Sujet: Sebta et Meliliya. Jeu 17 Juil 2008 - 22:37
Rappel du premier message :
Je suis très fâché à l'heure actuelle, je m'aimerais savoir pourquoi la modération vient d'éliminer le message qui viens de laisser il y a quelques minutes dans ce topic. JE VEUX DÉJÀ DES EXPLICATIONS… Ici qui il arrive que si ne laisse-t-il pas de messages qui sont du plaisir des participants et de la modération sont éliminés ? Par contre, mon message précédent qui essayait seulement de répondre au participant FAHED-64, est éliminé non ?Parce que dans ce message je n'ai manqué au respect à à personne, donc ils n'aient pas de motifs pour l'éliminer.
ESPERO UNA RESPUESTA LO ANTES POSIBLE YA SEA POR AQUI O POR MENSAJE PRIVADO ,SI NO A PARTIR DE AHORA NO PARTICIPARÉ MAS,AL VER QUE NO ES RESPETADO MI DERECHO DE EXPRESION ,AL CONTRARIO DE LO QUE HACEN CON EL DEL RESTO DE PARTICIPANTES AQUI PRESENTES SE NOTA QUE LA DEMOCRACIA NO HA LLEGADO TODAVIA A ESTOS LARES... (J'ATTENDS UNE RÉPONSE LE PLUS TÔT POSSIBLE OU PAR ICI OU PAR MESSAGE PRIVÉ, SI NON DORÉNAVANT JE NE PRENDRAI PAS PART PLUS CE FORUM, EN VOYANT QUE N'EST PAS RESPECTÉ MON DROIT D'EXPRESSION, CONTRAIREMENT À CE QU'ILS FONT AVEC CELUI DU RESTE DE PARTICIPANTS ICI PRÉSENTS : evil : : evil : ON REMARQUE QUE LA DÉMOCRATIE N'EST PAS ENCORE ARRIVÉE À CES LIEUX…)
AMARGOS SALUDOS!!!
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Shogun Aspirant
messages : 573 Inscrit le : 22/09/2010 Localisation : Planet Earth. Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mar 27 Sep 2011 - 21:06
voila t as tout resolu dans ta derniere phrase "Il faut preparer la guerre pour esperer la paix". nous devons continuer nos projet socio-economique normalement sans negliger les signes de menaces exterieurs .
_________________ ومن لا يحب صعود الجبال يعش أبد الدهر بين الحُفر
Invité Invité
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Dim 29 Avr 2012 - 23:45
j ai ponsse dans c ette ide hiere . il paree que l espanye pansse comme moi que ponsse vous http://hespress.com/politique/52744.html
Invité Invité
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Dim 29 Avr 2012 - 23:59
dinamic a écrit:
j ai ponsse dans c ette ide hiere . il paree que l espanye pansse comme moi que ponsse vous http://hespress.com/politique/52744.html
Ils ont du culot certains journaleux espagnols, no vendre ce qui est a nous...
Il devrait plutot re-revendre les anciennes colonies espagnoles aux US ou re-"conquister" le Mexique pour son "OR"...
On pourrait repliquer a ce type que nous attendront l'espagne en faillite avant de la REPRENDRE TOUTE
YASSINE Capitaine
messages : 899 Inscrit le : 21/12/2008 Localisation : FRANCE Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mar 1 Mai 2012 - 16:44
Il faut saisir l’occasion pour entamer les pour-parler et faire une proposition quant ils seront au plus mal pour acheter ce que l'état Espagnole possède sur nos terres (l'infrastructure) pas question d'acheter une terre qui est deja à nous
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: ... Jeu 3 Mai 2012 - 15:26
la gendarmerie espagnol a violé l'accord sur laila , en envoyant des gendarmes poursuivre les immigrés clandestin sur le sol de l'ilot .weekend dernier
Citation :
وبعد عشر سنوات يعود إسم جزيرة ليلى إلى الواجهة. في الصفحة الأولى من نفس الجريدة خبر تحت عنوان"الأمن الإسباني يقتحم من جديد جزيرة ليلى المغربية". عناصر من الحرس المدني الإسباني اقتحمت نهاية الأسبوع الماضي الجزيرة المغربية لملاحقة أربعة مهاجرين أفارقة غير شرعيين كانوا يحاولون الوصول سباحة إلى سبتة المحتلة قبل أن يتم ضبطهم. الاقتحام شكل خرقا للاتفاق الثنائي بين البلدين الذي كان قد أشرف عليه وزير الخارجية الأمريكي الأسبق كولن باولبعد اندلاع النزاع المغربي ـ الإسباني على الصخرة في يوليوز 2002.
هسبريس/المساء
reste a savoir si c'est par autorisation des autorités marocaine ou par provocation .
_________________
Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
Fahed64 Administrateur
messages : 25561 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Jeu 3 Mai 2012 - 15:36
Au-dessus de 65% Le taux de chômage des jeunes de Ceuta et Melilla le plus haut dans l'UE
Les villes de Ceuta et Melilla sont les deux régions de l'Union européenne avec le plus haut niveau du chômage des jeunes, les chiffres enregistrés au-dessus de 65%, selon les données recueillies en Juillet 2012 Eurosat par l'Institut des études économiques (IEE).
Le rapport montre que le chômage des jeunes en 2011 a atteint une moyenne de 21,4% en Europe, un chiffre légèrement supérieur à celui des données recueillies l'année précédente.
En Espagne, le pourcentage du chômage des jeunes s'élève à 46,4%, surpassant la plupart des pays de l'UE, devant la France avec 23%, Royaume-Uni 21,1%, l'Allemagne vers le bas ou 9% aux Pays-Bas 7,6%.
Beaucoup de régions espagnoles dépassent la moyenne nationale, y compris les taux atteignent Ceuta et Melilla de plus de 65%, en tête de liste des régions de l'UE avec le chômage le plus élevé chez les jeunes.
Andalousie et Valence sont également parmi les dix régions européennes avec le problème du chômage des jeunes le plus élevé, avec des chiffres de 54,4% et 51,9% respectivement.
Estrémadure et les îles Canaries sont situées à environ 50%, et la Principauté des Asturies en 49,1%, Castilla-La Mancha et de Murcie avec des chiffres autour de 47% et La Rioja, qui dépasse la moyenne nationale avec 46,5 %.
En Catañuña ce chiffre tombe à 44,1%, tandis que dans le chômage des jeunes Madrid en 2011 a enregistré 41,1%.
Les plus faibles taux de chômage des jeunes en Espagne obtenir le Pays Basque et en Navarre, l'enregistrement d'un 34% et 29,1% respectivement.
RRHHDIGITAL
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Jeu 9 Aoû 2012 - 1:38
Citation :
50 subsahariens assaillent Mellilia et font blessées deux policiers espagnols
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Jeu 9 Aoû 2012 - 1:43
pour une fois que c´est les autres qui subissent,esperons que les notres ne montent plus la garde autour.
_________________
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Jeu 9 Aoû 2012 - 1:50
Yakuza a écrit:
pour une fois que c´est les autres qui subissent,espérons que les nôtres ne montent plus la garde autour.
Il n'y a pas si longtemps un soldat des FAR avait été tué à coup de pierres par des clandestins subsahariens alors qu'il tentait de les dissuader de s'approcher de la clôture de fer de Mellilia
Citation :
Presse : Des Clandestins subsahariens tuent un soldat des FAR à Mélilia
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Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Dim 9 Sep 2012 - 19:51
Citation :
Los cascotes del imperio
Aislados, sin comentido estratégico y convertidos en un problema potencial, España conserva los peñones e islotes del norte de África para evitar reclamaciones mayores de Marruecos
Spoiler:
Hubo un tiempo fausto, hace ya casi un siglo, en el que en el peñón de Alhucemas los comercios eran numerosos y, cuando se abrían las puertas de la plazafuerte, los rifeños entraban para vender gallinas, huevos, frutas y verduras, cebada y carbón. En otro peñón, el de Vélez de la Gomera, había nada menos que cinco tiendas y tabernas, incluida una zapatería.
En todas las diminutas plazas de soberanía españolas a lo largo de la costa norte de Marruecos había empleados de Correos, aduaneros, maestros y fareros entre una población que, en Alhucemas y Vélez, superó los 400 habitantes, incluidos los presidiarios. En la isla de Isabel II de las Chafarinas, el más grande de los minúsculos archipiélagos españoles, rebasó los setecientos vecinos. Allí hubo hasta un casino y un pequeño hospital militar.
Amar Binauda solía vender pescado a los soldados cuando era joven. Amarraba su barca en la isla Isabel II y ofrecía su mercancía a los militares españoles. Disponía incluso de una casa de pescador allí. Su padre, antes que él, también tuvo negocios con la guarnición: era su carnicero. Pero eso fue hace mucho tiempo. Cuando las tropas de las islas aún se relacionaban con los pobladores de la costa más próxima: el embarcadero marroquí de cabo de Agua. Binauda tiene ahora 74 años y no habla nunca con los españoles. “Cada uno está en su sitio”, dice. “Con lo del Sáhara todo cambió. No hay relación”, añade refiriéndose a la toma de control por Marruecos de esa colonia española en 1975.
A lo largo del siglo XX, los enclaves perdieron utilidad militar y habitantes. 1970 fue el último año en que se dio a conocer el censo de población, ya casi todos militares a las órdenes de la Comandancia General de Melilla que ni siquiera podían llevar con ellos a sus familias. Aun así hace todavía cuarenta años el turista curioso podía recorrer esas plazas situadas en parajes de gran belleza. “El servicio postal de viajeros y mercancías lo asegura un vapor de la Compañía Transmediterránea que hace un viaje semanal desde Melilla (…)”, señalaba un opúsculo editado por la comandancia hace medio siglo.
Hace un siglo, en las diminutas plazas de soberanía había comercios, aduaneros, maestros o fareros
“El viaje era barato, lento —duraba una semana— y en los barcos apenas había pasajeros”, recuerda un turista ahora octogenario que hace casi medio siglo se hinchó a leer libros durante la travesía. “En cada escala daba de sobra tiempo a bajarse y a dar una vuelta por el islote”, recuerda. Hoy en día las plazas de soberanía están vetadas a los civiles, excepto Chafarinas a los biólogos del Consejo Superior de Investigaciones Científicas y a los funcionarios de la Red de Parques Nacionales a la que pertenece. En las islas anidan más de dos mil parejas reproductoras de la gaviota de pico rojo, la segunda colonia mundial de estas aves, y en sus aguas nadan 9 de los 11 invertebrados marinos considerados en peligro de extinción.
Hasta hace una década seguía habiendo algún contacto entre los dos peñones y su vecindario marroquí. El suboficial enfermero destinado en Vélez se daba, por ejemplo, de vez en cuando una vuelta por el cercano pueblo de pescadores y hacía algunas curas. Alí, 30 años más joven que Beniauda, también recuerda que cuando era pequeño los soldados del peñón de Alhucemas se acercaban a la playa de Sfiha a jugar al fútbol con la gente del pueblo y a bañarse.
El peñón, donde se ubica la guarnición militar, está cerca de la costa, pero no tanto como para llegar a nado fácilmente.
Los otros dos islotes, isla de Tierra e isla de Mar, están, en cambio, literalmente pegados a la playa. Los escasos metros que separan la arena del peñasco más cercano, isla de Tierra, se pueden recorrer caminando. Apenas cubre. “Antes siempre íbamos allí a bañarnos o a coger mejillones o coquinas”, recuerda Alí. “Hay una parte muy resguardada del viento. Llevábamos allí a las ovejas en lancha y las dejábamos todo el invierno. Nadie nos ponía problemas”. La soberanía española de la isla no se hacía explícita en ninguna parte. Pero en 2002 todo cambió.
Los contactos entre los militares de los enclaves y la población marroquí se acabaron tras el incidente de Perejil
El conflicto del islote de Perejil dio al traste con esos hábitos. El enfermero ya no bajó al pueblo y los regulares españoles colocaron alambres en la isla de Tierra para impedir el acceso de los veraneantes. Perejil, del que los marroquíes se adueñaron el 11 de julio de 2002 y fueron desalojados por los boinas verdes españoles seis días después, no es una plaza de soberanía. Es una extraña tierra de nadie, según el acuerdo alcanzado hace diez años.
Desde hace una década los peñones han sido intermitentemente motivo de fricción entre Rabat y Madrid. La más grave se produjo, en junio de 2010, cuando el rey Mohamed VI pasaba unos días de descanso en un yate anclado en la bahía de Alhucemas. Se molestó por el vaivén de los helicópteros que desde Melilla abastecen a la guarnición del peñón a través del espacio aéreo marroquí. Pidió que se suspendieran los vuelos durante su estancia y Defensa accedió. Pero tardó en hacerlo, lo que suscitó la ira real.
En mayo pasado, los islotes volvieron a convertirse en un quebradero de cabeza para el Gobierno. Los inmigrantes habían descubierto una nueva vía de acceso a España. Llegaron las primeras cuatro pateras a Chafarinas que sacaron de su letargo a la guarnición allí destinada. A finales de agosto, los inmigrantes alcanzaron, probablemente a nado, la isla de Tierra de Alhucemas.
La alarma se disparó en el Gobierno español, que quería impedir que esta nueva vía se convirtiera en un coladero. Solo se podía hacer con la cooperación del país vecino. Dejar a los subsaharianos en el islote o enviarles a todos a Melilla o a la Península, como exigían, hubiese sido “una declaración de que el territorio español estaba abierto”, se justificó el ministro de Exteriores, José Manuel García-Margallo.
“Los peñones son el punto por donde puede saltar la carrera que destroce la carrera”, explica un mando militar
Para evitarlo el Gobierno se saltó la Ley de Extranjería, según numerosas ONG de Derechos Humanos empezando por Amnistía Internacional y el Comité Español de Ayuda al Refugiado. La ley obliga a incoar procedimientos de expulsión individuales con todo tipo de garantías incluida la asistencia de un letrado. Si los subsaharianos hubiesen entrado en Melilla o en la Península se les habría aplicado, pero no en los peñones donde “la soberanía española es menos protectora”, ironiza un diplomático. Aun así el PSOE respaldó al Gobierno.
Los peñones son España, pero una España algo particular. Alborán pertenece administrativamente a Almería, pero los otros siete islotes (archipiélagos de Alhucemas y Chafarinas y el peñón de Vélez) tienen “un indefinido estatuto interno”, según el catedrático Alejandro del Valle. “Están complemente fuera de la organización territorial del Estado” porque no forman parte de ninguna provincia, subraya en un artículo publicado por el Real Instituto Elcano.
“Se trata de territorios que no figuran explícitamente como “españoles en ningún texto relevante”, prosigue el catedrático. “Este vacío regulador provoca incertidumbre en muchos ámbitos: el reconocimiento y delimitación de espacios marinos y de aguas jurisdiccionales o de seguridad, la jurisdicción interna española aplicable...”. Estas “posiciones avanzadas, verdaderas atalayas de la patria”, como las describía la Comandancia de Melilla, son pues vulnerables y el mantenimiento allí de una presencia militar es costoso, sobre todo en tiempos de crisis.
Cuando el primer grupo de subsaharianos se asentó, en agosto, en isla de Tierra, periódicos como As Sabah, de Casablanca, divisaron “nubarrones en las relaciones entre Madrid y Rabat”. Mohamed VI quiso evitarlo y dio su visto bueno a la readmisión en Marruecos de 72 náufragos del islote. Era la segunda vez, desde que se firmó el acuerdo de readmisión hispano-marroquí de 1992, que Rabat aceptaba que le fuera devuelto un contingente de subsaharianos al que expulsó de inmediato a Argelia a través de una frontera teóricamente cerrada desde hace 18 años.
La vida es tediosa en las guarniciones. En 2005 se suspendieron las visitas tras un incidente que acabó en sedición
Con la inmigración, “los islotes marroquíes ocupados se convierten en un problema para España”, titulaba el diario Akhbar al Youm de Casablanca. No lo han sido esta vez porque Marruecos ha echado una mano en los peñones, como lo viene haciendo en Melilla en cuyos alrededores tiene desplegado al Ejército para secundar a la Gendarmería y a las fuerzas auxiliares (antidisturbios).
Pero las autoridades de Marruecos podrían cansarse o querer, en alguna ocasión, desviar la atención de sus problemas internos —el país entra paulatinamente en crisis económica— dejando que surja un conflicto en las plazas de soberanía. Peñones e islotes no pueden ser defendidos sin su colaboración. Es imposible erigir vallas, como en Ceuta y Melilla, y destacar a cientos de guardias civiles para rechazar a los que intenten saltárselas.
“El valor estratégico de los peñones y las Chafarinas es igual a cero”. Un general, que tuvo bajo su mando las llamadas “plazas menores” (en contraposición a las “mayores”, Ceuta y Melilla) se muestra contundente a la hora de valorar el interés militar del rosario de islotes y peñascos que conserva España en el norte de Marruecos. Las minúsculas posesiones no albergan ningún relé ni radar ni sistema de guerra electrónica útil para el despliegue de las Fuerzas Armadas españolas o la vigilancia del norte de África, más allá de los equipos necesarios para asegurar la comunicación con sus guarniciones. En la época de los satélites y los radares aerotransportados no hace falta sentarse en las barbas del vecino para espiarlo.
Eso no quiere decir que los mandos militares sean partidarios de poner fin a una presencia que, en algún caso, se remonta a 500 años, tantos como la españolidad de Melilla. “España no se entrega a trozos”, contesta airado el citado general. Otro, que fue jefe del Estado Mayor del Ejército de Tierra, alega que “los peñones son el punto por donde puede saltar la carrera que destroce la media”. En otras palabras, según su razonamiento, “si España los entregase, Marruecos pediría luego Ceuta y Melilla y, si también se las diéramos, reclamaría Canarias”. Por eso, es raro encontrar a un militar que no aplauda la recuperación de Perejil, en 2002, a pesar de que la mayoría de los españoles ignorasen la existencia de este islote y la frase del entonces ministro de Defensa Federico Trillo (“al alba, con fuerte viento grueso de Levante”) suene más ridícula que épica. Ni un paso atrás, por tanto. Las “plazas menores” son la primera línea de defensa.
Y eso a pesar de que ellas mismas son indefendibles. En cada una de las tres guarniciones —islas Chafarinas, peñón de Alhucemas y peñón de Vélez de la Gomera— hay una sección de infantería (entre 25 y 30 militares) a las órdenes de un teniente. Además, cuentan con un equipo de la Compañía de Mar con alguna zódiac para apoyar la llegada de embarcaciones (solo las Chafarinas tienen muelle). Carecen de artillería y los mandos militares prefieren guardar silencio cuando se les pregunta si disponen de algún misil portátil.
Su mayor vulnerabilidad radica en la proximidad de la costa de Marruecos, a la que está unido por un istmo el peñón de Vélez de la Gomera, y en la lejanía de Melilla, de cuya comandancia dependen. Pero esta última carece de medios de transporte para reforzar las guarniciones en caso de emergencia. La Armada retiró hace años el patrullero que destacó en Melilla a raíz de la crisis de Perejil. Un remolcador se desplaza a la zona cada dos meses para trasportar el material pesado o peligroso, como el combustible. Lo mismo sucede con el helicóptero Chinook que cada cuatro o cinco semanas acude desde la base de las Fuerzas Aeromóviles del Ejército de Tierra (FAMET) en Colmenar Viejo (Madrid) para relevar a las tres guarniciones. Se estima que en cada relevo se mueven en torno a ocho toneladas.
Las FAMET tienen un helicóptero Cougar basado permanentemente en Melilla, pero es más pequeño que el Chinook y su misión es realizar evacuaciones médicas y llevar suministros urgentes. Además, para llegar hasta las “plazas menores” la aeronave tiene que sobrevolar suelo marroquí.
No sorprende, por tanto, que el Ejército intente que las tres guarniciones sean lo más autónomas posibles. Disponen de plantas desalinizadoras, grupos electrógenos y una planta fotovoltaica en Chafarinas, así como un botiquín atendido por un enfermero.
La vida es tediosa en las “plazas menores”. Hasta 2005 había visitas regulares de familiares de los mandos e incluso algún campamento de verano. Ese año hubo un verdadero motín en Chafarinas. Hasta 11 soldados fueron encausados por sedición después de que el teniente les castigara por la desaparición del GPS de un visitante. Para cortar de raíz el problema, el comandante general de Melilla ordenó suspender todas las visitas. Ahora solo excepcionalmente consigue un civil permiso para acercarse a zonas que en algún caso, como las Chafarinas, son auténticos paraísos naturales.
El peñón de Vélez de la Gomera, por ejemplo, está junto a una pequeña cala de piedra y un pueblo minúsculo al que solo se puede llegar por mar o por una pista de tierra de 20 kilómetros desde la carretera. Junto a la pequeña playa, por la que pasean gallinas y ovejas, hay algunas barcas de pescadores. A la izquierda se alza el peñón español, de 87 metros sobre el nivel del mar en su punto más alto. Vélez fue una isla, pero está unido a tierra desde 1930, por lo que tiene una frontera terrestre con Marruecos.
Los soldados de Vélez, según la gente del pueblo, tampoco se relacionan con los marroquíes. Como en Chafarinas, y como en Alhucemas, cada uno se queda en su sitio. Fue en este lugar donde, el pasado 29 de agosto, siete activistas marroquíes colocaron cuatro banderas de su país. Las imágenes de lo ocurrido, en las que se podía ver a los militares españoles en pantalón corto y a alguno en chanclas, reflejaban que los militares no tienen mucho que hacer en ese peñón.
“A pesar de que no hay mucha actividad, antes eran destinos que no estaban mal”, recuerda Miguel Ángel Alonso. Él hizo la mili en el peñón en 1984 y pasó allí tres meses. “En esa época éramos en la isla entre 80 y 100 personas. Nos llamaban los de la piedra. Casi todo lo hacíamos por la mañana y después tratábamos de hacer ejercicio por la tarde. Se vivía bien. Había alguno que hacía tonterías, pero sabíamos que no podíamos cruzar a Marruecos, y todos los suministros llegaban de fuera”.
Cada guarnición procede de una unidad del Ejército en Melilla, que suministra los efectivos. Los militares destacados en Chafarinas pertenecen al Tercio Gran Capitán de la Legión; los del peñón de Alhucemas al Regimiento Mixto de Artillería número 32, y los de Vélez de la Gomera al Regimiento de Regulares número 52. Durante el tiempo que están en los peñones o las islas perciben una prima equivalente a la que cobran cuando están de maniobras, pero inferior a la de sus compañeros enviados a Líbano o Afganistán.
¿Es caro mantener las plazas menores de soberanía? Los mandos militares se encojen de hombros. “Es el chocolate del loro. Lo realmente caro es mantener Melilla, que tampoco tiene ningún interés estratégico, al contrario que Ceuta”, responden. Los militares destinados en Melilla cobran más que en la Península, pero su situación no es distinta de la de los médicos, maestros o cualquier otro funcionario.
“Ni se nos pasa por la cabeza”, contesta un miembro del Gobierno cuando se le pregunta por la posibilidad de ceder a Marruecos los peñones y las islas. ¿Y si desaparecieran del mapa como si nunca hubieran existido? “Eso sería otra cosa”. Nadie los echaría de menos.
Los intentos de deshacerse de los enclaves
María Rosa de Madariaga
Si el año de 1492 marca el final de la presencia política del islam en la península Ibérica, inaugura también un periodo que, como destaca el profesor Pierre Vilar, constituye “una continuación de la Reconquista en África, con un aspecto feudal, militar”. Los ataques de los señores andaluces al otro lado del Estrecho eran auténticas razias para hacerse con un botín y enriquecerse, pero paralelamente había intereses de Estado. Después de la caída de Granada en 1492, muchos musulmanes españoles emigrados se habían refugiado en territorio marroquí y para la monarquía española la necesidad de proteger el sur de España de posibles ataques procedentes del Magreb exigía la posesión de algunas plazas fuertes y de una base de operaciones del otro lado del Estrecho. El gran impulsor de las expediciones en África del Norte fue el cardenal Cisneros, quien equipó a sus expensas barcos y tropas al mando de Pedro Navarro, un aventurero, él mismo antiguo corsario. Sería este quien conquistara el peñón de Vélez de la Gomera en 1508. Los marroquíes lo recuperaron en 1522, para volver a manos españolas en 1564.
A las motivaciones que llevaron a estas conquistas en el litoral norteafricano vino a sumarse en el siglo XVI la aparición del gran corso berberisco, primero con los hermanos Barbarroja y luego con Dragut, apoyado por el Imperio Otomano, que se erigía como nueva potencia islámica en el Mediterráneo.
La predicación contra el islam prosiguió, esta vez contra el Turco, pero detrás de las exhortaciones en nombre de la fe cristiana yacían intereses políticos y económicos: la necesidad de defender el territorio contra toda posible agresión procedente del sur y proteger el comercio marítimo. El pretexto para la ocupación del peñón de Alhucemas el 28 de agosto de 1673 volvía a ser el de que allí encontraban refugio y albergue los corsarios que, en sus correrías e incursiones, atacaban las naves de las naciones cristianas.
Los dos peñones sufrieron ataques continuos de los habitantes de la costa para recuperarlos. Las condiciones de vida eran allí muy duras, llenas de privaciones —falta de agua y escasez de alimentos—, sobre todo en épocas de asedio, y calamidades como las terribles epidemias que diezmaban a las guarniciones y a la población penal. Cuando en el siglo XVIII el corso dejó de ser el principal problema, los peñones pasaron a ser presidios, no solo para criminales, sino también para confinados políticos a lo largo del siglo XIX, ya estuvieran adscritos al campo liberal o al carlista, según las épocas. Particularmente terribles fueron las epidemias de peste en 1743-1744, la de escorbuto en 1799 y la de fiebre amarilla en 1804 y 1821.
Desde mediados del siglo XVIII, los gobernantes españoles empezaron a plantearse la cuestión de si los gastos para el mantenimiento de esos enclaves valían o no la pena y no sería más conveniente abandonarlos. Más que un abandono puro y simple, se trataría de una cesión al sultán a cambio de ciertas ventajas económicas en el Imperio Jerifiano. Esta idea fue rechazada en 1801 por Godoy, para quien la cesión a Marruecos sería contraria a los “intereses de España”. Años después, la Junta Central, por un lado, y José I, por otro, entablaron negociaciones con el sultán para la cesión de ambos peñones, aunque sin llegar a ningún resultado. De nuevo, las Cortes reunidas en Cádiz en 1810 volverían a plantear el tema de la cesión, sin llegar a ponerse de acuerdo al ser muy grande la división de pareceres. El Gobierno liberal (1820-1823), surgido del pronunciamiento de Riego, planteó una vez más el asunto, con cuyo fin dio poderes al cónsul español en Tánger para firmar el tratado de cesión, pero las ventajas económicas otorgadas a España llevaron a Inglaterra a hacer presión sobre el sultán para disuadirlo de aceptar el tratado. En 1861 saldría de nuevo a relucir el tema del abandono o cesión de los dos “presidios menores” por considerarlos completamente inútiles, si bien la idea quedó posteriormente limitada al peñón de Vélez. Por último, el proyecto de abandono de los dos peñones resurgía en 1869 y, a pesar de que la comisión creada para estudiar el asunto dictaminó en sentido favorable, toda una serie de problemas, dificultades y dilaciones hicieron que el proyecto quedara una vez más en suspenso. El tema del abandono o cesión no volvió desde entonces nunca más a plantearse.
Las islas Chafarinas fueron ocupadas en enero de 1848, adelantándose a los planes de ocupación por Francia desde Argelia. El pretexto para ocuparlas fue el de constituir un buen abrigo para los barcos y poseer una excelente ubicación estratégica frente a la frontera argelino-marroquí. Lo mismo que los dos peñones, las Chafarinas fueron en su día presidio para delincuentes y confinados políticos.
Hoy día, las circunstancias han cambiado y resulta difícil creer que estos enclaves puedan representar una protección frente a la eventualidad de un peligro. Quizá haya llegado el momento de volver a plantearse hasta qué punto vale la pena conservar esos vestigios de un pasado ya caduco.
María Rosa de Madariaga es historiadora, especialista en las relaciones entre España y Marruecos.
Isolated, without strategic comentido converted into a potential problem, Spain retains the rocks and islets in North Africa to avoid claims over Morocco
Spoiler:
There was a time fausto, almost a century ago, in which Al Hoceima in the rock shops were numerous and, when the doors opened plazafuerte, the Riffs came to sell chickens, eggs, fruits and vegetables, barley and coal . In another rock, the de Vélez de la Gomera, had no less than five stores and taverns, including a shoe.
All Spanish sovereignty tiny spaces along the north coast of Morocco had postal workers, customs officers, teachers and keepers among a population that, in Al Hoceima and Velez, exceeded 400 people, including inmates. On the island of Isabel II of Chafarinas, the largest Spanish tiny islands, exceeded seven hundred neighbors. There was even a casino and a small military hospital.
Amar Binauda used to sell fish to the soldiers when he was young. Moored his boat on the island Isabel II and offered their goods to the Spanish military. Available even a fisherman's house there. His father before him, he also had business with the garrison: it was his butcher. But that was long ago. When troops from the islands still related to the inhabitants of the nearest coast: the pier after Moroccan Water. Binauda is now 74 years and never speaks with the Spanish. "Everyone is in place," he says. "With the Sahara everything changed. There is no relationship, "he adds, referring to the Moroccan takeover of the Spanish colony in 1975.
Throughout the twentieth century, the military utility and enclaves lost inhabitants. 1970 was the last year that became known to the population census, almost all military orders of the General Command of Melilla that they could not bring their families with them. Yet forty years ago still curious tourist could travel those places located in beautiful places. "The postal service passenger and freight steamer what ensures Transmediterránea Company makes a weekly trip from Melilla (...)," said a pamphlet published by the command half a century ago.
A century ago, in the tiny spaces sovereignty had shops, customs, masters or keepers
"The trip was cheap, slow-took a week-and passenger boats had just" recalls a tourist octogenarian now almost half a century that swelled to read books during the voyage. "In each scale was plenty of time to get off and walk around the island," he recalls. Today the streets of sovereignty are barred to civilians except to biologists Chafarinas National Research Council and the staff of the national parks network to which it belongs. Nest on the islands over two thousand breeding pairs of red-billed gull, the second world colony of these birds, and swim in its waters 9 of the 11 marine invertebrates considered endangered.
Until a decade ago there was still some contact between the two rocks and Moroccan neighborhood. The nurse officer was stationed at Velez, for example, from time to time around the nearby fishing village and did some cures. Ali, 30 years younger than Beniauda also remember when I was little soldiers Alhucemas rock approached Sfiha beach playing football with the local people and bathing.
The rock, which houses the military garrison, near the coast, but not enough to get to swim easily.
The other two islands, island of Earth and Sea Island are, however, literally glued to the beach. The few meters away from the nearest sandy cliff, Earth Island, you can go walking. Just cover. "Before we were always there to swim or take mussels or clams," says Ali. "There is a very sheltered from the wind. We were there to sheep and flipping boat all winter. Nobody put us problems. " Spanish sovereignty of the island did not explicitly anywhere. But in 2002 everything changed.
The contacts between the military and the Moroccan enclaves are over after the incident of Parsley
The islet of Perejil conflict did away with those habits. The nurse no longer under the Spanish people and the regular wires placed on the island of Tierra to prevent access of vacationers. Parsley, which the Moroccans took over on July 11, 2002 and were evicted by Spanish Green Berets six days later, it is a place of sovereignty. It's a strange no man's land, according to the agreement reached ten years ago.
For a decade the rocks have been intermittently source of friction between Rabat and Madrid. The most serious occurred in June 2010, when King Mohammed VI spent a few days relaxing on a yacht anchored in the bay of Al Hoceima. Bothered by the movement of helicopters from Melilla supply the garrison of the rock through the Moroccan airspace. Asked to suspend flights during your stay and Defense agreed. But do it soon, raising the ire real.
Last May, the islands again become a headache for the government. Immigrants had discovered a new path to Spain. came the first four boats to Chafarinas taken from its lethargy to the garrison there intended. In late August, immigrants reached, probably by swimming, Earth Island Al Hoceima.
The alarm went off in the Spanish Government, which wanted to prevent this new road would become a loophole. Could only be done with the cooperation of the neighboring country. Leaving the SSA on the island or send them all to Melilla or the Peninsula, as required, had been "a statement that the Spanish territory was open", he justified the Foreign Minister Jose Manuel Garcia-Margallo.
"The rocks are the point where you can skip the race that shred the race," said a military command
To help the government missed the Aliens Act, as many NGOs on Human Rights and Amnesty International starting with the Spanish Committee for Refugees. The law requires it to initiate removal proceedings individual all warranties including the assistance of counsel. If SSA had entered Melilla or in the Peninsula would have applied, but not in the rocks where "Spanish sovereignty is less protective, 'says one diplomat. Yet the PSOE supported the Government.
The rocks are Spain, but Spain something particular. Alboran belongs administratively to Almeria, but the other seven islands (archipelagos of Lavenders and Chafarinas and Penon de Velez) have "an undefined internal status", according to Professor Alejandro del Valle. "They complement outside the territorial organization of the state" because it is not part of any province, highlighted in an article published by the Real Instituto Elcano.
"This is not explicitly territories as" any relevant text in Spanish, "continues the professor. "This regulatory gap creates uncertainty in many areas: recognition and delimitation of marine waters and safety or the applicable Spanish domestic jurisdiction ...". These "forward positions, true watchmen of the nation", described as the Commander of Melilla, are as vulnerable and maintaining a military presence there is expensive, especially in times of crisis.
When the first group of sub-Saharan Africans settled in August, Earth Island, Sabah newspapers as As, Casablanca, they saw "clouds in relations between Madrid and Rabat." Mohamed VI wanted to help and gave his approval to the readmission of 72 castaways Morocco islet. It was the second time since the signing of the readmission agreement of 1992 between Spain and Morocco, Rabat accepted that he was returned a contingent of sub-Saharans who immediately expelled to Algeria through a theoretically closed border for 18 years.
Life is tedious in garrisons. In 2005, visits were suspended after an incident that ended in sedition
With immigration, "the Moroccan occupied islets become a problem for Spain," headlined the daily Akhbar al Youm Casablanca. They have not been this time because Morocco has had a hand in the rocks, as it has done in Melilla around which has deployed the army to endorse the gendarmerie and auxiliary forces (riot).
But the Moroccan authorities might get tired or want to, on occasion, to divert attention from its internal problems, the country enters economic crisis gradually leaving any conflict in the streets of sovereignty. Rocks and islets can not be defended without them. It is impossible to erect fences in Ceuta and Melilla, and highlighting hundreds of civilian guards to repel those who try to skip them.
"The strategic value of the rocks and Chafarinas is zero." A general, who had under his command calls "minor places" (as opposed to the "older", Ceuta and Melilla) shows blunt when assessing the military value of the string of islets and rocks that preserves in northern Spain Morocco. The tiny possessions do not harbor any relay or radar or electronic warfare system useful for the deployment of the armed forces or surveillance Spanish North Africa, beyond the necessary equipment to ensure communication with trim. In the era of satellites and airborne radars do not need to sit in neighbor's beard to spy.
That does not mean that the military commanders are supporters of ending a presence that, in some cases dating back to 500 years, as many as the Spanishness of Melilla. "Spain is not delivered to pieces," said an angry answer general. Another, who was chief of staff of the Army, alleges that "the rocks are the point where you can jump shred career average". In other words, they reasoned, "if Spain's betray, then ask Morocco and Ceuta and Melilla, if we gave also the, claim Canarias". Therefore, it is rare to find a non-military clap Parsley recovery in 2002, although most of the Spanish ignorant of the existence of this island and the words of then Defense Minister Federico Trillo ("at dawn Thick strong Levante wind ") sound more ridiculous than epic. Not one step back, then. The "minor places" are the first line of defense.
And this despite the fact that they themselves are indefensible. In each of the three side-Chafarinas islands, rock of Al Hoceima and Penon de Velez de la Gomera, there is a section of infantry (between 25 and 30 soldiers) under the command of a lieutenant. They also have a team of the Society of Sea with a dinghy to support the arrival of boats (only have Chafarinas spring). Lack of artillery and military commanders prefer to remain silent when asked if they have a portable missile.
Its greatest vulnerability lies in the proximity of the coast of Morocco, which is joined by an isthmus the Penon de Velez de la Gomera, and the remoteness of Melilla, whose commanders depend. But the latter has no means of transportation to reinforce the garrisons in an emergency. The Navy retired Patrolman years in Melilla highlighting following the crisis Parsley. A tugboat moves to the area every two months to transport heavy or dangerous materials such as fuel. The same happens with the Chinook helicopter that every four or five weeks comes from the Airmobile Force Base Army (FAMET) in Colmenar Viejo (Madrid) to relieve the three garrisons. It is estimated that each relay move around eight tonnes.
The Cougar helicopter FAMET are permanently based in Melilla, but is smaller than the Chinook and its mission is to carry medical evacuation and emergency supplies. Moreover, to reach the "minor places" the aircraft must fly Moroccan soil.
No wonder, then, that the three Army garrisons try to be as autonomous as possible. Have desalination plants, generators and photovoltaic plant Chafarinas and a kit seen by a nurse.
Life is tedious in "minor places." Until 2005 there were regular visits from relatives of controls and even a summer camp. That year there was a real riot Chafarinas. Up to 11 soldiers were indicted for sedition after Lt. punished for the disappearance of the GPS of a visitor. To root out the problem, the commanding general of Melilla ordered to suspend all visits. Now just get a civil exceptionally permission to approach areas that in some cases, as Chafarinas be authentic natural paradises.
El Penon de Velez de la Gomera, for example, is a small cove with stone and a tiny village that can only be reached by sea or by a dirt track 20 kilometers from the road. Beside the small beach, which chickens and sheep roam, there are some fishing boats. On the left stands the Spanish rock, 87 meters above sea level at its highest point. Velez was an island, but is attached to the ground since 1930, so it has a land border with Morocco.
Velez soldiers, according to the common people, not related to the Moroccans. As Chafarinas, as in Al Hoceima, everyone stays in place. It was here where, on August 29, seven Moroccan activists placed four flags of their country. The images of what happened, you could see the Spanish military in shorts and some in flip flops, reflecting that the military does not have much to do in that rock.
"Although there is not much activity, previously destinations that were not bad," says Miguel Angel Alonso. He did his military service in the rock in 1984 and spent three months. "At that time we were on the island between 80 and 100 people. We called the stone. Almost everything we did in the morning and then tried to work out in the afternoon. They lived well. There was one that was nonsense, but we knew that we could not cross to Morocco, and all supplies coming from outside. "
Each fitting comes from an Army unit in Melilla, supplying the troops. The military stationed in Chafarinas belong to Third Great Captain of the Legion of the Rock of Alhucemas Mixed Artillery Regiment No. 32, and Velez de la Gomera Regular Regiment 52nd. During the time you are on the rocks or islands receive a premium equivalent to that charge when maneuvering, but lower than that of their colleagues sent to Lebanon or Afghanistan.
Is it expensive to maintain sovereignty under the seats? Military commanders shrug their shoulders. "Is chocolate parrot. The really expensive to maintain Melilla, which also has no strategic interest, unlike Ceuta "respond. The military stationed in Melilla charge more than the Peninsula, but his situation is no different from that of doctors, teachers or any other officer.
"Nor are we going through your head," a member of government answers when asked about the possibility of yielding to Morocco the rocks and islands. What if map disappear as if they never existed? "That would be something else." No one would miss them.
Attempts to get rid of the enclaves
Maria Rosa de Madariaga
If the year of 1492 marks the end of the political presence of Islam in the Iberian Peninsula, also inaugurated a period as Professor Pierre Vilar notes, is "a continuation of the Reconquista in Africa, looking feudal military." The Andalusian lords attacks across the Strait were genuine raids to seize loot and enrich themselves, but had parallel interests of the State. After the fall of Granada in 1492, many emigrants Spanish Muslims had taken refuge in Moroccan territory for the Spanish monarchy and the need to protect southern Spain from attacks from the Maghreb demanded possession of some strongholds and base operations across the Strait. The major driver of the expeditions in North Africa was Cardinal Cisneros, who equipped their expense ships and troops under the command of Pedro Navarro, an adventurer, himself a former privateer. Would this who conquered the Penon de Velez de la Gomera in 1508. Moroccans recovered it in 1522, to return to Spanish hands in 1564.
For the reasons that led to these conquests in the North African coast was supplemented in the sixteenth century the emergence of the great Corsican Berber, first with the Barbarossa brothers and then with Dragut, supported by the Ottoman Empire, which was erected as a new Islamic power the Mediterranean.
The preaching against Islam continued, this time against the Turk, but behind the calls on behalf of the Christian faith lay political and economic interests: the need to defend the country against any possible attack from the south and protect maritime trade. The pretext for the occupation of the Rock of Alhucemas the August 28, 1673 returned to be that there were pirates refuge and shelter, in their raids and incursions, attacked the ships of Christian nations.
The two rocks were persistently attacked the inhabitants of the coast to recover. Living conditions there were very hard, full of hardship, lack of water and food shortages, especially in times of siege and the terrible calamities like epidemics that decimated the garrison and prison population. When in the eighteenth century privateering longer the main problem, the rocks became prisons, not only criminals, but also for political inmates throughout the nineteenth century, and were assigned to the field or the Carlist liberal, according to times. Particularly appalling were the plague epidemics in 1743-1744, in 1799 the scurvy and yellow fever in 1804 and 1821.
From mid-eighteenth century, the Spanish rulers began to consider whether the costs for the maintenance of these enclaves were worth or not worth it and not better abandon. More than an outright abandonment, it would be an assignment to the sultan in exchange for some economic benefits in the Empire Sherifian. This idea was rejected in 1801 by Godoy, for whom the assignment to Morocco would be against the "interests of Spain." Years later, the Central Board, on one hand, and Joseph I, on the other, entered into negotiations with the Sultan for the transfer of both rocks, but without reaching any result. Again, the Cortes met in Cadiz in 1810 again raise the issue of the transfer, without actually agreeing to be great division of opinion. The Liberal government (1820-1823), emerged from the pronouncement of Irrigation, once again raised the issue, for which purpose he powers the Spanish consul in Tangier to sign the treaty of cession, but the economic benefits granted to Spain took England to put pressure on the Sultan to dissuade him from accepting the treaty. In 1861 would come back to the fore the issue of abandonment or disposal of the two "smaller prisons" completely useless considering them, but the idea was later limited to Penon de Velez. Finally, the proposed abandonment of the two rocks resurfaced in 1869 and, although the commission created to study the issue ruled for the better, a whole series of problems, difficulties and delays caused the project to stay again in suspense. The theme of abandonment or disposal not returned since then never arise.
Chafarinas islands were occupied in January 1848, ahead of the occupation plans by France from Algeria. The pretext to occupy was to be a good shelter for ships and possess excellent strategic location in front of the Algerian-Moroccan border. Just as the two rocks, the Chafarinas were once confined prison for criminals and politicians.
Today, circumstances have changed and it is difficult to believe that these sites may represent a protection against the possibility of a hazard. Maybe it's time to re-think how worth preserving these vestiges of a past and obsolete.
Maria Rosa de Madariaga is a historian specializing in relations between Spain and Morocco.
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mourad27 Modérateur
messages : 8010 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Dim 16 Sep 2012 - 18:25
des activiste marocain ont levé aujourd'hui le drapeau marocain sur l'ile du persil
http://hespress.com/politique/62625.html
General Dlimi Colonel
messages : 1513 Inscrit le : 17/07/2010 Localisation : Sahara Nationalité : Médailles de mérite :
Quelqu'un sait il quel droit maritime s'applique sur les eau maritimes près de l'ile toura ? parce qu’on voit clairement sur cette vidéo, les espagnoles franchissent les eaux territoriales du Maroc; en plus, après le dernier conflit, il est supposé qu'on ne doit avoir ni présence officielle marocaine ni espagnole !
General Dlimi Colonel
messages : 1513 Inscrit le : 17/07/2010 Localisation : Sahara Nationalité : Médailles de mérite :
Quelqu'un sait il quel droit maritime s'applique sur les eau maritimes près de l'ile toura ? parce qu’on voit clairement sur cette vidéo, les espagnoles franchissent les eaux territoriales du Maroc; en plus, après le dernier conflit, il est supposé qu'on ne doit avoir ni présence officielle marocaine ni espagnole !
C'est le droit du plus fort, les espagnols se considérent chez eux dans nos eaux, puisqu'il n'y a pas de réclamations marocaines, ils font ce qu'ils veulent, si le Maroc se montrait ferme sa serait respecté.
Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
Le résultat d'une politique applaventriste et laxiste, avec cette distance même une catapulte en bois tu fais un carton! Faut faire attention, l’inaction des autorités compétente pourrait créer des problèmes, comme voir la formation de groupes de citoyens mécontents..
General Dlimi Colonel
messages : 1513 Inscrit le : 17/07/2010 Localisation : Sahara Nationalité : Médailles de mérite :
Visiblement c'est le comité de libération de sebta et meliliya qui fait ce travail remarquable de vigilance, ici en bas en photo avec un sénateur Marocain. La violation de notre souveraineté doit cesser, si l'état ne veut pas prendre ses responsabilités j'ai bien peur que la situation ne dégénère un jour
General Dlimi Colonel
messages : 1513 Inscrit le : 17/07/2010 Localisation : Sahara Nationalité : Médailles de mérite :
Visiblement c'est le comité de libération de sebta et meliliya qui fait ce travail remarquable de vigilance, ici en bas en photo avec un sénateur Marocain. La violation de notre souveraineté doit cesser, si l'état ne veut pas prendre ses responsabilités j'ai bien peur que la situation ne dégénère un jour
si on veux liberer nos terres, il le faudra bien un jour.
le tout sera de choisir le bon moment et la bonne méthode.
Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mar 18 Sep 2012 - 0:28
Pour commencer pourquoi ne pas aider ce genre d'initiative ? Si l'état vis à vis de l'Europe se sent pieds et poings liés, qu'il aide.. comme par exemple a fournir des équipements de vision performant pour permettre l'identification précise des bateaux violant notre souveraineté. Même si personnellement je n'aime pas trop ce genre de méthode, monter un dossier bien étayer avec les différentes violations maritime et aérienne ( Vidéo hd +immatriculation si possible+témoignages sous forme de procès verbal par exemple etc) ça permettra, de mettre en lumière en commission européenne l'attitude de voyou de son membre dans un premier temps, dans un second temps justifiera le renforcement militaire au Nord du Maroc. Ils nous tendent le bâton, ils pourront pas dire ensuite que les "missiles marocains menacent les avions européens"!
General Dlimi Colonel
messages : 1513 Inscrit le : 17/07/2010 Localisation : Sahara Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mar 18 Sep 2012 - 2:05
2002
Invité Invité
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mar 18 Sep 2012 - 17:02
le maroc devrait etre plus ferme et mettre l'espagne sur le fait accomplie en occupant les ilot qui sont tous proche du royaume. Il faut peut etre que la crise qui touche l'espagne soit plus importante.
Fremo Administrateur
messages : 24819 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mer 19 Sep 2012 - 0:34
La presse nationale évoque une réduction de budget militaire dédié aux 2 villes marocaines du nord. D'un autre coté, la GC sera associée à la GR pour la surveillance des mouvements autour et sur les îles marocains occupées.
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jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mer 19 Sep 2012 - 1:06
Fresco a écrit:
le maroc devrait etre plus ferme et mettre l'espagne sur le fait accomplie en occupant les ilot qui sont tous proche du royaume. Il faut peut etre que la crise qui touche l'espagne soit plus importante.
ou une marche verte "bis" ça serais plus pertinent et plus poignant cela viendra du peuple tout entier !!!
Northrop General de Division
messages : 6028 Inscrit le : 29/05/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Sebta et Meliliya. Mer 19 Sep 2012 - 4:19
Tout est question de temps.
Quand tu a un projet financier en tête,est d'abord l'argent qu'il faut et apres reflechit ce que tu veut.
Lorsque le Maroc aura son bouclier financier et militaire, a ce moment la tout les choix seront possible.