IDF to buy Storm 3 vehicles The Storm (Sufa) 3 jeeps are made by Nazareth-based Automotive Industries Ltd. 15 September 10 15:40, Dubi Ben-GedalyahuAfter a long technical and financial review, the IDF will buy hundreds of Storm (Sufa) 3 jeeps made by Nazareth-based Automotive Industries Ltd. The jeeps are built to IDF specifications. They are heavier, at 3.5 tons, have improved storage capacity, and have a strong turbo-diesel engine. They are built from the outset with the ability to add protective layers.
The jeeps will be acquired in a complicated deal. It includes buying kits in the US, to be put together and armored in Israel. The kits are bought with US military aid to Israel funds.
The value of the entire deal, for over 500 units, is estimated at NIS 1.5 million.
At the same time, the IDF is considering the option of buying heavier armored vehicles, based on a Dodge Ram 4500 chassis. The new vehicle is currently being developed by Automotive Industries Ltd. to replace the Abir, with an eye to the exports market.
GlaivedeSion General de Brigade
messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
Il me semble que les réservoirs des notre seront aussi fabriqué chez vous ? tu confirmes ?
On dirait du Kevlar non ?
je ne sais pas si c'est du kevlar,par contre il me semble que les reservoirs sous les ailes seront effectivement fourni par IMI pour les F-16 marocains.
GlaivedeSion General de Brigade
messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
Voici des photos de F-16I et F-15I s'entrainant en gréce durant l'exercice "MINOAS 2010" 5 F-15I et 5 F-16I ont participé a des missions de bombardements contre une cible protégé au sol par des S-300 et en l'air par 15 F-16 greques,un 707 re'em a ravitaillé les avions israeliens et des CH-53 ont etaient envoyé pour simulé une mission CSAR puisque l'exercice prévoyé aussi que des pilotes serai abbattues . ces photos sont des photos d'un amateur vivant sur place a savoir en créte pres de la base aerienne de souda bay .
Elbit Systems et Sagem ont crée une joint-venture dans le domaine des drones
Citation :
Israeli-French Joint Venture Targets tactical UAVs An Israeli-French joint venture to be established by early 2011 will focus on tactical Unmanned Aerial Systems (UAS). A principal agreement on the move was signed today as a Memorandum of Agreement (MoA) between the French defense company Sagem Defense Securite and Israel’s Elbit Systems.
The two companies will establish a jointly owned French corporation, to be located in Eragny and Montluçon in France and owned by the two companies in equal shares. The new company’s portfolio will comprise newly developed products, as well as current and derivative products, from Sagem and Elbit Systems. The new venture will target the French market and specific international markets, in which existing initiatives will continue through the JV. The new company will be formed by the equal contributions of assets from the two parent companies.
Sagem is the leading French developer and manufacturer of UAS. Two of the company’s products are the Sperwer Mk II tactical UAS and its derivatives, and the Patroller, a new medium altitude, long endurance drone.
Elbit Systems has a wide range of tactical UAS, from the lightweight Skylark 1LE and Skylark II, to the Hermes 90, and Hermes 450 which has already been considered by the French Army. A larger platform, Hermes 900 was recently added to the product line. Elbit Systems has an ongoing cooperation with Thales, for joint development, marketing and support of UAS. Thales is leading the Watchkeeper program in the UK, providing tactical UAS for the British Army. Development, production and support of these systems is provided by U-TACS, a JV established by the two companies, similar to the one Elbit is launching with Sagem.
Apart from their parallel UAS business lines, the two companies have also competing activities in the fields of electro-optical payloads, soldier systems, thermal imagers and and target acquisition systems.
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
C'st que l'IAF n'aura pas de surprise face aux futurs S-300 iraniens (si jamais, et je dis bien si jamais ils sont livrés biensur)
Se mesuré au S300 en entrainement est une chose, le défier en mission réelle est une autre.
faire la connaissance avec le systeme en exercices "reels" permet de ne pas avoir de surprises en missions,c´est en missions reeles aussi(a fort prix) qu´ils ont developé les manoeuvres counter-SA6 en 73
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GlaivedeSion General de Brigade
messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
Révolution dans Tsahal. La brigade « Kfir » quitte les territoires palestiniens pour la frontière nord. « Nous devons la préparer pour la grande guerre », affirme un officier supérieur du commandement centre
Si la nouvelle est presque passée inaperçue dans la presse, elle a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les milieux militaires. Kfir, considérée la plus importante unité de l’armée israélienne, devrait se retirer des territoires palestiniens courant 2011. Elle avait été créée à la fin de la première Intifada pour mener exclusivement des opérations de guérilla urbaine.
Cette décision a été prise après une série de concertations entre le colonel Oren Abman, commandant de la brigade Kfir, et le général Avi Mizrahi, chef du commandement centre dont l’autorité s’exerce sur toute la Judée-Samarie (Cisjordanie).
Kfir – qui signifie lionceau en hébreu – sera désormais rattaché aux unités d’infanterie classiques de l’armée : Golani, Nahal et Givati. D’après plusieurs officiers supérieurs de Tsahal, l’objectif est de parvenir à un redéploiement rapide de la brigade le long de la frontière nord et de « la préparer à la grande guerre ».
Dans les prochains mois, les soldats de Kfir seront donc associés à toutes sortes d’exercices combinés avec l’aviation, les tanks et l’artillerie. Ses entraînements seront adaptés aux types de cible que l’armée israélienne est susceptible de rencontrer au Liban et en Syrie. Symbole de ce changement tactique : les Kfir abandonneront leur M-16 au profit du Tavor, le nouveau fusil-mitrailleur israélien.
L’état-major de Tsahal souhaite que l’expérience acquise par cette brigade en territoire palestinien puisse servir sur d’autres théâtres d’opérations, comme au Sud-Liban où la ceinture de villages chiites a été convertie en une immense base arrière du Hezbollah.
L’unité Kfir regrouperait aujourd’hui 6000 hommes issus des troupes régulières, un contingent réparti en 6 bataillons dont chacun se voit attribuer la responsabilité d’une ville palestinienne et de ses environs : Nahshon (Tulkarem et Qalqilya), Shimshon (Bethléem), Lavi (Hébron), Dukhifat (secteur de Ramallah), Haruv (Naplouse) et enfin Netzer Yehuda (Jénine), dont la particularité est qu’il se compose d’appelés juifs orthodoxes.
Une nouvelle réalité sur le terrain
Cette réorientation des Kfir s’explique pour plusieurs raisons. D’abord, l’accalmie sécuritaire retrouvée dans les territoires palestiniens. Depuis l’opération « Rempart » menée en 2002, puis l’édification d’un mur de séparation, les attentats anti-israéliens sont en baisse drastique.
En se repositionnant autour des localités de Cisjordanie, Tsahal a également empêché la reconstitution de groupes armés comme le Tanzim, la branche armée du Fatah, très actif au moment de la deuxième Intifada. Chaque nuit, l’armée israélienne appréhende des dizaines de suspects palestiniens qu’elle délivre ensuite au Shabak, les services de renseignements intérieurs. La brigade Kfir serait d’ailleurs responsable de 70% de ces arrestations.
L’entrée en fonction du Premier ministre palestinien Salam Fayyad a confirmé cette tendance au calme. Soucieux de jeter les bases d’un Etat indépendant d’ici août 2011, le nouvel homme fort de la Mouqa’taa a mis fin à des années d’anarchie dans les territoires, dissuadant son peuple de tout soulèvement, y compris au plus fort de l’offensive israélienne à Gaza en 2009.
Sa priorité concerne à présent les nouvelles forces de police palestiniennes, soit six bataillons de 500 hommes fraîchement formés par le général américain Keith Dayton, qu’il souhaite voir opérer librement à l’extérieur des villes de Cisjordanie.
La menace du nord
Le retrait qu’entamera prochainement la brigade Kfir des territoires palestiniens ne signifie pas que Tsahal n’y sera plus actif. Il répond en réalité au risque d’une escalade d’envergure à la frontière nord d’Israël qui pourrait dégénérer en un conflit ouvert avec le Hezbollah et la Syrie.
Pour nombre d’experts de la région, il ne fait désormais guère de doutes que la prochaine guerre est une question de temps. Elle nécessitera, coté israélien, le recours rapide à l’infanterie pour pénétrer en profondeur les territoires syriens et libanais, seul moyen de mettre fin aux tirs de missiles et d’artillerie qui frapperont durement l’Etat hébreu.
Face à cette perspective, l’état-major – qui passera bientôt sous le commandement de Yoav Galant – a besoin de forces supplémentaires capables de suppléer les unités d’infanterie traditionnelles de Tsahal. Telle sera la nouvelle mission de la brigade Kfir
Citation :
ISRAËL CONTRE-ESPIONNAGE ET CYBERWAR – LES REVELATIONS DU GENERAL AMOS YADLIN, LE CHEF D'AMAN. L’armée israélienne mise sur la guerre cybernétique. Attaques de virus, contre-attaques, opérations de sabotage ou simple espionnage
Attaques de virus, contre-attaques, opérations de sabotage ou simple espionnage…Sur Internet, les renseignements militaires israéliens excellent dans l’art de la « cyberguerre ». Si le champ de bataille est virtuel, l’arme informatique est assurément redoutable.
Cette semaine, lors d’une de ses rares apparitions publiques, le général Amos Yadlin a surpris plus d’un observateur en révélant la teneur d’un tel programme, considéré jusqu’ici comme l’un des secrets les mieux gardés de l’armée israélienne.
Invité à Tel Aviv par l’INSS (Institut pour les études de sécurité nationale), le chef d’Aman, les renseignements militaires de Tsahal, a notamment déclaré qu’Israël avait les moyens de lancer des attaques cybernétiques mais également d’assurer la défense de ses réseaux informatiques.
La réalité est un peu plus nuancée. D’après Techolytics Institute, un groupe américain de conseil, Israël se situe au sixième rang mondial en matière de capacité cybernétique. L’Etat hébreu est devancé par la Chine, la Russie, la France, l’Iran et les organisations terroristes.
Sa « cyberdéfense » est par ailleurs jugée encore extrêmement vulnérable. A en croire le rapport 2009 de criminologie virtuelle McAfee, Israël figure pourtant parmi les cinq premiers pays visés par des attaques informatiques.
Amos Yadlin considère le piratage informatique (« hacking ») comme une menace aussi critique pour l’Etat hébreu que le programme nucléaire iranien, la Syrie ou l’armement des groupes islamistes dans la région. Ce facteur nécessite selon lui un réajustement des objectifs de l’armée israélienne.
« La guerre informatique fait partie de notre doctrine militaire, affirme Yadlin. Il s’agit d’une arme israélienne à part entière qui ne nécessite aucune assistance ou technologie étrangère. C’est un domaine qu’affectionnent particulièrement les jeunes Israéliens, surtout dans un pays qui a récemment été désigné comme la nation start-up ».
La cyberguerre est aujourd’hui parfaitement intégrée par les différents services de renseignements israéliens. A titre d’exemple, le Shin Bet dispose d’un département chargé exclusivement d’assurer la protection des réseaux informatiques du gouvernement ou d’infrastructures stratégiques telle la compagnie d’électricité (Israel Electric Corporation) et des eaux (Mekorot Water Company).
Au niveau de Tsahal, la cybernétique fait aussi partie des outils régulièrement utilisés par l’armée de l’air ou la marine. D’après le magazine Der Spiegel, c’est une clé USB dotée d’un logiciel-espion qui aurait permis, en 2006, de découvrir la centrale nucléaire d’Al Kibar en Syrie. Les données enregistrées sur l’ordinateur portable d’un officiel syrien ont ensuite permis la réalisation d’un raid aérien contre ce site.—
A propos d’Amos Yadlin Né en 1951, Amos Yadlin est un ancien général de l’armée de l’air israélienne. Il a fait partie des pilotes israéliens qui ont bombardé la centrale d’Osirak en 1981 (opération « Opéra »). En 2004, Yadlin a été nommé attaché militaire à Washington. Depuis janvier 2006, il commande Aman, les services de renseignements militaires de Tsahal
Citation :
Nouveaux dispositifs défensifs pour la marine israélienne, les dessous de l’accord militaire avec la Russie, Tsahal tient son Air Force One, toutes les news de la rentrée…
Habituellement, les fêtes du Nouvel an juif (Roch Hachana) marquent un léger ralentissement de l’actualité politique et militaire en Israël. Mais en ce début de mois de septembre, sur fond de relance des négociations de paix avec les Palestiniens, cette tendance ne semble pas se confirmer. Synthèse de la semaine écoulée.
La marine teste de nouveaux systèmes Inquiète du renforcement des capacités anti-navales du Hezbollah et du Hamas, l’armée israélienne a décidé de doter sa marine d’un nouveau système destiné à protéger ses patrouilleurs de type Super-Dvora et Shaldag, deux vedettes d’interception rapide.
Développé par MAFAT, le centre R&D du ministère de la Défense, le dispositif se compose d’un puissant radar conçu pour détecter et traquer tout missile ennemi. Ainsi, après identification, le radar émet un signal électronique qui permet de dévier la trajectoire du projectile et d’éviter un impact.
Jusqu’ici, seuls les croiseurs de Tsahal étaient équipés de dispositifs défensifs, tel le missile Barak-1 et le canon Phalanx de fabrication américaine. Lors de la dernière guerre du Liban en 2006, le INS Hanit avait été touché par un missile sol-mer C-802 – fourni par l’Iran au Hezbollah -, causant la mort de 4 marins israéliens. Il est probable que cet incident ait grandement influencé la décision d’équiper très prochainement les patrouilleurs Super-Dvora et Shaldag de dispositifs anti-missiles.
Dans cette même optique, la marine israélienne accentue également ses capacités de renseignements en mer. Elle a choisi le drone Orbiter, déjà utilisé par une dizaine de forces armées dans le monde, pour mener des missions de reconnaissance depuis ses navires. Cet avion sans pilote peut opérer pendant quatre heures à plus de 5000 mètres d’altitude. Son rayon d’action atteint 80 kilomètres.
Les dessous d’une alliance militaire
Le 6 septembre dernier, à l’issue d’une rencontre avec son homologue russe Anatoly Serdyukov, le ministre israélien de la Défense Ehoud Barak a conclu un accord de coopération militaire qui constitue une première pour les deux pays en matière de lutte anti-terroriste et de non-prolifération d’ADM (armes de destruction massive).
Pour Israël, l’enjeu d’un tel accord est clair : il offre avant tout un moyen de faire pression sur Moscou afin d’empêcher la livraison d’armements sophistiqués à la Syrie et l’Iran. En ligne de mire, le système S-300 que les pasdarans iraniens tentent désespérément d’arracher à l’armée russe ou encore, la livraison de missiles de croisière P-800 à destination des forces armées syriennes.
Mais c’est surtout sur le programme nucléaire iranien que l’Etat hébreu tentera d’être plus influent. Dernièrement, la Russie a achevé l’approvisionnement en combustible nucléaire de la centre de Bushehr. Une étape qui inquiète au plus point la communauté internationale.
Côté russe, l’accord signé offre aux autorités de Moscou un accès privilégié à la technologie militaire israélienne. Ces dernières, qui ont passé commande d’une cinquantaine d’avions sans pilote auprès d’IAI (Israel Aerospace Industries), devraient rapidement en mesurer les bénéfices. Au terme d’un premier contrat datant d’avril 2009, l’armée russe doit prochainement acquérir 12 drones : 2 Bird-Eye 400 (pour un montant de 4 millions de dollars), 8 I-View Mk 150 (37 millions de dollars) et 2 Searcher Mk 2 (12 millions de dollars).
Le second contrat, signé quelques mois plus tard, prévoit la livraison de 36 autres appareils pour un montant évalué à 100 millions de dollars. Ils pourraient être équipés de technologies russes, notamment laser.
Des négociations sont enfin toujours en cours avec Israël concernant la mise en place sur le sol russe d’une joint venture qui vise la production de drones silencieux. Le coût du projet atteindrait 400 millions de dollars.
Un Air Force One pour Tsahal
Après le président américain Barack Obama et bientôt Nicolas Sarkozy, c’est à présent Benyamin Netanyahou qui voyagera à bord d’un avion Air Force One. Le Premier ministre israélien pourra donc rejoindre Washington – sa destination favorite – sans escale puisque l’appareil de ligne disposera d’une autonomie de 10.000 kilomètres. Outre un système antimissile, ce long courrier sera équipé d’une chambre à coucher, d’une salle de bains, d’une salle de réanimation et d’un bureau.
Dérivé du Boeing 767, le Air Force One contiendra 150 places : une vingtaine d’entre elles seront réservées au staff de « Bibi » et 80 autres au personnel de sécurité et à la presse. D’autres personnalités éminentes de l’Etat hébreu pourront utiliser cet appareil pour leurs déplacements : le président Shimon Peres et le nouveau chef d’état major de Tsahal, Yoav Galant.
Jusqu’ici, le gouvernement israélien emploie son propre tour opérateur, Inbal, chaque fois que son Premier ministre prévoit de se rendre à l’étranger. En fonction de la destination, une offre est formulée par les trois grandes compagnies aériennes locales : El Al, Arkia et Israir. Bien souvent, les critères de sélection reposent davantage sur des considérations sécuritaires qu’économiques.—
GlaivedeSion General de Brigade
messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
L'artillerie va prendre plus d'importance elle va ce doté de nouveaux missile et roquettes a longues portée et une unité mixte entre elle et l'armée de l'air va étre crée afin de ce repartir les cibles a attaquer en cas de guerre de maniere a ce que l'iaf agisse plus en profondeur
Citation :
Ground forces aim for new rocket systems IDF Artillery Corps seeks new budget to aid future conflict with Hizbullah. In an effort to increase its precision strike capabilities ahead of any future conflict with Hizbullah in Lebanon, the IDF Artillery Corps is aiming to receive a new budget from the IDF next year to purchase new advanced accurate rocket systems.
The multiyear plan, under review by the IDF’s Planning Division, is to be approved by the General Staff and inserted into the IDF’s multiyear plan, to go into effect in 2011.
Accular, developed by Israel Military Industries (IMI), is a 60 mm. autonomous surface-to-surface missile guided by a GPS system that puts it within 10 meters of a target. The rocket, designed to destroy artillery batteries and infantry command posts, was successfully tested several months ago in the South.
The missile’s guidance and navigation is performed by a flight computer, which includes a GPS, while the control of the missile is achieved by the jet pulses, which enable trajectory correction for precise strikes.
The missile is fired from a new launcher developed by IMI called Lynx, which is designed to fire a variety of rockets – 160 mm., 122 mm. and 300 mm.
The launcher is loaded on the back of a truck and can be reloaded in less than 10 minutes.
The IDF is also looking at EXTRA, under development by IMI, which has a range of 150 km. and carries a 120 kg. warhead.
Both systems would be operated by the Artillery Corps and would be used to attack static targets like radar stations and military bases. “Our precision rocket capabilities will grow significantly in the coming years,” a senior Ground Forces Command officer said Thursday.
Behind the requirement to obtain longer-range rockets with great precision is an overall IDF desire to take some of the load off the Israel Air Force and allow it to focus strictly on strategic targets deep in enemy territory.
With the new rocket systems, the IDF will create a division of responsibility between the Artillery Corps and IAF to clarify who is responsible for which targets and at which ranges. “This will allow a much better use of our resources,” the officer said.
Another missile under review is the Jumper, developed by Israel Aerospace Industries, which can function as an autonomous artillery system for infantry forces operating behind enemy lines. The system includes a 3x3 canister that can be deployed in enemy territory.
Soldiers, operating a significant distance away, can then insert coordinates of their desired target and fire one of the eight missiles inside the canister.
The missiles then “jump” out of the vertical launch hive to precisely strike targets at ranges of up to 50 kilometers. The system’s autonomous capability enables troops to distance themselves from the missile launcher, whose position will likely be compromised after it fires at enemy forces.
Révolution dans Tsahal. La brigade « Kfir » quitte les territoires palestiniens pour la frontière nord. « Nous devons la préparer pour la grande guerre », affirme un officier supérieur du commandement centre
Si la nouvelle est presque passée inaperçue dans la presse, elle a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans les milieux militaires. Kfir, considérée la plus importante unité de l’armée israélienne, devrait se retirer des territoires palestiniens courant 2011. Elle avait été créée à la fin de la première Intifada pour mener exclusivement des opérations de guérilla urbaine.
Cette décision a été prise après une série de concertations entre le colonel Oren Abman, commandant de la brigade Kfir, et le général Avi Mizrahi, chef du commandement centre dont l’autorité s’exerce sur toute la Judée-Samarie (Cisjordanie).
Kfir – qui signifie lionceau en hébreu – sera désormais rattaché aux unités d’infanterie classiques de l’armée : Golani, Nahal et Givati. D’après plusieurs officiers supérieurs de Tsahal, l’objectif est de parvenir à un redéploiement rapide de la brigade le long de la frontière nord et de « la préparer à la grande guerre ».
Pour nombre d’experts de la région, il ne fait désormais guère de doutes que la prochaine guerre est une question de temps. Elle nécessitera, coté israélien, le recours rapide à l’infanterie pour pénétrer en profondeur les territoires syriens et libanais, seul moyen de mettre fin aux tirs de missiles et d’artillerie qui frapperont durement l’Etat hébreu.
Que pensez vous de tout cela messieurs ?! Qu'est ce qui pourrait entrainer une pareil guerre cette fois ci ?! quelle cause donnera israél pour légitimiser la prochaine campagne qu'elle se pourrai de de mener au Liban ?!
GlaivedeSion General de Brigade
messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
Il y'a quelques heures Benyamin netanayu et le cabinet restreint de sécurité ont adopté definitivement la decision d'acheter 20 F-35I
Citation :
The government officially approved plans to buy American-made F-35 stealth fighter jets on Thursday.
Prime Minister Binyamin Netanyahu's office said that the purchase would significantly strengthen Israel's military, but gave no other details.
Israel is planning on buying 20 of the warplanes for nearly $3 billion and will begin receiving the jets by 2015.
Defense Minister Ehud Barak gave his personal approval for the deal in August after months of deliberation.
A fifth-generation stealth jet, the F-35 is said to be capable of evading all radars and anti-aircraft missile systems.
“The F-35 will provide Israel with continued air superiority and help retain its qualitative military edge in the region,” Barak said last month. “The plane will provide the air force with improved capabilities in ensuring Israel’s security when operating near and far away.”
Two main obstacles have slowed down Israeli procurement plans until now – the price of the aircraft and US opposition to the integration of Israeli systems into the plane.
The first batch will have a configuration similar to those used by the US Air Force, with minor changes. The second batch, likely to arrive in the second half of the decade, will already be designed according to Israeli specifications and include locally-designed and manufactured systems.
One of the IAF’s main motivations for becoming the first foreign customer to receive the F-35 is concern that other countries in the region – particularly Egypt and Saudi Arabia – will also be allowed to purchase the aircraft. Israel, for example, was the first country outside of the US to purchase F-15s, but Saudi Arabia now operates a significant number of those fighters and is in talks with the Pentagon regarding the potential sale of an additional 82.
Defense Ministry Director- General Udi Shani said that one of the considerations in approving the deal was an American offer of $4 billion in offset, meaning that it will purchase $4b. worth of military supplies from Israeli defense industries. Shani said he hoped Israel would eventually receive $5 billion in offset deals from the US.
At the same time, Israeli defense industries will need to hold negotiations with Lockheed Martin, manufacturer of the JSF, to pursue possible industrial cooperation. Israel Aerospace Industries, for example, manufactures wings for all F-16 fighter jets.
The one Israeli company currently involved in the F-35’s production is Elbit Systems Ltd., whose helmet will be used by JSF pilots.
sraël, unités spéciales. Le labo classifié de Camp Dori est le sanctuaire mondial des experts en Engins Explosifs Improvisés.
“On fait le plus dur aujourd’hui, et demain: l’impossible”. Le laboratoire de Camp Dori à Tel Hashomer est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs centres mondiaux pour l’étude des engins explosifs improvisés (IED).
Zoom sur un petit quadrilatère très stratégique du territoire israélien. A l’Est de Ramat Gan, dans la proche banlieue de Tel-Aviv, le site de Tel-Hashomer enclavé entre Kiryat Ono, Yehud et Or Yehuda, est internationalement connu pour son centre médical d’avant-garde, le “H’aim Sheba medical center”. Mais Tel Hashomer accueille également une grande base militaire : le camp Yaakov Dori (camp Dori) connue du grand public israélien pour son centre de recrutement : le mythique Bakum (B’sis Klita U-Miyun) géré par l’unité Meitav.
Un peu moins connu en revanche, au coeur d’une petite zone classifiée, quelques bâtiments en apparence banals renferment des équipements ultra-sophistiqués permettant d’étudier et analyser tous les types d’explosifs. Ce petit site est aujourd’hui l’un des meilleurs centres mondiaux de la spécialité. Les unités technologiques qui y opèrent sont en charge des tests sur les matériaux de protection utilisés par l’armée et de l’élaboration des protocoles de sécurité. Cela va de la fiabilité des gilets pare-balles à la sûreté des explosifs.
Mais l’activité phare, sur laquelle se fonde la renommée internationale de Camp Dori, est l’analyse des explosifs (artisanaux ou industriels) confisqués à l’ennemi, puis leur “reverse engineering” (rétro-ingénierie) permettant de reconstituer l’ensemble des processus de fabrication. Selon les experts de l’armée, les laboratoires terroristes clandestins à Gaza ou en Cisjordanie contournent les difficultés d’approvisionnement en élaborant des produits de substitutions à partir d’éléments et de composants en apparence banals comme des cubes allume-feux pour barbecues, des engrais (comme le nitrate d’ammonium) ou des gels capillaires combinés à de l’acide nitrique. Les techniques de fabrication des IED sont en évolution permanente vers toujours plus de performance létale. L’une des dernières générations d’IED consiste par exemple en explosifs artisanaux à charge creuse projetant un jet de cuivre fondu à travers le blindage de cibles mouvantes.
C’est donc aux labos de camp Dori que sont confiés les échantillons saisis dans le cadre des enquêtes antiterroristes. Les unités technologiques, à l’image des meilleures polices scientifiques, recevant la délicate mission de résoudre les énigmes forensiques (relatives aux investigations criminelles) les plus complexes. Leur réputation est telle qu’on les compare parfois en interne aux héros de la série américaine CSI (Crime Scene Investigation) connue en France sous le titre : « Les experts ». Certains membres de l’unité reconnaissent d’ailleurs regarder attentivement la série en laquelle ils puisent parfois des sources d’inspiration.
Ces experts ne sont pas seulement des scientifiques en blouse blanche passant leur temps entre microscopes et réactifs. Ils enfilent aussi leur battle-dress pour intervenir en temps réel sur les théâtres d’opération et relever dans l’urgence les moindres traces d’explosifs ou d’éclats sur le terrain. Ce qui conduit parfois, après analyses, à des conclusions stupéfiantes, à l’exact opposé de rapports médiatiques souvent fondés sur les apparences et les préjugés. Les cas abondent : dégâts provoqués par des explosions de caches d’armes et passés à tort en dommages collatéraux, fausses imputations de tirs démontrées par la mise à jours d’éclats confondants…
Des analyses menées pendant la seconde guerre du Liban avaient ainsi permis d’établir la présence d’alliages produits en Russie sur certains fragments de missiles tirés par le Hezbollah. Suite à ces informations transmises à Moscou, des responsables militaires russes avaient été limogés par le Kremlin. Cependant, lorsque ces rapports scientifiques sont divulgués et médiatisés (ce n’est pas toujours le cas), ils rencontrent en général un écho limité dans l’opinion en raison de leur technicité et de leur tonalité plus rébarbative que celle des dépêches tonitruantes, lancées dans le feu de l’action.
Au fil des années le retour d’expérience très documenté de Tsahal en matière d’IED est devenu irremplaçable pour les troupes engagées dans des conflits asymétriques de type guérilla, comme en Irak ou en Afghanistan. Le Gotha international de la lutte antiterroriste défile donc à Camp Dori pour accéder au nec plus ultra des connaissances. Les experts américains bien sûr mais aussi leurs collègues et homologues britanniques, italiens, allemands. Après les attentats de Londres, par exemple, une délégation de Scoland Yard est passée par Tel Hashomer pour étendre ses capacités scientifiques afin de mieux pouvoir faire face à de nouveaux types de menaces.
Les labos d’analyses coopèrent également avec l’unité cynophile Oketz en fournissant des échantillons pour l’entraînement des chiens à la détection de traces d’explosifs. Les rapports scientifiques de l’unité technologique sont même utilisés dans le domaine industriel par exemple pour l’amélioration et la mise au point des nouvelles générations d’appareils de détection dans les aéroports. Enfin, plus inattendu, les spécialistes de camp Dori passent aussi aux travaux pratiques en réalisant des copies de roquettes artisanales Qassam et procèdent à des tirs d’essais afin d’étudier les impacts et mettre au point les systèmes de protection et de contre-mesures.
En émulation avec les autres unités technologiques de Tsahal, Tel Hashomer recrute les meilleurs éléments et cherche en permanence de nouveaux talents. Disposant parfois de formations rares, comme certains immigrants russes. Encore faut-il que les candidats potentiels soient sensibilisés suffisamment en amont à l’existence de ces laboratoires secret-défense. D’ou la déclassification progressive de certaines informations concernant l’unité.
Sources : Informations déclassifiées du MoD & de Tsahal et Haaretz (lire l’excellent article d’Anshel Pfeffer, correspondant militaire de Haaretz).
GlaivedeSion General de Brigade
messages : 3887 Inscrit le : 15/07/2009 Localisation : ici et la Nationalité : Médailles de mérite :
Simulateur de blackhawk sur la base aérienne de palmahim
Et un reportage sur le 115 éscadron d'agressor appeler les dragons volants
Citation :
Flying Dragons simulate the enemy for Israel Air Force pilots With aerial dogfights a thing of the past, the Flying Dragon squadron mimics the enemy in order to prepare IAF pilots for combat. By Anshel Pfeffer Squadron 115, based far from the major bases of the Israel Air Force, in the Ovda airfield north of Eilat, borrows pilots and jets from other squadrons, doesn't take part in combat operations and gets grounded if a war breaks out. The mission of the "Red Squadron," also known as Flying Dragon, is a different one: to simulate the enemy.
A year ago, as part of a course to mentally prepare pilots for combat, a squadron was selected as the Reds' first victim. One after another, the training monitor told pilots over the radio that they had been "downed" by the enemy and were requested to return to base immediately.
"That evening they called us to ask what they had done wrong, how we got them," said Red Squadron commander Lt. Col. Eyal. "We told them not to call us anymore and to talk to their squadron commander. We only meet up in the air, we told them. You have to draw your own conclusions, just like in war."
Squadron 115, which effectively serves as the operational branch of the IAF training department, runs that department's Advanced Training Center. It was established in its current form five years ago, in a controversial move by the previous IAF commander, Maj. Gen. Eliezer Shkedy. Recognizing that the air force was lacking something crucial in its training, the decision was made to allocate planes and pilots for enemy simulation.
The last time the IAF downed an enemy airplane was in 1986. Generally speaking, the Israel Air Force has not fought an army with air defense and fighting jets since 1982. The last time the IAF fought an intense campaign in which airplanes were downed on a daily basis and pilots were killed or captured, was during the Yom Kippur War of 1973.
At 36, Eyal does not see a great disadvantage in the fact that pilots from his generation have never fought in an air war.
"In the Yom Kippur War, they said at first that someone who hadn't flown in the Six-Day War couldn't fight, and it turned out that the young pilots fought just as well as the veterans," he said. "When I was a young pilot I also flew with pilots who had combat experience, and I can't say they were any better or worse. It's not even clear if the lessons from the old dogfights are still relevant today, when we're using much more precise ammunition."
The Syrian scenario
The Red Squadron pilots are trained to create scenarios as close as possible to situations in which pilots just out of flight school might find themselves in a war. The word "Iran" won't be mentioned in any on-record conversation, and even the abstract "outer-circle missions" term is no longer used, due to censorship and information security rules prohibiting pilots and commanders in the air force from discussing operational plans.
But there's an enemy closer to home about whom it is permissible to talk; as part of the Red Squadron routine, flying suits are marked with Syrian flags and their names are replaced with Arabic ones. They even exchange a few words in Arabic with the control tower as they set off, to get into the mood.
As part of preparation for combat, pilots who are "downed" by the Red Squadron don't return to their base for a routine debriefing. Instead, they are taken on an exhausting all-night march which ends, at best, with a helicopter rescue or, at worst, with simulated captivity - a more sophisticated version of the captivity training undergone by pilots and elite groups.
"We take the squadron through a kind of a failure and crisis process over two days," Eyal says. "Along with the base psychologist, we take pilots through difficult scenarios. Then we rebuild the squadron through success up in the air."
As all IAF airplanes lost in both Lebanon wars were downed by ground fire, the Red Squadron also operates a team of Cobra helicopters and a ground force. When the Reds are training other helicopter squadrons, the Cobras move quickly from place to place, using flares to simulate shoulder missiles used by Hamas and Hezbollah.
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"Nous trouverons un chemin… ou nous en créerons un": Hannibal