Guerre Civile en Syrie

Rappel du premier message :

Que va t-il arriver à l'ALS et a ceux qui y ont cru? Nous savons que les assassins s'en tirent toujours, mai ceux qui n'ont pas de sang sur les mains ne doivent pas en pâtir.

rafi a écrit:

On trouve aussi facilement les vidéos des crimes commis par l'opposition armée: exécutions sommaires d'individus ou de groupes d'individus par exemple tant par égorgement que par armes à feu.

Chiche, je te defie de produire des videos equivalentes...

Elles ont été postées sur ce topic, fais donc un effort... Tu sembles de plus en plus souvent "oublier" ce qui te dérange, ça devient bizarre. Les postiers qui tombent du ciel, les policier qui chutent de ponts, le gars égorgé au couteau suisse, les fusillés de telle ou telle tribu, les exécutions sommaires de prisonniers au bord de l'eau, etc... ça en devient inquiétant, vraiment.

Un crime est un crime.

Citation :

Un crime est un crime.

Le rituel quotidien a été mené avec succès

Je ne sais pas si c'est un succès, mais je trouve que tu "oublies" de plus en plus de choses qui sont pourtant cités sur ce topic. A moins que tu ne le fasses exprès, c'est possible après tout...

rafi a écrit:

Je ne sais pas si c'est un succès, mais je trouve que tu "oublies" de plus en plus de choses qui sont pourtant cités sur ce topic. A moins que tu ne le fasse exprès, c'est possible après tout...

You talkin' to me ?

Je n'ai jamais nié/oublié l'existence des massacres des 2 côtés sauf que je m'y suis jamais arrêté dans la mesure où tous ces gens ont du sang sur les mains et même sur les bras, all of them.

Non, c'est destiné à VIP, pour stimuler sa mémoire.

@Inanc: dès qu'un mouvement révolutionnaire ou séparatiste se met à commettre les mêmes crimes que ceux que commettent ceux qu'il combat, il a perdu tout droit à parler de liberté et de démocratie.

+18

https://www.youtube.com/watch?v=HlQ0ENn8xZI&feature=player_embedded#!

Encore du blah, blah, VIP. Tu ne connais pas plus la Syrie que moi, et ce n'est pas à Dublin que tu en apprendras plus. Il faut toujours que tu t'en prennes aux personnes quand ton discours sonne creux. Bêtises par ici, nullité par là, en passant par : minable, ou tu n'y connais rien, bref, argumente donc!

Le régime approche de sa fin.

Citation :

Les autorités libanaises et turques ont annoncé samedi que l'un des onze pèlerins libanais retenus en otages par des hommes armés en Syrie depuis mai dernier avait été remis en liberté et était arrivé en Turquie.

Hussein Ali Omar arrivera samedi soir à Beyrouth à bord d'un avion turc, a affirmé le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu dans ses conversations téléphoniques avec le président du parlement libanais Nabih Berri et le Premier ministre libanais Najib Mikati, selon un reportage de l'Agence nationale d'informations (NNA) libanaise.

Dans un communiqué rendu public par son bureau, M. Mikati a exprimé le souhait que les autorités turques poursuivent leurs efforts pour assurer le retour des autres pèlerins.

Onze pèlerins chiites ont été enlevés le 22 mai à Alep, dans le nord de la Syrie, alors qu'ils rentraient d'un pèlerinage en Iran.

http://french.news.cn/monde/2012-08/26/c_131807762.htm

Citation :

Trois Hongrois enlevés en Syrie le 13 août ont été libérés, a rapporté samedi la presse hongroise citant un haut responsable.

Le responsable du centre anti-terrorisme hongrois, Janos Hajdu, a déclaré que tous les trois anciens otages étaient sains et saufs, et ils rentreront dans le pays dans quelques jours.

Les trois ressortissants hongrois, anciens officiers de police, avaient été enlevés le 13 août en Syrie avec trois Syriens.

Le ministère hongrois des Affaires étrangères a demandé aux Hongrois de ne pas se rendre en Syrie et à tous les Hongrois se trouvant dans le pays à partir immédiatement.

http://french.news.cn/monde/2012-08/26/c_131807771.htm

rafi a écrit:

Encore du blah, blah, VIP. Tu ne connais pas plus la Syrie que moi, et ce n'est pas à Dublin que tu en apprendras plus. Il faut toujours que tu t'en prennes aux personnes quand ton discours sonne creux. Bêtises par ici, nullité par là, en passant par : minable, ou tu n'y connais rien, bref, argumente donc!

t'en fais pas pour mon matricule, je connais assez la situation pour pouvoir parler sans dire des betises et pour pas croire les delires de Thierry Meyssan.
Disons que mon discours soit creux, les videos parlent a ma place...

Tu n'as jamais fait montre d'une connaissance particulière en ce qui concernait la politique syrienne, je ne t'ai jamais vu sur une vidéo en Syrie, Meyssan, oui. Il doit donc en savoir bien plus que nous deux.

Ça ne m’intéresse pas de montrer des vidéos de victimes du régime ou de l'ALS, savoir qu'ils commettent des crimes me suffit largement.

Citation :

Une armée victorieuse ? Il y avait des douilles partout dans les ruelles de pierres anciennes, des fenêtres criblées de balles et des marques de projectiles sur tout le côté de la mosquée Sharaf, où un homme armé tirait depuis le minaret. Un tireur d’élite continuait à tirer à seulement 150 mètres de là – c’est tout ce qui reste des quelques cent rebelles qui avaient presque, mais pas tout à fait, encerclé la citadelle d’Alep, vieille de 4000 ans.

« Vous ne le croirez pas », criait tout excité le major Somar. « Un de nos prisonniers l’a dit : Je ne m’étais pas rendu compte que la Palestine était si belle que ça ! Il pensait qu’il était venu ici en Palestine pour combattre les Israéliens ! »

Si j’y crois ? Certainement, les combattants qui se sont engagés dans les rues adorables à l’ouest de la citadelle étaient, selon toutes les informations, un groupe hétéroclite. Leurs graffitis « Nous sommes les Brigades de 1980 » - l’année au cours de laquelle une première révolte des Frères Musulmans avait menacé le pouvoir du père du président Syrien Bachar al-Assad, Hafez – étaient encore affichés sur les murs des hôtes syro-arméniens et des boutiques. Un général de 51 ans m’a tendu une des grenades artisanales qui jonchaient le sol de la mosquée Sharaf : une mèche souple qui sort du haut d’un morceau de shrapnel, enveloppé dans du plastique blanc et couvert par un ruban adhésif noir.

A l’intérieur de la mosquée, des balles, des boîtes de fromage vides, des mégots de cigarettes et des piles de tapis de prière que les rebelles avaient utilisés comme couchage. La bataille a duré au moins 24 heures. Un projectile a fissuré la pierre tombale de style bosniaque de la tombe d’un imam musulman, un turban en pierre finement sculpté sur le dessus. Les archives de la mosquée – des listes de fidèles, des Corans et des documents financiers – étaient répandus par terre dans une pièce qui avait été à l’évidence le dernier bastion occupé par plusieurs hommes. Il y avait un peu de sang. Entre 10 et 15 des défenseurs – tous Syriens – se sont rendus après avoir accepté une offre de clémence s’ils déposaient les armes. La nature de cette miséricorde ne nous a bien sûr pas été précisée.

Les soldats syriens étaient contents, mais il reconnaissaient partager une immense tristesse pour l’histoire d’une ville dont le cœur même, un site du patrimoine mondial, a été ravagé par des roquettes et des obus. Les officiers hochaient la tête quand ils nous ont conduits dans les remparts de l’immense citadelle. « Il y a une vingtaine de jours, les terroristes ont tenté de la prendre à nos soldats qui la défendaient », déclare le Major Somar. « Ils avaient rempli d’explosifs les bonbonnes de gaz – 300 kilos - et les avaient fait exploser au niveau de la première porte au-dessus du fossé. »

Hélas, c’est vrai. L’énorme porte médiévale en bois et en fer, ornée de ses gonds et de ses étais - un ouvrage qui était resté intact pendant 700 ans – a été littéralement anéanti. J’ai grimpé sur le bois carbonisé et des blocs de pierre marqués de fines inscriptions coraniques. Des centaines de marques de projectiles mouchetaient les pierres de la porte intérieure. Plus bas, j’ai trouvé un char T-72 dont la tourelle avait été touchée par la balle d’un tireur d’élite qui était toujours logée dans le métal, le blindage brisé par une grenade. « J’étais à l’intérieur à ce moment là, » explique son pilote. « Bang - ! Mais mon tank fonctionnait encore ! »

Voici donc la version officielle de la bataille pour la partie orientale de la vieille ville d’Alep et des affrontements qui ont duré jusqu’à hier après-midi dans les ruelles étroites aux murs de pierre blanchis, et où chaque tir rebelle était suivi d’une longue rafale de mitrailleuse des soldats du Major Somar. Quand l’armée a pu prendre en tenaille les hommes armés, 30 rebelles – ou membres de « l’Armée syrienne libre » ou « combattants étrangers » – ont été tués et un nombre indéterminé blessés. Selon le supérieur du major Somar, un général nommé Saber, les forces gouvernementales syriennes n’ont eu que huit blessés. J’ai pu rencontrer trois d’entre eux, dont l’un est un officier de 51 ans, qui a refusé d’être envoyé à l’hôpital.

Une bonne partie de l’armement des rebelles a été évacué par les hommes des renseignements militaires avant notre arrivée : il est dit qui y figuraient trois fusils de précision au standard OTAN, un mortier, huit pistolets mitrailleurs autrichiens et une quantité de Kalashnikovs qui on pu être volées à l’armée gouvernementale par des déserteurs. Mais c’est le choc de découvrir de telles batailles rangées dans ce site du patrimoine mondial ; ce qui est bien plus terrible que les armes utilisées par l’un ou l’autre camp. Marcher sur de la pierre et du verre brisé avec les soldats syriens kilomètre après kilomètre, dans la vieille ville avec ses mosquées et ses musées – le magnifique minaret de la mosquée omeyyade se dresse au milieu du champ de bataille de la veille – est une source de tristesse infinie.

Beaucoup des soldats qui avaient été encouragés à parler avec moi, même quand ils étaient agenouillés au bout de rues étroites avec des balles qui ricochaient contre les murs, ont fait part de leur étonnement de voir qu’il ait fallu autant de « combattants étrangers » à Alep. « Alep a cinq millions d’habitants, » m’a dit l’un d’entre eux. « Si l’ennemi est si certain de gagner la bataille, il n’y a sûrement pas besoin d’amener ces étrangers pour qu’ils y participent ; ils perdront. »

Le major Somar, qui parle un excellent anglais, n’a que trop bien compris compris la dimension politique. « Notre frontière avec la Turquie est un gros problème, » reconnaît-il. « Il faudrait fermer la frontière. La fermeture de la frontière doit être coordonnée par les deux gouvernements. Mais le gouvernement turc est du côté de l’ennemi. Erdogan est contre la Syrie ». Je l’ai bien sûr questionné sur sa religion, une question à la fois innocente et empoisonnée. Somar, dont le père est général et la mère enseignante, et qui entretient son anglais avec les romans de Dan Brown, a esquivé en souplesse la réponse. « Ce n’est pas où vous êtes né ou quelle est votre religion, » dit-il. « C’est ce qu’il y a dans votre esprit. L’islam vient de cette terre, les Chrétiens viennent de cette terre, les Juifs viennent de cette terre. C’est pourquoi il est de notre devoir de protéger cette terre. »

Plusieurs soldats croyaient que les rebelles essayent de convertir les Chrétiens d’Alep, « des gens paisibles, » précisaient-ils à leur sujet. Il y aune histoire qui a tourné en boucle la veille au sujet d’un commerçant Chrétien qui avait été forcé de porter un habit musulman et d’annoncer lui-même sa conversion devant une caméra vidéo.

Dans les villes, en temps de guerre, on trouve des soldats loquaces. Un des hommes qui ont repris la porte de la citadelle est Abul Fidar, connu pour avoir marché entre Alep, Palmyre et Damas pendant 10 jours pour faire entendre la nécessité de la paix, inutile de dire que le président l’avait accueilli chaleureusement à son arrivée à Damas. Et puis il y avait le sergent Mahmoud Daoud, originaire de Hama, qui a combattu à Hama même, à Homs, à Jbel Zawi et à Idlib. « Je veux être interviewé par un journaliste, » avait-il annoncé et bien sûr il a eu ce qu’il voulait. « Nous sommes tristes pour les civils d’ici, » dit-il. « Ils étaient en paix auparavant. Nous donnons notre parole de soldats que nous veillerons à ce qu’ils retournent à une vie normale, même si nous devons perdre la vie. » Il ne mentionne pas tous les civils tués par les bombes de l’armée ou par les « shabiha », ni ces milliers de personnes torturées dans ce pays. Dawood a une fiancée appelée Hannan qui étudie le français à Lattaquié, son père est enseignant : il dit qu’il veut « servir sa patrie ».

Mais on ne peut s’empêcher de penser que l’objectif premier d’hommes comme le sergent Daoud – et de tous ses compagnons d’armes ici – n’était certainement pas de libérer Alep mais de libérer le plateau du Golan occupé, juste à côté de la terre que les « djihadistes » pensaient apparemment être en train de « libérer » la veille – jusqu’à ce qu’ils découvrent qu’Alep n’était pas Jérusalem.

http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=32495

http://www.independent.co.uk/opinion/commentators/fisk/robert-fisk-rebel-army-theyre-a-gang-of-foreigners-8073717.html

Citation :

Expanding control, Syrian rebels run prisons for criminals, war captives

Al-BAB, Syria — An elementary school hallway in this north Syrian city is now a prison.

Behind a padlocked gate sit 10 men, accused by the rebels who have taken over the city of theft, thuggery and spying for the regime of President Bashar Assad.

The head guard says all prisoners get three meals a day and one shower. All will be tried by the town’s new legal council, and no one is mistreated, he says.

One alleged crook, however, has two black eyes.

“I flipped my motorcycle,” he said, speaking within earshot of his captors.

An accused regime informer has a bruised face and red stripes on his arm, as if he’s been lashed with a cord.

“I fell down,” he said.

The Al-Bab prison is one of the many lockups rebels fighting against Assad’s regime have set up after seizing areas from government forces.

These facilities report to no national or regional authority, causing concern among rights groups and leading to a wide range of practices.

One badly bruised captive told Human Rights Watch he’d been blindfolded and beaten daily for three weeks. Elsewhere, reporters from The Associated Press saw former regime soldiers frolicking in a swimming pool with their captors.

It is impossible to determine the number of rebel detention centers, but interviews with rebel commanders, activists, captives and human rights researches in north Syria — plus visits to three facilities — provide a window into the issue.

Little evidence has surfaced that rebels are practicing the widespread, institutionalized torture that human rights groups accuse Assad’s regime of. But many prisoners bear bruises and scars from beatings and lashings.

A number of rebel groups acknowledge sending prisoners believed to have blood on their hands to the firing squad. Others realize the living are worth more than the dead and seek “blood money” from captives’ families or try to exchange them for rebels held by the regime.

The captors also vary. Running north Syria’s largest known rebel prison, in the town of Marea, is a barrel-shaped former truck driver nicknamed “Jumbo” who has a bullet lodged in his head from a gunfight with government troops. Others are run by civilian councils of lawyers, teachers and Muslim clerics who administer a mix of Syrian and Islamic law.

The lack of oversight worries human rights groups.

“It is extremely important that the opposition leadership send a strong message that the kinds of abuses we’ve seen are not acceptable and that those committing them will be held accountable,” said Anna Neistat of Human Rights Watch, who is researching rebel prisons.

More than 17 months of unrest in Syria has killed more than 20,000 people, anti-regime activists say. The conflict has recently descended into a civil war between Assad’s regime and rebels seeking to overthrow it.

Assad blames the violence on foreign-backed terrorists seeking to weaken the country.

While neither side appears to be approaching victory, rebels have recently pushed the army from a number of towns in the country’s north, leaving them in charge of services like distributing fuel and bread and running prisons. Their fractured approach to administering justice shows how far they are from forming an alternative national government should Assad’s regime fall.

http://www.washingtonpost.com/world/middle_east/expanding-control-syrian-rebels-run-prisons-for-criminals-war-captives/2012/08/25/9375fd88-eefd-11e1-b624-99dee49d8d67_story.html

vipsdesvips a écrit:

Avion apparemment descendu par l'ASL, si tu pouvais confirmer wa3r, merci d'avance




[/spoiler]

L'avion n'est pas un Mig-23 comme le dit le titre de la vidéo (ça démontre le professionnalisme de ceux qui les postent), c'est un L-39 Albatros.
Je ne comprends pas comment est ce qu'il a pu être abattu, aucune fumée, aucune flemme, aucun tirs même en sa diréction. Il passe tranquillement tout en engageant un virage droit très serré ... peut etre un black out du pilote, chose qui est fatale à basse altitude.

Libération par l'intermédiaire de la Turquie et de 11 chiites Lbanais en Syrie.. Huseyin Omar, Aéroport de Beyrouth:













Sinon..

Chobham a écrit:

vipsdesvips a écrit:

Avion apparemment descendu par l'ASL, si tu pouvais confirmer wa3r, merci d'avance




[/spoiler]

L'avion n'est pas un Mig-23 comme le dit le titre de la vidéo (ça démontre le professionnalisme de ceux qui les postent), c'est un L-39 Albatros.
Je ne comprends pas comment est ce qu'il a pu être abattu, aucune fumée, aucune flemme, aucun tirs même en sa diréction. Il passe tranquillement tout en engageant un virage droit très serré ... peut etre un black out du pilote, chose qui est fatale à basse altitude.

Ou il a ete dit que c'est des professionnels?
Tu les excuseras d'etre que des victimes de bombardements et pas des experts en aeronotique ou membres de far-maroc.
Heureusement que le ridicule ne tue pas...

@baybars : des news des otages syriens et turcs?

L'ALS est constituée de militaires déserteurs de l'armée syrienne qui devraient s'y connaître un peu en armements, bien vu Chobham.

Chobham a relevé une erreur glissée dans une vidéo par des ignorants, le minimum est de l'en remercier.

Tu gardes tes commentaires pour toi, Ryad, de quoi je me mêle?

L'ASL est constituée de militaires déserteurs de l'armée syrienne, tout le monde le sait. Mensonges éhontés? il faut arrêter. Tu ne sais même pas reconnaitre un avion de combat d'un autre et tu donnes des leçons?

Citation :

La BBC censure une vidéo montrant des rebelles syriens forçant un prisonnier à commettre un attentat suicide

La BBC vient de censurer un article et une vidéo montrant les rebelles de l'ASL en train de forcer un prisonnier à commettre un attentat suicide, sans doute parce que cela ne collait pas très bien avec l'image de "courageux combattants de la démocratie" qu'il convient de leur accoler.

La vidéo, dont une copie peut être vue ici ou là (la version originale de la BBC a été supprimée), montre des rebelles de l'Armée syrienne Libre préparant une bombe qui est chargé sur l'arrière d'un camion pour exploser à un poste de contrôle du gouvernement dans la ville d'Alep.

Le reportage montre comment les rebelles ont réquisitionné un appartement appartenant à un capitaine de la police syrienne. On voit les rebelles se moquant des photos de famille du capitaine de police et batifolant joyeusement dans sa piscine.

La vidéo montre ensuite un prisonnier qui, selon les rebelles, appartiendrait à une milice pro-gouvernementale (shabbiyas). Ecchymoses et autres séquelles de torture sur son corps sont expliquées comme ayant été causées par ceux qui l'avaient capturé avant qu'il ne soit pris en charge par les rebelles qui eux, font mine de bien le traiter, lui offrant une cigarette et lui proposant une douche.

Ensuite, les rebelles lui affirment qu'il va faire l'objet d'un échange de prisonniers. Le prisonnier a les yeux bandés et on lui dit de conduire un camion vers un poste de contrôle du gouvernement.
"Ce qu'il ne sait pas, c'est que le camion est celui qui a été chargé de 300 kilos d'explosifs au début du film", affirme le narrateur.
Le clip montre ensuite les rebelles revenant déçus après qu'il se soit avéré que le détonateur à distance a fait long feu et que la bombe n'a pas explosé.
Le narrateur de la BBC admet que forcer les prisonniers à devenir des kamikazes "serait certainement considéré comme un crime de guerre."
Les reporters du New York Times qui ont réalisé la vidéo, affirment qu'ils n'avaient aucune connaissance du complot. Une version plus longue du film est sur le canal YouTube du New York Times . Un film à la gloire des combattants rebelles pompeusement nommés "Les Lions du Tawhid".

Quelques heures seulement après sa mise en ligne, l'article a subitement disparu du site de la BBC pour ne plus laisser apparaitre qu'un message "404 NOT FOUND".

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/la-bbc-censure-une-video-montrant-121624

Je ne suis pas libre de me prononcer ? Chobham est intervenue mais d une manière provocante alors que la situation en Syrie est très grave ... Nous on discute sur un forum alors que d autre sont en train de se faire pillonner et massacrer ... Le minimum c est de les respecter et de cessez de faire des provocations gratuites . Chobham je n ai aucune hostiliter envers tois mais c est juste mon point de vue tu peut le comprendre ... VIP ne t inquiète pas ... Rafi c est de l histoire ancienne .

Idem pour toi Ryad, comme pour d'autres...

rafi a écrit:

L'ASL est constituée de militaires déserteurs de l'armée syrienne, tout le monde le sait. Mensonges éhontés? il faut arrêter. Tu ne sais même pas reconnaitre un avion de combat d'un autre et tu donnes des leçons?

L'ASL est constituée de déserteurs de l'armée syrienne et de volontaires parmi les civils qui serait au nombre de 20 000 selon différents estimation, donc 40% de l'ASL.

Wikipedia s'y connait mieux que vous alors, puisque l'ASL revendique 40 000 hommes et sa fusion avec le le Mouvement des officiers libres...

Citation :

L'Armée syrienne libre (arabe : الجيش السوري الحر, al-jayš as-suri al-ħurr) est la principale force armée opposée au régime de Bachar el-Assad et à l’armée régulière dans le cadre de la révolte syrienne de 2011-20122. Elles est composée de membres des Forces armées syriennes qui ont fait défection.

La formation du groupe d'opposition armé a été annoncé le 29 juillet 2011 dans une vidéo publiée sur le web par un groupe de militaires syriens en uniforme qui ont fait défection. Ceux-ci ont appelé les membres de l'armée à faire défection et à les rejoindre3. Le chef de ces hommes, qui s'est identifié lui-même comme le colonel Riyad Al Asaad, a annoncé que l'Armée syrienne libre travaillerait avec les manifestants à la chute du régime, et ont précisé que toutes les forces de sécurité attaquant des civils étaient des cibles justifiées4,5.

Le 23 septembre 2011, l'Armée syrienne libre (ASL) fusionne avec le Mouvement des officiers libres (arabe : حركة الضباط الأحرار, ħarakat al-ḍubbaṭ al-aħrar) et devient ainsi le principal groupe armé d'opposition2.

Le 29 novembre 2011, l'ASL reconnait l’autorité du Conseil national syrien (CNS)6.

À la mi-décembre 2011, un camp de l'ASL est installé en Turquie. Son accès est strictement contrôlé par les Forces armées turques7.

Vers la mi-janvier 2012, l'ASL a déclaré avoir 40 000 hommes dans ses rangs1. Le nombre réel de soldats ayant fait défection vers l'ASL est inconnu.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9e_syrienne_libre

Et voilà même les 6 fondateurs de l'ASL...



Vous ne lisez rien où quoi?

rafi a écrit:

Wikipedia s'y connait mieux que vous alors, puisque l'ASL revendique 40 000 hommes et sa fusion avec le le Mouvement des officiers libres...

Citation :

L'Armée syrienne libre (arabe : الجيش السوري الحر, al-jayš as-suri al-ħurr) est la principale force armée opposée au régime de Bachar el-Assad et à l’armée régulière dans le cadre de la révolte syrienne de 2011-20122. Elles est composée de membres des Forces armées syriennes qui ont fait défection.

La formation du groupe d'opposition armé a été annoncé le 29 juillet 2011 dans une vidéo publiée sur le web par un groupe de militaires syriens en uniforme qui ont fait défection. Ceux-ci ont appelé les membres de l'armée à faire défection et à les rejoindre3. Le chef de ces hommes, qui s'est identifié lui-même comme le colonel Riyad Al Asaad, a annoncé que l'Armée syrienne libre travaillerait avec les manifestants à la chute du régime, et ont précisé que toutes les forces de sécurité attaquant des civils étaient des cibles justifiées4,5.

Le 23 septembre 2011, l'Armée syrienne libre (ASL) fusionne avec le Mouvement des officiers libres (arabe : حركة الضباط الأحرار, ħarakat al-ḍubbaṭ al-aħrar) et devient ainsi le principal groupe armé d'opposition2.

Le 29 novembre 2011, l'ASL reconnait l’autorité du Conseil national syrien (CNS)6.

À la mi-décembre 2011, un camp de l'ASL est installé en Turquie. Son accès est strictement contrôlé par les Forces armées turques7.

Vers la mi-janvier 2012, l'ASL a déclaré avoir 40 000 hommes dans ses rangs1. Le nombre réel de soldats ayant fait défection vers l'ASL est inconnu.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9e_syrienne_libre

Non, la rébellion revendique 70 000 membres, leur nombre est constant augmentation, surtout depuis que l'Arabie Saoudite a décidé de payer les salaires des rebelles.