Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC

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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMar 1 Déc 2009 - 15:33

Rappel du premier message :

Économie marocaine - Page 16 573264

Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère ! Économie marocaine - Page 16 Icon_razz

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeLun 5 Avr 2010 - 18:45

Citation :
Berliet Maroc cède son usine

Berliet Maroc, filiale de Renault Trucks, va céder son usine, qu’elle utilise pour le montage de véhicules en CKD. C’est la société CECI (Centrale d’équipements et carrosserie industrielle), qui en sera le futur acquéreur. Elle compte augmenter sa capacité de fabrication de cellules frigorifiques sur le porteur (petit tonnage) et les semi-remorques. Le nouveau propriétaire devrait commencer à commercialiser sa production à partir du mois de juin. Le montant de la transaction n’a pas été divulgué. La décision, annoncée lors du Conseil d’administration de Berliet Maroc le 30 mars dernier, rentre dans le cadre de la réorganisation de son activité industrielle.

l'eco
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 17:42

Citation :
SAMIR : Conclusion d’un accord avec le turque TEFKEN pour la construction d’une unité de distillation atmosphérique pour un montant de M EUR 40,5

BMCE bank
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 17:47

Citation :


Le Maroc espère porter sa capacité de production à 50 millions de tonnes de phosphate dans 7 ans (Terrab)



Marrakech, 08/04/10- Le Maroc, dont la capacité de production annuelle avoisine actuellement 30 millions de tonnes de phosphate, espère porter cette capacité à 50 millions dans sept ans, a souligné le président directeur général (PDG) du Groupe OCP, M. Mostafa Terrab.


S\'exprimant, jeudi à Marrakech, à l\'ouverture de la 1-ère Conférence dédiée aux engrais en Afrique et initiée par le Groupe FMB (Fertilizer Market Bulletin), spécialisé dans l\'analyse et le conseil en exploitation des engrais, avec le soutien du Groupe OCP, M. Terrab a relevé que le Maroc détient des réserves considérables de phosphates sur plus de 500 ans

La stratégie du Groupe OCP consiste également à réduire massivement les coûts d\'exploitation, a-t-il dit, faisant remarquer à cet égard que le Groupe entend devenir le chef de file en termes de réduction des coûts

Le PDG du Groupe OCP a fait observer que l\'augmentation de la capacité de production ne concerne pas uniquement les minerais mais aussi la production chimique en général, notamment d\'engrais.
Pour sa part, Mme Maria Wanzala, conseillère experte au NEPAD, a relevé le progrès relatif qu\'a connu l\'utilisation des engrais en Afrique, notant toutefois que ce progrès demeure en deçà de la moyenne mondiale actuelle qui est de 100 kg par hectare.
Elle a, dans ce contexte, signalé que l\'objectif est de porter l\'utilisation des engrais dans le Continent, actuellement de 8 kg/hectare, à 50 kg/hectare à l\'horizon 2015.
Mme Wanzala a également mis l\'accent sur la nécessité d\'apporter l\'aide et l\'assistance nécessaires aux pays africains pour leur permettre d\'adopter des stratégies efficientes en matière d\'utilisation d\'engrais, d\'élargir la conscience des agriculteurs et de les faire bénéficier des nouvelles technologies dans le domaine agricole.
Par ailleurs, une vingtaine de stands ont été installés par des sociétés opérant dans le secteur des engrais.
Cette conférence, à laquelle prennent part quelque 400 spécialistes venus d\'une cinquantaine de pays de par le monde, est le premier événement à traiter de la production, du commerce et de la mise des engrais sur le marché en Afrique.

Les travaux de ce forum de deux jours sont axés notamment sur la révolution verte en Afrique et l\'utilisation raisonnée des engrais dans le Continent.


map


Dernière édition par SrourKhamna le Jeu 8 Avr 2010 - 17:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 17:49

Sroukhamna édite ton message stp sinon je l'effacerai Like a Star @ heaven

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 18:06

il y aura presque 2 fois plus de revenu alors,mais quelqu'un peu me dire combien les reevnues de phosphate apporte t-il a l'état durant ces dernières année?
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Yakuza
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 22:49

Citation :
Aircelle et Mascir signent une convention pour le développement de nouveaux matériaux pour l'aéronautique

Initiée par le ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, en partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM), la 1re édition des Assises de l'industrie a ouvert ses portes mercredi.

En marge de ses assises plusieurs conventions ont été signé dans les domaines liés aux métiers mondiaux du Maroc (offshoring, industrie automobile, aéronautique, électronique, textile et cuir, agroalimentaire).

Aircelle (Groupe Safran) a signé une convention avec l'association Mascir pour le développement de nouveaux matériaux dédiés à l'aéronautique. Mr Rachid Belmokhtar a annoncé que les recherches se feront dans les laboratoire de Mascir à Rabat et que cette convention est la première convention d'une série que l'association compte signé prochainement dans le domaine de la recherche scientifique.

Le projet MASCIR (Moroccan Association for Scientific Innovation and Research) a été créé dans le cadre du plan Envol dont l’objectif est de cibler les secteurs technologiques de pointe pour en capter des parts de marché tout en attirant sur le territoire national des compagnies spécialisées.

Mascir regroupe 3 organismes: Le Triangle de recherche et d’innovation de la vallée du Moyen-Atlas (MAVRIT), l’Institut des nanomatériaux et des nanotechnologies (INANOTECH) et l’Association Savoir et Développement, (regroupant des chercheurs et chefs d’entreprises marocains à l’étranger). MASCIR a pour mission de doter le Maroc d’une infrastructure physique et technologique et de ressources humaines.

Aeronautique.ma
Jeudi 8 Avril 2010

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeVen 9 Avr 2010 - 11:42

Coup d'envoi à Casablanca des inscriptions des entreprises marocaines pour le salon Midest 2010 en France

Citation :


14 entreprises marocaines ont participé en 2009.

Le coup d'envoi des inscriptions des entreprises marocaines à la 40 ème édition du salon international de sous traitance industrielle ''MIDEST 2010'' prévu à Paris-Nord Villepinte (France) du 2 au 5 novembre prochain, a démarré jeudi à Casablanca.

A cette occasion, les responsables de la FIMME (fédération des industries métallurgiques, mécaniques et électroniques), le Maroc Export et la BNSTP (bourse nationale de sous traitance et de partenariat), initiateurs de la participation marocaine à ce salon, ont fait des exposés mettant en relief les mesures entreprises pour cette 40è édition, notamment la réservation aux opérateurs marocains d'''un stand groupé Maroc'', des prix de stands subventionnés, la prise en charge logistique de l'aménagement des stands et le transport gratuit des échantillons etc.

Ils ont également expliqué les nombreuses opportunités offertes aux opérateurs économiques marocains d'apporter leur savoir et leurs expériences aux investisseurs potentiels européens et internationaux. L'accent a été également mis sur les nombreux avantages pour les entreprises nationales qui peuvent s'informer sur les derniers développements des techniques industrielles dans leurs secteurs et nouer de multiples relations d'affaires pour accéder à de nouveaux débouchés à l'exportation.

En 2009, 14 entreprises marocaines ont prit part à ce rendez-vous international incontournable des industriels, rappelle-t-on.



Source : MAP
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 10 Avr 2010 - 17:36

Citation :
220 000 emplois industriels de plus au Maroc en 2013 », Ahmed
Reda Chami, ministre de
l'Industrie, du commerce et des
nouvelles technologies



M. Ahmed Rema Chami, ministre de l’Industrie, du commerce et des
nouvelles technologies

Mercredi 7 avril à Casablanca se tenaient les 1ère assises de
l’industrie dans le cadre du plan stratégique gouvernemental Emergence
qui couvre la période 2009-2013. Cette manifestation a réuni plus de
1000 personnalités, dont le roi Mohammed VI qui a assisté –petit
évènement- durant plus d’une heure aux débats et a même –entre autres-
décoré Thierry Breton, patron d’Atos Origin groupe qui emploie plus de
800 personnes au Maroc.

A l’occasion de ces assises, L’Usine Nouvelle a interviewé en
exclusivité Ahmed Reda Chami, ministre de l’Industrie, du commerce et
des nouvelles technologies. En poste depuis septembre 2007, ce dynamique
quadra est un ardent défenseur de la modernisation de l’économie et
l’industrie marocaine. Ingénieur de Centrale Paris et titulaire d’un MBA
de l’UCLA aux Etats-Unis, il a, avant d’entrer en politique, exercé de
nombreux postes de direction dans le privé, notamment celui de patron de
Microsoft Asie du Sud est.

L’Usine Nouvelle : M. le Ministre, ces assises et plus généralement
le programme Emergence, c’est un plan deplus ?

Ahmed RedaChami : Non ils’agit de tracer une stratégie industrielle à
partir de l'analyse de nos atouts et faiblesses. L'Etat doit avoir cette
vision et impulser une politique industrielle en mettant des moyens,
réformant la fiscalité ou notre cadre juridique. Nous nous y engageons.
Au-delà, il est parfaitement clair pour moi que ce sont les entreprises
qui sont à la manœuvre, qu’elles soient marocaines ou étrangères. Je le
leur ai clairement dit aujourd’hui, je crois que le message est reçu et
la vision partagé.

Quel diagnostic portez-vous sur l’industrie du Maroc dans la
globalisation?


Nous avons toute notre place. Je crois fermement à lapotentialité de
croissance de notre industrie, notamment sur les 6 métiers mondiaux que
nous avons choisi (automobile, aéronautique, agro-alimentaire,textile,
électronique et services informatique offshoring). Il faut aussi saisir
des opportunités. Ainsi par exemple l’alliance de Daimler avec
Renault-Nissan qui construit une usine à Tanger (6 000 emplois directs
prévus) ouvre des pistes nouvelles pour le Maroc !

On a le sentiment que toute effectivement se met à bouger ici, quel a
été le déclic ?


Il y a d'abord la vision de Sa Majesté le roi, son souci de moderniser
notre pays et de lui donner toute sa place dans la mondialisation.Ce
travail mené depuis plus de 10 ans commence à payer. C’est la
modernisation de nos infrastructures, le projet portuaire Tanger Med,
nos premiers succès dans l'offshoring avec 50 000 emplois, l'aérien, le
TGV, l'usine Renault Nissan à Tanger… Il y a un effet cumulatif. Mais il
faut une direction, d’où l'idée du plan Emergence qui se traduit par
des choix : plus de 500 millions d’euros d’aides diverses à l’industrie,
une modernisation de notre arsenal juridique, le lancement à court
terme d’un programme de 16 plates formes industrielle intégrées venant
soutenir nos 6 métiers mondiaux… Le résultat de tout cela, c’est que le
Maroc peut jouer dans une nouvelle ligue!

Lors de ces assises à Casablanca, il n’a guère été question de «
green business » pourtant très en vogue en Europe. Pourquoi ?


Détrompez-vous ! Bien sûr que les technologies vertes nous intéressent,
mais elles l’objet d’un plan de développement séparé. C’est par exemple
le programme « Maroc solaire » qui prévoit 2000 MW solaire d'ici à 2020.
Nous sommes en train de choisir la technologie prioritaire soit le
photovoltaïque soit le thermodynamique. L’idée ensuite c’est de bâtir
une filière intégrée.

Avec quel pays le Maroc fera-t-il des affaires demain ?

Notre plus gros partenaire et investisseur restera l’Europe, la France
et l’Espagne au premier chef. Mais nous devons nous tourner aussi vers
l'Asie. Par exemple, le plus gros employeur étranger dans l'industrie
est un japonais, Sumitomo, qui emploie plus de 12 000 personnes dans 5
usines. Il y a aussi les Etats-Unis avec qui nous avons désormais un
accord de libre échange : le Maroc peut être une porte d'entrée pour le
marché américain! Je fais ainsi une tournée en mai aux Etats-Unis pour
promouvoir notre pays auprèsdes investisseurs et client potentiel. Il y a
enfin le monde arabe et notamment les pays du Golfe avec qui nos
relations économiques pourraient être plus étroites.

Qu'est ce qui vous manque le plus aujourd'hui?

Le temps! L'industrie n'est pas un domaine où les choses se font en
quelques mois. Pour monter une zone industrielle il faut 18 à 24 mois
minimum. Pendant ce temps le monde avance ! On pose des jalons, il faut
accélérer. C'est vraiment le moment. Y compris pour la France, l’Espagne
et nos autres partenaires européens. Je crois que le Maroc peut devenir
pour l'Europe ce que le Mexique est pour les Etat Unis. Bref, pour vous
Européen, l'industrie marocaine avec sa base de coût raisonnable (mais
pas « low cost » au sens péjoratif) est une solution pour mieux
affronter l'Asie.

Quid des ressources humaines ?

C'est notre enjeu majeur. Il y a d'abord une réforme structurelle de
l'enseignement, la mise en place de filières d'excellence par exemple au
niveau ingénieur, la formation continue des enseignants, cela va
jusqu'à des plans d'urgence de formation professionnelle ou de
réorientation pour répondre aux besoins important des call-center par
exemple. En fait, nos besoins en terme de formation sont énormes.Dans
l'industrie, où nous comptons aujourd'hui 500 000 emplois formels nous
prévoyons 220 000 emplois supplémentaires d'ici à fin 2013. Nous pouvons
nous tromper à 10 ou 15% près, mais l'important n'est pas là, c'est la
dynamique qui compte. Avec tous les syndicats professionnels, nous avons
fait des évaluations secteurs par secteur ainsi par exemple dans les
métiers liés àautomobile nous aurons besoin de 70 000 salariés formés
supplémentaires, dont 7000 ingénieurs

Quel a été effet de la crise financière sur le Royaume?

Nos banques et notre système financier sont solides, ils n'ont
absolument pas soufferts de la crise. Nos banques n'étaient pas exposées
sur les produits à risque. Notre économie tient la route, nous venons
de connaître deux années de croissance en pleine crise. La dette est de
moins de 55% du PIB , notre déficit budgétaire est de 2,1%, nous avons 7
mois de réserves de changes. Notre principal souci reste celui du
déficit extérieur.

Vous ne manquez donc pas de capitaux ?

Non, c’est clair. Nous n'avons aujourd'hui guère de souci pour lever des
capitaux que ce soit au Maroc ou à l'étranger. Mais demain il nous en
faudra beaucoup plus. Le Maroc est passé en « investment grade » par
Standard & Poor's et l'Etat prévoit d'ailleurs bientôt de réaliser
une émission obligataire sur les marchés internationaux. En terme de
financement,nous sommes soutenus aussi par tous les grands bailleurs de
fonds (Banquemondiale, BEI, BAD, AFD…).

Au-delà des capitaux nous avons surtout besoin d'investissements
étrangers directs car cela nous amène du savoir faire et des
technologies. En matière de technologies nouvelles, nous devons encore
beaucoup progresser. Par exemple, il n'est pas question pour le Maroc de
pouvoir prétendre construire des moteurs d'avions, mais l'implantation
réussie de Safran (ce qu’ont confirmé aujourd’hui les représentants de
ce groupe) nous permet d'acquérir des compétences clé en matière
aéronautique, notamment autour de la zone Aéropôle de Nouasseur.

Pour l'instant le Maroc est consommateur de technologies mais par effet
d'entrainement, celles-ci se diffusent peu à peu dans notre industrie
qui monte en gamme. Dans une phase suivante nous pouvons même imaginer
que notre pays devienne générateur de R&D. Aujourd'hui, nous sommes à
0,8% du PIB pourquoi pas le double à 10, 15 ou 20 ans ?

http://www.usinenouvelle.com/article...-maroc.N129498


Citation :
Inondations: 3 milliards de DH pour
les barrages


Plus de 3 milliards de DH ont été consacrés en 2010 à la réalisation de
barrages pour la protection contre les inondations, selon le Programme
d’intervention du secrétariat d’Etat chargé de l’Eau et de
l’environnement.

«Deux grands barrages pour la protection du Haut Sebou, de la plaine du
Gharb et de la partie aval de Oued Beht contre les inondations et deux
moyens barrages seront réalisés en 2010 pour un coût de 2.750 millions
DH», précise la même source.
Vingt-cinq petits barrages d’un coût de 330 millions de DH sont
également programmés pour la même année, dans le cadre de ce même
programme, outre les travaux de déviation et de recalibrage des cours
d’un investissement global de 320 millions DH.


l'economiste
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 10 Avr 2010 - 17:56

Citation :
Algésiras risque de perdre Maersk au profit de Tanger Med


· L’opérateur veut transférer le traitement de 400.000 conteneurs
vers TangerMed

· La décision mal perçue par les espagnols



La crise continue au terminal de conteneurs d’Algésiras. L’opérateur
danois Maersk a annoncé il y a quelques jours sa volonté de transférer
une partie de son volume actuellement traité à

Algésiras vers le port de TangerMed où il est également présent. Cette
annonce a eu l’effet d’une bombe chez les syndicats espagnols à
Algésiras. Ces derniers y voient une manière indirecte de faire
pression pour refuser toute demande de revalorisation des salaires et
ce en pleine négociation de la convention collective entre les deux
parties.

Maersk argue le manque de compétitivité du terminal à conteneurs qu’il
régente à Algésiras pour transférer près de 400.000 conteneurs vers
TangerMed I. En effet, la rémunération moyenne varie dans un rapport de
un à deux juste en traversant le détroit et ce en faveur du terminal
tangérois. Et la productivité serait elle aussi élevée à TangerMed avec
une fréquence de mouvements de conteneurs supérieure à la moyenne
mondiale de l’opérateur, selon des sources internes. Cette décision
intervient après une série de signaux lancés par Maersk en direction
des autorités espagnoles.
D’abord, Maersk, qui jouissait d’un quasi-monopole au sein du port
d’Algésiras n’a pas soumissionné pour l’attribution du nouveau terminal
à conteneurs d’Isla Verde, à Algésiras, en 2008.

D’autre part, les responsables du terminal espagnol de Maersk ont, à
maintes reprises, demandé une réduction des taxes portuaires pour
augmenter leur compétitivité.
Le port vient de boucler une phase d’extension avec un investissement
total de 510 millions d’euros. La première phase a été achevée en 2008,
la deuxième le sera en 2011. Elle comptera deux quais d’un total de
1.900 mètres linéaires et des tirants d’eau compris entre 17,5 et 18,5
mètres. Elle se verra adosser une aire logistique de 72 hectares et
disposera de connexions avec les réseaux de communication de la zone. Il
s’agissait pour les autorités espagnoles de ne pas perdre du terrain
face à TangerMed. C’est d’ailleurs ce qui a poussé les Espagnols à
accélérer leur projet. En effet, le marché du transbordement a connu des
taux de croissance à deux chiffres, lors de la décennie précédant la
crise financière actuelle. Un autre point en faveur de TangerMed: ses
possibilités d’extension. Les exploitants doivent être sûrs d’avoir de
la «marge», c’est-à-dire d’avoir la possibilité d’étendre leurs
capacités.

A noter qu’Algésiras est le 7e port mondial et premier espagnol,
constituant l’un des plus importants hubs maritimes de la région. A lui
seul, il affiche près de 70 millions de tonnes de marchandises en
transit par an, loin derrière le géant mondial Rotterdam avec plus de
350 millions de tonnes. Il accueille plus de 21.000 navires par an et
est en phase d’extension avec la prétention de doubler ses capacités.

Il comporte actuellement deux quais à conteneurs, un en interne, le
Juan Carlos I, saturé à 100% et le deuxième, Isla Verde, un grand
espace gagné sur la mer (cf. www.leconomiste.com) entré en service récemment. A
ces derniers s’ajoutera Isla Verde Exterior dès 2008. Tarifa complète
l’offre avec une plateforme essentiellement dédiée au transport
maritime des passagers.

Ali ABJIOU
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeDim 11 Avr 2010 - 1:05

Citation :
Algésiras risque de perdre Maersk au profit de Tanger Med


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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeLun 12 Avr 2010 - 9:56

Citation :
Atlantic Free Zone : C’est parti pour les travaux !
La société espagnole Edonia World a entamé les travaux de construction de la zone industrielle à Kenitra.
En association avec la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), la société espagnole Edonia World a entamé les travaux de construction de la zone industrielle Atlantic Free Zone à Kénitra. Ce projet d’envergure nécessitera plus de 1 milliard d’euros. Selon le responsable commercial du parc, Javier Navarro, le projet sera en partie opérationnel à partir de septembre 2011 avec l’installation de quelques entreprises.

Atlantic Free Zone s’étendra sur une superficie de 3,5 millions de mètres carrés, les deux tiers seront consacrés à la zone franche, qui offre des avantages fiscaux mais exige toutefois que 85% de la production soit destinée à l’exportation. Navarro a déclaré que le projet a été très bien accueilli et que de nombreuses offres ont été déjà présentées notamment dans les secteurs de l’automobile, la chimie et l’alimentaire, rapporte le portail d’information espagnol terra colombia, mais sans livrer de noms d’entreprises.

Pour le secteur de l’automobile, à titre d’exemple, le Maroc présente des avantages compétitifs pour les firmes espagnoles en termes de coûts de main d’ouvre. Celle-ci est moins chère de près de 73% qu’en Espagne. Plus encore, la proximité géographique du royaume avec l’Europe permet de réduire les charges et les délais de livraison.

Selon le responsable d’Edonia World, le fait que l’entreprise promotrice du projet soit espagnole, cela lui «donne un plus» dans la mesure où les investisseurs préfèrent traiter avec leurs concitoyens. Et d’ajouter qu’il ne s’agit plus de promouvoir la délocalisation mais seulement d’ouvrir de nouveaux débouchés.

LVE
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeLun 12 Avr 2010 - 17:47

Dommage Banshee n'est plus parmi nous ... Économie marocaine - Page 16 Icon_big ... Économie marocaine - Page 16 Icon_study
Citation :
Réforme du système de compensation
Un système inique qui profite surtout aux riches
L’investissement social pour promouvoir le Maroc solidaire

15,2 milliards de dirhams, c’est ce qu’a coûté l’année dernière à l’Etat les subventions des produits de base, à savoir la farine de blé tendre, le sucre, le gaz butane et les produits pétroliers. Moitié moins que l’année d’avant. Et sur ces quinze milliards de dirhams et quelques, 4,8 milliards sont des arriérés de l’année 2008, dont le paiement avait été reporté à 2009. Car l’année 2008 a été la plus coûteuse pour la Caisse de compensation. Le montant consacré aux subventions avait, cette année là, atteint le montant record de 33,5 milliards dirhams, à cause du renchérissement des prix du pétrole. Ce montant a représenté 5,2% du PIB et 21,8% du budget général. A titre de comparaison, ces proportions n’étaient respectivement que de 1% et 4,4% cinq ans plus tôt.
C’est d’ailleurs cette même année 2008 qui a poussé les pouvoirs publics à réfléchir sérieusement à une réforme du système de compensation actuellement en vigueur, après des années à reporter cette démarche, par souci de paix social. Mais ce système est tellement inéquitable et contre-productif -toutes les études menées à ce sujet sont unanimes pour le dénoncer- que son ré engineering est devenu indispensable à plus d’un titre.
Créée en 1941 par le protectorat français, pour faire face à la flambée des prix provoquée par la seconde guerre mondiale, la caisse de compensation a, après l’indépendance, servi à l’Etat marocain à venir en aide aux secteurs d’activités en difficultés. Avec la mise en œuvre du programme d’ajustement structurel, au début des années 80, la caisse de compensation ne servira plus qu’à subventionner les produits de base, dont la liste s’est rétrécie au fil du temps et des libéralisations des prix. C’est devenu un fonds destiné de fait à soulager la pauvreté.
Seulement, cette forme de subvention est profondément inique. Qu’on en juge: les 20% de ménages les plus pauvres ne profitent de ce système qu’à hauteur de 9%, alors que les 20% de ménages les plus riches en profitent à hauteur de 43%. 22% de ces subventions vont aux 40% de Marocains les moins riches, 66% aux plus aisés. Le gaz butane, dont le prix de la bouteille est resté invariable depuis des années, est subventionné par l’Etat pour que le cinquième des Marocains les plus riches en bénéficient à hauteur de 32%, alors que les plus pauvres n’en profitent qu’à hauteur de 10%.
Outre les dysfonctionnements du système et les distorsions introduites dans le fonctionnement des marchés, les retards de paiement des subventions, qui entraînent des surcoûts pour les opérateurs, sont à l’origine d’une pratique généralisée de la «triche». Faute de toucher leur argent à temps et ce que leur coûte ces retards accumulés, les opérateurs se «rattrapent» sur la qualité et la quantité des produits subventionnés.
«Une partie du pouvoir d’achat transférée, par le biais des subventions, aux ménages, se trouve, in fine, capturée par les multiples intermédiaires sur les marchés de distribution, à travers les prix de vente et/ou la fraude sur les quantités et la qualité. Une estimation approximative peut laisser supposer que les prix de détail varient entre 40%, pour la farine nationale de blé tendre, et 20%, pour le sucre, par rapport au prix officiel et que la fraude sur certains carburants (diesel 350 et poids des bouteilles) représente un prélèvement sur les consommateurs d’environ 10%», dévoilent les concepteurs du rapport «Projet «Maroc solidaire».
En outre, les subventions dissuadent les opérateurs d’opérer des corrections de leurs prix en y incluant des marges de protection contre les hausses des prix internationaux. Les consommateurs, pour leur part, sont ainsi portés à privilégier l’acquisition des produits subventionnés au détriment des produits de substitution. Le transport individuel est de la sorte privilégié par rapport au transport collectif, la farine de blé tendre à celle du blé dur, le diesel à l’essence sans plomb, etc.

Rationaliser les subventions sans les supprimer

Ce système est donc tout aussi intenable sur le plan budgétaire qu’indéfendable sur le plan de l’équité sociale. Les partenaires européens du Maroc n’en pensent pas moins, l’UE ne cachant pas sa déception devant l’iniquité de ce système et escompte plus d’ouverture économique et des marchés plus concurrentiels.
Pour le ministre des finances, l’année en cours sera celle de la réforme de la caisse de compensation. Une étude menée par son département et présentée en début de ce mois étant venue conforter les résultats et conclusions des différents rapports publiés à ce sujet. Avec le ciblage des populations bénéficiaires de l’aide de l’Etat comme pilier de cette réforme. «Si nous généralisons le ciblage, la vérité des prix sera progressivement appliquée» a-t-il déclaré.
Seulement, les choses ne sont pas aussi simples qu’elles peuvent le sembler au premier abord. Les subventions ont également un rôle stabilisateur à ne pas occulter.
Selon une étude du département des finances datant de 2004, toute hausse de 10% du prix de la branche raffinage de pétrole aurait entraîné un accroissement de l’indice du coût de la vie de l’ordre de 0,4%. C’est-à-dire qu’une augmentation de 62% de ce prix, si la subvention avait été supprimée à l’époque, aurait débouché sur une flambée des prix de 7,7%. Ce qui aurait égalé quatre fois la hausse effective enregistrée.
Les concepteurs du rapport «Projet Maroc solidaire», commandité par le département chargé des Affaires économiques et générales à des universitaires marocains et dernièrement présenté, ont effectué leurs propres estimations. «Une augmentation des prix des carburants de 15%, 30% et 60% peut entraîner une augmentation du niveau des prix de 0,9%, 1,9% et 3,8% respectivement».
D’autre part, ces subventions permettent aux entreprises de maîtriser le niveau des salaires et de maintenir, ainsi, la compétitivité externe du Maroc. Le prix de la bouteille de gaz évite une plus grande surexploitation des forêts et les prix des carburants exercent un effet de modernisation des processus de production.
Par ailleurs, il n’y a pas que les ménages pauvres et vulnérables qui ont besoin de ces subventions pour maintenir un certain pouvoir d’achat. Les franges inférieures des classes moyennes sont tout aussi concernées. Et comme cette catégorie sociale ne peut prétendre bénéficier du soutien de l’Etat, en raison du critère du revenu, elle risque tout simplement de sombrer dans la vulnérabilité, voir la pauvreté.
«Une abolition brutale des subventions risque d’être perçue par les bénéficiaires (les catégories pauvres, vulnérables et les franges inférieures des classes moyennes), et de là l’opinion publique, comme une décision susceptible de porter atteinte au pouvoir d’achat si elle n’est pas adossée à une action publique alternative bénéficiant de la confiance et de l’adhésion des populations concernées» estiment les concepteurs du rapport «Projet Maroc solidaire».
En d’autres termes, les subventions ne peuvent être purement et simplement supprimées.
«Les subventions sur les produits de base seront maintenues, mais la structure de tarification sera révisée, de manière à ce que les classes moyennes ne soient pas lésées» a déclaré l’argentier du Royaume.
Toutefois, elles doivent faire l’objet d’un ciblage optimal des catégories sociales pauvres et vulnérables, ainsi qu’une redéfinition de la politique sociale, passant par «la protection contre les insécurités et les vulnérabilités et le renforcement des capacités des populations défavorisées par l’investissement social».
Il s’agit, tout à la fois, d’infléchir «la politique de compensation et de réparation sociale et de lui substituer une stratégie préventive d’investissement social et de préparation des capacités des populations pauvres», et de promouvoir «un redéploiement des protections sociales en faveur de l’accès aux services sociaux de base, éducation, santé et logement, de l’appui à l’emploi et à la création d’activités génératrices de revenus, mais aussi et surtout d’inscrire «les nouveaux dispositifs de la compensation dans le cadre d’une approche globale et intégrée de la politique sociale, définissant les contours d’un projet sociétal solidaire, lit-on dans le «Projet Maroc solidaire».

Plaidoyer pour une contribution générale
de solidarité

Il s’agit d’une réforme sociétale «centrée sur la politique rénovée d’investissement social, de solidarité collective et de réduction des inégalités, politique devant se substituer au système de compensation par glissements progressifs». Avec une feuille de route, l’INDH.
Les universitaires marocains ont élaboré, à titre de participation à l’effort intellectuel de réforme du système de compensation, une matrice de propositions. Elle comporte d’abord cinq ambitions, dont la réalisation s’étale sur le long terme. Il s’agit de briser le cercle vicieux de la compensation, de préparer les capacités humaines par l’investissement social au lieu de réparer les déficits sociaux, de conjuguer ciblage industriel et couverture des besoins en produits de base, de refonder la solidarité collective et de conduire la réforme de façon transversale et sur la base de la proximité.
Pour mettre en øuvre ces cinq ambitions, les universitaires marocains proposent treize options stratégiques, à appliquer à moyen terme. Il s’agit de coordonner la régulation centrale et l’intervention locale, les dispositifs techniques relatifs aux prix et le ciblage des populations, tout en tenant compte de l’impact des ajustements et des contraintes liées au contexte social et culturel, contraintes qui exigent de «l’audace de la part des pouvoirs publics et un effort de débat, de délibération et de concertation, condition préalable à la mise en œuvre de la réforme».
A court terme, quarante quatre actions sont à réaliser, autant de mesures concrètes et opérationnelles pour mener à bien le chantier de la réforme, et ce en «combinant la recherche d’une meilleure cohérence entre les objectifs d’équilibre économique et financier et les ambitions de protection sociale, au-delà de la logique d’assistance et de réparation».
Les concepteurs du rapport du «Projet Maroc solidaire» prônent également une approche participative, avec les communes, comme acteurs du développement local, les populations, directement ou à travers les associations représentatives, ainsi que les autorités locales.
«Le ciblage est devenu le mécanisme incontournable de toute action publique visant à optimiser le système de subvention aux produits, à le remplacer ou à le compléter par un système de transferts directs des ressources en faveur des populations jugées prioritaires».
De ce fait, il est question de mettre en place une modalité de ciblage optimal évoluent vers un ciblage parfait.
Toutefois, le ciblage des personnes bénéficiaires des programmes d’aides directes constitue un épineux problème. La liste des personnes éligibles aux aides directes devra relever d’une commission locale et provinciale. Il est également question d’un système de notation basé sur des critères de revenus du ménage, du lieu de résidence, du patrimoine et des conditions économiques et sociales.
Un plafond pour les dépenses de subvention, devrait être défini en pourcentage du PIB, selon les concepteurs du projet «Maroc solidaire». En tenant compte à la fois de la consommation des produits subventionnés et la soutenabilité budgétaire, ils ont calculé ce taux à 3%, «sans risques de dérapages».
Le risque de dérapage, les universitaires qui ont élaboré le rapport pensent le neutraliser par une «institutionnalisation de la solidarité collective». De manière plus simple, il serait question d’une «contribution générale de solidarité», versée par les classes sociales les plus aisées.
«La responsabilité n’est pas réductible à l’Etat et aux seuls décideurs publics. La société aussi a sa part de responsabilité dans la performance globale et la cohésion sociale. La responsabilité de la société renvoie aux composantes socioprofessionnelles, individuelles et collectives, de celle-ci, aux positions qu’elles occupent dans la hiérarchie sociale et aux rôles respectifs qu’elles jouent dans l’activité et la création de valeur nationale».
«Peut-on parler de modèle sociale marocain ?» s’interrogent les universitaires rédacteurs du rapport. «L’enjeu sociétal et national que cristallise le projet «Maroc solidaire», tout en s’appuyant sur les valeurs fondatrices de notre société, doit tirer sa légitimité d’un processus délibératif, participatif et représentatif, conduisant, de l’échelon local au niveau national, à l’adhésion de l’ensemble de la population au modèle social institutionnel».


l'Opinion
d'autre part :
Citation :
L’intégrateur informatique DBM Maroc attend de voir passer l’orage

Grâce à plusieurs contrats publics, l’intégrateur DBM Maroc, fabricant des ordinateurs de marque Accent, se sent relativement épargné par la crise. Avec la France, les ventes directes via internet stagnent. Reste que DBM ambitionne de devenir sous traitant pour le marché français.


Économie marocaine - Page 16 Pcma
Chaine de montage de PC sur le site de Mohamedia (photo DBM Maroc)
Avec la crise, le projet d’introduction en bourse de Casablanca, en 2009, de l’intégrateur DBM Maroc, fabriquant de la marque de PC et portable Accent, a été reporté.

Pour autant, la société marocaine "se sent un peu à l’abri, sous le parapluie de l’Etat marocain, grâce à plusieurs projets, dans le secteur de l’éducation notamment ", confie Karim Mazouzi, son directeur.

Au Maroc, DBM est au coude à coude avec HP pour les PC, avec des ordinateurs environ 20% moins chers. "Nous sommes meilleurs avec les particuliers. Notre concurrent gagne, lui, davantage d’appels d’offres avec les administrations", indique t-il.

Pour marquer des points face à la concurrence, DBM s’appuie sur un réseau d’une douzaine de centres de services après-vente, qui assurent notamment la commercialisation des pièces détachées.

L’intégrateur marocain est par ailleurs le seul à proposer des claviers arabe-français.


Des places à prendre

Ordinateur PC Accent (photo DBM Maroc) En 2008, DBM a enregistré un chiffre d’affaires global de 200 M de dirhams et table sur 250 M en 2009.

Depuis la création de la marque Accent en 2000, DBM Maroc, qui fabrique environ 20 000 ordinateurs par an, connait une croissance de 25% en moyenne chaque année.

A l’export, qui représente environ un tiers du chiffre d’affaires, l’activité est en stand by avec la France. Quelques 9 000 machines ont été écoulées en France en 2008, à des prix compris entre 250 et 400 euros.

Les ordinateurs de la marque Accent sont commercialisés via des sites marchands sur internet, tels RueDuCommerce ou Cdiscount.

Dans une période où les entreprises sont dans une logique de baisse des prix et avec la disparition progressive des intégrateurs en France, DBM Maroc ambitionne de devenir un sous-traitant pour le marché français.

Le match se joue entre le coût de la main d’œuvre en France et les délais de réactivité au Maroc.

DBM exporte aussi vers l’Afrique, en particulier au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso, mais non sans mal. "Les grossistes et entreprises partenaires ne sont pas bien structurés, fonctionnent au coup par coup, et n’ont pas de plans d’action à long terme", estime le directeur de DBM.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 13:43

lhamdoulah
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Au Maroc, le désert reverdit peu à peu
Par Marc Mennessier
14/04/2010 | Mise à jour : 13:03 Réagir
Après cinq années de pluies abondantes, les barrages débordent et les oasis renaissent.

De notre envoyé spécial à Ouarzazate

«Avant, à cette époque de l'année, vous n'auriez vu que des pierres: tout était déjà grillé par le soleil, il n'y avait plus un brin d'herbe», confie Mhamed Mahdane en désignant des troupeaux de chèvres et de moutons disséminés le long de la route nationale 10 qui relie Ouarzazate à l'oasis de Skoura, dans le Sud marocain, aux portes du Sahara. En cette fin du mois de mars, des taches de fleurs blanches, jaunes ou mauves, entrecoupées de touffes d'herbes buissonnantes apportent encore une timide touche de couleur à cet univers minéral. «Du côté du Tafilalet, autour de l'oued Ziz, c'est encore plus spectaculaire: là-bas, il y a de vraies prairies!» ­insiste ce jeune enseignant, chercheur en sociologie rurale du développement à l'université d'Agadir.

La raison de cette métamorphose? La pluie. Après une sécheresse implacable, qui a sévi de 1995 à 2005, l'eau tombe en abondance depuis cinq ans sur les oasis, les vallées et le versant sud de l'Atlas, rechargeant les nappes phréatiques, remplissant les barrages et faisant rejaillir des sources que l'on croyait taries à jamais. La neige immaculée qui recouvre encore les cimes du M'Goun (4 068 m) témoigne du déluge qui s'est abattu cet hiver sur la région. «Début février, au plus fort de la crue, le débit de l'oued Souss, qui se jette à Agadir, sur la côte atlantique, a atteint 4 000 mètres cubes par seconde, soit plus de douze fois celui de la Seine à Paris!» explique Thierry Ruf, chercheur à l'Institut de recherche pour le développement (IRD, ex-Orstom) et spécialiste des systèmes agraires irrigués. À certains endroits, on a enregistré jusqu'à 880 millimètres d'eau (soit 880 litres par m2!) en l'espace de quelques semaines.

Développement de l'agriculture

Résultat: les deux principales retenues du secteur, qui menaçaient de céder, ont dû ouvrir les vannes en grand. Le barrage Hassan Addakhil, à 25 kilomètres en amont d'Errachidia, a débordé pour la première fois en quarante ans! Même scénario à Ouarzazate où, selon Lahcen Youbi, chef du bureau d'études de l'Office régional de mise en valeur agricole (Ormvao), 290 millions de mètres cubes d'eau (soit plus de la moitié de la capacité de l'ouvrage) ont dû être relâchés dans la vallée du Draa, qui abrite la plus grande oasis du monde.

Même s'il est encore trop tôt pour établir un lien formel entre ce retour inespéré de la pluie et la tendance actuelle au réchauffement, ce «changement climatique à l'envers», comme l'appelle Thierry Ruf, se manifeste aussi dans les pays voisins (Algérie, Tunisie) quoique avec une intensité moindre. Les sombres prédictions de Rajendra Pachauri, le président du Giec (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat), qui annonçait en juillet 2008, lors de la conférence de Poznan (Pologne), «une baisse de 50% des rendements des cultures non irriguées dans certains pays d'Afrique, d'ici à 2020», semblent pour l'instant ne pas concerner le Maghreb .

Mieux: il est même permis de se demander si le désert, qui n'a cessé de gagner du terrain depuis les années 1970, ne va pas commencer à reculer. «Ce qui est sûr, c'est qu'il n'avance plus!» se réjouit Hro Abrou, le directeur général de l'Ormvao, pour qui «ces années humides offrent à l'agriculture marocaine une occasion en or de se développer». D'autant qu'elles coïncident avec le plan Maroc vert, lancé en avril 2008 par le gouvernement de Mohammed VI, qui prévoit d'investir 150 milliards de dirhams (13,4 milliards d'euros) d'ici à la fin de la décennie dans le secteur agricole. «Pour couvrir les pertes dues à la sécheresse et densifier notre patrimoine arboricole, nous allons planter 420000 palmiers dattiers issus de culture in vitro et donc exempts de maladies», détaille M. Abrou. Pas moins de 160 000 pieds d'oliviers ont déjà été distribués en 2009 dans la région de Ouarzazate et il est prévu de relancer la culture de pommes de montagne et de produits de terroir comme la rose et le safran. Enfin, pour économiser l'eau, les agriculteurs possédant moins de 5 hectares recevront gratuitement des équipements d'irrigation en goutte-à-goutte.

«Dynamique sociale»

L'agriculture vivrière des oasis figure également parmi les priorités du plan Maroc vert. Ces perles de verdure, très densément peuplées, sont en pleine effervescence. En 2005, quand il a commencé à travailler dans le Sud marocain, Thierry Ruf pensait que les khettaras, ces galeries souterraines qui permettent de capter l'eau des nappes (voir article ci-contre), n'avaient plus qu'«un intérêt archéologique». Mais le retour de l'eau a complètement changé la donne. «On assiste en direct à une véritable renaissance avec toute une dynamique sociale qui se remet en route», explique Mhamed Mahdane. Et de citer ces émigrés qui réinvestissent de l'argent dans la construction, ces magnifiques habitations traditionnelles en boue séchée, ou tabout, et bien évidemment dans l'agriculture.

«La vie ici est rythmée par ces longues alternances de périodes sèches et humides», poursuit ce jeune homme affable qui n'a jamais cru à la mort des oasis. Leurs habitants le savent: jamais ils n'ont douté que l'eau reviendrait.» À l'image de ces fleurs du désert qui, chaque printemps, émergent de la rocaille.
http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2010/04/13/01030-20100413ARTFIG00790-au-maroc-le-desert-reverdit-peu-a-peu-.php

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 18:23

Citation :

Maroc Yassir Znagui table sur des recettes touristiques de l'ordre de 465 MMD en 2010


Yassir Znagui table sur des recettes touristiques de l'ordre de 465 MMD en 2010

Un million de touristes ont visité le Maroc durant les deux premiers mois de 2010



Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Yassir Znagui, a estimé
mardi à Rabat que les recettes touristiques globales s'élèveraient à
465 milliards de dirhams (MMD) au cours de l'année 2010.

M. Znagui, qui intervenait lors d'une réunion avec la Commission des
secteurs productifs à la Chambre des représentants, a indiqué que plus
d'un million de touristes ont visité le Maroc durant les deux premiers
mois de 2010, en hausse de 14 pc par rapport à la même période de
l'année précédente.

Il a qualifié d'"ambitieuse" et de "novatrice" la "Vision 2010",
soulignant que le secteur connaît depuis le début de la décennie une
véritable dynamique et contribue actuellement avec plus de 9 pc du PIB.

La "Vision 2010", a-t-il précisé, a pour objectif d'offrir un produit
diversifié répondant aux exigences du marché national et international,
en renforçant le produit balnéaire à travers les six stations du "Plan
Azur" et valorisant les stations actuelles grâce à l'élaboration de
programmes de développement touristique régional dans le cadre du "Plan
Madaïn", outre la promotion du tourisme rural et local.

Dans le cadre du "Plan Azur", l'année 2009 a été marquée par
l'ouverture de la station balnéaire "Mediterrania Saïdia" et de la
première tranche de la station "Mazagan" près d'El Jadida, a-t-il
rappelé.

Le ministre a, d'autre part, noté que le tourisme intérieur constitue
un axe essentiel dans l'action du ministère au regard de son importance
au plan économique et social, relevant dans ce sens que le "Plan
Biladi" a pour objectif la création de nouvelles zones touristiques
avec des produits et des prix répondant aux attentes des touristes
locaux.

2009, a-t-il dit, a été également marquée par le lancement d'une
nouvelle opération de "Kounouz Biladi" qui avait touché l'ensemble des
régions du Maroc durant toute l'année, ajoutant qu'elle avait
enregistré durant les huit premiers mois une hausse de 10 pc au niveau
des nuitées dans les établissements classés.

Concernant la promotion du produit touristique national à l'étranger,
M. Znagui a indiqué que l'Office national marocain du tourisme (ONMPT)
oeuvre pour consolider l'image et la position de ce produit auprès des
marchés traditionnels et avoir accès à de nouveaux marchés prometteurs,
relevant que les résultats positifs enregistrés par le secteur ont été
réalisés dans une conjoncture qu'il a qualifiée de "très difficile".

Il a rappelé, dans ce sens, que le gouvernement a mis en place en
décembre 2008 un plan d'anticipation "CAP 2009" pour faire face aux
effets de la crise économique mondiale.

la vie eco



Citation :
Hausse de 74 pc de l'activité portuaire de Tanger Med au premier trimestre 2010

Tanger, 14/04/10- Le port Tanger Med a traité au titre du 1er trimestre
2010 un trafic global de 3,8 millions de tonnes, en hausse de 74 pc par
rapport à la même période de l'année 2009 et de 43 pc par rapport au
dernier trimestre 2009.



Selon un communiqué de Tanger Med Port Authority (TMPA), cette
évolution positive a été portée principalement par la bonne performance
des deux terminaux à conteneurs dans un contexte international marqué
par une légère reprise du trafic mondial.
Le trafic de conteneurs s'est ainsi établi à 407.844 EVP (Equivalent
Vingt Pieds), marquant une progression de 50 pc par rapport à la même
période de l'année 2009 et de 40 pc par rapport au dernier trimestre
2009.
La croissance du trafic de conteneurs s'explique par la bonne
performance des trois premiers armateurs en place (Maersk Line, CMA-CGM
et Delmas) et à la contribution de nouvelles lignes mises en place au
courant de 2009 par Mitsui OSK Lines, Happag Lloyd, IMTC et Hamburg
Sud, ajoute la même source.
Le transbordement a contribué à hauteur de 97 pc au trafic de
conteneurs. Le trafic Import-Export a cumulé, quant à lui, un volume de
11.326 EVP, en progression de 22 pc par rapport à l'année dernière.
Cette dynamique de croissance du trafic Import-Export a été néanmoins
freinée par la perturbation des transports terrestres en raison des
intempéries.
Par ailleurs, la réorganisation des lignes maritimes lors de ce
trimestre, ayant permis la hausse générale du trafic à Tanger Med, a
généré toutefois une instabilité passagère de l'offre sur le marché
local, affirme le communiqué.
Concernant le trafic roulier, TMPA indique que, dans l'attente du
démarrage du port Tanger Med Passagers au deuxième trimestre de cette
année, le seul quai réservé à ce trafic au niveau du port Tanger Med 1
a connu le passage de 9.538 unités TIR, soit une hausse de 20 pc par
rapport à 2009.
Par ailleurs, le chiffre d'affaires de l'Autorité Portuaire de Tanger
Med (TMSA) s'est établi à 102,8 millions de dirham au 1er trimestre
2010, marquant ainsi une évolution de 37 pc par rapport à la même
période de l'exercice 2009, précise le communiqué.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 18:33

Économie marocaine - Page 16 Icon_neutral 46,5 milliards alors que tout les indicateurs cette année sont dans le vert. sa fait quand même 10 milliards de moins qu'en 2008 alors qu'on se dirige vers une bonne année touristique. Pas trés optimiste le nouveau ministre... Économie marocaine - Page 16 Icon_biggrin
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 18:41

Le tourisme rapporte 46.5 milliards de dollars au Maroc ??
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 18:46

Dr.Watson a écrit:
Le tourisme rapporte 46.5 milliards de dollars au Maroc ??

Nan seulement $ 7 milliard, c'est surement une erreur du journaliste qui a oublié de mettre une virgule Wink

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 19:37

Fahed64 a écrit:
Dr.Watson a écrit:
Le tourisme rapporte 46.5 milliards de dollars au Maroc ??

Nan seulement $ 7 milliard, c'est surement une erreur du journaliste qui a oublié de mettre une virgule Wink

le nouveau ministre est un Économie marocaine - Page 16 Icon_clown Économie marocaine - Page 16 Icon_clown Économie marocaine - Page 16 Icon_clown il ne sait pas de quoi il parle,il l'a dit lui meme sans se rendre compte la recette touristique ne depasse pas les 3% du PIB du pays,mais comme certanis de nos ministres ne sont pas bien assaisones ,ils disent du n'impotre quoi ,il devrait rectfier le tire avant d'ouvrir la bouche.Monsieur est venu de nul part.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 14 Avr 2010 - 21:16

Ce n'est malheuresement pas une erreur journalistique parcequ'elle a été reprise ( bêtement) par beaucoup de quotidien. Permetez moi de m'inquiéter qu'en à l'impréssision de notre jeune ministre d'autant plus qu'il a une société d'investissement touristique. C'est quand même moyen...mais ne nous alarmant pas. Économie marocaine - Page 16 Icon_smile
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 15 Avr 2010 - 9:26

Citation :
Le Maroc sera bientôt la « deuxième Roumanie » du constructeur

[ 15/04/10 ]

Capacités.Non content de son installation en Roumanie, Renault se prépare à muscler ses moyens de production au Maroc, pour créer une seconde base low cost, à portée de bateau celle-là des côtes européennes. « Ce que l'on veut faire au Maroc, c'est un volume de 400.000 voitures par an », selon Gérard Detourbet, le patron de l'entrée de gamme de RenaultDacia. Soit un peu plus qu'à Pitesti (Roumanie), qui tourne à 350.000 unités. Au-delà de l'usine existante de Casablanca (Somaca), qui assemble déjà jusqu'à 70.000 unités, Renault a lancé la construction de son usine de Tanger (600 millions d'investissement). Elle démarrera au début de 2012, avec une capacité de quelque 170.000 autos par an, destinée à passer plus tard à 400.000 exemplaires. Les deux premiers modèles seront deux compléments de la gamme Dacia, encore non dévoilés. Ils seront exportés à 95 % vers d'autres pays. Outre les économies sur la TVA, grâce au statut de zone franche, et sur la main-d'oeuvre, Renault cherche à favoriser les fournisseurs locaux, pour toutes les grosses pièces. Ce qui va abaisser les coûts de production, y compris par ricochet pour le site de Casablanca.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 15 Avr 2010 - 22:00

Citation :
Alstom : un premier contrat sur le marché de l'éolien au Maroc


Alstom annonce la signature d'un contrat avec Nareva Holding, filiale d'ONA, principal groupe industriel et financier marocain, pour un nouveau parc éolien à Akhfenir, au Royaume du Maroc. Sa mise en service interviendra en 2011 et il sera composé de 61 éoliennes Alstom ECO74 fournissant plus de 100 MW d'énergie renouvelable à destination des clients industriels privés au Maroc, principalement dans le cadre du programme Energipro.

Selon les termes du contrat, Alstom sera chargé de la fourniture, de l'installation et de la mise en service du parc éolien. Le groupe sera également responsable de la maintenance et de l'exploitation au cours des cinq premières années. Durant la phase d'installation, Alstom a prévu l'embauche de près de 45 personnes pour travailler sur le site, et 16 autres personnes pour assurer l'exploitation et la maintenance. "Alstom est fier de la signature de ce nouveau contrat au Royaume du Maroc qui permet au groupe et à son client de renforcer le secteur éolien, conformément aux politiques environnementales du pays, a indiqué Philippe Cochet, Senior Vice President d'Alstom Wind and Hydro. Ce contrat est le premier contrat signé en matière d'éolien au Maroc et représente une avancée prometteuse pour de futurs projets dans le secteur".

Alstom est présent depuis longtemps au Maroc et a accompagné le pays dans le développement de sa production d'énergies renouvelables et thermiques. Plus de 50 % de la capacité électrique du pays repose sur du matériel fabriqué par Alstom. Alstom est notamment présent dans le secteur de l'hydroélectricité et a déjà installé quelque 800 MW, soit plus de la moitié de la base hydroélectrique installée du pays. Ce nouveau contrat soutient l'engagement du Maroc visant à produire 42% de son électricité à partir de sources renouvelables d'ici à 2020, dont un tiers provenant de l'éolien.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeVen 16 Avr 2010 - 15:52

Les premiers effets de l'investment grade de Standard&Poor's ! Économie marocaine - Page 16 Bom il faut savoir que le Maroc a toujours favoriser la dette interne et réduit sa dette externe avec laquel le Maroc a un passé sombre... Rappelant que la dette extérieure publique se chiffrait à 21,3 milliards de dollars en 1992, mais heuresement, elle n’était que de 12,4 milliards de dollars en 2005. En 12 ans (1993 à 2005) elle a baissé de près de 9 milliards de dollars. Mais en contre partie, durant la même période, le Maroc a remboursé 36 milliards de dollars au titre du service de la dette ! Le pays a donc transféré des sommes 4 fois plus importantes que ce qu’il a reçu comme prêts. Nous devons rester prudent !

Citation :
· Retour du Maroc sur le marché financier international

Le Maroc a mandaté Barclays Capital, HSBC et Natixis en tant que chefs de file pour une émission sur le marché international en euros. L’émission sera lancée dans les semaines à venir.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 17 Avr 2010 - 11:27

la croissance sera plus importante que prevue(3,5%) cette année inchallah

Citation :
Morocco sees export recovery boosting growth
Sat Apr 17, 2010 8:14am GMT
By Lamine Ghanmi

RABAT (Reuters) - Morocco's economy would grow this year by more than the 3.5 percent forecast by the government earlier mainly because of a recovery in exports and good cereals harvest, the industry and trade minister said on Friday.

"We will record higher gross domestic product growth this year than we envisaged earlier. We will post more than the 3.5 percent of growth we had projected," Ahmed Reda Chami told Reuters in an interview, citing rising exports, strong growth in construction and higher-than-average of cereals crop.

Chami said he expected foreign direct investment to grow this year by a "double digit" rate versus the previous year.

"We are clearly on a higher trend this year for the foreign investment. The increase would be at double digit," he added.

Chami gave no figure but the Trade Ministry's latest figures showed that foreign investment shrank to $2.3 billion in 2008 versus $2.8 billion in 2007.

"Foreign investment in Morocco came mainly from the European Union and Gulf countries," he said.

The government had earlier this year expected GDP to come in at 3.5 percent this year versus 5.3 percent in 2009 when a record grains harvest boosted farm incomes and domestic consumption to offset lower exports, expatriate remittances and tourism receipts.

The government had expected the cereals crop to be at 6 million tonnes this year -- the average of the past decade.

But good weather had prompted farming groups and government officials to revise up the grains harvest to up 7 million tonnes this year -- usually seen as good level because of the cyclical drought causes Morocco's harvests to swing sharply.

"We predicted an average harvest this year but better weather circumstances indicated that we would have a good harvest. That also help improve our GDP growth," Chami said.

"The government also extended its incentives to the construction sector which is a significant factor of our growth. The higher investment spending by the government this year is another positive factor in growth," he added.

Morocco expanded investment by the state and state-owned firms to 160 billion Moroccan dirhams this year, up 20.4 percent compared with last year's investment spending.

Key exports textile, car parts and electronic components fell as 4 percent, 20 percent and 20 percent respectively in the three first quarters of last year because of the impact of the global crisis before starting to recover in the fourth quarter of last year.

LESS JOBS LOSS

"We are very optimistic about the growth of the industrial gross domestic product this year because we see the positive impact of the recovery of our partners in Europe. As result, our exports are recovering this year," Chami said.

"The car parts industry saw its exports rising by 25 percent in the first two months this year compared to the same period last year," he added.

The European Union is Morocco's main trade market, accounting for more than 80 percent of its exports.

"The industrial GDP had expanded by 7.8 percent in the latest quarter of last year to offset sharp decline in the other quarters of the period. Because of that recovery we ended the year with 5.1 percent growth in the industrial GDP," he added.

"That recovery is continuing early this year and we expect that trend to continue over the whole year unless there would be a economic setback in Europe. None is predicting that in Europe," he said.

Morocco granted a tax break and other subsidies to textile businesses and other manufacturing activities hit by the global crisis last year.

"Because of that support in the aim to protect jobs, the textile, leather and car parts industries had kept more than 19,000 jobs that would have been lost without such aid," Chami said.

"Industries which had benefited from such support last year had recorded a rate of jobs loss of between 1 percent and 2.9 percent. Those industries which did not get such aid had a jobs loss rate of between 9 percent and 11.6 percent," he added.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 17 Avr 2010 - 13:27

OUI, on attent 7 % !!!!!! AVEC une récolte bonne ( +70 milions qtx) et des recettes tourismes:rme QUI EXPLOSENT fin de premiers trimestre2010


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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 17 Avr 2010 - 15:32

on a eu droit à une "relative" bonne année agricole ! quoi que les inondations ont détruit beaucoup de surfaces cultivés! pour le tourisme je ne suis pas confiant, la crise a frappé à plein fouet, même les MRE n'ont pas de quoi rentrer au Bled cet été

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