Économie marocaine

Rappel du premier message :



Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère !

les chalutiers marocains capturent 1 million de tonnes par an
le contrat avec l'europe: 60 000 tonnes de quota par an en echange de 163 millions d'euros
contrat renouvelé avec la russie: 100 000 tonnes de quota par an (diminution de -50% recemment) le quota baisse les années suivantes, le versement a vu une augmentation de 45%

En tout cas , jamais le poisson n'a été aussi cher.
pour un Kg de Merlan tout juste debarqué, il faut compter 80 DH (a mehdia en plus) , pour la sole 70 a 75 . et les crevettes pas moins de 100 DH.
lmassakin ont le choix entre les sardines , ou la Chorba a la tete de Requin !

L'opulence marocaine et ses contradictions...on frise le milliard de dirham .

Citation :

Voitures de luxe : 1 184 unités à plus de 600 000 DH chacune vendues en sept mois !
Publié le : 30/08/2010


Dix marques se disputent une clientèle qui n'hésite plus à exposer sa richesse n Plus de 100 voitures à plus de 1 MDH et 23 à plus de 1,4 MDH ont été écoulées.
11 Porsche Panamera et 154 Range Rover ont trouvé preneur.

[Voitures de luxe : 1 184 unités à plus de 600 000 DH chacune vendues en sept mois !]
Etonnant ! Alors que le secteur de l’automobile traverse des moments difficiles depuis 2009, le segment des voitures de luxe est en pleine croissance. Les routières, comme les 4x4 et les berlines de prestige dont le prix dépasse les 600 000 DH l’unité se vendent de mieux en mieux. Mieux, selon les concessionnaires, le marché des voiture de luxe affiche une hausse perceptibe depuis 2008, autrement dit depuis l’annonce de la crise. Durant les sept premiers mois de l’année en cours, 1 184 voitures ont trouvé preneur. Ces voitures prestigieuses représentent désormais près de 4% du marché des voitures particulières importées neuves. Un record !

Lavieeco.com

Sur un marché de 115 000 véhicules, c'est correcte, sa fait 1% des ventes.

Citation :

Faut-il limiter l'investissement public pour contenir le déficit ?
Publié le : 06/09/2010


Le gouvernement a annoncé le maintien de la dynamique d'investissement, est-ce à dire qu'il sera en hausse encore une fois ?
En 2010, 25% du Budget de l'Etat ira à l'investissement et les entreprises publiques ont prévu d'investir plus de 100 milliards de DH.
Avec la baisse des recettes fiscales, la croissance de l'investissement risque d'alourdir sérieusement l'endettement de l'Etat.

Lavieeco.com

Nano a écrit:

L'opulence marocaine et ses contradictions...on frise le milliard de dirham .

Citation :

Voitures de luxe : 1 184 unités à plus de 600 000 DH chacune vendues en sept mois !
Publié le : 30/08/2010


Dix marques se disputent une clientèle qui n'hésite plus à exposer sa richesse n Plus de 100 voitures à plus de 1 MDH et 23 à plus de 1,4 MDH ont été écoulées.
11 Porsche Panamera et 154 Range Rover ont trouvé preneur.

[Voitures de luxe : 1 184 unités à plus de 600 000 DH chacune vendues en sept mois !]
Etonnant ! Alors que le secteur de l’automobile traverse des moments difficiles depuis 2009, le segment des voitures de luxe est en pleine croissance. Les routières, comme les 4x4 et les berlines de prestige dont le prix dépasse les 600 000 DH l’unité se vendent de mieux en mieux. Mieux, selon les concessionnaires, le marché des voiture de luxe affiche une hausse perceptibe depuis 2008, autrement dit depuis l’annonce de la crise. Durant les sept premiers mois de l’année en cours, 1 184 voitures ont trouvé preneur. Ces voitures prestigieuses représentent désormais près de 4% du marché des voitures particulières importées neuves. Un record !

Lavieeco.com

Ces chiffres ne prennent pas en conte les importation privé ( Quand un particulier importe lui même son auto d'euope ou des USA) c'est un phénomène qui à largement pris de l'ampleur ces quelque dernières année notamment à cause de la (ou grace) à la crise : car les prix de nombres de modèles ultra luxueux n'a pas trouvé preneur en Europe ou USA.

Il y a donc encore plus de vente de voiture de lux que ceux qui sont cité dans cet article !!

L'argent de la speculatioon immobilière .
Si la crise s'agrave,il va y avoir de la seconde main a prix interressant.
Je collerai bien une taxe a 200% histoire que ça profite a tous.

PGM

PGM a écrit:

L'argent de la speculatioon immobilière .
Si la crise s'agrave,il va y avoir de la seconde main a prix interressant.
Je collerai bien une taxe a 200% histoire que ça profite a tous.

PGM

Il y a deja une taxe a 27% pour les voitures de sport/lux/SUV, au lieu de 14% pour les voitures normales. On ne joue pas aux petits communistes, les taxes sont déjà bien assez élevés pour les riches (charges, Taxes, vignettes, etc)

H3llF!R3 a écrit:

PGM a écrit:

L'argent de la speculatioon immobilière .
Si la crise s'agrave,il va y avoir de la seconde main a prix interressant.
Je collerai bien une taxe a 200% histoire que ça profite a tous.

PGM

Il y a deja une taxe a 27% pour les voitures de sport/lux/SUV, au lieu de 14% pour les voitures normales. On ne joue pas aux petits communistes, les taxes sont déjà bien assez élevés pour les riches (charges, Taxes, vignettes, etc)

Qu'est-ce qui te fait dire ça ? A quel système égalitaire compares tu les taxes payés par nos riches ? Aux pays scandinaves ?
Les voitures de luxe ne sont pas une nécessité
Notre système est, de l'aveu de tous, très inégalitaire. Comme nous avons beaucoup de pauvres, il est tout à fait normal que les produits de luxe soient surtaxés.

une taxe sur la fortune doit être instaurée mais devinez qui devrait la payer en premier pour donner exemple....

C'est un pari sur l'avenir que fait le gouvernement ...s'endéter aujourd'hui pour gagner demain !

FAMAS a écrit:

une taxe sur la fortune doit être instaurée mais devinez qui devrait la payer en premier pour donner exemple....

Famas serait-il adepte de ce premier communiste de l'histoire que fut le compagnon du prophète (SWS), Abou Darr El Ghiffari ?
Oui, une taxe sur la fortune est nécessaire afin d'améliorer l'accès aux services sociaux et de lutter contre la pauvreté. Plus encore, elle devrait participer à réduire les inégalités et renforcer la cohésion sociale.
C'est toute une approche pédagogique, qui semble faire encore défaut, qu'il faudrait déployer pour apprendre aux citoyens la signification de l'imposition fiscale. C'est le premier acte de citoyenneté, le plus important de tous. Je suis même contre la non imposition des pauvres. Tous les citoyens doivent payer l'impôt, ne serait-ce qu'un dirham symbolique pour les plus pauvres, mais tout le monde passe à la caisse, pour renouveler annuellement l'adhésion de citoyenneté, d'appartenance à la patrie. Frauder l'impôt devrait être très sévèrement puni. Et perte d'éligibilité à vie pour quiconque ayant fuit et/ou fraudé le fisc.
Il faudrait d'abord songer à lutter plus efficacement contre l'évasion et la fraude fiscales, élargir l'assiette, avant de songer à imposer aux plus riches des impôts de niveaux plus conformes à leurs niveaux de prospérité.
Mais, déjà, surtaxer produits de luxe et surtout, les profits spéculatifs boursiers. Tout le monde sait très bien, maintenant, à quoi ça mène de laisser les riches jouer comme au casino à la bourse Ils s'accaparent les profits et quand ils ont coulé le navire en jouant à la pyramide viennoise, ce sont tous les contribuables qui payent les pots cassés.
Ca veut dire quoi, une bourse qui enregistre un taux de croissance plus de 5 fois supérieur à celui du PIB ? Tous ces nouveaux riches de la bourse de Casa doivent casquer de très lourdes taxes, pour au moins approvisionner de quoi payer par la suite les dégâts qu'ils auront occasionnés.

@Viper

Viper a écrit:

C'est un pari sur l'avenir que fait le gouvernement ...s'endéter aujourd'hui pour gagner demain !

Quel est ce pays du monde, Viper, qui s'est développé en s'endettant sur les marchés financiers internationaux plus qu'en mobilisant l'épargne locale ? Pas les pays asiatiques, en tout cas, ils sont réputés champions de l'épargne. C'est ce qui leur a permis de se relever vite fait après la crise qui les avait touché, en 1997. Le Brésil s'est fait tailler en pièces par les marchés financiers internationaux plus d'une fois. La Russie, échaudée par sa déconvenue financière, en 1998, a littéralement remis la main sur les grandes sociétés minières privatisées, pour se doter de sources propres, stables et fiables.
Plutôt que de ne songer qu'à rendre la part belle aux gros capitaux, il faudrait aussi mieux libéraliser l'espace d'initiative pour la multitude de petits capitaux qui existent dans le pays et qui ne sont pas investis faute de transparence, de sérieux de l'administration et de probité de l'appareil judiciaire. Pourtant, le cumul de tous ses petits capitaux péserait beaucoup plus lourd que celui des gros capitaux.
De même pour les investissements étrangers, le Maroc n'est vraiment accessible que pour les gros investisseurs qui ont accès aux bureaux des plus hauts responsables. Mais imaginez cette multitude de petits capitaux détenus par des européens moyens, patrons de PME, détenteurs de savoir faire dans plusieurs domaines et désireux de s'établir dans un pays offrant de meilleures perspectives que la veille Europe, avec le soleil en prime
Mais ceux là n'ont pas accès aux bureaux des ministres pour régler rapidement un problème qui se poserait Ceux là se font souvent emme**** par tous les petits fonctionnaires en mal de bakchichs, quelques fois littéralement plumer avant de rentrer chez eux convaincre d'autres de ne pas tenter l'aventure
L'élitisme nous suffoque

@samyadams : Abou Darr n'avait rien de communiste, c'était quelqu'un de très modeste qui aimait vivre la vie simple en grand croyant qu'il est, il n'accordait pas une grande importance aux désirs terrestres...
c'est la zakate qui en principe a un rôle de redistribution de richesses au sein de la société musulmane, cette quasi-taxe ne touche que les capitaux "dormants" ou en d'autre terme non investi dans une activité économique génératrice de valeur et d'emplois,pour dire seuls les spéculateurs sont à visés le capitalisme-citoyen est à encourager. je suis moi même un ultra-libéral mais je ne suis pas pour le "laissez faire" totale à l'américaine, la totalité des volontés privés ne coïncident pas forcément avec la volonté publique ou l'intérêt général, d'où une intervention judicieuse de l'Etat envue de maintenir l'équilibre, préserver et agrandir la classe moyenne réelle locomotive de développement
j'ai toujours apprécié la conception française du capitalisme et "l'Etat providence" auquel on doit aujourd'hui une classe moyenne française épanoui et prospère
c'est vrai que nous avons encore un système fiscal jeune et archaïque, l'essentiel de l'assiette provient des grands groupes structurés alors que l'écrasante majorité des PME/PMI ne paient que la cotisation minimale
un américain est fier de dire "je paie mon impôt" pour un marocain c'est une "chemta"

La chaîne Flunch ambitionne de doubler de taille d'ici à 2020.

Citation :

Réunissant près de 300 établissements, l'enseigne de restauration veut se renforcer en France mais aussi à l'étranger. Elle étudie notamment un développement en Chine et au Maroc dans le cadre de franchises exclusives.

Anticipant d'une certaine manière son quarantième anniversaire l'an prochain, l'enseigne Flunch a présenté, hier, son nouveau
concept et des objectifs de développement ambitieux. Parmi les poids lourds du secteur des cafétérias - ou « restauration en libre-service » -et principale chaîne du groupe Agapes (galaxie Mulliez, environ 450 restaurants au total), Flunch dit avoir l'appétit d'une « jeune pousse ». Son directeur général, Vincent Lemaître, a fait état en effet d'un objectifde doublement du parc d'ici à dix ans, à l'occasion d'une présentation de son établissement rénové de Villeneuve-d'Asq, conçu comme le « laboratoire » des évolutions de l'enseigne. Flunch réunit aujourd'hui 227 restaurants en France et 65 établissements à l'étranger (Italie, Espagne, Pologne, Russie).

Un enjeu stratégique
Malgré un effet « très mitigé » sur les ventes, la baisse de la TVA au service de restauration à table n'en aide pas moins l'enseigne « à accélérer » son programme de développement, a estimé le dirigeant. Le montant des investissements s'est, de fait, accru de 30 %.

Dans l'Hexagone, où Flunch exploite en direct 162 restaurants, l'entreprise « a 500 sites potentiels » au total, selon VincentLemaître, compte tenu de l'existence de nombreux projets immobiliers commerciaux, de la possibilité de reprise de cafétérias, mais aussi d'un développement en dehors des centres commerciaux - vecteur historique de l'expansion de Flunch, en particulier avec Auchan -par la création de bâtiments « solos ». Flunch, qui n'en compte que six actuellement, en a fait un enjeu stratégique car les restaurantssitués en dehors des centres commerciaux drainent une clientèle différente et féminisent son public habituel.

Sur le même sujet
L'enseigne remet à plat son concept et élargit son offre
Nouveaux territoires
Si le potentiel est important, concrétiser les projets est loin d'être une formalité, souligne son directeur général : « Nous avons le concept, le savoir-faire mais nous avons un impératif, il faut trouver des sites qui nous permettent de garder un ticket moyen (des clients, NDLR) de 9 euros. » Vincent Lemaître indique aussi que si Flunch va continuer à investir pour opérer en direct, n'ayant « pas la pression de la Bourse », la société va également s'appuyer sur la franchise. Or, le coût d'un restaurant est de l'ordre de 1 à 1,5 million d'euros. Par ailleurs, elle va recourir davantage à la formule de la location-gérance (3 unités actuellement), en étant donc toujours investisseur tout en permettant « à un certain nombre de collaborateurs d' accéder à l'entrepreunariat ». Une façon aussi de « resserrer notre maillage en allant là où nous ne pourrions pas être opérateur en direct », explique Vincent Lemaître, tout en faisant référence à « l'esprit Mulliez » (à ses dires, l'entreprise distribue plus de 50 % de ses profits à ses salariés).

A l'étranger, Flunch a aussi du pain sur la planche. Au menu, explique le directeur du développement international de l'enseigne Antoine Gabert, « développer les pays existants ». En outre, une « réflexion » est en cours sur de nouveaux territoires à conquérir : la Chine, la Roumanie, le Canada et l'Afrique du Nord. Si rien n'est bouclé, la Chine et le Maroc apparaissent comme « les dossiers les plus avancés », l'idée étant d'y développer Flunch dans le cadre d'une franchise exclusive.

CHRISTOPHE PALIERSE, À VILLENEUVE-D'ASQ, Les Echos

http://www.lesechos.fr/info/service/020767108016-la-chaine-flunch-ambitionne-de-doubler-de-taille-d-ici-a-2020.htm

Citation :

société australienne Kasbah Ressources prépare une étude de pré-faisabilité (predTEO) Achmmach projet, porté sur le développement des gisements d'étain même nom au Maroc. PredTEO devrait être achevé au deuxième trimestre de l'année prochaine. L'étude de faisabilité complète est prévue pour le premier semestre de 2012
Comme prévu, l'avenir de l'entreprise sera en mesure de produire annuellement 800 milliers de tonnes de minerai et de produire à partir de ce 5,400-6,000 tonnes d'étain dans le concentré pendant 6 ans. Le programme mis en œuvre dans l'exploration actuelle vise à augmenter ses réserves de minerai d'étain à 10 millions de tonnes en août, les réserves estimées en 2010 s'élevait à 7.000.000 tonnes à une teneur en étain moyenne de 0,8%.

Si le projet sera mis en œuvre Achmmach, le Maroc deviendra un fournisseur de matières premières nouvelles de l'étain. À ce jour, le développement des gisements d'étain dans ce pays n'est pas réalisée.

http://www.metalinfo.ru/ru/news/44134

Citation :

Koutoubia prépare son entrée en Bourse

http://www.leconomiste.com/article.html?a=102369

Citation :

Marwa ouvre deux magasins à Perpignan et porte à sept le nombre de ses franchisés à l'étranger

http://www.lavieeco.com/economie/17475-marwa-ouvre-deux-magasins-a-perpignan-et-porte-a-sept-le-nombre-de-ses-franchises-a-l-etranger.html

Investissements : Le Maroc engagé à hauteur de 60 millions DT en Tunisie

Citation :

Un confrère marocain a posé le bilan, encore faible, des investissements marocains en Afrique du Nord (grand Maghreb + Egypte). Ce courant d’affaires vers les pays formant l'Union du Maghreb Arabe ne représente que 2,8% dans le total des échanges commerciaux du Maroc. Pourtant des entreprises ont appris à exploiter les opportunités de la sous-région. Ainsi, en 2009, selon les chiffres de l’Office des changes marocain, les opérateurs chérifiens ont investi l’équivalent de 31 millions de DT (184 millions dirhams marocains) contre 22 millions en 2008 (+38,5%), pour un stock total d’IDE marocain en Tunisie de près de 60 millions. Cependant, le premier trimestre 2010 annonce une année en chute avec à peine 1 million DT investis (contre 30 millions pour la même période 2009!)!

Dans notre pays depuis 1984, le groupe Ynna Holding a créé la société El Mawassir (canalisations pour l’eau potable, l’assainissement, l’irrigation et le gaz) dont tous les employés sont tunisiens. Pour le vice-président exécutif du groupe marocain, M. Omar Châabi, c’est un choix : «Plutôt que d’exporter des produits finis du Maroc, nous préférons créer de l’emploi local en exportant nos compétences», et un choix porteur selon son témoignage au portail d’information marocain: «Le bilan de ces expériences est positif. Il faut simplement s’armer de patience et les résultats seront au rendez-vous. Nous avons aujourd’hui l’ambition d’étendre nos activités en Tunisie et en Egypte et pourquoi pas nous implanter un jour en Algérie». De même, la réussite d’Attijari bank Tunisie (l’Attijariwafa bank) avec ses 1.500 collaborateurs et son réseau de 150 agences, illustre le potentiel que recèlent des investissements marocains dans la sous-région.

De plus, sans compter la Libye et l’Algérie, pays limitatifs en termes d’investissements étrangers selon l’Association marocaine des exportateurs, les acteurs économiques marocains peuvent s’appuyer sur des facilités réglementaires offertes par leur pays depuis 2007 : investissement libre à l’étranger dans la limite de 30 MDH (5 millions DT) pour une entreprise d’au moins 3 ans, disposant de comptes certifiés par un auditeur externe, si l’investissement projeté est en relation directe avec l’activité de l’entreprise.

Alors à quand des flux d’importance en provenance du Maroc et inondant le Maghreb ?

Par ailleurs, rappelons qu’outre l’Afrique du Nord, l’Afrique subsaharienne attire de façon exponentielle, les investissements marocains.

http://www.webmanagercenter.com/management/article-94856-investissements-le-maroc-engage-a-hauteur-de-60-millions-dt-en-tunisie

Citation :

Le site marocain de Renault devra renforcer son positionnement sur le créneau des voitures à bas coût (presse)

Paris, 10/09/10- Avec un capacité de production initiale de 170.000 véhicules par an, le site marocain de Renault devra renforcer le positionnement du constructeur français sur le créneau des voitures à bas coût, a estimé le responsable de l'entrée de gamme chez Renault.

Le site de Tanger, qui devra démarrer en début 2012, ajoutera au groupe "des capacités de 170.000 unités par an, puis 350.000 dans un deuxième temps", a indiqué Gérard Detourbet dans un entretien publié vendredi par le journal français "La Tribune".

Selon lui, le site marocain permettra de compléter la gamme à bas coûts "avec un monospace familial et un utilitaire, qui seront lancés à deux mois d'intervalle début 2012".

Le monospace compact sera proposé à des prix très agressifs, comme le reste de la gamme d'origine Dacia, a-t-il précisé.

Au total, le groupe compte produire, à travers ses différents sites dans le monde, "660.000 voitures d'entrée de gamme en 2010, contre 560.000 l'an dernier", a indiqué M. Detourbet.

Il reconnaît que malgré des prix beaucoup plus bas que la concurrence, les véhicules d'entrée de gamme du groupe génèrent des "marges confortables".

"Nos trois piliers de la rentabilité sont la gamme Mégane-Scénic, les utilitaires et l'entrée de gamme", a-t-il dit.

MAP

Citation :

Confidentiel

La cession par l’Etat de 8% du capital de Maroc Telecom ne devrait plus tarder. Cette semaine, Abdeslam Ahizoune, président du directoire de l’opérateur télécoms, a conduit une importante délégation à Londres pour un roadshow institutionnel. Objectif : séduire les fonds d’investissements installés dans la City.

Citation :

Stéphane Richard, DG de France Télécom, compte bien réserver sa place dans le tour de table. (AFP)

Meditel. France Télécom prépare son offre

La CDG et Finance.com ont finalement trouvé un partenaire stratégique pour leur filiale télécoms. Un accord avec l’opérateur historique français devrait bientôt être signé.

Les négociations vont bon train entre France Télécom et les groupes marocains CDG et Finance.com pour une prise de participations dans Méditel. Le nouveau directeur général du groupe français, Stéphane Richard, a indiqué dans une déclaration à l’agence Reuters qu’un accord
devrait intervenir dans quelques semaines. “Ces négociations avancent bien. Elles devraient aboutir là aussi dans des délais courts”, souligne-t-il. Côté marocain, c’est silence radio. Néanmoins, la CDG, comme Finance.com, n’ont jamais caché leur intention d’ouvrir le capital de Méditel depuis qu’ils ont racheté les parts de Téléfonica et Portugal Telecom. Des négociations poussées avaient même été menées avec le groupe émirati Etissalat. Ce dernier ne perd d’ailleurs pas espoir de pouvoir réaliser ce deal. Au lendemain de la déclaration de Stéphane Richard, le directeur de la division internationale d’Etissalat a fait un nouvel appel du pied aux actionnaires du second opérateur télécoms du royaume. “Nous espérons pouvoir aller dans la bonne direction avec nos amis marocains. A un moment, nous étions très proches de conclure un accord, mais nous attendons toujours”, a déclaré Jamal al-Jarwan à The Economic Times. Toutefois, selon des sources proches de Méditel, ces négociations avec Etissalat, rompues au début de l’été, ne risquent pas d’être réactivées. “Difficile d’imaginer que Othman Benjelloun veuille d’un opérateur du Golfe alors qu’il a sous le coude France Télécom, explique notre source. Surtout que le groupe français est prêt à payer le prix fort”. Les bruits de couloir évoquent, en effet, un montant de 650 millions d’euros pour l’acquisition de 40 % de Méditel. Affaire à suivre. Fahd Iraqi

Source: Telquel[i]

Le Maroc doit constituer le nouvel horizon des entreprises andalouses (responsable espagnol)

Citation :

"L'Afrique du nord, en général, et le Maroc, en particulier, doivent constituer le nouvel horizon des entrepreneurs de Cordoue en matière de commerce extérieur", a-t-il dit dans un entretien publié dimanche par l'agence "Europa Press".

Les entrepreneurs de la région de Cordoue sont appelés à prospecter les opportunités offertes par ce "nouvel horizon", a relevé Pulido, ajoutant que les missions commerciales et institutionnelles que la Députation de Cordoue compte organiser prendront en considération les besoins des entreprises de la région en la matière.

Le commerce extérieur est un secteur important de l'économie et "nous devons exploiter tout le potentiel que nous possédons", a-t-il dit, dans le même contexte, notant que les hommes d'affaires de Cordoue devront fixer leurs priorités dans ce domaine avec comme cible le marché nord-africain notamment le Maroc.

Il a souligné que la Députation de Cordoue, en collaboration avec l'agence andalouse de promotion extérieure (Extenda) et l'Institut espagnol de commerce extérieur (ICEX), mettra en place des actions destinées à ces marchés en fonction des besoins des entreprises de la région.

http://www.marocjournal.net/actualites-maroc/8474.html

FAMAS a écrit:

une taxe sur la fortune doit être instaurée mais devinez qui devrait la payer en premier pour donner exemple....

La taxe sur la fortune en France existe aujourd'hui, cependant elle ne rapporte pas d'argent à l'état Français, et a presque tendance à coûter de l'argent au contribuable certaines années. C'est plus une formule marketing pour dire aux pauvres de France que les riches payent plus d’impôts qu'eux. Cela manque totalement de pragmatisme. Si une étude sérieuse prouve que pour la Maroc cela peut rapporter de l'argent est bien je serais d'accord pour instaurer ce type de réforme, mais pour être honnête, et étant donner que le Maroc dispose de beaucoup moins de riche que la France je ne pense que ce type de réforme soit utile bien au contraire .

nous avons numériquement moins de riches qu'en France, mais nos riches qui ne représentent même pas 10% de la population s'accapare plus de la moitié de la richesse nationale

Protocole d'accord pour le développement de la station touristique de Taghazout, d'un coût global de 6 MMDH

Citation :

Protocole d'accord pour le développement de la station touristique de Taghazout, d'un coût global de 6 MMDH

Ce protocole d'accord, dont la cérémonie de signature a été présidée par le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, M. Yassir Zenagui, en présence du wali de la région de Souss-Massa-Drâa, définit les conditions principales suivant lesquelles le projet de Taghazout sera réalisé, notamment la création d'une société de développement commune en charge du projet.

Les parties signataires - la Caisse de dépôt et de gestion, le Groupe Alliance Développement immobilier, Colony capital, Société Sud parteners et la Société marocaine d'ingénierie touristique- projettent de développer un éco-ressort touristique de faible densité d'une capacité d'environ 8.000 lits dont 5.800 lits hôteliers.

Ce projet, dont les travaux débuteront en 2011, contribuera à la production de nouvelles richesses, à la protection de l'environnement du site et à la valorisation du patrimoine architectural de la région, a souligné à cette occasion M. Zenagui.

"Taghazout éco-ressort sera une destination d'avenir, une destination phare du Maroc de demain", a ajouté le ministre du tourisme, notant que le projet comprendra également un village de surfeurs, un village de vacances écologiques dans l'esprit de "Center parc", un camping aux normes internationales, un golf de 18 trous, outre des cafés, des restaurants, des magasins et des galeries.

La station Taghazout apportera à la région de Souss Massa Drâa et à la côte atlantique toute entière une vision nouvelle et dynamique, respectueuse de son environnement qui s'inscrit parfaitement dans l'approche de développement durable, un des axes principaux de la Vision 2020, a poursuivi le ministre.

M. Zenagui a également indiqué que les nouvelles technologies, à l'image des systèmes intelligents pour la gestion de l'eau, l'énergie renouvelable, ainsi que l'utilisation de matériaux locaux et d'artisanat seront scrupuleusement intégrés dans le projet.

Les représentants des parties partenaires ont, pour leurs parts, souligné l'importance de ce chantier qui vient s'ajouter à d'autres projets lancés au niveau de la région de Souss Massa Drâa.

http://www.marocjournal.net/actualites-maroc/8805.html

FAMAS a écrit:

nous avons numériquement moins de riches qu'en France, mais nos riches qui ne représentent même pas 10% de la population s'accapare plus de la moitié de la richesse nationale

Il faut une source extrémement solide avec des chiffres précis à la clef avant de pouvoir faire ce genre d'affirmation ! Dis toi bien qu'en France il y à même parfois des gens pauvres qui par simple éritage qui ne leur rapporte rien entre dans l'IS et payent plus d'impots que ceux qu'il ne gagne, tout ceci pour dire que même en proportion du volume je ne pense pas que le Maroc tienne la comparaison.

Quoi qu'il en soit même si ton affirmation se révélait vrai à 100% étude et chiffres à la clef cela laisserais le débat ouvert du comment faire pour que cela ne devienne pas comme en France un "impot marketing" et que cela rapporte véritablement au Marocains pauvres.

Citation :

SM le Roi pose la première pierre pour la construction de l'Université Internationale de Rabat, d'un coût global de 1,2 milliard de dirhams
Salé- SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a procédé, mardi à Salé, à la pose de la première pierre pour la construction de l'Université Internationale de Rabat (UIR), pour un investissement global de 1,2 milliard de dirhams.
- L'université disposera à l'horizon 2015 d'une capacité d'accueil de 5.000 étudiants, dont 20 à 30 pc originaires d'Afrique subsaharienne.

- Le projet intervient conformément aux Hautes orientations royales et ambitionne de contribuer à la formation d'élites marocaines et africaines.

A cette occasion, le président de l'UIR, M. Noureddine Mouaddib, a exposé devant SM le Roi les domaines d'intérêt de cet important établissement universitaire, ses pôles d'enseignement et de recherche, et les principaux axes de son développement pour les prochaines années.

La création de l'Université internationale de Rabat, qui permettra de générer 300 emplois directs en 5 ans, est une initiative inédite de partenariat public-privé dans le secteur de l'enseignement supérieur et de la recherche, a souligné M. Mouaddib, précisant que ce projet est financé grâce aux contributions d'acteurs économiques et institutionnels et de l'Etat.

Le projet de l'UIR, située dans le site de Rabat Techonopolis sur une superficie de 20 hectares, intervient conformément aux Hautes orientations de Sa Majesté le Roi, que Dieu L'assiste, dans les domaines de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il prévoit essentiellement la construction de bâtiments dédiés à la recherche, d'une bibliothèque et d'une résidence universitaire, ainsi que d'installations à vocation sportive, sociale, commerciale et de divertissement.

L'université disposera à l'horizon 2015 d'une capacité d'accueil de 5.000 étudiants, dont 4.000 pourront être logés sur place, avec 20 à 30 pc des étudiants originaires d'Afrique subsaharienne.

Ce projet s'impose aujourd'hui comme un modèle de partenariat scientifique entre un groupement d'académies et d'universités marocaines et de grands instituts et universités étrangers. Il se donne pour ambition de contribuer à la formation d'élites marocaines et africaines conformément aux standards internationaux de performance en la matière, tout en affirmant une forte identité marocaine.

L'Université internationale de Rabat est structurée en un domaine majeur d'ingénierie constitué de quatre pôles de formation et de recherche, à savoir l'aéronautique, automobile et ferroviaire, les énergies renouvelables, l'environnement et les études pétrolières, les technologies de l'information et de la communication (TIC), ainsi que l'architecture et design.
Autour de ces pôles, l'UIR met en place un Business school en management, fiscalité et finance, un institut de sciences politiques et de relations internationales, un centre de langues, cultures et civilisations et un institut de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) d'ingénieurs et de commerce.

Les formations seront dispensées par un corps professoral de haut niveau composé de 40 enseignants, dont des enseignants-chercheurs permanents (50 pc), des enseignants-chercheurs mobilisés par les partenaires académiques (30 pc) et d'Intervenants du monde des affaires (20 pc).

Par la même occasion, trois innovations technologiques dans le domaine des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, brevetées par l'UIR, ont été présentées au Souverain.

Il s'agit, d'une part, d'une éolienne domestique, fonctionnant sans vent, facilement évolutive en puissance et, d'autre part, d'une parabole thermo-solaire, fonctionnant à partir d'un système à base de miroirs, et également d'un lampadaire solaire dont le système intègre une solution d'éclairage à très faible consommation. Toutes ces innovations seront mises en application dans le campus de l'université.

source:MAP

Aéronautique, automobile, ferroviaire, énergies renouvelable, ce sont les domaine dans les quels le Maroc a engager de grands chantiers, ils vont être des piliers de l'économie dans le future.