Économie marocaine

Rappel du premier message :

LE FISC,CA RAPPORTE:
170 milliards de DH de recettes fiscales en 2011,jamais l etat n a engrangé autant,cela permettera d atténuer grandement le déficit budgetaire,ces recettes ont été realisées malgré le maintien des taux d imposition réstés les memes.
Maintenant ,si l actuel gouvernement combat efficacement la fraude fiscale dans ses divers aspects et qu il réussisse a élargir l assiette fiscale aux unités productives de l informel (dont le nombre avoisine UN MILLION selon le DEPF:département des etudes
et previsions financieres)le budget de l etat encaissera une somme encore plus substantielle.

Nos forumeurs ont développé une allergie aux pseudoanalystes. et essaie de comprendre ce que voulait te dire PGM.

Cordialement

docleo a écrit:

Nos forumeurs ont développé une allergie aux pseudoanalystes. et essaie de comprendre ce que voulait te dire PGM.

Cordialement

Donc tu n'as pas compris que c'était à Tshashh que je répondais...

Akhenaton a écrit:

docleo a écrit:

Nos forumeurs ont développé une allergie aux pseudoanalystes. et essaie de comprendre ce que voulait te dire PGM.

Cordialement

Donc tu n'as pas compris que c'était à Tshashh que je répondais...

Arrete de jouer au malin avec moi...

Et essaie de lire avant d ecrire. tshashh, il t a explique qu on s en fout de tes sources a la blabinette and co, et PGM t a explique que il y a quoi pour s alarmer mais pas s affoler. et c est pas toi qui va nous faire decouvrir hcp ... on cherche l analyse pas que les chiffres.

Fin du HS

Messieurs,

Essayons de garder un esprit constructif et restons bienveillants les uns à l'égard des autres.
Surtout quand tout le monde s'accorde a dire que la situation n'est pas reluisante et que nous pouvons mieux faire.
La cordialité n'aggravera pas nos soucis et permettra de mieux les vivre.

PGM

Citation :

Le Maroc se procure le plus grand système de séchage de phosphate au monde (SYNTHESE)

http://www.africatime.com/maroc/nouvelle.asp?no_nouvelle=679112&no_categorie=

Citation :

Economie
Baisse des produits exportés par le Maroc durant les 5 premiers mois de l'année

Les composants électroniques, les produits alimentaires, les dérivés de phosphates, les vêtements confectionnés..., les baisses vont jusqu'à 18%. En revanche, quasiment tous les principaux produits importés affichent une hausse.


Pas de répit dans la détérioration du commerce extérieur. A fin mai, les chiffres de l’Office des changes laissent voir une dégradation du déficit commercial de 10%, à 84,4 milliards de DH contre 76,7 milliards à la même période de 2011. Comme le mois dernier, ce niveau de déficit est supérieur à la valeur totale des exportations. Du coup, le taux de couverture (des importations par les exportations) baisse à 47,1%, perdant ainsi 1,2 point par rapport à mai 2011.

C’est que les exportations, cela est attendu, vu le contexte, ont progressé moins vite (+5%) que les importations (+7,6%). Et ceci en raison du fait que de nombreux produits à l’export ont accusé des baisses, parfois assez sévères. C’est le cas, par exemple, des composants électroniques (-17,8%, à 1,8 milliard de DH), des produits alimentaires (-5,3%) et notamment des légumes frais (-31,5%, à un peu plus de 1 milliard de DH), des fils et câbles pour l’électricité (-9,1%, à 6,3 milliards de DH), des dérivés de phosphates (-1,8%, à 13,2 milliards), des vêtements confectionnés (-2,8%, à 8 milliards) et des crustacés, mollusques et coquillages (-2%, à 2,5 milliards de DH). Les phosphates (+9,5%, à 5,2 milliards), les articles de bonneterie (4,8%, à 3,14 milliards), les conserves de poisson (+34%, à 2 milliards de DH), les poissons frais (24,7%, à 855,6 MDH), et le matériel de transport (+65,1%, à 2,4 milliards) ont enregistré des hausses assez conséquentes, ce qui a permis d’atteindre le taux de progression global de 5% des exportations.

Le prix de la tonne de blé en baisse de 9,1%

A l’importation, en revanche, tous les principaux produits ont évolué à la hausse, sauf pour l’alimentation qui a accusé une légère baisse (-1,6%) en raison du repli du prix de la tonne de blé (-9,1% à 2 761 DH la tonne), du maïs et du beurre. Pour le reste, tout a augmenté : les produits énergétiques (+18,4% à 43,14 milliards de DH), les biens d’équipement (+7,3%), les demi-produits (+1,5%) et les biens finis de consommation (+11%). Cette évolution globale des importations recouvre toutefois des variations à la baisse pour certains produits comme les tissus et fils de coton (-19%), les composants électroniques (-58,3%) et les fils et câbles électriques (-33,1%). On remarquera que ces baisses sont liées au repli de l’activité interne de ces filières.

Par ailleurs, les flux financiers sont grosso modo en stagnation. C’est ainsi que les recettes de voyages se sont établies à 20,86 milliards de DH, en très légère baisse de 0,2%. Les recettes de MRE, elles, ont enregistré une petite progression de 2%, à 22,4 milliards de DH. Quant aux investissements et prêts privés étrangers, ils ont accusé une baisse de 3,8%, à 10,98 milliards de DH.


Salah Agueniou. La Vie éco
www.lavieeco.com

2012-06-27

parler de PAS en 2012 ??!!

les fondamentaux de l'économie marocaine, les statistiques n'ont rien à voir avec la situation des années 80 !!!

à l'époque, les taux d’intérêt de la dette marocaine frisait les 13 ou 15 % et personne ne voulait prêter au Maroc ..d'où démarche vers le FMI ..

aujourd’hui la dette est faible (55% du PIB) , animée par des créanciers internes et avec de faibles taux d’intérêt ...

mais pour certains politiques, il y a toujours la tentation de dire que "çà va mal" , comme çà ils oublient leurs promesses électorales d'augmentation des salaires etc...

Biensur que ça va mal au Maroc ça va très mal même. Surtout que le mvt 20 fev n'a pas arangé les choses il a fallu depensé plus pour eviter le chaos. Le maroc ne tient que sur le bout du fil encore un attentat ou autre drame et tu va voir notre economie de pacotille va tomber.

Argumentes ton intervention avec des chiffres a l appuis des bla bla restent des bla blas

Ce que personne n a mis en evidence en ces années d avant le P.A.S. et qui mérite d etre mentionné aussi c est que l économie d alors
dépendait surtout de la prédominance du secteur de l agriculture.Et on a eu malheureusement une séquence de secheresse continue de
SIX ou SEPT ans. Regardez aujourd hui alors que le secteur agricole ne représente plus que 18% du PIB et avec une année de secheresse
(a moitié moins forte que celles subies avant le P.A.S.) les diffucultés ressenties sur les finances de l actuel gouvernement.Bien sur on
avait aussi une g

dan a écrit:

Biensur que ça va mal au Maroc ça va très mal même. Surtout que le mvt 20 fev n'a pas arangé les choses il a fallu depensé plus pour eviter le chaos. Le maroc ne tient que sur le bout du fil encore un attentat ou autre drame et tu va voir notre economie de pacotille va tomber.

Et t'arrives à anaylser le situation du Maroc du haut de tes 3000kms ? c'est cool

http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/maroc-danone-prend-le-controle-de-la-centrale-laitiere-234330

la SNI appartient a la famille royal, est ce que vous penser qu'il vend des part des societé qu'il possede pour avoir du cash et bouché le deficite du royaume, si c'est la cas, ca fermera la bouche de ceux qui dise que le roi s’acapare les richesse du pays pour sa fortune personel.

Non, c'est écrit noirnsur blanc: il revend ses parts pour se dégager des secteurs alimentaires en quasi monopole.
Pas de confusion de patrimoine en la matière.
Cela dit, c'est pas cher. Je ne comprend pas ce que font les industriels marocains
J'aurai préfère que ça reste marocains, surtout que c'est essentiel comme produit.
La bonne nouvelle, c'est que le marche s'ouvre

est ce qu'il y avai d'autre societé marocain dans ce secteur ou la SNI avait le monopole dans ce domaine ?
c'est dommage que ca ne reste pas marocain mais est ce que ca peu favorisé l'exportation maintenant que ca fait partie du groupe Danone ?

la part de marché de la centrale laitière a été bouffé par la COPAG de taroudante c'est le conccurent principal de la centrale connu sous sa marque " AL JAOUDA"
le holding royal continu de maintenir le monopole sur d'autres secteurs comme le sucre

le fait que certaine grosse societé comme celle du sucre du lait etc peut permettre une meilleur regulation des prix que si c'est detenu par des etranger. il est preferable que ca reste au sein de la SNI

FAMAS a écrit:

la part de marché de la centrale laitière a été bouffé par la COPAG de taroudante c'est le conccurent principal de la centrale connu sous sa marque " AL JAOUDA"
le holding royal continu de maintenir le monopole sur d'autres secteurs comme le sucre

il ya le bon lait/candia , il ya charghi qui revient sur le marché en force qui ne cible plus que les grandes surface mais partout dans le pays , il ya jibal du groupe chaabi / centra laitière donone , jawda et d'autre petite entreprise sans parlé des grands pôt de yaourt ( a l'américaine )de formital et des entreprise francaise / européenne présente en grandes surface donc il ya une vrai concurrence elle &vire, vitafruit, fruchtegut, président .

mais c'est vrai que cental laitière reste leadeur du marché suivie de al jaouda , chargui / bon lait ( avec candia smozi) en 3eme position et finalement le nouveau arrivant jibal .

ce qu'on attend également de ce genre d'entreprise, c'est l'agrégation des producteurs en amont et qui sont les fournisseurs de lait .... c'est à dire les agriculteurs et éleveurs des vaches laitiéres dans les différentes régions du territoire ....

2 postulats dans ce métier très complexe :

sans vache laitiére , pas de lait
le lait voyage ma, il faut produire et distribuer partout ...

Résumé de quelques nouvelles economiques:

1)Le Maroc élu meilleure destination pour l OFF-SHORING(délocalisation)par l Association Européenne d Outsoursing et dont le siege se
trouve a Londres.

2)Seconde usine pour CROUZET et CST:
Le groupe CST(Custom Sensors et technologies) spécialiste des capteurs,controleurs et actionneurs,inaugure le 3/07/12 sa seconde
usine a Sidi Maarouf-CASA,cette elargissement a été confié a CROUSOT l autre spécialiste du domaine.Cette seconde implantation
devrait mieux servir la base des clients EUROPE,selon le management de la société.

3)RENAULT dévoile ses "bijous" marocains:
Le constructeur automobile a dévoilé hier ses deux nouveaux modéles de la gamme low-cost Dacia a savoir DOKKER et DOKKER -VAN
produit a TANGER.LA commercialisation débutera au Maroc a partir de ce mois; et a partir de la rentrée 2012 en mediterranée et en
Europe.

4)Le groupe SAHAM FINANCES a acquis 81% de la société d assurance libanaise(Beyrouth) L.I.A; le groupe SAHAM veut faire de cette
acquisition une base d expansion dans le Moyen Orient.

5)Le groupe francais DANONE possede désormais 67% de la CENTRALE LAITIERE.Cout de l opération :6,1 MM DH.
Notons en fin que pour la ratification finale de ce deal il faut l accord du chef du gouvernement ainsi que celui du Conseil de la Concur-
rence.

Citation :

Hilton Worldwide to open two premium hotels in Tangier

Jun 28, 2012
DUBAI, U.A.E. and MCLEAN, Va. - Hilton Worldwide has today signed an agreement with Inveravante Group to introduce two new premium hotels in the historic city of Tangier. The agreement ceremony, held in Rabat, Morocco in the presence of Lahcen Haddad, Minister for Tourism in Morocco, was officially signed by Manuel Jove Capellan, chairman, Inveravante and Deepak Seth, vice president, development, Southern Europe, North & West Africa, Hilton Worldwide.

...


http://www.eturbonews.com/29955/hilton-worldwide-open-two-premium-hotels-tangier

Citation :

New World Bank Lending to Morocco Raises the Bar on Results for the Poor


29/06/2012 01:07

The FINANCIAL -- A World Bank loan package approved today targets poor rural and urban Moroccan communities for improved services and economic opportunities and promotes the development of smaller enterprises.

A $300 million loan, underpinned by a comprehensive program to build local institutional capacity, will support the second phase of Morocco’s National Initiative for Human Development (INDH). A $50 million loan will facilitate access to finance for micro, small and medium enterprises (MSMEs).

“INDH is the centerpiece of the government’s commitment to address social and economic exclusion in underserved areas,” said Inger Andersen, World Bank Vice President for the Middle East and North Africa Region. “By supporting the second phase of this innovative program we stand proudly with the government in its drive towards greater results.”

INDH2 finances income-generating activities, improved access to basic services and key infrastructure in the poorest regions of Morocco. Taking lessons from INDH1, launched in 2005, the government nearly doubled the geographic scope and increased the budget from $1.7 billion to $2.1 billion for phase 2. But it also raised the bar delivering tangible benefits. INDH2 is the first World Bank -supported project using the “Program for Results” (PforR), a new lending instrument which disburses funds based on the achievement of agreed and verified results.

“This is a whole new discipline in the development community’s efforts to make sure that development dollars deliver on their promises,” said Simon Gray, World Bank Director for the Maghreb Department. “It’s a bold commitment by the government to ensure that communities benefit in ways that sustainably change their quality of life and access to economic opportunities.”

Among the results linked to Bank financing are better educational achievements by rural girls, a higher share of the rural population with access to water supply, an increase in the number of sustainable income-generating activities, and a higher share of women and youth in INDH local governance bodies. The soundness of local-level procurement procedures is also measured.

“In effect, the Government of Morocco has said ‘here is our raised bar, help us reach it and help us build the capacity at the local level that will ensure these efforts live on and expand for all Moroccans’,” said Franck Bousquet, World Bank Sector Manager for Social Development in MENA. “This is a farsighted commitment to excellence and rigor.”

INDH2 builds on the capacity created during INDH1, but introduces complementary measures to improve local-level management capacity.

“The PforR will be a stimulus for increasing the socio-economic inclusion of vulnerable groups,” said Mohamed Medouar, World Bank INDH Project Leader. “The focus on verifiable results is very much in line with the commitment to more open and transparent governance.”

The US$50 million Micro, Small, and Medium Enterprise Development Project enhances access to finance for Moroccan businesses. According to the World Bank , the project, developed with the International Finance Corporation, will support the provision of partial credit guarantees for loans to MSMEs.

“Well-designed partial credit guarantee schemes can be effective in reaching underserved groups such as start-ups, small firms and women entrepreneurs,” said Teymour Abdel Aziz, World Bank Morocco MSME project team leader for the project. “The project targets entrepreneurs who remain underserved by the Moroccan financial system.”

Citation :

Morocco plans new mining law to boost investment

Reuters

Fri Jun 29, 2012 3:01pm GMT

By Souhail Karam

RABAT (Reuters) - Morocco plans to enact a new mining law next year, overhauling rules that are 60 years old, to help attract investors, boost exports and ensure companies respect its labour and environmental laws, official sources told Reuters.

The reform will not affect phosphates, the country's top export earner and a resource that is monopolized by state-controlled Office Cherifien des Phosphates (OCP).

The move follows a surge in Morocco's current account deficit to a three-decade high and a series of protests by residents in mining sites, some of which evolved into riots and threatened to bring local mining operations to a halt.

"The new law is the first step of a national strategy that aims to boost the role of the mining sector in the economy," Mines and Energy Minister Fouad Douiri told Reuters, adding that mining activity, excluding phosphates, contributes less than 1 percent of the country's $100 billion gross domestic product.

He declined to provide details on the strategy, which he said would be divulged before the end of the summer.

Morocco has the potential for mining activity mostly in magnesium, zinc, silver and cobalt, but outdated legislation, a lack of incentives, poor mapping, bureaucracy and the inaccessibility of the most promising sites have hampered development.

"Mining in Morocco needs transparent and even-handed processes and roads," a private industry operator said, who noted that little over 30 percent of the country's area has been mapped for mineral deposits.

Mining activity has been dominated by Managem, which is majority-owned by an investment vehicle controlled by the country's ruling monarchy. Managem and its affiliates extract gold, copper, silver and other metals.

In emailed replies to Reuters questions, the Mines and Energy Ministry said a draft for the new law would soon be submitted to a council of ministers and then to parliament.

PROTESTS

A senior government source said the law would be enacted next year to replace the existing one, issued in 1951.

"The goal is to unleash the mining potential of the country to create jobs and boost exports under a socially responsible framework," the source said.

"The new law should link the award of exploitation permits to objective-oriented requirements, transparent tender processes and the enforcement to the letter of labour and environmental regulations," the source added.

The reform aims to endow the mining sector with "a modern, competitive and attractive legal framework", the ministry said.

"It will simplify the management of national mining resources and encourage their development ... by boosting mining research to discover new deposits and consolidate the mining sector's contribution to economic and social development," it said.

The new law will, for example, require miners to produce environmental impact studies, the ministry said.

A subsidiary of Managem, silver miner Imiter, has cut production by as much as 40 percent after residents living near its mine in the arid southwest have interrupted its supply of water since August last year.

Their grievances include depleted water resources in the area and a lack of basic amenities, which they blame partly on Imiter, the biggest single employer in the region.

Earlier this year, the phosphate monopoly OCP launched its biggest recruitment campaign after a series of youth protests on the lack of jobs. Around a third of Moroccans under age 35 are unemployed.

Citation :

Assurance au Maghreb :Le Maroc en tête et l'Algérie encore peu développée

Une recherche récemment publiée par S&P démontre que le marché de l’assurance va se développer au cours des prochaines années.

Standard & Poor’s a réalisé une étude des marchés de l’assurance au Maghreb, relevant une demande croissante en matière d’épargne et santé et de segments vie.

Cette étude constate également un faible taux de pénétration de l’assurance.
L’exemple de la Tunisie révèle que l’assurance ne pèse que sur 1,7% du PIB.

Cependant, S&P estime que «la Tunisie a des perspectives de croissance du secteur plus élevées que le PIB, malgré un contexte économique moins favorable».

D’après l’agence de notation, l’Algérie est «un marché essentiellement orienté en assurance auto où l’assurance vie, encore peu développée, devrait croître avec le développement de la bancassurance».

C’est finalement le Maroc qui est le pays le plus mature de la région où «des perspectives de croissance existent notamment grâce à des programmes de généralisation de l’assurance».

‪L’une des clés de développement partagée par les trois pays, passera indéniablement par «les efforts des régulateurs à élargir les couvertures obligatoires», soulignent les analystes de S&P.

ALGERIE-FOCUS

Citation :

Aurea Ardim entame la commercialisation de son premier parc logistique à Lakhyayta

Le parc couvre une superficie de 100 000 m2 constitués de lots principalement destinés à la location. Aurea Ardim est en train de concrétiser un autre projet de 22 000 m2 à Tit-Mellil.

Deux ans après sa création au cours du printemps 2010, Aurea Ardim a entamé la commercialisation de son premier parc logistique de 100 000 m2 dans l’agglomération de Lakhyayta dans la région de Casablanca.

Fruit d’un partenariat entre Rreef alternative investments (RAI), division immobilière de la Deutsche Bank, présente au Maroc depuis 2007 à travers le fond Rreef Moroccan Explorer Fund 1, la société de gestion Ardim Maroc et Aurea Real Estate, un spécialiste des opérations immobilières à valeur ajoutée, Aurea Ardim réalise des projets principalement orientés vers la location. Certains produits, notamment les lots de grande surface, peuvent toutefois être vendus.
Destiné aux logisticiens et aux chargeurs, le parc logistique de Lakhyayta vient concrétiser la vision des deux actionnaires, à savoir la construction de parcs industriels et logistiques aux standards internationaux dans les grands pôles du Maroc.

Il s’inscrit aussi en droite ligne du partenariat public-privé dédié à la logistique et qui vise à aménager à terme plus de 1 000 hectares dans plusieurs régions du pays dans l’optique de réduire les coûts logistiques et avoir une meilleure visibilité pour tout ce qui est circulation et stockage des biens.

Lakhyayta abrite déjà la plateforme de La Voie Express

Aurea Ardim ne compte pas s’arrêter là. D’autres projets sont à l’étude voire en cours de livraison, notamment à Tit-Mellil, également dans la périphérie de Casablanca, où des entrepôts totalisant 22 000 m2, surfaces commercialisables, sont en phase de livraison.

Rappelons que la zone de Lakhyayta est devenue, depuis 2010, un site logistique par excellence, après que le groupe marocain La Voie Express y eut inauguré, après trois ans de travaux, un parc de 70 000 m2 dont 30 000 m2 couverts. Un projet aujourd’hui totalement commercialisé et qui abrite les plus grands noms de la logistique. La plateforme est dotée de 66 portes de chargement et déchargement, et d’un parking d’une capacité de 60 semi-remorques. Tout comme celui d’Ardim, ce projet rentre dans le cadre du contrat programme logistique signé par la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le ministère de l’équipement et du transport.

http://www.lavieeco.com/news/economie/aurea-ardim-entame-la-commercialisation-de-son-premier-parc-logistique-a-lakhyayta-22588.html

Citation :

Le groupe Sefrioui implante des cimenteries dans 5 pays d'Afrique et compte y construire des logements sociaux

Après la Côte d'Ivoire, la construction des usines en Guinée-Conakry, en Guinée-Bissau et au Cameroun a démarré en avril et en mai dernier. Au Gabon, les travaux seront entamés sous peu. L'entrée en production des usines devrait avoir lieu, au plus tard, au premier trimestre 2013.

Depuis le premier coup de pioche du chantier d’une cimenterie en Côte-d’Ivoire, donné en novembre 2011, le groupe Sefrioui a mis le turbo en Afrique et il semble vouloir aller très vite. Les constructions de deux autres cimenteries en Guinée-Conakry et en Guinée-Bissau ont été lancées en avril et une autre unité au Cameroun en mai. Une cinquième usine basée au Gabon a été annoncée ces dernières semaines et sa construction sera entamée incessamment. «Moyennant un délai de réalisation de 18 mois, ces cimenteries devraient entrer en production dès le deuxième trimestre 2013 et même avant cette date, étant donné que certains chantiers sont en avance sur le planning», fait savoir une source bancaire au fait des détails de ces projets. A ce titre, le groupe Sefrioui s’est fort opportunément appuyé sur la connaissance du marché africain par les grandes banques nationales, notamment Attijariwafa bank et BMCE Bank à travers Bank of Africa, pour baliser le terrain. En plus, bien entendu, de solliciter leur financement pour couvrir 60% du montant de l’investissement. Celui-ci totalise 150 millions d’euros, soit près de 1,7 milliard de DH répartis à peu près à parts égales entre chacune des cimenteries, ce qui donne 332 MDH, en moyenne, par unité. C’est que le patron d’Addoha a installé, dans chacun des pays cités, un même modèle d’usine d’une capacité de production de 500 000 tonnes, soit 2,5 millions de tonnes au total. L’activité de toutes ces cimenteries est abritée au sein du groupe Sefrioui par Ciments d’Afrique (Cimaf) qui compte autant de filiales de droit local dans les pays où des usines sont en création.

A comparer avec l’investissement d’Anas Sefrioui dans le secteur cimentier national, à travers Ciments de l’Atlas (Cimat), les projets en phase de développement en Afrique sont d’une bien moindre envergure, mais les besoins des pays visés justifient cela. Les deux cimenteries de Cimat à Ben Ahmed et à Béni-Mellal, entrées en activité respectivement en avril 2010 et début 2012 ont nécessité à elles seules un investissement de 2,8 milliards de DH.

Les cimenteries africaines seront approvisionnées en clinker à partir du Maroc

Normal, puisqu’elles ont une capacité totale de 3,2 millions de tonnes. Mais il y a surtout le fait que Cimaf a pu considérablement économiser sur l’enveloppe d’investissement en ne construisant pas de four au niveau des cimenteries africaines. Celui-ci sert en règle générale principalement à préparer du clinker, matière semi finie entrant dans la composition du ciment. Or, cet intrant devrait être mis à la disposition des cimenteries africaines par Cimat. Celle-ci détiendrait, du fait de la saisonnalité de l’activité cimentière (la haute saison va de mai à septembre), un excédent annuel de clinker évalué par les spécialistes entre 600 000 et 800 000 tonnes.

Le patron d’Addoha compte aussi exploiter les possibilités de complémentarité entre ses activités au Maroc et dans toute l’Afrique dans le domaine de la promotion immobilière sur le segment du social. Cela devrait se faire à travers Addoha Afrique, filiale déjà créée du promoteur immobilier, qui développera des programmes de logements sociaux dans les mêmes pays qui accueillent les cimenteries de Cimaf. En fait, selon les indiscrétions du management du groupe Sefrioui, ce sont les projets de logements sociaux qui ont ouvert la voie à l’implantation des cimenteries. En effet, les gouvernements des pays investis, très intéressés par le modèle du logement social marocain, ont accédé à la demande du groupe d’implanter ses propres cimenteries pour approvisionner son activité de promotion immobilière. Plus encore, une piste explorée consisterait à faire bénéficier Addoha Afrique dans chacun des pays ciblés d’un dispositif public pour le logement social comparable par ses avantages fiscaux à celui mis en place au Maroc.

La stratégie du groupe Sefrioui consistant à implanter des cimenteries et à leur offrir des débouchés à travers la promotion immobilière devrait encore être étendue à d’autres pays d’Afrique. Mais à vrai dire, le seul positionnement sur le marché africain du ciment s’avère en soi très opportun pour le groupe. Certains des pays investis jusqu’à présent ne disposent pas même d’une seule cimenterie. Et, dans tous les marchés ciblés, les capacités de production restent très en deçà des besoins. La capacité installée au Cameroun par exemple est de 1,6 million de tonnes pour près de 20 millions d’habitants, à comparer aux 20 millions de tonnes pour 32 millions d’habitants au Maroc.

http://www.lavieeco.com/news/economie/le-groupe-sefrioui-implante-des-cimenteries-dans-5-pays-d-afrique-et-compte-y-construire-des-logements-sociaux-22556.html

Citation :

Un nouveau brevet pour produire du biocarburant 3G

La fondation Mascir vient de le déposer

Un budget de 471 millions de DH pour la R&D

Un kit destiné aux femmes rurales

http://www.leconomiste.com/article/895997-un-nouveau-brevet-pour-produire-du-biocarburant-3g

Citation :

DHL: Un hub potentiel pour la logistique à Casablanca

La société célèbre la première année d’exploitation de sa plateforme de fret

Mise en place d’un vol vers l’Europe tous les samedis

http://www.leconomiste.com/article/895938-dhl-un-hub-potentiel-pour-la-logistique-casablanca

Citation :

Tractafric renforce sa logistique

L’entreprise revendique 35% du marché des engins BTP

Un chiffre d’affaires de 900 millions de DH

http://www.leconomiste.com/article/895942-tractafric-renforce-sa-logistique

Citation :

Le Maroc à l'assaut de l'Afrique : rôle de la diplomatie économique

LE CERCLE. La diplomatie économique est de plus en plus associée à la stratégie globale de développement, notamment dans les pays en voie de développement, qui continuent à faire face à de multiples difficultés pour s’intégrer dans l’économie mondiale. À l’instar de ces pays, le Maroc mise sur sa diplomatie économique pour accompagner les investisseurs marocains dans leur quête des marchés subsaharienne.

Le Maroc déploie, depuis quelques années une véritable offensive économique et commerciale, progressivement renforcée par sa diplomatie économique envers les pays de l'Afrique Subsaharienne. Cela constitue une opportunité pour une économie marocaine très dépendante de l'Union européenne et ayant une difficulté d’intégration dans l'économie mondialisée. Cependant, la question du Sahara et l'offre exportable sont deux limites d'une diplomatie engagée dans l’accompagnement du développement économique du pays.

....

http://lecercle.lesechos.fr/economie-societe/international/afrique/221148200/maroc-a-lassaut-lafrique-role-diplomatie-economique

Le Maroc est bien lancé dans une conquête des marchés africains prometteurs ce qui est bien pour l’économie nationale.
Ce qui serait encore meilleur c'est que l’état encourage ces grand holding a diversifier leurs activité et de démarrer de nouvelles industries et secteur ici au Maroc.

Le Maroc n'est pas encore arrivé au niveau ou ses implantations en Afrique serait très bénéfiques pour l’économie nationale surtout avec un taux de chaumage relativement élevé et des marchés presque vierges ou le Maroc importe la quasi totalité de ses besoins.