Économie marocaine

Rappel du premier message :



Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère !

... et aussi les études pétroliéres

Citation :

(Reuters) - Morocco mandated three banks to lead manage the sale of euro-denominated sovereign debt on Tuesday, sources with knowledge of the deal told Reuters.

Morocco has asked Barclays Capital, HSBC and Natixis to joint lead manage the deal following an investor roadshow that begins on Sept. 20.

Bankers are expected to give presentations in Europe and the Middle East, one source said.

Both Standard & Poor's and Fitch Ratings rate Morocco at an investment-grade credit rating of BBB-minus, just above junk status. Moody's Investors Service has Morocco listed at Ba1, the top tier of junk status (Reporting by Daniel Bases)
http://www.reuters.com/article/idUSN1413873820100914

La participation du Maroc au salon "Automechanika" à Francfort: une expérience de 50 ans dans le secteur automobile

Citation :

La participation du Maroc au salon "Automechanika" à Francfort: une expérience de 50 ans dans le secteur automobile

Elle reflète également le développement important d'un secteur stratégique dont le Maroc a fait un moteur pour sa croissance économique.

Les entreprises marocaines participant à ce salon (14-19 septembre) viennent ainsi illustrer cette longue expérience unique et exposer les capacités du secteur de l'industrie automobile nationale qui ne cesse de se développer, enregistrant une croissance annuelle de plus de 26 pc.

La participation marocaine à ce salon, supervisée par le Centre marocain de promotion des exportations (Maroc Export) en présence de l'Agence marocaine pour le développement des investissements, l'Association Marocaine pour l'industrie et le commerce de l'automobile (Amica) et plusieurs entreprises marocaines, vise à renforcer la positionnement du Royaume sur le marché mondial et à chercher de nouveaux partenaires.

Le salon est marqué cette année par la participation de 4.486 exposants, dont 81 venant en dehors de l'Allemagne, tandis que le nombre de visiteurs attendus devrait dépasser les 150.000 de 140 pays.


+L'INDUSTRIE AUTOMOBILE AU MAROC : HISTOIRE ET EXPERIENCE+

Le Maroc a été l'un des pays africains prédécesseurs à mettre en place, au lendemain de leur Indépendance, une politique industrielle relative au secteur de l'automobile par la création en 1959 de la Société marocaine de construction automobile (SOMACA) en partenariat avec la société Fiat Auto.

Après cette période, le secteur s'est peu à peu consolidé et s'est imposé ainsi en tant que secteur vital de l'économie nationale.

Une première phase (1960-1982) a connu un changement dans le cadre juridique qui a permis la mise en place d'une industrie des équipements automobile et le développement des exportations.

Pour l'Amica, la signature en 1995 de la convention relative aux voitures économiques avec la société Fiat constitue une nouvelle phase qui a marqué un tournant dans le secteur de l'industrie automobile, du fait qu'il s'agit d'une initiative ayant pour objectif la mise en place d'une industrie nationale réelle, notamment à travers la promotion de l'achat des voitures neuves au détriment des voitures d'occasion importées de l'Europe.

En 2003, et dans le cadre d'un appel d'offre pour la privatisation de la SOMACA, le groupe Renault a acquis les part de l'Etat après avoir proposé la construction et le montage de voitures économiques dédiées à l'export.

En 2007, le gouvernement et la société Renault ont signé une convention pour la création d'un projet grandiose à Tanger avec un montant dépassant les 600 millions d'euros ayant pour objectif l'assemblage de 400.000 voitures, destinées essentiellement à l'exportation, et la création d'environ 36.000 postes d'emploi directs et indirects.

Le Maroc avait entamé, via Somaca, l'exportation de voitures vers les marchés européens (France, Espagne et Allemagne) et récemment vers l'Egypte et la Tunisie dans le cadre de l'accord de libre échange d'Agadir.

+LE PACTE NATIONAL POUR L'EMERGENCE INDUSTRIELLE : UNE VISION POUR LE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR AUTOMOBILE+

Le secteur automobile a bénéficié d'une place privilégiée au coeur de la vision 2009-2015 du Pacte national pour l'émergence industrielle qui vise le développement et la modernisation de l'économie.

Ce Pacte a considéré l'industrie automobile comme un secteur clé pour le développement économique national, vu son potentiel en matière de création d'emploi et son importance en tant que métier mondial du Maroc.

La stratégie du Maroc pour le secteur automobile s'articule autour de l'implantation d'équipementiers automobile au Maroc, vu que l'équipement automobile s'inscrit dans un mouvement de globalisation accélérée, par lequel les équipementiers et constructeurs élargissent leur champ d'intervention aux pays à bas coûts.

Cette stratégie est axée également sur l'implantation de l'assemblage de spécialité (camions, autocars et carrosseriesà) et l'attraction d'un second constructeur majeur au Maroc, pour concrétiser le potentiel du Maroc mis en évidence par l'installation du premier constructeur.

Le pacte prévoit des résultats économiques très positifs, notamment la création de 70.000 postes d'emploi dans le secteur automobile à l'horizon 2015.

Tenant compte de ces potentiels de développement majeurs, le Maroc s'est engagé à mettre en place des mesures concrètes permettant au pays de s'ériger en future base industrielle du secteur Automobile international.

Le Pacte émergence, un contrat-programme conclu entre les secteurs public et privé, comprend six mesures pour développer le secteur automobile. Il s'agit notamment d'attirer les investisseurs du secteur des équipementiers automobiles, et plus particulièrement les PME, qui constituent l'essentiel du vivier industriel, et d'édifier une deuxième usine de fabrication de voitures. Le pacte prévoit aussi une offre attractive des équipementiers spécialisés, la préparation d'un programme de formation en adéquation avec les exigences du secteur et d'un programme ciblé de promotion ainsi que la création de plateformes industrielles intégrées pour la fabrication d'équipements automobiles dédiés à l'export.

http://marocjournal.net/actualites-maroc/8883.html

Citation :

Cegelec remporte un contrat pour la construction
d’une nouvelle centrale thermique au Maroc

Cegelec, filiale du pôle énergies de VINCI, réalisera, dans le cadre d’un consortium mené par GE Energy, tous les équipements auxiliaires électriques et mécaniques (« Balance of Plant ») ainsi que le génie civil d’une centrale thermique livrée « clés en main » à l’Office national de l’Electricité (ONE), l’opérateur de référence du secteur électrique au Maroc.

Ce contrat, d’un montant total de plus de 200 millions d’euros dont 96 millions pour Cegelec, sera réalisé sur le site de l’ONE à Kenitra, au nord de Rabat. Il sera réalisé dans un délai de 25 mois et permettra, à l’horizon 2012, de répondre à la demande croissante en énergie du pays.

L’expérience de Cegelec dans la réalisation « clés en main » de centrales et sa forte présence au Maroc, où il participe actuellement à la réalisation de deux centrales hydroélectriques pour le compte de l’ONE, sont autant d’atouts qui lui ont permis de remporter ce contrat majeur.

Ce succès confirme le positionnement de Cegelec comme partenaire privilégié des fabricants de turbines pour la réalisation de centrales « clés en main ».

http://www.vinci.com/vinci.nsf/fr/communiques/pages/20100728-1843.htm

le pdg de Cegelec s'appelle Ibrahimy, un marocain recruté en France.

Approbation de 48 projets d'investissements d'une valeur de 28 MMDH

Citation :

Les 48 projets adoptés par la commission se répartissent entre 17 projets de conventions d'investissement, 29 projets d'avenants aux conventions d'investissement, deux conventions-cadre et une proposition d'accord, indique un communiqué de la Primature.
La commission, qui a consacré la réunion de vendredi à l'examen de 51 projets d'investissement, d'un montant global estimé à 48 MMDH, poursuivra l'examen de deux projets relatifs aux secteurs du tourisme et de l'industrie pétrochimique, d'un coût total estimé à 20 MMDH.
Les projets d'investissements approuvés concernent les secteurs de l'industrie chimique et pétrochimique, la construction automobile, l'énergie, le tourisme, l'agro-alimentaire, le transport urbain, l'aménagement des zones commerciales, l'industrie minière et la distribution.
Ces projets seront réalisés dans les régions de Tanger-Tétouan, de Marrakech Tensift-El Haouz, du Grand Casablanca, de Oued Eddahab Lagouira, de Laâyoune-Boujdour-Sakia EL Hamra, El Gharb-Cherarda-Béni Hsein, Chaouia-Ourdigha, Tadla Azilal et Souss-Massa-Drâa.
Au début de cette réunion, M. El Fassi a souligné que les choix judicieux opérés par le Royaume et les réformes engagées par le Maroc durant les 10 dernières années pour la promotion de l'investissement ont permis à l'économie de pays de faire preuve, dans un contexte de crise internationale, d'une résilience avérée.
"Nous devons saluer avec fierté et dignité les efforts colossaux déployés par SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, pour un développement intégré et durable du Royaume", a souligné M. El Fassi.
En ce qui concerne les projets soumis à la commission pour examen, le Premier ministre a souligné l'installation de nouveaux investisseurs étrangers dans le Royaume, notamment ceux originaires des Etats-Unis d'Amérique, notant que les investissements nationaux arrivent en tête avec quelque 45 MMDH (91 PC des investissements), suivis des investissements étrangers avec plus de 2,2 MMDH (7 PC des investissements), et des projets conjoints avec plus de 838 millions de DH.
Le Premier ministre a, de même, souligné le bilan positif de l'action de la commission durant la période s'étendant de janvier à septembre dans la mesure où elle a pu examiner quelque 96 projets d'un montant global estimé à 83,5 milliards de dirhams, devant générer plus de 21.000 postes d'emploi.
M. El Fassi a, dans ce cadre, appelé l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) à multiplier ses efforts à travers une meilleure commercialisation des atouts dont dispose le Maroc et la vulgarisation des facilités qu'offre le Royaume aux investisseurs nationaux et étrangers.
Ont pris part à cette réunion le ministre d'Etat, M. Mohamed El Yazghi, le ministre de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies, le ministre du tourisme et de l'artisanat, les secrétaires généraux des ministères de l'Economie et des finances, de l'Equipement et du transport, du département de l'environnement, le directeur général de l'Agence marocaine de développement des investissements, le directeur général de l'agence de développement agricole et les représentants des départements concernés.

http://marocjournal.net/actualites-maroc/9328.html

Citation :

Les Japonais sur la piste du Plan solaire

· Visite de trois institutions financières et 50 entreprises nippones

· Un workshop sur les énergies renouvelables les 20 et 21 septembre à Rabat

APRÈS les Français, ce sont les Japonais qui tombent sous le charme du Plan solaire. Cinquante chefs d’entreprises nippones arrivent ce week-end au Maroc pour visiter le premier projet des cinq centrales solaires du plan, d’une puissance de 500 MW, qui seront construites sur une plateforme de 2.500 ha sur les hauteurs de Ouarzazate. Cette visite, une première de par son ampleur, est co-organisée par le ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie du Japon et le NEDO (New Energy and Industrial Technologie Development) en collaboration avec l’Agence marocaine de l’énergie solaire, Masen. Durant deux jours, les 20 et 21 septembre à Rabat, les principaux acteurs dans les les énergies renouvelables échangeront leurs expériences dans les différents ateliers du workshop prévu à cet effet. Selon l’ambassade du Japon à Rabat, organisatrice de l’évènement, cet atelier étudiera les modalités de faisabilité pour la mise en place de projets bancables. Les participations de la Banque japonaise de coopération internationale (JBIC) et de l’Agence de coopération internationale (JICA) ou encore de l’assureur à l’export japonais (NEXI) à ce workshop est un gage de l’intérêt que le gouvernement japonais porte au Plan solaire marocain.
Déjà, lors du premier forum économique nippon-arabe, tenu à Tokyo en décembre dernier, la ministre de l’Energie, Amina Benkhadra, et le patron de l’ONE, Ali Fassi Fihri, avaient obtenu des promesses des représentants japonais pour la promotion du Plan solaire marocain auprès des entreprises de l’Archipel. Les entreprises japonaises leaders dans les énergies seront présentes à Rabat. Il y va des constructeurs de panneaux photovoltaïques (Sharp, Kyocera, Solar Frontier, JX Nikko), aux fabricants de systèmes automatisés (Tokyo Electric Power Company, Kandeko). Les fournisseurs d’appareillages périphériques (JGC et Chiyoda Corporation) ou encore des entreprises plus généralistes, telles que Mutsubishi, Matsui ou encore Sumitomo, seront du voyage.
A noter le Plan solaire marocain prévoit de porter à terme la part de la puissance électrique installée en énergie renouvelable (éolien, solaire, hydraulique) s’établira à 42% du parc d’ici 2020. A cet effet, le ministre français du Développement durable, Jean-Louis Borloo, déclarait que «la démarche ambitieuse du Maroc témoigne de son engagement dans le développement des énergies renouvelables et la lutte contre le changement climatique». D’autant plus que ses objectifs sont cohérents avec ceux du Plan solaire méditerranéen (PSM). Un volet particulièrement important de l’Union pour la Méditerranée, qui vise à développer des projets de centrales électriques utilisant des sources d’énergies renouvelables sur les rives sud et est de la Méditerranée pour une production additionnelle totale de 20 GW d’ici 2020. D’ailleurs, la France et le Maroc ont convenu de mettre en place un partenariat institutionnel, technique et financier afin d’assurer le succès du Plan solaire marocain, qui prévoit la construction d’une capacité de production électrique utilisant l’énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019.
La caution de la France, voire de l’Union pour la Méditerranée au Plan solaire marocain a permis à son promoteur, Masen, d’aller encore plus vite dans sa déclinaison sur le terrain.

Citation :

Quand le lion s'éveillera

Par François Soudan

Est-ce l'effet Coupe du monde ? L’heure, enfin, semble être à l’afro-optimisme. En témoigne le dernier rapport en date du très sérieux McKinsey Global Institute, que tout responsable politique du continent devrait lire, histoire de renvoyer dans leurs buts ceux qui doutent encore que le continent ait un avenir. La dizaine de chercheurs qui ont rédigé ce « Lions on the move », remarquable de clarté, nous apprennent ainsi que l’Afrique, qui est déjà la troisième région du monde en termes de croissance économique (après l’Asie émergente et le Moyen-Orient), abritera en 2040 une population en âge de travailler supérieure à celle de l’Inde et de la Chine. Plus proche de nous, dès 2020, le nombre de ménages africains dont les revenus permettent de dépasser la simple subsistance quotidienne aura doublé, atteignant les 128 millions. De quoi impulser l’économie urbaine (le continent compte 52 villes de plus de 1 million d’habitants, soit autant que l’Europe occidentale) et attirer les hommes d’affaires, lesquels jouissent déjà, en Afrique, du taux de retour sur investissement le plus élevé du monde en développement!

Ajoutez à cela le fait que 60% des terres arables non cultivées de la planète se trouvent sur le continent, que les conflits armés ont diminué de moitié en Afrique au cours des dix dernières années, que l’inflation y a été divisée par trois, que le taux de scolarisation a doublé, que la croissance ne repose plus que pour 25%sur le cours (réversible) des matières premières, et vous aurez la parfaite description de ce que McKinsey appelle « un acteur majeur de l’économie globale de demain ».

L’institut a classé les pays africains en quatre catégories positives.

1) Les « locomotives », pays dont l’économie est à la fois diversifiée et industrielle: Afrique du Sud, Égypte, Maroc, Tunisie…

2) Les gros producteurs de pétrole, ceux dont le revenu par habitant est le plus élevé, mais où l’économie est la moins diversifiée: Algérie, Angola, Libye, Nigeria… Ces pays, note le rapport, ont pris conscience qu’il leur fallait suivre l’exemple de l’Indonésie: utiliser l’argent du pétrole pour investir dans les fondamentaux du développement.

3) Les économies en transition: Ghana, Sénégal, Cameroun, Kenya, Côte d’Ivoire…Croissance rapide, agriculture d’exportation en plein boom, secteur manufacturier prometteur.

4) Les économies en prétransition: RD Congo, Éthiopie, Tchad, Niger, Soudan…Très pauvres, certes, mais avec un taux de croissance moyen de 7 % l’an depuis 2000 et des perspectives macroéconomique intéressantes, pourvu que soient résolus leurs problèmes de gouvernance.

La conclusion du rapport est sans appel: « L’Afrique va beaucoup mieux qu’on ne le pense, et le monde des affaires ne peut pas se permettre de l’ignorer plus longtemps. »

Les Chinois, eux, n’ont pas attendu McKinsey pour s’en rendre compte. Leurs financements en Afrique dépassent déjà ceux de la Banque mondiale!

Bon article Juba !
la source ,please

C'est signé François Soudan, alors c'est Jeune Afrique

Samyadams a écrit:

C'est signé François Soudan, alors c'est Jeune Afrique

Thanks Sammy
source:
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJA20100628144253/afrique-petrole-developpement-inflationquand-le-lion-s-eveillera.html

voila l'article en englais détaillé sur le site de mckinsey quarterly

http://www.mckinseyquarterly.com/Whats_driving_Africas_growth_2601

L’AFD prête 20 M€ pour la formation automobile au Maroc

Citation :

MAROC. L’ Agence française de développement (AFD) a accordé un prêt de 20 M€ pour le financement de la création de trois instituts de formation professionnelle dans le secteur automobile à Kénitra et à Tanger.

Un centre sera spécialement dédié au constructeur Renault et à ses sous traitants.

Le site de Tanger, qui devrait démarrer début 2012, ajoutera au groupe Renault « des capacités de 170 000 unités par an, puis 350 000 dans un deuxième temps », a indiqué Gérard Detourbet, responsable de l’entrée de gamme chez Renault, dans un entretien publié mi-septembre 2010 par le quotidien La Tribune.

Au Maroc, les engagements de l’AFD dépasse les 2,2 Mds€, ce qui place le royaume parmi les premiers emprunteurs du groupe.

http://www.econostrum.info/L-AFD-prete-20-M-pour-la-formation-automobile-au-Maroc_a3401.html

Citation :

France Télécom renforce sa présence en Afrique

Stéphane Richard, le directeur général de France Télécom, avait prévenu ses troupes dès le début de l'été : les pays émergents, et particulièrement l'Afrique, seraient la "nouvelle frontière" de l'opérateur de télécommunications, numéro un français, mais souffrant comme ses concurrents, d'un marché hexagonal en voie de saturation.

Mardi 21 septembre, le groupe a annoncé avoir conclu un accord pour racheter 40 % du capital de Medi Télécom, le deuxième opérateur de téléphonie marocain, avec ses deux principaux actionnaires, la Caisse de Dépôt et de Gestion et FinanceCom.

L'investissement sera de 640 millions d'euros. France Télécom veut monter à 49 % du capital d'ici 2015. "Cette prise de participation dans Medi Télécom est la première concrétisation de notre nouvelle politique de croissance hors d'Europe, et contribue à notre objectif annoncé de doubler notre chiffre d'affaires (actuellement de 3,5 milliards d'euros) à horizon cinq ans dans la zone Afrique et Moyen-Orient", a déclaré Stéphane Richard, mardi.

Le marché marocain n'est pas le plus dynamique d'Afrique pour les télécommunications : il croît d'environ 5 à 7 % par an. Contre + 32 % entre 2008 et 2009 pour l'Angola, + 36 % pour l'Egypte, + 39 % pour le Bénin, voire + 44 % au Niger ou + 48 % en Ouganda selon des chiffres du cabinet Booz & Company. Mais c'est déjà bien plus que dans les pays occidentaux où les opérateurs maintiennent leurs revenus stables.

Le Maroc est un marché moins "difficile" que d'autres en Afrique - par exemple en Côte d'Ivoire - où le pouvoir d'achat des clients est faible et la concurrence entre les opérateurs très vive.

Créé en 1999 avec le soutien de Portugal Telecom et de l'espagnol Telefonica, Medi Télécom propose de l'accès à Internet, du téléphone fixe et du mobile, et détient une licence d'exploitation de téléphonie mobile de troisième génération ("3G"). Il compte environ 10 millions de clients dans le Royaume et a réalisé un chiffre d'affaires de 5,3 milliards de dirhams (465 millions d'euros) en 2009. Avec 37 % de parts de marché, il se situe encore loin derrière Maroc Telecom, le numéro un, mais, comme lui, il affiche une confortable marge d'exploitation (40 %).

200 euros par client

Maroc Telecom est une des principales pépites du groupe français Vivendi, l'actionnaire majoritaire de SFR. Il en détient 53 % (le reste appartient au Royaume du Maroc), et cette filiale contribue pour un peu plus de 20 % à son résultat opérationnel.

Pour France Télécom, l'annonce de mardi a donc tout d'une belle opération. Selon Mehdi Ben Said, analyste au cabinet Pyramid Research, cité par Les Echos, le groupe a payé environ 200 euros par client Medi Télécom, ce qui, de son point de vue, est raisonnable pour un pays émergent.

Quelle sera la prochaine cible de M. Richard ? Il a répété vouloir éviter les acquisitions d'ampleur, jugées trop coûteuses et risquées. De toute façon, les opportunités ne sont pas légions : l'Afrique est déjà en partie dominée par six grands groupes : France Télécom (déjà très présent en Afrique de l'Ouest), Vivendi (présent, via Maroc Télécom, au Mali, en Mauritanie, au Burkina Faso ou au Gabon ), l'émirati Etisalat, le Sud Africain MTN, l'Indien Bharti et le Britannique Vodafone.

Cécile Ducourtieux

http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/09/22/france-telecom-renforce-sa-presence-en-afrique_1414643_3234.html

Sofitel célèbre le Maroc en organisant une semaine gastronomique dans ses hôtels de luxe en Amérique du Nord

Citation :

New York - Première chaîne d'hôtels de luxe au Maroc avec sept adresses de prestige, dont deux seront inaugurées début 2011, Sofitel Luxury Hotels prépare une fête d'inspiration marocaine dans certains de ses hôtels de luxe en Amérique du Nord.
Pendant la Semaine marocaine, qui se tiendra du 25 septembre au 3 octobre aux Sofitel New York et Sofitel Washington DC Lafayette Square et du 27 septembre au 9 octobre au Sofitel Montréal Golden Mile, les trois hôtels inaugurent un menu marocain traditionnel qui fera voyager les clients des restaurants à travers les riches et surprenantes saveurs marocaines.

http://www.emarrakech.info/Sofitel-celebre-le-Maroc-en-organisant-une-semaine-gastronomique-dans-ses-hotels-de-luxe-en-Amerique-du-Nord_a43403.html

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Opération Méditel/France Télécom

Grosses rentrées de devises en perspective

· 11,2 milliards pour le Trésor et 7 milliards pour Méditel

· Le niveau est inférieur de 6,7% par rapport à 2009

· Le déficit de liquidité est estimé à 25,4 milliards de DH



L’ENTRÉE de France Télécom dans le capital de Méditel est bénéfique pour le Maroc à plus d’un titre. Premièrement pour les vendeurs CDG et Financecom, qui, un an seulement après sa reprise, réalisent une plus-value net de 120 millions d’euros, l’équivalent de 1,4 milliard de DH. D’un autre côté, le montant du deal, qui a été estimé à 7 milliards de DH, va pouvoir soulager, selon plusieurs professionnels, des réserves de changes qui souffrent depuis plusieurs mois. D’ailleurs, il faut rappeler que le déficit des réserves de changes avait été accentué, ironie du sort par l’opération de rachat des parts de Téléfonica et Portugal Telecom pour près de 9 milliards de DH, par CDG et Financecom en septembre 2009. D’autres opérations, survenues au cours de l’année, ont aggravé le niveau déjà bas de ces réserves.
A commencer par la distribution des dividendes de Maroc Telecom, qui a versé plus de la moitié de son résultat net de 2009 (9,42 milliards de DH) à Vivendi Universal ainsi que la reprise des 10% détenus par la Holding Santusa dans Attijariwafa bank par SNI pour 4,1 milliards de DH.
Dans ces conditions, l’encours des avoirs extérieurs est resté inférieur de 6,7% à celui observé une année auparavant, malgré une augmentation de 2,7% en juillet. «La plus importante durant les deux dernières années», indique-t-on au sein du marché.
Suivant la même tendance, les avoirs extérieurs nets ont accusé un repli de 8,2% par rapport à leur niveau enregistré au cours de la même période de 2009.
Selon Bank Al-Maghrib, cette évolution est, particulièrement, liée au creusement du déficit commercial et à la diminution des recettes au titre des investissements et prêts privés étrangers.
Par ailleurs, les opérations sur avoirs extérieurs ont induit une ponction de liquidité de 7,4 milliards de DH au terme du troisième trimestre. Cette ponction est la résultante de la différence entre les achats de devises par les banques qui ont totalisé 12,7 milliards de DH et les cessions de billets de banque étrangers qui ont atteint 5,2 milliards de DH.
Selon des sources du marché, cette situation devrait trouver son dénouement au début du quatrième trimestre 2010. En effet, en plus des 7 milliards de DH issus de l’opération Méditel, les prévisions tablent sur une rentrée de devises de 11,2 milliards de DH à travers la sortie du Trésor à l’international ainsi que 4 milliards de DH à l’issue de la cession de 8% de la participation de l’Etat dans le capital d’IAM.
En parallèle, ces rentrées de cash devraient résorber un déficit de liquidités estimé, durant le troisième trimestre, à 25,4 milliards de DH. De quoi laisser présager une fin d’année moins tendue.

Citation :

Automobile: Deux centres de formation au Nord

Le centre de formation aux métiers de l’automobile de Tanger Méditerranée ouvrira ses portes en décembre. Le centre, situé au sein de l’unité de Renault à Melloussa, devra assurer la formation du personnel recruté par cette dernière et éventuellement de celui de ses équipementiers. Le centre est le fruit d’un investissement de 80 millions de DH. En parallèle, un deuxième centre de formation sera lancé à la TFZ. Il s’agira d’un centre à vocation similaire, axée sur les métiers de l’automobile, sur une superficie de 10.000 m2. Il devra renforcer la capacité de formation qu’offre déjà sur place l’Ofppt avec un centre dédié. Le centre devra entrer en service en octobre 2011 et dispose d’un investissement de 75 millions de DH.

Citation :

Espagne - Maroc : Inauguration à Madrid du bureau de représentation de l'AMDI

Le bureau de représentation de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) en Espagne a été inauguré, jeudi soir à Madrid, en présence du ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, M. Ahmed Réda Chami.

Inauguré en présence également du directeur général de l'AMDI, M. Fathallah Sijilmassi, ce bureau a pour principale mission de contribuer au renforcement de l'image économique du Maroc en Espagne et à la promotion active des investissements espagnols au Royaume.

Il a pour mission également d'apporter le soutien nécessaire aux investisseurs espagnols, à travers l'information, l'accompagnement dans leurs démarches d'investissement, la facilitation des contacts avec les partenaires locaux administratifs et la création d'un environnement favorable pour leur développement au Maroc.

S'exprimant à cette occasion devant un parterre d'entrepreneurs et d'hommes d'affaires espagnols présents lors de cette inauguration, M. Chami a, d'emblée, souligné que le Maroc "peut constituer un moteur de croissance pour l'Espagne".

Rappelant quelques performances de l'économie marocaine durant les dernières années, notamment un taux de croissance d'une moyenne de 5,2% depuis 2005, une hausse des investissements directs étrangers entre 2000 et 2008 ou la baisse continue de la dette publique, M. Chami a relevé que le Royaume a mis en place une stratégie économique "cohérente" sur des bases stables, tout en pariant sur l'ouverture de son économie aux échanges et aux investissements.

Les moteurs de croissance de l'économie nationale sont notamment les infrastructures, l'agriculture, les nouvelles technologies, la pêche, les nouvelles technologies ou l'industrie, ainsi que le développement des ressources humaines, a-t-il précisé, ajoutant que chacun de ces secteurs possède un plan stratégique bien défini dans le but de donner plus de visibilité au secteur privé.

Le ministre marocain a insisté sur le fait que les investisseurs espagnols peuvent tirer énormément profit du dynamisme de l'économie marocaine, à travers l'exportation directe vers le marché national et la participation aux appels d'offre publics lancés dans les différents secteurs, dont le tourisme, l'habitat social, les énergies renouvelables, les infrastructures routières et de transport ou concernant les plateformes industrielles intégrées.

M. Chami a mis l'accent également sur les avantages offerts par le Maroc aux investisseurs espagnols en termes de renforcement de leur compétitivité, grâce notamment à sa proximité géographique, au coût de la main d'œuvre et aux incitations fiscales, ajoutant que le Royaume peut constituer une plateforme idéale d'exportation vers les Etats-Unis et une porte d'entrée au contient africain.

Il a souligné, dans le même contexte, que les entrepreneurs espagnols et leurs homologues marocains peuvent, à travers des partenariats gagnant-gagnant, mieux faire face à la concurrence.

Pour sa part, M. Sijilmassi a mis en exergue les énormes opportunités économiques et d'investissement offertes par le Maroc aux entreprises espagnoles, comme en témoigne le fait que près d'un millier d'entres elles sont déjà actives dans le Royaume.

Il a indiqué que l'AMDI, à travers son bureau de représentation en Espagne, s'attèlera à présenter aux investisseurs espagnols toutes les informations nécessaires à ce sujet, ainsi qu'à les accompagner durant toutes les étapes de leur installation au Maroc et même après.

M. Sijilmassi a, par ailleurs, donné un aperçu sur les missions de l'AMDI, notamment la contribution à la mise en œuvre des orientations du gouvernement en matière économique et d'investissements.

La cérémonie d'inauguration du bureau de représentation de l'AMDI en Espagne a été une occasion pour certains entrepreneurs espagnols installés au Maroc de relater leur expérience réussie en la matière.

A ce propos, le président du Comité hispano-marocain de la Confédération espagnole des organisations d'entreprises (CEOE), M. José Miguel Zaldo, a souligné que le Maroc constitue une destination de choix pour les entreprises espagnoles qui veulent renforcer leur compétitivité, mettant l'accent sur toutes les facilités et incitations mises à leur disposition.

Par ailleurs, M. Alami Lazraq, responsable du pôle développement de l'investissement à la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), a souligné que le patronat marocain est disposé à contribuer à l'effort d'information et d'accompagnement des investisseurs espagnols désireux de s'installer au Maroc, mettant l'accent sur l'importance des partenariats gagnant-gagnant.

http://www.casafree.com/modules/news/article.php?storyid=50601

Le Royaume renforce son industrie pharmaceutique

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Drug maker to transfer technology to Morocco firm
2010/09/24 21:46:37
Taipei, Sept. 24 (CNA) Orient Europharma Co. Ltd., a Taiwan pharmaceutical company, said Friday it has entered into an agreement with Cooper Pharma of Morocco for the transfer of production technology.

Under the agreement, Orient Europharma will transfer two self-developed drugs that treat sleeping disorders and diabetes to Cooper Pharma, and the Morocco firm will be responsible for marketing the drugs in its country, French speaking areas in West Africa and Saudi Arabia.

According to the agreement, Cooper Pharma will pay an unspecified fee for the technology transfer as well as a royalty based on sales of the two drugs.

"We have seen great potential in the Morocco market, " an Orient Europharma official said. "Teaming up with Cooper Pharma is expected to help us penetrate the market, as it is the second largest pharmaceutical firm in Morocco."

Orient Europharma said it was interested in the Moroccan market because it is one of Africa's biggest medical spenders, with medical expenses per capita exceeding US$2,700 in 2008, according to World Health Organization statistics.

Also, 13 percent of Morocco's 30 million people are diabetics and potential users of Orient Europharma's medication.

Furthermore, Orient Europharma said, the pharmaceutical market in the Middle East and Africa is expected to grow at an annual rate of 11 percent due to the prevalence of disease and the large population.

Aside from manufacturing medications, Cooper Pharma is the largest drug wholesaler in Morocco with seven subsidiaries operating around the country, the Taiwanese firm said.

Orient Europharma, listed on Taiwan's over-the-counter market, sells pharmaceuticals, dermo-cosmetics, and nutrition and baby care products.

(By Cheng Hsueh-wen and Frances Huang)

http://focustaiwan.tw/ShowNews/WebNews_Detail.aspx?ID=201009240040&Type=aECO

Citation :

Le groupe Attijariwafa Bank a réalisé, au premier semestre 2010, un résultat net de 2,3 milliards de dirhams (MMDH), soit une hausse de 16 pc, a annoncé, lundi à Casablanca, le président directeur général du groupe, M. Mohamed El Kettani.

Citation :

Royal Air Maroc (RAM) et Etihad Airways, la compagnie nationale de l'Etat des Emirats Arabes-Unis, ont décidé d'élargir leur accord de code share (partage de code) dans le but d'offrir à leurs clients un plus grand nombre de destinations aussi bien vers le Maroc et les pays du Golfe que vers l'Asie et l'Afrique de l'Ouest.

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Le Maroc émet 1 milliard d'euros d'obligations à 10 ans, forte demande
PARIS, 28 sept 2010 (AFP) - à 20h20

Le Maroc a émis mardi un milliard d'euros d'obligations à 10 ans, opération qui a suscité une forte demande et offert un coupon de 4,50%, a indiqué à l'AFP la banque HSBC, qui était chef de file de l'émission.

La demande a atteint 2,28 milliards d'euros , a précisé HSBC.
Le Maroc n'avait plus réalisé d'émissions obligataires sur le marché depuis juin 2007.
Malgré sa notation (BBB- chez Standard and Poor's), le Maroc est parvenu à finaliser l'opération à un taux de 200 points de base au-dessus du swap, c'est-à-dire le taux de référence pour la même échéance, soit mieux que plusieurs Etats de la zone euro.
"Le Maroc a bénéficié de sa proximité avec la zone euro", où il réalise 80% de ses échanges commerciaux, a expliqué Frédéric Gabizon, responsable des marchés primaires obligataires chez HSBC France.
Les investisseurs ont également été attirés par sa croissance économique et ses fondamentaux maîtrisés, trouvant ainsi une source de diversification, toujours selon M. Gabizon.

AFP

Citation :

le Maroc est parvenu à finaliser l'opération à un taux de 200 points de base au-dessus du swap, c'est-à-dire le taux de référence pour la même échéance

Très bonne nouvelle, il y avait de fortes craintes quand à la réaction des marchés. Cette émission d'obligations avait même été retardée à cause de la crise grecque et des menaces qui pesaient sur l'Espagne, plongeant les marchés financiers dans la suspicion.
Enfin, le Maroc a pu se financer bon marché

Le Maroc et la Bulgarie signent à Rabat plusieurs accords de coopération économique et commerciale.

Citation :

Le Maroc et la Bulgarie signent à Rabat plusieurs accords de coopération économique et commerciale

Il s'agit de l'accord cadre de coopération économique entre le Royaume du Maroc et la République de Bulgarie, signé par M. Ahmed Réda Chami, ministre de l'Economie, du Commerce et des nouvelles technologies, et le ministre bulgare de l'Economie, de l'Energie et du Tourisme, M. Traytcho Traykov, qui co-présidaient les travaux de cette session.

Cet accord s'inscrit dans le cadre du renforcement et de la consolidation des relations bilatérales entre les deux pays notamment en matière de commerce et de coopération économique, technique et technologique.

Le deuxième accord portant sur la coopération dans le domaine de la Marine marchande et la protection réciproque des investissements, a été signé par MM. Chami et Kamen Kichev, vice-ministre bulgare des transports, des technologies de l'information et des communications.

Il permettra de favoriser la coopération dans le domaine de la sûreté et de la sécurité de la navigation et la simplification des formalités dans les ports des deux pays.

Les deux parties ont également signé un protocole additionnel de l'accord relatif à l'encouragement et la protection réciproque des investissements. Le document a été paraphé par MM. Chami et Traykov.

Deux mémorandums d'entente ont également été signés à cette occasion par les deux pays. Le premier porte sur la coopération entre Maroc Export et l'Agence Bulgare de promotion des petites et moyennes entreprises (BSMEPA), signé par le secrétaire général de Maroc Export, M. Mohamed Chahoube et le directeur exécutif de la BSMEPA, Mme Mariyana Velkova.

Ce mémorandum a pour objectif de renforcer les relations entre les deux institutions et de visualiser le développement et l'élargissement des liens commerciaux entre le Maroc et la Bulgarie.

Le second entre l'Agence nationale pour la promotion de la petites et moyennes entreprises (ANPME), et la BSMEPA, qui a été signé par le DG de l'ANPME, Mme Latifa Echihabi et Mme Velkova, a pour objectif de développer les relations de coopération et de partenariat entre les deux agences afin d'appliquer les politiques publiques dans le cadre de la promotion et de la modernisation des PME dans les deux pays.

Intervenant à cette occasion, M. Chami a indiqué que ces accords, protocole et mémorandums, qui "viennent enrichir le cadre juridique régissant nos relations bilatérales, portent sur des secteurs importants pour les économies des deux pays".

"Le plus important sera d'accélérer la mise en œuvre de ces accords et de veiller à leur donner la substance nécessaire et en faire le meilleur usage possible", a-t-il poursuivi.

De son côté le ministre bulgare a qualifié de "très bon" les travaux de cette 9ème session, marqués par la signature d'accords et documents qui "permettront d'établir un cadre juridique de la coopération basé sur la législation européenne pour le renforcement de la compétitivité des entreprises Bulgares et Marocaines dans la région de la Méditerranée et de l'Afrique du Nord".

Par ailleurs, le ministre bulgare a eu des entretiens avec plusieurs membres du gouvernement, lors de sa visite de travail à l'occasion de la tenue, les 27 et 28 septembre, de la 9-ème session de la commission économique intergouvernementale Maroc-Bulgarie.

La 8ème session avait été tenue, en avril 2006, à Sofia.

http://www.biladi.fr/091059656-le-maroc-et-la-bulgarie-signent-rabat-plusieurs-accords-de-cooperation-economique-et-comme

L'armateur Hamburg Sud a detourné ses bateaux de Valence à Tanger mais le pire est à venir pour ce grand port espagnol avec l'armateur suisse Mediterranean Shipping Company (MSC) qui envisage aussi d'aller à Tanger
s'il part, il ferme leur port

Citation :

Hamburg Süd desvía su flota de contenedores de Valencia a Tánger
Los bajos costes del puerto marroquí podrían arrastrar al principal cliente de los muelles valencianos, la compañía suiza MSC

EnviarEra una amenaza comercial que se veía venir y los pronósticos se están cumpliendo. La compañía naviera alemana Hamburg Süd ha trasladado su hub de transbordo de contenedores, es decir, su centro de operaciones en el Mediterráneo, al puerto de Tánger-Med en detrimento del puerto de Valencia, según confirmaron ayer fuentes de la Autoridad Portuaria de Valencia (APV).
Los motivos no son otros que el bajo precio de los servicios de estiba y remolque del puerto marroquí, con los que en la actualidad no puede competir el puerto de Valencia.
La decisión, según la Asociación de Navieros Españoles (Anave), implica que Hamburg Süd conectará con Tánger-Med con dos nuevos servicios, el NESM, que traslada contenedores del norte de Europa al sur del Mediterráneo, y el NENM, del norte de Europa al norte del Mediterráneo.
En total, se trata de los servicios de cinco buques, de entre 2.500 y 2.700 TEU (unidad de capacidad de los contenedores de mercancías) en la conexión norte-sur y de otros cinco buques, de entre 1.700 y 2.100 TEU, entre el norte de Europa y la zona norte del Mediterráneo.
La Autoridad Portuaria de Valencia confirmó ayer que la naviera alemana ya desvía sus servicios de transbordo de contenedores al puerto marroquí y comentaron que esta decisión «nos afecta pero todavía no podemos cuantificarla». De acuerdo con la operativa habitual de la naviera alemana, estaríamos hablando de la pérdida de 30.000 TEU anuales.
Hamburg Süd mantiene el servicio de envío de mercancías desde el puerto de Valencia hacia Sudamérica y en 2009 se situó como el quinto cliente del puerto valenciano, con un tráfico de 85.000 contenedores.
El puerto Tánger-Med se ha convertido en estos momentos en la principal amenaza competitiva del puerto de Valencia. Marruecos, con un nivel de vida inferior al de España, puede ofertar unos precios mucho más bajos por la estiba y el remolque de mercancías.
Fuentes de la APV, señalaron que «Tánger-Med es una amenaza y por eso reclamamos desde hace tiempo la reducción de costes en todo el proceso de transbordo o export/import para poder ser competitivos a nivel mundial».
Si la decisión de la naviera alemana supone un golpe, lo peor estaría por venir si el principal cliente del puerto de Valencia, la naviera suiza Mediterranean Shipping Company (MSC), cumple la advertencia de optar por Tánger si no se reducen costes por operar en Valencia.
La APV señala que aunque MSC ha comentado en varias ocasiones que necesita costes más bajos para seguir operando en Valencia «de momento no nos consta que hayan desviado sus transbordos».
La compañía MSC tiene intención de permanecer en Valencia muchos años, ya que de hecho es su puerto hub y ha realizado fuertes inversiones en el mismo. Sin embargo, para sortear estos tiempos ha reclamado la colaboración de la estiba y del resto de colectivos que trabajan en el puerto de Valencia para realizar su actividad dentro de unos márgenes operativos adecuados.
De momento, en su página web ya anuncia la subida generalizada de las tarifas para las exportaciones desde los puertos del Mediterráneo a partir del 15 de octubre, en torno a los 200 euros por contenedor.

http://www.lasprovincias.es/v/20101001/economia/hamburg-desvia-flota-contenedores-20101001.html

Traduction en français obligatoire marques, par respect aux non hispanophone