Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Fév 2012 - 12:51 | |
| Rappel du premier message :
LE FISC,CA RAPPORTE: 170 milliards de DH de recettes fiscales en 2011,jamais l etat n a engrangé autant,cela permettera d atténuer grandement le déficit budgetaire,ces recettes ont été realisées malgré le maintien des taux d imposition réstés les memes. Maintenant ,si l actuel gouvernement combat efficacement la fraude fiscale dans ses divers aspects et qu il réussisse a élargir l assiette fiscale aux unités productives de l informel (dont le nombre avoisine UN MILLION selon le DEPF:département des etudes et previsions financieres)le budget de l etat encaissera une somme encore plus substantielle. |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 5 Mai 2012 - 18:52 | |
| les centrales au japan sont à l'arret que provisoirement pour entretien |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 6 Mai 2012 - 3:53 | |
| Japan to give Morocco ¥10.8 billionKyodo - Citation :
- RABAT — Japan extended about ¥10.8 billion in low-interest yen loans to Morocco on Friday to help the country upgrade sewerage systems in regional areas, with Foreign Minister Koichiro Genba and Moroccan Economics and Finance Minister Nizar Baraka exchanging notes to that effect.
Genba, who is visiting the North African nation, said during separate talks with Prime Minister Abdelilah Benkirane and Foreign Affairs and Cooperation Minister Saad-Eddine el-Othmani that Japan will continue to support Morocco's democratization, including efforts to reduce regional disparities and develop industries, according to Japanese officials.
Genba and el-Othmani agreed to start preparatory talks for a bilateral investment agreement as well as to cooperate in the Tokyo International Conference on African Development ministerial follow-up meeting scheduled to be held Saturday in Marrakesh and enhance cooperation over aid to Africa, the officials said.
Genba also sought cooperation from Morocco, currently a nonpermanent member of the U.N. Security Council, on issues related to North Korea, and el-Othmani responded positively, they said.
Earlier Friday in Casablanca, Genba met with King Mohammed VI and agreed to accelerate cooperation in the field of solar energy while confirming their aim to strengthen the two countries' economic partnership by expanding investments from Japan. |
| | | Invité Invité
| | | | marques General de Division
messages : 4000 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 7 Mai 2012 - 9:59 | |
| il faut également se dire que les entreprises japonaises commencent à souffrir au niveau des coûts salariaux et à 2 niveaux : - au Japon où les coûts salariaux explosent ainsi que les retraites et coûts sociaux ....produire au Japon devient un luxe et comparativement aux Coréens , les sociétés japonaises voient leurs marges bénéficiaires s'effondrer - dans leurs implantations asiatiques, où les coûts humains augmentent fortement, à quoi se rajoute en Thaïlande l'impact des dernières inondations qui ont complétement stoppé l'activité de leurs sous-traitants et qui s'est répercutée ensuite chez les donneurs d'ordre japonais .. autre élément à rajouter : la forte hausse des coûts de transport maritime (suite à la hausse du pétrole) et qui se répercute sur les prix des produits japonais qui ne cessent de perdre des parts de marché !! le Maroc offre une alternative de délocalisation intéressante pour les japonais par rapport à l'Asie pour attaquer le marché Européen, d'autant plus que les donneurs d'ordres japonais déjà installés , comme Yazaki , sont très satisfaits de leur choix et n'arrêtent pas de le dire j'ai eu de voir des organismes japonais, entreprises ou fédérations professionnelles japonaises débarquer à CASA pour faire une visite de travail dans les implantations de Yakazi de Kenitra ...et ils sont toujours accueillis et encadrés par des fonctionnaires de l'ambassade du Japon en matière de business, les Japonais ont toujours l'habitude de fonctionner en groupe ou plutôt en "meute" , et s'ils s'intéressent à un pays, ils ont toujours l'habitude d'y aller en groupe ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 8 Mai 2012 - 15:34 | |
| Y'a plus qu'a dire Inchallah et voir Toyota, bridgestone, ou encore sony, toshiba, panasonic, nintendo, capcom venir s'installer hez nous ! - Citation :
- Le Japon finance notre système d’assainissement
Par LesEchos.ma Le Maroc a signé avec le Japon, en fin de semaine dernière, un accord d’échanges relatif à un prêt de 1 milliard de DH. Ce fonds sera dédié au financement de l’extension et de la réhabilitation des systèmes d’assainissement dans neuf communes du royaume. Par ailleurs, dans moins de deux mois, une mission d’hommes d’affaires japonais devrait opérer une visite de travail au Maroc pour impulser les investissements du Japon dans le royaume en tant que deuxième fournisseur de l’aide publique au pays. |
| | | osmali Aspirant
messages : 530 Inscrit le : 04/11/2011 Localisation : Türkiye Cumhuriyeti //MENA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 8 Mai 2012 - 21:26 | |
| - Badman a écrit:
- Y'a plus qu'a dire Inchallah et voir Toyota, bridgestone, ou encore sony, toshiba, panasonic, nintendo, capcom venir s'installer hez nous !
[/b] [/quote] il faut que le comité qui va les accompagner durant cette visite , ils doivent faire tréés attentions que les japs n'entendent pas quelque chose apropot de darbgallaf, ou qu'ils y mettent les pieds ! sinon babaaye sony, toshiba, panasonic, nintendo, capcom _________________ "Do you believe a man can change his destiny?"https://www.youtube.com/watch?v=XogzGNXpRoM | |
| | | dan Capitaine
messages : 936 Inscrit le : 02/11/2010 Localisation : FRANCE Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 9 Mai 2012 - 14:27 | |
| - Citation :
- Le ministère de l'Equipement et du transport a réalisé les études techniques concernant le port Nador West Med
Le ministre de l'Equipement et du transport, Aziz Rebbah a indiqué, mardi, que son ministère a élaboré, par le biais de l'Agence nationale des ports (ANP), les études techniques nécessaires pour la réalisation du port Nador West Med.
Les études ont été effectuées dans le cadre d'un accord conclu à travers une procédure de négociation, a précisé M. Rebbah lors de sa réponse à une question orale du groupe socialiste dans la Chambre des conseillers.
Ces études portent sur les conditions naturelles de la région, les différents dessins dudit port, sa conception définitive et son impact sur l'environnement, alors que l'ANP veille actuellement sur la finalisation des études complémentaires de ce projet.
Le ministre a affirmé que ce projet vise essentiellement à améliorer la capacité portuaire du Royaume, à renforcer sa position dans le trafic maritime aux niveaux régional et international et à assurer l'approvisionnement du Maroc en produits énergétiques.
M. Rebbah a relevé, en outre, que le financement du projet pourrait se faire à travers une participation directe du budget de l'Etat et par une contribution des fonds d'investissement. Il a indiqué que les financements par crédits se feront par l'intermédiaire de l'ANP et des bénéficiaires du contrat de préférence dans le cadre du partenariat entre les secteurs public et privé.
L'ANP avait programmé pour cette année le lancement des travaux de construction des barrières de protection et d'évidage du bassin du port Nador West Med, alors que l'appel d'offres devrait être annoncé une fois les études sont terminées.
MAP | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 11 Mai 2012 - 17:14 | |
| - Citation :
- Yazaki se positionne à Meknès !
Le groupe japonais Yazaki va créer une nouvelle usine de câblage à Meknès. L’intérêt est porté sur un terrain de 6 ha, situé dans la commune de Mejjat que le Centre Régional d’Investissement mettra à la disposition de l’investisseur. Ce dernier s’engage, pour sa part, à donner le premier coup de pioche dans les plus brefs délais et à créer près de 700 postes d’emploi dès le démarrage (dans un an) et 3.000 à terme. Notons que Yazaki Morocco est déjà présente à Tanger et Kénitra. Son management a mené un benchmarking dans les différentes régions du Maroc.
L'economiste |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 11 Mai 2012 - 22:47 | |
| - Citation :
Ranbaxy boosts presence in Africa with malaria drug
Accra (Ghana): Leading Indian drug manufacturer Ranbaxy Laboratories has boosted its presence in the emerging market of Africa, introducing its new malaria-fighting drug Synriam and setting up manufacturing facilities in Morocco, Nigeria and South Africa.
The arrival of the Synriam drug has come as a boon for many in a continent plagued by malaria. The drug provides quick relief from most malaria-related symptoms, including fever, and has a high cure rate of over 95 per cent.
"It is among the best options available today," said Sudershan Arora, president, research and development (R&D), of the Indian unit of Japanese Daiichi Sankyo company.
The new drug, Aurora said, was "developed as a fixed dose combination consisting of arterolane maleate 150 mg and piperaquine phosphate 750 mg drug, in line with WHO recommendations."
Ranbaxy officials say the new drug has been approved by the Drug Controller General of India (DCGI) for marketing in India and conforms to the recommendations of the World Health Organization (WHO) for using combination therapy in malaria.
The officials said phase-III clinical trials for the drug conducted in India, Bangladesh and Thailand "successfully demonstrated the efficacy and tolerability of Synriam as comparable to the combination of artemether and lumefantrine."
The company officials said they were working to make this new treatment available in African, Asian and South American markets where malaria is rampant.
Opening the Moroccan facility last month, the company said the new manufacturing facility in Casablanca has paved the way for a direct business presence in North Africa.
The opening followed the successful audit of the facility by the Moroccan Health Authorities. With this, the company hopes to tap into a $1 billion pharmaceutical market in Morocco.
"Ranbaxy has a significant presence in Africa with its own ground operations in key markets. Morocco is one of the important markets and this manufacturing facility further reinforces our commitment to the people of Morocco and the African continent," Mahendra Bhardwaj, head of the firm`s Africa operations, told IANS.
In addition to servicing the Morocco market, Ranbaxy also plans to extend the supply from this manufacturing unit to other African countries in the coming years.
In addition to Morocco, the company now has two other manufacturing facilities in Africa located in Nigeria and South Africa. "With five subsidiaries, five representative offices and a strong workforce of nearly a 1,000 people, Ranbaxy`s distribution network caters to 44 of the 54 countries in this continent," the company said in a statement.
In Nigeria, the company plans to open a new greenfield manufacturing plant to further strengthen its presence in the country, Sawhney said in a conference call.
The plant is being set up to upgrade the company`s liquid manufacturing capacity and consolidate its position as a market leader. It is expected to take off in 2013.
"It`s the company`s strategy," Sawhney said. "We will be consolidating our position in the emerging markets and we have selected certain key emerging markets. We can`t just keep on growing manufacturing activities only in India. So there are certain strategic locations where we will have to take a decision."
Referring to facilities in Nigeria, South Africa and Morocco, Sawhney said, "These are the important markets of the continent of Africa and emerging markets is our story."
"It is important for us to be present there in some respectable measure. That`s the reason for setting up operations there."
The new plant in Nigeria would increase Ranbaxy`s liquid manufacturing capacities to about 14 million units annually. It will also upgrade its manufacturing capacities to about 100 million units of tablets and capsules yearly.
IANS
Zeenews India |
| | | PGM Administrateur
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 11 Mai 2012 - 22:52 | |
| Excellente nouvelle. Nous couvrirons le nord et la zone cedeao je pense.
Pgm | |
| | | sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 12 Mai 2012 - 1:11 | |
| - dan a écrit:
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- Citation :
- Le ministère de l'Equipement et du transport a réalisé les études techniques concernant le port Nador West Med
Le ministre de l'Equipement et du transport, Aziz Rebbah a indiqué, mardi, que son ministère a élaboré, par le biais de l'Agence nationale des ports (ANP), les études techniques nécessaires pour la réalisation du port Nador West Med.
Les études ont été effectuées dans le cadre d'un accord conclu à travers une procédure de négociation, a précisé M. Rebbah lors de sa réponse à une question orale du groupe socialiste dans la Chambre des conseillers.
Ces études portent sur les conditions naturelles de la région, les différents dessins dudit port, sa conception définitive et son impact sur l'environnement, alors que l'ANP veille actuellement sur la finalisation des études complémentaires de ce projet.
Le ministre a affirmé que ce projet vise essentiellement à améliorer la capacité portuaire du Royaume, à renforcer sa position dans le trafic maritime aux niveaux régional et international et à assurer l'approvisionnement du Maroc en produits énergétiques.
M. Rebbah a relevé, en outre, que le financement du projet pourrait se faire à travers une participation directe du budget de l'Etat et par une contribution des fonds d'investissement. Il a indiqué que les financements par crédits se feront par l'intermédiaire de l'ANP et des bénéficiaires du contrat de préférence dans le cadre du partenariat entre les secteurs public et privé.
L'ANP avait programmé pour cette année le lancement des travaux de construction des barrières de protection et d'évidage du bassin du port Nador West Med, alors que l'appel d'offres devrait être annoncé une fois les études sont terminées.
MAP le projet d une raffinerie en algérie vu la somme de annoncé de 10 milliards rentre t elle en compte pour concurrencer le projet!!! | |
| | | dan Capitaine
messages : 936 Inscrit le : 02/11/2010 Localisation : FRANCE Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 12 Mai 2012 - 14:41 | |
| - sorius a écrit:
- dan a écrit:
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- Citation :
- Le ministère de l'Equipement et du transport a réalisé les études techniques concernant le port Nador West Med
Le ministre de l'Equipement et du transport, Aziz Rebbah a indiqué, mardi, que son ministère a élaboré, par le biais de l'Agence nationale des ports (ANP), les études techniques nécessaires pour la réalisation du port Nador West Med.
Les études ont été effectuées dans le cadre d'un accord conclu à travers une procédure de négociation, a précisé M. Rebbah lors de sa réponse à une question orale du groupe socialiste dans la Chambre des conseillers.
Ces études portent sur les conditions naturelles de la région, les différents dessins dudit port, sa conception définitive et son impact sur l'environnement, alors que l'ANP veille actuellement sur la finalisation des études complémentaires de ce projet.
Le ministre a affirmé que ce projet vise essentiellement à améliorer la capacité portuaire du Royaume, à renforcer sa position dans le trafic maritime aux niveaux régional et international et à assurer l'approvisionnement du Maroc en produits énergétiques.
M. Rebbah a relevé, en outre, que le financement du projet pourrait se faire à travers une participation directe du budget de l'Etat et par une contribution des fonds d'investissement. Il a indiqué que les financements par crédits se feront par l'intermédiaire de l'ANP et des bénéficiaires du contrat de préférence dans le cadre du partenariat entre les secteurs public et privé.
L'ANP avait programmé pour cette année le lancement des travaux de construction des barrières de protection et d'évidage du bassin du port Nador West Med, alors que l'appel d'offres devrait être annoncé une fois les études sont terminées.
MAP le projet d une raffinerie en algérie vu la somme de annoncé de 10 milliards rentre t elle en compte pour concurrencer le projet!!! Les etudes ont commencé bien avant le sois disant "projet algerien" qui verra le jour en 2050 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 14 Mai 2012 - 20:20 | |
| - Citation :
- MAROC: Un prêt de 180 millions d'euros à l'OCP
L'Agence française de développement vient d'accorder un prêt de 180 millions d'euros (2 milliards DH) à l'OCP. Un prêt qui témoigne de l'accompagnement qu'entreprend l'agence depuis environ 10 ans au Maroc. Tour d'horizon des principales réalisations de l'AFD au Maroc.
Pour le Plan solaire, l'AFD a accordé un prêt de 100 millions d'euros, accompagné d'une subvention de 300 000 euros pour la 1ère phase du projet de la centrale de Ouarzazate.
Les autorisations d'engagements nettes cumulées du Groupe AFD au Maroc ont dépassé 2,7 milliards d'euros (30 milliards DH) au 31 décembre 2011. Ce qui place le Maroc en tête de ses bénéficiaires, selon un document de l'AFD . Une place de choix qu'occupe le Maroc dans la stratégie d'accompagnement de l'AFD. D'ailleurs, lors de la 9e rencontre de haut niveau » entre les Premiers ministres marocain et français du 2 juillet 2010, le montant des financements concessionnels de l'AFD sur la période 2010-2012 a été porté à 600 millions d'euros au minimum, dont 200 millions pour la seule Ligne à Grande Vitesse (LGV) Tanger-Kénitra. Par ailleurs, l'AFD poursuivra le développement de ses concours « non souverains ». En 2011, 330 millions d'euros ont ainsi été autorisés (sur un total de 481,1 millions d'euros).
Accompagner les plans sectoriels au-delà du financement ponctuel de projets, l'AFD vise à accompagner les politiques publiques par des aides, programmes et des appuis budgétaires sectoriels. De plus, les concours accordés par l'AFD en 2011sont très emblématiques puisqu'ils financent la mise en œuvre de plans sectoriels», déclare l'AFD. De ce fait, pour le Plan solaire, il y a eu un prêt de 100 millions d'euros, accompagné d'une subvention de 300 000 euros pour la 1re phase du projet de centrale de Ouarzazate. Quant au Plan Maroc Vert, un programme d'appui dans le nord du royaume a été réalisé par l'AFD à travers un prêt de 50 millions d'euros, accompagné d'une subvention de 300 000 euros. Pour l'OCP, c'est 180 millions d'euros qui ont été débloqués par l'agence
Source: Le Soir Echos 14.05.2012 - Citation :
- Plan Emergence" : offshoring, automobile et aéronautique se démarquent
Le Maroc en a fait son projet phare pour donner un coup de fouet au tissu économique exportateur. La communication soutenue qui a accompagné la présentation du Plan Emergence, en 2005, puis, en février 2009, du Pacte national d’émergence industriel (PNEI), destiné à le mettre en œuvre, après un réajustement, a été à la hauteur des espoirs. Trois ans plus tard et à rebours du regard critique des sceptiques, le ministère du commerce, de l’industrie et des nouvelles technologies, estime l’état d’avancement des divers chantiers satisfaisant.
Sur les sept métiers mondiaux du Maroc concernés, en l’occurrence l’offshoring, l’automobile, l’aéronautique, l’électronique, l’agroalimentaire, les produits de la mer et le textile, le ministère souligne que les trois premiers cités sont ceux dont les réalisations sont les plus significatives.
Dans l’offshoring, secteur porteur en matière d’emploi, deux plateformes offshore intégrées, Casanearshore et Technopolis qui abritent plus de 70 entreprises, sont déjà opérationnelles. Les travaux de construction de Fèsshore, Tetouanshore et Oujdashore sont bien avancés, et les premiers plateaux seront livrés avant la fin de 2012. Selon le ministère, 50% de l’objectif de 100 000 emplois à l’horizon 2015 sont atteints. Le chiffre d’affaires à l’export est estimé à 7 milliards de DH pour l’exercice 2011. Dans l’automobile, secteur stratégique dans la politique industrielle nationale, 31 500 emplois sur les 70 000 postes prévus à l’horizon 2015 ont été créés, soit une croissance annuelle de 32% entre 2009-2011. Les exportations se sont élevées à 22,6 milliards de DH en 2011, soit une croissance de 38% par rapport à l’année antérieure. Le ministère note que l’implantation de l’usine Renault, dont la première phase d’une capacité de 200 000 véhicules a nécessité un investissement de 350 millions d’euros, illustre parfaitement l’émergence du secteur automobile au Maroc. Orienté vers l’exportation, ce complexe industriel devrait créer, à terme, 36 000 emplois directs et indirects, c’est-à-dire une fois que les capacités auront doublé. Il permettra de générer des exportations d’une valeur de 38,5 milliards de DH. Parallèlement à ce projet, plusieurs investissements ont été réalisés par des équipementiers de renommée internationale, notamment SNOP (emboutissage), GMD (emboutissage/plastique), Valeo (système d’éclairage), Inergy (réservoir à carburant). St-Gobain (pare-brise), Viza (armature de sièges), Takata (airbag et ceinture de sécurité et Denso (climatisation). Estimés à 1,6 milliard de DH, ces investissements ont généré environ 2 600 emplois.
La même dynamique est perçue dans l’industrie aéronautique qui a enregistré une croissance annuelle à deux chiffres en 2011. Le secteur compte 8 000 emplois et a dégagé un chiffre d’affaires de 8 milliards de DH. L’aéronautique maintiendra sa croissance grâce au groupe Bombardier qui annonce un investissement de 1,6 milliard de DH (200 millions de dollars). Ce projet induit 850 emplois directs et 4 400 indirects, sans oublier les investissements réalisés par des fournisseurs du constructeur appelés à accompagner l’implantation du groupe au Maroc.
Gros coup de pouce pour le textile
Durant les deux dernières années, des avancées, certes moins importantes, ont été comptabilisées dans d’autres secteurs. Dans l’électronique, le potentiel de développement est estimé dans le cadre du PNEI à 2,5 milliards de DH de PIB additionnels et 9 000 emplois directs. Depuis 2009, ce sont plus de 4 000 emplois qui ont été créés par ce secteur dont les exportations ont atteint 6,8 milliards de DH en 2011. Ce secteur a capté deux grands projets d’investissement dépassant le milliard de DH à Technopolis de Rabat. Ce sont Lear Corporation pour la production de l’électronique embarquée et Nemotek, spécialisé dans la fabrication des caméras miniaturisés. Ces deux sociétés totalisent 800 emplois.
Pour le textile, autre secteur important pour l’économie nationale, le PNEI a prévu une quinzaine de mesures afin de hisser son potentiel de croissance à plus d’un milliard de PIB et permettre la création de 32 000 emplois à l’horizon 2015. A cet égard, le pacte vise le développement des débouchés à l’export à travers le démarchage des donneurs d’ordre. A ce jour, treize donneurs d’ordre ont été démarchés, dont 4 français, 1 espagnol, 1 britannique et 7 italiens. Le développement se fera aussi par l’encouragement de l’implantation des unités de finissage, de teinture et d’impression. Ce projet est en cours de concrétisation puisqu’une entreprise, issue d’un partenariat entre deux sociétés espagnoles et une entreprise nationale, a déposé son dossier d’investissement pour étude auprès du ministère.
Encore beaucoup à faire
Par ailleurs, les dispositifs d’accompagnement comme Moussanada textile, Moussanada TI textile et Moussanada Transverse ont intéressé beaucoup d’entreprises. Selon le ministère, 87 entreprises ont bénéficié à ce jour de ces trois offres. D’autre part, sept entreprises ont bénéficié du programme Imtiaz et dix autres de Inmaa. Sur ces dix unités, quatre ont déjà obtenu des résultats positifs puisqu’elles ont réduit de 50% les délais de fabrication et ont augmenté de 50% leur production et de 55% leur rendement. Sans oublier le programme d’appui pour l’émergence de converteurs, agrégateurs et distributeurs. Ces véhicules d’accompagnement voués à encourager la modernisation des PME concernent tous les secteurs, sous différentes déclinaisons. Par exemple, 610 PME ont, au 30 avril 2012, profité de Moussanada qui vise à améliorer la compétitivité et la productivité. L’ANPME qui gère le dispositif a retenu 80 projets en 2010 et 2011 au titre du programme Imtiaz qui soutient l’investissement matériel et immatériel. Quant à Inmaa destiné à diffuser les principes de l’excellence opérationnelle, il a séduit, à fin 2011, 59 entreprises, cumulant 11,7 milliards de DH de chiffre d’affaires et 15 700 emplois.
Dans l’agroalimentaire, secteur à cheval entre l’industrie et l’agriculture avec son Plan Maroc Vert, la démarche d’amélioration de la compétitivité est matérialisée par la fixation à 2,5% des droits de douane pour un quota d’intrants (sucre, lait, blé). Et en concertation avec les opérateurs, les pouvoirs publics continuent de lutter contre la sous-facturation.
Il reste beaucoup à faire pour atteindre les buts dans les délais. Mais le fait que la dynamique soit déjà enclenchée est de bon augure pour le reste. Le verre à moitié vide ou à moitié plein ? Tout dépend des ambitions des uns et des autres et de l’appréciation du potentiel industriel du pays
Ressources humaines : 15 620 personnes ont déjà été formées
La formation est l’un des principaux axes du PNEI. La disponibilité et la qualité des ressources humaines conditionnent en effet l’attractivité de la destination Maroc et contribue au renforcement de la productivité et à l’amélioration de la compétitivité des entreprises. Dans cette optique, plusieurs projets ont été réalisés, ou sont en cours de réalisation, en collaboration avec les associations professionnelles et les acteurs opérant dans le domaine de la formation. Depuis le lancement du PNEI (année 2009), près de 15 620 personnes ont été formées et insérées dans 217 entreprises.
L’Etat a ouvert 3 instituts de formation dédiés au secteur de l’automobile. Ce sont le centre de formation aux métiers de l’automobile de Tanger Méditerranée dédié à Renault et à ses fournisseurs prévu pour sortir 6 000 lauréats sur la période 2011-2013 et deux instituts de formation aux métiers de l’industrie automobile à Casablanca (700 places) et Tanger (500 places). Celui de Kénitra est en chantier. L’Institut marocain de l’aéronautique (IMA) est aussi en service à Nouaceur et l’Ecole supérieure de création et de la mode (ESCM) l’est à Casablanca.
Au titre du programme Call Académie pour répondre aux besoins en ressources humaines des centres d’appel, 445 personnes ont été formées dont 55% insérées. Un groupe de 880 personnes devrait suivre les formations durant l’année en cours la vie eco - Citation :
- Le Maroc futur fournisseur d’électricité verte
À la différence de l’Algérie, le Maroc ne possède ni pétrole ni gaz mais bénéficie d’un ensoleillement qui pourrait lui permettre de devenir dans les années à venir un fournisseur d’énergies renouvelables de l’Europe.
Onze heures par jour de luminosité et une conservation de la chaleur durant sept heures contre trois heures en France ! L’ensoleillement du Maroc pourrait créer la richesse et les emplois de demain. Le pays possède tous les atouts pour mettre en œuvre le plan solaire méditerranéen dont l’ambition porte sur le déploiement de 20 gigawatts de capacité d’énergie renouvelable dans la région méditerranéenne à l’horizon 2020.
Le pays dispose déjà d’une capacité d’énergie solaire et éolienne installée relativement importante. Compte tenu de sa proximité avec l’Espagne (14 km), il bénéficie de l’interconnexion la plus poussée avec l’Europe dans la région. D’ores et déjà, des câbles électriques permettent l’exportation d’électricité depuis le Maroc.
« Nous avons élaboré en 2011 un projet avec les équipes marocaines destiné à étudier les effets macro économiques de l’installation de centrales thermosolaires au Maroc », expliquent Alejandro Lorca et Rafael de Arce, professeurs d’économie à l’Université autonome de Madrid. Dans le récent rapport de recherche FEMISE (FEM34-02 ) intitulé « Énergies renouvelables et développement durable en Méditerranée : Le Maroc et le Plan solaire méditerranéen », les deux directeurs de recherche analysent les effets économiques de la construction de centrales solaires concentrées (CSP), photovoltaïques et de parcs éoliens au Maroc au cours des trente prochaines années. Les centrales concentrées, développées dans les années 2000, présentent le potentiel le plus important. L'énergie éolienne devrait également permettre au Maroc d'exporter de l'électricité.
Augmentation du PIB et des emplois en sept scénarios
La technologie de l'energie solaire concentrée sur des miroirs, développée dans les années 2000 est la plus prometteuse. Le Maroc pourrait ainsi vendre à l’étranger 20% des énergies renouvelables produites, en particulier vers la France. Après la catastrophe de Fukushima et compte tenu de la diminution des énergies fossiles, les énergies renouvelables sont appelées à prendre une part croissante dans le mix énergétique.
L’Allemagne, l’Espagne et les Etats-Unis constituent les principaux fabricants de miroirs de centrales solaires concentrées. Plusieurs scénarios sont envisageables pour le Maroc. Dans l’hypothèse la plus basse, le Maroc importe tous les constituants des centrales et se contente de les installer. Cela contribuerait à une augmentation du PIB de 1,17 % et à la création de 319 000 nouveaux emplois. Dans le meilleur des scénarios, incluant une intégration de la production, le PIB augmenterait de 1,91% et 482 000 emplois seraient créés.
Toutefois, construire des usines de production de centrales solaires concentrées et exporter une part de l’énergie nécessiterait un investissement évalué à 8 mds d’€ d’après les économistes. « Des discussions sont en cours entre les gouvernements français et marocains destinées à mettre en place des mécanismes financiers incitatifs pour attirer les investisseurs étrangers à implanter des CSP », souligne Alejandro Lorca.
Actuellement, une première CSP est en service à Ain Beni Matar et la seconde, située à Ouarzazate, devrait entrer en service en 2013.
Source : econostrum |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 15 Mai 2012 - 11:19 | |
| - Citation :
- Maroc: Près de 30% des jeunes sont au chômage, selon la Banque Mondiale
14/05 | 20:26
Près de 30% de jeunes âgés de 15 à 29 ans sont au chômage au Maroc, selon un rapport de la Banque mondiale (BM) rendue publique lundi à Rabat. Cette catégorie de jeunes vivant dans les villes "se trouve sans emploi ou ne fréquente pas le système éducatif", selon cette enquête intitulée "Promouvoir les opportunités et la participation des jeunes au Maroc" et réalisée en 2011 par la BM auprès de 2.883 jeunes. Le Maroc compte plus de 32 millions d'habitants dont près de 11 millions sont âgés de 15 à 35 ans, selon des chiffres publiés à Rabat. "Les jeunes au Maroc sont pleins d'idées et tiennent à contribuer au développement de la société", a déclaré Gloria La Cava spécialiste des sciences sociales à la BM et directrice de l'équipe ayant rédigé ce rapport. Selon cette dernière, citée par un communiqué de la BM, les jeunes ont été pourtant "exclus des opportunités, n'ont pas bénéficié d'une décennie de croissance économique et n'ont qu'une voix très limitée dans le processus de prise de décisions". Les programmes "actuels de lutte contre le chômage des jeunes se caractérisent par des dysfonctionnements (...) sachant que la majorité de ces programmes concernent les diplômés de l'enseignement supérieur". Or, selon la même source, ces derniers "représentent seulement 5% des jeunes chômeurs laissant donc le reste pratiquement sans aucun programme de lutte contre le chômage". Selon le rapport, les "jeunes eux-même doivent faire partie de la solution en tant que participants actifs dans la conception et l'évaluation des programmes destinés à répondre à leurs besoins". Il constate aussi que les "changements (réformes) qui ont eu lieu au Maroc révèlent aussi le potentiel et la détermination (du gouvernement) à relever ces défis". - Citation :
- Maroc: l'activité économique reste l'une des plus fortes de la région
L'activité économique au Maroc reste l'une des "plus fortes" de la région MENA (Moyen-Orient, Afrique du nord) a indiqué la directrice adjointe du Fonds monétaire international (FMI) Nemat Shafik, qui entame lundi une visite de travail dans le royaume. La responsable du FMI s'attend à ce que l'année 2012 soit "marquée notamment par un rebond de la production agricole et dans les secteurs manufacturier et du tourisme", dans une interview à l'agence marocaine d'information MAP, avant sa visite. Selon elle, la consommation intérieure devrait continuer d'être le "principal moteur" de la croissance dans le royaume. Le FMI s'attend en 2013 à un rebond de la production agricole après une mauvaise année 2012, et à la mise en oeuvre de grands projets d'investissement dans le secteur manufacturier, notamment celui de l'automobile, et de la construction avec plusieurs projets touristiques. Le Maroc, a-t-elle poursuivi, devra également bénéficier, à l'instar des autres pays de la région, de la reprise économique attendue dans la zone euro en 2013, indique la MAP. Le FMI prévoit une croissance de 4,3% du PIB en 2013, soit l'un des taux les plus élevés dans la région. Cependant, après avoir été estimée à 5%, puis à 4,2% pour l'année 2012, la croissance a été ramenée récemment à 3% (contre 4,8% l'an dernier), selon les dernières estimations de la Banque du Maroc. Pour sa part, le Haut-commissariat au Plan (HCP) a indiqué que le PIB du Maroc n'aurait progressé que 2,2% au premier trimestre 2012, en glissement annuel, selon un rapport provisoire publié la semaine dernière,. Evoquant la crise dans la zone euro et son impact sur les pays de la région, la responsable du FMI a enfin souligné que des pays comme le Maroc et la Tunisie dépendent très largement de l'Europe, "destination d'environ 60% des exportations du Maghreb, et la source de 80 à 90% de ses revenus du tourisme, et d'environ 80% de ses investissements directs". Les Echos _________________ | |
| | | marques General de Division
messages : 4000 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 15 Mai 2012 - 11:42 | |
| - Citation :
- Fès-Recrutement
Gros rush chez le Japonais Yazaki Il recrute 2.800 personnes pour son site de Meknès, 700 dès le démarrage
Grandes entreprises et chasseurs de tête au Forum Technologia. L’évènement a reçu pas moins de 1.000 étudiants et futurs diplômés des grandes écoles pour des offres estimées à plus de 3.000 postes.
Le Forum de recrutement Technologia a connu un franc succès. Organisée le 9 mai dernier, au sein du campus de l’Université libre de Fès, cette 2e édition s’est déroulée en présence de 30 entreprises. Parmi elles, figurent les groupes Addoha, Yazaki, Afej, Coca-Cola, HPS, Holcim, Marjane, Webhelp, en plus des banques BMCI, BP, et Attijari. «Comme pour la première édition, cette année aussi, nous avons associé avec nous l’ensemble des écoles supérieures et des universités locales», indique Mohamed Aziz Lahlou, président de l’Université libre de Fès Technologia, initiateur du Forum. Partenaires de cette édition, l’Anapec, Fès Shore, et l’Union régionale de la CGEM ont marqué par leur présence le Forum. Les initiateurs de l’événement ont développé le concept du workshop, deux ateliers de travail sur les nouveaux métiers, réunissant les entreprises et les étudiants qui répondent parfaitement aux critères de sélection établis par les recruteurs. Grâce à cet outil, l’employeur peut se faire, dans la journée, une idée concrète du profil qu’il pense recruter. Et il y a eu un grand choix, surtout pour les jeunes lauréats. En effet, l’évènement a reçu pas moins de 1.000 étudiants et futurs diplômés des grandes écoles pour des offres estimées à plus de 3.000 postes. Premiers à en profiter, les responsables des centres d’appels Webhelp. Ces derniers parlent du recrutement imminent de quelque 200 téléopérateurs et cadres dans la région. Pour sa part, Sifeddine Ameziane, directeur régional de l’Anapec, a noté que «cette rencontre est l’occasion de dénicher les profils adéquats dans leurs domaines respectifs (bâtiment, offshoring, management, banque, grande distribution…)». Le responsable de l’Agence affirme par ailleurs que Yazaki, à titre d’exemple, cherche actuellement 2.800 personnes entre ouvriers, cadres, et ingénieurs. Le groupe japonais va créer une nouvelle usine de câblage à Meknès. Il s’engage, pour sa part, à donner le premier coup de pioche dans les plus brefs délais et à créer près de 700 postes d’emploi dès le démarrage (dans un an). Et c’est ce qui fait que bon nombre de jeunes s’étaient orientés, lors du Forum, vers le stand des Japonais. Autre espoir, le Forum désire renforcer la présence des grands industriels afin de faciliter le recrutement des ingénieurs. Evidemment, les étudiants recherchant des entreprises commerciales n’ont pas été lésés pour autant car ils ont bénéficié d’une large palette de choix. Selon les organisateurs, la réussite de cette deuxième édition est adossée avant tout à l’évolution économique de la capitale spirituelle. http://www.leconomiste.com/article/894357-f-s-recrutementgros-rush-chez-le-japonais-yazaki | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 15 Mai 2012 - 12:09 | |
| avec la prochaine autoroute fez/meknes --> tanger, ce choix s'avère judicieux. Ca placera ces 2 villes à 2/3 h de tanger med au lieu des 5/6 h actuelles. - Citation :
- Une autoroute Fès-Tanger Med que construiraient des opérateurs privés ?
32Le projet est porté par une banque d’affaires tangéroise : Blue Ocean Development Bank. Estimé à 700 millions d’euros, l’investissement devra être financé pour l’essentiel par des privés.
C’est un projet audacieux qu’affine en ce moment la banque d’affaires tangéroise Blue Ocean Development Bank. Il s’agit d’une autoroute de 190 km qui relierait directement Fès au port de Tanger Med. Elle permettrait de gagner près de 200 km sur ce trajet, un gain qui bénéficierait aux opérateurs économiques de Fès et de Meknès, mais également à ceux de Taza et d’Oujda et du sud vers Errachidia puisque le trafic routier et commercial en provenance de cette région aboutit, au nord, vers Azrou et Meknès. Aujourd’hui, pour relier Fès à Tanger Med, voitures et camions doivent emprunter l’autoroute vers la côte atlantique à l’ouest jusqu’à Salé avant de remonter vers le nord en prenant l’autoroute Rabat-Tanger. Or, une connexion entre les deux villes, qui comptent parmi les plus importantes du pays aussi bien en termes de démographie (1 million d’habitants pour Fès, 930 000 pour Tanger) que de poids économique (respectivement 5e et 4e en termes de classement économique, selon le dernier baromètre La Vie éco-Valyans sur le classement des villes) n’est pas une idée aussi farfelue qu’il puisse paraître. Il reste que la réalisation d’une telle infrastructure pèse très lourd. Le projet, dont le coût est estimé à 700 millions d’euros (7,7 milliards de DH), est en discussion entre élus locaux de Fès et le patronat local depuis 2008, lorsque le Conseil municipal dirigé par Hamid Chabat et le Conseil régional présidé par Mhamed Douiri avaient inscrit ce point à l’ordre du jour. A cette époque, la ville et la région, contrôlées par des hommes du même parti que le ministre de l’équipement Karim Ghellab, étaient prêtes à apporter leur contribution au budget des études techniques chiffré à un peu moins de 500 MDH. L’idée de construire cette autoroute a déjà été présentée au printemps dernier aux opérateurs économiques, aux élus et aux autorités locales fassis qui, dans l’ensemble, l’ont accueillie favorablement. Selon le vice-président de Blue Ocean Development Bank, Taoufik Ben Gebara, «une telle infrastructure désenclaverait la région Centre et ouvrirait une nouvelle frontière de développement vers le nord du pays et la région du Rif». Après l’ouverture du tronçon autoroutier reliant Fès à Oujda en juillet dernier, une meilleure desserte vers Tanger Med et vers la région d’Al Hoceima reste à concevoir. Le tracé de la future autoroute permettrait, outre le fait de faire gagner 200 km, soit 2 heures et quelques centaines de dirhams en carburant, aux automobilistes et aux opérateurs économiques par rapport au parcours actuel, de mieux desservir l’est de la plaine du Gharb vers Souk el Arbaâ et Mechraâ Bel-Ksiri. De plus, le fait qu’elle devrait passer par Ouezzane et à 20 km au sud de la ville de Chaouen donnerait un nouvel élan de développement au Rif occidental. Selon M. Ben Gebara, les premières ébauches du projet sont réalisées sur la base d’un partenariat entre des entreprises marocaines, françaises, italiennes et turques. Le financement sera privé, complété par des apports de fonds d’institutions publiques marocaines, européennes et africaines.
Pourquoi pas une voie express ?
Si elle venait à voir le jour, cette voie serait la première autoroute marocaine entièrement construite avec des fonds privés. Le réseau autoroutier marocain actuel de 1 420 km est géré par la Société publique autoroutes du Maroc (ADM) en vertu d’une concession accordée en ce sens par l’Etat. Du côté du ministère de l’équipement et du transport à Rabat, tutelle d’ADM, on affirme que «si projet d’autoroute Fès-Tanger Med il doit y avoir, ce serait dans le cadre d’un 2e schéma directeur autoroutier. Pour l’actuel, il reste encore Berrechid-Béni Mellal et El Jadida-Safi, en plus du contournement de Rabat et de la 3e voie de l’autoroute Casablanca-Rabat à achever». La même source souligne cependant que «la demande est notée», mais insiste sur le fait que «le privé n’a pas pu faire d’autoroute jusqu’à présent», allusion au premier projet d’autoroute Casa-Rabat dans les années 80, et ajoute que «ce n’est pas lui qui pourrait s’occuper des expropriations». Les arguments de l’administration ne sont pas dénués de bon sens : le fait est que, comme souvent dans les grands projets d’infrastructures, et encore plus pour une autoroute, le retour sur investissement est très long et il faut compter une trentaine d’années avant de récupérer sa mise, grâce aux recettes de péage et celle provenant de la location des terrains pour station-service. En d’autres termes, seuls les institutionnels peuvent y trouver leur compte. Au ministère de l’équipement, on se garde cependant de fermer la porte à l’option du privé, mais on trouve plus plausible la possibilité qu’au lieu d’une autoroute Fès-Tanger Med soit plutôt construite une voie express (double voie) sur le modèle de ce qui existe entre Tanger et Tétouan par exemple. Notons qu’avant de s’intéresser à ce projet, Blue Ocean a notamment à son actif le montage financier pour des infrastructures à Tanger Med, Dakar au Sénégal et Malabo en Guinée-Equatoriale.
Jamal Amiar. La Vie éco
PGM | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 16 Mai 2012 - 14:06 | |
| J'ai pris l'avion à côté de deux ingénieurs en qualité originaire de Roumanie et travaillant pour Yazaki! Elles m'ont confirmer que le groupe va faire du Pays une plateforme d'exportation majeur à destination de l'europe, que d'autre projet son en cours de développement! Idem apparement le haut management crois dure comme fer au "Maroc pays d'industrie automobile" et ils ne comptent pas resté les bras croisés avec les constructeurs auto _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 16 Mai 2012 - 14:10 | |
| Excellente nouvelle ! j'étais sur que le Programme Emergence aller donner un coup de fouet à l'Industrie marocaine... Mais aprés faut voir si c'est des projets stratégique a long terme, ou c'est la politique du deshabiller Paul pour habiller Jacques, c'est a dire fermé en Tunisie et ouvrir au Maroc... _________________ | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 16 Mai 2012 - 14:13 | |
| Il y a des délocaliastion prévu de Roumanie vers le Maroc... si c'est pas un signe ça _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 16 Mai 2012 - 19:13 | |
| - Citation :
- L'économie marocaine reste l'une des plus performantes de la région Moyen-Orient-Afrique du Nord, a indiqué la directrice adjointe du FMI, Nemat Shafik. Le FMI s'attend en 2013 à un rebond de la production agricole et à la mise en oeuvre de grands projets d'investissement dans l'automobile et la construction avec plusieurs projets touristiques. Le Maroc, a-t-elle poursuivi, devra également bénéficier, à l'instar des autres pays de la région, de la reprise économique attendue dans la zone euro en 2013.
et cela vient de la bouche du journal du voisin http://www.lexpressiondz.com/autres/de_quoi_jme_mele/153758-l-economie-marocaine-plus-performante-que-la-notre.html Report of 2011 predictions from IMF: - Citation :
- IMF Executive Board Concludes 2011 Article IV Consultation with Morocco
Public Information Notice (PIN) No. 11/133 November 3, 2011
Public Information Notices (PINs) form part of the IMF's efforts to promote transparency of the IMF's views and analysis of economic developments and policies. With the consent of the country (or countries) concerned, PINs are issued after Executive Board discussions of Article IV consultations with member countries, of its surveillance of developments at the regional level, of post-program monitoring, and of ex post assessments of member countries with longer-term program engagements. PINs are also issued after Executive Board discussions of general policy matters, unless otherwise decided by the Executive Board in a particular case.
On October 5, 2011, the Executive Board of the International Monetary Fund (IMF) concluded the Article IV consultation with Morocco.1
Background
Thanks to several years of sound macroeconomic policies and political reforms, Morocco was well equipped to address the 2008 international crisis and to respond to the social demands that have emerged during the Arab Spring. In this challenging environment, Morocco has performed well economically and has seen its social indicators improve.
Despite the slow recovery in the Euro zone—Morocco’s main trading partner—overall GDP is expected to grow between 4½–5 percent, one of the highest in the region, reflecting sustained growth in the nonagricultural sector—including the tourism sector—and a rebound in agricultural output. Unemployment is stable at about 9 percent, but urban and youth unemployment remains high. In 2011, a fall in domestic food prices—resulting from the higher local supply of food—as well as the existing subsidies, which prevented inflationary pressures stemming from higher international prices, are expected to help limit the increase in the average inflation to around 1½ percent.
During the fiscal year 2011 and following domestic unrest, the authorities have increased public spending in some areas. Maintaining prices for certain food products and fuel unchanged in the context of rising international commodity prices, will require spending on food and fuel subsidies of about 5½ percent of GDP in 2011, considerably in excess of the 2.1 percent of GDP estimated in the 2011 budget. In addition, all civil service wages were increased by a nominal amount of about US$75, which is expected to increase the wage bill by 0.2 percent of GDP to 10.7 percent of GDP. At the same time, the authorities took significant offsetting measures, which will help containing the budget deficit at around 5.7 percent of GDP. The authorities are preparing to implement fiscal consolidation measures starting in 2012 to bring the deficit down to 3 percent of GDP in the medium term, which would bring the total public debt to about 50 percent of GDP in the medium term.
The external balance has slightly deteriorated due to a terms-of-trade shock. The current account deficit may increase to about 5 percent of GDP at end-2011. Although Moroccan exports, including phosphate and its derivatives, have performed well, and transfers from Moroccans living abroad and tourism receipts—despite the terroristic attack in Marrakesh on April 28—have grown, this may not completely offset the increase in imports caused by rising international food and oil prices. Gross international reserves are expected to decline slightly at end-2011, while remaining comfortable, at above 5 months of imports of goods and services.
Morocco’s financial sector has made considerable headway, but it would need to mobilize additional resources to support financial development and adequate credit growth. The capital adequacy ratio of the system had risen to 12.3 percent at end-2010, up from 11.8 percent in 2009, and NPLs steadily declined from 6.1 percent of total loans in 2008 to 4.8 percent in 2010. However, credit quality appears to have slipped since 2009 as indicated by the increase in the cost of risk in 2009-2010 and a slight increase in NPL ratio during the first five months of 2011. Efforts to strengthen core capital will continue.
The authorities are continuing their efforts to implement an ambitious program of structural reforms to enhance productivity. In this context, the authorities have set a committee to enhance the business environment to continuously attract FDI.
Executive Board Assessment
Executive Directors commended the authorities for their sound macroeconomic policies and structural and political reforms that have helped Morocco weather the global crisis and respond to pressing social needs. Looking ahead, Directors noted that significant challenges remain, including the uncertain economic outlook in Europe and the region, the need for fiscal consolidation in the face of large popular demands, and the urgency to implement an ambitious agenda to boost employment and inclusive growth. Rebuilding policy buffers and accelerating reforms are critical to strengthen the economy’s resilience to shocks and lay a solid foundation for sustained growth over the medium term.
Directors stressed that containing and reorienting public expenditure, particularly by reforming the generalized subsidies system, will be key to ensuring medium-term fiscal sustainability. A well-targeted subsidy system would be less costly and better support the most needy segment of the population. Directors encouraged further efforts to strengthen revenue collection by broadening the tax base and improving tax administration, and commended the authorities for securing the mobilization of a greater share of domestic savings to provide additional resources to the financial sector.
Directors noted that moving to a flexible exchange rate would strengthen the central bank’s monetary policy framework and enhance policy flexibility and together with structural reforms could help competitiveness going forward. They agreed with the authorities that the timing should be carefully considered and coordinated with other macroeconomic policies and necessary preparatory measures, so as to preserve medium-term fiscal sustainability and financial stability.
Directors stressed the critical importance of boosting growth to help reduce unemployment and improve living standards. They encouraged the authorities to press ahead with the ongoing and planned structural reforms, including by improving the efficiency and composition of public spending. Directors agreed that further efforts are required to improve governance, the business climate, and trade integration at the regional and global levels, and to strengthen human capital to increase private investment and continue to attract FDI. Further reforms to increase labor market flexibility and contain hiring costs also remain important to reduce youth unemployment.
Morocco: Selected Economic Indicators, 2009–11 http://www.imf.org/external/np/sec/pn/2011/pn11133.htm | |
| | | leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 16 Mai 2012 - 23:29 | |
| on a fait 2,2% de croissance au 1er trimestre ( 4,9 ) l'an dernier et pas juste a cause de la compagne agricole même le pib hors agricole a fait 4,3 a la place de 5,6 l'an dernier pour la même période sans parlé de la croissance de la consommation 1,9 a la place de 8,6 l'an dernier causé par l'inflation qui est causé par la hausse des salaires l'inflation est passé de (1,1 a 2,3%) sachant que la consommation interne est le principal soutiens de la croissance au maroc sans parlé du hausse énorme des importations de 12,6 % l'économie va mal le gouvernement prend aucune mesure concrète ... en gros les 4,1 % de croissance c'est un rêve de mini actuellement le haut commissariat au plan prévoit entre 2,7 et 3% de croissance ce qui est pas assé ... _________________ Pro rege, saepe, pro patria semper اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Mer 16 Mai 2012 - 23:53 | |
| - leadlord a écrit:
- on a fait 2,2% de croissance au 1er trimestre ( 4,9 ) l'an dernier et pas juste a cause de la compagne agricole même le pib hors agricole a fait 4,3 a la place de 5,6 l'an dernier pour la même période sans parlé de la croissance de la consommation 1,9 a la place de 8,6 l'an dernier causé par l'inflation qui est causé par la hausse des salaires l'inflation est passé de (1,1 a 2,3%) sachant que la consommation interne est le principal soutiens de la croissance au maroc sans parlé du hausse énorme des importations de 12,6 % l'économie va mal le gouvernement prend aucune mesure concrète ... en gros les 4,1 % de croissance c'est un rêve de mini actuellement le haut commissariat au plan prévoit entre 2,7 et 3% de croissance ce qui est pas assé ...
leadlord, informatif Le temps de la foie en l'ideologie est fini en 1900... - Citation :
- First DAF CF85 assembled in Morocco
The first locally assembled DAF CF85 came off the production line at CFAO Motors Maroc on Thursday 10 May 2012. This marks the start of the local assembly of DAF trucks by CFAO, which has been responsible for marketing and sales of DAF trucks in Morocco since 2005.
CFAO Motors assembles two models of the popular DAF CF series in Morocco: a two-axle tractor for general applications and a four-axle (8×4) rigid for usage in areas such as the mining industry. “Ideal vehicles for heavy distribution in national transportation, as they combine reliability and excellent comfort for the driver with economical fuel consumption”, explains Philippe de Condé, Managing Director of CFAO Motors Maroc’s Truck Division. “We want to further enhance DAF’s market position in the +19 tonne segment. For 2012 we want to achieve a market share of over 11%, compared to the 9% we realised last year.”
On average, CFAO Motors Maroc assembles five CF trucks each week using so called ‘CKD’ (‘Completely Knocked Down’) packages, which are shipped from DAF Trucks in Eindhoven to Casablanca. DAF trained the assembly staff from CFAO. This guarantees, together with the ISO 9001 certification, that the quality of a truck assembled in Morocco is of the same high level as a vehicle manufactured in Eindhoven.
“CFAO is a leading and professional partner that is determined to further enhance DAF’s position in Morocco”, says Michiel Kuijs, Managing Director of Sales Operations at DAF Trucks N.V. “To achieve this ambition CFAO has an expert network of six sales and service dealers at its disposal.” http://www.hgvireland.com/05/16/first-daf-cf85-assembled-in-morocco/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 17 Mai 2012 - 20:22 | |
| - Fahed64 a écrit:
- Il y a des délocaliastion prévu de Roumanie vers le Maroc... si c'est pas un signe ça
C'est bien, c'est une premiere etape. J'espere que part la suite, ils embaucheront nos ingenieurs, et qu'ils etabliront des bureaux d'études,de r&d et d'ingenierie au Maroc. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 17 Mai 2012 - 21:27 | |
| - Citation :
- Les transferts des MRE vers le Maroc en hausse
Qui a parlé de baisse des transferts des Marocains résidant à l'étranger ? Selon l’Office des changes, à fin avril, ils ont progressé de 3,7%. Le volume étant passé de 17,77 MMDH en 2012 contre 17,13 MMDH durant le même mois de l'année 2011.
A en juger les recettes du mois de mars, les transferts des MRE ont enregistré une hausse de 31,6%, passant de 17,77 MMDH le mois dernier à 13,50 MMDH en mars 2012. Les recettes voyages ont totalisé, quant à elles, quelque 16,68 MMDH au titre du mois d’avril contre 16,51 MMDH une année auparavant, soit une légère augmentation de 1%. Par ailleurs, les recettes au titre des investissements et prêts privés étrangers se sont établies à plus de 8,56 MMDH contre 8,89 MMDH (-3,7 %), ajoute l’Office des changes tandis que les dépenses ont augmenté de 25,5% (3,17 MMDH contre 2,52 MMDH.
les echos ma |
| | | sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Mériem Bensalah-Chaqroun: la première femme à la tête du patronat Jeu 17 Mai 2012 - 22:58 | |
| - Citation :
- Mme Mériem Bensalah-Chaqroun, présidente de la société des eaux minérales Oulmès a été élue mercredi à la présidence de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), devenant la première femme à occuper ce poste depuis l'indépendance du royaume en 1956, a constaté un journaliste de l'AFP.
Elle rejoint le club restreint des femmes à la tête des confédérations de patronats comme en France et en Italie.
La patronne des patrons, seule candidate à la présidence de la CGEM, a succédé à Mohamed Horani, un homme d'affaires de Casablanca, la capitale économique du Maroc qui abrite le siège de la puissante CGEM.
Mme Bensalah Chaqroun, 49 ans, "a obtenu le soutien des candidats hommes qui se sont retirés au profit de la première femme marocaine qui a osé postuler à la présidence de la CGEM", écrit mercredi le journal indépendant Aufait.
Créée en 1947, la CGEM est une association privée qui regroupe des milliers d'entrepreneurs de "toutes tailles et de tous les secteurs" (industrie, commerce et services).
La nouvelle présidente de la CGEM a déclaré à la presse qu'elle est "très touchée par la marque de confiance placée en elle pour être à la tête de cette confédération".
"Je suis consciente, a-t-elle ajouté, de la responsabilité qui m'incombe et je vais oeuvrer au cours de mon mandat de trois ans pour résoudre les problèmes qui entravent le développement des petites et moyennes entreprises (PME), des locomotives de l'économie".
"Je voudrai rendre crédibles les PME dans le cadre de l'évolution de l'économie marocaine", a-t-elle assuré.
Mme Bensalah est diplômée de l'Université de Dallas (USA) et titulaire d'un diplôme en management et financement délivré par la même faculté. afp | |
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