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| Crise Malienne - risque de partition | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Crise Malienne - risque de partition Dim 1 Avr - 18:08 | |
| Rappel du premier message :
faut parler ici du sujet sur le mali parceque on discute dans le sujet sur l'armée malienne . |
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Auteur | Message |
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Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 28 Sep - 11:15 | |
| Les ministères de la défense réunis hier à Cadiz à l'occasion du Seaborder 2012, on parlé de la situation au Mali, et les actions qu'ils peuvent prendre sur ce sujet Traduction google - Citation :
- Espagne, le Maroc, l'Algérie et le Portugal négocié des actions possibles au Mali
Les ministres de la défense de l'Espagne, Pedro MORENES, Portugal, José Pedro Aguiar-Branco, le Maroc, Abdelatiff Loudiy, et le major-général Ali Ghediri, représentant le ministre algérien a parlé jeudi au sujet de la gravité de la situation au Mali et a trouvé sur l'opportunité de concevoir une sorte de déclaration sur les graves conséquences de l'instabilité du pays peut être à la hausse de l'activité terroriste au Sahel. "Je n'ai pas encore pris de décision à cet égard», at-il dit, cependant, Morenés. Les quatre responsables de la défense des eaux partagées dans Cadix manœuvres navales conjointes dans l'accord informel, le 5 mai, avec la participation de 10 pays de la Méditerranée occidentale: Espagne, Portugal, France, Italie, Malte, Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie et la Libye. La manœuvre conjointe appelée Seadorder a été réalisée avec la participation de deux frégates, un espagnol et un Marocain, portugais et un patrouilleur de corvette algérienne. La réussite de l'opération et la capacité des différentes armées de coordonner les protocoles d'action dans les manoeuvres à l'approche de la mer démontre le fonctionnement des accords multilatéraux dans le domaine militaire, cependant, ne sont pas possibles dans d'autres forums diplomates. http://www.lavanguardia.com/politica/20120927/54351962826/espana-marruecos-argelia-y-portugal-negocian-posibles-acciones-en-mali.html Les résponsable maliens ont déjà demandé le soutien du Royaume au sein du CS pour leur stratégie visant à sortir de la crise en marge des travaux de 67° assemblée générale de l'ONU : - Citation :
Crise au Mali : le Premier ministre malien sollicite le soutien du Maroc
Dans une déclaration à la presse, à l’issue de son entretien avec le Prince Moulay Rachid, Cheikh Modibo Diarra a souligné avoir fait part à Son Altesse Royale de « la stratégie retenue par le Mali » pour une sortie de crise et « demandé le soutien du Royaume pour l’exécution de cette stratégie, y compris au sein du Conseil de sécurité de l’ONU ».
L’entretien entre le Prince Moulay Rachid et le responsable malien s’est déroulé en présence de MM. Taib Fassi Fihri, Conseiller du Roi, Saad Eddine El Otmani, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, et Mohamed Loulichki, représentant permanent du Maroc à l’ONU.
Son Altesse Royale représente le Roi Mohammed VI aux travaux de la 67-ème session de l’Assemblée générale de l’ONU. http://www.malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_nord_du_mali/52192-crise-au-mali-le-premier-ministre-malien-sollicite-le-soutien-du.html - Citation :
Rabat, Paris et Washington insistent sur une approche régionale
Le Maroc, les Etats-Unis et la France ont fait prévaloir la convergence de leurs analyses au sujet de la crise au Mali, dont la moitié nord est occupée par des groupes extrémistes se réclamant d'Al-Qaïda, en plaidant pour une approche régionale, à travers la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), devant impérativement aboutir au recouvrement par ce pays du Sahel de l'ensemble de son intégrité territoriale.
Afin d'éviter le «chaos sécuritaire» à toute la région et au-delà, le Maroc a insisté sur la pertinence de cette approche régionale qui s'annonce, néanmoins, «difficile et compliquée», tout en réitérant sa volonté d'apporter toute sa collaboration pour faire face aux défis sécuritaires dans cette région, menacée par la collusion et la conjonction d'intérêts entre les groupes terroristes, les réseaux séparatistes, les trafiquants de drogue et les bandes criminelles.
«La priorité doit être donnée au recouvrement par le Mali de son intégrité territoriale et à la lutte contre les activités terroristes perpétrées contre les populations de ce pays, tout en ne perdant pas de vue l'impérieuse nécessité d'aider et de soutenir les pays du voisinage à renforcer leurs institutions sécuritaires pour assurer une meilleure gestion de leurs frontières et faire face au terrorisme et au crime transnational», a souligné le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Saad Dine El Otmani, qui intervenait mercredi lors de la réunion de haut niveau sur le Sahel, en marge de la 67e session de l'Assemblée générale des Nations unies.
Le ministre, a, dans ce cadre, salué la résolution du Conseil de sécurité portant sur la mise en place d'une stratégie globale et intégrée pour la région du Sahel, formant le voeu que cette initiative puisse être en mesure de relever les défis sécuritaire, humanitaire et de développement sur les court, moyen et long termes et d'assurer une meilleure synergie des efforts des Nations unies sur le terrain.
Le ministre délégué aux Affaires étrangères et à la coopération, Youssef Amrani, a de son côté rappelé que le Royaume a, toujours, privilégié une approche régionale, par le biais de la CEDEAO. Il s'agit, selon lui, «d'aider les Maliens à construire leur pays, à réussir la transition démocratique, les accompagner, leur donner l'assistance nécessaire pour renforcer leurs capacités nationales et mettre fin aux défis sécuritaires qui menacent non seulement le Mali mais l'ensemble des pays du Sahel».
Prenant à témoin la communauté internationale, la secrétaire d'Etat US, Hillary Clinton, a, pour sa part, mis en garde contre «le chaos et la violence au Mali qui mettent en péril la sécurité de toute la région et au-delà» et constitue «une poudrière que la Communauté internationale ne peut plus se permettre d'ignorer».
«Nous sommes conscients de la situation qui prévaut actuellement au Mali et de la menace d'extrémistes violents qui veulent imposer leur idéologie brutale au mépris des droits de l'Homme et en s'engageant dans la destruction d'un héritage culturel irremplaçable», a souligné le chef de la diplomatie américaine, qui s'exprimait dans le cadre de de la réunion de haut niveau sur la situation au Sahel. Elle a, dans ce contexte, appelé le Conseil de sécurité de l'Onu à procéder à l'examen des différentes propositions soumises par la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest «car, a-t-elle mis en garde, le chaos et la violence qui sévissent au Mali menacent la stabilité de la région tout entière».
Cette menace, a tenu à préciser la secrétaire d'Etat, «ne se limite pas uniquement aux extrémistes violents, mais aussi aux trafiquants de drogue et d'armes qui ont trouvé dans la région un bastion et exploitent à leur propre avantage la porosité des frontières, d'où ils cherchent à étendre leur influence non seulement dans la région mais bien au-delà».
«Les Etats-Unis soutiennent, à ce propos, la désignation d'un envoyé spécial de l'Onu doté des pouvoirs qui lui permettent de mener un effort international en faveur du Mali», a indiqué Mme Clinton.
Abondant dans le même sens, le Président français, François Hollande, a aussi mis en garde que «ce qui se produit au Nord Mali n'est pas un défi pour les autorités de ce pays seulement, c'est une menace pour l'Afrique de l'Ouest et le Maghreb. C'est également un risque pour l'ensemble de la Communauté internationale». «Car quand un territoire grand comme la France est occupé par des groupes terroristes dont le but n'est pas simplement de contrôler une population, de la punir, de la soumettre, mais de constituer une base arrière pour mener des offensives de même nature terroriste sur les Etats de la région, alors nous sommes devant une menace qui concerne l'ensemble du monde», a martelé le chef de l'Etat français. «Tout malentendu, toute perte de temps, tout processus qui s'éterniserait, ne pourrait faire le jeu que des terroristes», a-t-il averti.
Le Président français avait, dans ce cadre, demandé mercredi une convocation «au plus vite» du Conseil de sécurité de l'Onu pour examiner la demande du Mali d'autoriser une intervention militaire africaine pour reconquérir le nord occupé par des islamistes. http://www.lematin.ma/express/Integrite-territoriale-du-Mali_Rabat-Paris-et-Washington-insistent-sur-une-approche-regionale/172067.html _________________ | |
| | | jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Jeu 4 Oct - 3:30 | |
| - Citation :
Le Mali, un nouvel Afghanistan ?
Le nord du Mali s’étend, à peu de choses près, sur la même superficie que l’Afghanistan (650.000 km2). Comme lui, c’est un pays enclavé, une zone sans débouché sur la mer. Leur principale différence : la population y est clairsemée avec moins d’un million et demi d’habitants, soit deux par km2… Il n’y a que trois villes : Gao, Kidal et la célèbre Tombouctou. C’est un territoire immense et vide, au cœur de l’Afrique. Un territoire refuge tombé sous la coupe des islamistes radicaux, l’équivalent africain des talibans afghans. Ils ne sont pas nombreux : quelques milliers de combattants tout au plus, sans doute moins pour le noyau dur. A la suite de la chute de Kadhafi en Libye et de troubles politiques à Bamako, la capitale du Mali, trois groupes armés (AQMI, Mujao et Ansar el-Dine) ont pris le contrôle de cet immense territoire et ils y imposent, de force, la charia. Accusés d’être des lieux d’idolâtrie, les sites religieux de l’islam traditionnel sont détruits ; les couples adultères sont, au sens propre, lapidés à coups de pierre jusqu’à ce que mort s’en suive ; la musique et l’alcool sont strictement prohibés. Le mollah Omar pourrait s’y sentir chez lui. Onze ans après l’intervention occidentale en Afghanistan, avec les succès que l’on sait, nous voilà avec un nouveau front à 3000 kilomètres de Paris. Depuis des années, on évoquait ce scénario avec inquiétude dans les cercles stratégiques et les écoles militaires : il est désormais réalisé ! Et que fait-on ? Rien. A part de grands moulinets diplomatiques qui, à défaut de modifier la situation sur le terrain, occupent les médias et donnent au moins l’illusion de l’action. Le 25 septembre, depuis la tribune des Nations Unies, le président François Hollande a, par exemple, décrit la situation malienne comme « insupportable, inadmissible, inacceptable », ajoutant que «nous avons le devoir d’agir, d’agir ensemble et d’agir vite, car il y a urgence ». On se croirait dans un opéra italien, lorsque les cuivres sonnent et que, sur scène, les troupes partent à la bataille… en marchant vaillamment mais sur place ! Quelle est, en effet, la situation réelle ? A la veille de la session annuelle de l’Assemblée générale des Nations Unies, le gouvernement malien – ou ce qui en tient lieu depuis l’insurrection militaire de mars dernier et la partition de fait du pays – a réclamé du bout des lèvres une intervention extérieure pour l’aider contre les islamistes. Par la voix de François Hollande, la diplomatie française n’a pas manqué d’enfourcher ce cheval aimablement fourni, mais qui, pour l’heure, se révèle être plutôt une rosse. Avant d’agir, il faut encore attendre une résolution du conseil de sécurité des Nations Unies, sous le chapitre VII, qui autorise l’usage de la force armée. Contrairement à la Syrie, la Russie ou la Chine ne devraient pas bloquer l’adoption d’un tel texte lorsqu’il sera déposé. Quand ? On l’ignore. Deuxième étape et non des moindres : la constitution de la force. On a trouvé son nom mais c’est à peu près tout… Elle s’appellera le Micema, l’acronyme de Mission de la Cedeao au Mali. Il s’agira d’une force africaine de l’ordre de trois milles hommes. Elle sera mise en place par la Cedeao, la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, qui regroupe 15 pays de la région, dont le plus puissant d’entre eux, le Nigéria. Cette Micema sera soutenue par quelques parrains occidentaux, au premier chef, la France qui fournira une aide logistique, de la formation et des moyens de renseignements. La France est déjà militairement présente sur place, de manière discrète. Quelques dizaines d’hommes du Commandement des opérations spéciales (COS) sont à pied d’œuvres avec des avions et des hélicoptères, dans le cadre de l’opération Sabre – qui dure depuis trois ans. Des moyens de renseignements aériens supplémentaires sont en cours de déploiement dans des pays voisins. Paris espère toujours embarquer d’autres pays européens dans cette nouvelle aventure africaine et se dépense sans compter pour tenter de convaincre des partenaires peu motivés. Les pays africains ne le sont en réalité guère plus. Au premier rang desquels le Mali lui-même. François Hollande le reconnaissait dans son discours aux Nations Unies quand il disait : « Je sais qu’il peut y avoir encore la tentation de mener des négociations » avec « les groupes terroristes ». Car, à Paris, chacun sait que le Mali s’accommodait fort bien et depuis longtemps de la présence de ces « groupes terroristes » sur son territoire, contrairement à la Mauritanie voisine qui, elle, les traquent sans merci. Autre épine dans le pied : l’Algérie. Le grand voisin n’est pas mécontent d’avoir « exporté » les terroristes, souvent d’origine algérienne, hors du sol national… Et, passé colonial oblige, il voit d’un très mauvais œil toute intervention militaire de la France dans ce qu’Alger considère être son arrière-cour. Un récent roman d’espionnage « Katiba » (Flammarion 2010), rédigé par un ancien ambassadeur très bien informé, Jean-Christophe Rufin, éclaire bien la réalité complexe du terrain et les coups tordus qui peuvent en résulter… « Négocier avec des groupes terroristes, il ne peut en être question » assure le chef de l’Etat français. Ah bon ? Mais alors avec qui discutent, ou tentent de le faire, les émissaires français dans cette région ? Car ces « groupes terroristes » détiennent six otages français, dont quatre d’entre eux ont entamé à la mi-septembre leur troisième année de détention. Leurs ravisseurs, des membres d’Al Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), n’ont pas manqué de le rappeler, dans une vidéo du 19 septembre : une action militaire française au Mali aboutirait à « la mort des otages ». La France et son président sont aujourd’hui sur le fil du rasoir : il leur est impossible de laisser Al-Qaïda s’installer dans un nouveau sanctuaire en Afrique comme il est tout aussi impossible de sacrifier la vie de six otages français. L’habileté politique et les gesticulations diplomatiques suffiront-elles pour sortir de ce choix cornélien ? Pour l’heure, l’impuissance domine. Et ce n’est une bonne nouvelle pour personne.
http://fr.rian.ru/tribune/20121001/196193949.html
- Citation :
Mali du Nord : Alger négocie avec les islamistes
Washington se dit favorable à une intervention armée «bien préparée» tout en n'excluant pas le dialogue.
«Il y a urgence à trouver une solution pour empêcher une intervention militaire dans le nord du Mali. Nous devons absolument convaincre toutes les factions sur le terrain de rompre les liens avec les terroristes d'Aqmi et du Mujao.» À en croire une source proche des négociations, c'est en recevant en secret une nouvelle délégation d'Ansar Dine qu'Alger essaie de trouver au plus vite une issue politique à la crise au Sahel. Les tractations avec le mouvement islamiste touareg, qui ont commencé depuis le rapt des diplomates algériens à Gao en avril dernier, visent «à unir les différents courants d'Ansar Dine»: la faction la plus radicale - et la plus influente - qui ne reconnaît pas Aqmi comme un groupe terroriste, la frange plus souple, qui souhaite faire du Mali un émirat islamique mais pourrait se démarquer d'al-Qaida, et le courant composé essentiellement d'anciens du MNLA qui veulent privilégier l'autonomie de l'Azawad. «Voilà pourquoi cette délégation était menée par Tena Ould Ahmed (le père spirituel d'Iyad ag Ghali, chef d'Ansar Dine), tenant de l'aile dure, et Amada ag Bibi, plus modéré», explique un proche du mouvement.
Des pourparlers qui ne sont pas du goût de Bamako, où le premier ministre, Cheick Modibo Diarra, a appelé samedi les Occidentaux à envoyer avions et forces spéciales au nord du pays. «Nous ne reconnaissons pas ce type de rencontre informelle, commente. Le Mali compte exclusivement sur une résolution des Nations unies pour envoyer les 3300 hommes de la Cédéao qui se tiennent prêts. L'Algérie cherche à protéger ses hommes, quitte à sacrifier la population malienne. Elle ne doit pas se sentir obligée de s'impliquer dans une opération militaire, le Mali ne lui demande rien.»
Partenariat américano-algérien Sur un autre front, les Algériens soignent leurs relations avec les pays acquis à leur cause. Le ministre nigérien de la Défense, Mahamadou Karidiou, reçu par le président Bouteflika la semaine dernière a rappelé la «convergence de vues» entre les deux pays. Autres partenaires privilégiés, les Américains… même si leurs déclarations se contredisent parfois.
Alors que le général Carter F. Ham, haut commandant des forces armées américaines en Afrique (Africom) affirmait dimanche à Alger que «la situation dans le nord du Mali ne peut être réglée que de manière diplomatique ou politique», le plus haut responsable de l'Afrique au département d'État américain, Johnnie Carson déclarait hier que les États-Unis «seraient prêts à soutenir une intervention armée bien préparée, bien organisée, bien pourvue, bien pensée et agréée par ceux qui seront directement concernés». Les États-Unis semblent en fait garder deux fers au feu. Ils devraient soutenir au Conseil de sécurité des Nations unies le principe d'une intervention armée internationale aussi large que possible, mais tiennent à s'assurer des conditions dans lesquelles elle pourrait se dérouler.
Attendus le 19 octobre à Washington pour la première session de dialogue Algérie-États-Unis, les Algériens martèlent qu'une telle opération serait «vouée à l'échec». «Jeter quelque 3000 hommes dans un théâtre d'opérations de plus de 8000 kilomètres carrés serait insignifiant, s'emporte un haut gradé algérien. De plus, l'ennemi, invisible et insaisissable, mènera une guerre d'usure qu'il gagnera à coup sûr contre une formation militaire telle que la pense la Cédéao, qui ne connaît pas, non plus, le terrain saharien. Enfin, les groupes armés s'appuieront sur la population locale, des Touaregs, pour qui une armée africaine équivaut à une force d'occupation étrangère.»
Le Figaro
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| | | sas Caporal
messages : 122 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Deutschland Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 12:12 | |
| - Citation :
- The White House may extend its campaign of drone strikes against Al-Qaeda to target the desert bases of the group’s north African arm, the Washington Post reported Tuesday.
A spokesman for President Barack Obama’s National Security Council would not confirm details of the debate, which The Post said involved officials from the Central Intelligence Agency, the State Department and the Pentagon. But NSC spokesman Tommy Vietor told AFP: “The president has been clear about his goal to destroy Al-Qaeda’s network and we work toward that goal every day. “It shouldn’t come as a surprise that the White House holds meetings on a variety of subjects, including a number of counterterrorism issues,” he added. A Pentagon official confirmed to AFP that discussion of Al-Qaeda’s north African wing had gained greater urgency since a deadly assault last month on a US consulate in Libya killed four Americans including the US ambassador. There is growing concern among American policymakers that Al-Qaeda’s African franchise has gained in influence and strength since taking control of large swaths of Mali and gaining control of weapons from post-revolutionary Libya. Northern and eastern Mali has been overrun by several rebel factions, including Islamist rebels linked to Al-Qaeda in the Islamic Maghreb and the Movement for Oneness and Jihad in West Africa. Last week, Mali, France and west African nations urged the United Nations to approve the creation of an African-led force to help Mali recapture the land it lost in March after the government was overthrown by frustrated soldiers. The top US diplomat for Africa, Johnnie Carson, told journalists on Monday that the United States would only support a “well planned” and “well resourced” African-led force to help oust Islamist rebels in northern Mali. Unmanned planes — some operated secretly by the CIA, some by the military — already carry out near daily strikes against alleged extremists operating in Afghanistan, Pakistan and Yemen. Defencetalk les killer-drones us entrent en action, je suppose que la police du ciel… MKA/MKR sont prêts a les accueillir...:-) | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 12:16 | |
| Va falloir éviter de se marier en plein air...
PGM | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 16:13 | |
| - sas a écrit:
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- Citation :
- The White House may extend its campaign of drone strikes against Al-Qaeda to target the desert bases of the group’s north African arm, the Washington Post reported Tuesday.
A spokesman for President Barack Obama’s National Security Council would not confirm details of the debate, which The Post said involved officials from the Central Intelligence Agency, the State Department and the Pentagon. But NSC spokesman Tommy Vietor told AFP: “The president has been clear about his goal to destroy Al-Qaeda’s network and we work toward that goal every day. “It shouldn’t come as a surprise that the White House holds meetings on a variety of subjects, including a number of counterterrorism issues,” he added. A Pentagon official confirmed to AFP that discussion of Al-Qaeda’s north African wing had gained greater urgency since a deadly assault last month on a US consulate in Libya killed four Americans including the US ambassador. There is growing concern among American policymakers that Al-Qaeda’s African franchise has gained in influence and strength since taking control of large swaths of Mali and gaining control of weapons from post-revolutionary Libya. Northern and eastern Mali has been overrun by several rebel factions, including Islamist rebels linked to Al-Qaeda in the Islamic Maghreb and the Movement for Oneness and Jihad in West Africa. Last week, Mali, France and west African nations urged the United Nations to approve the creation of an African-led force to help Mali recapture the land it lost in March after the government was overthrown by frustrated soldiers. The top US diplomat for Africa, Johnnie Carson, told journalists on Monday that the United States would only support a “well planned” and “well resourced” African-led force to help oust Islamist rebels in northern Mali. Unmanned planes — some operated secretly by the CIA, some by the military — already carry out near daily strikes against alleged extremists operating in Afghanistan, Pakistan and Yemen. Defencetalk
les killer-drones us entrent en action, je suppose que la police du ciel… MKA/MKR sont prêts a les accueillir...:-) Le Mali est un pays souverain, si des drone US interviennent nous avons rien a faire ou a dire, nous voulons juste éviter une ingerance etrangere dans la region qui a pour but une presence a long terme. ca ne derange pas le maroc qui n'a jamais d'avis personel sur la politique internation mais nous ca nous derange.
Dernière édition par Fresco le Ven 5 Oct - 16:44, édité 1 fois |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 16:25 | |
| - sas a écrit:
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- Citation :
- The White House may extend its campaign of drone strikes against Al-Qaeda to target the desert bases of the group’s north African arm, the Washington Post reported Tuesday.
A spokesman for President Barack Obama’s National Security Council would not confirm details of the debate, which The Post said involved officials from the Central Intelligence Agency, the State Department and the Pentagon. But NSC spokesman Tommy Vietor told AFP: “The president has been clear about his goal to destroy Al-Qaeda’s network and we work toward that goal every day. “It shouldn’t come as a surprise that the White House holds meetings on a variety of subjects, including a number of counterterrorism issues,” he added. A Pentagon official confirmed to AFP that discussion of Al-Qaeda’s north African wing had gained greater urgency since a deadly assault last month on a US consulate in Libya killed four Americans including the US ambassador. There is growing concern among American policymakers that Al-Qaeda’s African franchise has gained in influence and strength since taking control of large swaths of Mali and gaining control of weapons from post-revolutionary Libya. Northern and eastern Mali has been overrun by several rebel factions, including Islamist rebels linked to Al-Qaeda in the Islamic Maghreb and the Movement for Oneness and Jihad in West Africa. Last week, Mali, France and west African nations urged the United Nations to approve the creation of an African-led force to help Mali recapture the land it lost in March after the government was overthrown by frustrated soldiers. The top US diplomat for Africa, Johnnie Carson, told journalists on Monday that the United States would only support a “well planned” and “well resourced” African-led force to help oust Islamist rebels in northern Mali. Unmanned planes — some operated secretly by the CIA, some by the military — already carry out near daily strikes against alleged extremists operating in Afghanistan, Pakistan and Yemen. Defencetalk
les killer-drones us entrent en action, je suppose que la police du ciel… MKA/MKR sont prêts a les accueillir...:-) Avec la visite du general Ham au Maroc et deuf fois en 5 jours,cela me dit que les drones sont deja a goulmim ou les environs. | |
| | | sas Caporal
messages : 122 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Deutschland Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 18:46 | |
| - Citation :
- Le Mali est un pays souverain, si des drone US interviennent nous avons rien a faire ou a dire, nous voulons juste éviter une ingerance etrangere dans la region qui a pour but une presence a long terme. ca ne derange pas le maroc qui n'a jamais d'avis personel sur la politique internation mais nous ca nous derange.
Je ne suis pas aussi confident qu’il s’agit seulement du mali…mais il s’agit bien de toute la région infectée par al qaeda et le theatre des operations, si confirmation il ya, sera bel et bien toute la region du sahel, le sud algerien inclu… Et sans polémique, je peux te garantir qu'une fois lancees, les attaques des drones us et les operations des FS et des seals vont meme aller au delà du sud algerien si nécessaire...a l'exemple des frappes us en Afghanistan-Pakistan et de l'opération abbottabad …moins de 50km d’Islamabad. Pour éviter une ingérence étrangère, il fallait entrer en action en direct pour résoudre ce probleme et ne pas jouer sur le temps. | |
| | | Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 18:58 | |
| Je l'ai évoqué plusieurs fois.. Mon scénario se dessine, les occidentaux prennent le problème au sérieux et donc vont certainement faire le ménage y compris en Algérie! C'est une très bonne chose..Fresco ne t'inquiètes pas, le Maroc travail dans l'ombre ..Avec un peu de chance les Drones vont partir de chez nous pour nettoyer ton pays. _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 18:58 | |
| Je suis de ton avis sas, une fois ces attaques lancées je ne conçois pas que les amrécains ferment l'oeil sur un véhicule suspect juste parce qu'il a franchi les frontières algériennes. Ils vont frappé tout azimut.
On voit bien comment ils agissent au pakistan, tout le peuple est contre ces attaques, et par moments même le gouvernement est contre, il a beau se plaindre et dénoncer en vaim... les américains ne font que ce qui les arrangent.
Va dire ça aux algériens et essaye de les convaincre, bonne chances... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:02 | |
| - sas a écrit:
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- Citation :
- Le Mali est un pays souverain, si des drone US interviennent nous avons rien a faire ou a dire, nous voulons juste éviter une ingerance etrangere dans la region qui a pour but une presence a long terme. ca ne derange pas le maroc qui n'a jamais d'avis personel sur la politique internation mais nous ca nous derange.
Je ne suis pas aussi confident qu’il s’agit seulement du mali…mais il s’agit bien de toute la région infectée par al qaeda et le theatre des operations, si confirmation il ya, sera bel et bien toute la region du sahel, le sud algerien inclu… Et sans polémique, je peux te garantir qu'une fois lancees, les attaques des drones us et les operations des FS et des seals vont meme aller au delà du sud algerien si nécessaire...a l'exemple des frappes us en Afghanistan-Pakistan et de l'opération abbottabad …moins de 50km d’Islamabad. Pour éviter une ingérence étrangère, il fallait entrer en action en direct pour résoudre ce probleme et ne pas jouer sur le temps.
la situation Astan-Paki n'est en rien comparable avec la situation Mali-Algerie. Les US avait au depart l'autorisation du Pakistan, c'est apres des bavure que le pakistan a retirer l'autorisation au drone US d'attaquer mais qui continu quand meme devant le laxisme et meme complicité des autorité Pakak qui ne font presque rien dans la lutte anti-terroriste. jamais des drone us n'interviendrons sans autorisation au dessus de l'algerie, il se feront abattre legitimement et conformement au droit international. l'intervention au mali se fera en dernier recour, nosu faison place a la diplomatie, je trouve que c'est tut a notre honneur. Les USA et france ne font pas la difference entre Ancar dine, MUJUAO, MNLA etc, alors que nous nous connaissons la difference entre les different groupe et avons des lien avec les responsable des groupe suite au plusieur negociation de paix entre le mali et les touareg depuis 40 ans . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:06 | |
| - Younes a écrit:
- Je l'ai évoqué plusieurs fois..
Mon scénario se dessine, les occidentaux prennent le problème au sérieux et donc vont certainement faire le ménage y compris en Algérie! C'est une très bonne chose..Fresco ne t'inquiètes pas, le Maroc travail dans l'ombre ..Avec un peu de chance les Drones vont partir de chez nous pour nettoyer ton pays. c'est pas pour etre mechant, mais je pense que tu ne devrais pas croire que parceque nous sommes voisins nous avons la meme facilité a baisser la tete devant americain espagnol ou francais. |
| | | Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:08 | |
| - Citation :
- jamais des drone us n'interviendrons sans autorisation au dessus de l'algerie, il se feront abattre legitimement et conformement au droit international.
J'ai fait une capture d'écran pour la ressortir au cas où - Citation :
- l'intervention au mali se fera en dernier recour, nosu faison place a la diplomatie, je trouve que c'est tut a notre honneur.
Les USA et france ne font pas la difference entre Ancar dine, MUJUAO, MNLA etc, alors que nous nous connaissons la difference entre les different groupe et avons des lien avec les responsable des groupe suite au plusieur negociation de paix entre le mali et les touareg depuis 40 ans . Vous négociez avec qui ? Tu avais dit que vous ne négociez pas avec les terros _________________ Site perso : http://defense-turque-infos.com/
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| | | Invité Invité
| | | | Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:12 | |
| Comme jamais la France ne devait faire des essais nucléaires dans votre sahara jusqu'en 66 Un Algérien qui accuse les autorités Pakistanaises ( et pas pakpak! ) de complicité avec le terrorisme, franchement le comble! Tu penses que la communauté internationale ne sait pas qui est derrière Alquaida en Algérie islamique ? El Para, Zitouni les cadres de AQAI sont tous des anciens de l'ANP. _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:22 | |
| - Younes a écrit:
- Comme jamais la France ne devait faire des essais nucléaires dans votre sahara jusqu'en 66
Un Algérien qui accuse les autorités Pakistanaises ( et pas pakpak! ) de complicité avec le terrorisme, franchement le comble! Tu penses que la communauté internationale ne sait pas qui est derrière Alquaida en Algérie islamique ? El Para, Zitouni les cadres de AQAI sont tous des anciens de l'ANP. ca fait partie des clause secrete des accord d'evian, avec le centre de B2 Nanou, le poste de lancement de fusé d'hammaguir , les essai nucleaire base aerienne de Bousfer, base de Mers el Kebir etc , tout ca pour une durée de 5 ans, fin en 1967. Je te le repete, ne nous compare pas. On se permet pas avec nous ce qu'on se permet avec vous dans le cas pakistanais c'est un fait averé, alors que pour l'algerie il n'y a aucune preuve si ce n'est 3 demandeur d'asile politique, apres il ne faut pas confondre la guerre secrete au groupe islamiste par l'infiltration pour les vaincre de l'interieur. Ah oui la guerre c'est jamais propre. l'algerie des année 90 etait dirigé par des ERADICATEUR tout les moyens etait bon pour detruire le terrorisme, aujourd'hui la politique anti-terroriste est plus ouple mais quoi qu'il arrive il est vaincu puisqu'il ne menace plus la stabilité du pays pour l'instoration d'une republique islamique . |
| | | mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:33 | |
| Fresco : un pure prduit de la propagande algerienne! on est tres fort et les voisins c est de la m***de on acheté quelques sukhoi> demain on annexe paris et on va corriger les USA pure mentalité superman on ne parle pas de souvraineté quand on envoit medelci a paris se justifier devant les deputés francais et raviver la nostalgie de la colonisation desolé pour le HS | |
| | | Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:37 | |
| Il devrait être rédacteur pour "elchoukroute"..il a parfaitement compris : -Alger devient une menace pour l'Otan -Boutéflika annonce la création de 4 millions d'emplois -Le terrorisme n'existe pas en Algérie Désolé pour le hs. _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:40 | |
| - mourad27 a écrit:
- Fresco : un pure prduit de la propagande algerienne! on est tres fort et les voisins c est de la m***de on acheté quelques sukhoi> demain on annexe paris et on va corriger les USA pure mentalité superman on ne parle pas de souvraineté quand on envoit medelci a paris se justifier devant les deputés francais et raviver la nostalgie de la colonisation desolé pour le HS
Ce n'est rien de propagande, je dis rien contre le maroc !!! au contraire le maroc est un exemple a suivre en terme culturel ou economique etc. Je parle juste de politique etrangere pour dire que nous somme tres different. ca a rien a voir avec l'armement et nous avons rien a nous envié entre les deux pays. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 19:50 | |
| - Fresco a écrit:
- c'est pas pour etre mechant, mais je pense que tu ne devrais pas croire que parceque nous sommes voisins nous avons la meme facilité a baisser la tete devant americain espagnol ou francais.
Bien dit fresco, vous baissez pas la tete parce que vous leur fournisser tout sur un plateau sans qu'ils le demandent, ils vous laissent donc tranquille. Ou ils peuvent rever de ca, un pays musulman immensement riche qui egorge ces citoyens, les maintient dans la misere et claque son argent pour causer des problemes a un autre pays musulman, evitant ainsi le developement d'une region entiere
Dernière édition par vipsdesvips le Ven 5 Oct - 20:16, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 20:04 | |
| - Fresco a écrit:
l'intervention au mali se fera en dernier recour, nosu faison place a la diplomatie, je trouve que c'est tut a notre honneur. Les USA et france ne font pas la difference entre Ancar dine, MUJUAO, MNLA etc, alors que nous nous connaissons la difference entre les different groupe et avons des lien avec les responsable des groupe suite au plusieur negociation de paix entre le mali et les touareg depuis 40 ans . Vus du ciel tous les jeeps se ressemblent, même les civils Non seulement les USA ne font pas la différence entre ces groupuscules, mais ils veulent même pas faire la différence. Qu'ils soient indépendantistes ou pas, tout ce qui pourrait créer des zones de ''non droit'' où la menace terroriste (telle que vue par les US) peut prospérer et se proliférer est à éliminier tout simplement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 20:13 | |
| - Ticonderoga a écrit:
- Fresco a écrit:
l'intervention au mali se fera en dernier recour, nosu faison place a la diplomatie, je trouve que c'est tut a notre honneur. Les USA et france ne font pas la difference entre Ancar dine, MUJUAO, MNLA etc, alors que nous nous connaissons la difference entre les different groupe et avons des lien avec les responsable des groupe suite au plusieur negociation de paix entre le mali et les touareg depuis 40 ans . Vus du ciel tous les jeeps se ressemblent, même les civils
Non seulement les USA ne font pas la différence entre ces groupuscules, mais ils veulent même pas faire la différence. Qu'ils soient indépendantistes ou pas, tout ce qui pourrait créer des zones de ''non droit'' où la menace terroriste (telle que vue par les US) peut prospérer et se proliférer est à éliminier tout simplement. parceque tu pense que leurs politique d'extermination est fiable et que grace a leurs intervention nous sommes aujourd'hui dans un paradis, les USA ne font que mettre des coup de pied dans des fourmiliere et se font piqué de temps en temps, puis se plaigne , le gros de la souffrance est pour les habitant de ces territoire, que ce soit en Irak, afghanistant etc . Faut etre aveugle pour croire qu'un intervention militaire est la solution . c'est pour ca qu'ilest important de laisser place a la diplomatie pour faire en sorte que le MNLA est autre groupe sans reele intention nuissance ne se font pas descendre, ca risque des les radicaliser et faire une monté en puissance de ces groupe dans la radicalisation. vips des vips, j'ai pas connaissance quel'algerie sert les interet de la france ou USA en priorité ? et que nous la fermons devant certaine injustice qui nous frappe. Ne nous comparons pas la dessus, je suis certain que ce que fis l'espagne, elle ne se le serai jamais permi avec nous. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 20:32 | |
| - Fresco a écrit:
- Ticonderoga a écrit:
- Fresco a écrit:
l'intervention au mali se fera en dernier recour, nosu faison place a la diplomatie, je trouve que c'est tut a notre honneur. Les USA et france ne font pas la difference entre Ancar dine, MUJUAO, MNLA etc, alors que nous nous connaissons la difference entre les different groupe et avons des lien avec les responsable des groupe suite au plusieur negociation de paix entre le mali et les touareg depuis 40 ans . Vus du ciel tous les jeeps se ressemblent, même les civils
Non seulement les USA ne font pas la différence entre ces groupuscules, mais ils veulent même pas faire la différence. Qu'ils soient indépendantistes ou pas, tout ce qui pourrait créer des zones de ''non droit'' où la menace terroriste (telle que vue par les US) peut prospérer et se proliférer est à éliminier tout simplement.
parceque tu pense que leurs politique d'extermination est fiable et que grace a leurs intervention nous sommes aujourd'hui dans un paradis, les USA ne font que mettre des coup de pied dans des fourmiliere et se font piqué de temps en temps, puis se plaigne , le gros de la souffrance est pour les habitant de ces territoire, que ce soit en Irak, afghanistant etc . Faut etre aveugle pour croire qu'un intervention militaire est la solution . c'est pour ca qu'ilest important de laisser place a la diplomatie pour faire en sorte que le MNLA est autre groupe sans reele intention nuissance ne se font pas descendre, ca risque des les radicaliser et faire une monté en puissance de ces groupe dans la radicalisation. Je ne dis pas que leur méthode est efficace, et je ne l'approuve pas, je décris juste la réalité, j'essaie de t'expliquer que ce que tu dis n'a aucune importance pour eux, c'était pour te ''désillusionner'' |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 20:35 | |
| je nage dans aucune illusion, je decris la reaction du gvt algerien contre celle usa. on se demande pourquoi on intervient pas, je pense qu'on suit la meilleurs solution |
| | | mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 20:37 | |
| la diplomatie des bateau de riz que vous distribuez au sahel et des valise de dollars et les contrats en plusieurs milliard de dollars ne foncionne pas toujours l'ami. si le Maroc a une politique et un point de vue qui n 'est pas different des USA c est parceuqu on voit la chose de la meme maniere y a ni pression ni rien y a que vous qui vivez encore dans l'air boumedienne la region a changé y a ni kadhafi ni moubarak ni saleh et bientot ni assad
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Ven 5 Oct - 20:48 | |
| - Fresco a écrit:
- je nage dans aucune illusion, je decris la reaction du gvt algerien contre celle usa.
on se demande pourquoi on intervient pas, je pense qu'on suit la meilleurs solution Je pense qu'il y a un mal entendu, ce n'est pas ça le point auquel j'ai réagi, je n'ai en aucun moment parlé de la politique algérienne et je sais que l'algérie n'a pas l'intention d'intervenir. Le but de ma première intervention est d'expliquer que quelle que soit l'intention algérienne quand la machine américaine sera lancée ça changera pas grand chose, et que votre capacité à faire la distinction entre les différents bélligérants dans la région importe peu pour eux... quand on voit qu'ils tirent même sur les civiles... Les américains ne prennent pas de risque, si tu pense que cette méthode n'est pas efficace tu as surement raison, je suis de ton avis, mais qu'est ce que ça change?? |
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