Économie marocaine

Rappel du premier message :



Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère !

Yakuza a écrit:

Citation :

Phosphates: création d'une société d'ingéniérie américano-marocaine

AFP le 16 Mars 2010

Rabat - L'Office chérifien (marocain) des phosphates (OCP/public), premier exportateur de phosphates et de ses dérivés dans le monde, et la société américaine Jacobs Engineering ont renforcé mardi leur partenariat en créant une société mixte d'ingénierie.

Celle-ci est chargée notamment d'accompagner la mise en oeuvre d'un programme d'investissements de 5 milliards de dollars que l'OCP compte réaliser d'ici 2015, a indiqué l'entreprise marocaine dans un communiqué.

Un document officialisant la création de cette société a été signé par le président directeur général de l'OCP Mostafa Terrab et le président de Jacobs Engineering Noël Watson, a-t-on ajouté de même source.

La nouvelle joint-venture contribuera notamment à "l'accompagnement de la réalisation des infrastructures nécessaires au développement de la plate-forme chimique de Jorf Lasfar (ndlr: cô te sud du Maroc) et au développement des activités de l'industrie du phosphate en général", a déclaré Mostafa Terrab.

Jacobs Engineering a en outre décidé de "transférer la majeure partie de son centre d'expertise basé à Lakeland (Floride) vers le Maroc", a confié à l'AFP un responsable de l'OCP.

Le Maroc, troisième producteur mondial de phosphates après les Etats-Unis et la Chine, en détient 75% des ressources exploitables. En 2008, quelque 12 millions de tonnes de phosphates ont été exportées et environ 2,8 millions de tonnes d'acide phosphorique produites, dont 1,7 million de tonnes vendues à l'étranger.

L'OCP a en outre manufacturé 2,2 millions de tonnes d'engrais phosphatés en 2008, dont 1,5 million ont été exportées, selon la même source.

[url=http://www.emarrakech.info/Phosphates-creation-d-une-societe-d-ingenierie-americano-marocaine_a34240.html

http://www.emarrakech.info/Phosphates-creation-d-une-societe-d-ingenierie-americano-marocaine_a34240.html[/quote[/url]]

Yakuza if it is true it is going to be big,I know that company it is huge in a lot of other technology,the company it is not far from where I live.check this link below:the head quarters are in california,but lakeland office is huge also.
http://www.jacobs.com/

Citation :

Croissance en Afrique
Le Maroc au-dessus du lot
L'économie marocaine a affiché une croissance de 5,3% en 2009 grâce aux mesures de relance budgétaire et monétaire.

Publié le : 18.03.2010 | 14h37




Le Maroc a réalisé la plus forte progression de taux de croissance en Afrique du Nord en 2009, selon la Commission économique pour l'Afrique (CEA).
En effet, d'après un récent rapport de cette commission, au moment où le taux de croissance moyen enregistré en Afrique du Nord est à peine de 3,5% en 2009, le Maroc a pu réaliser dans un contexte de marasme économique mondial une évolution de son PIB de pas moins de 5,3% au cours de la même année. Cette performance est due, selon les auteurs de ce rapport intitulé "Aperçu des conditions économiques et sociales en Afrique en 2009", aux mesures "audacieuses" de relance budgétaire et monétaire prises par le gouvernement, a rapporté l'agence MAP.

Le Maroc est donc le pays qui a apporté la réponse la plus appropriée au contexte de la crise par laquelle est passée l'économie mondiale et qui a également touché l'Afrique du Nord, mais de façon modérée ; cette sous-région s'étant contentée d'une croissance de 3,5% en 2009 après avoir réalisé 4,1% l'année précédente.
"Cette moyenne sous-régionale cache la remarquable capacité d'adaptation des économies égyptienne et marocaine, dont l'expansion de 4,7% et 5,3% respectivement a été rendue possible par des mesures audacieuses de relance budgétaire et monétaire", précise le rapport. Il est à noter que celui-ci sera soumis à la troisième réunion annuelle conjointe de la Conférence des ministres africains des Finances, de la Planification et du Développement économique de la CEA et de l'Union africaine (UA) qui aura lieu du 25 au 28 mars à Lilongwe (Malawi), sous le thème "Promouvoir la croissance durable de haut niveau pour réduire le chômage en Afrique".

Pour les autres pays de l'Afrique du Nord, ils ont enregistré des taux de croissance qui n'ont guère dépassé 3%, y compris dans les pays exportateurs du pétrole. Ainsi, avec la baisse de la production d'hydrocarbures, les économies de la Libye et de l'Algérie ont connu un brutal ralentissement avec une croissance de 1,8 et 2,1% respectivement, selon le rapport. Le PIB de la Tunisie a évolué de 3% à la suite de la baisse notable de la production manufacturière et de l'activité touristique, alors que la Mauritanie s'est contentée de 2,3%, sous l'effet de la baisse de la production de minerai de fer qui a freiné l'activité économique.
Pour le Soudan, il a réalisé une croissance de 3,5% en 2009 contre 7,6% en 2008, à cause de la chute des apports d'IED et de la faible performance du secteur du bâtiment, explique le document.
Par ailleurs, d'après le rapport de la CEA, l'Afrique du Nord a connu un dynamisme croissant des secteurs autres que les hydrocarbures qui ont enregistré une croissance vigoureuse ces dernières années, en partie grâce à la hausse de l'investissement public.

En outre, au moment où cette sous-région a bien résisté à la crise et a réalisé un taux de croissance honorable, les autres sous-régions du Continent ont plutôt cédé à cette difficile conjoncture. En effet, d'après le même rapport, la croissance en Afrique a accusé une baisse de 3,3% passant de 4,9% en 2008 à 1,6 % en 2009 à cause de la contraction de la demande et des prix des exportations africaines ainsi que du repli des flux financiers et des envois de fonds en Afrique.
Ce qui constitue un "retournement spectaculaire" après les niveaux relativement élevés de croissance affichés au cours des six dernières années, soulignent les auteurs de ce rapport.


Ralentissement de l'activité en Afrique
Dans le sillage du ralentissement de l'activité économique, les taux d'inflation ont accusé un recul, notamment avec la baisse des prix du pétrole et des produits alimentaires et par de bonnes récoltes agricoles dans certaines régions du continent, estime le document.
Cette décélération de la croissance économique et la baisse de l'inflation ont permis aux banques centrales d'assouplir leur politique monétaire en mettant en place des politiques budgétaires expansionnistes pour tenter d'amortir les effets de la crise sur la pauvreté et de dynamiser la demande intérieure, a relevé le rapport.

Repères

Conséquences du marasme économique

- Avec la baisse de l'activité économique en Afrique, la situation du marché de l'emploi s'est dégradée, au préjudice notamment des groupes vulnérables. En conséquence, la pauvreté a probablement augmenté ou s'est maintenue à des niveaux élevés.

- L'impact négatif de la crise économique sur l'aide sociale devrait compromettre les perspectives de réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), en particulier ceux qui concernent la réduction de la pauvreté, la faim, la mortalité maternelle et infantile et le travail décent pour tous, mettent en garde les auteurs de ce rapport.


LE MATIN

Les gars voici bab l7ed technocenter un pole technologique d'exception, notre sillicon valey ! Même Globalpost y croit !
L'économie souteraine du pays à de la geule quand même...

mais ca reste inférieur à notre fameux Derb Ghalef

Incontestablement Fremo ! ......Mais bon...Rabat un jour Rabat toujours !!!!

Citation :

L’énergie s’invite à Rabat Technopolis

Après la microélectronique, la nanotechnologie et la biotechnologie, ce sera au tour du secteur de l’énergie (recherche) de s’implanter sur Rabat Technopolis. A noter cependant que cette plateforme dédiée à la création, l’incubation et la promotion de projets innovants et à fort potentiel, accueille déjà des entreprises affiliées à la Fédération de l’électricité (Fenelec).

L'économiste

Citation :

Google s'installe au Maroc



Le géant mondial Google s’installe au Maroc. Le célèbre moteur de
recherche serait en train de monter sa structure à Casablanca et aurait
déjà recruté une dizaine de cadres surqualifiés dans la plus totale
discrétion. Google aurait ainsi tranché pour la métropole aux dépens du
Caire, qui devait initialement accueillir sa plate-forme de
développement nord-africaine.

tel quel

Citation :

Le Siege des raffineurs africains au Maroc


Le Maroc a été élu lors de la réunion annuelle de l'ARA, tenue du 8 au 12
mars 2010 à Cap Town en Afrique du Sud, où le Royaume s'est distingué
par un projet avant-gardiste sur la création l'Acafred, présenté par le
directeur des Ressources humaines et des Relations institutionnelles de
la Samir, Mohamed Ghayate.

L'ARA a décidé à l'unanimité de ses 34 pays membres que le siège
opérationnel de l'Acafred soit établi à l'Institut Samir du Pétrole de
la Raffinerie de Mohammedia, précise-t-on de même source.

Composé de dix membres, le Conseil d'administration de l'Acafred sera
présidé par M. Jamal Ba-Amer, directeur général de la Samir, secondé
par Joel Dervain, directeur général de la SIR (Société Ivoirienne du
Raffinage), directeur exécutif de l'ARA.

M. Ghayate, également président de la commission Ressources humaines de l'ARA, a été nommé directeur de l'Acafred.

Cette nouvelle Académie a pour vocation de renforcer la coopération
entre les raffineurs africains par le développement des compétences de
leur personnel et l'échange des meilleures pratiques entre les pays
membres dans le cadre d'une politique des ressources humaines commune
orientée «responsabilité sociétale et développement durable».

Le programme de formation, qui sera sanctionné par des certificats
délivrées par des spécialistes nationaux et de renommée internationale,
tel que l'IFP, HEC-France, CNPP, Université Hassan II, Université de
Johannesburg, Iscae etc, sera axé autour des «Métiers de raffinage», du
«Management» et de la «Sécurité, l'environnement et le développement
durable».

Par le biais de ses partenaires institutionnelles, que sont les
ministres de l'Energie et des Mines, de l'Emploi et de la Formation
professionnelle, marocains et africains, et les institutions
représentatives du patronat, l'Acafred ambitionne d'élargir les champs
de collaboration à d'autres domaines sociaux et économiques.

MAP

Google débarque chez nous!!

Citation :

Manganèse d'Imini
Un potentiel export indéniable
10 millions de tonnes de manganèse enrichi à 70%. Telle est la capacité de production de la mine d'Imini qui est destinée à l'exportation.

Située à quelques encablures au sud-est de Marrakech, la mine de manganèse d'Imini est bien en passe de renaître de ses cendres, et ce, plus vite que ne le laissent présager les augures les plus optimistes.


Ce site, géré et exploité par la Sacem (Société anonyme chérifienne d'études minières), présente désormais des perspectives de développement fort prometteuses. Alors que, depuis le début de l'exploitation de cette mine, le tonnage aura avoisiné les quelque 8,5 millions de tonnes, «des recherches géologiques et minières actuellement ont mis en évidence des ressources restantes estimées à plus de 1 million de tonnes, le potentiel de ce gisement serait de 10 millions de tonnes de manganèse enrichi à 70%», tient à indiquer Ahmed Benjinaly, directeur général de la Sacem. Le jeu en vaut d'autant plus la chandelle qu'il faut dire que, pour l'heure, seuls deux ou trois pays exploitent ce type de manganèse chimique et métallurgique, au demeurant très rare et dont la teneur est autrement plus appréciable. Lors d'un point de presse initié en fin de semaine dernière à Casablanca, M.Benjinaly a fait savoir qu'après une traversée du désert qui aura été toutefois éphémère entre 2001 et 2005, la Sacem a renoué avec la reprise, la production de ce minerai tout venant atteignant 43.000 tonnes en 2009, contre 30.000 tonnes une année plus tôt et seulement 25.000 tonnes en 2007.

Dans cette foulée, les ventes au reste du monde ont caracolé autour des 74.000 tonnes contre certes 157.000 tonnes en 2008. Cependant, tient à expliquer le DG de la Sacem, «cette inflexion est imputable au fait que l'on tenait à se repositionner sur des produits à l'export de bonne qualité». Label reconnu à l'échelle mondiale, le manganèse enrichi de la mine d'Imini est, fait-on savoir, destiné au marché outre-Rhin, celui de l'Espagne et de l'Italie, la Chine, l'Afrique du Sud, la Namibie et les États-Unis d'Amérique. Pour ce dernier marché, a laissé entendre M.Benjinaly, un important contrat serait en passe d'être scellé au cours de cette année 2010. En fait, ce regain d'intérêt pour ce type de minerai n'est pas fortuit. «Le manganèse enrichi est de plus en plus utilisé dans la céramique, la chimie, la cosmétique, les composantes électroniques, le ferroalliage et l'industrie aéronautique».

Voilà pourquoi, pour satisfaire la demande qui s'exprime un peu partout de par le monde, la Sacem qui est une SA dont le capital est détenu par le consortium maroco-français composé de l'Onhym, du Comilog et de Mining France, a élaboré un programme d'investissement, qui couvrant les exercices 2009 et 2010, vise à rénover les unités de production et à conforter leurs capacités de production. Objectif clairement affiché : répondre aux demandes commerciales qui vont, d'ores et déjà, crescendo. Selon M.Benjinaly, la démarche porte pour l'essentiel, sur les recherches géologiques et minières, le renouvellement du matériel minier en passant par le rervamping de l'unité de valorisation du minerai.
Notons au passage que la Sacem qui exploite deux types de manganèse chimique et métallurgique sur des concessions et des permis miniers dans la région de Ouarzazate, a entamé des démarches administratives pour la réattribution des permis de recherches dans la région d'Agadir.


Des coudées franches

Pour les perspectives de développement, cet établissement cherche à diversifier ses produits tant au niveau du manganèse chimique qu'au niveau des substances secondaires, à savoir la barytine, le manganèse métallurgique…
Le challenge reste à la portée eu égard aux coudées franches dont dispose ce même établissement. Grâce à l'impulsion de nouvelle méthode de gestion, cet établissement a inscrit à son actif bien des prouesses, comme le corroborent les performances honorables enregistrées depuis 2008.

LE MATIN

un grand fabriquant japonais de systemes clima s´implante a Tanger

Citation :

Mar 23, 2010
DENSO to Establish New Company in Morocco to Produce Car Air Conditioning Systems

KARIYA (Japan) - DENSO Corporation will establish a new company in Tangier, Northern Morocco, Africa, to produce car air conditioning systems on April 1. The construction of its plant is scheduled to be completed in April 2011. The new company, DENSO Thermal Systems Morocco S.A.R.L., will start operations in December of the same year. The company is capitalized at 2.5 million euro and will invest up to 11.4 million euro by fiscal year 2011. DENSO Thermal Systems Morocco is expected to post sales of 12 million euro in fiscal year 2013.

The new company is DENSO's second production base in Africa and will offer car air conditioning systems to plants of automakers in the country.

DENSO Corporation, headquartered in Kariya, Aichi prefecture, Japan, is a leading global supplier of advanced technology, systems and components. Its customers include all the world's major carmakers. Worldwide, the company employs approximately 120,000 people in 33 countries and regions, including Japan. Consolidated global sales for the fiscal year ended March 31, 2009 totaled US$32.0 billion. DENSO common stock is traded on the Tokyo and Nagoya stock exchanges. For more information, go to www.globaldenso.com, or visit our media website at www.densomediacenter.com.

Profile of new company
1. Name : DENSO Thermal Systems Morocco S.A.R.L.
2. Location : Tangier, Morocco
3. President : Dany Saad (currently manager rank responsible for production engineering at DENSO Thermal Systems S.p.A.)
4. Establishment : April 1, 2010
5. Capital : 2.5 million euro
6. Ownership : 100 percent owned by DENSO International Europe B.V. (DENSO's holding company in Europe)
7. Investment : 11.4 million euro
8. Sales : 12 million euro (projected for fiscal year 2013)
9. Employees : 90 (projected for the fiscal year 2013)
10. Floor area : 6,300 square meters
11. Site area : 25,400 square meters
12. Business description : Production of car air conditioning systems

Profile of DENSO Thermal Systems S.p.A.
1. Name : DENSO Thermal Systems S.p.A.
2. Location : Poirino, Italy (suburbs of Torino)
3. President : Manfredo Nicolelli
4. Establishment : March 2001
5. Capital : 170.9 million euro
6. Ownership : 100 percent owned by DENSO International Europe B.V.
7. Sales : 550.9 million euro
8. Employees : 2,620
9. Business description : Production and sales of car air conditioning systems, heaters, radiators, and other products

http://www.globaldenso.com/en/newsreleases/100323-01.html

Citation :

Le Maroc accède à l’investment grade chez S&P
23-03-2010

Le Maroc accède enfin à la catégorie investment grade (BBB) dans l’échelle de notation de l’agence S&P. Une décision déjà prise par Fitch Ratings depuis trois ans.

L’agence Standard & Poor’s vient de relever à ce jour la note à long terme du Maroc de «BB+» à «BBB-» en devise et de «BBB» en «BBB+» en monnaie locale. La perspective associée à cette note est «stable». Le royaume devient ainsi le 15 pays qui accède à l’investment grade.

Ce résultat traduit selon l’agence les progrès enregistrés par le royaume qui a «réduit son endettement et modernisé son économie sur ces dix dernières années», explique Véronique Paillat-Chayrigues. La stabilité politique conjuguée aux programmes de réformes et aux grands travaux engagés dans le secteur public ont été pris en compte dans l’appréciation de la note.

Le Maroc accède donc à la catégorie «Investment Grade», dans l’échelle de notation de l’agence S&P. Une décision déjà prise par Fitch Ratings en 2007 et confirmée en octobre 2009.

http://www.lesafriques.com/actualite/le-maroc-accede-a-l-investment-grade-chez-s-p.html?Itemid=89?article=23137

Citation :

S&P raises Morocco's rating on low debt
Tue Mar 23, 2010 2:45pm GMT

RABAT (Reuters) - Standard and Poor's raised Morocco's foreign and local currency ratings one notch on Tuesday, saying that by reducing its debt the Moroccan government had given itself more flexibility in economic policy.

The agency said in a statement it had raised Morocco's long-term foreign currency sovereign credit rating to 'BBB-' from 'BB+', and its long-term local currency sovereign credit rating to 'BBB+' from 'BBB'.

Morocco's combined foreign and domestic debt stock was slashed as a proportion of gross domestic product to 48 percent last year from 68 percent in 1998, according to the government's figures.

"The upgrade reflects our view of the Moroccan government's improved economic policy flexibility as a result of its track record in reducing the country's fiscal and external debt burdens over the past decade," said Standard & Poor's credit analyst Veronique Paillat-Chayrigues.

Morocco's government says that its reforms over the past decade allowed it to deal more easily with the impact of the global slowdown on the country's economy.

Economic Affairs Minister Nizar Baraka told Reuters in an interview last month that Morocco would maintain annual economic growth averaging 5 percent until 2012 on new stimulus plans.

Morocco posted the highest growth rate in the Middle East and North Africa region in 2008 with 5.6 percent expansion. That slipped to 5.1 percent in 2009 as the country's non-farming gross domestic product slowed due to the global crisis.

WEAK SOCIAL INDICATORS

Standard & Poor's said the outlook on Morocco's long-term ratings was stable and any further rating improvements would likely follow a more rapid convergence of living standards with those of other 'BBB' rated sovereigns.

"We also factor in the high political stability and the government's momentum for its reform programme, including large public works, which has raised Morocco's trend growth prospects, and contributed to improving gradually the country's still weak social indicators," said Paillat-Chayrigues.

Morocco's government has increased spending on basic infrastructure to 400 billion Moroccan dirhams for the 2008-2012 period from 80 billion in the previous period.

That investment aims to upgrade basic infrastructure including the highway network, power grids, ports and airports, the farming sector and telecoms.

Citation :

Acquisition par la CDG de 8 % du capital de la BMCE Bank
Maroc - 23.03.2010

Rabat, La Caisse de Dépôt et de gestion (CDG) a procédé lundi à l'acquisition de 8 pc du capital de la BMCE Bank, soit environ 12,7 millions d'actions au prix unitaire de 267 DH, a indiqué un communiqué de la Banque.

Cette opération stratégique, effectuée par cession par la Banque des actions détenues en autocontrôle, porte sur un montant de plus de 3,4 milliards de dh, a précisé la même source.

Les deux groupes CDG et FinanceCom ont, par ailleurs, conclu une autre transaction portant sur près de 3 milliards de DH, à travers l'acquisition par la Compagnie d'assurances RMA Watanya du Groupe FinanceCom, de 1,4 millions de titres CGI, soit 8 pc du capital de cette filiale du groupe CDG, au prix unitaire de 1937 DH.

Une opération stratégique précédente, initiée en janvier dernier entre les deux groupes, avait concerné une autre transaction record et porté sur plus de 800 millions d'Euros dans le secteur Télécom, a rappelé le communiqué, notant que pour la première fois entre des investisseurs marocains en partenariat public/privé, il y a eu acquisition conjointe de la totalité du capital de Méditélécom.

Source : MAP

Citation :

Formation d’ingénieurs: La France s’implique

Une école d’ingénieurs française va ouvrir ses portes à la rentrée universitaire 2010/2011 au Maroc. Le projet est porté par les 5 écoles centrales de France (Paris, Lyon, Lille, Nantes, Marseille) et devrait également inclure une classe préparatoire. Une source proche du dossier confie que l’établissement sera construit sur le modèle de l’école centrale de Pékin, construite en 2005. Cette formation en 5 ans est financée par des entreprises françaises installées en Chine, par le gouvernement et l’université chinois. Au Maroc, le montage financier de ce projet est gardé encore secret. A noter que le nombre d’étudiants marocain en France est tombé de 35.000 en 2004 à 27.000 en 2007.

L´Economiste

Citation :

Tanger Automotive City: Lancement des appels d’offres

La cité de l’automobile de Tanger, (Tanger Automotive City, TAC) est entrée en piste. TMSA vient de lancer un appel d’offres pour des travaux de terrassement d’assainissement et de voirie pour la future zone industrielle. Ces travaux porteront sur la première tranche du projet de 50 hectares. Ce dernier est accéléré avec l’entrée en service prochaine de Renault à Melloussa et avec les prémices de la récupération du secteur automobile au niveau mondial. TAC devra répondre aux besoins des constructeurs automobiles et en particulier à ceux de leurs fournisseurs, équipementiers en premier lieu.


L'eco

OOPS!! sorry

Regarde plus haut Juba

Citation :

Maroc : Un Groupe Koweïtien investit et projette de construire huit unités hôtelières

Le groupe koweitien «Attaamir», spécialisé dans l'investissement immobilier et touristique projette de construire huit unités hôtelières au Maroc, a annoncé, samedi dernier à Fès, le PDG du groupe, Fawaz Majid Al Badr.

Le groupe va implanter des enseignes de sa chaîne internationale «Ramada» dans les villes de Casablanca, Marrakech, Rabat, Agadir et Fès. Avec un capital social qui est passé à 100 millions de dollars, la société possède l'exclusivité du développement commercial des hôtels «Ramada» dans plusieurs pays et prévoit de développer un hôtel «Ramada Encore» (3 étoiles) à Fès. Il compte aussi construire un hôtel 3 étoiles de 195 chambres à Tanger sur une superficie de 5.000 m2.

Synt-L'Economiste/Map - Mardi 23 mars - 13h59

Citation :

DENSO investit en Tangier.
Une usine pour le production de systémes de climatisation automobile.





DENSO to Establish New Company in Morocco to Produce Car Air Conditioning Systems


Kariya, Mar 23, 2010 - (JCN Newswire) - DENSO Corporation will establish a new company in Tangier, Northern Morocco, Africa, to produce car air conditioning systems on April 1. The construction of its plant is scheduled to be completed in April 2011. The new company, DENSO Thermal Systems Morocco S.A.R.L., will start operations in December of the same year. The company is capitalized at 2.5 million euro and will invest up to 11.4 million euro by fiscal year 2011. DENSO Thermal Systems Morocco is expected to post sales of 12 million euro in fiscal year 2013.

The new company is DENSO's second production base in Africa and will offer car air conditioning systems to plants of automakers in the country.

About Denso

DENSO Corporation (TSE: 6902), headquartered in Kariya, Aichi prefecture, Japan, is a leading global supplier of advanced technology, systems and components. Its customers include all the world's major carmakers. Worldwide, the company employs approximately 120,000 people in 33 countries and regions, including Japan. Consolidated global sales for the fiscal year ended March 31, 2009 totaled US$32.0 billion. DENSO common stock is traded on the Tokyo, Osaka and Nagoya stock exchanges.


Source: http://www.earthtimes.org/articles/s...#ixzz0iz8CWAls

Citation :

Maroc : Une école de pilotes à Benslimane, la première école priée en Afrique
· Coût de la formation 700.000 DH

UNE première. Une école de formation de pilotes de ligne au Maroc ouvrira ses portes dés avril prochain. Il s’agit de l’International Aéro Training Center (IATC), école qui sera installée à Benslimane.

La première activité d’IATC sera la formation de pilotes. Son statut d’école privée s’inscrit dans le cadre d’une stratégie répondant aux besoins du secteur de l’aéronautique civile. «Nous participons à la sécurité en formant les futurs pilotes de lignes et aussi en formant des instructeurs», confirme Mohamed Mengouchi PDG de l’IATC.

Le projet a nécessité près d’un million d’euros d’investissement et a été financé par Mengouchi et ses partenaires. Depuis 1992, Mengouchi a investit dans des écoles de formation d’hôtesses de l’air. Implantées à Casa, Marrakech et bientôt Fès, ces écoles forment en moyenne 1.000 hôtesses de l’air, notamment à la demande du marché du Moyen-Orient et du Golfe.

En partenariat avec les centres de formation de pilotes européens, l’IATC disposera de moyens techniques et pédagogiques aux normes internationales. Des groupes de formateurs français viendront renforcer la qualité du cursus.

Etre pilote coûte cependant cher : 700.000 DH pour deux ans de formation. Le candidat devra être détenteur d’un bac scientifique. Mengouchi a conclut un partenariat avec la Société Générale. Elle financera la formation de ces pilotes et même une partie de leur hébergement, sous forme de prêts étudiants. Ils pourront rembourser en plusieurs échéances étalées sur 15 ans une fois le lauréat inséré dans la vie active.

Les cours devront commencer le 15 avril prochain. La licence que délivrera l’école est une OACI valable pour voler dans le monde entier. En plus d’une licence JAR, pour voler dans les pays européens. Les autorités marocaines de tutelle (l’Aviation Civile Marocaine) délivreront ces licences. Une licence OACI se réfère à l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) qui dépend des Nations-Unies.

Son rôle est de participer à l’élaboration des normes qui permettent la standardisation du transport aéronautique international (les vols à l’intérieur d’un même pays ne sont pas concernés par l’OACI). Le conseil de l’OACI adopte les normes et recommandations règlementant la navigation, le partage des fréquences radio, les brevets du personnel d’aviation, la circulation aérienne, etc. Il définit aussi les protocoles à suivre lors des enquêtes sur les accidents aériens.

Quand aux JAR FCL1 et JAR FCL2, ils régissent l’octroi des licences de vol, et fixent les conditions nécessaires à la mise en œuvre d’une formation aéronautique reconnue sur le plan européen, ainsi qu’aux examens d’aptitude. Depuis 1999, tous les établissements de formation ont l’obligation d’instruire les futurs pilotes, conformément aux exigences et objectifs de ces règlements.

Hafsa BENMCHICH

Maroc : Méga fusion entre la SNI et l’ONA

Citation :

Les conseils d’administration de SNI et ONA ont décidé lors d’une réunion le 25 mars 2010, de la fusion entre les deux entités. Un holding d’investissement devrait remplacer ces deux entités phares de la place financière casablancaise.

La SNI et l’ONA se retireront donc de la cote puis fusionneront. Deux offres publiques de retrait seront déposées sur les deux titres au prix respectifs de 1900 dirhams et de 1650 dirhams/l’action. Les deux valeurs cotaient respectivement à 1 832 et 1 325 à la clôture du marché boursier, jeudi 25 mars. L’annonce de cette information, vendredi matin, a provoqué une véritable ruée en Bourse sur des valeurs comme CIH et Addoha qui frôlaient les 6% à la mi-journée alors que le bloc ONA-SNI formé des valeurs (ONA, SNI, Cosumar, Lesieur, Centrale Laitière, Attijariwafa Bank, Wafa Assurance, Lafarge Ciments, Sonasid, Managem, et SMI) était suspendu à la demande du gendarme du marché (Le CDVM).


Bourse de Casablanca



Ce projet a également pour objectif l’autonomisation des entreprises détenues ayant atteint un stade de développement pérenne à travers la cession de leur contrôle au marché. Cas de certaines filiales comme l’ensemble Centrale Laitière-BIMO-Sotherma, Cosumar, Lesieur. De quoi donner plus de flottant à la Bourse de Casablanca. Pour rappel, la Centrale Laitière a clôturé la séance du 25 mars en tête des progressions (+5, 69%), avec un volume relativement faible.

Une nouvelle philosophie

«Le nouvel ensemble agira désormais en tant qu’actionnaire professionnel, catalyseur de création de valeur dans des entreprises leaders et incubateur de projets structurants », précise-t-on. L’objectif principal de la réorganisation vise à dépasser la vocation de groupe multi-métiers au profit de celle de holding d’investissement exerçant un seul métier, celui d’actionnaire professionnel. Parmi les changements attendus, l’évolution du mode de gouvernance à travers le passage d’une gestion opérationnelle directe à un pilotage stratégique par le biais des organes de gouvernance. En investisseur stratégique, l’ONA-SNI détiendra désormais des participations significatives mais non majoritaires à l’exception des contrôles conjoints à l’instar de Lafarge Maroc et Sonasid (sidérurgie) pour lesquels la gestion est confiée à des partenaires métiers mondiaux, de l’incubation de nouveaux projets ou de participations en développement (Wana, Marjane, Onapar, Nareva Optorg).

Quoi qu’il en soit, avec ce retrait de la cote suivie du renforcement de flottants sur des entreprises aussi rentables que Lesieur et Centrale Laitière, la première Bourse du Maghreb s’est donnée l’électrochoc nécessaire pour reprendre un envol interrompu au lendemain de la faillite de Lehman.

A.W

http://www.lesafriques.com/actualite/maroc-mega-fusion-entre-la-sni-et-l-ona.html?Itemid=89?article=232370

Cherokee a écrit:

Maroc : Méga fusion entre la SNI et l’ONA
A.W

http://www.lesafriques.com/actualite/maroc-mega-fusion-entre-la-sni-et-l-ona.html?Itemid=89?article=232370[/quote]
Wow Ce sera la fusion du siècle pour le Maroc.
Eh oui, ainsi va le monde. Vont fusionner l'ONA, entreprise crée à l'origine par la Banque de Paris et des pays bas, la fameuse PARIBAS, suite à la conférence d'Algésiras, en 1906, pour récupérer les 60 millions de Francs prêtés au Sultan Moulay Abdelaziz et dilapidés par ce dernier. On sait par la suite qui est devenu actionnaire de cette entreprise tentaculaire, dont l'image est si liée à l'exploitation coloniale. Et la SNI, qui est une holding publique, crée à l'origine pour servir les intérêts du peuple marocain. Jusqu'à sa privatisation...
Et maintenant sa fusion avec l'ONA...

Citation :

Equipement automobile : Inergy automotive systems s'installe à Tanger

L'entreprise franco-belge investit 16,8 MDH dans une usine qui sera construite dans la zone franche de Tanger.
Elle accompagne le groupe Renault-Nissan qui représente le quart de son chiffre d'affaires mondial.
Malgré la crise internationale qui a touché de plein fouet le secteur automobile, le Maroc continue d’attirer les équipementiers et autres sous-traitants automobiles. En effet, après l’espagnol CIE Automotive, le français AB Serve et le canadien Alcoa Fixations qui y ont déballé leur baluchon en 2009, un autre grand équipementier européen vient de s’installer dans la zone franche de Tanger. Il s’agit d’Inergy automotive systems (IAS), leader mondial des systèmes à carburant et réservoirs à essence en plastique basé à Paris. La filiale locale, Inergy Automotive Systems Morocco (IASM), est la deuxième implantation africaine sur le continent, après celle de l’Afrique du Sud. Dotée d’un capital de 16,8 MDH destiné à couvrir ses investissements de démarrage, cette entité devrait être opérationnelle dès le deuxième semestre de l’année en cours. Elle vient compléter le dispositif industriel international de la maison mère qui compte plus de vingt sites de production répartis sur 17 pays dont la Chine, l’Inde et plusieurs pays de l’Europe de l’Est.

23 sites et 16 pays d'implantation

IASM consolide également la politique de proximité avec les principaux clients tels Renault-Nissan qui représente à lui seul 25% des ventes mondiales du groupe. A l’instar de sa consœur russe installée en 2009 à Stavrovo, à 200 km de Moscou, IASM devra livrer des systèmes à carburant en plastique pour les modèles Renault/Dacia Logan et Sandero qui sortiront de la future usine de Renault à Tanger-Melloussa dès fin 2010.
Rappelons qu’IAS est né en 2000 de la fusion des activités plastiques d’installations carburant du français Plastic Omnium et d’une des divisions du chimiste belge Solvay. Toujours contrôlé à parts égales par ses fondateurs d’origine, ce groupe emploie (avant l’implantation marocaine) plus de
4 500 employés et dispose de 23 sites de production dans 16 pays. Il revendique un chiffre d’affaires de 1,1 milliard d’euros (12,5 milliards de DH).
Pour répondre aux normes environnementales, la société avait créé en 2009 un système qui permet une réduction importante de la concentration d’oxydes d’azote dans les gaz d’échappement des moteurs diesel et la technologie de soufflage TSBM (Twin-Sheet Blow-Molding) de système à carburant en plastique qui réduit les émissions de composants organiques volatils.
J.B
29-03-2010

Citation :

Logistique : RREEF et Aurea signent une joint-venture au Maroc


RREEF, la filiale de gestion d´investissements immobiliers du groupe Deutsche Bank AG, et la société Aurea Real Estate ont annoncé la création d´une joint-venture dédiée au développement et à l´exploitation de parcs logistiques au Maroc. La nouvelle entité opèrera via la société Ardim, plateforme de RREEF dans la région. Elle aura pour objet la construction de parcs industriels et logistiques aux standards internationaux dans les grands pôles du Maroc. Ces installations seront destinées aux principaux logisticiens et chargeurs présents dans le pays.
« Le Maroc est la diversification géographique parfaite pour Aurea, par sa proximité avec les pays où nous sommes présents et par son fort potentiel de croissance en immobilier logistique. L´association avec RREEF donne de la visibilité et de la crédibilité à notre projet de devenir le promoteur immobilier logistique de référence au Maroc », souligne Maxime Barkatz, managing director d´Aurea.


BI

le Maroc a exporté 10000 autos au cours de l'année derniére ..

Citation :

Comment faut-il lire la fusion des holdings ONA /
SNI et l’annonce
faîte par le top management du holding royal d’ouvrir
davantage le
capital de certaines de ses principales filiales en cédant
des
volumes conséquents sur le marché boursier ?
De prime abord, cette orientation stratégique est un véritable tournant
avec en toile de fond l’amorce de la recomposition du paysage économique
et…financier. On peut également y voir une volonté de moderniser
l’économie nationale avec la mise en concurrence de certains secteurs
d’activités comme le sucre, le lait ou encore l’huile de table dont les
leaders ne seront plus les filiales de la holding royale.

Ainsi, la Centrale laitière, détenue à hauteur de 55 % par l’ONA et 8,3 %
par la SNI, s’apprête à ouvrir son capital, au même titre que la
filiale Cosumar (sucre), 55 % ONA et 7,09 SNI et que Lesieur (55 % ONA,
20 % SNI).

Du côté du top management, on parle de «maturité atteinte par certaines
filiales» pour justifier l’ouverture au capital (Centrale Laitière,
Cosumar, Lesieur). Un argument qui ne peut expliquer, à lui seul,
l’opération de retrait partiel de la bourse. Et si tel est le cas, cela
voudrait-il dire que le groupe cède les entreprises qui n’ont plus un
potentiel de croissance important et garde celles qui ont de meilleures
perspectives de croissance : nouvelles technologies, banques, énergies
renouvelables, grandes distributions,…

La nouvelle holding qui naîtra des cendres de SNI / ONA, devrait
engranger une importante manne financière à la suite des cessions en
bourse. Dans l’hypothèse extrême d’une cession de la totalité des
participations détenues par les holdings ONA et SNI dans les tours de
table de Cosumar, Lesieur et Centrale Laitière, la nouvelle holding
engrangera une manne de plus de 13 milliards de dirhams. De quoi
envisager l’avenir sereinement….

Du cash qui pourra être rétribué aux actionnaires des deux holdings (SNI
et ONA) et/ou drainé vers d’autres activités jugées plus prometteuses.
Notamment dans le secteur des énergies renouvelables dans lesquelles la
nouvelle holding pourra compter sur sa filiale Nareva qui se positionne
déjà comme un futur acteur incontournable dans le développement des
énergies renouvelable (éolienne aujourd’hui et peut-être solaire
demain).

Autre interrogation de taille. La cession d’actions, initiés par ONA et
SNI, aura-t-elle des répercussions sur la dynamique de la bourse de
Casablanca, en berne depuis plusieurs mois ? Selon des observateurs de
la place, rien n’est moins sûr. Si on s’attend à une augmentation du
flottant des trois valeurs -Centrale Laitière, Cosumar et Lesieur- sur
le marché boursier, il n’est pas du tout certain que ces valeurs
puissent remplacer les holdings.

Par ailleurs, ces entreprises perdront un peu de leur valeur
«psychologique» liée à leur appartenance aux holdings royales. De plus,
«une valeur comme Centrale laitière qui s’échange autour de 10 500
dirhams reste non liquide et aura donc un impact très faible sur les
échanges du marché», souligne un analyste financier. C’est dire que le
marché boursier va perdre au change.

Et enfin, cette opération en laisse entrevoir d’autres qui ne manqueront
pas d’impacter le cadre macroéconomique et le microcosme financier
local. Certains observateurs avertis s’interrogent sur la future
configuration économique à moyen terme ? Des investisseurs étrangers
seront-ils sensibles aux signaux ? La concurrence (loyale)
prendra-t-elle le pas sur la concurrence…déloyale ?

Rachid Hallaouy
Copyright Yabiladi.com

Citation :

Tunisie -Energie: La STIR voudrait importer du gasoil et de l’essence marocains

• Une délégation de la Société tunisienne des industries de raffinage ( STIR )effectuera une mission de trois jours au Maroc, les 12, 13 et 14 avril 2010. Selon WMC arabe, Ibrahim Laâjimi, PDG de la société, a affirmé que cette délégation étudiera la possibilité d’importation de produits pétroliers (gasoil et essence) dans le cas où la production marocaine enregistre un excédent.
  
• 
  L’importation de ces produits se fera à travers deux armateurs tunisiens afin de réduire les coûts de transport, et ce d'autant plus que les services de transport offerts par les pays européens sont très onéreux.
  
• 
  Rappelons que des accords ont récemment été signés entre les ministères de l’Industrie et la Technologie et Transport avec quatre sociétés pétrolières tunisiennes de transport des produits pétroliers, d’une durée de cinq années.
  

managercenter - 30 Mars 2010

Avec l'investement Grade attribué par Standard&Poors et celui du Fitch Ratings en 2007, On peut s'endetter L'esprit tranquil maintenant .... Mais Attention à ne pas tomber dans la même bulle spéculative qu'a tué la Gréce, à nous de ne pas céder à la "folie" de l'endettement !

Citation :

Maintenant qu’il est mieux coté sur le marché financier international, quel est le montant que le Maroc compte lever? «Il sera fonction de notre appréciation des besoins de financement de l’économie nationale», répond Salaheddine Mezouar, ministre des Finances. Le degré d’intérêt exprimé par les investisseurs internationaux constituera également un élément d’appréciation pour la détermination de l’échéance et du montant des fonds à lever. Ainsi, pour financer ses chantiers structurants, le Maroc compte lancer une émission obligataire en euros, d’une maturité de 10 ans à l’image de la levée de fonds réalisée en 2007 et qui avait porté sur 500 millions d’euros. «Aujourd’hui, il y a un gros appétit pour le papier Maroc et nous sommes en train de discuter avec de grandes banques internationales», affirme Zouhair Chorfi, directeur du Trésor.

L'économiste

Nano a écrit:

Avec l'investement Grade attribué par Standard&Poors et celui du Fitch Ratings en 2007, On peut s'endetter L'esprit tranquil maintenant .... Mais Attention à ne pas tomber dans la même bulle spéculative qu'a tué la Gréce, à nous de ne pas céder à la "folie" de l'endettement !

Citation :

Maintenant qu’il est mieux coté sur le marché financier international, quel est le montant que le Maroc compte lever? «Il sera fonction de notre appréciation des besoins de financement de l’économie nationale», répond Salaheddine Mezouar, ministre des Finances. Le degré d’intérêt exprimé par les investisseurs internationaux constituera également un élément d’appréciation pour la détermination de l’échéance et du montant des fonds à lever. Ainsi, pour financer ses chantiers structurants, le Maroc compte lancer une émission obligataire en euros, d’une maturité de 10 ans à l’image de la levée de fonds réalisée en 2007 et qui avait porté sur 500 millions d’euros. «Aujourd’hui, il y a un gros appétit pour le papier Maroc et nous sommes en train de discuter avec de grandes banques internationales», affirme Zouhair Chorfi, directeur du Trésor.

L'économiste

oui surtout que notre dette actuelle n'est pas si grande et qu'on la maitrise parfaitement
si on s'endette il faudra le faire pour des projets qui rapporte aussi

Citation :

La filiale marocaine du groupe Gefco a remporté un contrat auprès de Renault pour la distribution de 15.000 véhicules cette année. Ce nouveau marché doit d’ailleurs amener l’enseigne, qui distribue déjà près de 55.000 voitures pour Renault mais aussi Peugeot, Dacia et Citroën, à renforcer ses capacités de stockage.

l'eco

Citation :

Maroc: Stokvis prend pied au Sénégal !

Stokvis, spécialisée dans les secteurs des engins de BTP, mines et carrières, et agricole, prend pied au Sénégal. Ce groupe présent également dans les domaines du matériel de manutention, de froid et climatisation, de rayonnage et du nettoyage, entre dans le capital de son alter ego sénégalais Afco, à hauteur de 51%. Pour l’heure, le montant du ticket d’entrée est gardé secret.

Créée en 1957, Afco est spécialisée dans la vente, la maintenance et la fabrication de matériaux de l’industrie dans divers secteurs, notamment le BTP, les mines, l’agriculture, pétroliers,… Elle opère aussi en Guinée, Mali, Guinée Bissau, Mauritanie, Gambie et les îles du Cap Vert.

L'economiste