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| Actualité en Belgique | |
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thierrytigerfan Colonel-Major
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| Sujet: Actualité en Belgique Dim 14 Nov - 0:24 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- La Belgique a les pieds dans l'eau
© belga 7S7 mise à jour "La pluie n'arrête pas de tomber, on continue à répondre aux nombreux appels". Tel est en substance le message de nombreux corps de pompiers dans le pays. Les cours d'eau arrivent à saturation.
Bruxelles Les pompiers de Bruxelles ont dû procéder à plusieurs centaines d'interventions depuis samedi matin en raison des fortes chutes de pluies sur la capitale, a-t-on appris d'un porte-parole des pompiers bruxellois. Vers 10 heures, le "100" avait déjà reçu un millier d'appels. La plupart des interventions ciblent des caves inondées chez des particuliers ou des inondations sur la voie publique. Une grande partie de avaloirs ont été enlevés pour permettre à l'eau d'être évacuée. (belga)
Brabant wallon L'ensemble des corps de pompiers du Brabant wallon signalent, samedi matin, être assaillis de demandes d'intervention suite aux fortes pluies s'abattant sur la région. Ils ne sont d'ailleurs pas en mesure de donner un premier bilan en raison de l'importance de leurs tâches et du nombre d'appels.
Les pompiers de Wavre, Braine-l'Alleud, Nivelles et Tubize ont déjà enregistré plus de 100 appels pour des coulées de boues ou des inondations. Des cours d'eau, dont le Hain, sont aussi sortis de leur lit à certains endroits.
La circulation est aussi fortement perturbée. Le Ring a ainsi du être fermé à hauteur d'Ophain (Braine-l'Alleud) en direction de Bruxelles suite à une importante coulée de boue, a annoncé le Centre Perex.
Brabant wallon/Régions de Verviers et Couvin De nombreux cours d'eau du Brabant wallon et des régions de Couvin et de Verviers étaient en phase d'alerte de crue samedi en fin de journée, à la suite des fortes pluies qui s'abattaient sur l'ensemble du pays. Le Hainaut avait également une bonne partie de son territoire en phase d'alerte, le sud restant en phase de pré-alerte. L'est de la province de Namur et le nord du Luxembourg étaient encore assez épargnés, indiquait peu après 18h00 la Direction générale opérationnelle de la Mobilité et des Voies hydrauliques sur son site internet.
La Gette, la Dyle et la Senne étaient en phase d'alerte en Brabant Wallon. La situation de ces cours d'eau était également préoccupante dans le Hainaut. Toujours dans cette province, mais plus à l'ouest, la Dendre était aussi en alerte de crue.
Dans la province de Namur, c'était surtout l'Eau noire qui suscitait certaines préoccupations dans la région de Couvin. Une partie de la Basse Sambre était également en état d'alerte.
Enfin, dans la région de Verviers, le niveau d'eau de la Vesdre et de la Hoëgne était aussi particulièrement élevé.
Namur Si les pompiers de Namur et de ses alentours n'ont pas arrêté de travailler samedi toute la journée, ils indiquent unanimement que la situation n'est "pas catastrophique" et qu'ils la gardent sous contrôle. Leurs interventions concernaient principalement des caves et des routes inondées, des coulées de boue et des avaloirs bouchés à pomper. A Namur, les pompiers ont eu entre 70 et 100 interventions. A Andenne et à Fosses-la-Ville, les pompiers indiquent avoir dû gérer une quarantaine d'interventions. Autour de Fosses-la-Ville, les communes de Vitrival et de Mettet sont principalement touchées. A Gembloux, il y a seulement eu une dizaine d'interventions, mais "les appels commencent à affluer". Les pompiers d'Eghezée et de Sambreville mentionnent une journée "relativement calme" jusqu'à présent. A Sambreville, les pompiers assurent même qu'il ne s'agit pas d'un "scénario catastrophe" et qu'ils gardent la situation sous contrôle, ajoutant que les grands axes ne sont pas bloqués, même si certaines routes sont partiellement inondées. Les pompiers restaient en alerte. Aucun plan communal d'urgence n'a été déclenché pour le moment. "Il se pourrait que certaines localités déclenchent un plan communal, mais ce n'est pas encore le cas", a indiqué un membre du cabinet du gouverneur provincial Denis Mathen. Le sud de la province est particulièrement en alerte, là où coulent des rivières comme la Lesse et la Semois. "Si les services locaux venaient à être dépassés et si plusieurs communes étaient touchées, le plan d'urgence provincial pourrait être déclenché" a ajouté le cabinet de M. Mathen.
Région de Verviers Une septantaine de pompages de caves inondées, principalement à Spa, ont été réalisés samedi en début de soirée sur toute la région verviétoise, indiquent les pompiers de la zone.
La zone la plus touchée de la région est Spa avec une trentaine d'interventions rien que pour cette caserne. A Charneux, sur la zone des pompiers de Battice, les hommes du feu ont dû secourir les occupants d'une voiture qui était entourée d'environ 80 cm d'eau. Ceux-ci ont été surpris par un petit cours d'eau qui est sorti de son lit à la suite des intempéries. A Verviers, une citerne de mazout s'est déversée dans l'eau qui était venue inonder les lieux.
Du côté des pompiers de Malmedy, la plupart des interventions ont eu lieu dans les caves du village le plus haut de la région, Xhoffraix. A Herve, les pompiers ont dû intervenir sur un pylône électrique en feu.
On ne dénombrait à ce stade aucun blessé.
Wallonie picarde Les cours d'eau commençaient à sortir de leur lit en Wallonie picarde, samedi, en raison des fortes pluies. Plus au sud du Hainaut, le village d'Angre allait bientôt se retrouver complètement inondé en raison de la montée de la Honnelles.
La Dendre à hauteur de Leuze-en-Hainaut et de Lessines était sorti de son lit. A Ath, le plan communal d'urgence devait être lancé, selon le bourgmestre Jean-Pierre Denis (PS).
A Frasnes-lez-Anvaing, le Rhosne est sorti de son lit vers 17h00. Le village de Frasnes-lez-Buissenal est inondé et une famille a été évacuée. Le plan communal d'urgence a été déclenché par le députe-bourgmestre, Jean-Luc Crucke (MR).
A Tournai, l'alerte du Rieu de Barge a sonné vers 18h30. Les villages de Willemeau, Ere et Saint-Maur, sous eau lors de la dernière crue, sont en en état d'alerte.
Dans la région de Quiévrain, la situation était particulièrement problématique à Angre où passe la Honnelles. Le cours d'eau est sorti de son lit. Les pompiers n'en sont qu'au début de leurs efforts à cet endroit car même après la fin des pluies, le niveau de l'eau monte encore pendant 8 heures environ, en fonction de l'ouverture ou de la fermeture de vannes sur ce même cours d'eau mais outre-Quiévrain, ont précisé les pompiers.
Hainaut La zone des Hauts-Pays (Hainaut) et plus particulièrement la région de Quiévrain était entrée en phase d'alerte samedi après-midi à la suite des pluies continues qui se sont abattues sur la région. Les situation dans les villages d'Angres et d'Audregnies étaient particulièrement préoccupantes, ont indiqué les pompiers locaux.
Dans la région de Mons, la crue des rivières était menaçante mais la situation était encore sous contrôle vers 17h30.
Plus au nord, la Dendre était par contre sortie de son lit à hauteur des Deux-Acren.
Luxembourg Tous les services de secours étaient sur la brèche dans la province de Luxembourg samedi en raison des fortes chutes de pluie. Les inondations de champs sont générales. Par contre, les inondations de caves ne se sont déclenchées que vers 15h00 avec des zones plus touchées dans la région de Marche-en-Famenne, Erezée ou encore Arlon. Une centaine d'interventions étaient signalées au centre 100 d'Arlon à 17h30.
L'Ourthe en crue En raison des fortes précipitations qui s'abattent sur le pays depuis vendredi soir, les pompiers de Hamoir ont commencé samedi soir à procéder à l'évacuation du domaine de Palogne, à Vieuxville, et d'un camping à Sy, dans l'entité de Ferrières.
L'Ourthe est en crue à Ferrières, indiquent samedi soir les pompiers de Hamoir qui expliquent avoir entamé l'évacuation du domaine de Palogne, à Vieuxville (Ferrières). Quelque 60 vacanciers qui y passent le week-end sont sur le point d'être évacués, précisent les pompiers locaux. Samedi, peu avant 18h00, les pompiers ont également été appelés pour l'évacuation d'un camping à Sy, également dans l'entité de Ferrières.
Charleroi Les interventions des pompiers de Charleroi se sont multipliées, depuis l'après-midi de samedi, dans la région de Charleroi comme dans le ressort des pompiers de Thuin. D'un côté comme de l'autre, c'est la hausse des cours d'eau qui faisait naître le plus d'inquiétudes. Dans la région de Charleroi, on comptait plus d'une vingtaine d'interventions dues à des pompages, en raison d'avaloirs bouchés, et on annonçait la cote d'alerte pour les affluents de la Haute-Sambre, entre Charleroi et la région de Thuin. On notait également quelques interventions dues à des chutes d'arbres. On relevait aussi des dégâts subis par des maisons qui étaient toujours bâchées, depuis les dernières intempéries de juillet, et qui subissaient, avec des conséquences plus lourdes, les pluies de ce week-end. Une vingtaine d'interventions ont été réclamées également à la caserne des pompiers de Thuin, plus particulièrement appelés à Thuillies. Les pompiers ont dû intervenir pour des coulées de boue. Dans l'après-midi, il n'était pas question d'inondations de maisons, mais la Biesmelle menaçait d'atteindre son niveau critique.
Dans la soirée de samedi, les pompiers ont été appelés au nord de Charleroi, dans des communes qui ont également été touchées par les fortes pluies, aux Bons Villers et à Pont-à-Celles.
Ils ont dû intervenir dans le village de Rêves, à la rue d'En Bas, où plusieurs maisons ont été inondées.
Un manège proche était également menacé.
Une situation analogue a nécessité l'intervention des pompiers rue de l'Arsenal, à Luttre (Pont-à-Celles), où l'eau menaçait plusieurs habitations.
Liège Les services de secours de Liège ont reçu plusieurs dizaines de demandes d'interventions entre vendredi et samedi, à la suite des fortes chutes de pluie. A Aywaille, le bourgmestre a décidé de déclencher le plan communal. Certaines trémies ont été envahies par les eaux à Liège mais après quelques heures, cette eau a été évacuée de manière normale par les égouts. Les pompiers ont dû également intervenir pour placer des bâches sur les toits dont une partie des tuiles s'était envolée notamment dans la région de Vottem et pour des caves inondées, principalement à Flémalle. A certains endroits, comme les égouts étaient bouchés, de grandes nappes d'eau perturbaient la circulation. A Aywaille, le bourgmestre Philippe Dodrimont a déclenché le plan communal vers 15h30. A la suite des chutes de pluie, le niveau de l'Amblève a considérablement augmenté et la rivière pourrait déborder et envahir de nombreuses maisons situées à proximité du cours d'eau. Le déclenchement du plan communal prévoit également des locaux pour héberger les riverains en cas d'inondation. Selon le bourgmestre, le risque le plus important est prévu vers minuit.
Flandre orientale Le gouverneur de Flandre orientale a annoncé samedi en fin de matinée le déclenchement du plan catastrophe provincial. Cinq communes avaient déjà lancé un tel plan au niveau local (Kruibeke, Zwalm, Lebbeke, Ninove et Lierde).
La province avait mis sur pied dès ce matin un centre d'information, mais il a été décidé de passer à la vitesse supérieure, avec un plan qui prévoit la mise en alerte des pompiers, des services médicaux, de la protection civile et de la défense.
Limbourg A l'instar d'autres régions du pays, le Limbourg a connu de fortes chutes de pluies samedi. Tous les corps de pompiers étaient mobilisés pour gérer les inondations. La zone la plus touchée semblait être un nouveau quartier d'habitation à Martenslinde, complètement inondé. A Bree, les services de secours ont procédé à l'évacuation d'une maison de repos, en raison d'une inondation causée par les fortes pluies. Douze résidents ont été transférés dans d'autres maisons de retraite ou chez des proches. La province a déclenché son plan d'intervention médicale et de nombreux secouristes étaient présents pour assurer le transfert. Comme ailleurs en Belgique, les pompiers sont intervenus en de nombreux endroits pour déboucher les avaloirs ou pomper l'eau des caves. Plusieurs routes ont été coupées. A Halen, les habitants s'inquiètent de la montée des eaux de la rivière Velp. Dans la région de Genk, les pompiers ont également été sollicités. Dix équipes pour un total d'une quarantaine d'hommes étaient mobilisés. A Zutendaal, un élevage de poulet comptant environ 80.000 têtes était menacé d'inondation, un étang voisin commençant à déborder. Les pompiers étaient à l'oeuvre. Un magasin de jouets a en outre vu son toit s'effondrer sous le poids de l'eau. On signalait encore des caves et rues inondées à Houthalen-Helchteren.
Les corps de pompiers de la province du Limbourg indiquaient samedi en début de soirée que la situation se stabilisait progressivement.
Aucun blessé n'est à déplorer mais les dégâts matériels sont très importants.
A Zutendaal, les pompiers sont parvenus à éviter qu'un vaste élevage de poulets ne soit inondé.
La situation était la plus critique dans un nouveau quartier d'habitations à Martenslinde.
Pour l'ensemble de la province, la situation semblait se stabiliser mais comme des chutes de pluie étaient encore attendues, les services de pompiers restaient sur le qui-vive.
En Flandre orientale, les services de secours allaient entamer certaines procédures d'évacuations. A Ninove, 120 personnes étaient contraintes de quitter leur domicile car trois rues de la ville étaient complètement sous eaux. Enfin, à Leupegem, dans les Ardennes flamandes, deux camions de la Défense ont été mobilisés pour coordonner les évacuations sur base volontaire.
Brabant flamand La Grande et la Petite Nèthe, la Senne et le Démer avaient atteint leur seuil d'alerte en plusieurs endroits de Flandre et notamment dans la région de Geel, à Herentals, Aarschot et Eppegem, indique le Centre d'information hydrologique flamand (HIC).
Tout comme en Wallonie, la Dendre a également atteint son niveau d'alerte en Flandre, notamment à Overboelare.
Le niveau de vigilance a en outre été atteint sur le canal Gand-Ostende, à Bruges-Steenbrugge ainsi que sur l'Yser, à hauteur de Fintele.
La situation ne s'arrangeait guère en Flandre orientale, à Leupegem, notamment, un quartier d'Audernarde qui va devoir se passer d'électricité jusqu'à dimanche soir au moins. Des évacuations étaient encore en cours sur place, en présence notamment de l'armée, de la police de la navigation et de la Croix-Rouge.
Brakel ne connaissait pas un sort meilleur puisque le centre de l'entité était samedi soir complètement inaccessible en raison des inondations. (belga)
13/11/10 19h08 | |
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thierrytigerfan Colonel-Major
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| Sujet: Re: Actualité en Belgique Jeu 24 Mar - 11:36 | |
| - Citation :
- Euromanif à Bruxelles: les autopompes sont en action
© belga 7S7 mise à jour Des manifestants tentent de pénétrer jeudi vers midi dans le quartier des ministères à Bruxelles. Des débordements sont signalés rue de la Loi et boulevard du Régent. La police fait usage des autopompes pour disperser les militants, rapporte Sudpresse.
© belga © belga © belga De 3.000 à 4.000 manifestants ont démarré de la place Meiser pour se diriger vers la rue de la Loi où ils ont rejoint les autres cortèges traversant Bruxelles, dans le cadre de la journée européenne d'actions de la Confédération européenne des Syndicats (CES).
Les métallos liégeois et limbourgeois de la FGTB, rejoints par le cortège ayant démarré à Montgomery, se sont arrêtés devant le siège de Business Europe qui regroupe 40 fédérations patronales de différents pays. A cet endroit, le Secrétaire général de la FGTB wallonne, Thierry Bodson, s'est adressé aux manifestants: "le pacte pour l'Europe est pour nous imbuvable et est une attaque frontale contre l'ensemble de nos acquis. On ne nous les enlèvera pas au cours d'un Sommet européen". "L'Europe ce sont nos politiciens que nous avons élus. Il n'est donc pas question qu'ils rejettent la faute sur l'Europe. Nous disons non au recul de l'âge de la pension, non à la remise en cause de l'index, non à la limitation de l'augmentation des salaires à 0,3pc et non au bonus pour les patrons", a-t-il encore indiqué. Le cortège a ensuite repris sa route vers le point de ralliement rue de la Loi.
Des manifestants ont occupé le rond-point Montgomery D'importants embarras de circulation ont été signalisés dans les environs du rond-point Montgomery, l'un des quatre lieux de rendez-vous pour les manifestants de la FGTB.
Selon Ilse Van de Keere de la zone de police de Bruxelles-Capitale-Ixelles, les militants n'ont pas respecté l'accord prévoyant de ne pas bloquer le rond-point. D'après des chiffres toujours provisoires, entre 10.000 et 15.000 personnes ont quitté les quatre points de ralliement de la FGTB, a-t-elle ajouté.
La police estime le nombre de manifestants présents au rond-point de Montgomery à environ 1.200 personnes. Il était prévu au départ que les manifestants se rassemblent dans l'avenue de Tervuren mais cela s'est déroulé différemment, a expliqué la porte-parole de la police
1500 militants FGTB devant la BNB Environ 1500 militants FGTB-ABVV étaient rassemblés jeudi vers 9h30 devant le siège de la Banque nationale (BNB), boulevard de Berlaimont à Bruxelles.
Des calicots ont été déroulés par les manifestants à l'entrée de la banque, le tout accompagné de quelques pétards et fumigènes. Philippe Van Muylder, Secrétaire général de la FGTB de Bruxelles, a ensuite expliqué aux manifestants le pourquoi d'une halte à la BNB.
"A partir du 1er avril, la Banque nationale sera chargée du contrôle bancaire mais aujourd'hui rien n'est prêt pour exercer ce contrôle en Belgique", a-t-il affirmé. "L'Europe se trompe de cible et exige que les Vingt-sept s'attaquent au monde du travail alors que nous demandons une taxe sur les transactions financières", a-t-il ajouté.
M. van Muylder a précisé que les militants étaient déjà 15.000 dans les rues de Bruxelles. D'après la police, ils étaient à peu près 1.500 devant la BNB. Plusieurs centaines de manifestants étaient encore attendus, des cars transportant des militants FGTB vers Bruxelles ayant notamment été bloqués au Heysel, lieu de rassemblement de la CSC.
A la gare du Nord, le cortège réunissait environ 2.900 personnes, celui de la gare du Midi quelque 4.000 manifestants. Les cortèges ont entre-temps quitté les points de rendez-vous, ce qui a permis de libérer la place Meiser, le rond-point Montgomery ainsi que la boulevard Reyers.
Perturbations sur le réseau TEC en Wallonie Le réseau TEC était quelque peu perturbé jeudi matin en Wallonie et plus particulièrement à Charleroi et à Liège, en raison des manifestations annoncées par les syndicats FGTB et CSC à Bruxelles, a annoncé jeudi le TEC dans un communiqué. A Charleroi, seuls 30% des bus sont sortis des dépôts. De même, dans la province de Liège, 10 à 40% des bus ne sont pas sortis des dépôts de Robermont, Jemeppe, Rocourt, Omal, Wanze et Verlaine. La situation est par contre normale à Verviers, Eupen, Warzée et Oreye. Il en est de même dans la province de Luxembourg et à La Louvière. A Mons et à Tournai, les services sont assurés respectivement à hauteur de 81% et 79%. A Namur, 21 services ne sont pas assurés et, dans le Brabant wallon, il en est de même pour 7 services.
La FGTB a accusé jeudi Electrabel GDF Suez de traiter le consommateur avec arrogance et mépris. L'entreprise enregistre des bénéfices de plusieurs milliards alors que le consommateur voit toujours sa facture énergétique augmenter, a déclaré la secrétaire générale de la FGTB, Anne Demelenne, au cours d'un discours tenu au siège d'Electrabel. La FGTB accuse Electrabel d'arrogance Les militants FGTB ont fait un arrêt devant le siège d'Electrabel et ont lancé quelques oeufs sur le bâtiment du groupe. Outre Electrabel, le couple franco-allemand Sarkozy-Merkel a également été visé. Ces derniers attaquent toujours l'index alors que le consommateur belge se protège contre la flambée des prix. "Ne touchez pas à notre index", a lancé Anne Demelenne. Après l'action devant le siège d'Electrabel, les manifestants se sont ensuite dirigés vers la rue de la Loi, où ils devaient rejoindre d'autres militants de la FGTB. (belga)
24/03/11 09h56 - Citation :
- 126 kilomètres de files sur les autoroutes
Selon le site d'informations routières Touring, 126 kilomètres d'embouteillages étaient comptabilisés jeudi matin, peu après 8 heures, sur les autoroutes belges.
Plusieurs axes importants de la capitale ont été fermés très tôt jeudi en raison des manifestations annoncées par les syndicats FGTB et CSC en marge du sommet européen. Quatre cortèges de militants du syndicat socialiste ont notamment prévus de rejoindre la rue de la Loi à partir de 7 heures du matin, depuis quatre lieux bruxellois, à savoir la place Meiser, le rond-point Montgomery et les gares de Bruxelles-Midi et Bruxelles-Nord. Sur les autoroutes, on notait, entre autres, des ralentissements et des files sur l'E40 Liège-Bruxelles, depuis Sterrebeek, sur l'E411 depuis Overijse ou sur le ring de Bruxelles en plusieurs endroits. (belga) - Citation :
- Bruxelles assiégée
© photo news La circulation sera fortement perturbée ce matin à Bruxelles suite aux manifestations des syndicats européens en marge du sommet européen.
La Manifestation de la Confédération européenne des syndicats (CES) et de la FGTB à l'occasion du Sommet européen pour protester contre les atteintes à la protection sociale et réclamer la construction d'une "autre Europe" a débuté ce matin.
Les manifestants partiront d'ici quelques minutes de Montgomery mais également de la gare du Nord où des milliers de personnes sont réunies. La rue de la loi sera complètement bloquée à partir de 10h30. La fin des perturbations est prévue pour 15 heures.
Notons également que la circulation des transports en commun sera perturbée aujourd'hui. Les bus des Tec et de la Stib ne rouleront qu'en partie. (CB)
24/03/11 07h46 - Citation :
- Reynders: "Je demande aux banques d'être très prudentes"
© belga Le ministre démissionnaire des Finances, Didier Reynders (MR), a lancé jeudi un avertissement aux banques, les enjoignant à faire preuve de prudence, notamment en ce qui concerne l'octroi de bonus, et évoquant une augmentation de la taxation en cas de dérapages.
"Je demande aux banques d'être très prudentes dans le retour d'un certain nombre de pratiques (datant d'avant la crise financière de 2008) et je pense tout particulièrement aux bonus", affirme-t-il dans une interview publiée par le journal 'L'Echo'. "Il faut faire attention à ne pas de nouveau déraper, à ne pas donner l'impression que les banques repartent dans les pratiques antérieures", ajoute M. Reynders. Le grand argentier belge rappelle qu'il a "toujours demandé aux dirigeants de banques et aux administrateurs qui représentent l'Etat que l'on applique les codes les plus stricts". "Malgré le retour des bénéfices, il faut que les rémunérations restent décentes et que les établissements appliquent les règles établies par le G20 et au niveau national", insiste M. Reynders. Et il prévient: "si l'on repart dans les anciennes pratiques, il y aura peut-être alors des outils fiscaux à utiliser. Le plus simple serait d'augmenter le pourcentage de taxation prélevée sur les résultats des banques - qui rapportera cette année 760 millions d'euros au budget de l'Etat - plutôt que de taxer davantage les bonus qui le sont déjà à hauteur de 70%". M. Reynders n'évoque toutefois pas une interdiction des bonus, contrairement à la décision prise par son homologue néerlandais, Jan Kees de Jager, de bloquer les bonus pour les membres du conseil d'administration de la banque ABN Amro. (belga) 24/03/11 09h40 | |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Jeu 24 Mar - 11:47 | |
| - Citation :
- Wouter Beke veut accélérer le tempo
© photo news Le négociateur royal Wouter Beke veut accélérer le rythme de travail pour les 10 jours à venir, a indiqué mercredi son porte-parole. Mercredi, M. Beke a eu une nouvelle réunion à trois avec les présidents de la N-VA et du PS, Bart de Wever et Elio Di Rupo. A partir de jeudi, il aura des entretiens toujours avec les présidents de la N-VA et du PS mais sous la forme bilatérale. Il y aura donc des rencontres Beke-De Wever et des rencontres Beke-Di Rupo. Les thèmes abordés lors de ces rencontres seront les soins de santé, l'emploi et Bruxelles-Hal-Vilvorde. Mercredi prochain, il y aura une nouvelle réunion à trois Beke-De Wever-Di Rupo. Le lendemain, M. Beke fera un rapport intermédiaire au roi et une nouvelle réunion à trois est déjà prévue le vendredi, a précisé le porte-parole. Dans l'entourage des négociateurs, on précisait par ailleurs qu'il n'y avait aucune objection à répondre favorablement à la suggestion du président de l'Open Vld Alexander De Croo de négocier parallèlement aux discussions communautaires, sur les dossiers socio-économiques. Toutefois, ajoutait-on, la combinaison des deux négociations est trop difficile et n'est pas possible dans les 10 jours à venir. (belga) 23/03/11 19h06 - Citation :
- Des extrémistes flamands "marcheront" sur la Wallonie
© belga L'organisation nationaliste flamande Voorpost "marchera" sur la Wallonie dimanche prochain afin d'exiger le retour à la Flandre de communes que le mouvement considère comme "volées". L'action vise plusieurs communes du Hainaut.
Le Voorpost n'a pas exactement précisé sur quelles communes ses militants marcheront dimanche mais elles devraient concerner les entités hennuyères se trouvant sur la frontière linguistique. Les participants se sont d'ores et déjà donnés rendez-vous dimanche à 11H00 sur le parking de Ruisbroek de l'E19.
"180 années de présence wallonne, cela a assez duré (...)", peut-on lire sur le site internet de l'organisation, qui réclame un Etat flamand indépendant. "Le Voorpost est résolument pour la séparation de la Belgique. Et nous exigeons ce qui nous revient de droit, y compris ce que les Wallons nous ont volé", poursuit le communiqué.
A Mouscron, toute manifestation communautaire a déjà été interdite. A Tournai, Flobecq et Mont-de-l'Enclus, toute manifestation ou contre-manifestation est également prohibée. "Si aucune demande pour une manifestation n'est effectuée, elle n'est de fait pas autorisée", précise la police locale de Comines. A Enghien, aucune interdiction n'est en vigueur mais la police a été alertée. (belga)
24/03/11 11h59 - Citation :
- Leterme s'en prend à De Wever
© photo news Le Premier ministre démissionnaire Yves Leterme (CD&V) s'en est pris à deux reprises au président du parti nationaliste flamand N-VA, lui reprochant d'avoir "jusqu'à présenté échoué" à trouver les compromis nécessaires à la formation d'un gouvernement fédéral.
Les sept membres CD&V du gouvernement fédéral ont par ailleurs, dans une carte blanche publiée par plusieurs quotidiens, indiqué que le concept d'affaires courantes n'avait pas été modifié, mais que ce qui avait changé c'était la perception qu'en a la N-VA. Bart De Wever a échoué "Le problème, ce ne sont pas les affaires courantes. Le problème c'est que Bart De Wever a jusqu'à présent échoué", a souligné M. Leterme dans une interview publiée jeudi par les journaux 'De Standaard' et 'Het Nieuwsblad", en réponse aux critiques du président de la N-VA sur l'interprétation de plus en plus large donnée au concept d'affaires courantes. "Nous faisons ce que nous pouvons", explique en substance M. Leterme. "On n'arrive pas à conclure un accord et à former un gouvernement. Vingt pour cent de la législature sont déjà passés. De Wever n'a encore rien fait avec sa victoire électorale. Il ne doit quand même pas m'en vouloir de veiller à l'intérêt général", ajoute le Premier ministre. M. Leterme a souligné qu'il souhaitait, avec le budget 2011 établi sous sa houlette et un budget pluriannuel, mettre la Belgique à l'abri de la pression des marchés financiers. Dossiers exceptionnels Il évoque aussi plusieurs dossiers exceptionnels dans lesquels le gouvernement ne pouvait faire autrement que de prendre ses responsabilités. "Voici trois mois, nous étions sur la forte pression d'un spread (écart de taux d'intérêt) croissant sur les marchés financiers. Nous avons malgré tout décidé d'établir un budget, pour montrer au monde que la Belgique a une économie saine. N'aurions-nous pas dû faire cela? ", se défend M. Leterme. Il justifie aussi les nominations à la Banque nationale de Belgique (BNB) auxquelles le gouvernement a procédé en février dernier en désignant notamment Luc Coene au poste de gouverneur, en remplacement de Guy Quaden, et Françoise Masay comme vice-gouverneur. La législation européenne et la Banque centrale européenne (BCE) exigent que la BNB soit dirigée par un gouverneur politiquement indépendant, a souligné le chef du gouvernement, expliquant qu'un budget pluriannuel pourrait être soumis à l'Europe dès la formation d'un nouveau gouvernement. Logique de pourrissement M. Leterme récuse aussi la critique de la N-VA affirmant que le PS décide tout au gouvernement, la qualifiant de "risible". "Si Bart De Wever voulait miser sur le pourrissement pour accroître la pression, je le trouverais très perfide", poursuit le chef du gouvernement. "Sa logique de pourrissement irait à l'encontre de l'intérêt des gens. La seule chose que je veux lui dire c'est: prenez vos responsabilités", a-t-il dit, utilisant les mêmes arguments que lors de l'émission Grand Direct, mercredi soir sur la chaîne de télévision RTL-TVI. Ca commence à presser M. Leterme rappelle toutefois que le CD&V refuserait de participer à un gouvernement fédéral sans la N-VA. Il note cependant que le temps "commence à presser" dans plusieurs domaines, comme la justice, les migrations, les entreprises publiques et l'appareil de l'Etat en général, où des dizaines de nominations sont bloquées au risque de poser des problèmes "dans les prochaines semaines". Le Premier ministre a reçu l'appui des six ministres et secrétaires d'Etat CD&V au fédéral dans une carte blanche. "A ceux qui critiquent le gouvernement en affaires courantes, nous répondons clairement et simplement: composez un nouveau. En ce qui nous concerne, le plus vite sera le mieux. Les clés de nos cabinets sont disponibles", écrivent ainsi, outre M. Leterme, les ministres Steven Vanackere, Inge Vervotte, Stefaan De Clerck et Pieter De Crem, ainsi que les secrétaires d'Etat Carl Devlies et Etienne Schouppe. Ils font valoir que la N-VA a fait un virage à 180 degrés en quelques semaines. "Ce ne sont pas les affaires courantes qui ont changé, mais bien l'attitude de la N-VA à l'égard des affaires courantes", notent-ils en exprimant l'espoir que les nationalistes flamands - le plus grand parti du pays - n'aient pas effectué ce virage "pour échapper à ses responsabilités et au mandat que lui ont donné les électeurs" et "fuir la table des négociations". (belga) 24/03/11 08h51 - Citation :
- Accueil des demandeurs d'asile: "La situation est préoccupante"
© belga Le taux d'occupation actuel du réseau d'accueil de demandeurs d'asile est de 96,6 %. Cela veut dire que la situation est préoccupante. La solution serait donc de créer quelques places supplémentaires et de traiter plus rapidement les dossiers, a déclaré mercredi le secrétaire d'Etat à l'Intégration sociale, Philippe Courard, en Commission des Affaires sociales de la Chambre. M. Courard a précisé, en réponse à une question de Zoé Genot (Ecolo), qu'en janvier dernier il y avait eu 1.776 sorties et en février 1.427. Il a aussi indiqué que 6.986 places d'accueil ont été créées depuis mars 2009. Le secrétaire d'Etat a rappelé qu'il y avait eu, à un moment donné, 1.200 personnes hébergées dans des hôtels. "Nous en sommes à présent sous la barre des 400, avec une problématique particulière constituée par les M(ineurs) E(trangers) N(on) A(ccompagnés). Malheureusement, les données statistiques de janvier et février 2011 mettent en évidence une hausse de 30 % des demandes d'asile par rapport à la même période 2010", a encore dit M. Courard. Le secrétaire d'Etat a remarqué que ce qui se passe dans plusieurs pays dont la Libye risque de rendre la situation encore plus difficile. Il faudra attendre les actions entreprises au niveau européen. Cela débouchera sans doute sur un plan de répartition européen, a dit M. Courard. (belga) 23/03/11 17h53 | |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
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| Sujet: Re: Actualité en Belgique Jeu 24 Mar - 12:37 | |
| - Citation :
- Euromanif: situation stabilisée, les manifestants se dispersent
© reuters 7S7 mise à jour Les dizaines de manifestants qui font face à la police et à leurs trois auto-pompes au boulevard du Régent à Bruxelles, se tiennent à distance respectable de ces derniers, a constaté l'Agence Belga sur place. La situation est cependant stable à cet endroit. Des vitres des bâtiments environnants ont été brisées et quatre policiers auraient été blessés. © belga Quelques manifestants ont provoqué la police rue de la Loi à Bruxelles, à hauteur du carrefour avec l'avenue des Arts, a indiqué jeudi Ilse Van de Keere de la zone de police Bruxelles-Capitale-Ixelles. Les manifestants ont lancé des projectiles, notamment des pavés. La police a répliqué en utilisant des autopompes et des gaz-lacrymogènes.
10.000 personnes réunies au pied de l'Atomium La CSC a réuni environ 10.000 personnes jeudi midi au pied de l'Atomium, sur l'esplanade du Heysel à Bruxelles, dans le cadre de la journée européenne d'actions de la Confédération européenne des Syndicats (CES). "La manifestation est un succès. Il suffit de voir à quel point l'esplanade est noire de monde", s'est réjouit Claude Rolin, secrétaire général de la CSC, qui misait sur la présence de 7.000 à 8.000 personnes. Si les membres de la CSC et de son pendant flamand ACV sont logiquement largement majoritaires, ils sont soutenus par des délégations venues de France, du Luxembourg, des Pays-Bas et de Roumanie. Les discours de Joël Decaillon, secrétaire général adjoint de la Confédération européenne des Syndicats, de Luc Cortebeeck, président de la CSC, et de Claude Rolin, secrétaire général de la CSC, sont prévus à partir de 13h00.
Retour progressif à la normale sur le réseau de la STIB Le réseau de la Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB) enregistrait jeudi, sur l'heure de midi, un retour progressif à la normale avec le rétablissement de la circulation des trams perturbée en raison des manifestations qui se tiennent en marge du sommet européen. "Tout se passe comme prévu et il n'y a pas eu d'incident", relève An Van hamme, porte-parole de la STIB. La circulation de tous les trams qui avaient connu des perturbations (notamment le 7, 25, 81, 92, 94) a repris en fin de matinée. La STIB assure vouloir rétablir dès que possible la circulation des bus perturbée. "Ce devrait être le cas dans l'après-midi", a précisé An Van hamme. L'axe Trône-Porte de Namur a été remis en service, de sorte que le 71 peut de nouveau emprunter ce tronçon. En ce qui concerne le métro, les stations Schuman et Schaerbeek restent fermées jusque 14h00, sur ordre de police. La STIB estime que l'heure de pointe du soir ne devrait pas rencontrer de problème majeur. Du côté de la SNCB, la circulation ferroviaire est peu perturbée par les manifestations. Sur la ligne 161 Bruxelles-Nord/Namur, aucun train ne s'arrête à Bruxelles-Schuman, jusque 14h00, également sur décision de la police.
Les manifestants ont commencé à s'éloigner de la rue de la Loi Plusieurs milliers de militants syndicaux étaient rassemblés jeudi en fin de matinée rue de la Loi. Le mouvement, organisé à l'initiative de la Confédération européenne des syndicats (CES), se déroulait en marge du Sommet européen à Bruxelles. Différents représentants de syndicats néerlandais, luxembourgeois, français et belge se sont adressés à la foule, estimée, par les syndicats, à 20.000 personnes. Anne Demelenne, secrétaire générale de la FGTB, a rappelé que les syndicats étaient déjà descendus dans les rues de la capitale en septembre dernier. "Et nous sommes de retour", a-t-elle affirmé. Dans son allocution, Mme Demelenne a dénoncé l'attitude d'une droite européenne "qui organise le recul social". "Il faut une solidarité avec les Etats en difficulté à cause des marchés financiers, mais cela ne doit pas être un prétexte pour modérer les salaires, les pensions et nos systèmes de protection sociale", a-t-elle indiqué. Les intervenants ont terminé leurs discours peu avant midi. Les manifestants commençaient déjà à s'éloigner de la rue de la Loi. La plupart devait encore attendre les cars prévus pour les ramener dans les différentes régions du pays, selon l'agence Belga. "Imbuvable" De 3.000 à 4.000 manifestants ont démarré de la place Meiser pour se diriger vers la rue de la Loi où ils ont rejoint les autres cortèges traversant Bruxelles, dans le cadre de la journée européenne d'actions de la Confédération européenne des Syndicats (CES).
Les métallos liégeois et limbourgeois de la FGTB, rejoints par le cortège ayant démarré à Montgomery, se sont arrêtés devant le siège de Business Europe qui regroupe 40 fédérations patronales de différents pays. A cet endroit, le Secrétaire général de la FGTB wallonne, Thierry Bodson, s'est adressé aux manifestants: "le pacte pour l'Europe est pour nous imbuvable et est une attaque frontale contre l'ensemble de nos acquis. On ne nous les enlèvera pas au cours d'un Sommet européen". "L'Europe ce sont nos politiciens que nous avons élus. Il n'est donc pas question qu'ils rejettent la faute sur l'Europe. Nous disons non au recul de l'âge de la pension, non à la remise en cause de l'index, non à la limitation de l'augmentation des salaires à 0,3pc et non au bonus pour les patrons", a-t-il encore indiqué. Le cortège a ensuite repris sa route vers le point de ralliement rue de la Loi.
Des manifestants ont occupé le rond-point Montgomery D'importants embarras de circulation ont été signalisés dans les environs du rond-point Montgomery, l'un des quatre lieux de rendez-vous pour les manifestants de la FGTB.
Selon Ilse Van de Keere de la zone de police de Bruxelles-Capitale-Ixelles, les militants n'ont pas respecté l'accord prévoyant de ne pas bloquer le rond-point. D'après des chiffres toujours provisoires, entre 10.000 et 15.000 personnes ont quitté les quatre points de ralliement de la FGTB, a-t-elle ajouté.
La police estime le nombre de manifestants présents au rond-point de Montgomery à environ 1.200 personnes. Il était prévu au départ que les manifestants se rassemblent dans l'avenue de Tervuren mais cela s'est déroulé différemment, a expliqué la porte-parole de la police
1500 militants FGTB devant la BNB Environ 1500 militants FGTB-ABVV étaient rassemblés jeudi vers 9h30 devant le siège de la Banque nationale (BNB), boulevard de Berlaimont à Bruxelles.
Des calicots ont été déroulés par les manifestants à l'entrée de la banque, le tout accompagné de quelques pétards et fumigènes. Philippe Van Muylder, Secrétaire général de la FGTB de Bruxelles, a ensuite expliqué aux manifestants le pourquoi d'une halte à la BNB.
"A partir du 1er avril, la Banque nationale sera chargée du contrôle bancaire mais aujourd'hui rien n'est prêt pour exercer ce contrôle en Belgique", a-t-il affirmé. "L'Europe se trompe de cible et exige que les Vingt-sept s'attaquent au monde du travail alors que nous demandons une taxe sur les transactions financières", a-t-il ajouté.
M. van Muylder a précisé que les militants étaient déjà 15.000 dans les rues de Bruxelles. D'après la police, ils étaient à peu près 1.500 devant la BNB. Plusieurs centaines de manifestants étaient encore attendus, des cars transportant des militants FGTB vers Bruxelles ayant notamment été bloqués au Heysel, lieu de rassemblement de la CSC.
A la gare du Nord, le cortège réunissait environ 2.900 personnes, celui de la gare du Midi quelque 4.000 manifestants. Les cortèges ont entre-temps quitté les points de rendez-vous, ce qui a permis de libérer la place Meiser, le rond-point Montgomery ainsi que la boulevard Reyers.
La CGSLB a manifesté à Liège Une centaine de délégués et militants du syndicat libéral CGSLB ont manifesté jeudi dans les rues de Liège pour marquer leur opposition au "Pacte de compétitivité" discuté à Bruxelles par les ministres du Conseil européen. "Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont mis ce pacte à l'agenda du Conseil pour stabiliser l'euro", rappelle Gonzague Millis, secrétaire permanent du syndicat à Liège. "Mais en Belgique, des mesures comme l'indexation des salaires, le chômage économique des employés, les prépensions, les plans d'aide à l'emploi, nous ont en fait permis de mieux résister à la crise que la France ou l'Allemagne. Nous voulons donc que ces mécanismes soient préservés." Le syndicat ne nie pas qu'une certaine rigueur budgétaire soit "importante", mais estime que "ce n'est pas aux travailleurs et aux classes moyennes de payer la crise". Pour Gonzague Millis, il est temps de "rééquilibrer la taxation du capital, insuffisante, et celle du travail, bien trop élevée". Quant aux raisons qui ont poussé la CGSLB à ne pas manifester avec la FGTB à Bruxelles jeudi, alors que les deux syndicats étaient main dans la main contre l'AIP, Gonzague Millis a précisé: "A l'instar de la CSC, nous pensons que les manifestations de Bruxelles vont ennuyer tout le monde sauf les concernés, c'est-à-dire les ministres européens. Ce n'est pas notre façon de faire".
Perturbations sur le réseau TEC en Wallonie Le réseau TEC était quelque peu perturbé jeudi matin en Wallonie et plus particulièrement à Charleroi et à Liège, en raison des manifestations annoncées par les syndicats FGTB et CSC à Bruxelles, a annoncé jeudi le TEC dans un communiqué. A Charleroi, seuls 30% des bus sont sortis des dépôts. De même, dans la province de Liège, 10 à 40% des bus ne sont pas sortis des dépôts de Robermont, Jemeppe, Rocourt, Omal, Wanze et Verlaine. La situation est par contre normale à Verviers, Eupen, Warzée et Oreye. Il en est de même dans la province de Luxembourg et à La Louvière. A Mons et à Tournai, les services sont assurés respectivement à hauteur de 81% et 79%. A Namur, 21 services ne sont pas assurés et, dans le Brabant wallon, il en est de même pour 7 services.
La FGTB a accusé jeudi Electrabel GDF Suez de traiter le consommateur avec arrogance et mépris. L'entreprise enregistre des bénéfices de plusieurs milliards alors que le consommateur voit toujours sa facture énergétique augmenter, a déclaré la secrétaire générale de la FGTB, Anne Demelenne, au cours d'un discours tenu au siège d'Electrabel. La FGTB accuse Electrabel d'arrogance Les militants FGTB ont fait un arrêt devant le siège d'Electrabel et ont lancé quelques oeufs sur le bâtiment du groupe. Outre Electrabel, le couple franco-allemand Sarkozy-Merkel a également été visé. Ces derniers attaquent toujours l'index alors que le consommateur belge se protège contre la flambée des prix. "Ne touchez pas à notre index", a lancé Anne Demelenne. Après l'action devant le siège d'Electrabel, les manifestants se sont ensuite dirigés vers la rue de la Loi, où ils devaient rejoindre d'autres militants de la FGTB. (belga)
24/03/11 09h56 [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img] [img] [/img] | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Jeu 24 Mar - 12:52 | |
| au moins des touristes a Bruxelles,meme si brouillants _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Jeu 24 Mar - 20:11 | |
| Je suis rester pendant 3 heure à attendre le bus 17 à Liège pour allez chez le dentiste Vaut mieux en rire que en pleurer |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Ven 25 Mar - 0:31 | |
| si on peu regretter la manière et l'organisation qui a bloqué la ville on ne peu que soutenir la cause de ces manifestations les ultra libéraux anglais français et allemend veulent imposer leurs vison des choses en réduisant les acquis sociaux la colère gronde en europe et celà ne va pas allez en s'arrangeant et pour toi snack malheureusement ce sont toujours les mêmes qui souffrent en silence des perturbations de nos chers grévistes du sud du pays, Charleroi, Mons et Liège
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Ven 25 Mar - 1:30 | |
| Ouai, ils ont raison de manifester...presque tout le monde soutien ces personnes...il y a une limite que le patronat ne dois pas dépasser Biensure que les pertubation vont faire du tord un peu mais francheument, ce n'est pas grave au point de péter les plombs Bon sur ce, je vais aller dans un salon de thé marocain prés de chez moi ... à 2h30 du mat |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mer 30 Mar - 23:03 | |
| - Citation :
- La proposition visant à interdire la burqa adoptée
Unanimité à la Chambre7S7 mise à jour La Commission de l'Intérieur de la Chambre a adopté mercredi à l'unanimité la proposition de loi visant à interdire le port de tout vêtement cachant totalement ou de manière principale le visage. Ce texte vise particulièrement le port de la burqa et du nikab dans l'espace public.
Un texte similaire avait déjà été adopté, à l'initiative du MR, en séance plénière de la Chambre en avril dernier. Mais la chute du gouvernement et la dissolution des chambres quelques jours plus tard n'ont pas permis au Sénat de voter le texte à son tour et, dès lors, de le faire entrer dans le droit belge. Le texte est donc devenu caduc. Pour qu'il puisse être relevé de caducité, il faut un gouvernement de plein exercice ce qui n'est toujours pas le cas.
Le groupe MR a dès lors redéposé le texte, reprenant ainsi toute la procédure depuis le début. Pour les libéraux, la décision du tribunal de police de janvier dernier annulant un règlement communal d'Etterbeek sur le port de la burqa montre l'urgence qu'il y a à légiférer sur le sujet.
Sécurité et droit des femmes La plupart des intervenants ont évoqué l'aspect sécurité mais aussi les droits de la femme pour justifier l'interdiction.
Comme c'était déjà le cas en avril dernier, les écologistes du nord et du sud du pays ont plaidé pour que le parlement demande l'avis du conseil d'Etat. Ils ont aussi demandé l'audition de certaines organisations. Mais comme l'année dernière, ils n'ont pas été suivis.
"Si vous êtes contre l'interdiction, ne vous cachez pas derrière des demandes diverses mais voter contre", leur a lancé le député Denis Ducarme (MR).
Le vote en avril dernier par la séance plénière avait entraîné un large intérêt de la presse internationale, la Belgique étant le premier pays à légiférer en la matière. (belga) 30/03/11 12h53 | |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Jeu 31 Mar - 15:48 | |
| - Citation :
- Les enfants arriveront avec près de 10 heures de retard en Suisse
Le train Intersoc qui transporte un petit millier d'enfants vers la Suisse et a été impliqué mercredi soir dans un incident à hauteur de Zaventem, arrivera à destination avec environ 10 heures de retard, a indiqué Frédéric Petit, porte-parole d'Infrabel. Selon Bram Swaerts, porte-parole de la Mutualité chrétienne dont Intersoc est l'organisateur de vacances, tous les enfants sont en bonne santé. Le train devrait arriver à Aigle vers 18 heures et à Sierre vers 20 heures. Des ravitaillements sont prévus en cours de route. "Il y a eu un premier ravitaillement à 8H30 à Cologne, à l'occasion du changement de locomotive. A Basel, où le train arrivera vers 13H30 ou 14 heures, un autre ravitaillement sera organisé", précise M. Swaerts. Un accord a été trouvé avec les responsables des chemins de fer allemand et suisse pour accorder la priorité à ce train. D'après M. Swaerts, les enfants sont tous en bonne santé et il n'y pas eu de panique à aucun moment. Ces enfants sont des élèves de cinquième et sixième primaire en route vers leurs classes de neige. Le porte-parole d'Infrabel a par ailleurs précisé que la circulation des trains en première partie de l'heure de pointe s'est déroulée de manière relativement fluide jeudi matin. Trois voies de circulation sur quatre sont en effet ouvertes entre Bruxelles et Louvain, ce qui a permis de limiter les retards. (belga) 31/03/11 09h54 - Citation :
- Nuit blanche dans un train et dans une gare pour des centaines d'enfants
7S7 mise à jour L'incident survenu sur la ligne SNCB Bruxelles-Louvain a obligé une centaine d'enfants à passer la nuit dans le train. Et d'autres dans la gare de Liège. Heureusement, l'incident n'a provoqué aucun blessé.
Le départ de cette centaine d'enfants vers une station de sport d'hiver en Suisse a subi un gros contre-temps, en raison de la rupture d'une caténaire à hauteur de Zaventem. Sur le coup de 19 heures, un grand bruit aurait retenti, et le train se serait arrêté. Immobilisé un long moment, il sera tracté jusqu'en gare de Louvain pour réparation.
Si on parle de contre-temps, les enfants, de leur côté, eurent beaucoup de chances. Aucun blessé n'est à déplorer malgré la violence du mouvement des câbles, s'assimilant à des coups de fouet. "Nous avons un coup de chance énorme qu'il n'y ait pas de blessés", confie ce professeur aux micros de la RTBF. "Le choc a été violent et le mouvement des câbles s'assimilait à des coups de fouet", brisant de nombreuses vitres. "Heureusement, les câbles ont touché les vitres d'un wagon vide que devaient occuper les enfants qui nous attendaient en gare de Liège".
Une nuit dans la gare Les quelques 240 enfants du collège Saint-Barthélémy ont été de leur côté recueillis à la gare de Liège-Guillemins durant la nuit de mercredi à jeudi. Ils ont été rassemblés dans des locaux chauffés, à savoir le centre de voyages, et ont été nourris, a précisé jeudi matin Louis Maraite, porte-parole de la SNCB-Holding.
"Notre cellule de crise a été actionnée et elle a bien fonctionné", ajoute-t-il. "En collaboration avec les responsables de l'école, nous avons offert aux enfants des hamburgers, des gaufres et des boissons. Par ailleurs, les agents de Securail étaient présents pour assurer la sécurité des enfants et les accompagner aux toilettes du personnel mises à leur disposition." Ils ont pu embarquer dans le train vers 06h00 du matin.
Cet incident a eu des répercussions sur le trafic ferroviaire. Si trois voies sur quatre ont été libérées durant la nuit, "les dégâts sur la quatrième voie sont gigantesques. La caténaire est endommagée sur une distance de 2 kilomètres", ajoute Frédéric Petit, d'Infrabel. Les réparations devraient durer toute la journée, et cela aura vraisemblablement un impact sur le trafic de pointe en soirée.
En moyenne, les trains subiront des retards de dix minutes. Les trains de l'heure de pointe circulent normalement, mais certains sont limités à la gare de Bruxelles-Nord. Localement, plusieurs trains pourraient être déviés. (LS)
31/03/11 08h21 - Citation :
- "C'est long pour les enfants, mais on a eu de la chance"
Les enfants de l'école communale d'Ittre auront eu une belle frayeur hier soir lorsque leur train est entré en collision avec une caténaire qui venait de rompre. Partis à 19h20 de Bruxelles-Midi, ils n'auront roulé qu'une vingtaine de minutes avant que le train freine brusquement... Les institutrices nous racontent.
"On a senti le train freiner et on a entendu des claquements et des bruits étranges. On a alors vu passer des câbles noirs, accompagnés d'étincelles, qui venaient claquer sur les vitres. Des vitres ont explosé dans quelques wagons, heureusement personne ne se trouvait à proximité. Le train s'est alors complètement arrêté, on nous a demandé de garder les fenêtres fermées et de rester dans le train et on nous a affirmé que nous étions en sécurité. Certains enfants ont eu très peur, quelques-uns ont pleuré. Ils ont surtout été impressionnés par les étincelles, mais ils se sont finalement assez vite calmés" nous expliquent les institutrices. "On a eu de la chance, ça aurait pu être dramatique. Le conducteur avait l'air très choqué."
"On est resté trois heures dans le noir" "Régulièrement, on nous informait. On a appris que l'électricité sur la voie avait été coupée en amont et en aval de notre train et qu'on se trouvait à Zaventem. On est resté trois heures dans le noir, après cela l'électricité est revenue mais on nous a demandé d'en limiter l'usage. En tout, nous sommes restés 5 heures au niveau de Zaventem. On a ensuite vu débarquer des techniciens, des policiers et une ambulance se situait à proximité en cas de malaise, mais tout le monde allait bien. On nous a également apporté de l'eau".
"Les enfants ont été courageux" "Après 5 heures sur place, une locomotive diesel nous a remorqués jusqu'à Louvain, ce qui a pris environ 40 minutes. Là, quatre wagons endommagés (deux à l'avant, deux à l'arrière) et la locomotive ont été remplacés. On a alors dû ressortir les valises d'une vingtaine d'enfants et on a attendu une heure sur le quai. Les enfants ont été courageux, on était au milieu de la nuit et ils étaient évidemment fatigués. En tout, nous avons passé 3 à 4 heures en gare de Louvain, on a enfin redémarré vers 5 heures vers Liège, pour aller chercher les autres écoles". "Un voyage de plus de 24 heures! "Nous étions supposés arriver vers 10h30 en Suisse, à Leysin, mais on ne sait pas encore à quelle heure on va finalement arriver. Certainement pas avant ce soir, ce qui nous fera un voyage de plus de 24 heures! Les enfants commencent à en avoir assez et il n'est que midi... Ils commencent aussi à avoir faim. On a mangé ce que nous avions emporté avec nous, mais pour l'instant, nous n'avons reçu que de l'eau. A Bâle, on sera apparemment ravitaillé en nourriture (vers 14h)".
"Mais sinon, tout va bien, les enfants s'amusent, nous faisons des jeux, l'ambiance est bonne. D'autres se reposent, c'est que la nuit a été mouvementée... Ils ne parlent plus de l'accident, donc c'est qu'ils n'ont pas été traumatisés, ça leur fera une aventure à raconter à leurs parents!". (ca) 31/03/11 12h17 | |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Lun 18 Avr - 14:25 | |
| apres 308 jours sans gouvernements voilà où on en est - Citation :
- "Le temps est écoulé" pour Bart De Wever
© belga Le président de la N-VA Bart De Wever s'est montré pessimiste à l'issue de la réunion qu'il a eue avec les présidents des partis francophones et le négociateur royal Wouter Beke. "Les divergences de vue restent importantes et le temps est écoulé", a-t-il dit sur la VRT. Bart De Wever s'est peu exprimé sur le contenu de l'entretien mais il apparaît qu'il y a eu peu d'avancées. Selon le président de la N-VA, l'atmosphère n'est pas positive. Il met la pression sur les négociations. "Il est évident que des conclusions vont devoir être tirées prochainement", a-t-il dit évoquant la fin du mois. "Si nous ne sommes nulle part ou si nous arrivons quelque part où nous ne voulons pas être c'est que le moment est venu de dire: est-ce que cela a encore un sens d'y aller ou non?", a-t-il insisté. Bart De Wever n'a pas caché son courroux alors qu'il fait l'objet de critiques y compris dans le rang de certains partis flamands. L'ancien chef de file du sp.a Louis Tobback mais aussi l'Open Vld ne l'ont pas épargné ces derniers temps. "Si on continue à agir de la sorte en vue de nous mettre à mal, c'est la position des Flamands dans la négociation qui sera affaiblie", a-t-il dit. (belga/dl) 15/04/11 23h40 - Citation :
- Des réunions qui ne font pas "avancer le schmilblick"
© photo news La réunion entre les présidents des quatre partis francophones et celui de la N-VA sous la houlette du négociateur royal Wouter Beke (CD&V) n'a guère apporté d'éléments concrets. On a peu abordé de questions précises. La discussion était d'ordre plutôt général et axée sur le but final de la réforme.
"On a plutôt abordé la réforme de l'Etat à venir sous un angle philosophique à savoir sa finalité", disait-on dans plusieurs partis francophones. Si la réponse du CD&V était claire, à savoir que la réforme doit inscrire la nouvelle structure dans le cadre belge, celle de la N-VA est restée très vague, disait-on encore. Les présidents du PS (Elio Di Rupo), du MR (Charles Michel), du cdH (Joëlle Milquet) et d'Ecolo Jean-Michel Javaux (Ecolo) se sont retrouvés vendredi après-midi avec Bart De Wever et Wouter Beke. La réunion avait été programmée à la demande des francophones mais elle n'a pas beaucoup fait avancer les choses. L'objectif était pour les francophones de tester la volonté véritable de la N-VA de maintenir les nouvelles structures de l'Etat dans un cadre belge mais sur ce point, ils sont semble-t-il restés sur leur faim. Il s'agissait aussi pour les francophones de faire savoir qu'ils étaient unis sur l'essentiel, disait-on encore à certaines sources. On ajoutait que les présidents ont notamment répété que pour eux on pouvait commencer les négociations à neuf. Il s'agissait d'une sorte de "debriefing" pour les présidents du MR, du cdH et d'Ecolo des discussions menées par le triumvirat Beke/De Wever/Di Rupo. Même si ce dernier informe régulièrement ses collègues francophones, il était tout de même bon d'avoir une information "en direct" disait-on encore. On insistait aussi sur le fait que c'était la première fois que le MR participait à une réunion de ce type. Chacun s'accordait pour dire que la discussion avait été courtoise mais qu'on était loin d'une relance des négociations. "Cela n'a guère fait avancer le schmilblick", disait-on et on ajoutait que l'optimisme n'était toujours pas le sentiment dominant. Après la rencontre à six, il y a encore eu une réunion du triumvirat. Le porte parole de M. Beke soulignait pour sa part que la réunion avait pour but de restaurer la confiance. Wouter Beke poursuivra ses discussions avec MM. Di Rupo et De Wever la semaine prochaine mais il n'y a pas encore d'agenda précis, l'un ou l'autre ayant des plan de vacances, selon le porte parole de M. Beke. (belga) 15/04/11 22h06 - Citation :
- "Fuir n'est pas une solution", pour Yves Leterme
© photo news Le Premier ministre démissionnaire Yves Leterme (CD&V) a réaffirmé dimanche qu'il revenait aux deux vainqueurs des élections du 13 juin dernier, le PS et la N-VA, de conclure un accord communautaire qui permettra la formation d'un nouveau gouvernement fédéral. "Fuir n'est pas une solution", a-t-il affirmé lors de l'émission De Zevende Dag de la VRT-télévision.
M. Leterme réagissait ainsi à l'ultimatum posé par le parti nationaliste flamand, dont le président, Bart De Wever, a réaffirmé vendredi que la N-VA évaluerait fin avril si la poursuite des négociations avait du sens. La N-VA critique depuis plusieurs semaines le fait que le gouvernement prenne, en affaires courantes, des décisions, notamment sur le budget, sans l'associer aux discussions. M. Leterme a paré dimanche cette critique. "La N-VA n'est pas seule au monde", a-t-il lancé. Selon le Premier ministre, tous les partis siégeant au parlement ont eu l'occasion d'exprimer leur opinion. "Certains ont saisi cette chance, comme Frank Vandenbroucke (sp.a). Mais c'est vrai que la N-VA a peu participé aux chances offertes au parlement", a-t-il dit. M. Leterme s'est déclaré confiant dans l'approbation par l'Europe du budget pluriannuel en cours de préparation. Il s'attend toutefois à davantage de critiques en ce qui concerne le programme national de réforme - que chaque Etat-membre doit soumettre à l'Union européenne contenant les éléments de la politique par lequel il espère atteindre les objectifs de la stratégie européenne 2020. Selon le chef du gouvernement, il est possible que l'UE réclame des mesures supplémentaires pour lutter contre le vieillissement. "Mais je répète qu'il est préférable qu'un gouvernement de plein exercice soit formé le plus rapidement possible", a-t-il conclu. (belga) 17/04/11 13h55 - Citation :
- Tobback dénonce "l'arrogance et la prétention" de la N-VA
© photo news Le bourgmestre de Louvain et ministre d'Etat Louis Tobback (sp.a) a dénoncé jeudi la "prétention" et "l'arrogance" de la N-VA, après ses critiques envers l'élaboration par le gouvernement en affaires courantes d'un programme de stabilité et de réforme. "Mais quelle prétention anime ces gens? Ils ne veulent assumer aucune responsabilité gouvernementale, et lorsque le gouvernement fait quelque chose sans eux, alors ils sont furieux", a réagi M. Tobback dans les pages du Morgen, ainsi que sur les ondes de la VRT-radio. "La N-VA ne veut prendre aucune responsabilité, mais veut être consultée sur tout, tout en gardant le droit, à ses yeux, de pouvoir encore dire oui ou non par après. Je ne comprends pas que les autres partis autour de la table acceptent cette arrogance", souligne M. Tobback, qui rappelle que le parti nationaliste ne représente que 17% des voix en Belgique. Le ministre d'Etat appelle en conséquence ces partis à former ensemble un gouvernement, et d'approuver une grande réforme de l'Etat. Même s'il juge "souhaitable" que la N-VA se joigne au compromis, le bourgmestre de Louvain constate toutefois que le parti est incapable de compromis. Selon lui, le point de départ d'un accord sans la N-VA devrait être la note rédigée en début d'année par Johan Vande Lanotte à laquelle on pourrait faire quelques additions, selon lui. C'est la solution idéale pour parvenir à une grande réforme de l'Etat sans Bart De Wever et la N-VA, ajoute-t-il. (belga) 14/04/11 10h53 - Citation :
- "La N-VA dit les choses les plus bizarres qui soient"
© belga Le ministre du Budget Guy Vanhengel (Open-VLD) a sévèrement critiqué mercredi les propos de la N-VA sur l'absence de concertation du gouvernement en affaires courantes pour l'élaboration du programme de stabilité qui doit être déposé d'ici la fin du mois auprès de la Commission européenne.
"C'est le énième acte d'une pièce de théâtre absurde qui dure depuis le 13 juin où les idées et raisonnements les plus fous sont exprimés et qui font qu'on s'éloigne du but", a-t-il indiqué. "Je constate que la N-VA dit les choses les plus bizarres qui soient et qui n'ont rien à voir avec le travail du gouvernement et les exigences européennes", a-t-il ajouté. M. Vanhengel souligne ainsi que le dépôt du programme de stabilité et réforme auprès de la Commission européenne est une obligation faite à la Belgique. "Il ne faut pas les confondre avec un budget pluriannuel", insiste-t-il. Il a par ailleurs démenti toute instrumentalisation par le gouvernement du conseil supérieur des finances, rappelant que des représentants des Communautés et Régions siégeaient dans cet organe. "Dire donc que les autres entités n'ont pas été impliquées, c'est n'importe quoi", assure le vice-premier ministre libéral. Evoquant la demande formulée mercredi matin par le député N-VA Jan Jambon d'un accord de coopération entre toutes les entités du pays, M. Vanhengel a rappelé que, lors des discussions budgétaires passées, le gouvernement flamand "a refusé de négocier avec les autres entités". Les membres du gouvernement "ont alors indiqué qu'ils suivraient une trajectoire budgétaire issue de leur accord de gouvernement, sans le soumettre à négociation. Dans cette situation, on ne peut parvenir à un accord de coopération", fait valoir M. Vanhengel, assurant que le parlement serait associé au débat. (belga) 13/04/11 18h45 - Citation :
- La N-VA veut un débat au Parlement sur le programme de stabilité
© belga La N-VA a dénoncé mercredi la volonté du gouvernement en affaires courantes de déposer d'ici la fin du mois le programme de stabilité demandé par l'Europe sans concertation ni débat avec le Parlement fédéral et les entités fédérées. "Ce plan de réformes réclamé par l'Europe est plus que nécessaire, mais nous ne voulons pas que son adoption se fasse sans l'appui du Parlement", a martelé mercredi Jan Jambon, chef de groupe de la N-VA à la Chambre, lors d'une conférence de presse. "Pour l'action militaire en Libye, le gouvernement était venu devant le Parlement. Pourquoi ne pas le faire avec ce plan de réformes qui est pourtant très important?", a ajouté M. Jambon. Evoquant les récents chiffres du Conseil supérieur des finances, la N-VA estime que le retour à l'équilibre budgétaire prévu d'ici 2015 sera assuré "à 80% par la Flandre". "Le meilleur élève de la classe sera puni pour les efforts qu'il a réalisés dans le passé", a jugé M. Jambon. (belga) 13/04/11 12h2La N-VA dit ne pas comprendre les reproches © belga La N-VA dit ne pas comprendre la critique formulée lundi matin par le chef de groupe CD&V à la Chambre Servais Verherstraeten, qui a reproché à Bart De Wever son manque de concertation avec les autres partis flamands. "Ce serait mieux si De Wever menait davantage de concertation, comme le fait Di Rupo avec les francophones", avait déclaré M. Verherstraeten sur les ondes de la VRT. "C'est lui le leader politique flamand du moment. Il doit un peu plus en référer aux autres, afin d'éviter les irritations des autres partis flamands et engranger des résultats", a ajouté le député. La N-VA dit ne pas bien comprendre ce reproche. "C'est tout de même le négociateur royal Wouter Beke qui mène les travaux. Notre porte est toujours restée ouverte", commente-t-on dans l'entourage de Bart De Wever. Quant à la demande formulée par le député Bruno Tobback (sp.a) à Bart De Wever afin que ce dernier en finisse avec ses "petits jeux politiques dérisoires", la N-VA n'a pas souhaité la commenter. (belga) 18/04/11 15h311 - Citation :
La N-VA critiquée par les partis flamands © belga © belga © photo news Trois représentants du CD&V, de l'Open Vld et du sp.a s'en sont pris à des degrés divers à la N-VA lundi matin, sur les ondes de la VRT, concernant le blocage des discussions communautaires et de la formation d'un gouvernement. "Cela dure depuis trop longtemps, mais le temps n'est jamais écoulé", a commenté le chef de groupe CD&V à la Chambre, Servais Verherstraeten, en écho au président de la N-VA, Bart De Wever, qui avait jugé le contraire ce week-end. "Quitter (la table des négociations) n'est pas une solution", a-t-il ajouté, disant qu'il partait du principe que la N-VA "n'abandonnerait pas un million d'électeurs". Servais Verherstraeten demande que cessent les "tirs de missiles" afin de faciliter la tâche du négociateur royal, Wouter Beke. A Bart De Wever, il conseille une concertation plus informelle avec les autres partis flamands de la négociation. Mais pas question dit-il de "lâcher la N-VA", l'axe de négociation devant rester à ses yeux le couple N-VA/PS. Wouter Beke poursuivra sa mission "aussi longtemps qu'il pourra engranger des avancées, selon M. Verherstraeten. Pour le député sp.a Bruno Tobback, la N-VA doit en finir avec "ses petits jeux politiciens". "Depuis janvier, ce sont Bart De Wever et la N-VA qui empêchent de nous réunir", a-t-il rappelé. "Après dix mois, le tableau affiche toujours un zéro pointé", a relevé de son côté la députée Open Vld Gwendolyn Rutten. La N-VA est un parti "sans objectifs", a-t-elle jugé. Les trois parlementaires s'accordent sur le fait que de nouvelles élections n'apporteraient aucune solution raisonnable, pas plus d'ailleurs qu'attendre les élections communales de 2012. Dans De Morgen, le président de Groen!, Wouter Van Besien, s'est fendu lundi matin d'une carte blanche dans laquelle il juge "inexistant" un front flamand autour de la note Octopus de 2008, chère au ministre-président flamand, Kris Peeters (CD&V), et au président de la N-VA, Bart De Wever. Groen! n'a pas approuvé cette note, y souligne-t-il. Bruno Tobback, dont le parti figure au gouvernement flamand, a défendu la note, la qualifiant de "guide" le plus adéquat vers une réforme de l'Etat. Pour Servais Verherstraeten, un "front flamand" ne servirait de toute façon à rien "si nous restons sur l'Yser", a-t-il dit, critiquant ainsi l'affrontement de positions actuel. (belga) 18/04/11 11h24 - Citation :
- Grouwels compare De Wever et Di Rupo à des sphinx
© photo news La ministre bruxelloise Brigitte Grouwels (CD&V) a renvoyé dos-à-dos lundi les présidents de la N-VA, Bart De Wever, et du PS, Elio Di Rupo, les comparant à deux "sphinx" qui "ne bougent pas d'un millimètre" dans les discussions communautaires. "Ce n'est pas uniquement M. De Wever qui poserait un problème", a-t-elle souligné sur les ondes de Bel-RTL. Isoler la N-VA serait selon elle irresponsable vu le vote flamand et le devoir des nationalistes flamands de prendre leurs responsabilités. D'ailleurs, la perspective d'une tripartite classique n'a pas été discutée au sein des instances politiques du CD&V, assure-t-elle. Travailler avec des ultimatums comme le fait la N-VA n'est "jamais constructif" et ne lui confère pas "le sérieux d'un premier parti de Flandre". Cependant, le parti de Bart De Wever "a déjà ravalé certains de ses ultimatums antérieurs", fait remarquer Mme Grouwels. La ministre bruxelloise dénonce aussi les critiques de la N-VA sur les obligations budgétaires belges pour l'Europe, mais elle les relativise en jugeant qu'elles n'auront "pas tellement d'effet". Après les commentaires du patronat flamand (Voka) jugeant que les francophones avaient une phobie de la N-VA, Mme Grouwels appelle les partis du sud du pays à considérer cette dernière comme "un parti comme les autres". "C'est vrai que c'est un parti nationaliste, mais il a mis à l'écart le séparatisme, négociant jusqu'à présent sans cela en tête", a estimé Brigitte Grouwels. (belga)
18/04/11 09h27 - Citation :
- "Le fossé et la méfiance persistent entre les deux communautés"
© belga Le président de l'association patronale flamande Voka, Luc De Bruyckere, a souligné dimanche "le fossé et la méfiance" qui persistent entre les deux communautés du pays, après plus de 300 jours de crise politique entre les partis flamands et francophones.
Quatre présidents de partis francophones - Elio Di Rupo (PS), Charles Michel (MR), Joëlle Milquet (cdH) et Jean-Michel Javaux (Ecolo) - ont rencontré lundi une quarantaine de patrons flamands, membres du VOKA, pour expliquer leur position sur la réforme de l'Etat. M. De Bruyckere a qualifié dimanche cette rencontre d'"éclairante", tout en se disant "déçu" après coup. "Nous avons constaté combien est grand le fossé et surtout la méfiance après tout ce temps", a-t-il souligné.
"Phobie de la N-VA" M. De Bruyckere a aussi affirmé avoir perçu une "phobie de la N-VA". "Nous voulions aller à l'essentiel, mais il a été question au moins cinquante fois de la N-VA", a-t-il ajouté. Le président du Voka a appelé les partis flamands à constituer un front uni, comme les francophones. "Les partis flamands doivent se réunir et déterminer ce qu'ils veulent faire. Ils doivent ensuite se rendre auprès des partis francophones et voir si un accord est possible. Si cela ne réussit pas, je crains que l'on aille à de nouvelles élections, avec toutes les conséquences pour les marchés financiers", a-t-il poursuivi. L'administrateur-délégué du groupe de lingerie Van de Velde, Ignace Van Doorselaere, a lui aussi affirmé ressentir une "impression négative" après la rencontre de lundi. "J'ai entendu là une logique à laquelle je ne suis pas habitué. Et si on dirigeait une entreprise avec cette logique, on irait à la faillite", a-t-il souligné. (belga) 17/04/11 17h31 - Citation :
- "Avons-nous encore de vrais dirigeants?"
© belga Le député flamand Eric Van Rompuy (CD&V) s'est interrogé jeudi sur la vision de l'avenir qu'avaient les responsables politiques belges. "Avons-nous encore de vrais dirigeants au nord et au sud de ce pays?", s'est-il demandé sur son blog. Le frère du président du conseil européen s'est rendu récemment à Berlin. L'essor de la capitale allemande et plus généralement de l'Allemagne l'ont manifestement impressionnés. "Ici, bat le coeur de l'Europe. Les boulevards majestueux, l'architecture totalement novatrice des bâtiments publics, les centres commerciaux, les sièges des entreprises, les musées, les salles de concert: tout cela démontre que l'Allemagne sera dans tous les domaines la nation phare de l'Europe au cours de la décennie", a-t-il écrit. Le retour en Belgique a rendu le député morose. "Quand je suis revenu de Berlin hier soir et que j'ai jeté un coup d'oeil sur les journaux et le débat relatif à l'avenir de notre peuple et de notre pays, j'ai trouvé cela honteux et même angoissant. Le monde est en pleine transformation et nos "dirigeants" ne parviennent pas à mettre sur pied une structure politique qui doit préserver notre nation prospère", a-t-il souligné. "De quoi nous occupons-nous?", s'est-il demandé en voyant comment les deux Allemagne ont pu se rejoindre et les efforts fournis par tout un chacun pour y arriver. "Avons-nous de vrais dirigeants au nord et au sud de ce pays? Est-ce que leurs paroles portent plus loin que les journaux du matin ou la dernière interview à la radio?", s'est-il encore interrogé. (belga/7sur7) 14/04/11 20h37 - Citation :
- "Les francophones n'y croient plus"
© belga Le député flamand Eric Van Rompuy (CD&V) estime que les francophones ne croient plus que la négociation actuelle puisse aboutir à un accord sur un nouvelle réforme de l'Etat. Les francophones sont déjà dans le plan B, a-t-il dit mardi matin sur La Première (RTBF). Il en veut pour preuve les dernières déclarations et le changement de nom de la Communauté française en Fédération Wallonie-Bruxelles.
M. Van Rompuy a expliqué que les francophones ont mal interprété l'interview du ministre-Président flamand, Kris Peeters. "Il n'a pas remis en cause le statut de Bruxelles. Il n'a pas parlé de cogestion. Il a réaffirmé l'opinion du CD&V, à savoir qu'il ne faut pas toucher au statut de la Région de Bruxelles-Capitale tel qu'il a été défini en 1989", a-t-il dit.
"Dire comme l'a fait le ministre wallon Benoît Lutgen que Kris Peeters veut faire des Bruxellois des sous-hommes est grotesque", a-t-il ajouté. Selon lui, les francophones veulent une Région bruxelloise dans laquelle les Flamands ne détiennent plus de droit de veto parce qu'ils craignent que la N-VA parvienne à bloquer la région s'il reste le plus grand parti flamand.
Sécession Eric van Rompuy est convaincu que les francophones ne croient plus à une possibilité d'accord en vue d'une 6e réforme de l'Etat. L'affirmation de la Fédération Wallonie-Bruxelles "montre qu'on raisonne de plus en plus dans un scénario de plan B", dit-il.
"Les francophones sont convaincus que la Flandre va faire sécession. C'est dans cette perspective qu'ils parlent de Fédération Wallonie-Bruxelles", a encore noté M. Van Rompuy. A la VRT, dont il était également l'invité mardi matin, il a qualifié la démarche des francophones de "langage quasi-guerrier".
N-VA et PS A propos de l'avenir de la mission de négociateur de Wouter Beke, M. Van Rompuy a rappelé qu'elle dépendait des deux grands partis, N-VA et PS. Or, selon lui, "l'axe Di Rupo-De Wever ne marche pas". Il est d'avis que les déclarations des uns et des autres, tout comme l'affirmation de la Fédération Wallonie-Bruxelles, hypothèquent la mission de Wouter Beke.
"Il y a beaucoup dans la note de Johan Vande Lanotte. Essayons d'avancer là-dessus sans mettre de nouveaux éléments sur la table", a encore dit Eric Van Rompuy. Il a aussi rappelé qu'il était pour lui évident que des compensations à la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde étaient nécessaires, tout en ajoutant qu'il n'était pas question d'accepter une extension de la Région bruxelloise.
Enfin, il a également redit qu'il était illusoire de croire que son parti pourrait conclure un accord institutionnel ou entrer dans un gouvernement sans la N-VA. (belga) 05/04/11 09h28 - Citation :
- De Lille: "Bruxelles n'a pas besoin de belles-mères"
© belga Bruxelles n'a pas besoin de belles-mères pour pouvoir bien fonctionner, a affirmé mardi le secrétaire d'Etat bruxellois Groen!, Bruno De Lille, réagissant à l'annonce de la "création de la fédération Wallonie-Bruxelles" et à la "surenchère communautaire autour du statut de Bruxelles". "Bruxelles est à nouveau dépeinte comme l'enfant à problème qui a d'urgence besoin d'une main adulte forte. Je n'y crois pas: Bruxelles pourra prendre ses problèmes en main si elle est mise en capacité de et que l'on l'autorise à prendre toute sa responsabilité. Nous devons être une Région, pas une mini-Région", a commenté le secrétaire d'Etat écologiste flamand de Bruxelles. Pour lui, il est clair que Bruxelles doit pouvoir fonctionner en tant que Région autonome, sans que l'une ou l'autre belle-mère ne veuille continuellement touiller elle-même dans les pots". "Je ne crois pas dans une co-parentalité exercée par la grande Flandre et la grande Wallonie sur la plaque tournante économique la plus importante de Belgique, où celles-ci vont décider de ce qui doit se passer. Nous voyons aujourd'hui que cela ne marche pas", a-t-il ajouté. M. De Lille a demandé à tout un chacun de se comporter en adulte. "Il est facile de provoquer. Conclure un compromis est bien plus difficile", a-t-il conclu. (belga) 05/04/11 17h28 - Citation :
- Le PS songe au rattachement de la Wallonie à la France
La fédération PS de Thudinie a organisé jeudi soir une conférence-débat sur le rattachement de la Wallonie à la France, une soirée qui avait reçu la caution du ministre PS des Pouvoirs locaux et de la Ville Paul Furlan, révèlent vendredi les journaux du groupe L'Avenir.
Les deux orateurs invités sont allés plus ou moins dans le sens d'un rattachement de la Wallonie à la France, sous la houlette de Willy Burgeon, qui a été président du parlement wallon de 1988 à 1995. "Il s'agit d'une séance d'information proposée et approuvée par nos instances, en ce compris par M. Furlan", indique Charlyne Moretti, secrétaire fédérale du PS de Thudinie. "Cela répond à un souhait de nos militants qui se posent des questions. On ne va pas au-delà. C'est un peu délicat." Une invitation à la conférence-débat avait d'ailleurs été envoyée à tous les membres de la fédération. Du côté du ministre Paul Furlan, on explique que "la tenue de cette séance d'information ne l'engage en rien personnellement". (belga) 08/04/11 07h13 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Lun 18 Avr - 14:28 | |
| Please, faut arreter avec la politique de notre pays....sa devient ridicule Et maintenant le PS pense à la France...pathétique....etant un socialiste, ce parti ne vaut plus RIEN |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 12:53 | |
| eh oui petit frère c'est le chemin sur laquelle la Belgique c'est engagée et particulierement les electeurs que nous sommes que ce soit au nord comme au sud du pays aucuns hommes ou femmes politique ne prend ses responsabilités on vient de passer le cap des 308 jours sans gouvernement et on a notre mention dans le guiness book c'est la haichouma pour un pays dit démocratique voilà pourquoi je le dis et le redis, la democratie européenne n'est pas un exemple à suivre et nous devons nous abstenir de vouloir donner des leçons
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| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 12:56 | |
| Amen pour ta derniere phrase Gawri,l´une de ses mauvaises facettes,j´espere que ca se denouera inchallah. _________________ | |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 13:10 | |
| bah même si les autres partis flamands commencent à devenir agressif contre la N-VA, je ne pense pas voir une solution raisonable dans ce pays où tout fou le camps a voir les mouvements de grêves le mécontentement général on va droit dans le mur va falloir serieusement pensé a préparé les cartons pour s'en aller | |
| | | MAATAWI Modérateur
messages : 14757 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 14:18 | |
| - Citation :
Tête de porc dans une mosquée belge
AFP Des inconnus ont déposé dans une mosquée de Charleroi, dans le sud de la Belgique, une tête de porc assortie de l'inscription "Ici repose Mahomet", ont annoncé aujourd'hui les autorités locales.
Les faits se sont déroulés la nuit dernière dans une mosquée de Lodelinsart, un quartier situé dans le nord de la plus grande ville de Wallonie, a précisé l'agence de presse Belga, citant le bourgmestre (maire) de Charleroi, Jean-Jacques Viseur.
Celui-ci devait rencontrer les représentants de la communauté musulmane de la ville dans l'après-midi et la police a ouvert une enquête, selon la même source.
Le Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (Mrax) a immédiatement condamné "avec la plus grande fermeté" cet "acte grave". "Cet acte, d'une grande violence symbolique envers la population musulmane, est susceptible de libérer la parole raciste", a déclaré le président du MRAX, Placide Kalisa. "Cet acte survient dans un contexte général où le discours populiste a le vent en poupe", a-t-il ajouté.
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| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 14:20 | |
| Sérieux j'ai pitié de ce qui ont fait sa plus qu'autre chose _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 14:26 | |
| un test ADN chez la droite extremiste pourrait mener a une piste,en tout cas y´a des signes de sa famille.. - Spoiler:
_________________ | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 14:28 | |
| - Yakuza a écrit:
- un test ADN chez la droite extremiste pourrait mener a une piste,en tout cas y´a des signes de sa famille..
- Spoiler:
Sa dépend si ils sont Wallon ou Flamand Yaku auquel cas c'est peut être une autre piste qu'il faut remonter - Spoiler:
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 16:41 | |
| je viens de lire cette info pfffffffff ils ont que ça à faire c'est bas on se croirait revenu a l'époque de l'inquisition | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 17:26 | |
| Pitoyable, ont est plus au moyen âge... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 17:39 | |
| Franchement amis musulman d' europe... Vous trouvez qu'il fait vraiment bon vivre en europe ?
cette action débile aurait pu avoir lieu aussi bien en France ,en Allemagne ou Hollande...
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mar 19 Avr - 17:49 | |
| Oui Aslan, cela me plait de vivre en Belgique car il n y a pas autant de racisme que chez les autres voisins de l'europe ... notre pays est tres tolérant...en France par exemple, c'est plus critique mais je ne vais rien dire sur se sujet car j'habite pas en France... |
| | | thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité en Belgique Mer 20 Avr - 10:43 | |
| - Citation :
- Je n'accuserai pas le peuple européen, d'aucune manière. Je vise les dirigeants qui gouverne ce "bordel". C'est malheureusement au peuple de faire le changement, concernant la Belgique, c'est beaucoup plus critique, car la dette belge explose, et il n'y a pas de gouvernement depuis un bon moment, surtout une partie des flamands veulent leur pays. La Wallonie était riche au début de la création de l'état belge et la Flandre pauvre, c'est le contraire aujourd'hui. Bref, c'est pas le sujet.
la Belgique c'est pas le portugal, la grece ou l'irlande, le dette diminue chaque année comme la banque nationale l'as deja exprimé,il faut regarder les infos correctes et pas le balbla des medias à 4 sous et en belgique il y a toujours un gouvernement en affaire courante ,gouvernement auquel le roi a demandé de continuer son travail avec un budget 2011 présenté au parlement et adopté, budget en équilibre, d'autre part ce même gouvernement a présenté son plan aux instances europeenne qui l'a accepte et aprrouve, plan qui prevoit de reduire la dette voilà quelques articles sur la dette publique belge - Citation :
- La Belgique est moins dans le collimateur des marchés
© belga L'écart de rendement entre les taux d'intérêt des obligations de la Belgique et de l'Allemagne est tombé à un niveau qu'on n'avait plus observé depuis le 14 septembre 2010, rapporte jeudi le quotidien L'Echo qui y voit le signe que l'amélioration de certains paramètres est saluée par les investisseurs, en dépit de la crise politique persistante. L'écart avec l'Allemagne est une référence et sa diminution entraîne une baisse des primes réclamées à la Belgique par les prêteurs sur le marché obligataire. Selon l'Echo, qui rappelle que Standard & Poor's devrait se prononcer en juin sur la note de solvabilité de la Belgique, qu'elle pourrait baisser eu égard à l'absence de gouvernement de plein exercice, l'approbation du budget par l'équipe Leterme n'est pas étrangère au relâchement de pression des marchés. Le quotidien économique relaie également le point de vue de spécialistes invitant à ne pas faire preuve de trop d'optimisme. Ceux-ci relèvent que la diminution de l'écart avec l'Allemagne est aussi le fait de la performance décevante du Bund au cours des dernières semaines. (belga) 14/04/11 06h21 - Citation :
- Chiffres "encourageants" sur la dette belge
© epa Le Fonds monétaire international (FMI) a présenté ce week-end des chiffres "encourageants" sur la réduction des déficits publics et de l'endettement dans la zone euro en général et en Belgique en particulier, a affirmé dimanche le ministre belge des Finances, Didier Reynders, depuis Washington, où il participait aux réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale.
"En ce qui concerne la dette, la Belgique se retrouve en 2011 dans une situation plus favorable qu'en 2006", avant la crise financière. "Nous sommes plus solides" que voici cinq ans, a assuré M. Reynders, soulignant que la Belgique se situait désormais dans "une situation plus favorable que la moyenne de la zone euro", dans une position "proche de celle de la France et de l'Allemagne" - et nettement plus confortable que celle de pays comme le Japon, dont la dette atteint les 200% du Produit intérieur brut (PIB), les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Au cours des dernières années, la dette de la France et de l'Allemagne ont fortement cru, alors que celle de la Belgique - traditionnellement très endettée - diminuait d'une quarantaine de points par rapport au PIB. Programme de stabilité Selon le ministre, les chiffres du FMI ne varient guère de ceux présentés par le gouvernement belge ou par l'Union européenne. Mais "cela fait plaisir de l'entendre venant du FMI", a en substance souligné le grand argentier belge. M. Reynders a également mis ce bon résultat sur le compte de "la capacité du gouvernement actuel (démissionnaire depuis près d'un an) de prendre des décisions". Le Conseil des ministres a ainsi approuvé vendredi le programme de stabilité 2011-2014 ainsi que le programme national de réforme, deux documents destinés à l'Union européenne et qui prévoient une série d'objectifs à atteindre. Le programme de stabilité prévoit ainsi un surplus de 0,2% du PIB en 2015. Pour les autres années, il retient un déficit de 3,6% en 2011, 2,8% en 2012, 1,8% en 2013 et 0,8% en 2014. Le budget 2010 avait été clôturé avec un résultat meilleur que prévu, à savoir un déficit de 3,8%. La dette belge n'a augmenté en 2010 que de 0,6%, soit l'augmentation la moins importante des pays de la zone euro, à l'exception de l'Estonie. Dans ses prévisions, le gouvernement prévoit que le taux d'endettement sera de 88,4% du Produit national brut (PNB) en 2015. Dans le programme précédent, ce taux était fixé à 92,5% pour 2015. M. Reynders a toutefois insisté sur la nécessité qui s'imposera au futur gouvernement de "mener des réformes" lors des prochaines années. (belga) 17/04/11 21h31 - Citation :
- Reynders rassure sur la situation fiscale de la Belgique
© epa 7S7 mise à jour Le ministre belge des Finances, Didier Reynders, s'est efforcé samedi de "casser les mythes" sur la situation budgétaire de la Belgique, au cours d'une réunion informelle de grands argentiers européens à Gödöllö (Hongrie), consacrée notamment au sauvetage financier du Portugal.
Les ministres ont évoqué vendredi et samedi les conditions d'un prêt d'environ 80 milliards d'euros au Portugal, troisième pays à bénéficier d'un tel paquet après la Grèce et l'Irlande. Les pays parfois cités comme les autres maillons faibles de la zone euro, en particulier l'Espagne et la Belgique, ont voulu marquer leur différence.
Questionné par des journalistes à l'entrée de la réunion sur la situation belge, M. Reynders a insisté sur la récente révision à la baisse du déficit public. "Nous avons obtenu l'un des meilleurs résultats en Europe en termes de situation fiscale", a-t-il dit.
Il a répété ce message à ses homologues, auxquels il a livré samedi matin un exposé sur la situation financière du pays. Il a mis en avant la réduction constante de l'endettement public, freinée seulement ces dernières années par le sauvetage des banques. Il a aussi assuré que la Belgique respecterait son engagement de ramener le déficit sous la barre des 3% du PIB dès 2012 et de revenir à l'équilibre en 2015.
Le gouvernement fédéral et les Régions du pays se pencheront la semaine prochaine sur la révision du programme de stabilité belge et sur le programme national de réformes (PNR) attendus par la Commission européenne en avril.
Malgré la situation d'affaires courantes, M. Reynders estime que la Belgique pourra présenter un certain nombre de mesures, notamment en matière d'emploi et de vieillissement. Une évaluation du pacte des générations conclu en 2005 doit intervenir cette année, a-t-il rappelé.
Il a expliqué parallèlement vouloir "casser les mythes" sur la Belgique, notamment "l'idée qu'on ne prend pas de décisions (parce que le gouvernement est en affaires courantes, ndlr) alors qu'on en prend tous les jours". "On a la capacité de décider. La Libye et le budget l'ont montré", a-t-il dit.
M. Reynders veut aussi changer "l'image d'un pays dramatiquement endetté", soulignant que la Belgique "n'a pas de difficulté à financer sa dette".
Dès vendredi, M. Reynders avait assuré que le sauvetage du Portugal permettrait de mettre un terme à la contagion de la crise de la dette souveraine dans la zone euro, un message unanimement martelé par les responsables financiers aux nombreux journalistes présents à la réunion.
Le directeur du fonds de secours européen, Klaus Regling, avait ainsi déclaré que les marchés avaient "réagi très positivement à la demande d'aide du Portugal". "La vue dominante sur les marchés est que cette étape isole les trois pays les plus faibles et évite la contagion", a-t-il affirmé. (belga/7sur7) 09/04/11 12h13 voilà faut demander aux principaux concernés la situation exacte d'un pays avant de dire n'importe quoi, on paye assez d'impots et on se serre assez la ceinture et on sait mieux que quicquonque ce qui se passe dans notre pays a bon entendeur | |
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