Projets du Maroc

Rappel du premier message :

Je vous propose de regrouper touted les photos des differents projets, qui vont se réaliser au Maroc.

Sa doit être l'ONMT qu'a commandé le reportage.

omar a écrit:

anfa place (corniche casablanca)

le projet avance trés bien en fait by CasaMor (24/01/2010)






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Le lancement des « Morocco Mall Meeting Days » a été marqué par la signature du partenariat avec la Fnac, enseigne française spécialisée dans la distribution de produits culturels et technologiques qui va s'installer pour la première fois en Afrique et au Morocco Mall. Ce partenariat participera à la promotion de la culture marocaine qui sera présente au sein de l'enseigne française. Selon Salwa Idrissi Akhannouch, la politique active de la Fnac en faveur de la création et de la diversité culturelle permettra au magasin Fnac Morocco Mall d'être le carrefour de la culture au Maroc.

Dans ce cadre, un espace sera dédié à la culture marocaine avec l'organisation tout au long de l'année de différentes manifestations culturelles : ateliers, débats, dédicaces de livres par des poètes et auteurs Marocains et concerts.
Par ailleurs, un univers consacré aux jeux et aux activités d'éveil sera mis en place au sein du magasin. Sur un espace de 3.000 m2 érigé en deux niveaux, la Fnac présentera livres, disques, jeux vidéos, logiciels, lecteurs MP3, ordinateurs, et des milliers de produits. «Le concept de la Fnac et l'offre qui en découle sont à même de séduire le public marocain. Le Groupe Aksal est un partenaire dont la qualité, la réputation et l'expérience, sont le meilleur gage de succès pour réussir sur le marché marocain », a indiqué Christophe Cuvillier, président-directeur général de la Fnac.
Il est à noter que l'enseigne reconnue également comme le 1er acteur en billetterie de spectacles va créer 400 offres d'emploi à Casablanca. Christophe Cuvillier a annoncé que la Fnac Casablanca sera le premier magasin parmi d'autres filières prévues dans les grandes régions du Maroc.
le matin

Citation :

Abdelouafi Laftit nommé PDG de la société pour la reconversion de la zone portuaire de Tanger
SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a reçu lundi au palais Marchane à Tanger, M. Abdelouafi Laftit que le Souverain a nommé président directeur général de la société d'aménagement pour la reconversion de la zone portuaire de Tanger ville.
Cette nouvelle société d'aménagement assurera, conformément aux Hautes Instructions Royales en la matière, le pilotage du projet de reconversion et de qualification de la zone portuaire de Tanger ville, un projet d'envergure à présent envisageable grâce au transfert prochain de la grande majorité des liaisons maritimes vers Ie nouveau port Tanger Med Passagers, qui entrera en service dans les tout prochains mois.
Le capital de la société sera détenu par l'Etat, le Fonds Hassan Il, la ville de Tanger, l'Agence nationale des ports et l'Agence pour la promotion et le développement des provinces du Nord.
Le projet de qualification de la zone portuaire de Tanger est primordial pour le devenir de la ville, tant sur le plan urbanistique que touristique. Il a pour ambition de redonner à la cité du Détroit sa place historique au sein des plus grandes cités méditerranéennes et de faire du port de Tanger ville l'un des premiers ports de plaisance et de croisière en Méditerranée.
Conçue pour ouvrir de nouveau la ville sur la mer et intégrer parfaitement l'ancienne médina, la corniche et le patrimoine architectural avoisinant, la reconversion de la zone portuaire revalorisera toute la baie de Tanger.
Dans la continuité du développement soutenu que connaît la région du Nord, ce projet induira des investissements importants et les emplois correspondants, principalement dans les domaines de l'infrastructure, de l'habitat, de l'hôtellerie, du tourisme, du commerce, des services et du loisir.
Sur le court terme, la société d'aménagement finalisera les études techniques et financières en vue d'arrêter un plan d'aménagement définitif en adéquation avec les ambitions de reconversion de la zone portuaire. En outre, elle lancera les premières opérations, en étroite collaboration avec la wilaya, la ville, l'Agence nationale des ports et les différents services régionaux concernés.
Cette audience s'est déroulée en présence de M. Mohamed Hassad wali de la région de Tanger-Tétouan.


Wana.ma

une plate-forme offshoring dans le Nord du Royaume

Citation :

OFFSHORING : Premiers pas pour le projet Tétouan Offshoring

Fait : Ouverture d’appels d’offres pour la création de Tétouan Offshoring à horizon 2012.

Analyse : Selon « LES ECHOS QUOTIDIEN », l’opérateur portuaire TANGER MED SOCIETE ANONYME –TMSA- vient de se lancer dans l’offshoring avec l’ouverture d’appels d’offres pour la création de Tétouan Offshoring à horizon 2012. Cette plate-forme devrait accompagner les projets de délocalisation des entreprises européennes vers le Maroc. Rappelons que, TMSA, maître d’ouvrage du port Tanger Med et des zones logistiques, détient également la Tanger Free Zone et devrait gérer la future Tangier Automotive City.

Conclusion : La création d’une plate-forme offshoring à Tétouan devrait permettre d’activer la délocalisation des sociétés européennes au Maroc et de booster l’économie de la région nord du Royaume

Bourse Casa

Fremo a écrit:

une plate-forme offshoring dans le Nord du Royaume

Citation :

OFFSHORING : Premiers pas pour le projet Tétouan Offshoring

Fait : Ouverture d’appels d’offres pour la création de Tétouan Offshoring à horizon 2012.

Analyse : Selon « LES ECHOS QUOTIDIEN », l’opérateur portuaire TANGER MED SOCIETE ANONYME –TMSA- vient de se lancer dans l’offshoring avec l’ouverture d’appels d’offres pour la création de Tétouan Offshoring à horizon 2012. Cette plate-forme devrait accompagner les projets de délocalisation des entreprises européennes vers le Maroc. Rappelons que, TMSA, maître d’ouvrage du port Tanger Med et des zones logistiques, détient également la Tanger Free Zone et devrait gérer la future Tangier Automotive City.

Conclusion : La création d’une plate-forme offshoring à Tétouan devrait permettre d’activer la délocalisation des sociétés européennes au Maroc et de booster l’économie de la région nord du Royaume

Bourse Casa

yes à tetouan!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tanger a toujours volé la vedette à Tetouan, j'éspére que ce projet permettra à cette ville de prendre du muscle en complétant l'offre tangéroise. Le nord se transforme à vue d'oeil !

L'ouverture du plan grand Mall d'afrique du nord approche les amis... Voici une video qui présente l'édifice et son intérieur.

Nano a écrit:

L'ouverture du plan grand Mall d'afrique du nord approche les amis... Voici une video qui présente l'édifice et son intérieur.

Et qui va consommer Qui va creuser un peu plus de déficit commercial

Forcément Fahed. Mais d'un autre coté ya des emplois au bout, une bonne entré d'argent pour l'état entre la TVA (Prix de vente élevé = gros prelevement ) , l'IS et l'impôt sur les bénéfices, ya de quoi se frotter les mains un peu

l'essentiel du commerce mondial multilatéral est constitué des "services" ! la part des biens ne fait que baisser avec le temps ! le solde de la balance commerciale n'est pas un bon indicateur pour juger la santé économique nationale ! pour un pays comme le Maroc il faut se fier plus tôt au solde de la balance des transactions courantes qui englobe les services
même à voir de près les importations en terme de marchandises du pays, on remarque que la part des biens à la consommation regresse pour laisser place aux biens d'équipements créateurs de valeur

balances des paiements marocaines:
http://www.oc.gov.ma/Balance/BP%20Annuelle/sommaire.asp

Citation :

maroc :plan casablanca business park 2030

Casablanca Comment éviter les goulots d’étranglement



Casablanca aura de grands défis à relever dans les 20 prochaines années à venir. Ce sont en substance les prévisions d’experts à l’horizon 2030. Urbanisme, logistique, logement, services, industrie… Autant de chalenges auxquels la métropole doit trouver des solutions.
Le premier enjeu consiste à créer chaque année plus de 50.000 emplois par an à l’horizon 2030. Le deuxième challenge est celui de la satisfaction de plus de 35.000 demandes en logement par an au cours de la même période. «Pour répondre à ces contraintes, une stratégie de développement d’économie régionale a été mise en place. Le but étant de donner une visibilité à la région de Casablanca et attirer davantage d’investisseurs», explique Hamid Benlafdil, directeur du CRI de Casablanca. Ainsi, cinq moteurs de croissance ont été identifiés (le plan Rawaj Casablanca, projets métropolitains, niches à dimension régionale, industrie et services et le plan de développement régional du tourisme).
D’ailleurs, 5.000 hectares ont été réservés par le schéma directeur aux zones d’activité dites Casablanca Business Park.
Concrètement, quatre couloirs ont été identifiés. Le premier, qui relie le port de Casablanca à l’aéroport, est réservé au secteur tertiaire. Le deuxième est destiné à héberger le secteur des technologies de l’information. Quant au troisième, il est dédié à la logistique et à l’industrie. Enfin, le couloir du littoral abritera les activités touristiques. «Afin de maintenir le positionnement du Grand Casablanca en tant que destination d’investissement, 14 offres territoriales (zones d’activité, formation, promotion, packages incitatifs…) dans chacun des secteurs porteurs et niches stratégiques identifiés pour la région de Casablanca. Selon le CRI, d’autres offres viendront à l’avenir enrichir ces opportunités d’investissement.
Pour le moment, la métropole s’appuie sur quatre secteurs stratégiques (automobile, aéronautique, offshoring et logistique).
Dans le secteur de l’automobile par exemple, 85 entreprises s’activent pour un volume d’investissement de 190 millions de DH et un chiffre d’affaires de 15 milliards de DH.
Les exportations sont estimées à 1,1 milliard de DH. A l’horizon 2015, Casablanca ambitionne de réaliser un volume d’exportations de 1,8 milliard de dollars dans l’automobile uniquement. Un secteur qui a créé jusque-là plus de 30.000 emplois. A son tour, l’offshoring présente des atouts non négligeables avec un volume d’investissement de 280 millions d’euros généré par 40 entreprises installés à Casanearshore. Sur ce secteur, les ambitions pour 2013 consistent en la création d’un PIB additionnel de 5 milliards de DH avec la création de quelque 30.000 emplois.
Dans l’aéronautique où une cinquantaine d’entreprises s’activent, le volume des investissements est estimé à plus de 900 millions d’euros, pour un chiffre d’affaires de plus 3 milliards de DH en 2007. Jusque-là, le secteur a pu créer quelque 6.000 emplois. A l’horizon 2020, les prévisions tablent sur un chiffre d’affaires de 28 milliards de DH.
Côté logistique, Casablanca dispose de la première plate-forme multimodale (ferroviaire, portuaire, aéroportuaire et autoroutière) du pays. La métropole revendique 80% du fret aérien et 51% du mouvement des passagers. Le secteur représente 55% des échanges extérieurs et 45% des exportations industrielles. A cette plate-forme, s’ajoutent deux nouveaux pôles logistiques (Port de Mohammedia et Aéroport de Nouaceur avec un nouvel axe de développement logistique entre les deux pôles).
L’enjeu est d’étendre les plateformes logistiques de 50 à 90 hectares en 2030 et celles périphériques à 300 ha en 2020, voire 500 ha à l’horizon 2030.
Par ailleurs, le schéma directeur a également réservé 25.000 ha aux logements. «L’enjeu est de faire face à la croissance du nombre de ménages. Ce qui se traduit par une demande encore plus importante», signale Benlafdil. Pour répondre à cette demande croissante, neuf pôles urbains ont été identifiés. Il s’agit de Béni Yakhlef, Zenata, Tit Mellil, Bousoukoura, Nouaceur, Mediouna, Lahraouyine, Errhamna, Dar Bouaaza). Chacun des pôles devra accueillir près de 150.000 habitants.

http://www.skyscrapercity.com/showthread.php?p=51735497

ils n'ont pas m'entionner de fond.... Casablanca est vraiment une ville trop complexe à gérer avec tout les retards de planification qu'il y eu .... c'est vraiment un bazar pas possible qu'il faut réorganiser à coup de dizaine de milliards.

rafi a écrit:

Voilà du bel ouvrage!

Le Maroc a t-il une politique de reboisement et de lutte contre la désertification en général?

Citation :

. Campagne de reboisement 2009-2010 .
Campagne de reboisement 2009-2010 Le programme de la campagne de reboisement 2009-2010 lancé par le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte contre la Désertification (HCEFLCD), depuis novembre 2009, porte sur la plantation de 45.000 ha et la production de 40.millions de plants forestiers, pour un coût global de 368 millions de Dh. Compte tenu des bonnes conditions climatiques et la réussite des opérations de préparation des sols, 24.600ha ont déjà été plantés avec des essences naturelles telles le cèdre, le chêne-liège, l’arganier, le thuya, le caroubier et le cyprès de l’Atlas, soit 60% des objectifs fixés pour cette année. L’achèvement des travaux reboisement est envisagé pour la fin du mois de février à l’exception des sites de haute montagne où les travaux s’étaleront jusqu’à la mi-mars 2010, pour tenir compte des possibilités d’accès aux reliefs souvent accidentés et enneigés de ces zones. Le plan décennal 2005-2014 du Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et à la Lutte contre la Désertification, qui prévoit la plantation de 500.000ha à l’horizon 2014 a vu la réalisation de reboisements sur 170.000ha depuis 2005, avec une cadence de réalisation régulièrement croissante et qui est passée de 20.000ha dans les années 80 à 45.000 ha pour l’actuelle campagne 2009-2010. Ce rythme de progression permettra d’atteindre les objectifs du plan à fin 2014.Le HCEFLCD, tout en augmentant les superficies reboisées et le rythme de réalisation, veille à la réussite des ces opérations, leur pérennité et la qualité des travaux de reboisementL’évolution des programmes de reboisement est par ailleurs constamment couplée aux travaux de recherche en sylviculture pour assurer la bonne maîtrise de la production de plants et de l’itinéraire technique, pour être en conformité avec les exigences normatives de qualité préétablies (qualité des semences, qualité du sol…) garantissant ainsi la réussite de ces opérations.Le reboisement, composante principale de la stratégie du HCEFLCD, a pour buts la conservation des eaux et des sols contre l’érosion, le contrôle des inondations, la lutte contre l’envasement des barrages, l’aménagement éco systémique des forêts, la reconstitution des parcours, le développement de l’économie rurale et l’amélioration de l’environnement écologique des riverains. Le reboisement constitue par ailleurs un outil pour pallier le stress climatique actuel, car outre la fonction des forêts dans le stockage et le recyclage des eaux, ces espaces jouent un rôle de stabilisateur climatique par la régulation des températures et par le piégeage du dioxyde de carbone de l’atmosphère et son stockage dans la biomasse, les sols et les produits ligneux. 15/2/2010Lu 251 fois

actualites.marweb

Merci Maatawi. connait-on le % du territoire marocain étant constitué de forêts?

Citation :

.... 24.600ha ont déjà été plantés avec des essences naturelles telles le cèdre, le chêne-liège, l’arganier, le thuya, le caroubier et le cyprès de l’Atlas...

Ce qui est bien c'est que finalement ils ont opté pour des espèces locales et propres à chaque micro climat au maroc, c'est mieux que planter des Eucalyptus partout...

Raptor a écrit:

Citation :

.... 24.600ha ont déjà été plantés avec des essences naturelles telles le cèdre, le chêne-liège, l’arganier, le thuya, le caroubier et le cyprès de l’Atlas...

Ce qui est bien c'est que finalement ils ont opté pour des espèces locales et propres à chaque micro climat au maroc, c'est mieux que planter des Eucalyptus partout...

C'est sur, de toute façon la ba y'a que l'aganier qui peut résister au climat
Pour l'eucalyptus, c'est facile à planter, sa nécessite peut d'eau et surtout c'est un excellent piège à carbone

Photos des travaux de construction de " La Perle de Tanger "

FEVRIER

les rails du tram r'bati :



place al joulane

excelents pics fremo

gigg00 a écrit:

excelents pics fremo

grazie

Citation :

3,8 millions de visiteurs attendus à Almazar




· Le centre commercial ouvrira le 2 avril à Marrakech

· Plus d’une centaine d’enseignes déjà installées

· Le complexe a coûté 500 millions de dirhams

Almazar, comme son nom l’indique, se veut la nouvelle destination shopping à Marrakech. Ce gigantesque complexe commercial (100.000 m2) sera ouvert le 2 avril prochain. Situé au boulevard Mohammed VI sur la zone de l’Aguedal, derrière le Pacha, ce futur temple du shopping est le fruit d’un partenariat entre Best Real Estate du groupe Best Financière, HH Développement, opérateurs des centres commerciaux en France, et le groupe Saïd Alj.
Le centre commercial s’étale sur une superficie de 100.000 m² sur 5 niveaux. Il a été réalisé en un temps record de 27 mois selon les standards les plus évolués (normes parasismiques). A son ouverture, la galerie générera 1.000 emplois directs et 2.500 indirects, avec plus de 3,8 millions de visiteurs attendus annuellement et 2 milliards de dirhams de chiffre d’affaires, du moins selon les prévisions. Almazar, c’est 33.000 m² de commerces sur trois niveaux, 1.200 places de parking et 1.000 m² destinés à un espace de loisirs pour les enfants et adolescents. Avec plus de 100 enseignes nationales et internationales, certaines d’entres elles s’installant pour la première fois au Maroc. «Nous sommes maintenant à un taux de commercialisation de 85%, les locaux ont été livrés en octobre 2009», déclare Samia Kabbaj, directrice générale de Best Real Estate. En 2011, on verra l’ouverture de «Almazar faubourg» sur 10.000 m², l’annexe destinée aux enseignes de luxe. Le centre commercial regroupera tout un univers du shopping, allant du prêt-à-porter à la restauration, sans oublier la beauté et la santé. Pour assurer un trafic immédiat à la galerie, deux locomotives ouvriront les portes, à savoir l’hypermarché Carrefour sur 6000 m² et Virgin Megastore sur plus de 2000 m² pour la distribution de biens culturels et technologiques. Pour Zouhair Bennani, président de Best Financière, «nous ciblons la classe moyenne, c’est-à-dire, qu’il n’y a aucun produit qui ne soit à la portée de la famille marocaine».
La conception de la galerie commerciale a été réalisée par l’architecte espagnol Jos Galan et son cabinet L35 Arquitectos situé à Barcelone, une référence mondiale dans le design des centres commerciaux.
Les centres commerciaux de cette dimension-là sont récents au Maroc. Almazar est le premier qui va ouvrir ses portes et d’autres suivront, tel que le Morocco Mall à Casablanca. Cela constitue une évolution dans les habitudes de consommation des marocains. Selon Bennani: «Marrakech mérite cet investissement puisqu’elle reste la destination incontournable, aussi bien des touristes marocains qu’étrangers, que pour les résidences secondaires. A cet effet, Almazar propose une offre d’artisanat local à travers des kiosques répartis dans la galerie. La gestion d’Almazar sera confiée à Best Real Estate gestion, la filiale dédiée à la gestion des centres commerciaux du groupe Best Financière, forte d’une expérience de plus de dix ans. Best Real Estate réalise, commercialise et gére des centres commerciaux au Maroc (Label Vie, Carrefour). La société est aussi concepteur de Label Gallery à Rabat.

Mohamed AZMANI avec A. S.

celle là est un peu ancienne

... et aussi des photos pour le prochain carrefour el mazar

Techo Valley

Citation :

«Le projet Fès-Technovalley va mettre la région Fès-Boulemane en première position en matière d’économie du savoir». L’affirmation est de M’hamed Douiri, président du Conseil régional de Fès-Boulemane. Pour lui, ce projet, comparable à ceux de Sophia Antipolis en Europe et de Silicon Valley aux Etats-Unis, représente une nouvelle plate-forme à fort apport technologique.

Dans un entretien accordé à L’Economiste à l’issue de la dernière session dudit Conseil et à la veille du Forum mondial sur l’Union pour la Méditerranée, prévue du 27 au 29 mai, Douiri a souligné que ce Forum sera l’occasion de réitérer l’importance de Fès-Technovalley. De fait, la réflexion s’avère d’un grand apport. «D’autant plus que le Forum de Fès sur l’UPM est devenu après seulement une année d’existence l’une des plus grandes manifestations culturelles que connaît notre région, et je me permets de dire, toute la région méditerranéenne», ajoute Douiri. En l’espace de trois jours, la cité spirituelle et «capitale de l’économie du savoir» accueillera des personnalités aussi nombreuses que diverses venues des deux rives de la Méditerranée (hommes politiques, décideurs économiques et sociaux, journalistes, experts, chefs d’entreprises, universitaires, etc).

L’objectif est de débattre, proposer, échanger des idées, apporter des solutions, innover pour pouvoir évoluer. Compte tenu de la qualité de ses acteurs et intervenants, de la richesse et de la densité de ses activités, le président de la région considère que le Forum de Fès est une véritable force de proposition, de construction ou de reconstruction, voire de réconciliation.

Il s’inscrit clairement dans une démarche d’ouverture, d’avancée et se veut être une structure solide et permanente de dialogue où la confrontation d’idées fera en sorte que la réflexion avance et la négation de l’autre recule. «Je suis convaincu que le Forum de Fès saura être fidèle à la vocation et à l’éthique de la ville», ajoute-t-il.

Conscients de la nécessite de promouvoir un développement économique et culturel conséquent et novateur, les élus de Fès ont pensé une stratégie bien ficelée qui leur a permis de métamorphoser les domaines de l’éducation et de la recherche, de même que le paysage socioculturel dans la région. «Ainsi, nous avons créé «Fès-Technosalley» (complexe urbain, industriel et scientifique), une sorte de ville scientifique dont le principal acteur demeure l´Université, et cela afin d´encourager la recherche scientifique et de soutenir l’innovation et la découverte de nouvelles technologies», explique le président. Et de rappeler que «ce projet a été initié en janvier 2006 par l’accord passé entre Sofia Antipolis, la première technopole en France (et en Europe) et la région de Fès-Boulemane. Sophia Antipolis a été créée il y a plus de 30 ans à l’image de Silicon Valley aux Etats-Unis».

La réalisation de Fès-Technovalley s’étalera sur de nombreuses années, et aura pour ambition d’accueillir, outre les étudiants-chercheurs, les enseignants et les entrepreneurs, de grands laboratoires et entités scientifiques spécialisés dans le développement et la promotion de plusieurs secteurs (l’énergie solaire, la protection de l´environnement, la biologie, etc.). C’est pour cette raison d´ailleurs que cet immense projet fonctionnera en étroite collaboration avec la future Université euroméditerranéenne, un pôle d´excellence que le Souverain a décidé de créer au sein de la capitale culturelle.


L'Économiste