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| Actualité Economie Mondiale | |
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Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Actualité Economie Mondiale Sam 23 Jan 2010 - 0:07 | |
| Rappel du premier message : USA/GB: accord sur les faillites bancaires - Citation :
- L'un des régulateurs bancaires aux Etats-Unis, la FDIC, et la Banque d'Angleterre ont annoncé vendredi la signature d'un accord de coopération sur les risques de faillite d'une institution financière multinationale.
Cet accord de principe vient en compléter un autre, datant de 1996 et amendé en 1998, entre les trois principaux régulateurs bancaires américains (Réserve fédérale, FDIC et OCC) et l'autorité de régulation britannique du secteur financier, la FSA.
Il prévoit un échange d'informations pour prévenir un risque de ce genre, de préparer "les outils de gestion d'une crise traversant les frontières", et de prévoir entre autres les moyens de coordination et la répartition des tâches.
La présidente de la FDIC Sheila Bair, citée dans un communiqué, a salué "un pas vers la mise en oeuvre des recommandations du groupe de résolution des crises internationales du Comité de Bâle", un forum de régulateurs bancaires de 27 pays.
Si la Banque d'Angleterre n'est plus régulateur bancaire aujourd'hui, elle reste chargée de gérer les crises bancaires, a rappelé son gouverneur Mervyn King. La FDIC est quant à elle l'autorité de régulation de plus de 5.000 banques, en plus d'être l'agence fédérale de garanties des dépôts bancaires. AFP | |
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Auteur | Message |
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Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 2 Jan 2012 - 17:27 | |
| Excellent article - Citation :
- Pourquoi faut-il que les Etats payent 600 fois plus que les banques ?
Ce sont des chiffres incroyables. On savait déjà que, fin 2008, George Bush et Henry Paulson avaient mis sur la table 700 milliards de dollars (540 milliards d'euros) pour sauver les banques américaines. Une somme colossale. Mais un juge américain a récemment donné raison aux journalistes de Bloomberg qui demandaient à leur banque centrale d'être transparente sur l'aide qu'elle avait apportée elle-même au système bancaire. Après avoir épluché 20 000 pages de documents divers, Bloomberg montre que la Réserve fédérale a secrètement prêté aux banques en difficulté la somme de 1 200 milliards au taux incroyablement bas de 0,01 %.
Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples souffrent des plans d'austérité imposés par des gouvernements auxquels les marchés financiers n'acceptent plus de prêter quelques milliards à des taux d'intérêt inférieurs à 6, 7 ou 9 % ! Asphyxiés par de tels taux d'intérêt, les gouvernements sont "obligés" de bloquer les retraites, les allocations familiales ou les salaires des fonctionnaires et de couper dans les investissements, ce qui accroît le chômage et va nous faire plonger bientôt dans une récession très grave.
Est-il normal que, en cas de crise, les banques privées, qui se financent habituellement à 1 % auprès des banques centrales, puissent bénéficier de taux à 0,01 %, mais que, en cas de crise, certains Etats soient obligés au contraire de payer des taux 600 ou 800 fois plus élevés ? "Etre gouverné par l'argent organisé est aussi dangereux que par le crime organisé", affirmait Roosevelt. Il avait raison. Nous sommes en train de vivre une crise du capitalisme dérégulé qui peut être suicidaire pour notre civilisation. Comme l'écrivent Edgar Morin et Stéphane Hessel dans Le Chemin de l'espérance (Fayard, 2011), nos sociétés doivent choisir : la métamorphose ou la mort ?
Allons-nous attendre qu'il soit trop tard pour ouvrir les yeux ? Allons-nous attendre qu'il soit trop tard pour comprendre la gravité de la crise et choisir ensemble la métamorphose, avant que nos sociétés ne se disloquent ? Nous n'avons pas la possibilité ici de développer les dix ou quinze réformes concrètes qui rendraient possible cette métamorphose. Nous voulons seulement montrer qu'il est possible de donner tort à Paul Krugman quand il explique que l'Europe s'enferme dans une "spirale de la mort". Comment donner de l'oxygène à nos finances publiques ? Comment agir sans modifier les traités, ce qui demandera des mois de travail et deviendra impossible si l'Europe est de plus en plus détestée par les peuples ?
Angela Merkel a raison de dire que rien ne doit encourager les gouvernements à continuer la fuite en avant. Mais l'essentiel des sommes que nos Etats empruntent sur les marchés financiers concerne des dettes anciennes. En 2012, la France doit emprunter quelque 400 milliards : 100 milliards qui correspondent au déficit du budget (qui serait quasi nul si on annulait les baisses d'impôts octroyées depuis dix ans) et 300 milliards qui correspondent à de vieilles dettes, qui arrivent à échéance et que nous sommes incapables de rembourser si nous ne nous sommes pas réendettés pour les mêmes montants quelques heures avant de les rembourser.
Faire payer des taux d'intérêt colossaux pour des dettes accumulées il y a cinq ou dix ans ne participe pas à responsabiliser les gouvernements mais à asphyxier nos économies au seul profit de quelques banques privées : sous prétexte qu'il y a un risque, elles prêtent à des taux très élevés, tout en sachant qu'il n'y a sans doute aucun risque réel, puisque le Fonds européen de stabilité financière (FESF) est là pour garantir la solvabilité des Etats emprunteurs...
Il faut en finir avec le deux poids, deux mesures : en nous inspirant de ce qu'a fait la banque centrale américaine pour sauver le système financier, nous proposons que la "vieille dette" de nos Etats puisse être refinancée à des taux proches de 0 %.
Il n'est pas besoin de modifier les traités européens pour mettre en oeuvre cette idée : certes, la Banque centrale européenne (BCE) n'est pas autorisée à prêter aux Etats membres, mais elle peut prêter sans limite aux organismes publics de crédit (article 21.3 du statut du système européen des banques centrales) et aux organisations internationales (article 23 du même statut). Elle peut donc prêter à 0,01 % à la Banque européenne d'investissement (BEI) ou à la Caisse des dépôts, qui, elles, peuvent prêter à 0,02 % aux Etats qui s'endettent pour rembourser leurs vieilles dettes.
Rien n'empêche de mettre en place de tels financements dès janvier ! On ne le dit pas assez : le budget de l'Italie présente un excédent primaire. Il serait donc à l'équilibre si l'Italie ne devait pas payer des frais financiers de plus en plus élevés. Faut-il laisser l'Italie sombrer dans la récession et la crise politique, ou faut-il accepter de mettre fin aux rentes des banques privées ? La réponse devrait être évidente pour qui agit en faveur du bien commun.
Le rôle que les traités donnent à la BCE est de veiller à la stabilité des prix. Comment peut-elle rester sans réagir quand certains pays voient le prix de leurs bons du Trésor doubler ou tripler en quelques mois ? La BCE doit aussi veiller à la stabilité de nos économies. Comment peut-elle rester sans agir quand le prix de la dette menace de nous faire tomber dans une récession "plus grave que celle de 1930", d'après le gouverneur de la Banque d'Angleterre ?
Si l'on s'en tient aux traités, rien n'interdit à la BCE d'agir avec force pour faire baisser le prix de la dette. Non seulement rien ne lui interdit d'agir, mais tout l'incite à le faire. Si la BCE est fidèle aux traités, elle doit tout faire pour que diminue le prix de la dette publique. De l'avis général, c'est l'inflation la plus inquiétante !
En 1989, après la chute du Mur, il a suffi d'un mois à Helmut Kohl, François Mitterrand et aux autres chefs d'Etat européens pour décider de créer la monnaie unique. Après quatre ans de crise, qu'attendent encore nos dirigeants pour donner de l'oxygène à nos finances publiques ? Le mécanisme que nous proposons pourrait s'appliquer immédiatement, aussi bien pour diminuer le coût de la dette ancienne que pour financer des investissements fondamentaux pour notre avenir, comme un plan européen d'économie d'énergie.
Ceux qui demandent la négociation d'un nouveau traité européen ont raison : avec les pays qui le veulent, il faut construire une Europe politique, capable d'agir sur la mondialisation ; une Europe vraiment démocratique comme le proposaient déjà Wolfgang Schäuble et Karl Lamers en 1994 ou Joschka Fischer en 2000. Il faut un traité de convergence sociale et une vraie gouvernance économique.
Tout cela est indispensable. Mais aucun nouveau traité ne pourra être adopté si notre continent s'enfonce dans une "spirale de la mort" et que les citoyens en viennent à détester tout ce qui vient de Bruxelles. L'urgence est d'envoyer aux peuples un signal très clair : l'Europe n'est pas aux mains des lobbies financiers. Elle est au service des citoyens.
Michel Rocard est aussi le président du conseil d'orientation scientifique de Terra Nova depuis 2008. Pierre Larrouturou est aussi l'auteur de "Pour éviter le krach ultime" (Nova Editions, 256 p., 15€)
http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/01/02/pourquoi-faut-il-que-les-etats-payent-600-fois-plus-que-les-banques_1624815_3232.html _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: PetroChina buys rest of Athabasca oil project Mar 3 Jan 2012 - 21:45 | |
| PetroChina buys rest of Athabasca oil projecthttp://www.cbc.ca/news/politics/story/2012/01/03/athabasca-petrochina-mackay-oil.html - Citation :
- Athabasca Oil Sands Corp. has exercised its option to sell its remaining 40 per cent interest in the MacKay River oil sands project to a unit of Chinese oil giant PetroChina for about $680 million.
The deal, announced Tuesday, gives PetroChina full ownership of MacKay River project, one of the newest of northern Alberta's oilsands developments.
It continues a trend that has seen Chinese companies acquire miners, energy producers and other resources companies in Canada and around the world to secure future supplies of minerals, steel, oil and gas and other raw materials for its rapidly growing economy.
Athabasca had sold PetroChina a 60 per cent stake in the project last year.
Regulatory approval
Two weeks ago, the Alberta Energy Resources Conservation Board and Alberta Environment and Water approved the project.
Athabasca said it decided to sell its remaining stake in MacKay River "because it believes the long-term prospects of the company are enhanced by deploying its capital and resources into its other development projects."
The Calgary company said it will save about $190 million in capital spending this year from the divestiture.
Sveinung Svarte, president and CEO, said that since the company sold control of the MacKay River project last year, it has grown and diversified and has other oil and gas prospects to develop.
"We added approximately three billion barrels of contingent resource (best estimate) through successful drilling and acquisitions, reaching approximately 10 billion barrels of contingent resources," he said.
"We grew the resource base of the Hangingstone asset area, which the company estimates now has the potential to produce more than 80,000 barrels of bitumen per day. As a result, we accelerated the timing of development for this project and first production is expected in 2014.
Svarte said the company has also acquired more than 1.7 million acres of promising light oil and liquids-rich natural gas properties and is targeting targeting a production rate of 8,000 - 10,000 barrels of oil equivalent output a day by the end of this year.
Bill Gallacher, chairman of the Athabasca board, said the company plans to diversify its operations with more non-oilsands developments.
"Our strategy is to ultimately achieve approximately 50 per cent of our production from the company's oilsands division and the balance from the light oil division," he said. "We will use the proceeds from the option exercise to implement this strategy."
The $1.9-billion Athabasca-PetroChina deal last year also included the Dover project, which is expected to obtain regulatory approval about a year from now. Once it does, there will be an identical divestiture option.
The first phase of the MacKay River project is expected to produce 35,000 barrels per day, eventually expanding to 150,000 barrels. Construction of the project will begin next month with startup targeted for 2014.
It will use steam-assisted gravity drainage, or SAGD, technology to extract bitumen. Under SAGD, oilsands companies pipe steam underground to melt thick tar-like oilsands deposits. The oil is then collected through a second pipeline and pumped to the surface.
© The Canadian Press, 2012
Les ressources naturelles *strategiques* du Canada continuent d'etre balancees a tout va. Merci au gouvenement neo-conservateur. |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 4 Jan 2012 - 0:47 | |
| ca serait interessant s´ils vendent encore du petrol aux US,apres les garder en perfusion par credits,comme quoi ces derniers fuient une dependance de l´orient pour tomber dans une autre,de l´extreme orient,direct a sa porte _________________ | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 4 Jan 2012 - 17:01 | |
| - Citation :
- La 8e conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) s'est terminée samedi le 17 décembre à Genève. Selon la déclaration finale parue samedi soir, les ministres ont exprimé "leurs profonds regrets" pour le blocage des négociations du cycle de Doha, lancées il y a dix ans.
UNE CONFERENCE QUI N'A PAS PU SAUVER LE CYCLE DE DOHA
Lors de la quatrième conférence ministérielle tenue à Doha en novembre 2001, les économies de l'OMC avaient convenu de lancer de nouvelles négociations portant sur la libéralisation du commerce international.
L'essentiel des négociations du cycle de Doha portait sur l'agriculture et l'amélioration des conditions d'accès des produits agricoles des pays en développement aux marchés des pays riches. L'ensemble des pourparlers a été dénommé "Programme de Doha pour le développement" (PDD).
Les négociations entre membres développés et ceux en développement n'ont cependant pas abouti à un compromis dans des domaines tels que l'agriculture et l'accès aux marchés des produits non agricoles. Depuis 2008, le cycle est resté bloqué dans une impasse, au point que certains médias internationaux ont considéré, peu avant cette conférence, le cycle de Doha comme étant "cliniquement mort".
L'année 2011 restera gravée dans les mémoires comme une année de turbulence et d'instabilité. Au moment où nous pensions être sortis de la crise économique de 2009, les perspectives de l'économie mondiale se sont nettement détériorées, a affirmé le directeur général de l'OMC, Pascal Lamy, lors de l'ouverture de la 8e conférence ministérielle de cette organisation onusienne.
La crise financière et économique mondiale qui a commencé depuis 2007 se poursuit, alors que le monde a besoin d'un redressement économique et d'un consensus sur le développement ou le débouché de l'économie mondiale. Malheureusement, cette conférence de trois jours n'est pas arrivée à donner une orientation au cycle de Doha dont l'essentiel est axé sur le développement.
LES PAYS BRICS POUR FAIRE PROGRESSER LES NEGOCIATIONS DU CYCLE
Le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, cinq économies émergeantes et prospères, forment un groupe appelé "pays BRICS". Couvrant près de 30% de la superficie du monde, ils représentent 40% de la population mondiale et ont réalisé près de 18% du PIB mondial en 2010. Pendant la 8e conférence ministérielle, les 153 membres ont approuvé l'adhésion de la Russie à l'OMC et les pays BRICS ont quant à eux coordonné leurs points de vue, tout en affichant le ur volonté commune de faire avancer les négociations de Doha.
A la veille de cette conférence ministérielle à Genève, le ministre chinois du Commerce, Chen Deming, a affirmé que les pays BRICS ont des intérêts communs et des bases de coopération dans les domaines du commerce et du mécanisme du commerce multilatéral.
"Dans un contexte économique déprimé alors que négociations du cycle de Doha s'enlisent dans l'impasse, le mécanisme du commerce multilatéral est mis à l'épreuve", d'après le ministre chinois.
"En tant que marchés émergents potentiels, les pays BRICS devront renforcer leur l'amitié et leur confiance réciproque, tout en intensifiant leur coopération afin de faire progresser les négociations du cycle de Doha et lutter contre le protectionnisme pour jouer un rôle plus actif dans le développement du commerce global", a-t-il souligné.
UN PRINTEMPS APRES UNE HIBERNATION
L'année 2012 "ne doit pas être une année perdue" dans le dossier des négociations sur le cycle de Doha, a martelé le commissaire européen au commerce Karel De Gucht, lors d'une conférence de presse tenue le 15 décembre à Genève.
Il a souligné à cette occasion que la seule voie à suivre était celle de conclure le cycle de Doha et qu'on était plus conscient de la nécessité d'agir pour sortir de l'impasse, "en commençant en priorité par traiter du dossier des pays les moins avancés".
Les difficultés actuelles (dans les négociations du cycle de Doha) résultent de la crise financière et économique mondiale. De plus, un nouveau cycle d'élections va commencer dans certaines économies développées, lequelles ne pourraient guère opter pour une plus grande flexibilité à l'égard du cycle de Doha, a affirmé le 15 décembre Chen Deming.
Il semble que les négociations du cycle de Doha entrent en hibernation. Le printemps reviendrait sans doute pour le cycle de Doha après cette période morose et les échéances électorales, a estimé M. Chen.
Tous les membres doivent faire confiance au système commercial multilatéraliste et adresser un signe positif à la stabilité et au développement de l'économie mondiale. Les négociations du cycle de Doha ne doivent se concentrer que sur le développement et il n'est pas question d'abandonner les fruits récoltés au cours des dix dernières années de pourparlers, a relevé le responsable chinois. http://french.news.cn/monde/2011-12/19/c_131314483.htm | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 13 Jan 2012 - 22:20 | |
| - Citation :
- L'Italie dégradée de 2 crans (presse)
Après la France, un autre pays de la zone euro pourrait être dégradée par l'agence de notation américaine, Standard & Poor's : l'Italie.
Selon l'agence de presse Ansa citant des sources gouvernementales, la note de la dette du pays pourrait être abaissée de deux crans, à BBB+.
Cette éventuelle dégradation serait justifiée par l'ampleur de la dette italienne et ses importants besoins de financement en 2012 : 220 milliards d'euros, contre 98 milliards pour l'Espagne.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/01/13/97002-20120113FILWWW00664-italie-degradee-de-2-crans-presse.php |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 23 Jan 2012 - 16:25 | |
| - Citation :
- La production mondiale d’acier dépasse le milliard et demi de tonnes.
Le 23 janvier 2012 par Daniel Krajka * Mots clés : Métaux ferreux
Toujours tirée par la Chine, la sidérurgie mondiale affiche de nouveaux records en 2011. Et ce malgré un sensible ralentissement de l’activité au cours du deuxième semestre.
La production mondiale d’acier a poursuivi sa progression en 2011, franchissant pour la première fois le seuil symbolique du milliard et demi de tonnes, 1,527 milliard précisément. La Chine conforte sa place de numéro un de la sidérurgie mondial avec une production de 695,5 millions de tonnes, en hausse sur un an de 8,9%. Le Japon, malgré un recul de 1,8%, se maintient à la deuxième place avec une production de 107,6 Mt, sans avoir cependant retrouvé le niveau de 2007, 120,2 Mt. La sidérurgie des Etats-Unis n’a pas non plus retrouvé le niveau d’avant la Grande récession. A 86,2 Mt, elle reste en troisième position avec un rebond de 7,1%.
Derrière, l’Inde poursuit sa progression et, avec une augmentation de 5,7% de sa production à 72,2 Mt, accroît son avance sur la Russie dont la production ne s’est appréciée que de 5,7% à 68,7 Mt. En sixième position, la sidérurgie coréenne revient sur la Russie grâce à un rebond de 16,2% à 68,5 Mt. La production d’acier en Allemagne est pratiquement étale à 44,3Mt en hausse de 1%. La Turquie affiche l’augmentation la plus substantielle, 17%, parmi les grands de l’acier. Avec une production de 34,1 Mt, elle se rapproche du Brésil (35,2 Mt) et de l’Ukraine (35,3 Mt). La sidérurgie française pointe au 14e rang, sa production en hausse de 2,4% à 15,8 Mt, n’a pas retrouvé le niveau d’avant la crise financière, quand elle tutoyait les 20 Mt annuelles.
La sidérurgie asiatique a, sans surprise, enregistré une nouvelle progression de 7,9% par rapport à 2010. Elle représente avec 988,2 Mt d’acier pas moins de 64,7% de l’offre mondiale (45,5% pour la seule Chine). A l’inverse, la sidérurgie européenne n’en représente plus que 11,6%, malgré une hausse de 3% à 177,43 Mt.
La production mensuelle a continué de refluer en décembre, malgré une hausse sur un an de 2% à 117,06 Mt. Autre signe de ralentissement de l’activité du secteur, le taux d’utilisation des capacités de la sidérurgie a encore baissé à 71,7%, plus bas que les 73,8% enregistrés en décembre 2010. La tendance a été à la baisse tout au long du deuxième semestre, exactement depuis les 82,8% de juin 2011.
http://indices.usinenouvelle.com/produits-siderurgiques/aciers/la-production-mondiale-d-acier-depasse-le-milliard-et-demi-de-tonnes.4142
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| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 26 Jan 2012 - 16:36 | |
| - Citation :
- L'Etat hébreu, qui réalise près de 30% de ses exportations dans les pays européens, envisage de soutenir les exportateurs locaux et de fournir des garanties aux entreprises en cas d'effondrement de la zone euro, rapporte l'agence Bloomberg se référant au ministre des Finances israélien Yuval Steinitz.
"Nous ne pouvons pas nier la possibilité d'une sortie d'un ou de plusieurs pays de l'UE de la zone euro. Si celle-ci se désintègre, une nouvelle crise surviendra. Mais nous avons prévu un plan pour le pire des scénarios", a-t-il déclaré sans pour autant dévoiler les détails.
L'Europe constitue non seulement un énorme marché pour les exportations israéliennes, mais également une source de revenus pour son tourisme. Ainsi, l'effondrement de la zone euro aurait des répercussions sur cette branche de l'économie israélienne. Par ailleurs, la devise nationale, le shekel, risque d'être affectée par l'instabilité du marché européen. http://fr.rian.ru/world/20120126/193158345.html - Citation :
- Alors que les dirigeants de l’UE cherchent fiévreusement à sauver la zone euro de la faillite, aux dépens de l’intérêt général, deux scénarios de « vie après l’euro » viennent d’être proposés en Allemagne, qui contredisent le mantra officiel du gouvernement allemand selon lequel « il n’existe pas d’alternative à l’euro ».
Wolfgang Reitzle, le PDG de Linde AG, principal producteur de gaz industriel, déclarait à l’hebdomadaire Der Spiegel (16 janvier) qu’il n’était « pas d’avis que l’euro doit être sauvé à tout prix », et que « si les efforts pour discipliner les pays en crise s’avèrent vains, l’Allemagne doit sortir » de la zone euro.
Cela conduirait à une « réévaluation du d-mark, de l’euro-nord ou de n’importe quelle monnaie que nous adopterions alors », a-t-il ajouté. Et même si le chômage augmentait en raison de la chute des exportations, il est confiant que l’économie allemande absorberait le choc avec le temps : « Cinq ans plus tard, l’Allemagne pourrait même être dans une position plus forte par rapport à ses concurrents d’Asie. » Si un tel scénario n’est pas « souhaitable », Reitzle estime qu’il ne devrait pas « être un tabou non plus ».
Pour sa part, le 19 janvier, le quotidien Neue Zuercher Zeitung a fait état d’une étude sur les chances de survie de l’euro, conduite par l’économiste Renate Ohr de l’université de Goettingen.
Selon elle, sa crainte initiale que le système de l’euro ne mène à une monnaie instable et à une union de transfert fiscal pour compenser les déficits croissants aux dépens des citoyens et des contribuables, a été plus que justifiée par les développements de ces deux dernières années. Puisque les pays membres de l’euro ne peuvent plus équilibrer leurs déficits par des ajustements de la monnaie, la seule alternative consiste en « une sortie de l’union monétaire », ce qui ne rimerait pas forcément avec sortie de l’UE.
Ohr estime que la transition de l’euro aux monnaies nationales respectives amènerait une période de rigueur économique et financière considérable, mais que la perspective d’amélioration en dehors de la zone euro rendrait l’achat des obligations souveraines des pays concernés plus attractif pour les investisseurs.
Ces deux scénarios, révélateurs du débat en cours, demeurent fermement ancrés dans le carcan du système monétariste actuel. Par conséquent, ils prévoient une hausse du chômage et davantage d’austérité écrasante pour les populations concernées.
Il y a, cependant, une façon d’éviter cela, pour autant que la sortie de l’euro soit accompagnée d’une réorganisation complète des systèmes bancaires, en passant par pertes et profits les actifs toxiques et en revenant à un système de crédit au service de la création humaine. http://www.solidariteetprogres.org/L-Allemagne-cherche-des-alternatives-a-l-euro_08513 | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 29 Jan 2012 - 14:38 | |
| - Citation :
- Une attaque contre le taux de change de la devise chinoise est totalement injuste car le renminbi (RMB), également connu sous le nom de yuan, continue de s'apprécier, a déclaré vendredi un conseiller de la banque centrale chinoise.
"Le taux de change du RMB a probablement causé le plus grand malentendu entre la Chine et le monde", a déclaré Li Daokui, membre du comité sur la politique monétaire de la Banque populaire de Chine (PBOC), à Xinhua dans une interview exclusive.
"Les perceptions sur le taux de change du RMB dans la communauté internationale sont absolument sans fondement, car le yuan est probablement la seule devise de l'économie émergente qui s'élève contre le dollar américain depuis août dernier", selon M. Li.
"Prenez la roupie indienne par exemple. La devise a baissé de 20 % environ contre le dollar américain, alors que le yuan continue de croître, modérément et progressivement", a-t-il ajouté.
Depuis que le gouvernement chinois a entrepris la réforme du mécanisme de taux de change du RMB en juin 2010, la devise s'est appréciée de plus de 7,5 % par rapport au dollar américain, d'après la PBOC.
Prenant en considération le taux d'inflation domestique plus élevé en Chine qu'aux Etats-Unis, le yuan s'est apprécié encore plus face au dollar américain, d'après un rapport remis par le département américain du Trésor au Congrès américain sur les politiques de taux de change et d'économie internationale en décembre. http://french.news.cn/chine/2012-01/28/c_131379312.htm | |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 29 Jan 2012 - 21:32 | |
| _________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
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| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 5 Fév 2012 - 15:04 | |
| Le patron de Barclays pourrait toucher jusqu'à 3,6 millions d'euros de bonus - Citation :
- Le directeur général de la banque Barclays, Bob Diamond, devenu un symbole en Grande-Bretagne des excès de la finance, pourrait toucher un bonus compris entre 2 et 3 millions de livres (entre 2,4 millions et 3,6 millions d'euros), selon la presse britannique de dimanche.
Selon le Sunday Times, ce bonus est estimé à 2 millions de livres, tandis que le Sunday Telegraph donne une fourchette comprise entre 2,5 et 3 millions de livres, précisant que le montant de cette gratification ne sera pas connu avant mars.
La banque britannique, qui doit annoncer vendredi ses résultats annuels, va enregistrer un bénéfice 2011 avant impôts de 6 milliards de livres (7,2 milliards d'euros) indique également le Sunday Telegraph, citant des analystes.
Un résultat à peu près comparable à celui de 2010 (bénéfice avant impôt de 6,06 milliards de livres, bénéfice net de 3,56 milliards de livres).
Le bonus de Bob Diamond pourrait faire scandale, dans un contexte d'hostilité de l'opinion à l'égard des rémunérations des banquiers.
Le directeur général de la Royal Bank of Scotland (RBS) Stephen Hester a été contraint fin janvier de renoncer à un bonus de plus d'un million d'euros, dont l'attribution avait suscité un tollé général en pleine cure d'austérité. Dans la foulée, l'ex-patron de la banque, Fred Goodwin, s'est vu retirer son titre de chevalier accordé en 2004, une mesure exceptionnelle.
En 2011, Bob Diamond s'était vu accorder un bonus annuel de 6,5 millions de livres (environ 7,6 millions d'euros). Surnommé par la presse britannnique «le banquier aux 100 millions de livres» pour avoir été un grand bénéficiaire de bonus avant la crise financière, il avait renoncé à son bonus en 2009. © 2012 AFP | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 20 Fév 2012 - 17:42 | |
| - Citation :
- Le mémorandum imposé à la Grèce par la Troïka et approuvé par le parlement grec n’est rien de plus qu’un diktat comparable à ceux d’un Etat fasciste, en ce sens qu’il vise explicitement à violer non seulement la Constitution grecque, les lois européennes et internationales, mais aussi les lois naturelles de l’Humanité.
Le professeur honoraire de droit constitutionnel, Giorgos Kassimatis, de l’Université d’Athènes, a publié une déclaration le 13 février déclarant que le mémorandum et l’accord de prêt « sont contraires au droit international, parce qu’ils violent le principe de protection de la souveraineté nationale et les droits fondamentaux des peuples. »
Le mémorandum de la Troïka est illégal en raison « du principe de droit international selon lequel le gouvernement d’un pays débiteur doit d’abord s’assurer que les besoins de base de la population sont satisfaits avant de payer les dettes. »
Selon ce principe, « le pays débiteur a le droit de déclarer unilatéralement un état d’urgence économique et de suspendre les paiements jusqu’à ce que la partie onéreuse de la dette soit eliminée. » Un Etat peut également déclarer comme invalides les contrats et conditions violant le droit international et les prêteurs ne sont pas autorisés à prendre des représailles pour les pertes subies sur les prêts accordés à ce pays.
Ce mémorandum, un document de 50 pages, énumère les postes où doivent être effectuées les coupes et en précise les montants. Ceci inclut 3,3 milliards d’euros en coupes additionnelles (en plus de celles exigées dans des mémorandums antérieurs), telles que des réductions par l’Etat dans ses achats de médicaments, de 2,5 milliards actuellement à 1,5 milliard d’euros. Ceci inclut également des coupes de 150 000 postes dans le secteur civil. Le mémorandum précise de manière détaillée l’endroit et la manière dont ces emplois seront éliminés.
On y trouve également de manière précise quels actifs de l’Etat seront privatisés, ainsi que des « réformes structurelles » qui n’ont absolument rien à voir avec le remboursement actuel de la dette, telles des coupes dans les salaires du secteur privé, incluant le salaire minimum et l’élimination du droit de négociation collective des syndicats.
Ainsi, toutes les lois protégeant l’industrie et les services locaux contre les activités trans-frontalières, c’est-à-dire les cartels et société multinationales devront être abrogées. Mêmes les règlements couvrant les licences accordées à telle ou telle profession ou concernant le commerce de détail dans le domaine alimentaire et autres secteurs sont visés.
Une autre déclaration du professeur Kassimatis et quatre autres professeurs éminents de droit constitutionnel repasse en détail les articles spécifiques du memorandum qui sont en violation avec la constitution grecque et le droit européen. Le point de départ de leur analyse est d’ailleurs que le seul fait de soumettre un tel document au parlement grec ou toute autre institution se proclamant « démocratique » est en soi une violation de procédure constitutionnelle. http://www.solidariteetprogres.org/La-Troika-viole-allegrement-la-Constitution-grecque_08602 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 26 Fév 2012 - 16:01 | |
| - Citation :
- Crise de la dette
La grande braderie européenne 21 février 2012 The Independent Londres
En vente : Le Grand Kinigat (Autriche), la forêt irlandaise, une plage de Caprera (Italie), le pavillon de chasse de la Muette (France), le soleil grec, des hélicoptères de la Défense britannique.
En vente : Le Grand Kinigat (Autriche), la forêt irlandaise, une plage de Caprera (Italie), le pavillon de chasse de la Muette (France), le soleil grec, des hélicoptères de la Défense britannique. Presseurop
Dans toute l’Europe, les Etats cherchent des moyens rapides de trouver des fonds. Apparemment, tous ont eu la même idée : vendre le patrimoine national. Tom Bawden | Charlie Cooper
Qu’ont en commun le mardi gras portugais, le soleil grec, les pur-sang irlandais et la loterie nationale espagnole ? Réponse : ils sont tous soit mis en vente, soit supprimés par des gouvernements européens qui ne savent plus quoi inventer pour ressusciter leurs finances après avoir vécu pendant dix ans au-dessus de leurs moyens. Les Etats du continent sont de plus en plus nombreux à vendre leur argenterie, braderie du patrimoine européen sans aucun précédent.
La Grèce est sans doute celle qui a mis le plus aux enchères, pour près de 50 milliards d’euros de trésors nationaux, mais d’autres ont eu la même idée. Sous des cieux plus cléments, ces solutions désespérées paraîtraient au mieux ambitieuses. Sauf que les cieux en question n’ont en ce moment rien de clément.
Et, si tout le monde débarque sur le marché en même temps, les prix ne vont pas manquer de dégringoler. La Grèce, par exemple, n’a pour l’heure récolté que 180 millions d’euros sur son objectif annoncé de 50 milliards.
Logiquement, les acheteurs ne devraient pas manquer. La Chine veut investir ses richesses dans les moindres coins et recoins de la planète, tandis que les pays du Moyen-Orient sont toujours prêts à dépenser l’argent que leur rapporte le pétrole.
Il est difficile de savoir s’il faut s’en réjouir ou non. D’un côté, tout ce qui peut nous permettre d’échapper à la dette est bienvenu. De l’autre, une fois vendue, l’argenterie de la famille n’est plus à nous. Alors que nos économies sont de plus en plus dépassées par la Chine et l’Inde, on court le risque grave de voir la situation ne jamais redevenir ce qu’elle était.
1. Irlande
Forêts, service public, une compagnie aérienne, des pur-sang
L’Etat irlandais a mis des parts en vente dans tout un éventail de biens du patrimoine, dont sa compagnie aérienne, Aer Lingus, la société d’exploitation forestière Coillte et les célèbres haras nationaux (qui vaudraient près de 1 milliard). Bord Gis, la compagnie irlandaise du gaz, a été évaluée à 2,5 milliards d’euros. Le ministère des Transports a confirmé la semaine dernière que la part du gouvernement dans Aer Lingus, d’un montant de 123 millions d’euros, avait suscité un “grand intérêt”.
2. Portugal
Infrastructures énergétiques
Le Portugal est parmi les premiers à participer à la braderie, et donc un de ceux auxquels elle a le plus rapporté. Le réseau national électrique portugais appartient désormais en partie à la Chine et à Oman Oil. Grâce à ces accords, le Portugal a récupéré 592 millions d’euros. Dans le cadre d’un contrat encore plus juteux, de près de 8 milliards d’euros, 21 % d’Energias de Portugal, la compagnie énergétique nationale, a été racheté par la Corporation des Trois-Gorges chinoise.
3. Pays-Bas
Matériel militaire
L’an dernier, le ministère de la Défense néerlandais a récolté plusieurs millions d’euros en vendant un lot de 18 chasseurs F-16 Fighting Falcon au Chili. Des bâtiments de combat ont également été mis en vente lors de cette opération, qui s’inscrivait dans un programme d’austérité évalué à 1 milliard d’euros.
4. Royaume-Uni
Ambassades, bâtiments officiels, équipement militaire
La Grande-Bretagne espère convertir la part du gouvernement dans les National Air Traffic Services (organisme de gestion du trafic aérien) en espèces sonnantes et trébuchantes. Il a de plus été envisagé de vendre des centaines d’ambassades et de propriétés appartenant au Foreign Office un peu partout dans le monde, pour une valeur totale de 240 millions de livres (287 millions d’euros).
Le ministère de la Défense vend le site du camp de Deepcut – et des tonnes de matériel militaire dont il ne veut plus. Soixante-douze appareils à décollage vertical de type Harrier retirés du service ont été récemment vendus aux Etats-Unis pour environ 116 millions de livres (138 millions d’euros). Le porte-avions HMS Ark Royal a été mis aux enchères l’an dernier. Parmi les autres équipements de la Défense que l’on peut se procurer, citons des hélicoptères, des Land Rover et des montres de luxe.
5. Espagne
Infrastructures (y compris le métro de Madrid ?)
En septembre, le projet d’engranger des milliards d’euros grâce à la privatisation partielle de la loterie nationale espagnole a été annulé quand le ministère des Finances a décrété que sa valeur commerciale était sous-estimée. Criblé de dettes, le gouvernement espagnol se dispose cependant à vendre des biens situés à Madrid, où un accord est en cours de négociation sur la commercialisation d’une part minoritaire de la compagnie des eaux de la capitale, Canal Isabel II. Le métro de Madrid, d’un montant évalué à 2 milliards d’euros, pourrait lui aussi être mis en vente.
6. France
Immobilier de premier choix
Depuis des années, la France vend des biens immobiliers de l’Etat. En 2010, on a annoncé la vente de 1 700 propriétés supplémentaires afin de réduire la dette, de plusieurs milliards d’euros, du pays. Des châteaux historiques, des immeubles parisiens, et même le pavillon de chasse royal de la Muette, d’une valeur de 12 millions d’euros, ont été mis en vente.
7. Autriche : les Alpes (presque)
Le gouvernement a suscité un tollé en juin dernier en proposant deux montagnes au prix de 121 000 euros le lot. L’opposition au projet de vente du Rosskopf (2 600 mètres) et du Grand Kinigat (2 700 mètres) aura réussi à lui faire remiser ses crampons. Cependant, un ministre a déclaré que ces deux sommets pourraient être à nouveau présentés aux acheteurs.
8. Italie : bâtiments, plages, or, façades de monuments – les idées fleurissent
En 2010, l’Etat italien s’est lancé dans une grande braderie en proposant quelque 9 000 édifices, plages, forts, et même îles, pour financer le remboursement de la dette souveraine. Le lot mis sur le marché a été estimé à plus de 3 milliards de livres (3,60 milliards d’euros). Personne ne sait vraiment si cette somme rondelette s’est matérialisée dans les caisses italiennes, mais des dizaines de palazzi vénitiens ont été achetés pour être transformés en hôtels. La vente de droits d’affichage publicitaire sur le Colisée a permis également de lever des fonds. Plus récemment, l’Allemagne a vivement recommandé à l’Italie de vendre ses réserves d’or rapidement, tant que le cours reste élevé.
9. Lettonie : une ville fantôme
En 2010, une ville entière a été vendue aux enchères à une société russe pour 1,9 million de livres (2,27 milliards d’euros). Skrunda-1, une ancienne base militaire russe, était à l’abandon depuis la chute de l’Union soviétique.
10. Grèce : tout doit disparaître (sauf l’Acropole)
Le gouvernement grec cherche à réunir pas moins de 50 milliards d’euros en vendant ou en louant toutes sortes de biens nationaux, parmi lesquels l’aéroport international d’Athènes (et 38 autres aéroports), les compagnies pétrolières et gazières publiques, les ports de Thessalonique et du Pirée, la Hellenic Postbank, les autoroutes, la société publique des courses hippiques, et 35 immenses complexes immobiliers appartenant à l’Etat. Hellenikon, une bande côtière trois fois plus grande que Monaco, où se trouvait autrefois un aéroport international, est à vendre, tout comme 18 hectares à Corfou et, semble-t-il, de nombreux autres tronçons de littoral sublime. D’aucuns ont même parlé de vendre le soleil grec : Athènes est en pourparlers avec Bruxelles en vue d’exporter de l’énergie solaire.
http://www.presseurop.eu/fr/content/article/1532761-la-grande-braderie-europeenne |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 27 Fév 2012 - 10:02 | |
| - Citation :
Crise de l'Euro: la Russie pourrait accorder une aide à l'Europe (Poutine)
La Russie pourrait accorder une aide financière directe à certains pays européens, a annoncé le premier ministre russe et candidat à la présidentielle Vladimir Poutine dans un article publié lundi dans le journal Moskovskie Novosti.
"Il est évident que l'état des choses en Europe influence considérablement les perspectives de développement du système économique global. La Russie participe activement aux efforts internationaux visant à soutenir les économies européennes en crise. Nous envisageons la possibilité d'accorder une aide financière directe", a indiqué M.Poutine dans l'article intitulé "La Russie et un monde changeant", consacré à la politique étrangère et à la situation internationale.
Moscou a notamment déjà versé un crédit d'un montant de 2,5 milliards d'euros à Chypre. Les deux premières tranches du crédit (590 millions et 1,32 milliards d'euros) sont arrivées, la troisième étant attendue fin mars.
RIAN _________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mar 28 Fév 2012 - 2:44 | |
| - Citation :
- Les orphelins de la crise
Selon les services sociaux, les cas d'abandon d'enfants, que les familles ne peuvent plus nourrir, se sont multipliés ces derniers mois. Reportage.
Un soir, Anna était encore à l'école. Et sa maman ne venait toujours pas venir la chercher. Les instituteurs ne savaient pas quoi faire. Puis la petite a sorti de sa poche un papier. C'était une note qu'elle ne pouvait déchiffrer à son âge. "Anna, je ne viendrai pas te chercher ce soir. Je n'ai pas d'argent, je ne peux plus m'occuper de toi. Pardon. Ta maman". La personne qui raconte cette histoire m'en parle comme d'un cas quotidien. "Dans cette situation, que pensez-vous que l'école puisse faire ? Ils ont appelé le juge pour enfants et ce dernier nous l'a envoyé", témoigne Stratos, responsable d'un centre d'accueil pour enfants en détresse.
Tout cela n'a rien d'un livre de Dickens. Cela se passe aujourd'hui, dans une banlieue d'Athènes. La maman d'Anna n'est pas folle. C'est une jeune femme qui a perdu son travail et a paniqué. Il y en aurait des centaines comme elle aujourd'hui en Grèce. Des parents, tombés dans une impasse économique et qui ne peuvent plus s'occuper de leurs enfants.
"Il y a encore deux ans, 95 % des admissions dans nos centres d'accueil concernaient des cas de mineurs maltraités", explique Marine, qui travaille depuis dix-neuf ans dans un de ces centres. "Alors qu'aujourd'hui, la moitié des demandes vient de parents très pauvres. Huit fois sur dix, ce sont des familles monoparentales qui n'ont pas de parents autour d'eux", poursuit-elle. "Le plus souvent, les enfants viennent avec leur mère. Elle leur montre la chambre, le lit et me présente. Puis elle s'en va en disant 'je t'aime' et l'enfant reste collé à la porte en voyant sa mère s'éloigner", raconte encore Marina, qui succombe à l'émotion en racontant ces scènes de séparation. "Ces enfants ne crient pas, ne pleurent pas. Ils restent plantés devant la porte jusqu'à ce que l'ombre de leur maman disparaisse. Quand il y a des frères et sœurs, on ne peut pas les séparer immédiatement. Surtout le premier soir. On les met dans des lits séparés puis ont les retrouve dans le même quelques instants plus tard, enlacés, pour être certains de ne pas se perdre...".
En principe, ces foyers ne sont pas destinés à ce genre de situations. Pour les familles pauvres, il y a les services sociaux. Mais la pauvreté n'arrive jamais seule. "L'autre jour, on a eu le cas de cette petite fille", raconte une assistante sociale. "Elle avait trois ans et elle ne connaissait pas plus de quinze mots. Les médecins l'ont auscultée, elle se portait bien. Son père travaille du matin au soir sur des chantiers, sa maman est handicapée et ils ne pouvaient plus s'occuper de leur enfant. Quand personne ne te parle, comment peut-on apprendre la langue ?". La pauvreté conduit à la destruction du foyer et parfois aux mauvais traitements, témoignent encore les responsables des services sociaux. Ainsi, beaucoup de parents, avant d'arriver à l'extrême déchéance, préfèrent leur confier leurs enfants.
"Un jour, j'ai trouvé une femme à l'entrée du foyer, tenant sa fille par la main", reprend Marina. "Elle lui disait : 'Ne crois pas que maman ne t'aime pas. Elle t'adore, mais elle n'a pas de quoi te nourrir. Ici, les gens sont gentils, tu verras'. Que voulait faire cette mère ? Laisser son enfant chez nous et repartir ? Quelque soit le nombre d'années passées dans ce métier, il y a des choses qu'on n'accepte pas. Comme l'image de cette femme qui tient son enfant par la main et lui explique qu'elle va l'abandonner", conclut Marina.
http://www.courrierinternational.com/article/2012/01/12/les-orphelins-de-la-crise
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mar 28 Fév 2012 - 19:40 | |
| La Chine à un point tournantLAPRESSE.CA - Citation :
- La Chine a atteint un tournant dans son développement économique et va devoir mettre en oeuvre de profondes réformes, avec un rythme de croissance qui va diminuer de moitié en 20 ans, ont estimé lundi des experts de la Banque mondiale et du gouvernement.
Après avoir permis d'atteindre en moyenne 10% de croissance annuelle au cours des 30 dernières années, la deuxième économie mondiale doit changer de modèle de croissance, axé jusque là sur l'investissement et les exportations, a affirmé le président de la Banque mondiale Robert Zoellick, lors de la présentation de cette étude «Chine: 2030».
«La nécessité de réformes est indiscutable parce que la Chine est désormais à un tournant de son développement», a dit M. Zoellick lors d'une conférence de presse à Pékin.
«Le modèle de croissance actuelle du pays n'est pas soutenable. Ce n'est pas le moment de se débrouiller comme on peut, c'est le moment d'anticiper et de s'adapter aux grands changements sur la scène internationale et dans les économies mondiale et nationales», a dit M. Zoellick.
Liu Shijin, vice-ministre du Centre de recherche sur le développement du gouvernement, qui a préparé le rapport avec la Banque mondiale, a également souligné la nécessité des réformes pour l'économie chinoise, qui croît encore à environ 9% annuellement, mais va voir sa croissance ralentir aux alentours de 5 ou 6% dans les 20 prochaines années.
Le document a reçu le soutien du vice-président Xi Jinping et du vice-premier ministre Li Keqiang, qui devraient, sauf coup de théâtre, succéder au président Hu Jintao et au premier ministre Wen Jiabao lorsque le processus de succession politique sera achevé en mars 2013 en Chine.
Mais les conclusions du document vont probablement buter sur une forte résistance de la part de ceux qui tirent profit du modèle actuel, a averti M. Zoellick.
«Les réformes ne sont pas faciles, souvent elles provoquent des rejets», a dit le président de l'institution internationale.
La résistance pourrait notamment venir des entreprises d'État, dont le rapport veut réduire les privilèges et le poids économique.
Plus de 10 ans après l'accession de la Chine à l'Organisation mondiale du Commerce, ces dernières profitent toujours des restrictions sur la part de l'investissement étranger dans des secteurs stratégiques comme l'automobile, l'énergie, la finance et les télécommunications.
Elles profitent aussi de financements avantageux, tandis que leurs concurrents étrangers se plaignent d'un manque de transparence dans l'accès au marché chinois.
Le rapport préconise aussi un meilleur accès au crédit pour les PME, veut que le système bancaire chinois soit gouverné par des règles de marché et appelle à une libéralisation des taux d'intérêt afin que la deuxième économie mondiale «achève sa transition vers une économie de marché».
Parmi les autres recommandations, le document appelle à renforcer l'innovation, à améliorer la protection sociale et les incitations pour protéger l'environnement, ainsi qu'à une meilleure garantie des droits sur la terre des paysans.
De telles «mesures concrètes» sont nécessaires alors que la Chine veut fonder sa croissance économique sur la «stabilité», a souligné Li Wei, le ministre en charge du Centre de recherches sur le développement.
Malgré la crise de la dette en Europe et les faiblesses persistantes de l'économie américaine, M. Zoellick a minimisé le risque d'une catastrophe économique en Chine. Il entrevoit des «points de tension qui vont se renforcer avec le temps plutôt qu'une crise» pour l'économie chinoise. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mar 28 Fév 2012 - 23:21 | |
| ça sent très mauvais pour les grecs :
L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's a abaissé lundi la note de solvabilité de la Grèce à "SD", niveau correspondant à un "défaut de paiement sélectif
source : http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/standard-and-poor-s-abaisse-la-note-de-la-grece-27-02-2012-1881536.php
Selon Moody's, le risque de défaut de la Grèce reste élevé malgré l'accord
source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iOzZXtufvtgdVAl_IeG2B6_P2_nQ?docId=CNG.f0f6249e51be50eb4ef9d332a4180e45.221 |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mar 28 Fév 2012 - 23:41 | |
| - LaikTurkiye a écrit:
- ça sent très mauvais pour les grecs :
L'agence d'évaluation financière Standard and Poor's a abaissé lundi la note de solvabilité de la Grèce à "SD", niveau correspondant à un "défaut de paiement sélectif
source : http://www.leparisien.fr/flash-actualite-economie/standard-and-poor-s-abaisse-la-note-de-la-grece-27-02-2012-1881536.php
Selon Moody's, le risque de défaut de la Grèce reste élevé malgré l'accord
source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iOzZXtufvtgdVAl_IeG2B6_P2_nQ?docId=CNG.f0f6249e51be50eb4ef9d332a4180e45.221 Les maffias financieres ont trouve le talon d'Achille de l'Europe "Utile" (= FR, DE, GB, Benelux): la Grece. Ca ne cessera que lorsque l'EU, surtout son modele, aussi imparfait soit-il, sera a la poubelle. Comme l'a dit notre premier ministre en 2006:"You Won't Recognize Canada When I Get Through With It", "You Won't Recognize EU When World Finance will Get Through With It". Bonne chance aux euros... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 2 Mar 2012 - 23:59 | |
| L'Islande pourrait remplacer sa monnaie par le dollar canadien, le Canada OK en principe Iceland eyes loonie, Canada ready to talkThe Globe and Mail - Citation :
For 150 years, no country has expressed interest in adopting the Canadian dollar -- the poor cousin to the coveted greenback.
But now tiny Iceland, still reeling from the aftershocks of the devastating collapse of its banks in 2008, is looking longingly to the loonie as the salvation from wild economic gyrations and suffocating capital controls.
In brief remarks to be delivered Saturday in Reykjavik, Canadian ambassador Alan Bones will tell Icelanders that if they truly want the Canadian dollar, Canada is ready to talk.
But he will warn Icelanders that unilaterally adopting the loonie comes with significant risk, including complete loss of control over their monetary policy because the Bank of Canada makes decisions only for Canadians and the Canadian economy. He’ll caution, for example, that giving up the krona in favour of the Canadian dollar (CAD/USD-I1.01-0.004-0.39%) will leave the country with few levers, short of layoffs, to counter financial shocks and fluctuations in the loonie.
A group of prominent Icelandic business leaders approached Mr. Bones last year about the idea. And his speech Saturday, to a meeting of the opposition Progressive Party, marks Canada’s first public response.
The Bank of Canada, which referred all calls to the Finance department remains tight-lipped.
“We don’t speculate on another country’s currency or domestic issues,” Finance department spokesman Jack Aubry said.
There’s a compelling economic case why Iceland would want to adopt the Canadian dollar. It offers the tantalizing prospect of a stable, liquid currency that roughly tracks global commodity prices, nicely matching Iceland’s own economy, which is dependent on fish and aluminum exports.
There’s also a more sentimental reason.
“The average person looks at it this way: Canada is a younger version of the U.S. Canada has more natural resources than the U.S., it’s less developed, has more land, lots of water,” explained Heidar Gudjonsson, an economist and chairman of the Research Center for Social and Economic Studies, Iceland’s largest think tank.
“And Canada thinks about the Arctic.”
In a recent Gallup poll, seven out of 10 Icelanders said they would happily dump their volatile and fragile krona for another currency. And their favoured alternative is the Canadian dollar, easily outscoring the U.S. dollar, the euro and the Norwegian krona.
Iceland is also in a bind. The country imposed strict currency controls after its spectacular banking collapse in 2008. Foreign-exchange transactions are capped 350,000 kronas (about $3,000). A major downside of those controls is that foreign investors can’t repatriate their profits, making Iceland an unattractive place to do business.
Those capital controls are slated to come off next year. And many experts fear a return to the wild swings of the past -- in inflation, lending rates and the currency itself. Iceland is the smallest country in the world still clinging to its own currency and monetary policy. The krona soared nearly 90 per cent between 2001 and 2007, only to crash 92 per cent after the financial crisis in 2008.
The official government plan is to go to the euro. Iceland has applied to join the European Union and eventually the euro zone. But that’s not looking like a very attractive option these days. And formal entry could take a decade, experts said.
The other options are to peg the krona to another currency, such as the yen, greenback or euro.
And finally, there’s the route of unilaterally adopting another country’s money.
Icelandic officials have apparently reached out to the Bank of Canada and the Finance department about the idea.
It’s hard to imagine Canada would object. Iceland wouldn’t have a say in Canadian monetary policy and the dollars coursing through its small economy ($12-billion in GDP versus Canada’s $1.8-trillion) would be a blip in the Bank of Canada’s management of the money supply.
Unilaterally taking on another country’s currency is not unheard of. El Salvador took on the U.S. dollar in 2001. Ecuador did the same in 2000. And Kosovo adopted the euro in 2002.
There are some good reasons Canada might want to see Iceland embrace the loonie.
“If you join a new currency area it means you are completely open to businesses from that area,” Mr. Gudjonsson pointed out.
Adoption of the Canadian dollar could open opportunities for Canadian shipping companies, fish packers, banks, insurers and eventually oil distributors and service companies as the country taps undeveloped resources.
“Trade between the countries would obviously multiply,” Mr. Gudjonsson argued.
But the greatest benefit for Canada could be enhanced geopolitical influence in a region that’s poised to grow in economic clout.
The Arctic is the last frontier for the mining and oil and gas industries, sectors where Canada is already a global player. It holds an estimated 22 per cent of the world’s remaining conventional oil and gas, and vast untapped mineral potential.
The transition wouldn’t be easy. The Icelandic government, through its central bank, would authorize commercial banks to exchange kronas for loonies. At today’s exchange rate, it would take roughly 100 kronas to buy a dollar. Iceland would need very strong reserves to conduct the operation, which might require an extended period when both currencies would be in circulation as kronas are soaked up.
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| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 3 Mar 2012 - 18:09 | |
| - Citation :
- Les Européens ressentent l’effet de la crise économique. Ainsi, le journal espagnol El Pais décrit un geste de désespoir des habitants du village Rasquera. Le Conseil du village a décidé de réserver les terrains pour cultiver le cannabis et de combler, grâce aux bénéfices de la vente de la marijuana, le déficit budgétaire.
Notre correspondant a interviewé le maire de Rasquera Bernat Pellissa.
- M. Pellissa, les informations en provenance de Rasquera sont à la une de plusieurs médias : les habitants ont proposé de donner à bail les terrains pour cultiver le cannabis. Cette décision, est-elle déjà adoptée ? Vous les prêterez à bail à une association de consommateurs de marijuana ? A quoi bon ? Ne pourriez-vous pas en parler plus en détail ? Vous dites qu’il est nécessaire de rembourser la dette municipale …
C’est ça. Nous ne saurons pas rembourser autrement la dette municipale. En appliquant cette décision, nous pourrons assurer les emplois supplémentaires et instituer un fonds financier du village. Les habitants se sont avérés dans une situation économique très compliquée. Nous n’inventons rien, nous essayons tout simplement à mettre à profit les possibilités qui existent. Aujourd’hui le marché noir et l’économie parallèle en profitent et nous voulons employer ces moyens dans l’intérêt de la société.
- Or, il s’agit du cannabis dont on fait la marijuana. Le monde entier lutte contre les stupéfiants. Envisagez-vous le narcotrafic ?
Non, nous n’entendons pas vendre les stupéfiants. Nous essayons de réguler le phénomène qui existe sans notre participation.
Telle est l’opinion du maire de la cité espagnole Rasquera Bernat Pellisa qui nous paraît contestable. http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/5646129/67273323.html | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 3 Mar 2012 - 20:21 | |
| ou comment encourager une mafia pour combattre une autre et apres ca nous dit de combattre le phenomene tout seuls,ils arrivent a la meme situation de nos pauvres rifains _________________ | |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 4 Mar 2012 - 0:01 | |
| A ce rythme la Grèce risque réellement de se désintégrer en 2012/2013 : - Citation :
EU causing very hostility it was meant to prevent
By TREVOR KAVANAGH Last Updated: 03rd March 2012
YOU can smell the anger on the streets of Athens as vividly as the pungent whiff of burning cars and buildings.
Worryingly for the EU dreams of a lasting peace in Europe, this bitterness is increasingly aimed at their old tormentors, Germany.
Greek diplomat Leonidas Chrysanthopoulos is near tears as he watches neatly dressed but hungry citizens scavenging the city's garbage bins.
For the ambassador, this is the ruination of all he has worked for since, as a young official, he helped his country sign up to the European dream.
His hopes of an end to war and a prosperous peace have turned to ashes.
Instead of a thriving new democracy, Greece faces a rising tide of unemployment, poverty, hunger and alarming street violence.
Law-abiding citizens are buying weapons to protect themselves against the turmoil engulfing his beloved country.
"You can buy a Kalashnikov for a hundred euros on the back streets of Athens and people are doing so to guard their property," Mr Chrysanthopoulos told me from his home outside the capital yesterday.
Thanks to the disastrous euro, his country is sliding remorselessly towards bankruptcy and disintegration.
Modern Greece is an economic corpse, kept on life support by Germany and France, who fear the euro will be destroyed if they admit the truth.
Last week's £110BILLION bailout was not aimed at rescuing the Greek people. It was to save the euro from total collapse.
Yet the country seems doomed to another historic crisis as disastrous as the German occupation, a bloody civil war and years of military rule.
"What we risk today is anarchy, the collapse of society and a breakdown in law and order," says Mr Chrysanthopoulos, 66.
"We have more than 20,000 homeless families in Athens alone.
"There are food lines for the hungry, which have not been seen since the Second World War.
"Penniless pensioners are begging in the streets. People are bartering for essentials, living hand to mouth."
Sooner or later they will be thrown out of the euro — the greatest peacetime catastrophe in the history of Europe.
Hatred seethes against Germany, which in 1942 reduced Greece to starvation and slavery during its brutal Nazi occupation.
A Greek radio station has just been fined for describing German Chancellor Angela Merkel as a "dirty Berlin slut".
Nazi resistance fighter Manolis Glezos, now 89, says Germany plundered Greece for the equivalent of £138billion in the 1940s. "They grab us by the throat for the debt — let's do the same to them for the reparations," he says.
Germans hit back, branding the Greeks "idle swindlers". They claim nobody pays tax because bandit politicians steal their money.
The insults are fuelling precisely the nationalistic antagonism that sowed the seeds for two world wars — and which the EU was created to eliminate forever.
Germany and France, who must accept the blame for allowing Greece into the euro at all, are terrified of contagion. So they are forcing this humiliated nation to slash pay and pensions to starvation levels.
Last week's costly bailout has bought time — and the fantasy of an orderly default.
Mr Chrysanthopoulos feels betrayed by the euro currency con. But he is not alone.
Charles Kennedy, the Lib Dems' fervently pro-euro ex-leader, last week admitted: "I was wrong." His successor, the made-in-Brussels Nick Clegg, admits he would no longer join the euro.
Two former editors of the fanatically pro-Brussels Financial Times confess they backed the wrong horse.
Ex-EU Commissioner Frits Bolkestein admits: "The euro has failed."
We will never hear honesty like that from Ken Clarke and Michael Heseltine, who lost the Tories three elections by stoking the row over Europe.
But unlike Mr Chrysanthopoulos, they will probably die comfortably in their beds without witnessing the hideous consequences.
Greek instability risks spilling over to fragile ex-fascist regimes Spain and Portugal.
If it does, we can only hope it doesn't bring chaos to Italy — then to France.
People will take only so much belt-tightening austerity. More revolutions have been triggered by oppressive taxes than anything else.
The drive for ever closer political and economic union and the end of national rivalry was aimed at ending war in Europe.
http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/politics/4156459/EU-causing-very-hostility-it-was-meant-to-prevent.html
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 4 Mar 2012 - 0:25 | |
| - Cyrax a écrit:
A ce rythme la Grèce risque réellement de se désintégrer en 2012/2013 :
- Citation :
EU causing very hostility it was meant to prevent
By TREVOR KAVANAGH Last Updated: 03rd March 2012
YOU can smell the anger on the streets of Athens as vividly as the pungent whiff of burning cars and buildings.
..... http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/politics/4156459/EU-causing-very-hostility-it-was-meant-to-prevent.html
Bien vu Cyrax, meme si les grecs assument une grande part del' (ir)responsabilite, la raison d'etre meme de l'UE, CEE et autre n'etait-elle pas d'empecher que l'Europe ne retombe dans un de ses fameux cycles d'auto-destruction, en etant solidaire? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 4 Mar 2012 - 0:43 | |
| On a déjà dit il y a de cela plusieurs années que l'UE gravite autour de l'Allemagne. On voit bien maintenant pourquoi et ce qu'il en est. Dans tout ce tumulte la seule économie qui s'en sort le mieux en ce moment c'est l'économie allemande. Il y en a même ceux qui vont se demander si l'UE ne serait pas un 4ème Reich déguisé.
D'un autre côté la France aujourd'hui joue les durs malgré la dégradation de sa note et de son économie, mais je ne serai pas surpris de la voir la prochaine sur la liste.
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| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 4 Mar 2012 - 14:51 | |
| Un puits sans fond - Citation :
- La Grèce pourrait avoir besoin d'un troisième plan d'aide international en 2015, affirme l'hebdomadaire allemand Der Spiegel paru dimanche.
La Troïka, représentant les créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI), aurait écrit dans une version préliminaire de son dernier rapport qu'il n'est pas du tout certain que ce pays puisse revenir sur les marchés de crédits en 2015. Ses besoins en financements externes sur la période 2015-2020 pourraient alors atteindre jusqu'à 50 milliards d'euros. Mais Der Spiegel précise également que ce passage a été retiré à la demande du gouvernement allemand.
L'hebdomadaire affirme par ailleurs que la BCE s'attend au déclenchement de la clause d'action collective (CAC) qui permettra à Athènes de forcer ses créanciers privés récalcitrants à prendre part à l'allègement de la dette grecque. Cette clause, contenue dans la loi sur l'opération d'échange d'obligations entre l'Etat grec et ses établissements créanciers, pourra être déclenchée si 66 % au moins des banques participent à l'opération et obligera les créanciers récalcitrants à se joindre au programme d'échange de dette, faisant ainsi passer automatiquement le taux d'adhésion à 100 %
L'opération d'échange de dette à proprement parler aura lieu le 12 mars. Elle permettra à la Grèce d'effacer 107 des 200 milliards d'euros de sa dette publique détenus par des créanciers privés Cet effacement est une condition sine qua non pour le versement des 130 milliards d'aides publiques du deuxième plan de sauvetage entériné jeudi à Bruxelles. http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/03/04/la-grece-pourrait-avoir-besoin-d-un-nouveau-plan-d-aide-en-2015_1651659_3234.html | |
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