Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine | |
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Auteur | Message |
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H3llF!R3 Colonel
messages : 1600 Inscrit le : 23/05/2009 Localisation : XXX Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 1 Déc 2009 - 16:33 | |
| Rappel du premier message : Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ... Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère ! _________________ | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 4 Aoû 2010 - 23:29 | |
| - juba2 a écrit:
- PGM a écrit:
- un rapport de la fondation Bouabid fait actuellement bcp de bruit, cependant, impossible de mettre la main dessus, y compris sur le site de la fondation, est-ce que quelqu'un saurait comment se le procurer ?
Rapport de la Fondation Abderrahim Bouabid : Le Maroc a-t-il une stratégie de développement économique?
Merci de vos bons soins.
PGM Not a big deal. C'est un rapport fait avec une pensee critique socialiste,pas par des gens pragmatiques,c'est surtout academiques et theoriques,ils n'ont pas fait une corolation macro/micro economiques pour en sortir une synergie,c'est plutot macro enomiques.C'est du bla bla et discour de tous les jours.Je critique mais je n'ai pas de solution. Corolation???????? je pense que le seul blabla c'est la phrase que tu as ecrit. CORRELATION macro/micro? tu m'as tellement fait rire que j'ai du me deplacer une vertebre. Je pense qu'il vaut mieux que tu t'abstiennes de faire la moindre critique economique. Pour ceux qui sont serieux (donc tout le monde hormis Juba), le rapport met en avant le manque de competences economiques au sein des partis et du gouvernement. C'est une critique qui est partagee par un grand nombre. Nous avons pousse les universites a se concentrer sur les "sciences appliquees" (ingenieurs, gestion) au detriment des sciences fondamentales (y compris l'economie)... Aujourd'hui, nous n'avons pas assez de personnes capables d'etudier scientifiquement les resultats possibles d'une politique ou strategie donnee (il y en a mais ils vieillissent vite et ne sont pas remplaces). La suite du rapport se concentre sur le fait suivant: Nous avons tout une serie de plans (emergence , vision2010, Maroc numerique) mais ces plans ne sont pas coordonnes necessairement et ne conduisent pas necessairement a un impact sur le long terme. On le voit, avec tous les projets d'infrastructure (qui sont necessaires bien entendu) qui sont lies aux differents plans, nous nous retrouvons avec une veritable hemoragie de devise etrangere... car nous n'avons pas coordonne le renforcement de notre industrie d'exportation... En fin de compte, on ne peut qu'etre d'accord avec le rapport: Il n'y a pas de strategie de developpement economique au Maroc. Il y a differents plans independants qui ne sont pas vraiment coordonnes et dont l'impact global n'a pas ete etudie. Maintenant, un pays peut vivre sans une strategie generale de developpement mais il faut une entite centrale pour s'assurer qu'il n'y a pas de surchauffe... Pour moi, c'est la banque centrale. Bank Al Maghrib joue ce role et a reussi a eviter une catastrophe ces derniers mois mais la situation devient de plus en plus compliquee si nous n'arrivons pas a accroitre les entrees en devises rapidement. Juba, c'est ca que tu voulais dire par "corolation"? non, je rigole Edit : Alphatango C'est quoi ces manières de répondre à un autre membre ? Je crois que je n'ai pas besoin de t'en dire plus Samyadams |
| | | RadOne Capitaine
messages : 815 Inscrit le : 11/10/2009 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 5 Aoû 2010 - 0:03 | |
| - alphatango a écrit:
nous nous retrouvons avec une veritable hemoragie de devise etrangere... car nous n'avons pas coordonne le renforcement de notre industrie d'exportation... Et cette hémoragie est pas finie, il semblerait que Meditel va être vendu à Orange (et ne vas plus rester 100% marocaine, l'info est à confirmer)... Quand orange va rapatrier ses bénéfices en France, ça va faire mal à nos stocks de devises .... | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 5 Aoû 2010 - 17:03 | |
| Sammy, merci mais il y a toujours des gens qu'au lieu de debattre des sujets d'une maniere civilises ,ce genre de gens s'appelle des eduquer, il y a ceux qui utilisent du sarcasme pour justifier leur niveau intellectuelle, ce genre de gens on les appelle ..............? je respecte ce forum et ses membres afin de ne pas etre un arriviste... | |
| | | H3llF!R3 Colonel
messages : 1600 Inscrit le : 23/05/2009 Localisation : XXX Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 5 Aoû 2010 - 18:00 | |
| - RadOne a écrit:
- alphatango a écrit:
nous nous retrouvons avec une veritable hemoragie de devise etrangere... car nous n'avons pas coordonne le renforcement de notre industrie d'exportation... Et cette hémoragie est pas finie, il semblerait que Meditel va être vendu à Orange (et ne vas plus rester 100% marocaine, l'info est à confirmer)... Quand orange va rapatrier ses bénéfices en France, ça va faire mal à nos stocks de devises .... Personne n'est actionnaire a 50+ % de meditel, alors il faudra a Orange racheter les parts d'au moins 2 des 3 actionnaires principaux.... Et je doute que ce soit possible ... Mais au pire, on ne perd pas plus d'une cinquantaine de millions € par ans... _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 5 Aoû 2010 - 19:08 | |
| - Citation :
- Inwi cartonne au Maroc
3 août 2010
Au deuxième trimestre de l’année, Inwi, marque commerciale de Wana Corporation, a augmenté son parc d’abonnés de 22% pour 1,6 millions de clients contre 1,3 millions au premier trimestre de l’année. Dernier opérateur arrivé sur le marché marocain, Inwi devance de loin ses concurrents en terme de croissance.
Le parc d’abonnés du premier opérateur du Royaume, Maroc Telecom, a pour sa part augmenté de 2,06% au deuxième trimestre de l’année pour 15,9 millions de clients. Quant à Méditel, deuxième opérateur sur le marché marocain, il compte aujourd’hui 10,4 millions de clients en hausse de 2,14%.
Au total, IAM s’accorde 57,03% de part de marché, Méditel 37,29% et Inwi 5,68%. Le prépayé reste la formule prédominante avec 96,13% du marché.
Côté internet, la parc national compte 1,5 millions d’abonnés et c’est la connexion 3G qui est la plus prisée alors que l’ADSL stagne depuis bientôt 2 ans.
bladi
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| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 6 Aoû 2010 - 2:30 | |
| Normal , vu leur Offres "Agressives". ca fait carton.. et c'est pas encore fini , ca vise plus haut. | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 6 Aoû 2010 - 17:38 | |
| - Citation :
- Centres d'appel : « M. Wauquiez a fait preuve d'ignorance à l'égard du Maroc » selon Ségolène Royal
En séjour au Maroc, Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, a pris position sur le dossier des délocalisations de centres d'appel français vers le Maghreb. Elle a condamné les propos protectionnistes de Laurent Wauquiez. Propos que Michel Müller, ancien SG de la CGT du livre et de la communication, considère comme « démagogiques ».
Sur le dossier d'entreprises françaises délocalisant des parties de leurs activités à l'étranger, les traditionnels clivages gauche-droite s'estompent. L'Economiste en fournit un nouvel exemple ce jeudi, 5 août, en publiant une intervention de Ségolène Royal, ancienne candidate du Parti Socialiste aux élections présidentielles de 2007, sur le sujet des centres d'appels offshore au Maroc et en Tunisie.
La présidente de la région Poitou-Charentes, en séjour au Maroc, a réagi dans les pages de l'Economiste à la proposition avancée à la mi-juillet par Laurent Wauquiez de tenir des assises des centres d'appel en France. L'objectif du secrétaire d'Etat à l'Emploi est d'élaborer un plan d'action contre les délocalisations, pour garder les implantations des entreprises du secteur en France.
Sans nommer expressément le Maroc, il était tout de même le premier visé par ces déclarations, étant donné qu'environ la moitié des centres d'appel délocalisés opèrent ici. 30 000 des 60 000 salariés des centres d'appel offshore sont employés au Maroc, suivi de la Tunisie avec 12 000 salariés, selon des chiffres du ministère français de l'Emploi. Pour comparaison, en France, le secteur emploie environ 230 000 personnes.
Les déclarations de M. Wauquiez ont fait couler beaucoup d'encre, notamment au Maroc, où le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ahmed Reda Chami, estimait que s'il « n’est pas encore temps de polémiquer », il est néanmoins « clair que les pistes évoquées [par M. Wauquiez] sont contraires à l’esprit d’ouverture économique ».
Les propos de Ségolène Royal vont dans la même direction que ceux du ministre marocain. Elle affirme que « M. Wauquiez a fait preuve d'agressivité et d'ignorance à l'égard de pays comme le Maroc et la Tunisie. » Selon elle, « menacer, comme il l'a fait, tout un secteur économique, qui a consenti beaucoup d'effort en équipements et en formation professionnelle, est contraire à l'esprit du codéveloppement entre la France et les pays de la Méditerranée. »
Plaçant ainsi la question dans un cadre plus large que celui de mesures chocs pour l'emploi en France, Ségolène Royal attaque de nouveau Wauquiez, estimant que dans « un partenariat respectueux et intelligent […], les déclarations péremptoires et injustifiées n'ont pas leur place ».
S'agit-il d'une simple attaque politicienne contre Wauquiez, ou plutôt d'un début de prise de position sur ce dossier sensible pour un parti de gauche que constituent les délocalisations? Difficile à dire. Dans le second cas, Mme Royal pourrait cependant compter sur l'appui quelque peu inespéré de l'ancien secrétaire général de la FILPAC CGT (Fédération des travailleurs des Industries du Livre, du Papier et de la Communication CGT), Michel Müller, interrogé également par l'Economiste.
Ce dernier critique également les propositions de Wauquiez de surtaxer les appels en provenance des centres implantés à l’étranger, d'attribuer des aides et des allègements de charges sociales aux entreprises restant en France, et de contraindre les centres d'appels d’annoncer à leurs clients leur localisation géographique. Selon Müller, « les travailleurs n'ont rien à gagner dans de telles mesures ». Au contraire, les « réactions épidermiques » telles que celle de Laurent Wauquiez aggraveraient même les problèmes de l'emploi. Frederic Schmachtel Copyright Yabiladi.com
Plutot cool avec le maroc pour une socialiste. Il est vrai que son compagnon est d'origine marocaine. PGM PGM | |
| | | jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 6 Aoû 2010 - 21:55 | |
| elle a comprit que le Maroc aidait les locataire de l'Élysée a chaque fois exemple de chirac et de sarkozy !!! maintenant elle ménage le Maroc | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 6 Aoû 2010 - 21:59 | |
| - younes-spirit a écrit:
- elle a comprit que le Maroc aidait les locataire de l'Élysée a chaque fois exemple de chirac et de sarkozy !!!
maintenant elle ménage le Maroc C'est ce que l'on appelle la main invisible du maghzen. C'est simple, un séjour en hotel 5 étoiles au frais de la princesse, de la bonne bouffe et du bon vin, le soleil ainsi que la piscine, tu mélanges le tout et sa formate les plus récalcitrants _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | ready Capitaine
messages : 945 Inscrit le : 21/07/2010 Localisation : loin !! Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 6 Aoû 2010 - 23:34 | |
| - PGM a écrit:
-
- Citation :
- Centres d'appel : « M. Wauquiez a fait preuve d'ignorance à l'égard du Maroc » selon Ségolène Royal
En séjour au Maroc, Ségolène Royal, présidente de la région Poitou-Charentes, a pris position sur le dossier des délocalisations de centres d'appel français vers le Maghreb. Elle a condamné les propos protectionnistes de Laurent Wauquiez. Propos que Michel Müller, ancien SG de la CGT du livre et de la communication, considère comme « démagogiques ».
Sur le dossier d'entreprises françaises délocalisant des parties de leurs activités à l'étranger, les traditionnels clivages gauche-droite s'estompent. L'Economiste en fournit un nouvel exemple ce jeudi, 5 août, en publiant une intervention de Ségolène Royal, ancienne candidate du Parti Socialiste aux élections présidentielles de 2007, sur le sujet des centres d'appels offshore au Maroc et en Tunisie.
La présidente de la région Poitou-Charentes, en séjour au Maroc, a réagi dans les pages de l'Economiste à la proposition avancée à la mi-juillet par Laurent Wauquiez de tenir des assises des centres d'appel en France. L'objectif du secrétaire d'Etat à l'Emploi est d'élaborer un plan d'action contre les délocalisations, pour garder les implantations des entreprises du secteur en France.
Sans nommer expressément le Maroc, il était tout de même le premier visé par ces déclarations, étant donné qu'environ la moitié des centres d'appel délocalisés opèrent ici. 30 000 des 60 000 salariés des centres d'appel offshore sont employés au Maroc, suivi de la Tunisie avec 12 000 salariés, selon des chiffres du ministère français de l'Emploi. Pour comparaison, en France, le secteur emploie environ 230 000 personnes.
Les déclarations de M. Wauquiez ont fait couler beaucoup d'encre, notamment au Maroc, où le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ahmed Reda Chami, estimait que s'il « n’est pas encore temps de polémiquer », il est néanmoins « clair que les pistes évoquées [par M. Wauquiez] sont contraires à l’esprit d’ouverture économique ».
Les propos de Ségolène Royal vont dans la même direction que ceux du ministre marocain. Elle affirme que « M. Wauquiez a fait preuve d'agressivité et d'ignorance à l'égard de pays comme le Maroc et la Tunisie. » Selon elle, « menacer, comme il l'a fait, tout un secteur économique, qui a consenti beaucoup d'effort en équipements et en formation professionnelle, est contraire à l'esprit du codéveloppement entre la France et les pays de la Méditerranée. »
Plaçant ainsi la question dans un cadre plus large que celui de mesures chocs pour l'emploi en France, Ségolène Royal attaque de nouveau Wauquiez, estimant que dans « un partenariat respectueux et intelligent […], les déclarations péremptoires et injustifiées n'ont pas leur place ».
S'agit-il d'une simple attaque politicienne contre Wauquiez, ou plutôt d'un début de prise de position sur ce dossier sensible pour un parti de gauche que constituent les délocalisations? Difficile à dire. Dans le second cas, Mme Royal pourrait cependant compter sur l'appui quelque peu inespéré de l'ancien secrétaire général de la FILPAC CGT (Fédération des travailleurs des Industries du Livre, du Papier et de la Communication CGT), Michel Müller, interrogé également par l'Economiste.
Ce dernier critique également les propositions de Wauquiez de surtaxer les appels en provenance des centres implantés à l’étranger, d'attribuer des aides et des allègements de charges sociales aux entreprises restant en France, et de contraindre les centres d'appels d’annoncer à leurs clients leur localisation géographique. Selon Müller, « les travailleurs n'ont rien à gagner dans de telles mesures ». Au contraire, les « réactions épidermiques » telles que celle de Laurent Wauquiez aggraveraient même les problèmes de l'emploi. Frederic Schmachtel Copyright Yabiladi.com
Plutot cool avec le maroc pour une socialiste. Il est vrai que son compagnon est d'origine marocaine.
PGM PGM Je n'excuserais jamais à cette femme le fait d'avoir boycotter le discour de feu SM Hassan II à Paris ! | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 7 Aoû 2010 - 0:44 | |
| - ready a écrit:
- Je n'excuserais jamais à cette femme le fait d'avoir boycotter le discour de feu SM Hassan II à Paris !
En politique, il n'y a pas de principes, si ce n'est un seul; les intérêts de la nation. En s'adapte aux différentes situations en fonction de ce seul principe. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 7 Aoû 2010 - 3:30 | |
| - Citation :
- Habillement
Un nouveau design pour Diamantine
· Un chantier qui sera bouclé fin 2011
· 16 magasins dédiés au vêtement traditionnel
Cure de jouvence pour Diamantine, la chaîne marocaine de prêt-à-porter traditionnel féminin ! Cette dernière vient de lancer un vaste chantier de refonte totale de son identité visuelle, du concept déco en magasin, du marchandising… Diamantine propose à sa clientèle des collections de châles, djellabas, tuniques et bijoux fantaisie depuis dix ans. «Il y a eu un saut qualitatif des produits qu’il fallait refléter au niveau des points de vente. Nous avons donc repensé tout le concept des magasins de manière à présenter et valoriser nos produits», explique Rita Bennani, responsable de communication et de marketing de Softgroup. Ainsi, le réaménagement intérieur des magasins a été revu par le cabinet 212 Conception. Désormais les locaux offrent à la clientèle des espaces modernes, épurés et accueillants. Le marchandising a été revu de façon à mettre en valeur les produits avec plus de visibilité et d’accessibilité. L’espace de vente et le choix des revêtements ont été conçus de manière à pouvoir accueillir les clientes dans un espace moderne. Le nouvel espace de vente Diamantine prévoit désormais trois zones: l’accueil, une zone articles quotidiens et une autre pour les vêtements de soirée. Chaque zone est segmentée à l’aide de bandes lumineuses pour faciliter le choix à la cliente. Par ailleurs, une rosace évoquant l’artisanat marocain constitue le nouveau logo de la chaîne. Diamantine a opté pour une signature, «Pure création marocaine» pour marquer son positionnement et son «territoire métier». Diamantine compte 16 points de vente à travers le pays, employant une soixantaine de personnes, sans compter les employés de la production. «L’objectif de la chaîne est de transformer l’ensemble des magasins d’ici fin 2011, et de continuer le développement de la marque», ajoute Rita Bennani. Diamantine, qui développe deux collections de prêt-à-porter traditionnel marocain par an, envisage d’étoffer son réseau de points de vente. Un nouveau magasin ouvrir d’ailleurs bientôt un nouveau magasin à Rabat. La chaîne est également présente à l’international, notamment en Algérie et à Dubaï. Diamantine est une filiale de Softgroup, une holding familiale qui opère à trois niveaux : textile, immobilier à travers Soft KLK et prises de participations dans diverses sociétés cotées en bourse. Softgroup est une holding intégrée et se situe en amont du textile. Une branche qui emploie 2.500 personnes et dont les usines s’étendent sur 120.000 m2. 50% du chiffre d’affaires du groupe provient du marché local, le reste est réalisé à l’export vers 30 pays.
H. E. http://www.leconomiste.com/article.html?a=102109 Diamantine est une filiale du leader de l'industrie du textile marocain Softgroup. un petit clin d'oeil à un certain khoroto - Citation :
- Portraits
Il a commencé aide-commerçant à Derb Omar, il est aujourd’hui un grand du textile Publié le : 12/05/2006
Son père le destinait au commerce et l’encourageait à quitter l’école pour officier dans son magasin de Derb Omar. Il a préféré l’industrie et dirige un groupe de 12 unités industrielles qui emploient 2 000 personnes. Cet homme au parcours exemplaire dans les affaires a eu le temps de réunir les dictons marocains dans un livre de 200 pages publié à compte d’auteur. Il s’investit sans relâche dans le mécénat.
Mohamed Kabbaj est un homme heureux et cela se voit de loin. Le bonheur qu’il affiche n’a rien à voir avec un quelconque signe extérieur de richesse, dont il n’est pourtant pas dépourvu. C’est du moins ce que laisse supposer son sourire rayonnant et qu’il voudrait contagieux. Sa devise : «N’arrêtons jamais de travailler, car ce n’est que de cette manière que nous pourrons semer la joie et la bonne humeur ». Pour notre homme, « le travail n’est pas synonyme de labeur ni de punition mais c’est un espace de créativité et d’émancipation».
Quand il visite les unités de production de son groupe, tout le monde sait qu’on peut parler de tout, y compris des problèmes, à condition de proposer une solution pour chaque problème soulevé, et pas n’importe laquelle. Et Mohamed Kabbaj de préciser sa pensée : «Le danger, le plus grand danger, ce ne sont pas les problèmes, ce sont les mauvaises solutions !».
Comment a commencé ce brillant industriel ? Né à Fès en 1943, dans une famille nombreuse de 8 enfants dont il est l’aîné, Mohamed commence comme aide - commerçant à Derb Omar dès l’âge de 12 ans. Son père attendait presque impatiemment qu’il redouble une classe pour l’installer comme dauphin dans le commerce de tissu qu’il détenait. Même sa mère était de la partie et le pressait d’en finir avec la classe, persuadée que son avenir était dans «sanaat bouk layghalbouk» (qu’on pourrait traduire par «capitalise sur le métier de ton père pour assurer ton avenir»). Il tiendra pourtant jusqu’au Bac, qu’il décroche en 1961 avant que son père ne le pousse à prendre en charge l’hanout (la boutique). En fait, il y a eu toute une période d’initiation pendant laquelle il savait qu’il n’échapperait pas à son destin. Ainsi en 1959, alors qu’il n’était encore qu’un adolescent, il avait été chargé par son père d’aller faire le marché des derniers produits en tissu à Lyon. Une chose courante à l’époque.
Sa première tentative de créer une unité industrielle en 1964 est un échec cuisant Sauf que le jeune Mohamed, lui, ne voulait pas être commerçant mais plutôt industriel. C’est alors qu’il commence, en 1964-65, par monter une affaire avec des membres de sa famille. Malheureusement, cette première tentative fut un échec. Il n’est pas rebuté pour autant, mais doit battre en retraite et se «réfugier» momentanément dans la boutique de Derb Omar. Ce n’était pour lui que partie remise. Il se refait et, en 1970, met sur pied une petite unité de fabrication et d’impression de tissu. Il recrute une vingtaine de personnes pour commencer et comprend très vite qu’il doit maîtriser toute la chaîne pour ne pas être à la merci d’éventuels sous-traitants. En 1990, il se décide à ouvrir une plateforme à Dubaï, puis une seconde en Arabie Saoudite. C’est à partir de là qu’il distribue sa production sur les marchés du Moyen-Orient. Ses châles, foulards et autres écharpes..., dont il vend la moitié au Maroc, tiennent la dragée haute à des produits que fabriquent des pays pourtant réputés pour leurs capacités concurrentielles, comme l’Indonésie, Singapour ou encore la Malaisie.
Son credo ? Ne jamais produire ailleurs qu’au Maroc M. Kabbaj n’aime pas parler chiffres, mais il suffit de dire qu’il emploie aujourd’hui plus de 2 000 personnes dans les douze unités de production que compte le groupe Soft qu’il dirige pour avoir une idée de l’ampleur des affaires de cet industriel visionnaire. Pour lui, le plus important, c’est de ne jamais songer à produire ailleurs que dans son pays, car, dit-il, «il est impératif pour moi que ce soient des Marocains qui fabriquent et continuent à imaginer et à produire ce que j’ai appris à commercialiser et à distribuer ailleurs». C’est en quelque sorte le patriotisme économique qu’il véhicule.
L’homme reste pourtant modeste et continue de travailler sans relâche. Ses journées commencent à 7h du matin, soucieux qu’il est de donner l’exemple à son personnel. Et, avec cela, il trouve le temps de recueillir les dictons marocains dans un livre de 200 pages, en arabe et français, qu’il publie en 1980 à compte d’auteur. Le succès ne se fait pas attendre et les deux premières éditions sont épuisées. Il travaille sur le même sujet et prépare un second livre où il veut consigner tous les aphorismes marocains à caractère humoristique, cette fois. Quand on l’interroge sur son dynamisme et sur les raisons qui le font se réveiller chaque jour aussi tôt, M. Kabbaj a un large sourire : «Une des raisons de mon succès, en dehors du fait que ma valeur à moi s’appelle le travail, c’est que je n’ai jamais rien entrepris pour gagner de l’argent. Pour moi, l’activité est une aubaine pour l’homme qui, en dehors, ne saurait rien faire de son énergie!».
Et quand, pour finir, on lui demande de raconter comment l’idée lui est venue de construire un hôpital à Sidi Bernoussi (100 lits toutes spécialités confondues), il devient subitement timide. Son explication est laconique. «Nombre de mes activités se trouvaient concentrées à Sidi Bernoussi et je ne pouvais pas ne pas remarquer qu’il y avait un besoin». Il ne tarda pas à concrétiser son idée. Après cette première action, qui a coûté 8 MDH, l’entrepreneur y prend goût. Il remet alors ça en finançant, pour 15 millions, l’unité cardiovasculaire du CHU Ibn Rochd de Casablanca. Mohamed El Mâaroufi http://www.lavieeco.com/portraits/1869-il-a-commence-aide-commercant-a-derb-omar-il-est-aujourdhui-un-grand-du-textile.html (famille Berrada) - Citation :
- Colorado s’offre une nouvelle usine
· La nouvelle unité permettra de doubler la production
· Un investissement de 95 millions de DH
· Le transfert du siège à Dar Bouazza à l’ordre du jour
COLORADO renforce sa capacité de production. Le fabricant de peintures a inauguré une nouvelle usine. Un investissement de 95 millions de DH, qui sera décliné en deux étapes. La première a déjà duré 12 mois. Située à Dar Bouâzza, la nouvelle unité de production de Colorado s’étend sur 9 hectares. En acquérant ce terrain, l’industriel pourra regrouper toutes ses usines sur un même site. Pourquoi la recherche d’un site a-t-elle pris autant de temps? La réponse se trouve dans un dahir qui remonte à 1914, qui considère les usines de fabrication de peinture comme des établissements classés et qui doivent, par conséquent, obéir à des critères rigoureux. C’est pourquoi les professionnels de la peinture réclament au gouvernement depuis plusieurs années une zone dédiée à leur industrie. «La construction de notre nouvelle usine constitue une opération originale. En effet, Colorado a pu obtenir une dérogation pour pouvoir construire cette usine à Dar Bouâzza. En contrepartie, notre entreprise s’est engagée à respecter un cahier des charges des plus rigoureux», explique Abed Chagar, directeur général adjoint. Mais bien avant cela, Colorado avait pris l’initiative de faire valider son étude d’impact par le comité interministériel. L’objectif étant d’être aux normes dès le départ, avant même la promulgation d’une loi rendant obligatoire la validation des études d’impact. En contrepartie du visa du comité national, Colorado a donc pris un certain nombre d’engagements d’ordre environnemental. Ainsi, l’entreprise s’est équipée pour recycler en permanence l’eau. Par ailleurs, aucune émanation ni déversement ne sortiront du site de production qui se veut «propre» selon les promoteurs du projet. La construction de cette nouvelle unité permettra à Colorado de tripler sa capacité de production, qui passe de 25.000 tonnes actuellement à 75.000 tonnes. Une production destinée essentiellement au marché local. 150 employés ont été affectés au nouveau site. La deuxième phase du projet de Colorado porte sur la construction des locaux destinés à accueillir à l’horizon 2012 le siège social de l’entreprise à Dar Bouâzza. Il s’agit en fait d’une composante du deal avec la commune accueillante. En effet, l’autorisation de construire une unité de production était assortie du transfert du siège. Ce qui va générer des recettes fiscales et donc des rentrées pour la collectivité. L’entreprise s’engage également recruter du personnel sur place et à participer à la réfection des routes au niveau du site. Dans 36 mois, Colorado aura transféré usines, hangars et administration à Dar Bouazza. Au départ, Colorado commercialisait divers types de peinture. Mais une étude stratégique interne a permis au top management de se rendre compte que l’entreprise perdait beaucoup d’argent dans ces créneaux peu rentables. Ainsi, la peinture industrielle représentait 10% du chiffre d’affaires de la firme mais les coûts directs et indirects ainsi que les coûts cachés étaient trop importants. Par conséquent, l’opérateur de la peinture a décidé d’abandonner les départements non fructueux (peinture industrielle et peinture carrosserie) pour se focaliser sur la peinture bâtiment. Un segment dont le chiffre d’affaires dépasse à lui seul celui des autres concurrents, tous créneaux confondus. «C’est d’ailleurs l’une des raisons qui ont fait le succès de notre entreprise jusqu’à fin 2009», déclare Chagar. Une date qui coïncide avec la signature d’un important partenariat commercial avec le numéro 6 mondial de la peinture, l’américain Valspar, officialisé en juin dernier. Un accord qui marque également le retour en force de Colorado sur le créneau de la peinture automobile.
45.000 tonnes
CRÉÉE en 1957, Colorado est entré en Bourse 2006. Année de l’entrée de Fipar Holding dans le capital de l’entreprise à hauteur de 15%. L’entreprise de peinture, qui emploie plus de 500 personnes, a distribué plus de 45.000 tonnes de peinture, s’appuyant sur six agences régionales et un réseau de plus de 2.000 points de vente. De plus, il dispose de plusieurs partenaires étrangers, notamment en Algérie, Mauritanie et Burkina Faso. D’autres débouchés internationaux sont actuellement en cours de prospection.
Hassan EL ARIF http://www.leconomiste.com/article.html?a=101934
Dernière édition par amine222 le Ven 13 Aoû 2010 - 10:45, édité 2 fois |
| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 8 Aoû 2010 - 4:12 | |
| Maroc : la Banque mondiale fait l’éloge de l’INDH - Citation :
Selon le dernier rapport annuel de la Banque mondiale (BM), le Maroc lutte contre la pauvreté avec une approche orientée vers le développement humain.
Dans son bulletin d’information destiné au pays de la région Afrique du Nord et Moyen-Orient, et sous l’intitulé "Le Maroc lutte contre la pauvreté avec une approche orientée vers le développement humain", la BM a souligné que depuis son lancement, l’INDH (Initiative nationale du développement humain) a financé plus de 20000 sous-projets et touché plus de 4,6 millions de bénéficiaires, dans 264 quartiers urbains et 403 communes rurales .
Tous les projets ont concerné des secteurs vitaux, comme les infrastructures, la promotion des compétences et des activités génératrices de revenus. La pauvreté reste dans une large mesure un phénomène rural. Presque un Marocain sur quatre est pauvre dans les zones rurales par rapport à un sur dix dans les zones urbaines.
Bien que la population rurale représente 46% de la population totale, 66% des pauvres vivent dans les zones rurales. Mais cela n’empêche pas que la pauvreté dans les régions urbaines est en croissance. La part des pauvres urbains est passée de 27% à 34% du nombre total des pauvres au cours des années 90, presque quatre fois plus vite que l’exode rural-urbain de la population.
Lancée il y a cinq ans, l’INDH est dotée d’un budget de 1,1 milliard de dollars, dont 100 millions provenant de la Banque mondiale. "Nous en entendons par la problématique sociale, qui constitue, pensons-nous, le défi majeur à relever pour la concrétisation de notre projet de société et de développement". C’est en ces termes que le roi Mohammed VI du Maroc avait annoncé, le 18 mai 2005, le lancement de l’INDH.
Celle-ci vise à lutter contre la pauvreté, l’exclusion et la précarité, à travers quatre programmes : "La lutte contre la précarité", "La lutte contre la pauvreté dans le milieu rural", "La lutte contre l’exclusion en milieu urbain" et "Le programme transversal". Bien qu’elle n’ait pas comme seul but la lutte contre la pauvreté et l’exclusion, l’INDH a apporté un diagnostic renouvelé des politiques publiques menées dans ce domaine et une nouvelle manière d’approcher les problèmes de pauvreté, d’exclusion et de précarité. En dehors des ressources affectées normalement aux secteurs sociaux par le budget de l’Etat, un financement ad hoc spécifique est institué (10 milliards de DH sur 5 ans).
Pour sa mise en œuvre, une enveloppe de 10 milliards de dirhams est allouée pour la période 2006-2010. Plus de 360 Communes rurales ont été identifiés pour bénéficier du programme de lutte contre la pauvreté en milieu rural, ainsi que 264 quartiers au niveau des 30 villes éligibles.
Le bulletin de la BM a dans ce cadre précisé que cette initiative vise à offrir aux démunis des soins de santé, un soutien psychologique, une éducation et une formation professionnelle adaptées, ainsi qu’à favoriser leur réinsertion dans la société. "Nous avons déjà constaté des résultats significatifs sur le terrain", affirme Mohamed Medouar, responsable du projet de la Banque mondiale en appui à l’INDH.
Rappelons que pour l’accompagnement de ce grand projet, le roi a nommé, le 21 juillet 2006, Rachid Belmokhtar à la tête de l’Observatoire de cette structure qui revêt une grande importance en matière de réalisation du développement. L’Observatoire de l’INDH, qui se compose de 24 membres, représentant la société civile, l’administration publique, les entreprises et le monde politique, a pour mission d’observer et d’analyser les données fondamentales se rapportant au développement en général.
Selon la coordinatrice nationale de l’INDH, Nadira El Guermai, le comité national de coordination de l’INDH envisage la réalisation d’autres actions avant la fin de l’année portant notamment sur les procédures relatives à l’aspect financier, à la gestion des marchés publics et à la planification provinciale et régionale.
Pour ce qui est de l’audit, la responsable marocaine a expliqué que "tous les projets passent par un audit et que les résultats sont publiés sur le site web de l’INDH" Xinhua | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 15:14 | |
| - Citation :
- La Bourse de Casablanca est la troisième en Afrique selon le marché des capitaux
La bourse de Casablanca est la troisième en Afrique selon le marché des capitaux. C'est ce qu'a déclaré lundi Karim Hajji, directeur général de la Bourse de Casablanca, capital économique du Maroc. Dans une interview exclusive accordée à l'Agence Xinhua, Karim Hajji a indiqué que la Bourse de Casablanca dispose actuellement d'un marché de capitaux d'environ 80 milliards de dollars. "Ce qui présente 85% du PIB marocain, et cela rend notre Bourse dans le même niveau des Bourses les plus développées en ce qui concerne le pourcentage des marchés des capitaux dans le PIB", a t-il expliqué. Créée en 1929, la Bourse de Casablanca est parmi les trois plus anciennes Bourses d'Afrique. En 1993, cette financière a connu la plus grande réforme du marché national, réalisée par le ministère marocain de l'Economie et des Finances. Ainsi, une nouvelle société de gestion a été créée. Il s'agit de la Bourse des valeurs de Casablanca, dans laquelle on trouve le courtier comme "support en chef". Parallèlement, le gouvernement a mis en place une institution d'autorité de marché appelée le CDVM (Conseil déontologique de valeurs mobilières), a indiqué M. Karim Hajji, ajoutant que la Bourse de Casablanca dispose aussi de ce qu'on appelle "le dépôt central" qui assure que les transactions soient effectuées dans une période de trois jours. NB: PIB Maroc est donc 94$MM | |
| | | atlas General de Division
messages : 7363 Inscrit le : 15/06/2008 Localisation : vitrolles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 15:43 | |
| - dr.docleo a écrit:
-
- Citation :
- La Bourse de Casablanca est la troisième en Afrique selon le marché des capitaux
La bourse de Casablanca est la troisième en Afrique selon le marché des capitaux. C'est ce qu'a déclaré lundi Karim Hajji, directeur général de la Bourse de Casablanca, capital économique du Maroc.
Dans une interview exclusive accordée à l'Agence Xinhua, Karim Hajji a indiqué que la Bourse de Casablanca dispose actuellement d'un marché de capitaux d'environ 80 milliards de dollars. "Ce qui présente 85% du PIB marocain, et cela rend notre Bourse dans le même niveau des Bourses les plus développées en ce qui concerne le pourcentage des marchés des capitaux dans le PIB", a t-il expliqué.
Créée en 1929, la Bourse de Casablanca est parmi les trois plus anciennes Bourses d'Afrique. En 1993, cette financière a connu la plus grande réforme du marché national, réalisée par le ministère marocain de l'Economie et des Finances.
Ainsi, une nouvelle société de gestion a été créée. Il s'agit de la Bourse des valeurs de Casablanca, dans laquelle on trouve le courtier comme "support en chef". Parallèlement, le gouvernement a mis en place une institution d'autorité de marché appelée le CDVM (Conseil déontologique de valeurs mobilières), a indiqué M. Karim Hajji, ajoutant que la Bourse de Casablanca dispose aussi de ce qu'on appelle "le dépôt central" qui assure que les transactions soient effectuées dans une période de trois jours. NB: PIB Maroc est donc 94$MM pib maroc 2009 ( voir rapport CIA 2009 ) pour 2010 , on passe la barre des 100 MILLIARDS $ ( 5% CROISSANCE + 2,5 % inflation = +7,5 %) | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 16:12 | |
| l inflation entre dans le calcul du PIB. donc la bonne recette pour augmenter le PIB est de flambe ICV par exemple! je suis pas expert mais ca serait bien si quelqu un m explique comment? un autre point si inflation augmente la parite avec $ diminue (en faveur du $) et donc le PIB en $ diminue. | |
| | | atlas General de Division
messages : 7363 Inscrit le : 15/06/2008 Localisation : vitrolles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 16:36 | |
| - dr.docleo a écrit:
- l inflation entre dans le calcul du PIB.
donc la bonne recette pour augmenter le PIB est de flambe ICV par exemple! je suis pas expert mais ca serait bien si quelqu un m explique comment? un autre point si inflation augmente la parite avec $ diminue (en faveur du $) et donc le PIB en $ diminue. LE PIB/PNB se calcule en valeure courante et pas "constante " bien sûr que l'inflation rentre dans le calcul pour la 2è question, l'inflation ne rentre pas en ligne de compte, enfin pas si elle est raisonnable ce qui rentre en ligne de compte c'est la dévaluation monetaire la oui...déséquilibre de la parité.... et l'inflation peut résultée : - Une forte préssion de la demande sur l'offre.( surchauffe économique ) - Une inflation par l'emission monetaire... : une dévaluation à terme si la masse monetaire/CONSOMATION INTERIEURE n'est pas maitrisée.. Ce n'est pas le cas au maroc | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 16:59 | |
| - Citation :
- Le produit intérieur brut (PIB) est le résultat synthétique de l'activité nationale de production. Il représente la richesse créée au cours de la période considérée sur le territoire économique du pays. Il est obtenu selon trois optiques : production, demande et revenu.
Selon l'optique production, le PIB est égal à la somme des valeurs ajoutées des branches (ou des secteurs institutionnels) augmenté du montant des impôts nets des subventions sur les produits.
Selon l'optique demande, par la différence entre le total de la demande finale et celui des importations exprimées aux prix CAF.
Au niveau de l'optique revenu, il correspond à la somme de la rémunération des facteurs (rémunération des salariés, excédent brut d'exploitation et revenu mixte brut des entrepreneurs individuels) augmentée du montant total des impôts nets des subventions sur la production et les importations (c'est à dire ceux affectant les produits et ceux liés à l'activité). HCPpardon atlas mais je vois pas l'inflation, et merci encore. sinon pour les chiffres du PIB de la CIA . la CIA elle meme cherhce les indicateurs du FMI et BM. donc vaut mieux chercher chez nous HCP ou bien un responsable marocain. c est pour ca j ai pris la peine de calculer a partir de son chiffre | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 17:05 | |
| Pourquoi cherches tu as te procurrer d'autre chiffre que ceux de la CIA? EN 2009 on a eu un PIB de 94 M $ soit 3 fois ce qu'il était en 1999 . Cette année on va passé la barre symbolique des 100 milliards, je trouve que sa en dis long sur le chemin parcouru _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | atlas General de Division
messages : 7363 Inscrit le : 15/06/2008 Localisation : vitrolles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 17:07 | |
| - dr.docleo a écrit:
-
- Citation :
Selon l'optique demande, par la différence entre le total de la demande finale et celui des importations exprimées aux prix CAF.
. HCP pardon atlas mais je vois pas l'inflation, et merci encore. sinon pour les chiffres du PIB de la CIA . la CIA elle meme cherhce les indicateurs du FMI et BM. donc vaut mieux chercher chez nous HCP ou bien un responsable marocain. c est pour ca j ai pris la peine de calculer a partir de son chiffre tout ça est en valeur courante !!!DONC INFLATION INTEGREE | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 10 Aoû 2010 - 17:30 | |
| donc le resultat est toujours faussé!!, je crois que c est mieux qu'on se base sur des taux sans tenir compte de l inflation, je commence a comprendre pourquoi HCP se basait toujours sur une année donnée(sans tenir compte de l'inflation) . sinon avec l'inflation on va croire qu'on a une bonne croissance du PIB alors qu'on peut avoir une régression de la production. merci atlas | |
| | | Nano Colonel
messages : 1650 Inscrit le : 18/05/2009 Localisation : Brest - Rabat Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 17 Aoû 2010 - 18:48 | |
| - Citation :
Export: Bond des phosphates au premier semestre · Plus 78% de progression et 15,6 milliards de DH de ventes
· Transferts MRE et recettes touristiques poursuivent leur redressement
· En revanche, les IDE se détériorent ( Le niveau de vie augmente ; on perd notre competitivité ? ) Quelqu'un pour analyser cette donnée les gars ?
En dépit de l’aggravation du solde commercial, l’amélioration progressive des comptes de la balance courante se poursuit. Ainsi, les dernières statistiques de Bank Al-Maghrib font état d’une dégradation de 8,9% du déficit de la balance commerciale, d’une année à l’autre. «Cette évolution résulte d’une hausse plus importante que celle des exportations», est-il souligné. Résultat: un taux de couverture qui passe en un an de 44,2% à 45,9%. Ainsi la hausse des importations est imputable aussi bien à la progression de 44,1% de la facture énergétique qu’à une augmentation plus accentuée des prix moyens et des quantités importées des principaux produits pétroliers. S’ajoute à cela, la progression de 8,9%, soit de 10,9 milliards de DH des importations hors pétrole. Pour leur part, les importations de demi-produits, chiffrées à 30,7 milliards de DH, se sont accrues de 18,2%, en raison de la progression des achats de composants électroniques, de fer et acier et de produits chimiques. De même, les acquisitions de biens de consommation ont augmenté de 5,8% pour s’élever à 27,5 milliards de DH. Et pour cause, les achats de voitures de tourisme ont progressé de 11%. Les importations de produits bruts, qui s’élèvent à 6,9 milliards de DH, se sont accrues de 3,5%, en raison de la progression des achats de bois bruts. Cependant, les importations de biens d’équipement, qui culminent à 33,4 milliards de DH, ont reculé de 1,3% suite à la baisse des achats d’avions, de machines, d’appareils divers et de produits finis d’équipement agricole. Même tendance pour les acquisitions de denrées alimentaires qui ont accusé une régression de 2,1%, suite à la dégradation de 33 et 10,7%, respectivement, des approvisionnements en blé et en sucre. En parallèle, la progression des exportations s’explique, principalement, selon la note, par le bond de 78,4% des ventes de phosphates et dérivés. Celles-ci se sont élevées à fin juin à 15,6 milliards de DH, compte tenu de l’expansion des quantités expédiées. Hors phosphates, les exportations se sont améliorées de 5,3%. Idem pour les livraisons à l’étranger de composants électroniques et de poissons en conserve qui se sont, respectivement, accrues de 41 et 4%. En revanche, les ventes de vêtements confectionnés, d’articles de bonneterie et de fils ainsi que les câbles pour l’électricité ont diminué de 16,8, 12,4 et 53,8%. Dans le même temps, les recettes de voyages se chiffrent à 22,7 milliards de DH, soit une hausse de 10% par rapport au mois de juin 2009. Quant aux entrées au titre des services de communication, elles ont augmenté de 16%, atteignant 2,7 milliards de DH. De même, les recettes des centres d’appels se sont montées à 1,9 milliard de DH en hausse de 19,2%. En revanche, les recettes au titre des services de transport se sont quasiment stabilisées à 9 milliards de DH. Les transferts MRE ont, pour leur part, totalisé 25,1 milliards de DH progressant ainsi de 11,5% d’une année à l’autre. En revanche, solde négatif pour les opérations financières. Selon la note de Bank Al-Maghrib, le déficit des investissements et prêts privés étrangers s’est établi à -7,8 milliards de DH contre 4,1 milliards dans la même période de l’année précédente. Ainsi, comme nous l’annoncions dans ces précédentes colonnes, les recettes au titre des investissements et prêts privés étrangers se sont limitées à 10,8 milliards de DH, en recul de 18,6% par rapport à fin juin 2009. Les dépenses de même nature, pour leur part, ont littéralement explosées. Elles sont passées de 9,2 milliards de DH à 18,6 milliards. «Ces dépenses ont concerné principalement les cessions d’investissements directs étrangers qui en représentent 78,7%», explique la note. Cela a engendré une sortie nette de 8,4 milliards de DH.
M. A. B. L'économiste | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 18 Aoû 2010 - 0:56 | |
| - Citation :
- Morocco awards Nareva 200 MW wind farm deal
RABAT, Aug 17 (Reuters) - Moroccan power utility ONE said Nareva, the energy arm of the country's biggest conglomerate, ONA (ONA.CS), would lead construction of a 200 megawatts (MW) wind farm, part of Rabat's plan to reduce reliance on imported fuel.
Nareva, in partnership with International Power (IPR.L), beat 15 other bidders including GDF Suez (GSZ.PA), added the Office National d'Electricity (ONE), which had launched the tender for the wind project in 2007.
Under the deal, the wind farm will go on stream later next year outside the southern town of Tarfaya.
ONE and Nareva gave no financial details about the deal, but industry sources said the wind farm would cost around 2.7 billion dirhams ($313.3 million).
Morocco has a plan involving the building of five wind farms to increase the North African state's wind generation capacity to 2,000 MW by 2020, from the approximate 280 MW it currently produces from small wind farms.
Funding of the wind farm project, worth a combined 31.5 billion dirhams, would come from a mix of state and private capital, including foreign investors, the government says.
Morocco is the only North African country with no oil of its own. It seeks to cut its dependency on imported oil and coal by expanding power generation capacity from renewable sources.
Last year, it launched a solar energy project worth $9 billion, which will account for 38 percent of the North African country's installed power generation by 2020.
The solar scheme involves five solar power generation stations across Morocco and will produce 2,000 megawatts of electricity by 2020. ($1=8.618 Moroccan Dirham) (Reporting by Lamine Ghanmi; editing by Simon Jessop)
http://www.reuters.com/article/idUSLDE67G13K20100817
_________________ "La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu
| |
| | | mox Capitaine
messages : 949 Inscrit le : 27/07/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 19 Aoû 2010 - 3:01 | |
| Société générale des travaux du Maroc (SGTM) à obtenu la contruction d'un barrage au Burkina Faso. - Citation :
- Les travaux de construction du barrage de Samendéni ont été confiés à un groupement d’entreprises, retenu suite à un appel d’offres. Il s’agit de la Société générale des travaux du Maroc (SGTM) et de FADOUL TECHNIBOIS qui sont attributaires du marché pour un délai de 42 mois, soit de juin 2010 à novembre 2013. Le montant des travaux est estimé à plus de 45 milliards de FCFA, somme acquise grâce à l’Etat et aux bailleurs de fonds tels la Banque ouest-africaine pour le développement (BOAD) et le Fonds koweitien.
http://www.lefaso.net/spip.php?article38104&rubrique3 | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 21 Aoû 2010 - 0:55 | |
| - Citation :
- State Dept. Encourages North Africa Ties
The U.S. State Department announced a competition to support a new public-private partnership between the United States and the North African countries of Algeria, Libya, Morocco and Tunisia.
Under the department’s Middle East Partnership Initiative (MEPI), the goal of the competition is to foster economic opportunity and encourage innovation and entrepreneurship, job creation and partnership development in these four North African countries.
“I have been involved in similar projects of the Department of Commerce that have increased our business substantially,” Bachir Mihoubi, founder and managing director of the FranCounsel Group, an Atlanta-based international network of franchise professionals. “Of course, there are many opportunities to be explored.”
Mr. Mihoubi, an attorney, is originally from Algeria. He founded the Atlanta-based North African American Business Council and was actively involved in the Arab-American Business Association, also based in Atlanta, during the 1990s.
The Middle East Partnership Initiative is soliciting applications that will support partnerships among businesses and business associations, foundations, civil society organizations and private entities.
In the past, the partnership initiative has been responsible for placing women in internships with local companies.
http://www.globalatlanta.com/article/24157/ _________________ "La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu
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