dans la perspective d'une médiation marocaine dans le problème malien, dont les contours commencent à apparaître, le roi a eu un entretien téléphonique avec Blaise Campaoré, président du Burkina Faso qui a piloté jusqu'à présent les négociations entre les différentes parties maliennes et qu'il s'agit de ne pas court circuiter pour des raisons évidentes. Le Maroc pourrait donc joindre ses efforts à ceux du Burkina pour faire contrepartie aux initiatives algériennes. A noter que Campaoré a été formé chez nous ainsi que que son camarade de promotion à la 1ère BIP, l'ex président assassiné, Sankara.
El Watan, s'ils veulent qu'un jour l'algerie reprenne sa place en Afrique, devrait déjà commencer a titrer autre chose que " le safari du roi en Afrique", comme si on parlait là de betaille. Un titre bien condescendant a l'endroit des africains.
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
El Watan, s'ils veulent qu'un jour l'algerie reprenne sa place en Afrique, devrait déjà commencer a titrer autre chose que " le safari du roi en Afrique", comme si on parlait là de betaille. Un titre bien condescendant a l'endroit des africains.
Exactement, cela m'a choqué aussi. Aucun savoir vivre et après ils s’étonnent de ne pas être appréciés
Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
Que l'Algérie retrouve déjà sa place chez elle, elle pourra peut être ensuite prendre une place en Afrique..mais c'est pas pour demain! Comment prétendre faire bonne figure en Afrique quand rien ne va chez soi?
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BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
beaucoup de monde sur le trajet du Roi depuis l’aéroport : "Vive notre Roi" criaient des maliens
un copain malien me l'a confirmé et RFI vient de l'annoncer dans ses journaux...
Je l'ai entendu en direct de la bouche de serge daniel le correspondant de RFI à Bamako
Citation :
MALI Quand le Maroc supplante l'Algérie
A peine quatre mois après sa dernière visite, le roi du Maroc est de retour pour trois jours à Bamako. Longtemps spectateur attentif de la crise au Sahel, Mohamed VI en est désormais un acteur clé. Explications. Novembre 2013 : les ministres des Affaires étrangères de 19 pays – dont la France, la Libye et le Mali – approuvent un accord sur la création, très probablement dans la capitale marocaine, d’un centre de formation conjoint pour le personnel en charge de la sécurité aux frontières. Connu sous le nom de Déclaration de Rabat, cet accord est l’aboutissement des importants efforts du Maroc pour affirmer sa présence dans le domaine de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme en Afrique du Nord.
Cette nouvelle politique étrangère s'inscrit à la suite des troubles de ces deux dernières années au Mali, pays qui, jusqu’à une date récente, relevait de la sphère d’influence d’un voisin beaucoup plus grand que le Maroc, l’Algérie. Face à la crise malienne – une rébellion tribale suivie d’un coup d’Etat militaire et d’une occupation djihadiste qui a provoqué l’intervention de l'armée française –, les dirigeants politiques et les experts se sont focalisés sur l’occasion qui s’offrait à l’Algérie, forte de sa puissance militaire et de sa formidable capacité de renseignements, de jouer un rôle dans le règlement du conflit. Mais ils ont été déçus.
L'Algérie engluée dans ses luttes internes
Bien que la concentration de terroristes le long de la frontière algéro-malienne fût un héritage de la guerre civile algérienne des années 1990, quand les islamistes armés avaient été repoussés des secteurs les plus peuplés du pays vers les zones désertiques de l’extrême sud et du nord du Mali, l’Algérie est restée en dehors du conflit, absorbée par sa politique intérieure et ses intérêts internes. Elle s’est essentiellement concentrée sur la lutte de pouvoir entre le puissant Département du renseignement et de la sécurité – un faiseur de rois – et l’élite du Front de libération nationale (FLN), le parti au pouvoir dirigé par le président septuagénaire Abdelaziz Bouteflika.
Le Maroc, au contraire, s’est empressé d’apporter son soutien à l’intervention française au Mali. En comblant le vide, il a pris un avantage dans sa lutte avec l’Algérie pour dominer la région. Des perspectives jusque-là inenvisageables – exercer une influence et nouer des liens bilatéraux avec des pays du Sahel sans que l’Algérie soit impliquée – sont désormais à sa portée.
Le Maroc longtemps exclu
En raison de son ancienne rivalité avec l’Algérie, le Maroc est exclu d’un grand nombre d’initiatives régionales. Il n’est pas membre, par exemple, du Comité des chefs d’état-major – dont le siège est installé en Algérie – qui coordonne les opérations antiterroristes de l’Algérie, du Mali, de la Mauritanie et du Niger. Cette exclusion a eu pour effet de saper les perspectives d’une plus grande cohésion dans les réponses multilatérales à l’extrémisme.
De ce fait, le Maroc a des raisons géostratégiques, économiques et peut-être même expansionnistes de vouloir accroître sa visibilité en Afrique du Nord. Mais si ses motivations sont également axées sur la sécurité – il tient à stopper l’expansion de l’islamisme armé dans les zones frontalières du Sahel –, le Maroc n’a qu’une carte à jouer avec les radicaux : l’autorité religieuse. Son roi, Mohammed VI, a développé certaines de ses actions au Mali en offrant par exemple des bourses religieuses aux jeunes Maliens pour qu’ils puissent étudier dans les universités marocaines. En leur garantissant une formation, il cherche à combattre les idéologies radicales et à accroître la tolérance, mais aussi à dispenser un enseignement universitaire sur un large éventail de sujets, de l’histoire et de la géographie à l’Etat et aux droits de l’homme.
Cette initiative et d’autres devraient renforcer l’école malékite, une branche modérée de l’islam, et, ainsi, conforter le pays dans l’espoir de couper l’herbe sous le pied de l’extrémisme islamique, au lieu de se contenter de réagir à ses attaques. Mohammed VI n’a pas eu de difficulté à faire appliquer sa politique religieuse au Maroc, car l’Etat a une forte mainmise sur la religion, imposant les heures d'ouverture des mosquées, exigeant que tous les imams soient diplômés et filtrant les fatwas [consignes données aux fidèles par une autorité religieuse] étrangères pour restreindre l’influence de l’islamisme dans le pays.
Cette emprise de l’Etat a limité la formation de groupes salafistes par rapport aux pays voisins et permis au gouvernement de tenter de récupérer des chefs salafistes. Des maisons d’édition contrôlées par l’Etat ont lancé un programme d’impression du Coran à l’intention des mosquées du Maroc, de l’Europe et de pays d’Afrique de l’Ouest. Le Maroc souhaite étendre au Mali ce modèle de pratique religieuse standardisée et contrôlée par l’Etat et devenir un exportateur de cet islam tolérant.
Combattre l'intégrisme par l'instruction
En septembre 2013, les deux pays ont signé un accord sur la formation religieuse de 500 imams maliens au Maroc pour contrer les prédicateurs pakistanais et saoudiens radicaux qui ont construit des madrasa [écoles religieuses] et des mosquées au Mali. Dans ce pays comme dans tout le Sahel, les courants fondamentalistes salafiste et wahhabite ont peu à peu remplacé le soufisme plus modéré.
Si cette initiative est couronnée de succès, le Maroc pourrait exercer une plus grande influence au Mali et dans tout le Sahel. Mais il pourrait toujours nourrir des espoirs irrédentistes d’un Grand Maroc englobant la bordure occidentale du désert algérien, la Mauritanie, le nord-ouest du Mali et le Sahara-Occidental. Ce concept est né après l’indépendance du pays, dans les années 1950, quand les nationalistes marocains voulaient rétablir les frontières précoloniales du sultanat marocain.
Non content de conclure des accords sécuritaires et religieux avec le Mali, le Maroc, pays pauvre en pétrole et autres ressources naturelles, a également cherché à renforcer ses liens économiques avec ses voisins méridionaux. Ainsi, il a créé des filiales de ses banques au Mali et au Sénégal. L’une d’elles, l’Attijariwafa Bank, a pris une participation de plus de 50 % dans la Banque internationale du Mali. Maroc Telecom, un groupe contrôlé par l’Etat, a racheté des entreprises de télécommunications au Mali, en Mauritanie et au Niger et il a des filiales au Burkina Faso. L’Office chérifien des phosphates (OCP), autre entreprise contrôlée par l’Etat, a intensifié ses recherches de phosphates dans l’est du Mali (et encouragé par la même occasion la sécurité alimentaire dans ce pays).
Deals économiques
Le Mali possède d’autres ressources naturelles qui pourraient être convoitées par les industries marocaines, en particulier l’or, l’uranium, le fer et les diamants. Seul l’avenir nous dira si le Maroc traitera le Mali comme un partenaire à part entière ou comme un satellite. Avec toute l’influence qu’il devrait exercer sur lui, on peut se demander si le président du Mali, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), n’aurait pas intérêt à négocier un accord de compensation au cas où, par exemple, des compagnies marocaines découvriraient d’abondantes réserves de ressources naturelles sur le sol malien. Mais l’ombre d’un voisin beaucoup plus grand que le Maroc, l’Algérie, continue de planer sur le Mali. Si l’Algérie devient moins distante et préoccupée par ses problèmes internes, ou si une instabilité accrue le long de ses frontières contraint son gouvernement à diriger son regard vers l’extérieur et à jouer un rôle régional plus important, elle pourrait s'imposer face à la politique étrangère de conquête par le soft power menée par le Maroc. maléki L’Algérie demeure en effet la principale puissance économique et sécuritaire de la région. Elle a une frontière longue et perméable avec le Mali. En voyant les intérêts marocains prospérer de l’autre côté de cette frontière, elle pourrait être amenée à sortir de son indifférence. Mais le Maroc s’est attribué un rôle de médiateur religieux régional, et, dans ce domaine, l’Algérie ne peut pas le supplanter. Grâce aux liens religieux historiques de leurs pays, Fès et Tombouctou ont été les deux grands centres du monde islamique occidental pour la jurisprudence et l’apprentissage malékites : le Maroc n’aura donc aucune difficulté à vendre sa doctrine religieuse aux Maliens modérés, qui n’y verront sans doute pas une ingérence étrangère, comme ils le feraient face à une intervention occidentale de longue durée. Bien sûr, il faudra peut-être des années pour mener la déradicalisation.
De nombreuses forces de déstabilisation ont fait irruption au Mali en semant la destruction dans leur sillage. Mais, pour que le pays connaisse une stabilité et une réussite à long terme, il lui faudra un partenaire qui comprenne sa culture et son identité religieuse et qui puisse redynamiser une société qui, malgré ses désordres, continue à résister à l’extrémisme et aux idéologies violentes. Même si le Mali peut devenir le satellite d’une autre puissance d’Afrique du Nord, la mobilisation du Maroc est la meilleure chance de déloger de l’intérieur l’extrémisme dans la région.
FOREIGN AFFAIRS | VISH SAKTHIVEL
Courrier international http://www.courrierinternational.com/article/2014/02/17/quand-le-maroc-supplante-l-algerie?page=all
Source de l'article pour ceux qui voudrais en dénigrer l'analyse Foreign Affairs
Le journal
Publié à New York depuis 1922, ce magazine est une référence mondiale en matière de relations internationales. Organe de l'influent Council on Foreign Relations, il contribue à confronter analyses de chercheurs et de politiciens… et à faire émerger la prochaine politique étrangère américaine.
Par son lectorat comme par la qualité des contributions, Foreign Affairs reste inégalé au sein du vaste champ des magazines de politique étrangère. Il joue pleinement son rôle de “think tank”, renouvelant la réflexion sur les questions stratégiques aux Etats-Unis, et structurant les réflexions sur la politique étrangère à l'échelle du monde. Fruit d'une volonté des responsables américains de mieux comprendre les problèmes internationaux après la Première Guerre mondiale, Foreign Affairs a su, par son indépendance, sa rigueur et son exigence, rester aux avant-postes. De Wilson à Kissinger, les plus grands noms de la diplomatie américaine sont en effet passés par cette revue. Sa qualité a peut-être baissé, même si le tirage actuel reste très honorable. http://www.courrierinternational.com/notule-source/foreign-affairs
Mohamed VI est arrivé ce mardi 18 février à Bamako pour une visite d’Etat qui va durer cinq jours. A son arrivée, le souverain a été accueilli par le président Ibrahim Boubacar Keïta, qui a personnellement invité le roi du Maroc. Depuis l’élection d’IBK, l’été dernier, les deux pays ont amorcé un rapide et important rapprochement.
Ambiance de fête à l’aéroport de Bamako lors de l’arrivée du roi du Maroc. Salve de 21 coups de canons ! Véritable bain de foule, spectacle offert par des danseurs Dogons, grande bousculade, il n’empêche l’hôte du jour et le président malien avaient le sourire aux lèvres. Ensuite, le cortège s’est dirigé vers le centre-ville de Bamako. Des milliers de personnes amassées le long de la route, scandaient « vive le roi », « vive notre roi ». Drapé dans une tenue traditionnelle, le roi du Maroc a tour à tour répondu de la main ou sourit.
Ce mercredi sera consacré aux opérateurs économiques marocains et maliens. Il s'agira de renforcer les coopérations entre les deux pays dans ce domaine. Jeudi, un entretien officiel aura lieu entre les président Ibrahim Boubacar Keïta et le roi Mohammed VI.
Les enjeux de cette visite sont nombreux et très différents. Ils sont d’abord économiques : services aériens, élevage, hôpitaux, électrification, aménagements hydrauliques… Au moins neuf conventions et protocoles d’accord seront signés pendant ce séjour. Ils permettront de renforcer les échanges et la coopération entre le Maroc et le Mali.
Mohamed VI n’arrive donc pas à Bamako les mains vides. Il arrive d’ailleurs très entouré, avec une délégation d’une centaine de personnes, ministres et chefs d’entreprises. Le Maroc compte se positionner sur le marché de la reconstruction du Mali, pour laquelle les bailleurs ont promis plus de trois milliards d’euros.
Les enjeux sont également diplomatiques, avec un objectif très clair : supplanter l’Algérie en devenant le nouveau partenaire privilégié du Mali au Maghreb. Pour cela, Mohamed VI entend jouer sur la fibre religieuse, en mettant en avant l’islam malékite, partagé par les deux alliés et qui se veut particulièrement tolérant. En novembre dernier, un accord avait d’ailleurs déjà été signé pour la formation de 500 imams maliens au Maroc.
Enfin, le Mali qui soutenait la RASD (République arabe sahraouie démocratique), s'est aujourd'hui rangé du côté du processus de l'ONU en faveur d'une solution consensuelle concernant l'avenir du Sahara occidental.
De plus, alors que le processus de paix dans le nord du Mali vient d’être relancé, Mohamed VI pourrait tenter de jouer un rôle nouveau, celui de médiateur entre l’Etat malien et les groupes rebelles.
On sait que Mohamed VI entretient d’excellents rapports avec le président malien IBK, et qu’il a par ailleurs déjà pris langue avec les rebelles touaregs du MNLA. Le rôle du Maroc dans les discussions sur le nord du Mali pourrait donc être amené à prendre de l’importance, même si cet objectif n’est évidemment pas mentionné dans le programme officiel.
La politique étrangère marocaine n'a jamais fait bon ménage avec les effets de manche, ni avec les déclarations tonitruantes. La réception très médiatisée du chef des Touaregs maliens du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) au palais royal de Marrakech, le 31 janvier, et la mission de bons offices menée par Mohammed VI entre ce mouvement autonomiste et les autorités de Bamako ont donc surpris les observateurs, qui ont aussitôt inscrit cette initiative dans le cadre de la rivalité algéro-marocaine. À tort ? Disons que cette approche n'est pas fausse, mais qu'elle est réductrice. Il existe en effet une vraie politique sahélienne du Maroc, dont la caractéristique est d'être multidimensionnelle, à la différence de celle menée par l'Algérie, avant tout sécuritaire. Voulu et décliné par le roi lui-même, l'engagement marocain au sud de La Gouera s'articule autour de quatre axes.
Militaire.C'est l'un des non-dits de l'opération Serval au Mali, mais l'appui apporté par Rabat aux troupes franco-tchadiennes en guerre contre les jihadistes en 2013 n'a pas été que diplomatique. Il a été, aussi, opérationnel. Dans la plus grande discrétion, des forces spéciales marocaines ont été engagées sur le terrain. Et le Maroc a intensifié ses programmes de formation, dans les écoles militaires, des cadres issus des armées de plusieurs pays de la région.
Spirituel. L'Afrique de l'Ouest est une plateforme religieuse de 190 millions de musulmans, auprès desquels l'islamisme radical fait volontiers son marché. Dans ce contexte volatile, l'islam malékite et le référentiel soufi prônés par le Maroc constituent un vrai contrepoids et un vrai levier d'influence. Le programme de formation de 500 imams maliens au Maroc et celui visant à construire et à rénover plusieurs dizaines de mosquées au Mali, en Guinée, au Sénégal et au Bénin sont deux des applications de cette politique.
Social. La grande pauvreté étant l'un des principaux pourvoyeurs de munitions dans l'arsenal dont disposent les jihadistes, la coopération marocaine a beaucoup investi depuis quinze ans dans des projets de sécurité alimentaire et sanitaire, où son expertise est reconnue : gestion de l'eau, élevage, création de centres de soins. Pays cibles, le Niger et le Burkina. En préparation, par ailleurs : un vaste programme opérationnel de remise à niveau, au Maroc, de plusieurs centaines de hauts fonctionnaires et responsables administratifs sahéliens.
Politique. C'est à la demande du MNLA, qui a en quelque sorte rompu avec l'Algérie, et avec l'accord d'Ibrahim Boubacar Keïta que Mohammed VI a reçu le secrétaire général du mouvement touareg. L'objectif est également de rapprocher IBK de Blaise Compaoré, dont la médiation est rejetée par Bamako depuis quelques mois. L'inclusion du Maroc dans la crise sahélienne, en particulier malienne, s'appuie donc sur une politique à long terme. Souhaitée par tous les acteurs (à l'exception de l'Algérie), y compris par la France et les États-Unis, elle met un terme à une anomalie. Longtemps, Alger a tenu Rabat à l'écart de tout processus de règlement des conflits dans la zone sahélo-saharienne, allant jusqu'à chercher à lui disputer le leadership religieux dans cette région (on se souvient du congrès de la confrérie Tidjaniya organisé fin 2005 en Algérie). C'était oublier un peu vite que la sécurité du royaume, dans toute sa partie méridionale, est directement concernée par cette situation. En intervenant à Tombouctou, Mohammed VI défend aussi Laayoune.
Pchakh article magnifique , il relate exactement la stratégie marocaine , et le KO mit a l'Algérie dans la région . J'adore la conclusion de l'article : "En intervenant a Tombouctou , Mohamed VI défend aussi Laayoune" . Eh oui , bien vu
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Pchakh article magnifique , il relate exactement la stratégie marocaine , et le KO mit a l'Algérie dans la région . J'adore la conclusion de l'article : "En intervenant a Tombouctou , Mohamed VI défend aussi Laayoune" . Eh oui , bien vu
Je n'ai bien sur aucune source à citer mais comme pour le Mali, je sais de source sure que pour la prise de Tripoli aussi il y a eu participations de troupes Marocaines (ça me faisait rire d'entendre parler de forces spéciales qataries...)
klan General de Brigade
messages : 3864 Inscrit le : 22/05/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Merci pour les vidéos. Ça fait vraiment plaisir, de voir cet engouement pour la venue de notre Roi au Mali. Y a vraiment quelque chose à faire dans cette région subsaharienne.