Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeJeu 2 Fév 2012 - 7:51

Rappel du premier message :

LE FISC,CA RAPPORTE:
170 milliards de DH de recettes fiscales en 2011,jamais l etat n a engrangé autant,cela permettera d atténuer grandement le déficit budgetaire,ces recettes ont été realisées malgré le maintien des taux d imposition réstés les memes.
Maintenant ,si l actuel gouvernement combat efficacement la fraude fiscale dans ses divers aspects et qu il réussisse a élargir l assiette fiscale aux unités productives de l informel (dont le nombre avoisine UN MILLION selon le DEPF:département des etudes
et previsions financieres)le budget de l etat encaissera une somme encore plus substantielle.
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Yakuza
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Yakuza


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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeMer 18 Avr 2012 - 11:36

normal puisque..
Citation :
17-04-2012
Maghreb: les atouts du Maroc selon Lefèvre Pelletier
Algérie - Maroc - Tunisie - Conjoncture - Marchés étrangers - Réglementations

Le Maroc est bien placé par rapport à l'Algérie et à la Tunisie pour les opportunités d'affaires, a souligné le 12 avril le cabinet d'avocats Lefèvre Pelletier
à l'occasion d'une conférence organisée sur "l'évolution de l'environnement des affaires au Maghreb en 2011, perspectives et opportunités 2012". « Le Maroc est un pays de commerçants qui sait se vendre, et où les investissements étrangers demeurent une priorité », a rappelé Alain Gauvin, associé au bureau Maroc de Lefèvre Pelletier. « En matière d’investissement, le Maroc, explique-t-il, est beaucoup plus proche des standards européens que des standards africains ou de ceux des pays voisins. ».

« Sur le plan géographique, poursuit-il, le Maroc est une exception. Il est le seul Etat du pourtour méditerranéen à bénéficier du statut avancé qui permet de créer un grand espace réglementaire et économique libre ». Sur le plan économique, il est une exception avec un taux de croissance annuel moyen de 4,9 % en 2011. « Le Maroc n’a pas de pétrole, mais il a du soleil et du vent », précise Alain Gauvin. Le pays est tourné vers l’avenir avec des projets de 9 milliards d’euros dans le solaire et de 70 milliards d’euros dans les infrastructures.

Et avec plus de 80 sociétés cotées pour une capitalisation de 516 milliards de dirhams (46 milliards d'euros), le Maroc constitue une place boursière émergente, mais dynamique. A cela s’ajoutent des financements effectués sans garanties qui témoignent de la confiance des investisseurs étrangers. Ces derniers, indique Alain Gauvin, sont les bienvenus au Maroc. Le pays possède en effet des zones dédiées à l'investissement étranger. Les zones onshore du Maroc bénéficient des règles d’investissement de droit commun prévues par la charte d’investissement et les lois de finance successives. Les zones franches d’exportation, instituées par la Loi 19-94, elles, permettent aux exportateurs d’exercer des activités industrielles et de services. Ces zones ne sont pas soumises à la réglementation douanière et aux réglementations relatives au contrôle du commerce extérieur et de change.

En Tunisie, l'environnement des affaires post-révolution, informe Maya Boureghda Chebeane, du cabinet tunisien Jurismed, s'illustre par une nouvelle instance de lutte contre la corruption mise en place pour assurer une transparence dans les marchés publics. Le pays présente en effet des opportunités dans l’immobilier où beaucoup de grands projets sont en train d’être élaborés avec les pays du Golfe notamment. Autre secteur porteur, les infrastructures où des projets sont en cours pour œuvrer au développement régional. Aussi, pour financer et exploiter les grands projets, le pays a recours aux partenariats public privé. L’Etat, explique l'avocate, n’a pas les moyens, il doit faire appel au privé pour développer plusieurs projets publics qui vont des infrastructures, en passant par l’énergie jusqu’aux gros projets archéologiques. Une autre opportunité réside dans l'amélioration du cadre juridique de l’investissement visant à assurer une continuité du régime attractif pour les investissements étrangers. La Tunisie, conclut Maya Boureghda Chebeane, est un pays jeune et moderne avec des secteurs à forte valeur ajoutée.

Pour l'Algérie, « sur le plan économique, indique, pour sa part, Vincent Lunel, avocat associé Lefèvre Pelletier à Alger, la situation est fragile, mais elle est bonne ». L’année 2011 est une année record avec un montant des investissements étrangers de 4,3 milliards d’euros et 24 projets étrangers représentant 33 % de l'ensemble des investissements. En matière de facilité pour faire des affaires, l'Algérie arrive à la 148e place du classement Doing Business. « Le niveau de risque est élevé, assure Vincent Lunel, mais le niveau de profit est important. » C'est qu'à la différence de ses deux voisins, l'Algérie possède une rente pétrolière.

Toutefois, la nécessité de rassurer les investisseurs étrangers est primordiale. Dans ce sens plusieurs avancées législatives, s’inscrivant dans la continuité des dernières années, ont été observées : des efforts dans le domaine de la lutte contre la corruption, des mesures de promotion de l’investissement foncier, des dispositions favorisant l’accès à l’investissement pour les PME, un allègement des charges patronales ainsi que des évolutions décisives en matière de marchés publics. Un conseil, « si l'on veut faire des affaires en Algérie, il faut connaître sur le bout des doigts le code des marchés publics », prévient Vincent Lunel.
http://www.lemoci.com/011-62215-Des-opportunites-dans-le-Maghreb-de-l-apres-revolution.html

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeMer 18 Avr 2012 - 17:16

Citation :
La technologie version BMCE

Économie marocaine - Page 10 Bmce


Le premier bébé du partenariat commercial ficelé en 2008 entre BMCE Bank, RMA-Watanya et le Crédit Mutuel-CIC a enfin vu le jour. Il n’est autre que BMCE Direct, la nouvelle génération de solutions de banque à distance sécurisée, élargissant l’offre sur les canaux Web, le serveur vocal et les smartphones. «On veut donner une image technique au groupe BMCE qui, en lançant cette filière multicanal, permet de toucher du doigt un produit phare que propose le groupe BMCE Bank», a lancé Brahim Benjelloun Touimi, administrateur directeur général délégué de BMCE bank, lors de la conférence de presse organisée, hier, dans les locaux de la banque. D’un coût qui dépasse les 20 MDH, cette offre gratuite s’inscrit dans le cadre de la stratégie multicanal de BMCE Bank, en phase avec les tendances actuelles et les évolutions futures dans le domaine bancaire, au niveau des services et des points de contact avec la clientèle. «C’est un tiers de notre clientèle qui est constitué notamment de particuliers, de PME et de grandes entreprises qui y souscrivent. Aujourd’hui, on peut se targuer de proposer tous les services de la banque à distance», a enchaîné Brahim Benjelloun Touimi. En souscrivant gratuitement à BMCE Direct, les clients particuliers, professionnels et Marocains résidents à l’étranger (MRE) ont la possibilité de consulter à tout moment leur situation financière en temps réel et de procéder à des opérations bancaires courantes en ligne : virements nationaux et internationaux, consultation des comptes, titres, crédits, avis d’opérés et impayés... En plus de ces services, BMCE Direct propose aux entreprises d’autres fonctionnalités, telles que la situation des crédits, les opérations à venir, le téléchargement des avis d’opérés, l’initiation et le suivi des opérations à l’international... Bref, le groupe bancaire, qui est le premier à lancer une telle innovation sur la place, ambitionne de capter une clientèle plus large et plus diversifiée. Ceci dans un marché où 35% des ménages disposent d’un accès à Internet, avec 4% seulement qui utilisent ce canal pour leur relation avec la banque. Quant au marché de la téléphonie mobile marqué par un taux de pénétration de 113%, il compte près de 1 million de smartphones. Pour dire que le potentiel est énorme pour ce groupe bancaire qui mise gros sur sa stratégie multicanal pour un meilleur développement des services. «La banque a lancé des investissements très importants pour se doter d’un système d’information performant. Il a, d’ailleurs, fallu près de 18 mois pour le lancement de BMCE Direct, sachant que le canal internet était disponible il y a 12 mois. Nous avons équipé les clients qui l’ont demandé. Ce n’est que 6 mois plus tard que nous avons lancé les applications sur smartphones», a précisé Mounir Chraibi, directeur général en charge IT &Process Group. Côté sécurité des informations et des opérations sur BMCE Direct, cette offre répond aux normes et auxprotocoles internationaux. L’utilisateur accède à ses services à distance à travers trois niveaux de sécurité : login et mot de passe, matrice de clés personnelles et code à usage unique à recevoir par SMS ou par e-mail.

les echos
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Ichkirne
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 20 Avr 2012 - 12:02

Citation :
Le Maroc, royaume de la sous-traitance

Enquête

Dopées par l'arrivée de Bombardier et les commandes d'Airbus, les PME françaises multiplient les investissements à Tanger et à Casablanca.

L'euphorie s'est emparée du Maroc! Au dernier salon aéronautique de Marrakech qui s'est tenu début avril, les industriels avaient dans leurs cartons des projets avancés d'agrandissement ou de création d'usines, d'embauches, de lancement d'activités... Pour leur très grande majorité, il s'agit de filiales d'entreprises françaises (Lisi, Le Piston français - groupe SERMP -, Mecachrome, Segula Technologies...) qui se sont implantées dans le royaume dans les années 2000 pour suivre leurs grands donneurs d'ordres comme Aircelle, Labinal, Daher, entre autres. La « french connection » assure ainsi 90% des bataillons du Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (Gimas), qui s'est inspiré, pour son organisation, de son homologue français, le Gifas. Déjà dopés par les commandes en forte hausse d'Airbus que leur transfère leur maison mère, ces sous-traitants se réjouissent de l'arrivée annoncée de Bombardier. En 2013, le canadien ouvrira à Casablanca une usine d'assemblage de structures simples. Un investissement de 200 millions de dollars (plus de 153 millions d'euros). Autre bonne nouvelle : Aerolia, qui fabrique les pointes avant des Airbus, pourrait aussi s'installer dans le royaume. Autant d'opportunités d'affaires que ces entreprises ne veulent manquer à aucun prix. « Le marché est porteur. On a énormément de sollicitations », explique Bruno Vazzoler, le président du département aéronautique et défense de Segula Technologies. Sa filiale marocaine d'une centaine de personnes compte ainsi tripler ses capacités de production et développer son offre de tôlerie et de prestations de traitement de surface sur la technopole de Casablanca. L'entreprise y consacrera un investissement d'environ 5 millions d'euros.

Elle n'est pas la seule à investir. Indraero, installé près de Châteauroux (Indre), veut faire passer son effectif de Tanger de 150 à 200 salariés. Le fabricant de pièces élémentaires Mecachrome et son partenaire L'Électrolyse y ouvriront cet été une unité de traitement de surface pour pièces de grandes dimensions. Et feront passer le nombre de salariés de leurs filiales de 60 à 120. Le Piston français mène un projet industriel important à Casablanca. Pour augmenter sa production de pièces de moteurs, de structure, d'équipements de freins et de cockpits, il lancera l'an prochain un projet d'extension d'usine de 3 000 mètres carrés, de quoi doubler sa surface. « Cela répond à nos besoins de croissance, explique Vincent Fontaine le directeur de l'usine. Nous visons un chiffre d'affaires de 12 millions d'euros en 2015, contre 7,1 millions l'an dernier. » Ces initiatives sont représentatives de l'enthousiasme de l'industrie aéronautique marocaine.

Gains de compétitivité

Le Maroc est une destination industrielle prisée à plus d'un titre. Tout d'abord, pour ses bas coûts de main-d'oeuvre. Le salaire minimum marocain, même s'il progresse sous la pression sociale, est de 2 500 dirhams, soit quelque 200 euros. Une aubaine pour les industriels en quête de points de compétitivité. « C'est simple, les clients demandaient des rabais à deux chiffres, explique un industriel. Soit on trouvait des moyens de baisser nos coûts, soit les marchés partaient en Chine ou en Russie. Nous développer au Maroc, c'est un moyen de garder les productions. » Ainsi, des gains de compétitivité de 20% à 30% sont constatés sur les pièces à forte activité de main-d'oeuvre. Le développement dans le pays ne se ferait toutefois pas au détriment de l'investissement en France. « Grâce à la compétitivité du Maroc, nous prenons des nouveaux marchés et nous développons des emplois en France », affirme Bruno Vazzoler, de Segula Technologies. D'ailleurs, si sa société se développe au Maroc, elle continue d'investir significativement dans l'Hexagone, où elle a enregistré 15% de croissance l'an passé. L'ingénieriste industriel vient d'annoncer la création d'une usine de 12 000 mètres carrés à Albert, en Picardie, voisin de l'établissement de son client Aerolia pour l'assemblage de panneaux. Entre les usines françaises et marocaines les tâches sont tout simplement partagées. « Les pièces qui nécessitent beaucoup d'intensité capitalistique et une forte technicité, ainsi que les assemblages finaux sont réalisés en France, indique Arnaud de Ponnat, le directeur industriel de Mecachrome. En revanche, les activités à forte intensité de main-d'oeuvre, comme le formage, le perçage, le ragréage et l'assemblage de sous-ensembles de petite et moyenne dimension, sont réalisées au Maroc. »

Atouts majeurs

Avec d'autres atouts, comme la grande diffusion de la langue française ou une logistique efficace, le Maroc s'est rapidement développé. « Aujourd'hui, une centaine d'entreprises aéronautiques sont installées sur le territoire, se félicite Hamid Benbrahim El-Andaloussi, le président du Gimas. Cette industrie représente environ près de 10 000 salariés, contre moins de 2 000 il y a sept ans! » Le secteur a réalisé en 2011 un chiffre d'affaires à l'exportation de 1 milliard de dollars (plus de 760 millions d'euros) et enregistre une croissance moyenne annuelle comprise entre 15% et 20%. À ce rythme, les ambitions marocaines de s'imposer comme la plate-forme low cost de référence aux portes de l'Europe sont grandes. « Nous voulons doubler de taille d'ici à sept ans », poursuit le patron du Gimas. Le pays met les moyens : l'an prochain une zone franche industrielle, le Midparc, ouvrira à Casablanca. Sa vocation ? Aider les plus petites PME à franchir la Méditerranée. Elles pourront louer des terrains, des bâtiments et même des ateliers de production provisoires... L'État marocain investira 400 millions d'euros.

Le recrutement de personnel formé reste le point le plus délicat. Aujourd'hui, les sous-traitants forment à leurs frais les techniciens qui leur font défaut. Il faut compter environ un mois pour un spécialiste du formage de pièces, trois à quatre mois dans le domaine de l'usinage. Tous saluent la création en 2010 de l'Institut des métiers de l'aéronautique (IMA) et se réjouissent à l'idée que 1 000 techniciens en sortiront chaque année avec leur soutien et en alternance [lire page 35]. Une fois recrutés, ce sera un défi de les garder, comme l'a montré la récente installation de Renault à Tanger. « Cela a créé un appel d'air, explique un industriel implanté à Tanger. Le turn-over est monté en flèche. Il a dépassé 10%. Aujourd'hui, les choses se sont calmées : le taux est redescendu sous les 3%. »

Projets complets

Confiants dans le développement du secteur au Maroc, les industriels ont commencé à monter en gamme. « On a investi il y a deux ans dans l'une des usines les plus modernes de traitement de surface, explique Philippe Parpant, chargé des produits internationaux chez Lisi Aerospace Creuzet. Elle est automatisée et répond aux certifications exigées par les grands clients comme Airbus, Bombardier, Eurocopter, Boeing... » Le Piston français, lui, a misé sur son bureau des méthodes. « Nous ne sommes pas un site de délestage pour les autres usines du groupe, explique Vincent Fontaine. Nous assurons nos propres industrialisations. Notre bureau des méthodes, qui compte une quinzaine de personnes, gère les projets, de l'étude de faisabilité aux préséries, en passant par la programmation de nos machines d'usinage et l'estimation du coût de fabrication. »

Le pays veut dépasser le statut de base industrielle low cost. Le futur Midparc vise ainsi à attirer des expertises : logiciels embarqués, technologies de défense et de sécurité, activités spatiales. Dans ce dernier domaine, le chemin sera long. « Le spatial nécessite des compétences très pointues, avec le niveau ingénieur au minimum », souligne Ghislain de la Sayette, le directeur export pour l'Afrique chez Astrium, qui disposait pour la première fois d'un stand au salon de Marrakech.

Pas de quoi doucher l'optimisme du patron du Gimas qui déclare : « Le phénomène de colocalisation va aller au-delà des métiers de main-d'oeuvre. Elle va toucher l'ingénierie et la R et D du fait de la pénurie d'ingénieurs en Europe. » Une prédiction en passe de se réaliser. Une division d'ingénierie de Safran et de sa filiale Morpho, spécialiste de la sécurité numérique, a déjà pris pied dans le royaume.

L'IMA FORME ET ASSOCIE LES INDUSTRIELS

Bientôt, 1 000 techniciens sortiront par an de l'Institut des métiers de l'aéronautique (IMA).


Il ne pouvait pas être mieux placé. L'Institut des métiers de l'aéronautique (IMA) fait face à la zone industrielle aéronautique de Nouasseur, jouxtant l'aéroport Mohamed V de Casablanca. Les principaux sous-traitants du secteur ont ainsi pu embaucher cette année 300 techniciens formés et opérationnels. Et leurs besoins vont bien au-delà. « Nous avons accéléré notre plan de marche. Nous avions prévu de former 550 jeunes par an dès 2015, on sera déjà à 1 000 à cet horizon », explique Abdelbasset Bentoumi, le directeur général de l'institut. L'IMA dispense des formations techniques dans les domaines les plus demandés par les industriels : chaudronnerie, ajustage et montage, usinage à commande numérique, câblage... À côté du bâtiment des salles de cours, un hall d'usine de 2 300 mètres carrés dispose des machines et de l'outillage utilisés par l'industrie. Durant six à onze mois, l'étudiant passe la moitié de son temps à l'institut et l'autre moitié chez son futur employeur. Le plus dur reste d'intégrer l'établissement : « On reçoit une cinquantaine de CV par jour. Seul un candidat sur huit sera retenu », souligne le directeur. Une bonne maîtrise du français est un sérieux atout. En effet, le recruteur sera sûrement l'un des nombreux industriels venus de France pour s'implanter au Maroc. D'ailleurs, l'établissement est issu d'un partenariat entre l'état marocain et l'Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM). « L'institut est au service des industriels, rappelle Abdelbasset Bentoumi. Nous savons nous adapter. » Ainsi, lorsque Zodiac a fait part d'un besoin pour recruter des techniciens de bureau d'études, l'IMA a monté la formation adéquate. Preuve de sa reconnaissance : des représentants de l'avionneur Bombardier sont passés quelques semaines avant de prendre la décision d'implanter une usine dans le royaume.

LES ATTRAITS DU PAYS

Son tissu industriel Une centaine de sous-traitants aéronautiques, 1 milliard de dollars de chiffre d'affaires
Sa proximité Géographique et linguistique
Ses facilités d'implantation Zones franches, administration simplifiée...
Son Smic Quelque 200 euros

Opportunités d'expatriation pour cadres

Les nombreux projets de création d'usines au Maroc sont autant d'opportunités professionnelles pour des cadres supérieurs. Comme celle qu'a su saisir Vincent Fontaine, le directeur industriel du site de Casablanca du Piston français (groupe SERMP) depuis trois ans. À tout juste 33 ans, il dirige une équipe d'une centaine de personnes. D'autant plus que les entreprises installées et celles qui sont attendues cherchent en effet à étoffer leur management (qualité, achats, organisation industrielle...). Des profils encore difficiles à recruter dans le royaume parmi la population locale. Mais il faut faire vite, les établissements de formation commencent à répondre à la demande localement!

http://www.usinenouvelle.com/article/le-maroc-royaume-de-la-sous-traitance.N172990
Citation :
Maroc - Coca-Cola investit dans une nouvelle usine de jus à Nouaceur

Coca-Cola Maroc a investi 50 millions de dollars dans son usine de Nouaceur pour la nouvelle ligne de production du dernier-né de sa marque Miami, le jus «Pulpy». Ce nouveau produit sera présenté pour la première fois à l’occasion de la 7e édition du Salon international de l’agriculture qui se tiendra, du 25 au 29 avril, à Meknès.

Il est à noter que pour l’année 2012 Coca-Cola Maroc annonce un investissement total de 100 millions de dollars pour l’ensemble de ses activités au Maroc.
Selon Coca-Cola Maroc, le jus «Pulpy» est «une nouvelle expérience sensorielle pour le consommateur».

L’usine de Nouaceur s’inscrit dans la plateforme «Live Positively» de Coca-Cola, un programme citoyen fondé sur sept piliers fondamentaux qui traduisent l’engagement de la compagnie envers la communauté, l’environnement, l’eau, l’intégrité du produit, le conditionnement, une vie saine et active et les bonnes conditions de travail. (MAP)

http://www.maghrebemergent.com/actualite/fil-maghreb/11244-maroc-coca-cola-investit-dans-une-nouvelle-usine-de-jus-voit-le-jour-a-nouaceur.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 20 Avr 2012 - 14:24

Citation :
Les prévisions du FMI placent le Maroc en tête des pays de la région MENA !

Le produit intérieur brut (PIB) au Maroc devrait progresser de 4,3% en 2013, contre 3,7% en 2012, selon les prévisions économiques de printemps rendues publiques par le Fonds monétaire international (FMI). Ce taux du PIB prévu pour le Royaume en 2013 sera, selon le FMI, l'un des plus hauts dans la région Moyen Orient et Afrique du Nord (MENA), dont beaucoup de pays devraient enregistrer une croissance économique inférieure à 4% durant la même année. A suivre !

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 20 Avr 2012 - 17:16

Citation :
Les exportations marocaines des phosphates ont atteint plus de 3,16 milliards de dirhams (MMDH) à fin mars dernier, contre 2,63 MMDH durant le même mois de l'année 2011, affichant ainsi une augmentation de 20%, indique l'Office des changes.

Les exportations des dérivés de phosphates se sont inscrites, quant à elles, en baisse de 3,7% (7,25 MMDH contre 7,52 MMDH), selon l'Office qui vient de publier les indicateurs préliminaires des échanges extérieurs.

Par ailleurs, les importations en produits énergétiques ont enregistré un accroissement de 25,3% à plus de 23,84 MMDH, contre 19,03 MMDH en mars 2011.

Par désignation, la même source fait ressortir une progression des importations des gasoil et fuel (+28,9%), du gaz de pétrole et autres hydrocarbures (+38,2%) et du pétrole brut avec (+19,2%).
MAP
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 21 Avr 2012 - 11:22

Citation :
Entreprises publics : Le Maroc doté d’un Code de gouvernance

Le Maroc est l’un des deux pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (Mena), aux côtés de l’Egypte, à avoir élaboré un Code de bonnes pratiques de gouvernance des entreprises et établissements publics (EP), affirme l’OCDE dans un rapport publié cette semaine.

«Seuls quelques pays de la région Mena ont élaboré des codes de gouvernance d’entreprise ou des lois qui répondent aux défis spécifiques aux EP et actuellement dans la région, seuls l’Egypte et le Maroc ont des codes de gouvernance d’entreprise spécifiques aux EP», écrit l’Organisation dans les conclusions de ce rapport intitulé «Towards New Arrangements for State Ownership in the Mena».

Le Code marocain, élaboré en 2011 et lancé fin mars dernier, «favorise la diversité des structures de gouvernance des entreprises publiques et recommande une série de bonnes pratiques qui sont susceptibles d’améliorer leur gouvernance», explique le document dans un chapitre distinct consacré à l’expérience marocaine.

Basé sur des recommandations de l’OCDE avec une adaptation au contexte local, le code prévoit notamment l’ouverture des conseils d’administration à des administrateurs indépendants et l’instauration d’une évaluation périodique de ces établissements. Il porte également sur un large éventail de questions, y compris la mise en place de comités spécialisés du Conseil d’administration et de leurs chartes, l’inclusion d’administrateurs indépendants, la contractualisation des objectifs et des cibles de rendement, la politique de dividende, les évaluations du Conseil d’administration, la transparence et la divulgation, ajoute la même source.

Rappelant l’évolution de la gouvernance des entreprises et établissements publics au Maroc, le document explique que la réforme de ce secteur a connu trois phases distinctes : des réformes structurelles dans les années 1980, la modernisation de leur environnement dans les années 1990, et la libéralisation de plusieurs industries dans les années 2000. «Ces mesures ont eu un impact positif sur la performance des EP, dont le rôle dans le développement économique et social du pays a augmenté au fil des années», relève le rapport. «Il est donc logique que l’accent a été mis par le gouvernement marocain, ces dernières années, sur l’amélioration de la gouvernance des EP en vue d’améliorer leur performance financière et leur rôle dans la fourniture de services de base, ainsi que de développer les zones rurales du pays», estime-il.

Le gouvernement, ajoute le document, a ainsi poursuivi la réforme du secteur en vue de permettre aux EP de nouer des liens solides avec leurs homologues internationales, d’harmoniser les normes de leur gestion avec ceux de leurs concurrents du secteur privé et d’adopter les meilleures pratiques de gouvernance d’entreprise pour améliorer la transparence et la performance financière des EP.

Dans cette dynamique visant à propulser les entreprises publiques marocaines vers des normes internationalement reconnues, la participation des partenaires nationaux et internationaux -qui ont joué un rôle crucial dans la promotion de bonnes pratiques telles que la transparence et la reddition de comptes- a joué un rôle important, note la même source.

L’amélioration de la gouvernance des entreprises publiques marocaines a été obtenue grâce à des mécanismes impliquant un examen du rôle de l’Etat comme propriétaire, la rationalisation des pratiques au niveau des Conseils d’administration et de gestion, l’amélioration de la transparence et de la reddition des comptes et l’amélioration des relations des EP avec les parties prenantes.

D’après le document, le portefeuille public du Maroc comprend 241 entreprises d’Etat, dont 42% opèrent dans les secteurs productifs et 38% dans le domaine social, ainsi que 44 sociétés dans lesquelles le Trésor public possède des participations directes, 43% d’entre elles opèrent dans le secteur des infrastructures.

Ce portefeuille est diversifié en termes de taille, de statut juridique, de type d’activité, des relations financières avec l’Etat et de la position de marché. Ces dernières années, ce portefeuille s’est agrandi, notamment grâce à l’ajout d’établissements régionaux et locaux et entités impliquées dans des projets d’infrastructure (tels Tanger Med, Nador West Med, l’Agence d’aménagement de la vallée du Bouregreg) ou en charge de la mise en œuvre des stratégies sectorielles (par exemple Plan Maroc vert, Plan solaire). Si le rapport de l’OCDE fait état de l’adoption au Maroc et en Egypte de législations clarifiant le rôle et les obligations de l’Etat en tant qu’actionnaire des EP, il relève qu’ «aucun pays de la région Mena n’a jusqu’à présent introduit une politique complète et cohérente sur la propriété, qui positionnerait clairement l’état en tant que propriétaire, définissant en priorité ses objectifs et de reconnaissant les arbitrages possibles dans la réalisation de ceux-ci».

Il constate, par ailleurs, que «dans de nombreux pays, des ministères continuent de mener directement des activités de nature commerciale. A l’exception du secteur des télécommunications, le rôle d’actionnaire et les fonctions normatives de l’Etat n’ont pas été séparés, ce qui entraîne d’importants conflits d’intérêts».

map

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Économie marocaine - Page 10 11104110
Pro rege, saepe, pro patria semper

اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة


Dernière édition par leadlord le Sam 21 Avr 2012 - 12:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 21 Avr 2012 - 11:30

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 21 Avr 2012 - 12:01

Fremo a écrit:
Arrow Économie marocaine Exclamation

je voulais posté sur actualité sorry je déplace ,

edit voila c réglé Smile

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اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeJeu 26 Avr 2012 - 13:20

Voilà, le maroc dispose d'une capacitée nationale à 6/7 MILLIONS de T

Et celle ci qui produira des aciers "speciaux " !!!!

Citation :
"SM le Roi inaugure le complexe sidérurgique "Maghreb Steel" de Mohammedia, réalisé pour un investissement global de 5,7 MMDH
26 avril 2012

Commune Chellalate (Province de Mohammedia) - Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a inauguré, jeudi à la commune de Chellalate (Province de Mohammedia), le complexe sidérurgique "Maghreb Steel", réalisé pour un investissement global de 5,7 milliards de dirhams (MMDH).
Traduisant l'intérêt particulier qu'accorde le Souverain au développement du secteur de l'industrie, ce projet vient répondre à une demande toujours croissante pour des produits d'acier de qualité supérieure, liée à la montée de l'urbanisation, au développement des infrastructures et à l'ouverture du Royaume à l'international.

Fleuron de l'industrie nationale, le complexe sidérurgique "Maghreb Steel" propose une riche gamme de produits (2,9 millions de tonnes/an) utilisés notamment dans le secteur des BTP et de l'électroménager.

Ce complexe, dont l'entrée en service s'est faite d'une façon progressive, emploie plus de 2.000 personnes. La production de ce grand complexe est orientée vers le marché européen (56 pc), africain (27 pc), asiatique (13 pc) et du Moyen-Orient (4 pc).

Ce projet ambitieux et pionnier au Maroc constituera la locomotive de la zone de Bled Solb, qui s'étendra sur 130 ha et accueillera de grandes unités industrielles, un centre de formation continue, ainsi que des services publics, des équipements de proximité, un centre commercial, une mosquée, des espaces verts et de divertissement.

Le total des investissements prévus dans cette zone industrielle atteindra la somme de 10 milliards de dirhams pour générer à terme environ 20.000 emplois."
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeJeu 26 Avr 2012 - 14:56

Wall Street Journal MarketWatch

Citation :
Government of Canada Expanding Agriculture Trade with Morocco and the Middle East

MEKNES, MOROCCO, Apr 26, 2012 (MARKETWIRE via COMTEX) -- Editor's Note: There are two photos associated with this press release.

Agriculture Minister Gerry Ritz completed a successful trade mission to Morocco in which he discussed the mutual benefits of a Canada-Morocco free trade agreement (FTA), signed a Memorandum of Understanding (MOU) on agricultural co-operation and promoted Canada as a leading supplier of high-quality durum wheat, pulses and dairy genetics.

"Morocco is an important market for Canadian pulse and durum wheat growers and we are enhancing our trade relationship with the negotiation of an ambitious free trade agreement," said Minister Ritz. "The Moroccan agriculture and food market is growing and diversifying, offering new sales opportunities for Canadian farmers. An FTA with Morocco could also pave the way to greater Canadian commercial presence in the Middle East and North Africa."

While meeting with his Moroccan counterpart, Agriculture Minister Aziz Akhannouch, Minister Ritz invited Moroccan officials to Canada in June for the next round of FTA negotiations. The ministers signed an MOU on agriculture co-operation that will foster stronger ties between the two countries by enhancing the exchange of knowledge, adding value to Canada and Morocco's co-operation and trade agenda, and offering a platform for Canadian business.

Agricultural products account for the vast majority of trade between Canada and Morocco. In 2011, Morocco's agriculture imports from Canada totalled more than $188 million, mainly in durum wheat and pulses. Canada is the top supplier of durum wheat to Morocco with nearly $175 million imported from Canada in 2011.

Minister Ritz was pleased that Canada has been recognized as the Country of Honour at the 2012 Salon International au Maroc (SIAM) - the biggest agriculture trade show in Africa - currently being held in Meknes. The Canada Pavilion and a conference on innovation are showcasing the excellence of Canada's agriculture sector, food products and technology while helping grow business co-operation and relationships between the two countries.

Committed to deepening Canada's economic ties with the Middle East, Minister Ritz will now continue his trade mission to Saudi Arabia. There he will work to advance market access issues related to beef and cattle.

"Canada's agriculture producers and processors depend on international markets for their sales. That's why our government continues to make international trade a priority," said Minister Ritz. "We know that when the farm gate is strong, Canada's economy is also strong".

In 2011, Canada's agricultural exports to Saudi Arabia, including fish products, totalled $304 million


Citation :

The Finance Centres of the Grand Duchy of Luxembourg and of Casablanca Sign a Partnership Agreement in the Financial Services Sector

CASABLANCA, Morocco, April 26, 2012 /PRNewswire via COMTEX/ -- Luxembourg for Finance (LLF), the bureau responsible for the development and promotion of financial services in Luxembourg, and the Moroccan Financial Board (MFBoard) recently signed a formal partnership agreement. The agreement, signed by Mr Fernand Grulms, CEO of LFF, and Mr Said Ibrahimi, CEO of MFBoard, illustrates the desire of these two parties to cooperate in promoting the development of Luxembourg and Casablanca (Casablanca Finance City) as financial centres.

The signing of the agreement took place during an official visit to Morocco by a delegation from Luxembourg. The visit was led by the LFF and several directors from other important financial institutions within Luxembourg were also part of the visit.

Cooperation between the two parties will mainly focus on the key areas of development of any financial centre, in particular:

The exchange of information about financial services, including the international legislation and regulation of financial activity

The sharing of knowledge and experience between the institutions regarding the financial sector, in particular in the areas of investment funds and private banking

Cooperation in the field of training

Cooperation in the organisation of seminars and conferences which focus on the development of financial centres and more broadly the facilitation of relationships between institutions in the sector

Casablanca Finance City wants to become the regional financial hub for Africa, and now has financial cooperation with Europe through this partnership. For the Moroccan Financial Board, this agreement with the premier private banking centre in the Eurozone and largest investment fund centre in Europe (second in the world), represents the promise of a high level development strategy for CFC.

This agreement is also the first between the LFF and Africa and it will allow CFC to be the preferential gateway for the rest of the African continent.

Speaking at a press conference held on this occasion, Mr Grulms said that the emergence of the African continent in the 21st Century will mobilise innovative investments and raise the level of conventional finance as well as Islamic. Morocco and the financial centre of Casablanca are called upon to play a major role at this level. Casablanca's knowledge of African and Arabic culture, its stability and linguistic capabilities provide it with a unique opportunity to position itself as THE international financial hub within the African continent. Mr Grulms is delighted that Luxembourg could sign the agreement with Casablanca, which has opened the door for collaborations with the Moroccan and African markets for the financial intermediaries in Luxembourg.

From his side, Mr Ibrahimi has praised the success of the financial centre of Luxembourg, highlighting the depth and diversity of its expertise in financial services, the efficiency of its regulation, as well as the quality of its business environment. He added that the partnership with an international centre of this stature would be of great importance to the development of Casablanca Finance City, bringing new proof that it is trying to bring itself to the level of the highest international standard.

Finally, Mr Grulms and Mr Ibrahimi expressed their firm intention to mobilise the means and necessary efforts to efficiently put into action the cooperation set out in this agreement.

About Luxembourg for Finance

Luxembourg for Finance, the bureau for the development of the financial centre, is a partnership between the government of Luxembourg and the Federation of Professionals of the Financial Sector, Luxembourg (PROFIL). The bureau is the fulfilment of efforts deployed by the public authorities and significant figures of the financial sector to assure the development of the financial centre by making the financial centre of Luxembourg better known abroad by means of structured and coordinated action.

About the Moroccan Financial Board

The Moroccan Financial Board, a company made up of public-private partnership between the significant figures of the financial sector, is responsible under the law 44-10 relative to 'Statut CFC' for the global running and institutional promotion of Casablanca Finance City. CFC aims to make Casablanca a regional hub of the financial profession and a preferential gateway to African countries, in particular to the countries of Northern, West and Central Africa.

SOURCE Casablanca Finance City

Copyright (C) 2012 PR Newswire. All rights reserved


French led consortium wins Moroccan wind farm bid

ESI-AFRICA

Citation :
26 April 2012 - A consortium led by EdF Energies Nouvelles, and also comprising Mitsui and Alstom, was selected as the preferred bidder by Morocco’s Office National d’Electricité (ONE) for the 150 MW Taza wind farm.

The Taza wind farm will be equipped with 50 Alstom wind turbines of 3.0 MW each.
EDF Energies Nouvelles, Mitsui and Alstom will subcontract at least 30 % of the civils and construction of this project to Moroccan companies.

This new 150 MW wind power project launched by ONE in May 2011 under a public-private partnership scheme will be followed in 2012 by an additional 850 MW tender process. Pre-qualification is in progress for this. Keen to leverage on its extremely good sun and wind conditions, Morocco plans to develop at least 2.0 GW of wind energy and 2.0 GW of solar power by 2020.

EDF Energies Nouvelles will open a 100% owned subsidiary in Casablanca, called EDF EN Maroc, and this company along with Mitsui will be responsible for the design, financing, development and construction of the Taza wind power project and will operate the wind farm under a 20 year agreement.

Morocco is already one of the continent’s leaders in terms of wind power. In 1999 it had 14 MW wind capacity installed and this had increased to 291 MW in 2011.



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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeJeu 26 Avr 2012 - 15:54

Citation :
SM le Roi inaugure le complexe sidérurgique "Maghreb Steel" de Mohammedia, réalisé pour un investissement global de 5,7 MMDH

Commune Chellalate (Province de Mohammedia) -
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a inauguré, jeudi à la commune de Chellalate (Province de Mohammedia), le complexe sidérurgique "Maghreb Steel", réalisé pour un investissement global de 5,7 milliards de dirhams (MMDH).

Traduisant l'intérêt particulier qu'accorde le Souverain au développement du secteur de l'industrie, ce projet vient répondre à une demande toujours croissante pour des produits d'acier de qualité supérieure, liée à la montée de l'urbanisation, au développement des infrastructures et à l'ouverture du Royaume à l'international.

Fleuron de l'industrie nationale, le complexe sidérurgique "Maghreb Steel" propose une riche gamme de produits (2,9 millions de tonnes/an) utilisés notamment dans le secteur des BTP et de l'électroménager.

Ce complexe, dont l'entrée en service s'est faite d'une façon progressive, emploie plus de 2.000 personnes. La production de ce grand complexe est orientée vers le marché européen (56 pc), africain (27 pc), asiatique (13 pc) et du Moyen-Orient (4 pc).

Ce projet ambitieux et pionnier au Maroc constituera la locomotive de la zone de Bled Solb, qui s'étendra sur 130 ha et accueillera de grandes unités industrielles, un centre de formation continue, ainsi que des services publics, des équipements de proximité, un centre commercial, une mosquée, des espaces verts et de divertissement.

Le total des investissements prévus dans cette zone industrielle atteindra la somme de 10 milliards de dirhams pour générer à terme environ 20.000 emplois.

MAP

Citation :
SM le Roi inaugure un terminal de stockage et de traitement de voitures transitant par le port de Casablanca

Casablanca - Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a procédé, jeudi, à l'inauguration d'un terminal de stockage et de traitement de voitures au port de Casablanca, réalisé pour un investissement global de 168 millions de dirhams (MDH).

Avec cette nouvelle plateforme, le secteur de l'automobile voit ses capacités renforcées pour accompagner le développement que connaît l'activité d'importation et d'exportation de voitures neuves au niveau du port de Casablanca, contribuant ainsi à l'enrichissement du tissu économique de la région du Grand Casablanca et au décongestionnement du port de la métropole.

Partie intégrante d'un ensemble de projets structurants destinés à la fois à renforcer la compétitivité du secteur et à conforter le développement économique de la région, cet espace permettra une augmentation de la capacité de livraison et de réception des voitures ainsi qu'une gestion des flux d'entrée et de sortie dans les meilleures conditions.

D'une capacité de stockage de 5.000 véhicules, le nouveau terminal, construit sur cinq niveaux, offre à ses usagers des services à valeur ajoutée (préparation des véhicules, retouches, peinture, lavage, etc ), outre un traitement du trafic automobile conforme aux standards internationaux en termes de sécurité, de délai et de sinistralité.

L'implantation de l'ensemble des concessionnaires automobile au niveau de l'hinterland du port de Casablanca a été derrière la création de ce terminal répondant aux normes architecturales modernes et doté d'un système performant d'information, de gestion et de localisation des voitures, avec à la clé une meilleure gestion des flux, la programmation des livraisons ainsi que l'information des concessionnaires en temps réel sur l'état des entrées et sorties de leurs voitures.

Ce projet jouera un rôle important dans la mise en œuvre du plan de développement du secteur de l'automobile, partie intégrante du Pacte national pour l'émergence industrielle qui bénéficie de l'intérêt du Souverain depuis son lancement en décembre 2005.

MAP

Citation :
SM le Roi lance d'importants projets structurants pour le développement du secteur de la logistique dans la région du Grand Casablanca

Casablanca - Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a procédé mardi au lancement de deux projets structurants destinés au développement du secteur de la logistique dans la région du Grand Casablanca, avec une enveloppe budgétaire globale de 1,3 milliard de dirhams (MMDH).


es projets portant sur la réalisation d'une connexion routière entre le port de Casablanca et la zone d'activités logistiques de Zenata (Mohammedia) et l'aménagement d'une zone logistique "MITA-Casablanca", viennent conforter la mise en oeuvre de la stratégie nationale pour le développement de la compétitivité logistique dans la mesure où ils favorisent une meilleure gestion des flux de marchandises en termes de volume, d'itinéraire et de modes de transport.

De nature à favoriser la pérennisation de la croissance et du dynamisme économique dans la région du Grand Casablanca et les régions correspondant à l'hinterland économique de son port (60 pc des échanges commerciaux), ces projets revêtent une dimension sociale et environnementale dans la mesure où ils vont contribuer à l'amélioration de la circulation urbaine en termes de réduction de la congestion du trafic, de prévention de l'insécurité routière et de lutte contre la pollution et les nuisances sonores.

La connexion routière reliant la zone d'activités logistiques de Zenata au port de Casablanca a pour objectif de désengorger les routes attenantes au port, d'améliorer les conditions de transport des marchandises et de fluidifier le trafic des poids lourds au niveau de l'axe reliant le port de Casablanca à la zone logistique multi-flux de Zenata qui s'étend sur une surface de 323 hectares, dont 14 ha ont déjà été aménagés et livrés à la société nationale des transports et de la logistique (SNTL).

Fruit d'un partenariat entre le ministère de l'Equipement et des transports et l'Agence nationale des ports, ce projet qui mobilise des investissements de 700 millions de dirhams, consistera en la réalisation dans un délai de 40 mois d'une section maritime (4,3 Km), l'extension du réseau routier sur un linéaire de près de 10 km et la construction d'une nouvelle route (7 km).

Le second projet lancé par le Souverain est celui de la zone logistique "MITA-Casablanca" qui sera réalisée par l'Office national des chemins de fer (ONCF) en trois phases pour un investissement global de 600 millions de dirhams (MDH).

Edifiée sur un terrain de 32 ha, cette zone adossée au port sec MITA devra abriter des entrepôts répondant aux standards internationaux et destinés aux professionnels de la logistique.

La future zone d'activités logistiques, dont SM le Roi a lancé les travaux de la première tranche, contribuera à enrichir le tissu économique de la région du Grand Casablanca et à décongestionner le port de la métropole. Sa réalisation s'inscrit dans le cadre du "Plan ONCF Logistique Emergence" qui ambitionne de faire de l'Office un acteur structurant de la logistique au Maroc, offrant à ses clients et aux opérateurs économiques, en complément du transport ferroviaire, des solutions globales et des services intégrés à forte valeur ajoutée.

Le plan "ONCF Logistique Emergence" prévoit la construction d'un réseau de plateformes logistiques multi-flux couvrant les principaux centres économiques du Royaume, à savoir Casablanca, Mohammedia, Fès, Tanger, Marrakech, El Jorf Lasfar et Oujda.

Ces projets structurants lancés par SM le Roi, que Dieu Le préserve, s'inscrivent dans le cadre de la mise en oeuvre de la stratégie nationale pour le développement de la compétitivité logistique qui vise à promouvoir une gestion optimisée des flux de marchandises, à augmenter la croissance de l'économie nationale de 3 à 5 points du PIB à l'horizon 2015 et à générer 36.000 emplois à l'horizon 2015 et 96.000 emplois d'ici 2030.

La stratégie nationale pour le développement de la compétitivité logistique s'articule autour de cinq axes, à savoir le développement d'un réseau national intégré de zones logistiques multi-flux, l'optimisation et massification des flux de marchandises, la mise à niveau et l'incitation à l'émergence d'acteurs logistiques performants, le développement des compétences en la matière et la mise en place d'un cadre de gouvernance pour le secteur.

La réalisation de cette stratégie est en soi un enjeu économique de taille et une condition sine qua non pour renforcer la compétitivité de l'économie nationale et conforter la place du Maroc comme plateforme internationale d'investissement à haute valeur ajoutée.

MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeJeu 26 Avr 2012 - 15:58

Le Futur c'est notre continent Twisted Evil

Citation :
Les échanges commerciaux entre le Maroc et l'Afrique subsaharienne ont triplé en 2010

Les échanges commerciaux entre le Maroc et l'Afrique subsaharienne ont triplé de 2000 à 2010, passant de 3,6 milliards de dirhams (MMDH) en 2000 à 11,7 MMDH en 2010, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), relevant du ministère de l'Economie et des finances.

Cette forte remontée émane essentiellement de l'accélération des exportations marocaines qui ont progressé sur la période de 5, 8 milliards de dirhams pour atteindre 7,2 MMDH en 2010 , explique la note de cette Direction qui vient d'être publiée.

Pour leur part, les importations en provenance de cette région ont augmenté durant la même période pour s'établir à 4,5 MMDH.

Les houilles non agglomérées représentent plus du 3/4 des achats du Maroc provenant de ce pays. Elles sont suivies par ??les voitures industrielles'' (7%), précise la même source, faisant état de la faiblesse du poids de l'Afrique subsaharienne dans le commerce mondial (2,1% en 2010).

Le reste des importations est concentré sur les pays de la région de l'ouest, parmi lesquels on retrouve le Gabon avec 7,8% des importations totales du Maroc, le Nigeria (7,3%) et la Côte d'Ivoire (4,6%).

Les importations marocaines de l'Afrique subsaharienne sont constituées dans leur majorité de produits de base (87%). En particulier, les combustibles représentent 61%, les produits alimentaires (14%) et les produits manufacturés (13%).

Par région, plus de 60% des exportations marocaines vers l'Afrique subsaharienne sont destinées à l'Afrique occidentale, suivie par l'Afrique centrale (28%), l'Afrique orientale (5,3%) et l'Afrique australe (2,8%).

MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeDim 29 Avr 2012 - 18:22

Atlas Montreal

http://www.atlasmedias.com/2012/04/la-signature-de-laccord-de-libre-echange-maroc-canada-prevue-fin-2012-ou-debut-2013/

Citation :
La signature de l’accord de libre-échange Maroc-Canada prévue fin 2012 ou début 2013

La signature de l’accord de libre-échange entre le Maroc et le Canada est prévue à la fin de cette année ou début 2013, a annoncé, jeudi à Meknès, le ministre de l’agriculture et de la pêche maritime, M. Aziz Akhannouch.

Dans une déclaration à la presse en marge de la signature d’un protocole d’entente entre le Maroc et le Canada, pays invité d’honneur de la 7ème édition du Salon international de l’agriculture au Maroc (SIAM 2012), M. Akhannouch a indiqué que les deux parties ont convenu d’approfondir les consultations et la réflexion en perspective du prochain round de négociation devant être en juin prochain.

Etant donné les potentialités du marché canadien pour les produits agricoles marocains, des efforts devront être consentis en vue de diversifier les exportations marocaines en dehors des agrumes et conserves végétaux, notamment en matière d’exploration de niches de marchés pour les produits de terroir, a-t-il soutenu.

Il est à souligner, à cet égard, que le Maroc s’inscrit dans une approche de “Liste positive”, assortie d’une clause de rendez-vous alors que le Canada propose que tous les produits agricoles soient soumis, dès l’entrée en vigueur de l’accord, à un schéma de démantèlement tarifaire progressif qui prévoit une libéralisation à terme.

Cet accord de libre-échange a fait l’objet de discussions informelles, qui ont permis d’identifier des points de convergence et des flexibilités nécessaires pour garantir les intérêts économiques des deux pays. Il représente pour le Maroc un défi additionnel dans le processus d’ouverture progressive et équilibrée de son économie.

Pour relever ce défi à même de promouvoir le développement et la croissance attendus de cet Accord en matière d’échanges et d’investissement, une coopération financière conséquente combinée à une assistance technique appropriée et une approche asymétrique en faveur du Maroc s’avèrent indispensables, soutient M. Akhannouch.

Le Maroc et le Canada ont signé, ce jeudi à Meknès, un protocole d’entente avec pour objectif de promouvoir et d’encourager la coopération entre les deux pays dans les domaines d’intérêt commun tels que l’agriculture, l’agroalimentaire et leurs secteurs connexes, rappelle-t-on.

MAP: Meknès, 26 avr. 2012

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeMer 2 Mai 2012 - 5:32

Citation :
Maroc : Le déficit de liquidité des banques s'aggrave de 312% en un an ! Où va-t-on ?

En cause, les réserves en devises de Bank Al-Maghrib qui ont chuté de 7.2% en trois mois et de 14.2% en un an. Malgré l'abaissement du taux directeur à 3%, les taux de refinancement sur le marché interbancaire ne se détendent pas.

L ’état des liquidités sur le système bancaire devient de plus en plus inquiétant. Il y a à peine une année, le déficit de trésorerie des banques se limitait à 16 milliards de DH. Aujourd’hui, il atteint un niveau historiquement inégalé : 66 milliards à la mi-avril ! Si Bank Al-Maghrib n’alimentait pas les banques à travers ses avances hebdomadaires, elles n’auraient pu continuer à couvrir leurs besoins en ressources au quotidien.

Lors de la séance du 18 avril, la banque centrale a en effet servi 43 milliards de DH au taux directeur de 3% pour soulager leur trésorerie. Cela dit, il y a lieu de préciser que les établissements bancaires ne sont pas tous touchés par le manque de ressources de la même manière. «Les grandes banques, comme la BCP et Attijariwafa bank, souffrent moins que celles de taille petite et moyenne», avance un banquier.

Quoi qu’il en soit, le déficit de liquidité s’aggrave globalement et cela est dû à un facteur principal : la chute des réserves en devises. En effet, les avoirs extérieurs nets de Bank Al-Maghrib, qui entrent dans le calcul du solde de liquidité du système bancaire, ont reculé de 7,2% en trois mois seulement, pour ne plus totaliser que 155 milliards de DH à fin mars 2012. Sur une année glissante, la chute atteint plus de 14%. Cette situation s’explique par le creusement du déficit de la balance commerciale, déficit que les autres recettes en devises (transferts des MRE, recettes touristiques et IDE) n’arrivent plus à combler. En 2011, le gap commercial s’est élevé à 184 milliards de DH, en aggravation de 24% par rapport à 2010. Il a ainsi dépassé le volume global des exportations qui s’élève à 173 milliards. La situation n’a pas changé au premier trimestre 2012 puisque les importations continuent d’évoluer deux fois plus rapidement que les exportations, soutenues par l’envolée des prix des produits pétroliers.

Les autres composantes de la liquidité du système bancaire évoluent aussi défavorablement mais à une moindre ampleur, comme la position nette du Trésor qui ressort à -3,5 milliards de DH à fin mars contre-2,5 milliards à fin 2011, ou encore le montant de la réserve monétaire obligatoire des banques qui a gagné 1 milliard, à 22,5 milliards de DH, sous l’effet de l’appréciation de l’encours des dépôts. Seuls les billets et pièces en circulation affichent une orientation positive, puisque leur niveau a baissé de 1%, à 165 milliards de DH.

Dans ces conditions, les taux de refinancement sur le marché interbancaire subissent une forte pression, et ce, malgré l’abaissement du taux directeur de Bank Al-Maghrib de 25 points de base, à 3%. En effet, ces taux s’affichent toujours aux alentours de 3,25%, alors qu’ils sont censés coller au niveau du taux directeur


Souhail Nhaili. La Vie éco

2012-05-01

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeMer 2 Mai 2012 - 8:51

Citation :
Emploi Salaires : le Maroc comparé à l’Algérie, la Tunisie et l’Egypte

Entre 2009 et 2011, la plus forte évolution du niveau de rémunération a été enregistrée en Egypte qui connaît une inflation à deux chiffres. Les salaires des cadres marocains restent les plus élevés de la région.

Économie marocaine - Page 10 Salaires-le-Maroc-%282012-05-01%29

Chaque année, Mercer International réalise des enquêtes de rémunération à l’échelle internationale. Une occasion pour connaître les tendances chez nos voisins de la région, à savoir l’Algérie, la Tunisie et l’Egypte.
Il en ressort que les cadres marocains sont les plus chers et les mieux payés de la région. L’Egypte vient en deuxième position, ensuite la Tunisie, puis l’Algérie.
Cela dit, il faut préciser qu’entre 2009 et 2011, la plus forte évolution du niveau de rémunération a été enregistrée en Egypte qui connaît une progression à deux chiffres. En effet, le taux d’augmentation des salaires a été de 10,74% en 2011 et de 12% en 2009. Parallèlement, le taux d’inflation a été de 11,09% en 2011 contre 6,2% en 2009. Et que ce soit au Maroc, en Algérie ou en Tunisie, les taux d’augmentation des salaires tournaient autour de 6 à 7%. Parallèlement, le taux d’inflation a été de 4% en Tunisie, 2,9% en Algérie et 1% au Maroc en 2011.
«Pour la même période, le Maroc a connu l’évolution de salaire la plus faible de la région. Le climat de contestation et de revendication y a été plus maîtrisé par rapport aux autres pays où le contexte politique a eu un effet assez direct sur le secteur privé», explique Ghislaine Laabi, responsable des enquêtes de rémunération au sein du cabinet Diorh.
En matière de composition de la rémunération totale, cette dernière est assez similaire dans ces quatre pays. Elle se décline en salaire de base, indemnités, bonus variable et avantages en nature. Le salaire de base constitue 60% à 70% du package globale. La proportion des indemnités est en moyenne plus importante au Maroc, à 20%, et plus faible en Tunisie (4%). Le bonus présente une proportion allant de 6% à 25%, selon le niveau de responsabilité. Les avantages en nature représentent, eux, 5 à 15%.
Pour le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, le mix rémunération change selon le niveau du poste. Par exemple, la proportion du salaire de base est forte pour les non-cadres et moins importante chez les managers et les dirigeants au profit du bonus et des avantages en nature. En revanche, pour la Tunisie, la répartition de la rémunération totale est assez égalitaire et le mix rémunération est globalement le même, quel que soit le niveau du poste.
Il faut préciser également que le Maroc et l’Egypte représentent des centres de décision pour un bon nombre de multinationales installées dans ces pays. Du coup, les niveaux de salaire peuvent se rapprocher surtout pour la population des dirigeants. Ainsi, le salaire annuel de base d’un dirigeant est compris dans une fourchette allant de 75 000 à 180 000 euros (soit près de 2 MDH). En Egypte, les salaires vont de 60 000 à 180 000 euros, de 49 000 à 120 000 euros en Tunisie et de 40 000 à 120 000 euros en Algérie.


Les profils étant rares, les rémunérations sont naturellement élevées

Le principe général sur le marché des dirigeants est le suivant : «Les bons dirigeants diplômés et expérimentés sont rares. Il est clair que les entreprises s’inscrivent clairement dans une compétition de dimension mondiale, par conséquent, il faut mettre le prix», explique Haykel Barbouch, DG du cabinet Paymed et Business Partner du cabinet Mercer.
Cette inflation des salaires est plus ou moins justifiée. Le développement des projets d’infrastructure et la mise en œuvre des plans sectoriels animent le marché de cadres dirigeants. Les organisations et les entreprises sont en quête de profils pour répondre aux besoins de pilotage de ces projets. Ces profils étant relativement rares, leur rémunération est naturellement élevée.
Pour les postes de managers, l’enquête fait ressortir qu’en 2011, les rémunérations tournaient en moyenne autour de 16 600 euros en Algérie, 26 000 euros en Egypte, 34 000 euros au Maroc et 21 200 en Tunisie.
Pour les postes d’encadrement, les salaires seraient de 11 600 euros en moyenne en Algérie, 15 100 euros en Egypte, 22 900 euros au Maroc et 14 100 euros en Tunisie.
Enfin pour les postes d’exécution, les salaires seraient de 5 600 euros en moyenne en Algérie, 6 700 euros en Egypte, 8 800 euros au Maroc et 8 100 en Tunisie.

Le Maroc se situe en tête, à tous les niveaux


Pour des secteurs plus pointus, les niveaux des salaires ont d’ailleurs le don d’étonner parfois les équipes de certains groupes qui viennent en prospection au Maroc. Au niveau des cadres, le Maroc est aujourd’hui plus proche des standards de rémunération pratiqués dans les pays de l’Europe de l’Est.
Par profil, les responsables RH au Maroc ont les niveaux de salaires les plus confortables de la région, en moyenne 30 000 euros bruts annuels (334 000 DH). D’ailleurs, cette fonction a connu une évolution notable dans les autres pays sur la période 2009/2011, soit près de 10,6% en Tunisie, 12,8% en Egypte et 11,3% en Algérie.
Les DRH émargeraient en moyenne à plus de 45 000 euros par an (501 900 DH bruts), beaucoup plus que leurs homologues en Egypte (30 000 euros) et en Algérie (31 800 euros). Pour leur part, les comptables senior toucheraient plus de 15 100 euros au Maroc, près de 22 700 euros en Tunisie et moins de 15 000 euros en Egypte et en Algérie.
Pour sa part, un comptable senior émarge jusqu’à 15 000 euros annuels. C’est à peu près le même niveau de rémunération que l’on peut retrouver dans ces pays.
En termes d’évolution de salaire, l’enquête fait ressortir que le salaire d’un chef de produit a augmenté de 12,4% en Tunisie, 21,4% en Egypte et 9,3% en Algérie. Pour un responsable commercial, le salaire a augmenté de 8,8% en Algérie, 12,4% en Egypte et de 9,2% en Tunisie. Enfin, le salaire d’un responsable production a augmenté de 7,6% en Algérie, 17,4% en Egypte et de 10% en Tunisie.


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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeMer 2 Mai 2012 - 16:01

Citation :
Prospectour dans les pays du ccg
Un fonds d’investissement maroco-omanais de 250 millions de dollars en gestation
Un mémorandum d’entente vient d’être signé entre les deux pay

le matin du sahara.ma

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 4 Mai 2012 - 4:45

Citation :
L'actuelle campagne céréalière devrait se solder par 48 millions de quintaux

Avec le Plan Maroc Vert, les effets des aléas climatiques seront mieux neutralisés. En 2011, la production des différents types de culture a été en nette hausse par rapport à la période 2005-2007.

Le gouvernement est relativement soulagé. Alors que l’on s’acheminait vers une campagne agricole catastrophique, en raison d’une longue période de sécheresse, les dernières pluies de fin mars et de début avril ont fait reverdir les champs. En définitive, la production céréalière devrait s’établir à 48 millions de quintaux.

C’est ce qu’a annoncé Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime, lors de la 5e édition des Assises de l’agriculture qui s’est tenue le 24 avril à Meknès, sous le thème : «L’agriculture au cœur du développement rural». C’est en quelque sorte pour mieux répondre à cette exigence, en se dépêtrant de la dépendance aux aléas climatiques, qu’a été conçu le Plan Maroc Vert qui est en train de transformer radicalement le secteur.

Les résultats positifs ont été enregistrés en 2011 dans toutes les filières prioritaires par rapport à la période de référence (2005-2007).
Le ministre a souligné que la production est en hausse dans pratiquement tous les domaines : l’oléiculture a progressé de 83%, les céréales de 52%, la phœniciculture de 45%, les agrumes de 36%, les rosacées de 32% et des primeurs de 4%. Il en est de même pour l’élevage. Les viandes blanches, le lait et les viandes rouges sont en amélioration respectivement de 56%, 35% et 22%.

Le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, qui a sans doute apprécié ces avancées, a clairement signifié dans son allocution que le pays ne devrait plus compter sur quiconque pour assurer ses besoins alimentaires.

Les investissements ont augmenté de 41% depuis 2008


Concernant les facteurs de production, une hausse de plus de 100% a été enregistrée dans la vente des semences certifiées, 57% pour l’utilisation des engrais, 103% dans l’équipement goutte-à-goutte, 50% dans la vente de tracteurs par rapport à la même période de référence. De même, les superficies assurées sont passées de 60 000 ha en 2005-2007 à 326 000 en 2011-2012. Cependant, une baisse de 13% a été enregistrée dans la production de sucre due à des inondations et aux difficultés qu’ont connues certaines régions.

Aziz Akhannouch a en outre indiqué que l’attractivité du secteur agricole pour les investisseurs se voit à travers l’augmentation de 41% des investissements entre 2008 et 2011.

Le ministre a par ailleurs souligné qu’à partir de 2013, les superficies plantées en olivier atteindront 1 million d’hectares. Il est également prévu de renforcer les activités de conseil agricole et l’organisation de la profession à travers la création de l’Office national du conseil agricole, ainsi que le renforcement du Système d’information géographique (SIG) permettant l’amélioration des statistiques agricoles, le suivi de l’état de croissance des cultures et l’exactitude des prévisions des récoltes. En plus, se poursuit l’établissement de la carte de fertilité des sols visant l’amélioration durable de la productivité agricole et la rationalisation de l’utilisation des engrais.

Abdelmoumen Guennouni. La Vie éco
http://www.lavieeco.com/news/economie/l-actuelle-campagne-cerealiere-devrait-se-solder-par-48-millions-de-quintaux-22006.html

2012-05-04
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 4 Mai 2012 - 12:16

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 4 Mai 2012 - 13:20

j'envi beaucoup votre economie c'est un exemple a suivre pour l'algerie.
d'ici 20 ans vous serez une puissance regionale economique et militaire incontestable

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeVen 4 Mai 2012 - 20:12

Citation :
Tokyo envisage de faire du Maroc et de l'Egypte deux plates-formes pour ses exportations vers l'UE et l'Afrique selon responsable japonais

Le Japon envisage de faire du Maroc et de l'Egypte deux plates-formes géantes pour ses exportations vers l'Union européenne (UE) et l'Afrique, a annoncé, vendredi au Caire, le porte-parole du ministère japonais des Affaires étrangères Masaru Sato.

Dans un communiqué, le porte-parole a indiqué que le ministre japonais des Affaires étrangères Koichiro Gemba, qui a visité le Caire au cours des deux derniers jours, a discuté avec les responsables égyptiens de la possibilité de la délocalisation des usines japonaises vers le Maroc et l'Egypte, vu la place de ces deux pays dans la région de l'Afrique du Nord.

L'objectif consiste à booster les exportations japonaises et renforcer leur compétitivité en vue de faciliter leurs accès vers les marchés européens et africains, a-t-il expliqué.

Il a précisé que son pays est conscient que l'Egypte, qui est sur la voie de la stabilité et de la renaissance économique, dispose de potentialités importantes et d'une position stratégique exceptionnelle, exprimant la disposition des firmes japonaises à s'implanter en Egypte une fois la stabilité est instaurée.

M. Sato a fait savoir que le ministre japonais des Affaires étrangères devra s'entretenir avec les responsables marocains sur cette question, lors de sa visite à Rabat, s'inscrivant dans le cadre d'une tournée dans la région qui l'avait mené également en Inde, à Ramallah, en Israël et en Jordanie.

Il a rappelé que son pays avait lancé une initiative visant la réalisation de la stabilité et la prospérité et l'instauration des valeurs démocratiques dans le continent asiatique, appelant le Caire à y adhérer.

Le Japon encourage l'instauration de la paix et la stabilité dans la région, a-t-il dit, exprimant la détermination de son pays à soutenir l'Egypte dans la prochaine étape.

Le porte-parole a souligné que son pays ne craint pas la montée au pouvoir des courants islamiques dans les pays du printemps arabe, se disant confiant en l'avenir des relations du Japon avec ces pays.

Lors de cette visite au Caire, le chef de la diplomatie japonaise avait eu des entretiens avec plusieurs responsables égyptiens, notamment Saad Al Katatni, président de l'Assemblée du peuple, et Mohamed Amr, ministre des Affaires étrangères, portant sur la transition démocratique dans le pays et le processus de paix dans la région.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 5 Mai 2012 - 12:14

Citation :
la possibilité de la délocalisation des usines japonaises vers le Maroc et l'Egypte, vu la place de ces deux pays dans la région de l'Afrique du Nord.
de quelles usines s´agit il la?
je me demande si c´est pas a cause du cout d´energie qui grimpera au japon vu l´arret des centrales nuc la bas cet été (post tshaashh infos inter),l´economie nippone sera affectée par cet arret.
vivement une delocalisation de Toyota Économie marocaine - Page 10 687127

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 5 Mai 2012 - 12:26

Yakuza a écrit:
Citation :
la possibilité de la délocalisation des usines japonaises vers le Maroc et l'Egypte, vu la place de ces deux pays dans la région de l'Afrique du Nord.
de quelles usines s´agit il la?
je me demande si c´est pas a cause du cout d´energie qui grimpera au japon vu l´arret des centrales nuc la bas cet été (post tshaashh infos inter),l´economie nippone sera affectée par cet arret.
vivement une delocalisation de Toyota Économie marocaine - Page 10 687127

Les usines Toyota dans le monde. Le Maroc est bien placé.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 5 Mai 2012 - 12:32

tout ce qui est rouge houla Shocked invasion
a leur place je fermerai la francaise(cher) et la sudafricaine(lointaine) Twisted Evil pour ouvrir a 14km de l´UE, Renault a ouvert la piste,tout les attend mtn en facilité
mais franchement toute l´amerique leur appartient affraid

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 5 Mai 2012 - 12:36

Yakuza a écrit:
tout ce qui est rouge houla Shocked invasion
a leur place je fermerai la francaise(cher) et la sudafricaine(lointaine) Twisted Evil pour ouvrir a 14km de l´UE, Renault a ouvert la piste,tout les attend mtn en facilité
mais franchement toute l´amerique leur appartient affraid

C'est pas pour rien que Toyota est le premier construction mondiale de voiture.. pirat

Les usines en France avait fait grève, ce que les japonais n'ont pas apprécié. Grève pour une prime de 800 euros..
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 10 Icon_minitimeSam 5 Mai 2012 - 12:46

Il y a 2 constructeurs d'Asie qui ont étudié l'idée d'une implantation au Maroc, le coréen Huyndai et le japonais Toyota ...

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