Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Fév 2012 - 12:51
Rappel du premier message :
LE FISC,CA RAPPORTE: 170 milliards de DH de recettes fiscales en 2011,jamais l etat n a engrangé autant,cela permettera d atténuer grandement le déficit budgetaire,ces recettes ont été realisées malgré le maintien des taux d imposition réstés les memes. Maintenant ,si l actuel gouvernement combat efficacement la fraude fiscale dans ses divers aspects et qu il réussisse a élargir l assiette fiscale aux unités productives de l informel (dont le nombre avoisine UN MILLION selon le DEPF:département des etudes et previsions financieres)le budget de l etat encaissera une somme encore plus substantielle.
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Invité Invité
Sujet: économie marocaine Sam 20 Oct 2012 - 14:27
le méme racket de la par des gendarme marocain sur nous autre MRE ce qui donne plus envie de retourner au bled sauf nécessité .
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 23 Oct 2012 - 22:21
FAMAS a écrit:
du kif kif ce qui me réjouis c'est qu'on va se débarrasser de l'emprise du capital français dans notre économie. vivendi qui se casse de IAM...
Les Francais de Vivendi vont s'en tirer avec une plus value de plus de 2 milliards de dollars sans compter les dividendes qu'ils faisaient remonter de Itissalat Al Maghrib chaque annee pour rembourser les dettes du groupe francais et lui eviter la faillite.
Je suggere vivement au gouvernement de mettre en place un "loi temporaire" pour taxer cette transaction. Car tel que cela se presente, Vivendi vendra ces titres sans que cela ne profite aucunement au tresor Marocain. La facon de changer cela serait simplement de mettre en place une loi etablissement une taxe sur la plus value realisee dans toute vente de positition superieure a 35% d'une entreprise privatisee apres 1993 (cela ne concerne donc que IAM). Je suggere que cette taxe corresponde au pourcentage de l'etat dans l'entreprise de telecom (36%).
Pour s'assurer du paiement, la loi devra preciser que le gouvernement peut bloquer le transfer de propriete des actions.
Faites passez le message.
Merci
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 24 Oct 2012 - 10:36
alphatango a écrit:
FAMAS a écrit:
du kif kif ce qui me réjouis c'est qu'on va se débarrasser de l'emprise du capital français dans notre économie. vivendi qui se casse de IAM...
Les Francais de Vivendi vont s'en tirer avec une plus value de plus de 2 milliards de dollars sans compter les dividendes qu'ils faisaient remonter de Itissalat Al Maghrib chaque annee pour rembourser les dettes du groupe francais et lui eviter la faillite.
Je suggere vivement au gouvernement de mettre en place un "loi temporaire" pour taxer cette transaction. Car tel que cela se presente, Vivendi vendra ces titres sans que cela ne profite aucunement au tresor Marocain. La facon de changer cela serait simplement de mettre en place une loi etablissement une taxe sur la plus value realisee dans toute vente de positition superieure a 35% d'une entreprise privatisee apres 1993 (cela ne concerne donc que IAM). Je suggere que cette taxe corresponde au pourcentage de l'etat dans l'entreprise de telecom (36%).
Pour s'assurer du paiement, la loi devra preciser que le gouvernement peut bloquer le transfer de propriete des actions.
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Impossible Alphatango,
il aurait fallu que dès le début, l'etat souscrive a des "golden share" (actions donnant droit a un veto, meme avec une participation minoritaire). C'est ce que font tout les etats s'agissant des sociétés qui ont un enjeu stratégique pour le pays. Sans compter que Vivendi peut trainer l'etat devant un tribunal arbitral. Les conditions sont toujours a fixer au début. Sans compter le problème d'image qui fera fuir les investisseurs, qui ne seront jamais assuré des termes d'un contrat avec le Maroc. C'est ce qui est arrivé a l'Algerie avec sa règle des 49/51. Le business a besoin de clarté et de règles du jeu qui ne changent pas au gré de l'humeur. Ils ont investit, permettant a l'etat marocain d'engranger 2,3 Mds$ à un moment ou il en avait besoin, et ont gagné de l'argent. C'est au contraire un signal positif pour les grands groupes : ici pas de micmac, les règles sont claires.
PGM
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 24 Oct 2012 - 11:09
alphatango a écrit:
FAMAS a écrit:
du kif kif ce qui me réjouis c'est qu'on va se débarrasser de l'emprise du capital français dans notre économie. vivendi qui se casse de IAM...
Les Francais de Vivendi vont s'en tirer avec une plus value de plus de 2 milliards de dollars sans compter les dividendes qu'ils faisaient remonter de Itissalat Al Maghrib chaque annee pour rembourser les dettes du groupe francais et lui eviter la faillite.
Je suggere vivement au gouvernement de mettre en place un "loi temporaire" pour taxer cette transaction. Car tel que cela se presente, Vivendi vendra ces titres sans que cela ne profite aucunement au tresor Marocain. La facon de changer cela serait simplement de mettre en place une loi etablissement une taxe sur la plus value realisee dans toute vente de positition superieure a 35% d'une entreprise privatisee apres 1993 (cela ne concerne donc que IAM). Je suggere que cette taxe corresponde au pourcentage de l'etat dans l'entreprise de telecom (36%).
Pour s'assurer du paiement, la loi devra preciser que le gouvernement peut bloquer le transfer de propriete des actions.
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toute transaction de vente et d'achat d'actions fait l'objet d'une batterie de taxes boursières et fiscales , que ce soit Vivendi ou Madame Benjelloun ou Si Brahim .... Les lois existent depuis toujours et l'Etat est toujours là pour croquer sur tout transaction de ce type !! Par ailleurs, à l'heure actuelle, il n'y a que des rumeurs et rien n'a été fait ...
ready Capitaine
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Sujet: Re: Économie marocaine Mer 24 Oct 2012 - 12:21
PGM a écrit:
alphatango a écrit:
FAMAS a écrit:
du kif kif ce qui me réjouis c'est qu'on va se débarrasser de l'emprise du capital français dans notre économie. vivendi qui se casse de IAM...
Les Francais de Vivendi vont s'en tirer avec une plus value de plus de 2 milliards de dollars sans compter les dividendes qu'ils faisaient remonter de Itissalat Al Maghrib chaque annee pour rembourser les dettes du groupe francais et lui eviter la faillite.
Je suggere vivement au gouvernement de mettre en place un "loi temporaire" pour taxer cette transaction. Car tel que cela se presente, Vivendi vendra ces titres sans que cela ne profite aucunement au tresor Marocain. La facon de changer cela serait simplement de mettre en place une loi etablissement une taxe sur la plus value realisee dans toute vente de positition superieure a 35% d'une entreprise privatisee apres 1993 (cela ne concerne donc que IAM). Je suggere que cette taxe corresponde au pourcentage de l'etat dans l'entreprise de telecom (36%).
Pour s'assurer du paiement, la loi devra preciser que le gouvernement peut bloquer le transfer de propriete des actions.
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Impossible Alphatango,
il aurait fallu que dès le début, l'etat souscrive a des "golden share" (actions donnant droit a un veto, meme avec une participation minoritaire). C'est ce que font tout les etats s'agissant des sociétés qui ont un enjeu stratégique pour le pays. Sans compter que Vivendi peut trainer l'etat devant un tribunal arbitral. Les conditions sont toujours a fixer au début. Sans compter le problème d'image qui fera fuir les investisseurs, qui ne seront jamais assuré des termes d'un contrat avec le Maroc. C'est ce qui est arrivé a l'Algerie avec sa règle des 49/51. Le business a besoin de clarté et de règles du jeu qui ne changent pas au gré de l'humeur. Ils ont investit, permettant a l'etat marocain d'engranger 2,3 Mds$ à un moment ou il en avait besoin, et ont gagné de l'argent. C'est au contraire un signal positif pour les grands groupes : ici pas de micmac, les règles sont claires.
PGM
+1000
Généralement ce type d'association fait l'objet d'un protocole d'accord ou d'un pact d'accionaire. Ce document est censé régir les relation entre les possesseurs des actifs et ce type de document est créé justement pour établir des régles pour que l'association puisse se dérouler correctement. Cenir plusiseurs annèes après pour changer la donne unilatéralement est impossible !! Les règles sont établie au début ... pas à la fin ! Au sinon sa serai trop facile ...
butters Caporal chef
messages : 177 Inscrit le : 17/01/2010 Localisation : France Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 24 Oct 2012 - 16:31
Je souscris totalement...
Citation :
Edito 24 octobre 2012
Sol Saâd A. Tazi
Le sol est une ressource naturelle, peu ou lentement renouvelable. Pourtant, déconsidéré, on lui prête peu d’attention. Réduit à un support pour projets immobiliers, sa véritable dimension est occultée. Quand on sait qu’il faut des millions d’années pour que le sol, c’est-à-dire la fine surface de l’écorce terrestre sur laquelle l’agriculture est possible, se constitue ; [...]
Le sol est une ressource naturelle, peu ou lentement renouvelable. Pourtant, déconsidéré, on lui prête peu d’attention. Réduit à un support pour projets immobiliers, sa véritable dimension est occultée. Quand on sait qu’il faut des millions d’années pour que le sol, c’est-à-dire la fine surface de l’écorce terrestre sur laquelle l’agriculture est possible, se constitue ; quand on voit la vitesse avec laquelle l’urbanisation anarchique détruit les meilleures terres du pays, toutes régions confondues et quand on se rappelle l’importance du secteur agricole dans notre économie, on ne peut que tirer la sonnette d’alarme. Partout des lotissements viennent prolonger les villes en mettant à nu le manque d’organisation et de planification. La course à l’argent supplante toute réflexion et ignore les défis qui se poseront à long terme. La terre, en particulier dans les régions à vocation agricole devrait être protégée. Il est insensé de rogner sans vergogne sur le périmètre agricole quand il existe des solutions accessibles pour optimiser l’espace urbain. Outre les conséquences que cela a sur notre fragile équilibre alimentaire, cela conduit à un exode rural que les villes ne sont pas préparées à absorber correctement. L’exemple de Honk-Kong est à ce titre édifiant. De superficie comparable à celle du Grand Casablanca, la densité y est six fois plus importante. Pourtant, 75% de son territoire est couvert par les espaces verts. En choisissant un modèle de développement vertical, Honk-Kong a su concilier les impératifs économiques, fonctionnels et environnementaux. Lorsqu’on voit nos villes anarchiques étendre leurs tentacules folles vers les terres agricoles, l’on pourrait chercher une consolation dans des prix de l’immobilier raisonnables. Mais la spéculation des promoteurs nous vend une rareté imaginaire pour justifier à la fois la mauvaise qualité des constructions et leurs prix stratosphériques, parfois plus élevés que dans des capitales européennes comme Bruxelles. Il est urgent de sanctuariser les terres agricoles et de repenser l’organisation spatiale de nos villes pour nous éviter des déboires insolubles en termes de sécurité physique tout comme alimentaire.
yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 25 Oct 2012 - 12:40
_________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 25 Oct 2012 - 22:42
Citation :
J’ai co-présidé hier à Berlin la 1ère session de la Commission économique mixte Maroc-Allemagne. J’ai conduit une importante délégation marocaine composée de hauts responsables institutionnels et de représentants du secteur privé menés par M. Salaheddine Kadmiri, Vice-président général de la CGEM. Plus de 70 entreprises allemandes ont pris part à cette importante rencontre qui a offert l’occasion d’affirmer l’engagement des deux parties d’imprimer à leurs relations économiques (échanges commerciaux, investissements, partenariat d’affaires) un saut qualitatif et une dynamique à la mesure de leurs potentialités et de leurs attentes. Des tables rondes ont été organisées notamment autour des secteurs de l’automobile, de l’aéronautique, de l’énergie, de l’agro-alimentaire, des infrastructures et de la formation professionnelle. La partie allemande a souligné que les atouts du Maroc, particulièrement sa stabilité politique, la visibilité qu’offre les diverses stratégies sectorielles et les progrès réalisés en matière d’amélioration du climat d’affaires, stimuleront indéniablement les investissements directs allemands au Maroc. Il a été également convenu d’encourager le développement de partenariats stratégiques gagnant-gagnant permettant de favoriser une meilleure intégration des systèmes productifs. Les secteurs identifiés qui offrent un fort potentiel de partenariat industriel sont : l’automobile, l’aéronautique, l’agroalimentaire, l’électronique, la microélectronique, la fabrication des équipements liés aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique. Des roadshows en Allemagne et des rencontres sectorielles spécialisées seront organisées dans ce cadre. La partie allemande a par ailleurs proposé de s’engager davantage dans le domaine de la formation professionnelle, ainsi que de la qualification et de la formation de la main d’œuvre marocaine. Cette louable initiative contribuera sans nul doute à renforcer l’attractivité de notre pays dans la mesure où la disponibilité d’une main d’œuvre qualifiée constitue un des déterminants des choix d’investissement. S’agissant des énergies renouvelables, la volonté de coopérer dans ce domaine a été confirmée, particulièrement pour le développement des technologies de production d’électricité de sources renouvelables et de renforcement des capacités d’interconnexion électrique entre le Maroc et les pays européens. En marge de cette réunion de la Commission économique mixte, j’ai eu des entretiens bilatéraux avec M. Philipp Röessler, Vice-chancelier, Ministre fédéral de l’Economie et de la Technologie, et Mme Anne Herkes, Secrétaire d’Etat au Ministère de l’Economie et de la Technologie.
thierrytigerfan Colonel-Major
messages : 2546 Inscrit le : 01/02/2010 Localisation : Bruxelles Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 26 Oct 2012 - 2:12
mourad27 a écrit:
Citation :
J’ai co-présidé hier à Berlin la 1ère session de la Commission économique mixte Maroc-Allemagne. J’ai conduit une importante délégation marocaine composée de hauts responsables institutionnels et de représentants du secteur privé menés par M. Salaheddine Kadmiri, Vice-président général de la CGEM. Plus de 70 entreprises allemandes ont pris part à cette importante rencontre qui a offert l’occasion d’affirmer l’engagement des deux parties d’imprimer à leurs relations économiques (échanges commerciaux, investissements, partenariat d’affaires) un saut qualitatif et une dynamique à la mesure de leurs potentialités et de leurs attentes. Des tables rondes ont été organisées notamment autour des secteurs de l’automobile, de l’aéronautique, de l’énergie, de l’agro-alimentaire, des infrastructures et de la formation professionnelle. La partie allemande a souligné que les atouts du Maroc, particulièrement sa stabilité politique, la visibilité qu’offre les diverses stratégies sectorielles et les progrès réalisés en matière d’amélioration du climat d’affaires, stimuleront indéniablement les investissements directs allemands au Maroc. Il a été également convenu d’encourager le développement de partenariats stratégiques gagnant-gagnant permettant de favoriser une meilleure intégration des systèmes productifs. Les secteurs identifiés qui offrent un fort potentiel de partenariat industriel sont : l’automobile, l’aéronautique, l’agroalimentaire, l’électronique, la microélectronique, la fabrication des équipements liés aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique. Des roadshows en Allemagne et des rencontres sectorielles spécialisées seront organisées dans ce cadre. La partie allemande a par ailleurs proposé de s’engager davantage dans le domaine de la formation professionnelle, ainsi que de la qualification et de la formation de la main d’œuvre marocaine. Cette louable initiative contribuera sans nul doute à renforcer l’attractivité de notre pays dans la mesure où la disponibilité d’une main d’œuvre qualifiée constitue un des déterminants des choix d’investissement. S’agissant des énergies renouvelables, la volonté de coopérer dans ce domaine a été confirmée, particulièrement pour le développement des technologies de production d’électricité de sources renouvelables et de renforcement des capacités d’interconnexion électrique entre le Maroc et les pays européens. En marge de cette réunion de la Commission économique mixte, j’ai eu des entretiens bilatéraux avec M. Philipp Röessler, Vice-chancelier, Ministre fédéral de l’Economie et de la Technologie, et Mme Anne Herkes, Secrétaire d’Etat au Ministère de l’Economie et de la Technologie.
voilà une bonne nouvelle pour le maroc enfin un investiseur intelligent qui non seulement investit financierement mais egalement humainement par la formation de qualité germanique j'ai vu un reportage sur les energies renouvelables en sybergie avec les allemands c'etait tres interessant biensur il faudra s'adapter à la rigeur toute germanique mais c'est un bien plutot qu'un mal
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 28 Oct 2012 - 6:57
Citation :
Maroc : Maoulaïnine Maoulaïnine, "Monsieur Phosphates" du Sahara
Directeur de Phosboucraa, Maoulaïnine Maoulaïnine (54 ans) est né à Tan Tan. Il est membre de la tribu Cheïkh Maoulaïnine
Ingénieur diplômé de l'École Mohammed-V de Rabat, le directeur de Phosboucraa règne depuis quatre ans sur la principale richesse - mais aussi le principal fantasme - du territoire : les phosphates de la gigantesque mine de Bou Craa, à 120 km au sud de Laayoune, avec ses quelque 2 200 travailleurs et cadres (sahraouis à 56 %) et ses 450 emplois indirects. Contrairement à une idée reçue, laquelle voudrait que le Maroc s'accroche à « son » Sahara pour sa fortune phosphatière, Bou Craa a très longtemps été déficitaire. De 1976, date de sa « récupération » sur les Espagnols, à 2008, la mine a survécu grâce aux subventions de son propriétaire, l'OCP (Office chérifien des phosphates), qui y a injecté plus de 2 milliards de dollars. Aujourd'hui encore, malgré la bonne tenue des cours et une production honorable de 2,5 millions de tonnes en 2011, Phosboucraa atteint tout juste l'équilibre. Entre le dessalement de l'eau de mer, le tapis convoyeur de 100 km, la modernisation du terminal et les investissements sociaux d'une société très paternaliste, les charges sont ici beaucoup plus lourdes qu'à Khouribga et Benguerir, où se concentre l'essentiel de la production de phosphates du royaume.
« Bou Craa, c'est 7 % à 8 % de la production globale du Maroc et, selon les chiffres de l'International Fertilizer Development Center, 1,6 % de ses réserves », explique Maoulaïnine. Et si, indépendance oblige, l'OCP se retirait ? « Alors il faudrait fermer la mine, faute de repreneur. » La fonction du premier employeur de la région est donc avant tout sociale - et politique. « En 1976, les Espagnols ne nous ont pas laissé un seul ingénieur sahraoui, aujourd'hui, nous sommes 19 », conclut Maoulaïnine.
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 7 Nov 2012 - 14:31
Citation :
TEXT-Fitch affirms Morocco at 'BBB-';stable outlook
Wed Nov 7, 2012 10:21am GMT
(The following statement was released by the rating agency)
Nov 07 - Fitch Ratings has affirmed Morocco's Long-term foreign currency Issuer Default Rating (IDR) at 'BBB-', Long-term local currency IDR at 'BBB', and Short-term foreign currency IDR at 'F3'. The Outlook is Stable. Fitch has also affirmed Morocco's Country Ceiling at 'BBB'.
Morocco's 'BBB-' rating is supported by a strong macroeconomic performance, as evidenced by low inflation, sustained GDP growth and general government debt (39% of GDP) in line with rating peers. Recent success in managing the political transition has underlined Morocco's political stability. Economic dependence on Europe (60% of current account receipts, 80% of foreign tourists and remittances and 50% of exports in 2011) and on oil imports contributed to higher fiscal and current account deficits in 2011 and represent significant downside risks. However, Fitch expects these 'twin deficits' to begin narrowing this year, supported by recent and prospective measures to reduce fuel subsidies, and supporting the Stable Outlook.
Real GDP growth remained strong at 5% in 2011, supported by accommodative economic policies and structural reforms, and despite economic difficulties affecting Morocco's main economic partners in the eurozone. Growth has slowed in 2012 due to a decline in agricultural output, but non-agricultural growth remained at 4.2% in Q212. Assuming a rebound in agriculture, and some recovery in the eurozone, Fitch expects GDP growth to recover to 5% by 2014, in line with performance in the previous decade, supported by new investment projects. The main risk to the forecast is worse than expected performance in the eurozone, especially given Morocco's much more limited room to support domestic demand now compared with 2009.
High oil prices in 2011 and 2012 have pushed the current account to a large deficit (7.2% of GDP expected in 2012 after 8% of GDP in 2011) and international reserves have declined markedly to an expected 4.1 months of current account payments (CXP) by end-2012 from 7.1 months in 2009. However, Fitch forecasts a gradual improvement in the current account deficit, primarily due to lower oil prices (forecast at USD100/barrel in 2013 and 2014 from USD110/barrel in 2012) as well as a pickup in exports. Under this scenario, international reserves would stabilise by 2013 at four months of CXP and net external debt, which has been increasing, should also stabilise. Morocco has obtained an IMF Precautionary and Liquidity Line (PLL) worth USD6.2bn (1.4 months of CXP) over two years. The authorities do not intend to use the credit line and see it as insurance against a potential extreme scenario.
The central government deficit increased markedly to 6.2% of GDP in 2011 after 4.7% in 2010, primarily reflecting the increased subsidy bill (6.1% of GDP) as a result of higher oil prices. The authorities have started to reform the universal subsidy system (caisse de compensation) and administered oil prices were increased by 16% in June 2012. Fitch projects the budget deficit to decline gradually (4.8% of GDP in 2013 from 5.5% in 2012) in line with the recently announced budget and in the medium term as the subsidy reform progresses. General government debt would stay in line with rating peers at the 2014 horizon. Rising spending pressures following the institutional changes in the wake of the Arab Spring increase implementation risks to the projected tightening.
Morocco has been the most successful country in the region in responding to popular demand for change following the Arab Spring. Under the terms of the new constitution, the King appointed the leader of the dominant party in the newly elected Parliament (the Parti de la Justice et du Developpement) as head of the government in January 2012. The government has taken a gradual reformist approach and its first policy steps suggest continuity in terms of economic policy.
The Stable Outlook anticipates improvement in the fiscal and current account deficits, consistent with Fitch's central scenario, supported by successful implementation of the subsidy reform and continued high growth.
In contrast, inability to correct the large central government and current account deficits, further erosion in the international reserves position and a material weakening of economic performance in the face of external shocks, such as weaker than expected eurozone performance or higher than expected oil prices, would be rating negative. In the longer term, Morocco's ratings would benefit from improvements in key social indicators (poverty, GDP per capita, youth unemployment) that are relatively weak compared to rating peers.
In accordance with Fitch's policies the issuer appealed and provided additional information to Fitch that resulted in a rating action that is different than the original rating committee outcome.
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 9 Nov 2012 - 21:12
Citation :
Salam. De passage à Berlin, j’ai eu une rencontre avec M. André Navarri, Président et Chef de l’Exploitation (CEO) de Bombardier Transportation. Cette rencontre a porté notamment sur la stratégie industrielle marocaine et les atouts de notre pays qui en font une destination compétitive pour les investisseurs étrangers. Bombardier Transport est la division ferroviaire de la multinationale canadienne Bombardier Inc. Elle fabrique du matériel roulant ferroviaire (trains, autorails, tramways ...) et des systèmes de sécurité ferroviaire.
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 9 Nov 2012 - 22:51
les salopard d'espagnole http://www.telexpresse.com/news9449.html
RED BISHOP Modérateur
messages : 12305 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 9 Nov 2012 - 23:44
Combien de fois il faut le dire ! Merci de mettre une traduction française !
_________________
jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 10 Nov 2012 - 1:32
les espagnols ont refuser de signer la circulaire d'accord pour le projet desertec !!! en gros c ça
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 10 Nov 2012 - 7:08
dinamic a écrit:
les salopard d'espagnole http://www.telexpresse.com/news9449.html
Citation :
Espagne refusé de signer le protocole d'entente pour le projet «Desertec» solaire, qui était سيبيح Maroc dans sa construction première phase des deux plus grandes centrales solaires au monde la valeur d'environ 600 millions d'euros, équivalent à 6000 milliards de centimes.
À cet égard, ajoute l'édition du soir du samedi, le représentant de l'Espagne a manqué fonctionne de la troisième conférence annuelle de la société "s sans restriction sans restriction" qui supervise le projet «Desertec», qui s'est tenue du 7 au 9 Novembre en cours à Berlin, en raison de l'absence de consentement de Madrid sur certains informations contenues dans le Mémorandum d'accord, un geste considéré par les observateurs politiques principalement associées problème du désert marocain.
RED BISHOP Modérateur
messages : 12305 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 10 Nov 2012 - 14:31
Citation :
La ville verte Mohammed VI, une nouvelle impulsion royale en faveur d'un mégaprojet conciliant modernité et développement durable
09 novembre 2012
Benguerir - La réalisation de la ville verte Mohammed VI, dont les chantiers ont été visités, vendredi, par SM le Roi, est l'illustration d'une nouvelle impulsion royale en faveur d'un mégaprojet conciliant modernité et développement durable. La ville verte Mohammed VI, une nouvelle impulsion royale en faveur d'un mégaprojet conciliant modernité et développement durable 09 novembre 2012
Premier projet de cette nature sur le continent africain, la ville verte Mohammed VI, située à proximité de Benguerir, offrira des infrastructures adaptées, un espace écologique, une vie sociale organisée et un cadre de vie à même de favoriser le bien-être, la diversité et l'épanouissement social et culturel de ses habitants.
Cette ville se développera sur un socle central qui n'est autre que l'Université Mohammed VI Polytechnique. Université privée à vocation internationale, elle sera le coeur battant de la ville verte et sa principale locomotive de développement.
Cet établissement de formation de haut niveau repose sur différents fondamentaux, à savoir l'enseignement, la Recherche et le développement, le transfert des technologies, l'incubation de projets innovants et porteurs et la proximité avec le monde de l'entreprise.
La future université, qui sera réalisée en deux tranches, mobilise d'importants moyens humains et matériels pour assurer aux étudiants une meilleure appréhension du monde globalisé dans lequel ils évoluent et faciliter leur accès aux cultures étrangères. Elle regroupera plusieurs écoles proposant diverses disciplines (management industriel, ingénierie, agriculture en zone aride, technologies vertes et développement durable, urbanisme et architecture, business et management, gouvernance et administration publique et sciences de la santé).
Une des composantes de l'Université Mohammed VI Polytechnique est l'Ecole de management industriel. Cette structure de formation aura pour ambition de doter le tissu industriel marocain de compétences managériales hautement qualifiées. Axée sur le management industriel, l'Ecole dispensera un enseignement théorique, complété par des stages sur le terrain, outre l'accompagnement des étudiants dans la réalisation de projets individuels et collectifs.
Dans le souci de renforcer sa vocation internationale, l'Université Mohammed VI Polytechnique s'assurera les services d'éminents professeurs et chercheurs marocains ou étrangers. Par leur nombre, la diversité de leurs origines et la complémentarité de leurs compétences, ils seront les initiateurs d'un véritable réseau du savoir.
Un cadre de vie attractif, alliant tradition et modernité, sera dédié à ces enseignants-chercheurs à travers la création d'un quartier résidentiel d'une superficie de 23 Ha comprenant notamment une centaine de villas, des centres de loisirs et des commerces de proximité.
L'ouverture de la future université se trouvera renforcée par les différents partenariats qu'elle prévoit de conclure avec des institutions internationales prestigieuses comme l'Ecole des mines de Paris, HEC-Paris et le MIT (Massachusetts Institut of Technology) aux Etats-Unis.
C'est dans le cadre de cette même démarche de partenariat qu'ont été signées, ce vendredi, sous la présidence de SM le Roi Mohammed VI, que Dieu le Glorifie, deux accords-cadres. Le premier a été signé entre le ministère de l'Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres et l'Office Chérifien des Phosphates (OCP), représentés respectivement par le ministre de l'Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres, M. Lahcen Daoudi et le PDG du Groupe OCP, M. Mustapha Terrab.
Le second est un accord-cadre de coopération entre l'école nationale supérieure des mines de Paris et le groupe OCP. Il a été signé par M. Mustapha Terrab et le directeur-adjoint de l'école nationale supérieure des mines de Paris, M. Nicolas Cheimanoff.
Outre l'aspect pédagogique et universitaire, un effort particulier a été déployé au niveau des choix urbanistiques, architecturaux et esthétiques de la future cité afin de préserver la complémentarité et la cohérence entre toutes les parties de ce projet porté par le Groupe OCP.
Ainsi, afin d'assurer la jonction et l'intégration entre la ville verte Mohammed VI et la ville existante de Benguerir, un cordon vert long de 4 km a été conçu. Dans ce corridor dit "Coulée Verte", ce sont, en effet, pas moins de 50.000 arbres qui seront plantés sur une superficie de 80 hectares.
SM le Roi Mohammed VI a procédé, à cette occasion, à la plantation d'un arbre en guise de lancement du projet de réalisation de cette coulée qui représentera à la fois le poumon écologique et l'ossature urbanistique de cette ville nouvelle.
MAP
_________________
RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 10 Nov 2012 - 19:13
Le programme Titanesque d'Infrastructure qui attend le Maroc dans les années avenir...
Citation :
Logistique
Le gouvernement promet d’accélérer la cadence
166 milliards de DH investis entre 2012-2016
Routes, autoroutes, réseau ferroviaire, ports, aéroports… les chantiers lancés
Sur les 166 milliards de DH débloqués pour la mise à niveau de l’infrastructure de transport, 63 milliards sont destinés notamment à la mobilisation du foncier pour la construction d’un réseau de zones logistiques multiflux, la formation, l’émergence d’acteurs nationaux…
Le patronat réclame sa part du gâteau! La Fédération du transport (FT/CGEM) a insisté de nouveau sur la nécessité d’associer le privé à raison de 50% dans l’organisme qui sera chargé de gérer les futures zones logistiques, à commencer par celle de Zenata. Le patronat redoute l’instauration d’un oligopole, représenté par le GIE qui regroupe la Société nationale du transport et de la logistique (SNTL), l’Office national des chemins de fer (ONCF), la CDG… C’était lors de la conférence organisée par la Chambre britannique du commerce, mercredi 7 novembre, sur les réformes et les mesures à prendre en matière de mise à niveau de la compétitivité logistique. Une rencontre qui a permis de revenir sur le calendrier des dispositions s’inscrivant dans le cadre de la stratégie logistique. Les opérateurs n’ont pas manqué de rappeler le retard enregistré dans la mise en œuvre de la feuille de route. Un retard qui s’explique par la non-désignation d’un directeur de la future Agence nationale pour le développement de la logistique (AMDL). Instance qui sera chargée du pilotage de toute la stratégie. Mais en attendant, une task force a vu le jour. Elle a pour mission de baliser le terrain devant la future structure. En matière d’amélioration de la connectivité logistique, le Maroc est passé en cinq ans de la 94e à la 50e place. De plus, en termes de connectivité maritime, le Royaume est classé 18e mondial depuis 2010, contre la 77e place en 2007. Des performances dues à l’amélioration des indicateurs de transport, notamment l’extension du réseau des autoroutes. En effet, le schéma autoroutier s’élève à fin 2011 à 1.416 km. Il passera à 1.800 km à l’horizon 2015. De plus, 698 km de voies express sont mises en service et passeront à 1.054 km dans trois ans. Quant au réseau ferroviaire, le gouvernement a mis en place une stratégie pour le développement du secteur, notamment l’ouverture de la ligne Tanger Port-Tanger Med sur 45 km, de la nouvelle ligne Taourirt-Nador, la première ligne grande vitesse Tanger-Casablanca. Au total, 3 milliards d’euros seront investis entre 2010 et 2015, dont 1,8 milliard d’euros pour le TGV. Sur le plan de l’infrastructure portuaire, la construction d’un deuxième port à conteneurs a été lancée à Tange Med. Un autre terminal (3 millions EVP) pourrait être réalisé en fonction de l’évolution de la demande en infrastructure portuaire. Le développement du transport aérien fait également partie des axes d’amélioration de la compétitivité logistique. Le réaménagement du terminal 1 de l'aéroport Mohammed V permettra de faire face à l’évolution du nombre de passagers. Il pourra accueillir 13,5 millions de passagers à l’horizon 2015. D’autres aéroports devraient également enregistrer des extensions tels que celui de Fès Saiss, dont la mise en service est prévu fin 2013 ou encore celui de Marrakech, qui sera achevé en juin 2014. «Le programme gouvernemental s’inscrit dans la continuité et devrait capitaliser sur les réalisations acquises jusqu’à présent. L’année 2013 enregistrera une accélération de la mise en œuvre de la stratégie logistique», affirme Younes Tazi, directeur de la stratégie et de la réforme au ministère de l’Equipement et du Transport. Concrètement, il s’agit d’achever 400 km d’autoroutes et 600 km de voies express (Oujda-Nador et Taza Al-Hoceima). Le programme porte également sur l’achèvement du 2e schéma autoroutier: Oujda-Frontière algéro-marocaine, Marrakech-Beni Mellal, Fès-Tétouan et desserte Nador. Le 2e programme national des routes rurales devrait également être achevé. Le gouvernement s’apprêté à lancer les études de faisabilité de grands projets, notamment le tunnel de Tichka sur l’axe routier Marrakech-Ouarzazate et la route reliant le port de Casablanca et la zone logistique de Zenata. Dans le domaine du ferroviaire, la LGV Tanger-Casablanca devrait être achevée à l’horizon 2015. Quant à la ligne TGV Casablanca-Marrakech, aux lignes classiques Tétouan-Melloussa et Khouribga-Beni Mellal, les études de faisabilité seront lancées incessamment. Le ministère de tutelle sera également impliqué dans la réalisation du transport régional via RER à Casablanca. Dans le domaine du transport maritime, la construction de nouveaux ports est à l’ordre du jour, notamment Safi, Nador West Med, Jorf Lasfar, Dakhla, Kénitra.
Handicaps
Les opérateurs membres de la Fédération du transport relèvent encore un certain nombre de handicaps qui plombent le développement du transport dans toutes ses composantes. «Dans le domaine du maritime, le nombre de navires marocains est passé de 70 en 1980 à 20 en 2011. Du coup, les compagnies d’origine étrangère représentent 90% du trafic maritime», explique Hamid Zhar, conseiller de la FT/CGEM. En cause, la libéralisation du secteur sans la mise en place de mesures d’accompagnement. Par ailleurs, en raison de l’avilissement des tarifs du transport routier de marchandises, généralement en deçà du tarif de référence fixé par la tutelle, bon nombre d’entreprises basculent dans l’informel. D’où la détérioration de la qualité de service, la hausse de la sinistralité, le faible taux d’encadrement.
De plus, les entreprises sont dans l’impossibilité structurelle de répercuter les hausses des charges, notamment de gasoil.
Hassan EL ARIF l'Economiste
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charly Colonel-Major
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 10 Nov 2012 - 20:00
Le Maroc se développe bien, côté informatique à Casablanca les ssii (française) vont lancer de grands projets, plus simple que si c était développé en Inde et casa n est qu a 1 heure d avion.
Et cela commence par des recrutements : un exemple cap
messages : 12305 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 10 Nov 2012 - 22:57
Citation :
Alenia Aeronautica courtise le Maroc
Alenia Aeronautica, le constructeur aéronautique et filiale du groupe Finmeccanica, ne cesse de courtiser le Maroc. Il serait en passe de conclure enfin avec le gouvernement son installation au Maroc, puisque selon nos sources, les déplacements sont de plus en plus fréquents ces deux derniers mois entre Rabat et Turin. Rappelons que le groupe italien, en plus des ATR vendus à la RAM et des fameux Spartan livrés en octobre 2011 à l'armée marocaine, veut ramener sur le marché marocain son nouveau bijou aérien, le Superjet 100-95, conçu avec le russe Sukhoi
Magazine Economie-Entreprise novembre 2012
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Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Dim 11 Nov 2012 - 15:26
Citation :
Ouverture bientôt de banques marocaines à Luanda
Casablanca - Le directeur général du Groupe “Attijariwafa Bank”, Boubker JAI a souligné mercredi dernier, à Casablanca, au Maroc, que son groupe étudie la possibilité d'ouvrir, dans les prochains jours, cette banque en Angola.
Boubker JAI, qui a abordé les aspects liés à l'internationalisation de sa banque dans les ays africains, en marge du 2è Forum International pour le Développement de l'Afrique, réalisé du 08 au 09 novembre, à Casablanca, au Maroc, sous le thème intitulé "quels leviers d'accélération pour la coopération sud-sud", a affirmé que pour investir dans certains pays africains, quelques critères sont nécessaires, y compris ceux de diverses infrastructures routières et administratives.
Parmi ces critères, l'Angola a déjà résolu la grande partie de ces critères et dans une rapide croissance économique de la région de la SADC (Communauté de Développement de l'Afrique australe).
Le directeur général de l'Attijariwafa Bank Group, a déclaré que l'ouverture de succursales dans divers pays se fait par étapes. Elle a commencé en Afrique du Nord (Maroc, Tunísie; Algérie et Libye) et la région Ouest-africaine (Zone “'UEMOA”, l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine) avec les pays tels que le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali et la Guinée-Bissau).
La Zone “CEMAC” (Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale, composée du Cameroun, Congo, de Côte d'Ivoire et du Gabon, et le prochain pas sera, à court terme, l'Angola et la région de l'Afrique australe.
Dans le cadre de la coopération Sud-Sud, Le Maroc étant un ays africain, compte investir en Afrique, entrer dans les économies africaines et, spécialement aller à la découverte de l'Afrique australe.
Attijariwafa Bank a été créée en 2004, après fusion de deux banques Wafabank et l Banque Commerciale du Maroc, depuis 2005 et le groupe, confiant à son modèle de banque d'engagement de l'industrie, a débute sa stratégie d'internationalisation.
Ayant son siège au Maroc, ATTIJARIWAFA Bank opère dans 20 payse en Afrique, notamment, en Tunísie, au Sénégal, Burkina Faso, en Guinée-Bissau, au Mali, en Mauritanie, Côte d'Ivoire, au Congo-Brazzaville, au Gabon et au Cameroun.
En Europe, en Belgique, France, Allemagne, Hollande, Espagne et en Grande-Bretagne. En Asie, à Dubai et à Tripoli.
Plus de mille délégations de représentants politiques, gouvernements, des spécialites internationaux et ouverneurs des banques centrales, des journalistes et ex'cutifs de divers pays ont participé à cette rencontre de Casablanca.
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Nov 2012 - 1:54
RED BISHOP Modérateur
messages : 12305 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Nov 2012 - 21:51
La fin de l'économie de rente...
Citation :
Publication lundi à 20h00 de la liste des exploitants des carrières
Le ministère de l'équipement et du transport annonce qu'il procèdera ce lundi à 20h00 à la publication sur son site électronique (www.mtpnet.gov.ma) de la liste des exploitants de tous les types de carrières. Cette mesure "s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre effective de la Constitution et du programme du gouvernement ainsi que de l'engagement du ministère à promouvoir la gouvernance, développer la transparence et mettre l'administration au service du citoyen. Elle vise également à permettre aux citoyens d'avoir accès à l'information", affirme un communiqué du ministère parvenu à la MAP.. Cette liste concerne 1.885 carrières réparties sur l'ensemble du territoire marocain.
Aujourd'hui le Maroc/MAP
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Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Nov 2012 - 21:57
je vois pas ou est la fin en fait ? tant qu'il y a pas un projet de loi qui mis fin à ces choses là et qu'il les fait passer à un mode "contractuel" il y a pas de fin !!
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leadlord Colonel-Major
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Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Nov 2012 - 22:03
Fremo a écrit:
je vois pas ou est la fin en fait ? tant qu'il y a pas un projet de loi qui mis fin à ces choses là et qu'il les fait passer à un mode "contractuel" il y a pas de fin !!
le ministre dit que le projet de lois est déjà prèt
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Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة