Actualités nationales

ca prouve une seule chose,on continue la balkanisation de la scene politique marocaine comment peut on avoir une majorité dans une telle situation c'est du n'importe quoi.

le defaut n´est pas,a mon avis,dans le systeme,mais a trouver chez les chlahbia(pofiteurs/opportunistes..) marocains eux meme,ils font le jeu du regime.
en Allemagne tu as 5% et malgrés ca tu ne trouve que 5 partis,d´autres comme le NPD neo-nazi n´atteignent pas ce seuil,grace a la vigilance et au civisme des electeurs,meme les liberaux FDP de Westerwelle ont echoué parfois a ce seuil,car le peuple sanctionne.

le jour ou les partis penseront vraiment patriotiquement et pragmatique,ils se rassembleront,mais avec les dinos et leurs rejetons c´est encore loin d´arriver

il faut qu'ils comprennent (regime et partis) que les marocains veulent un vrai changement.il y a un maroc d'avant 1er juillet et un maroc d'apres.les 5 prochaines années sont cruciales pour l'avenir de ce pays,comme je disais avant le referendum l'etat doit montrer des signes de bonnes volonté les citoyens ont repondu massivement oui,il doit maintenant sortir de sa neutralité passive et museler les dinausores et chlahbia dont tu as parlé.

vympel27 a écrit:

il faut qu'ils comprennent (regime et partis) que les marocains veulent un vrai changement.il y a un maroc d'avant 1er juillet et un maroc d'apres.les 5 prochaines années sont cruciales pour l'avenir de ce pays,comme je disais avant le referendum l'etat doit montrer des signes de bonnes volonté les citoyens ont repondu massivement oui,il doit maintenant sortir de sa neutralité passive et museler les dinausores et chlahbia dont tu as parlé.

L'État ne peut imposer quoique ce soit sur les partis politiques sous peine d'être perçu comme acte anti-démocratique. ces partis politiques sont sensés représenter le peuple marocain, ce n'est donc qu'à ce dernier qu'il revient le droit de choisir le parti qui répond au mieux à ses attentes. Les dinosaures et chlahbia se cachent derrière la démocratie et le droit à la liberté et au respect des minorités. ne sont ils pas des revendications de 20 fifi?

les reformes engagées par notre pays ne se limitent pas à 5ans. le Maroc est entrain de mener des vastes changements tant politique que socio-économique. nous évoluons doucement mais sûrement-slow but sure. Les signes de bonnes volontés existent et ce depuis une bonne décennie déjà, seul un esprit aveugle n'arrivera pas à s'en rendre compte. il s'agit en fait d'une révolution douce dont les résultats souhaités seront le plus perçus à moyens et à long terme. Il faut mettre à l'esprit qu'on est entrain de construire un pays moderne tant sur le plan politique, social qu'économique et que ceci dépend amplement de la vitesse d'évolution des mentalités.

En Turquie, les parties qui ont moins de 10% des voix ne sont pas représentés au parlement et n'ont pas d'aide du Trésor. La Turquie à toujours perdu avec les coalitions. si c'est être représenté avec plein de petit parti, bonne chance au Maroc, vous serez comme l'Italie. La mauvaise gérance.

Baybars a écrit:

En Turquie, les parties qui ont moins de 10% des voix ne sont pas représentés au parlement et n'ont pas d'aide du Trésor. La Turquie à toujours perdu avec les coalitions. si c'est être représenté avec plein de petit parti, bonne chance au Maroc, vous serez comme l'Italie.

ils vont s auto réguler automatiquement 10% c est bien

Citation :

Maroc: une plateforme électronique pour signaler les irrégularités électorales

L'Organisation marocaine des droits humains (OMDH) a initié au niveau national, une plateforme électronique accessible à tous les citoyens et observateurs en vue de signaler et visualiser des incidents, des dysfonctionnements ou violations liés à toute opération électorale.

La plateforme, gérée par les membres du réseau des jeunes de l'OMDH, sera accessible aussi bien par SMS, e-mail, Twitter ou autres.

Sont particulièrement visées les prochaines élections législatives qui seront organisées dans un contexte marqué par la nouvelle Constitution, adoptée en juillet 2011.

Selon le journal Libération, de Casablanca, « la loi fondamentale explicite les dispositions claires relatives à la responsabilité des autorités publiques, quant à la transparence et à la régularité de l'opération électorale ainsi qu'à la promotion de la participation des électeurs ».

Le combat, toujours selon Libération, « ne semble pas de tout repos du fait que la loi, à elle seule, n'est pas suffisante pour lutter contre les fraudes et garantir la transparence des élections. »

Agence Ecofin

http://www.agenceecofin.com/droit-constitutionnel/1009-1205-maroc-une-plateforme-electronique-pour-signaler-les-irregularites-electorales

vympel27 a écrit:

il faut qu'ils comprennent (regime et partis) que les marocains veulent un vrai changement.il y a un maroc d'avant 1er juillet et un maroc d'apres.les 5 prochaines années sont cruciales pour l'avenir de ce pays,comme je disais avant le referendum l'etat doit montrer des signes de bonnes volonté les citoyens ont repondu massivement oui,il doit maintenant sortir de sa neutralité passive et museler les dinausores et chlahbia dont tu as parlé.

Le pouvoir est entrain de payer la note de ses choix passés. A une époque, il valait mieux être "chlahbi" que "démocrate", l'époque a changé, mais les "chlahbis" sont toujours là. D'une part, on ne peut logiquement rien attendre d'un "chlahbi"et on ne même peut pas le lui reprocher. C'est le pouvoir qui les avait coopté pour cette "qualité". D'autre part, il serait naïf de croire que voyant les temps changer, ils vont gentiment se retirer et laisser la place à des hommes politiques plus compétents.
Même s'ils continuent de faire de la résistance, les dirigeants actuels des partis politiques ne sont pas idiots. Ils savent qu'ils doivent lâcher du lest. Maintenant, c'est pour leurs enfants qu'ils se battent.
Là encore, le pouvoir paye la note pour ses choix passés. Quand la politique est le meilleur moyen de faire des affaires, tout le monde veut faire de la politique pour pouvoir se faire de l'argent. Je dirais presque que c'est légitime. Même si les rejetons de l'actuelle élite politique s'intéressent plus aux affaires qu'à la politique, ils cherchent logiquement à remplacer leurs parents pour continuer à profiter de la même manière du système.
Quand on creuse un trou pour piéger les autres, on fini par tomber soi même dedans.
Comme l'a bien dit Extrême, les choses vont bien changer, mais très lentement.

c'est la lenteur du changement due aux resistences a l'interieur meme du systeme qui pose probleme.depuis 99 beaucoup de chose ont été accompli mais on ne peut pas s'empecher de noter que la dynamique du changement ne suit pas la meme vitesse que les attentes de la jeunesse.decalage du aux resistences au changement de toute une classe politico economique heritée des erreurs du passé.face a cela seule la bonne volonté ne suffit pas,il faut donner un coup de pied dans ce nid de guepe et accelerer la cadence du changement une fois pour toute sinon toute lenteur risquerait de mettre en peril toute cette dynamique accroiterait les decalages et minerait la confiance des citoyens dans leurs institutions.

j avais poste un commentaire sur le sujet et je content qu on y reviens
je pose la question qu elle est le cout de rachwa et ce que perdait l etat en argent rt en ressource humaine qui ne pouvait pas percer et aussi le temps, je partais dune idde qui stipulait une augmentation convenable des salaires des fonctionnaire mais négocier et l etat intraitable si rachwa continue
aussi, dans tout changement il y a résistance au changement d ou l importance de l accompagner cela se fait par la nouvelle constitution les forces vive du pays les institution de contrôle

vympel27 a écrit:

c'est la lenteur du changement due aux resistences a l'interieur meme du systeme qui pose probleme.depuis 99 beaucoup de chose ont été accompli mais on ne peut pas s'empecher de noter que la dynamique du changement ne suit pas la meme vitesse que les attentes de la jeunesse.decalage du aux resistences au changement de toute une classe politico economique heritée des erreurs du passé.face a cela seule la bonne volonté ne suffit pas,il faut donner un coup de pied dans ce nid de guepe et accelerer la cadence du changement une fois pour toute sinon toute lenteur risquerait de mettre en peril toute cette dynamique accroiterait les decalages et minerait la confiance des citoyens dans leurs institutions.

Je n'ai jamais entendu parler de quelque chose qui s'appelle vitesse des attentes. Il y a des attentes et il y a vitesse de réalisation de ses attentes. Cette vitesse dépend de beaucoup de paramètres qui sont en parfaite synchronisation avec la conjoncture économique, politique et sociale, actuelle et future. Tout projet sérieux passe par différentes phases, consommant à la fois du temps et des ressources, avant d'aboutir. On n'est pas entrain de fonder une simple épicerie, c'est l'avenir de tout un pays qui est enjeux. Et je crois que la jeunesse marocaine est suffisamment intelligente pour s'en rendre compte, mieux vaut arriver tard que jamais.

Il n y a aucun décalage entre les réalisations et les attentes; il ne s'agit là que de ton propres point de vue qui s'écarte vachement de la réalité. Rien ne peut exercer pour toujours une résistance ou freiner les projets de reformes engagés par notre pays. Depuis une dizaine d'année déjà, le Maroc avait rompu avec les erreurs passés, inutile donc de vouloir nous reprendre toujours les vieilles histoires parce que quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d'aller de l'avant.

Si la bonne volonté est insuffisante, selon toi, avec quelle motivation arriverons nous à relever le défit de la modernisation du pays. Tu ne fais que contredire tes propres affirmations. Mais, quand le puits est à sec, on sait ce que vaut l’eau.

vympel27 a écrit:

l'etat doit montrer des signes de bonnes volonté

Citation :

Maroc - Des milliers de manifestants dans les rues pour la démocratie

Plusieurs milliers de personnes ont de nouveau manifesté pacifiquement dimanche à Casablanca, Rabat et Tanger à l'appel du Mouvement du 20 février qui revendique des changements politiques et une plus grande justice sociale au Maroc, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Les manifestations sont considérés par les jeunes militants du mouvement comme celles "de la rentrée politique et sociale", mais l'appel à manifester paraît dans l'ensemble avoir relativement peu mobilisé.

A Casablanca, les protestataires ont choisi pour la première fois le quartier populaire de Sidi Moumen pour manifester devant des habitants, visiblement rendus curieux par les slogans revendiquant la "justice sociale, la démocratie et l'amélioration des conditions de vie".

"Je connais ce Mouvement mais c'est la première fois que vois ces manifestants (...) je suis d'accord avec leurs revendications car il y a beacoup de jeunes sans travail au Maroc", a affirmé à l'AFP Mâati, salarié le bâtiment.

"Non au cumul du pouvoir et de la fortune", "Vive le peuple", "Nous voulons vivre dans la dignité et l'égalité", scandaient les milliers de manifestants, environ 2.000 selon la police.

Les auteurs des attentats de Casablanca le 16 mai 2003 -45 morts dont douze kamikazes- étaient tous issus du quartier populaire de Sidi Moumen.

Dans la capitale Rabat, la mobilisation était faible, avec un millier de jeunes du Mouvement qui scandaient: "dignité, liberté, justice sociale" et "le peuple veut la chute du makhzen" (le pouvoir).

A Tanger, la manifestation a commencé au quartier populaire de Beni Makada. "Les jeunes étaient encerclés par les forces de l'ordre mais la manifestation s'est déroulé dans le calme", a indiqué à l'AFP Mounaïm, de la section locale du Mouvement.

Né dans le sillage des révoltes arabes au début de l'année, ce Mouvement regroupe, en plus des islamistes du groupe Justice et bienfaisance, une importante association illégale mais tolérée, des "cyber-militants" indépendants et des militants d'extrême-gauche.

Les autorités accusent régulièrement Justice et bienfaisance, qui mobilise dans les quartiers populaires grâce à son action sociale, de "noyauter" et "manipuler" ce mouvement.

http://www.afreekelection.com/maroc/item/7640-article-090081.html

je suis a rabat et j'ai trainé dans le centre ville et j'ai vu walou peut etre que j'etais pas au bon endroit dommage

Citation :

Né dans le sillage des révoltes arabes au début de l'année, ce Mouvement regroupe, en plus des islamistes du groupe Justice et bienfaisance, une importante association illégale mais tolérée, des "cyber-militants" indépendants et des militants d'extrême-gauche.

quel est le lien entre les islamistes de ADL (le loup) et les militants d'extreme gauche (les moutons) ?

le jour où le veux gourou de 85 ans , cheikh yassine, dira à ses adeptes (fini de manifester), les "militants" d'extreme-gauche se reuniront dans une cabine telephonique ..

en Egypte, la derniére manifestation des "militants cuber et de gauche" a été un fiasco car les freres musulmans , qui se préparent aux elections legislatives, n'ont pas voulu manifester ce jour-là ...

Le martyr Allal Ben Abdellah un vrai patriote marocain. Le 11 septembre 1953, armé de sa foi et de son patriotisme, allal Ben Abdellah a attaqué le sultan fantoche Ibn Arafa installé et imposé par le colonisateur français.

Le policier qui a tué Allal ben Abdellah était un harki d'origine algérienne, il s'est fait capturer ultérieurement par le mouvement de la libration national marocain et il est mort dans une affreuse souffrance. les marocains sont de véritables lions comme aimait le dire le maréchal lyauté.

Citation :

Meeting à Rabat en commémoration du 58ème anniversaire de la disparition du martyr Allal Ben Abdellah

Rabat, 12/09/11- Le Haut Commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de libération a organisé, lundi à Rabat, un meeting en commémoration du 58ème anniversaire de la disparition du martyr Allal Ben Abdellah.
S'exprimant à cette occasion, le Haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, Mostafa El Ktiri a mis en exergue la forte symbolique de cette épopée dans l'histoire de la résistance nationale.

C'est une occasion riche en enseignements des nobles valeurs d'abnégation et de bravoure dont doivent s'inspirer les jeunes et les générations actuelles et futures pour l'édification d'un Maroc nouveau, a souligné M. El Ktiri.

"Feu Allal Ben Abdellah, en sacrifiant sa vie, est devenu un modèle pour les peuples aspirant à la liberté", a-t-il ajouté.

Avec son geste audacieux à l'encontre du sultan fantoche Ibn Arafa, ce nationaliste a voulu donner la preuve de l'attachement du peuple à la légitimité de la monarchie et a inauguré ainsi une nouvelle ère dans la lutte du peuple pour le retour de Feu SM Mohammed V qui avait été contraint à l'exil le 20 août 1953, a estimé M. El Ktiri.

Par la suite, plusieurs intervenants et témoins de cette époque historique, à travers allocutions et poèmes, se sont succédés pour vanter les qualités du défunt Allal Ben Abdellah et rappeler le contexte historique de son acte audacieux en mettant l'accent sur la bravoure et le patriotisme de ce résistant nationaliste.

Ont assisté à cette manifestation notamment le Wali de la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaer, gouverneur de la préfecture de Rabat, des membres de la famille des anciens résistants de la région (notamment la petite-fille du résistant Allal Ben Abdellah), des élus et d'autres personnalités.

A cette occasion, des anciens résistants de la Région ont été honorés en reconnaissance de leurs sacrifices consentis pour la défense des valeurs sacrées de la nation et de leur participation active à la lutte pour l'indépendance.

Des attestations de mérite leur ont été attribués en signe de soutien permanent envers cette frange de la société marocaine.

LA MAP

allah irehmou

bonsoir a tous les frere

il etais de guercif je crois

allah irehmou

allah ya rahmou

L'Emir du Qatar est arrivé hier à Marrakech pour une visite privé . Une rencontre est semble t-il prévue avec les membres du CNT Lybien.

PGM

PGM a écrit:

L'Emir du Qatar est arrivé hier à Marrakech pour une visite privé . Une rencontre est semble t-il prévue avec les membres du CNT Lybien.

PGM

c 'est une bonne nouvelle et un succes de la constance de notre politique

Je préfére que vous cherchiez les cables de wikileaks évoquant ce sujet des relations maroco-israélienne, que de poster des avis de gens comme ce sieur et sa clique, qui eux ont des arrières pensées !!. Ca serait mieux pour avoir nos propres idées sur cette question, et voir les perspectives de l'avenir de ces relations, avec le renforcement du partonariat entre les 2 rives du méditéranée, et dans le nouveaux atmosphère de la rive sud, après ce "automne arabe"

perso cette relation Maroc-Israel ne me derange pas puisqu il y en a du profit aux deux pays et cette histoire de conflit Israelo-palestinien ne me regarde pas du tout tant que les israeliens ne touche pas aux sites sacree comme la mosquée Al-Aqsa, sinon pour moi ce conflit Israelo-palestinien ca reste un probleme de decolonisation que les palestiniens doivent resoudre eux meme comme les libanais et pas pleurnicher et attendre que les autres font leur guerre, nous et les algeriens,tunisiens et lybiens nous avons fait nos guerre de liberations et offert des millions de Martyrs et contre des enemies beaucoup plus puissant que les Hagana et Stern a l epoque .
De la sympathie j en ai que pour les Pays du grand Maghreb et peut etre l AS et UAE, sinon le reste des pays arabes je m en fous, ils sont libre de choisir leurs politiques mais qu en me l impose pas, c est fini le temps ou les communiste controler le monde arabe et nous devrions les suivre tete bas pour ne pas se faire traiter de traitre.

Citation :

WASHINGTON, Sept. 16, 2011 -- Congressional Morocco Caucus will build on support from bipartisan majorities in U.S. House and Senate for a key North African partner and America's longest-running ally

WASHINGTON, Sept. 16, 2011 /PRNewswire-USNewswire/ -- As historic change continues to shift the landscape in North Africa and the Middle East, leaders in Congress announced on September 13 the formation of a bipartisan Congressional Morocco Caucus, committed to "deepening the economic and strategic relationship between the United States and Morocco," which has been a cornerstone of U.S. foreign policy in the region for more than two centuries.

Morocco was the first nation to recognize U.S. independence, in 1777, and signed America's longest "Treaty of Friendship and Peace" in 1787. Its role as a key U.S. partner in North Africa and peaceful example of change has never been more important, with demands for democratic reform and security challenges facing the region today.

"We are pleased to announce the establishment of the Congressional Morocco Caucus for the 112th Congress," said the letter to their colleagues signed by Representatives Mario Diaz-Balart (R-FL), Loretta Sanchez (D-CA), Michael Grimm (R-NY), and Bennie Thompson (D-MS), who serve as Co-Chairs of the Caucus.

"Morocco has demonstrated its friendship and loyalty to the United States consistently since our independence," the letter says. "Morocco has been a vital, Muslim ally in North Africa," a "vital strategic friend that shares our values and aspirations," and "a regional leader" for change, noting that "in the midst of the Arab spring, Morocco held a national referendum to revise their Constitution and institute far-reaching democratic reforms."

"With the recent events in the region," the Members of Congress said, "U.S. relations with Morocco have taken on a renewed sense of urgency and strategic importance." They conclude, "Now is the time to signal our strong support for Morocco and work together to ensure the success of their democratic aspirations."

Last month, Congress Members sent a letter to His Majesty King Mohammed VI calling Morocco's Constitutional reform vote an "important milestone" for "meeting the political desires and social freedoms of your citizens."

Support in Congress for Morocco has also focused on the issue of the Western Sahara, with Members in both Houses of Congress expressing concern that the continuing dispute is thwarting efforts to combat rising terrorism and regional instability. In April 2009 a bipartisan majority of 233 US House members sent a letter to President Obama urging support of Morocco's compromise autonomy plan for Western Sahara.

Last year, a bipartisan majority of 54 US Senators sent a similar letter to President Obama, urging "more sustained American attention" to resolve the Western Sahara conflict and remove a "major obstacle to stability in the region." The Senators backed "broad autonomy for Western Sahara under Moroccan sovereignty" as the solution, noting its support by the Clinton, Bush, and Obama Administrations.

In Morocco's July 1 Constitutional referendum, voters in the three southern districts that include the Western Sahara posted the highest turnout in the nation, participating at rates of more than 80% of registered voters and joining Moroccans across the country in approving the reforms by a large majority.

The Moroccan American Center for Policy (MACP) is a non-profit organization whose principal mission is to inform opinion makers, government officials and interested publics in the United States about political and social developments in Morocco and the role being played by the Kingdom of Morocco in broader strategic developments in North Africa, the Mediterranean, and the Middle East. For more, please visit www.moroccanamericanpolicy.org.

This material is distributed by the Moroccan American Center for Policy on behalf of the Government of Morocco. Additional information is available at the Department of Justice in Washington, D.C.

SOURCE Moroccan American Center for Policy



Read more: http://www.sacbee.com/2011/09/16/3915713/congress-leaders-create-bipartisan.html#ixzz1YBUfLjS8

Maroc, le partenaire discret d’Israël

http://www.slateafrique.com/37555/economie-maroc-le-partenaire-discret-d-israel

Citation :

Le Maroc confronté à la rigueur budgétaire

Les efforts de réduction des dépenses publiques au Maroc font naître des craintes sur la possibilité de pertes d'emplois.

Par Siham Ali pour Magharebia à Rabat – 18/09/11

Le Maroc a besoin de contrôler les dépenses publiques et de réduire les frais du gouvernement. Tel a été le message adressé par le Premier ministre Abbas El Fassi à ses ministres en début de mois en guise de directive avant l'élaboration du projet de budget 2012.

En matière d'emploi, El Fassi a demandé à ses collègues de ne réserver des fonds que pour ce qui est absolument indispensable au fonctionnement du gouvernement. La flotte de véhicules officiels, les passations de marchés publics, la location de bâtiments et les services de communication sont d'autres domaines dans lesquels le gouvernement devra réaliser des économies. Le Premier ministre envisage également de réduire les dépenses de réception et de logement et de dépenser moins en conférences et en déplacements à l'étranger. Moins d'argent sera également dépensé sur les études de projet.

Les subventions seront limitées à 3 pour cent du PIB afin de "laisser une marge de manoeuvre supplémentaire dans le budget pour pouvoir équilibrer les comptes du gouvernement".

Outre ces réductions des dépenses, les autorités recherchent également les moyens de collecter de nouvelles recettes pour aider le royaume à sortir des difficultés financières qu'il connaît actuellement. Le gouvernement étudierait une taxe sur la fortune, une mesure favorablement accueillie par une grande partie de l'opinion publique, mais que le Ministre de la Communication Khalid Naciri a réfuté le 7 septembre.

Parallèlement, des efforts seront faits pour s'assurer que l'investissement ne sera pas affecté. Le Premier ministre a souligné que les différents ministères devront maintenir un niveau d'investisssement adéquat tout en tenant compte de la nécessité de soutenir les domaines de développement prioritaire.

Le Maroc se trouve actuellement dans une situation économique et financière délicate qui appelle à la prudence, selon l'économiste Adil Mahdaoui. Selon lui, les recettes du gouvernement stagnent depuis plusieurs années par suite d'exemptions fiscales sur les sociétés et le revenu. Il a expliqué que cette situation était exacerbée par la charge des subventions.

Mahdaoui suggère qu'un impôt de solidarité et une politique de gouvernance basée sur les priorités soient mis en place, afin de maintenir les équilibres. Il a ajouté que la tâche sera très difficile pour le prochain gouvernement et que celui-ci devra élaborer un plan d'action d'urgence.

Cette tentative de réduction des dépenses suscite des inquiétudes quant à des pertes d'emplois dans le secteur public, a expliqué le sociologue Moha Chirabi. Plusieurs engagements ont été pris, et des milliers de jeunes sont encore mécontents de la situation, a-t-il ajouté, bien que la note d'orientation souligne la nécessité de créer autant d'emplois que possible dans la situation actuelle. Chirabi se dit préoccupé par le niveau de soutien qui sera accordé aux couches les plus vulnérables de la société.

Mais le ministre de la Communication Naciri a réfuté ces craintes, affirmant que le gouvernement s'était engagé en faveur des plus pauvres. Il a précisé que la volonté d'aider la société était l'élément central de la stratégie gouvernementale.

Il a également souligné que le gouvernement envisageait de mettre en place un fonds de solidarité et de trouver les moyens de le financer afin d'apaiser la charge sur le Fonds de compensation, dont bénéficie l'ensemble des catégories sociales.

http://www.magharebia.com/cocoon/awi/xhtml1/fr/features/awi/features/2011/09/18/feature-01