes fonctionnels, logiques, d'information et de logiciels en un complexe unique qui assure l'interaction entre l'équipage et l'équipement. L'IMS comprend deux ordinateurs centraux numériques, dispositifs de commutation et de l'information. Le pilote dispose de deux écrans MFI affichage multi-fonctions de 9x12 pouces et une résolution de 1400x1050 pixels.

Le noyau du Su-35 dispose de deux doubles radars en bande X en réseau, à antennes progressives Irbis-E, soit un N-12 à l’avant et un N-011 dans la queue arrière. A l’avant le N-12 est monté sur une unité de commande hydraulique à deux étapes (en azimut et en rouleau). Le dispositif d'antenne scanne par un faisceau électronique dans l'azimut et l'angle d'élévation dans les secteurs non inférieure à 60°. L'unité d'entraînement en deux étapes électro-hydraulique tourne en outre l'antenne par des moyens mécaniques à 60 ° en azimut et 120 ° en roulis. Ainsi, en utilisant la commande électronique et mécanique tour supplémentaire de l'antenne, l'angle de braquage maximal du faisceau peut atteindre 120 °. Le radar Irbis-E détecte les cibles aériennes jusqu’à une portée maximale de 400 km. Le tout avec une nouvelle génération d'optique frontale.

La durée de vie de la cellule est de 6’000 heures de vol, soit un cycle de vie de 30 années d'exploitation. La durée de vie assignée des moteurs AL-117S dérivé de l’AL-31F avec poussée vectorielle est de 4’000 heures.



Photos : Sukhoi Su-35 @ Irkut

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2015/09/03/l-indonesie-a-choisi-le-sukhoi-su-35-859635.html

Citation :

Outre ces contraintes, le Su-35 a également brillé par ses difficultés depuis la signature du partenariat en 2016. Seuls 5 appareils ont officiellement été livrés à l'Egypte, alors que 22 appareils auraient déjà du rejoindre la flotte égyptienne en 2020, une partie des autres avions produits pour le pays étant toujours cloués au sol sur le parking de l'usine d'assemblage de Sukhoï proche de Moscou. Pire, dans les exercices opposant le Su-35 au Rafale en Egypte, le Rafale aurait réussi à brouiller le radar PESA du Sukhoï jusqu'à l'éteindre, imposant au Su-35 un atterrissage...

https://www.air-cosmos.com/article/lindonsie-renonce-au-su-35-pour-choisir-entre-le-rafale-et-le-f-15ex-25739

Cet avion comme le Su-30 MKX est un échec technologique. Faire le cobra c'est bien pour les show mais dans la réalité sa n'évitera ni de jammer un AESA ni d'éviter un Fox 3 occidentales ( Mica et autre AMRAAM)

FAMAS a écrit:

Citation :

Outre ces contraintes, le Su-35 a également brillé par ses difficultés depuis la signature du partenariat en 2016. Seuls 5 appareils ont officiellement été livrés à l'Egypte, alors que 22 appareils auraient déjà du rejoindre la flotte égyptienne en 2020, une partie des autres avions produits pour le pays étant toujours cloués au sol sur le parking de l'usine d'assemblage de Sukhoï proche de Moscou. Pire, dans les exercices opposant le Su-35 au Rafale en Egypte, le Rafale aurait réussi à brouiller le radar PESA du Sukhoï jusqu'à l'éteindre, imposant au Su-35 un atterrissage...

https://www.air-cosmos.com/article/lindonsie-renonce-au-su-35-pour-choisir-entre-le-rafale-et-le-f-15ex-25739

Plusieurs sources confirment que l'Égypte n'a toujours pas reçu des Su-35, qu'ils sont toujours en Russie photo satellite à l'appuie, comment aurait il fait un exercice dans ce cas ?

sur un forum arabe ils disent que l'Égypte s'est rétracté pour éviter les sanctions caatsa surtout qu'elle bénéficie des aides américaine et que l'iran va les reprendre dès que l'embargo sera lever vers la mi janvier 2022.