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| Crise Malienne - risque de partition | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Crise Malienne - risque de partition Dim 1 Avr 2012 - 20:08 | |
| Rappel du premier message :
faut parler ici du sujet sur le mali parceque on discute dans le sujet sur l'armée malienne . |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 18:31 | |
| - falconfighting a écrit:
- l' instabilité du mali a été faite par le qatar qui finance à millions ces djihadistes, que ce soit au mali et autres régions, des preuves ont été trouvées. C'est eux qui ont demandé l'attaque de la Lybie pour s'approprier kles ressourecs pétrolières, c'est eux qui ont la majorité les ressources lybiennes. c'est la même chose en Syrie.
D'ou les nombreuses revoltes touaregs avant meme l'independance du qatar... - Citation :
- « Nous avons l’honneur de vous déclarer très sincèrement une fois de plus que nous voulons rester toujours français musulmans avec notre cher statut privé. Nous vous affirmons notre opposition formelle au fait d’être compris dans un système autonome ou fédéraliste d’Afrique noire ou d’Afrique de Nord. Nos intérêts et nos aspirations ne pourraient dans aucun cas être valablement défendus tant que nous sommes attachés à un territoire représenté forcément et gouverné par une majorité noire dont l’éthique, les intérêts et les aspirations ne sont pas mêmes que les nôtres. C’est pourquoi nous sollicitons votre haute intervention équitable pour être séparés politiquement et administrativement et le plus tôt possible d’avec le Soudan français pour intégrer notre pays et sa région Boucle du Niger au Sahara français dont nous faisons partie historiquement et ethniquement. »3
Première partie de la lettre du 30 mai 1958 adressée au général de Gaulle par Mohamed Mahmoud Ould Cheikh, cadi de Tombouctou, signée par 300 chefs Touaregs et Maures. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 18:44 | |
| - Baybars a écrit:
La France et l'Occident finance rien en Syrie. Arrêter de vous voir partout. L'ASL et les autres groupes sont aidés par l'Arabie saoudite, le Qatar, la Turquie et la Libye. Merci Baybars. Financement par ci, armes par la mais sur le terrain on voit rien. Faut arreter d'etre une victime des medias... La France apres avoir manipuler et aider la pire racaille takfiri libyenne contre Kadafi, au nom des DH, combat "les jihadistes" au Mali, au nom des DH... Chef des sardines expulser d'AS en 2010 pour son ideologie deviante, allah irahmek ya Nayef... http://farafinamag.over-blog.com/article-l-arabie-saoudite-expulse-un-conseiller-culturel-soupconne-d-amitie-avec-al-qaeda-51796253.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 18:57 | |
| Qui parle d'envoyer la France s'engager en Syrie comme au Mali??? Je dis juste que la France A PU apporter 1 aide LOGISTIQUE à 1 moment donné à l'ASL. Il me semblait pourtant que ce n'était pas 1 secret. De +, cher Baybars, n'oublie pas que la France & les émirats (surtout le Qatar & les Saouds) sont très potes Pardon, pardon pour le HS. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 19:05 | |
| - pierrot1771 a écrit:
Qui parle d'envoyer la France s'engager en Syrie comme au Mali???
Je dis juste que la France A PU apporter 1 aide LOGISTIQUE à 1 moment donné à l'ASL. Il me semblait pourtant que ce n'était pas 1 secret. De +, cher Baybars, n'oublie pas que la France & les émirats (surtout le Qatar & les Saouds) sont très potes
Pardon, pardon pour le HS. Bof, quelques moyens de télécommunication, et rien d'autre, du moins officiel.. Les Khaliji regardent juste leur intérêt, ils sont très intelligents et malins. Les émiratis se sont mis sous la protection nucléaire française, les français ont cru que cela favoriserai la vente du Rafale à ce pays, mais n'a rien été comme ça. Ils ont juste utiliser le marchandage du rafale pour ce mettre sous protection. Certains espèrent qu'il y aura vente de Rafale lors de la visite d'Hollande au EAU, je crois pas.. Comme tu dis, c'est du hs.. Pour le Mali, je ne vois pas d'autre moyen que la négociation, le territoire est grand et impossible de contrôlé. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 19:19 | |
| Plus de négociations, c'est trop tard... Les djihadistes vont etre repoussés dans le desert, d'où ils vont tenter de se réorganiser. Ce qui veut dire 1 présence française (ou au moins l'ONU) au Mali pour 1 sacré bout de temps...
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 19:37 | |
| Il n y a pas que la Qatar qui manipule un ou plusieurs protagonistes dans le drame malien,les cartes de chacun ne sont plus cachées. D ailleurs comment se fait il que l emir du qatar ait visité l Algérie juste quelques jours avant le déclenchement de la derniere offensive des "islamistes tous reunis " contre le nord du Mali? Coincidence,hasard de calendriers!!! Et suivit la réponse(francaise séche et claire). Les maliens eux aussi commencent a comprendre qui est avec eux et qui instrumentalise cette chute programmée de l état malien pour en tirer profit. |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 20:05 | |
| - falconfighting a écrit:
- l' instabilité du mali a été faite par le qatar qui finance à millions ces djihadistes, que ce soit au mali et autres régions, des preuves ont été trouvées. C'est eux qui ont demandé l'attaque de la Lybie pour s'approprier kles ressourecs pétrolières, c'est eux qui ont la majorité les ressources lybiennes. c'est la même chose en Syrie.
Des sources ou éléments tangibles pour étayer ça? Tout le monde évoque les financements/agissements des Qataris, mais jusqu'à ce jour, je n'ai rien lu de probant la dessus. Idem avec les fameux 35% du petrole libyens qui aurait été cédé aux francais. Ce qui s'est avéré être totalement faux... Pgm | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 20:08 | |
| - AMEDEUS a écrit:
-
D ailleurs comment se fait il que l emir du qatar ait visité l Algérie juste quelques jours avant le déclenchement de la derniere offensive Que l'on me corrige si je me plante, mais c'etait prevu depuis belle lurette cette visite... |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 20:23 | |
| Oui et 2 j avant il etait au Maroc. Pas de lien de causalité. Le Qatar a investit 40mds $ en France en 3 ans, je les imagine mal jouer contre le terrain de leur investissement. Et pour quel gain autre que ceux qu'ils peuvent se payer ?
Pgm
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 20:33 | |
| - PGM a écrit:
- falconfighting a écrit:
- l' instabilité du mali a été faite par le qatar qui finance à millions ces djihadistes, que ce soit au mali et autres régions, des preuves ont été trouvées. C'est eux qui ont demandé l'attaque de la Lybie pour s'approprier kles ressourecs pétrolières, c'est eux qui ont la majorité les ressources lybiennes. c'est la même chose en Syrie.
Des sources ou éléments tangibles pour étayer ça? Tout le monde évoque les financements/agissements des Qataris, mais jusqu'à ce jour, je n'ai rien lu de probant la dessus. Idem avec les fameux 35% du petrole libyens qui aurait été cédé aux francais. Ce qui s'est avéré être totalement faux...
Pgm Pgm je te félicites pour avoir relever. J'viens de tomber dessus. Que dire de +... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 20:42 | |
| un petit lien de ton pays PGM, qui relate des infos venant de divers journaux du monde entier http://www.emarrakech.info/Presse-francaise-Le-Qatar-financerait-l-AQMI-et-ses-dependances-au-nord-Mali_a61682.html apres vous pouvez chercher sur google vous allez avoit pleins de liens, sarko était parfaitement au courant des agissements du qatar, le fn en avait parlé |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 20:49 | |
| Visite prévue ou imprévue cela ne change rien aux faits établis.Je n ai fait que relever la coincidence,le hasard des calendriers comme j ai dit.Le qatar est bien présent au Mali et l algérie aussi .chacun y a son cheval de troie ,c est connu.Je pense egalement que celui qui a donné le feu vert pour une offensive vers le nord Mali ne s attendait pas,absolument pas a cette riposte de la part de la france (qui a affirmé haut et fort qu elle n interviendra pas directement).D ou nouveau brassage inattendu des cartes et nouvelle donne qui a du surprendre plus d un protagonistes de la malheureuse scene malienne. |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 21:00 | |
| - falconfighting a écrit:
- un petit lien de ton pays PGM, qui relate des infos venant de divers journaux du monde entier
http://www.emarrakech.info/Presse-francaise-Le-Qatar-financerait-l-AQMI-et-ses-dependances-au-nord-Mali_a61682.html
apres vous pouvez chercher sur google vous allez avoit pleins de liens, sarko était parfaitement au courant des agissements du qatar, le fn en avait parlé Si je suis donc la logique des articles proposés, ça veut dire que l'emir du Qatar, qui vient de signer plusieurs conventions avec Alger et grand ami de ses dirigeants, finance Aqmi, qui saigne des algeriens a chaque occasion ? Pgm | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Dim 13 Jan 2013 - 21:21 | |
| - Citation :
- Mali : Le MNLA ne veut pas que les forces de Bamako pénètrent dans le Nord
Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), rébellion autonomiste touareg du nord du Mali, a demandé dimanche que les forces gouvernementales de Bamako qui affrontent avec un appui militaire les groupes islamistes armés dans le centrei, ne pénètrent pas dans le nord du pays.
“Le MNLA attire l’attention de la communauté internationale que l’intervention armée étrangère contre les groupes terroristes ne doit pas permettre à l’armée malienne de franchir la ligne de démarcation entre l’Azawad et le Mali avant le règlement politique du conflit qui nous oppose”, souligne le MNLA dans une déclaration reçue par l’AFP à Dakar.
Bilal Ag Achérif, chef de la rébellion touarègue du MNLA, reçu à Paris, le 23 novembre 2012. AFP
Le MNLA avait lancé en janvier 2012 une offensive dans le nord, avant d’en être évincé peu après par les groupes islamistes armés Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) et Ansar Dine (Défenseurs de l’islam).
Très affaibli, le MNLA s’était engagé en décembre 2012 à cesser les hostilités et à négocier avec les autorités maliennes. Rébellion laïque, ce mouvement a cessé officiellement de réclamer l’indépendance pour ne plus plaider que le droit à “l’autodétermination” de l’Azawad.
L’Azawad est un immense territoire aride d’une surface équivalente à celles de la France et de la Belgique réunies, comprenant les trois régions administratives de Kidal, Tombouctou et Gao.
Dans son texte, signé de Bilal Ag Achérif, secrétaire général du mouvement, le MNLA ajoute: “c’est dans ce cadre que le MNLA s’impliquera pour le succès des opérations de lutte contre le terrorisme et cela minimisera les risques des victimes civiles innocentes. Nous demandons à ce que la population civile de l’Azawad ne soit victime de l’intervention armée et qu’il n’y ait pas d’amalgame entre elle et les terroristes”.
“Nous rappelons que le MNLA a toujours respecté ses engagements notamment la cessation des hostilités entre le MNLA et l’armée malienne et reste disponible aux négociations”, a souligné le mouvement touareg.
Alors que la situation militaire était gelée, les combats entre armée malienne et groupes islamistes armés avaient repris cette semaine dans le centre du pays. A plus de 700 km de Bamako, Konna était tombée jeudi aux mains des jihadistes, provoquant l’intervention des forces françaises, qui bombardent depuis trois jours les groupes islamistes dans la zone.
AFP – 13 janvier 2013 |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 11:03 | |
| - Citation :
- L’armée française intervient au Mali : précipité mais nécessaire
Par Pascal Boniface- Directeur de l'IRIS.
François Hollande l’a confirmé ce vendredi 11 janvier : l’armée française s’engage sur le terrain aux côtés des troupes gouvernementales maliennes, dans une offensive visant à repousser les islamistes. Pourquoi si soudainement ? Et avec quels risques ? Réponses de Pascal Boniface, directeur de l’Iris.
Les choses ne se passent pas comme prévu. Initialement, la France devait aider l’armée malienne à se former, afin de pouvoir reconquérir les territoires perdus sur une période de plusieurs mois.
Or vendredi soir, ordre a été donné de déployer les premières unités françaises à Bamako.
Le Mali risquait une "somalisation"
Cette intervention inattendue et précipitée de la France au Mali est consécutive à une intervention elle aussi inattendue et précipitée des miliciens islamistes, contrôlant déjà le nord du pays. Il n’y a pas eu de changement de la politique française, mais une modification brutale du calendrier.
L'avancée rapide des islamistes ces derniers jours a fait sauter un verrou ; elle n’a pas laissé le choix à la France. Le Mali risquait une "somalisation".
Immédiatement, nous pensons à nos compatriotes otages dans ce pays. On peut penser que paradoxalement, une intervention militaire de la France ne les met pas plus en danger qu'ils ne l'étaient auparavant. Leur valeur politique et marchande est toujours la même pour leurs ravisseurs.
Les accusations de néo-colonialisme ne tiennent pas
On peut dégager quatre risques principaux à l’implication de la France dans le conflit malien :
1- Celui des pertes humaines. Il est inhérent à la guerre, mais nous pouvons compter sur le professionnalisme de l’armée française.
2- Les accusations de néo-colonialisme, nombreuses sur les réseaux sociaux depuis vendredi soir..Cette accusation de néo-colonialisme est minoritaire au Mali et en Afrique en général – précisons que c’est le pouvoir malien qui a fait la demande de cette intervention militaire.
3- Le risque traditionnel d’enlisement du conflit. Il est impossible à déterminer à ce jour. Mais encore une fois, le pire aurait été de ne rien faire.
4- Même en cas de victoire, le jour d’après. Nous savons d’expérience que lorsqu’une force occidentale emporte une guerre en territoire étranger, les vrais problèmes commencent quand elle se retire.
Il faut jamais comparer une situation idéale à une situation réelle.Il est risqué d’intervenir certes, mais les risques à ne pas le faire auraient été encore plus grands.Le cas echéant, on aurait reproché à François Hollande sa passivité et son impuissance. Lorsqu'on fait la balance entre avantages et inconvénients, elle penche en faveur de l'intervention.
Plus tard eut été trop tard
La France est assez isolée dans cet engagement militaire. Elle avait le choix entre attendre que d’autres pays se rallient à sa position, impliquant une intervention plus tardive et donc trop tard, et intervenir rapidement, en solitaire, ce qu’elle a fait.
Notons néanmoins que les Nations unies avaient adopté en décembre à l’unanimité la résolution 2085, permettant le déploiement d'une force militaire internationale pour reconquérir le nord du Mali. La Russie a entériné cette décision en vertu du principe d’intégrité et de souveraineté d’un pays auquel elle est attaché. Ceci explique pourquoi elle fait blocage sur la Syrie et pas sur le Mali.
Hollande soutenu par patriotisme... et par réalisme
Politiquement, François Hollande se retrouve dans la situation traditionnelle d’une entrée en guerre : un alignement patriotique et un consensus national par déférence envers nos militaires en intervention.
Au sein des différents partis politiques, personne ne va à l’encontre d’une intervention militaire de la France. Le FN et le Front de gauche sont certainement moins allants que les autres, mais sans opposition frontale non plus.
La suite pour Hollande dépendra des événements sur le terrain. Si l’issue est positive, le chef de l’Etat aura de quoi réfuter toutes les accusations de mollesse et de manque de leadership. Le risque réside bien évidement dans l’issue contraire, celle d’un enlisement.
Mais soyons réaliste : la France intervient dans le conflit malien parce qu’il se situe à hauteur de ce qu’elle peut faire. Comme toujours, le discours sur les valeurs est réel mais excessif. S’il ne fallait agir qu’au nom des valeurs, nous interviendrions partout, à commencer peut-être par la RDC. La France entre en scène au Mali pour des raisons morales certes, mais aussi et surtout parce que c’est dans ses intérêts, qu’il y a de nombreux Maliens en France, de nombreux Français au Mali et que l’opération est faisable et à la hauteur de ses moyens.
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/759374-l-armee-francaise-intervient-au-mali-precipite-mais-necessaire.html PGM | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 13:13 | |
| Résumé de la déclaration de M.Othmani (Ministre des affaires Etrangéres)a propos de la crise malienne: 1)Le Maroc est extremement inquiet des derniers developpements au Mali.Il est aussi en contact permanent avec les autorités malien- nes et se dit PRET a répondre POSITIVEMENT a TOUTES DEMANDES de celles-ci. 2)INTERVENTION OU PAS? Jusqu a présent le Mali n a pas requis une intervention militaire du Maroc mais seulement une aide politique,economique ,financiere, aide humanitaire et aussi de formation. 3) Le Maroc attend donc une décision du Conseil de Sécurité a ce sujet. Source: Intervviewé par AL Ahdath Al Maghribia. |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 14:24 | |
| - Citation :
- Algérie-Sahel : la stratégie de l’indécision
Par : Mustapha Hammouche La seconde manche de la guerre a éclaté plus tôt que prévu au Mali. Les organisations terroristes étaient probablement impatientes de conquérir ce qui restait à occuper du territoire malien. Peut-être, pensaient-elles que leur intérêt stratégique était de gagner du terrain avant que les troupes de la Cédéao ne viennent en renfort à une armée locale déjà défaite. La question Azawed est déjà dépassée, puisque l’enjeu de l’offensive stoppée par l’armée française dépassait le territoire litigieux. Le soutien franc et décisif de la France, à la riposte de l’armée malienne, n’a, peut-être, pas été anticipé par le trio d’organisations islamistes à l’initiative de l’assaut. Ce que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères algérien a appelé “les nouveaux développements” a, aussi, récusé la proposition algérienne de “solution politique”, déclinée sous forme de dialogue avec “les différents groupes de la rébellion respectueux de l'intégrité territoriale du Mali et n'ayant aucun lien avec le terrorisme”. Ansar Eddine, le mouvement touareg islamiste dont l’Algérie a résolument parrainé le rôle politique, a clairement fait un pied-de-nez à la diplomatie algérienne. En prenant part à une attaque contre Mopti, et qui dépassait donc la seule revendication territoriale targuie, nos “amis” d’Ansar Eddine ont contraint notre pays à reconsidérer sa position. Le fait d’avoir pris positivement acte de la résolution 2085 du Conseil de sécurité constitue l’ultime recours d’une diplomatie paradoxale : la “solution politique” est invariablement déclinée à l’endroit des forces qui font valoir leur potentiel de violences.
Au lendemain de l’intervention française, confrères et “observateurs” nationaux s’interrogeaient sur le fait que les autorités et leur allié français soient ainsi passés à l’action, en faisant fi de la prédilection algérienne pour “le dialogue”. Un peu comme si le monde devait attendre que la diplomatie algérienne fasse la preuve de la vertu du dialogue avec un groupe qui ne cachait pourtant point sa cause : l’instauration de la charia au Mali. La destruction des mausolées de Tombouctou, les viols de femmes et les amputations de jeunes Maliens à Gao, ne suffisaient-ils donc pas à justifier l’urgence d’une intervention ? Si l’on pouvait s’assurer la paix par “le dialogue” avec les groupes islamistes, nous l’aurions su. Chez nous, d’abord.
En fait, c’est la réalité du terrain qui a disqualifié une indécision qui aura marqué la position algérienne depuis le début de la crise. Rien de lisible, si ce n’est un entêtement à “récupérer” le groupe Ansar Eddine, qui, par ailleurs, n’a jamais cédé sur son alliance fondamentale avec les autres groupes terroristes. À l’heure de vérité, la cohésion entre les différents groupes islamistes s’est révélée, mettant en échec ce qui semblait alors être la stratégie algérienne : déconnecter les islamistes touareg de la mouvance Al-Qaïda. Et mettant, surtout, à nu l’incapacité des pays de la région à soustraire le Sahel de l’hégémonie des islamistes narcotrafiquants, et la vanité opérationnelle de la mise sur pied d’un état-major des pays du champ. Maintenant que les dés sont jetés, il reste à notre pays d’en mesurer les retombées sur la sécurité nationale. Celle-ci appelle, certainement, plus qu’une disponibilité au “dialogue”.
http://www.liberte-algerie.com/contrechamp/algerie-sahel-la-strategie-de-l-indecision-192485 PGM | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 14:48 | |
| - Citation :
- Mali: la ville de Diabali est aux mains des djihadistes
La petite ville de Diabali, à 400 km au nord de Bamako, est tombée aujourd'hui aux mains des djihadistes, en dépit de l'intervention française qui bombarde leurs colonnes et leurs positions, a indiqué un élu de la ville.
"Les islamistes sont dans la ville de Diabali. Ils sont nombreux. Ce matin, ils ont échangé des tirs avec les militaires maliens, puis les tirs ont cessé et les islamistes sont entrés dans la ville", a-t-il expliqué, après avoir requis l'anonymat. Diabali est située au centre-ouest du Mali. La France a confirmé la prise de la ville.
Plus tôt, nous apprenions que l'armée malienne et les forces françaises étaient de fait confrontées à "un point difficile" dans l'Ouest du pays. "La situation (...) évolue favorablement", a toutefois déclaré Jean-Yves Le Drian lors d'une déclaration dans la cour de l'Elysée, à l'issue d'une réunion interministérielle sur la situation au Mali sous la présidence de François Hollande.
L'armée française tente depuis trois jours de stopper la progression des islamistes vers la capitale, Bamako, en bombardant leurs positions dans le Nord.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/14/97001-20130114FILWWW00509-mali-la-ville-de-diabali-serait-aux-mains-des-djihadistes.php C'est pas 3500 hommes de la CEDEAO plus 500 soldats français qui viendront à bout des sandalos! Ils sont bien armés, bien équipé et bien entrainé! Seul 1 pays dans la région à l'expertise pour lutter efficacement contre la racaille! Observez le silence et la passivité de "la" puissance régionale ce qui se passe au Mali est un jeu de pocker menteur que se livrent les pays de la région _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 14:52 | |
| Fahed. Cette guerre n'est pas gagnable au sens militaire strict. L'Algérie de par son expérience a bien compris. On parle d'un territoire2 fois plus grand que le Maroc. Contrôler tout ça avec 10 000 hommes. C'est impossible. |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 15:02 | |
| - Fahed64 a écrit:
-
- Citation :
- Mali: la ville de Diabali est aux mains des djihadistes
La petite ville de Diabali, à 400 km au nord de Bamako, est tombée aujourd'hui aux mains des djihadistes, en dépit de l'intervention française qui bombarde leurs colonnes et leurs positions, a indiqué un élu de la ville.
"Les islamistes sont dans la ville de Diabali. Ils sont nombreux. Ce matin, ils ont échangé des tirs avec les militaires maliens, puis les tirs ont cessé et les islamistes sont entrés dans la ville", a-t-il expliqué, après avoir requis l'anonymat. Diabali est située au centre-ouest du Mali. La France a confirmé la prise de la ville.
Plus tôt, nous apprenions que l'armée malienne et les forces françaises étaient de fait confrontées à "un point difficile" dans l'Ouest du pays. "La situation (...) évolue favorablement", a toutefois déclaré Jean-Yves Le Drian lors d'une déclaration dans la cour de l'Elysée, à l'issue d'une réunion interministérielle sur la situation au Mali sous la présidence de François Hollande.
L'armée française tente depuis trois jours de stopper la progression des islamistes vers la capitale, Bamako, en bombardant leurs positions dans le Nord.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/14/97001-20130114FILWWW00509-mali-la-ville-de-diabali-serait-aux-mains-des-djihadistes.php C'est pas 3500 hommes de la CEDEAO plus 500 soldats français qui viendront à bout des sandalos! Ils sont bien armés, bien équipé et bien entrainé! Seul 1 pays dans la région à l'expertise pour lutter efficacement contre la racaille!
Observez le silence et la passivité de "la" puissance régionale ce qui se passe au Mali est un jeu de pocker menteur que se livrent les pays de la région J'ai entendu au infos que le dispositif Serval devrais monté a 2500 hommes _________________ | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 15:29 | |
| De toute façon, et ça tout le monde le sait, la solution devra être politique. Simplement avant d'en arriver à ce stade et imposer une solution politique, il faut des cartes, et la domination militaire en est une. il faut briser les reins des irrédentistes pour mieux imposer une solution politique aux autres.
nous même pour assurer notre domination au sahara et obtenir un cessez le feu avons mobilisé + 100 000 hommes, construit + 3000 KM de remblais et réparti environ 10 millions de mines (comparaison n'est pas raison, puisque notre ennemi avait des materiels autrement plus conséquents et des soutiens étatiques collossaux, chose dont le bénéficie pas les aqmi/mujao/mnla.)
PGM | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 16:07 | |
| article +1 de M.Hammouche,apres l´affaire libye voila le mali qui donne le coup de grace a cette pseudo-diplomatie boiteuse. la France deratisera la region et enverra le collier d´ou il vient,c´est la seule solution,et ca ne passe que par un coup de balaie dabord,apres on peut palabrer d úne position de force.. _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 17:32 | |
| J'éspère au moins que l'Algérie dira merci... |
| | | RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 17:48 | |
| - Citation :
- J'éspère au moins que l'Algérie dira merci...
Voila la réponse... - Citation :
- Intervention au Mali : la presse algérienne très critique
La presse algérienne juge avec sévérité l'intervention française au Mali et le passé colonial de la France refait surface.
L'engagement militaire de la France en Libye avait déjà suscité la colère des médias algériens. C'est de nouveau le cas aujourd'hui pour l'intervention française au Mali. Officiellement, le gouvernement soutient la contre-offensive française. «Alger, qui a mis du temps pour rendre publique sa position quant à l'intervention française au Mali, laisse même penser que son armée pourrait aussi bientôt entrer en action pour chasser les différents groupes terroristes armés qui occupent le Nord-Mali depuis le mois de mars dernier, souligne le quotidien El Watan . Des sources proches du dossier, ajoute le quotidien, ne manquent pas de rappeler que l'Algérie n'a jamais exclu le recours à la force pour éliminer la menace terroriste». Le ton est plus vif ailleurs. Selon le journal Liberté , le nom même de l'opération serait de mauvais augure: «L'intervention militaire française au Mali a été baptisée du nom de code Serval. Le serval est un petit félin africain qui a la particularité d'uriner trente fois par heure pour marquer son territoire. La France a ainsi décidé de faire l'impasse sur les résolutions onusiennes pour partir en guerre contre le terrorisme au Sahel. Toute seule, comme le serval, elle n'a pas résisté à la tentation épidermique de revenir dans son ancien pré-carré pour montrer à tout le monde qu'elle est la seule à vraiment connaître les intérêts des Maliens, ses anciens colonisés». «Malgré les précautions sémantiques et les éléments de langage dont use l'Élysée pour légitimer une intervention militaire aux conséquences terribles sur la sous-région, insiste l'éditorialiste de Liberté, François Hollande a démontré qu'il ne peut rien changer à la réalité de la Françafrique. Quand l'intérêt français est menacé en Afrique (Côte d'Ivoire, Rwanda, Tchad, Gabon, Centrafrique…), Paris sort son costume de gendarme et envoie ses hélicoptères. Protéger les gisements d'uranium du Niger vaut tous les sacrifices de dépenses militaires même en pleine crise économique.» Le quotidien d'Oran déplore que la volonté d'Alger de privilégier le dialogue n'ait pas été entendue tout en s'interrogeant sur l'évolution du pouvoir algérien. Alger a soutenu «au maximum le dialogue et continuera à le faire, mais en cas d'atteinte à la sécurité et d'utilisation d'autres moyens, nous sommes appelés à être fermes. A priori, le message de fermeté est de nature défensive: si nos frontières sont violées, la riposte sera ferme. On reste dans du classique: surveillance du territoire et refus de s'engager en territoire étranger. La question est de savoir si l'Algérie s'en tiendra à cette position.» L'Expression pointe la responsabilité de Paris. «La France n'est pas totalement exempte de responsabilités dans la détérioration de la situation sécuritaire au Sahel en général, au Mali en particulier et la décision d'intervenir dans ce pays prise, certes, en raison de l'évolution de la situation, ne fait que confirmer, a posteriori, ce fait.» La décision de la France d'intervenir n'aurait rien à voir, ou presque, insiste L'Expression, avec une quelconque volonté d'aider la population malienne. «La France, rentrée dans le rang, en tant que grande puissance, avait besoin de s'affirmer à la face du monde qu'elle pouvait encore intervenir aux quatre coins de la planète. C'est le prix de la reconnaissance par ses pairs. Comme les États-Unis, qui avaient suscité des guerres en Irak et en Afghanistan, où la France a joué ou joue les utilités, Paris «voulait» sa guerre de «référence». L'avenir s'annonce sombre, prédit Liberté, en évoquant «un drame humanitaire dans le Sahel avec un déplacement de populations sans commune mesure», et en prévoyant que «l'action de la France va fédérer les groupes terroristes puisque les djihadistes du monde entier vont affluer vers le Mali pour donner un coup de main à leurs frères d'armes.» Dans d'autres pays voisins du Mali, la presse se montre plus optimiste, comme au Burkina Fasso. «On peut saluer l'intervention salvatrice de la France, relève Le Pays . Pour une fois, on ne peut raisonnablement pas se plaindre de l'action de Paris sur le continent. Loin s'en faut». Un autre quotidien burkinabé, L'Observateur Paalga , exhorte même la Communauté internationale à se joindre à l'action française. «Finies les sempiternelles négociations! Il faut que toute la communauté internationale saisisse la balle au bond pour mettre définitivement hors d'état de nuire ces rebelles qui ne cessent de semer mort et désolation dans le septentrion malien.» «Les promesses d'envoi de troupes émanant de certains leaders de l'Afrique de l'ouest sont un motif d'espoir, insiste le site d'information Guinée Conakry Infos . La France ne doit pas se limiter à stopper les rebelles, elle devra collaborer avec les troupes africaines pour endiguer et neutraliser aussi totalement que possible les groupes islamistes terroristes.»
Le Figaro _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition Lun 14 Jan 2013 - 18:05 | |
| Merci Mirage, je l'avais lu. Par contre j'invite tout le monde à lire le journal Algérien 'Liberté' d'aujourd'hui... A mourir de rire. |
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| Sujet: Re: Crise Malienne - risque de partition | |
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