Armée Chinoise / People's Liberation Army (PLA)

Rappel du premier message :

Citation :

Wolf 4x4 light armoured vehicle personnel carrier Datasheet

Citation :

China confirms test of “hypersonic missile delivery vehicle”


China has confirmed the successful test flight of a “hypersonic missile delivery vehicle,” but stresses that the system is not designed specifically to penetrate US missile defences.
The confirmation of the test was published in state news organ China Daily, and on the ministry of defence’s web site.
"It is normal for China to conduct scientific experiments within its borders according to its plans. The tests were not aimed at any nation nor any specific target,” the paper quotes the ministry as saying.
The story follows news reports in the US quoting Pentagon officials that said China had tested a hypersonic delivery vehicle designed to thwart missile defence systems.
The story goes on to quote Chinese defence experts as saying that US reports about the event contribute to distrust between the two countries.
Details about the test are sketchy, but it appears to have occurred the week of 6 January. It is not clear if this was the first test of the vehicle.
The vehicle is apparently designed to be launched aboard a conventional ICBM. It then, reportedly, would detach in space and manoeuvre to its target at many times the speed of sound.
The programme appears to resemble the US Department of Defense’s conventional prompt global strike (CPGS) effort, which calls for a capability to hit any target in the world in less than one hour.
In August 2011, the Defense Advanced Research Project Agency’s (DARPA) hypersonic technology vehicle (HTV-2) failed during a test flight related to the CPGS programme.
For China, a hypersonic vehicle could have applications aboard the country’s DF-21D anti-ship ballistic missile (ASBM). A major application of the DF-21D would be engaging US warships in the event of conflict, but analysts question [url=http://www.flightglobal.com/landingpage/Beijing Capital International.html]Beijing[/url]’s ability to provide effective targeting information to such a weapon. An autonomous vehicle, however, would theoretically be capable of guiding itself during the crucial last stage of the weapon’s flight.
The yet-to-be-tested DF-21D has gained notoriety as an “aircraft carrier killer,” but Chinese military thinkers appear to see it engaging a range of warship types, including cruisers and destroyers. What is more, the ASBM would not necessarily need to make a direct hit to be effective, because an air burst of bomblets above an enemy warship could degrade the target’s capabilities, perhaps resulting in a mission kill.
The mere threat of such a weapon would prove sufficient to force American naval assets to keep a good distance from mainland China in the event of a war.

http://www.flightglobal.com/news/articles/china-confirms-test-of-hypersonic-missile-delivery-394903/

Sacré bon en avant !
l'article n'est pas complet (reservé abonné), mais après sa lecture complete ce matin, il ressort que c'est grace a des technologies européene (notamment francaise) que les chinois ont réalisé cet exploit. L'article précise que c'est grace a des horloges atomiques francaises que la chine a pû élaborer un systeme de guidage fiable. D'ici 24 mois, la constellation du GPS chinois (Beidou) sera complete leur permettant de s'affranchir totalement du GPS.

Citation :

Le rêve chinois de toute-puissance à portée de tir

La défense aérienne chinoise à Lintong, en juillet. (Photo Petar Kujundzic. Reuters)RÉCITPékin a testé un missile hypersonique pouvant atteindre n’importe quel point du globe sans être intercepté. Un succès dû en partie à l’aide de l’Europe.La Chine a confirmé ce mois-ci son ambition de devenir une superpuissance militaire. Le 9 janvier, à la grande surprise de tous les experts, l’armée populaire de libération (APL) a réalisé le test grandeur nature d’un missile de croisière hypersonique volant à Mach 10 - dix fois la vitesse du son, soit 12 250 km/h. Seuls les Etats-Unis y étaient jusqu’alors arrivés. Cette arme encore expérimentale, dite «hypervéloce», sera si rapide qu’aucun système de défense antimissile existant ne sera capable de l’intercepter, conférant une supériorité stratégique considérable au pays qui parviendra à la déployer

Liberation

PGM

Oui ils avancent très rapidement   

Citation :

Does China rank second in the world in combat aircraft numbers?




According to a special report --"World Air Force 2014" - China has overtaken Russia in terms of its combat aircraft numbers, and for the first time ranks in second place worldwide.

Flight Global, a British aerospace weekly magazine released the free report on its website in early January this year.

Du Wenlong, a researcher from the Military Academy, said that the report equates number of fighters with air combat strength, which is imprecise and indicates a hidden agenda.

"China’s growing capabilities have also been demonstrated through the flight debut of its Xian Y-20 strategic transport, and by a broadened range of aircraft carrier-based flight trials with its Shenyang J-15 fighter taking off from the Liaoning." finds the report.

The report notes that China is the country with the world’s fastest growing air force, including the country’s third generation combat aircraft fighter and special military aircraft.

Du pointed out that the report lacks reliability due to the complexity of data sources, and that the accuracy of the data provided has not been verified.

According to the report, the Chinese military currently has 1453 aircraft in service. The number is slightly higher than that of Russia. Du Wenlong pointed out that in this year's report only the number of fighter aircraft was used as the criteria to assess a nation's air force.

Du explains that there are several methods or criteria for determining the ranking of combat aircraft, and that the raw number is the easiest way, but is not scientific. As an international scientific journal, Flight International should not rely on such imprecise data. Du suggests that there are ulterior motives behind the ranking, aimed at attracting attention by promoting the theory of the "China threat."

http://english.peopledaily.com.cn

La construction d'un 2° porte-aéronefs a commencé apparemment 

Citation :

La Chine a commencé à construire son 2e porte-avions (presse)
     

PEKIN, 18 jan 2014 (AFP) -

Un haut responsable communiste a annoncé samedi que la Chine avait commencé à construire son deuxième porte-avions, deux autres bâtiments de ce type étant prévus par la suite, ont rapporté des journaux.

C'est la première fois qu'un officiel chinois confirme le chantier en cours de ce deuxième porte-avions, dans le grand port de Dalian dans le nord-est de la Chine, a précisé le journal Nanfang Dushibao.

L'annonce a été effectuée par Wang Min, le secrétaire du Parti communiste de la province du Liaoning où se trouve Dalian, lors d'une réunion samedi de l'assemblée populaire provinciale, a de son côté indiqué le quotidien Takungpao, un journal de Hong Kong proche des autorités chinoises.

Les travaux pour construire le deuxième navire amiral chinois dureront six ans, a dit M. Wang, selon qui la Chine disposera à terme de quatre porte-avions.

En septembre 2012, la Chine avait admis au service actif son premier porte-avions, le Liaoning, un bâtiment de 300 mètres de long incarnant ses ambitions maritimes.

Ce navire avait été rénové et équipé à Dalian, à partir de la coque d'un bateau de guerre destiné à l'origine à la Marine soviétique.

Cette mise en service était intervenue en pleine crise des relations entre Pékin et Tokyo autour de la souveraineté d'îles - appelées Diaoyu en chinois et Senkaku en japonais - en mer de Chine orientale.

Des hauts responsables militaires chinois avaient par la suite fait part de l'intention de Pékin de se doter de plusieurs porte-avions, mais sans fournir de détails.

Début janvier le Liaoning, entouré de tout son groupe aéronaval, est rentré d'une première mission en mer de Chine méridionale, où plusieurs conflits de souveraineté opposent également la Chine à ses voisins.

Ces manœuvres se sont aussi déroulées dans un contexte de tensions et ont été marquées par une collision évitée de peu entre un bâtiment de l'US Navy et un navire chinois.

En s'équipant de porte-avions, outil de projection de puissance par excellence, la Chine selon les experts assume le risque d'écorner l'image qu'elle veut donner d'elle-même: celle d'un pays qui s'arme uniquement pour se défendre, sans prétendre à l'hégémonie.

http://www.marine-oceans.com/actualites-afp/7062-la-chine-a-commence-a-construire-son-2e-porte-avions-presse  

Il y a pas de secret c'est des bosseurs acharnés les Chinois   

Un monstre  




WZ-10

on dirait un mix Tiger/rafale

Ouais Lol la quand tu l'a dit je viens de le remarquer . Il a de belle lignes cet hélico   ahh ces Chinois quand je pense que il y a 20 - 30 tout le monde se foutait d'eux mangeurs de riz , et même se foutait de leur travail acharné , eh ben voila le résultat !

Citation :

Le nouveau dispositif chinois va-t-il enterrer le système de défense antimissile américain ?  

Le nouveau système pour les missiles balistiques intercontinentaux vient d’être testé en RPC. Les tests qui ont été menés démontrent que le déploiement des missiles chinois intercontinentaux équipés de ce nouveau système, est possible dans un avenir proche.

Les essais de l’ogive pour le missile balistique intercontinental, qui viennent de se dérouler en Chine sont le premier résultat pratique du programme ambitieux de l’armement balistique, élaboré par ce pays. Cela fait plusieurs années que l’Empire du Milieu développe les armes balistiques. En juillet 2012, les médias chinois ont parlé de la mise en service d'un tunnel aérodynamique, qui assure la ventilation des modèles d’avions à une vitesse allant jusqu'à 9M. Et récemment, c’est le premier test d’un appareil hypersonique qui vient d’être réalisé. Se posent alors les questions d’influence de cette nouvelle technologie sur la stratégie nucléaire chinoise et de la direction du développement des projets d’armes hypersoniques en Chine.

La Russie a terminé les tests des ogives hypersoniques en 2005, dans le cadre du projet d'amélioration de la stabilité des forces nucléaires stratégiques russes face au bouclier antimissile américain. Apparemment, la Russie était le premier pays à se doter d’une ogive prête à être déployée. La Chine suit les traces du complexe militaro-industriel russe, mais avec un retard de plusieurs années.

Néanmoins, les tests démontrent que le déploiement des missiles balistiques intercontinentaux chinois avec des ogives de ce type est possible déjà dans un avenir prévisible. Une ogive hypersonique en vol ne peut être interceptée par aucun système de défense antimissile existant ou en projet. En commençant le déploiement des missiles, la Chine pourrait augmenter la fiabilité de ses forces nucléaires.

Les travaux de construction de l’ogive supersonique sont liés avec un projet du nouveau missile balistique intercontinental, crée l’année dernière. Ces systèmes sont plus lourds que leurs prédécesseurs, nécessitant la construction d’un nouveau type de missiles, plus puissants.

On peut supposer que dans les conditions actuelles, la Chine, à l'instar de la Russie et des Etats-Unis, ne se limite pas au développement des technologies hypersoniques pour sa triade nucléaire stratégique. Les Etats-Unis considèrent la possibilité d’utilisation de ses armes non-nucléaires dans ses systèmes de frappe conventionnelle rapide (Prompt Global Strike, PGS). La Russie mène aussi des travaux de développement de ses armes non nucléaires hypersoniques.

La création des armes hypersoniques non nucléaires permettra de porter le programme de lutte chinois contre les groupes aéronavals américains à un autre niveau. La Chine se déplace déjà dans cette direction pour la création des moyens de frappe puissants des porte-avions de l’ennemi, grâce à la création des missiles antinavires DF- 21D. Ce missile complique la protection d’une escadre de porte-avions d’une frappe éventuelle. Si un missile de croisière hypersonique maniable sera utilisé comme un moyen d’attaque, la défense antimissile du porte-avions sera inutile et il va falloir changer les moyens de défense des missions militaires de toutes les flottes du monde.

La présence d’une arme hypersonique est un attribut nécessaire d’une superpuissance au 21e siècle. Et la Chine est en passe d’en devenir une. Toutefois il faudra un certain temps avant que ces armes puissent êtres déployés et mis en service. Nous verrons donc les résultats de ce projet seulement d’ici une dizaine d’années.

http://french.ruvr.ru/2014_01_18/Le-nouveau-dispositif-chinois-va-t-il-enterrer-le-systeme-de-defense-antimissile-americain-6913/

 

PGM a écrit:

Sacré bon en avant !
l'article n'est pas complet (reservé abonné), mais après sa lecture complete ce matin, il ressort que c'est grace a des technologies européene (notamment francaise) que les chinois ont réalisé cet exploit. L'article précise que c'est grace a des horloges atomiques francaises que la chine a pû élaborer un systeme de guidage fiable. D'ici 24 mois, la constellation du GPS chinois (Beidou) sera complete leur permettant de s'affranchir totalement du GPS.

Citation :

Le rêve chinois de toute-puissance à portée de tir

La défense aérienne chinoise à Lintong, en juillet. (Photo Petar Kujundzic. Reuters)RÉCITPékin a testé un missile hypersonique pouvant atteindre n’importe quel point du globe sans être intercepté. Un succès dû en partie à l’aide de l’Europe.La Chine a confirmé ce mois-ci son ambition de devenir une superpuissance militaire. Le 9 janvier, à la grande surprise de tous les experts, l’armée populaire de libération (APL) a réalisé le test grandeur nature d’un missile de croisière hypersonique volant à Mach 10 - dix fois la vitesse du son, soit 12 250 km/h. Seuls les Etats-Unis y étaient jusqu’alors arrivés. Cette arme encore expérimentale, dite «hypervéloce», sera si rapide qu’aucun système de défense antimissile existant ne sera capable de l’intercepter, conférant une supériorité stratégique considérable au pays qui parviendra à la déployer

Liberation

PGM

Et voila le tour de passe passe   

Citation :

Le rêve chinois de toute-puissance à portée de tir

RÉCITPékin a testé un missile hypersonique pouvant atteindre n’importe quel point du globe sans être intercepté. Un succès dû en partie à l’aide de l’Europe.
La Chine a confirmé ce mois-ci son ambition de devenir une superpuissance militaire. Le 9 janvier, à la grande surprise de tous les experts, l’armée populaire de libération (APL) a réalisé le test grandeur nature d’un missile de croisière hypersonique volant à Mach 10 - dix fois la vitesse du son, soit 12 250 km/h. Seuls les Etats-Unis y étaient jusqu’alors arrivés. Cette arme encore expérimentale, dite «hypervéloce», sera si rapide qu’aucun système de défense antimissile existant ne sera capable de l’intercepter, conférant une supériorité stratégique considérable au pays qui parviendra à la déployer. Elle est supposée permettre de frapper n’importe quel point du globe dans un délai très court, avec une tête conventionnelle ou nucléaire. La Russie, l’Inde et la France s’y intéressent également.
L’exploit chinois a été révélé cette semaine par des officiels du Pentagone. Pékin, qui avait gardé l’affaire secrète, a confirmé mercredi que ce test avait bel et bien eu lieu. Les forces armées chinoises, qui paraissent déterminées à se doter de fortes capacités stratégiques à longue portée, modernisent leur arsenal à marche forcée. Après la pulvérisation réussie en 2007 d’un de ses satellites situé à 800 km de la Terre à l’aide d’un missile orbital, la Chine a mis à flot un porte-avions, s’est lancée dans la construction d’un second porte-aéronefs ultramoderne, a déployé des sous-marins ultrasilencieux, et des prototypes de drones et d’avions furtifs.

Nouvel empire. Le budget chinois de la défense est en augmentation constante de plus de 10% par an depuis vingt ans. Qui plus est, selon le centre de recherche indépendant IHS Janes, il passera de 91 milliards d’euros en 2010 à 183 milliards en 2015 - soit quatre fois celui du Japon. «Notre rêve est celui d’une nation puissante, ce qui signifie que notre armée doit être puissante», lançait en décembre 2012 Xi Jinping, qui cumule les fonctions de président, de chef du Parti communiste et de l’armée. «L’armée doit se préparer à combattre et à gagner des guerres», exhortait-il dernièrement.

«Le rêve chinois», érigé l’an dernier par Xi Jinping en doctrine officielle, est aussi le titre d’un livre écrit par un théoricien militaire, qui est enseigné dans toutes les académies militaires. Son auteur, le colonel Liu Mingfu, y explique que le «rêve chinois est de bâtir un pays qui soit le plus puissant au monde, et la première puissance militaire de la planète». Malgré ces relents militaristes, le nouvel empire chinois maintient que son effort colossal dans le domaine militaire est de nature «pacifique».

L’objectif d’un missile hypersonique, note néanmoins le professeur Yang Yuhui de l’Institut aéronautique de Nankin, «est bel et bien de déjouer et de pénétrer» le système de défense antimissile d’un pays tiers. La Chine, qui consacre des ressources considérables à la recherche sur les missiles hypersoniques, a bâti en 2012 la plus grande soufflerie hypersonique du monde et, selon une source, pas moins de 100 groupes de scientifiques sont mobilisés par ce programme.

Embargo. Bien que l’armée mette systématiquement en avant ses propres capacités d’innovation, elle s’est en réalité débrouillée pour obtenir les éléments essentiels de ce dont elle a besoin en Europe, et notamment en France. La situation peut paraître paradoxale, puisque l’Europe soumet la Chine à un embargo sur les ventes d’armes depuis la répression sanglante de Tiananmen, en juin 1989. En réalité, cette sanction est contournée, car la vente de matériel dit «à double usage» (civil et militaire) n’est pas explicitement proscrite.

En Chine, selon une longue enquête publiée le mois dernier par l’agence Reuters, la plupart des navires militaires de surface modernes et les sous-marins ultrasilencieux sont équipés de moteurs franco-allemands ; les destroyers sont munis de missiles mer air, d’hélicoptères anti-sous-marin et de sonars français ; les moteurs des bombardiers et des avions de chasse maritimes sont britanniques.

Toujours selon cette enquête, qui se fonde sur les données de l’institut indépendant Stockholm International Peace Research Institute (Sipri), Eurocopter a fourni les plans d’hélicoptères de transport et d’attaque chinois. Paris, qui a vendu à Pékin pour 2 milliards d’euros de licences et de matériel, serait désormais le plus gros fournisseur militaire européen de l’APL. Le cœur du dispositif chinois est son système de positionnement global Beidou, sans lequel l’armée devrait utiliser le GPS russe ou américain. Une dépendance périlleuse puisque Washington a plusieurs fois «déréglé» son GPS pour faire dévier des missiles chinois. Or, là encore, le déploiement de ce GPS chinois à usage militaire n’a été possible que grâce à l’Europe, via un partenariat avalisé par la Commission de Bruxelles avec le consortium travaillant à la mise en place du GPS européen Galileo.

Fort de cette carte de visite, des officiels chinois ont pu acheter matériel et technologies auprès de nombreuses compagnies du Vieux Continent. L’armée a ainsi acquis en 2003 les indispensables horloges atomiques suisses sans lesquelles il n’y aurait eu ni Beidou… ni missile hypersonique, puisque celui-ci a besoin de ce guidage.

Philippe GRANGEREAU Correspondant à Pékin

http://www.liberation.fr/monde/2014/01/16/le-reve-chinois-de-toute-puissance-a-portee-de-tir_973406

L'inde ne tardera pas à développer une telle technologie avec assistance russe. les indiens se considèrent rival régional de la Chine

je me demande si la Chine voudra transférer cette technologie aux Pakistanais le seul pays musulman appartenant au club VIP-NUC....

Citation :

New Chinese supersonic anti-ship missile "YJ-12" fitted on PLAN's H-6G bomber

Pictures of YJ-12, one of china's latest anti-ship missile, fitted on a Chinese Navy (PLAN) Xian H-6G bomber have recently emerged on the Chinese internet meaning this new generation missile may have entered operational service.

Pictures of YJ-12, one of china's latest anti-ship missile, fitted on a Chinese Navy (PLAN) Xian H-6G bomber have recently emerged on the Chinese internet meaning this new generation missile may have entered operational service.
The first picture of YJ-12 which emmerged in early 2013

Existence of the YJ-12 came to light in early 2013, when its first picture emerged. The missile appears somewhat similar in design to the Russian Kh-31 air to surface missile or even closer in shape to the US made GQM-163A Coyote which is a supersonic sea skimming target.

Like the missiles mentioned above, the Chinese missile uses ramjet technology: Airbreathing jet engine using the engine's forward motion to compress incoming air, without a rotary compressor. It allows missiles to reach very high speeds.

Pictures of YJ-12, one of china's latest anti-ship missile, fitted on a Chinese Navy (PLAN) Xian H-6G bomber have recently emerged on the Chinese internet meaning this new generation missile may have entered operational service.
A Japan Self Defense Force picture from November 2013 showing a PLAN H-6G bomber flying over contested water. The bomber is fitted with some never seen before pylons. It will turn out that those new pylons are designed to carry the new YJ-12 supersonic anti-ship missile.

The YJ-12 (YingJi meaning Eagle Strike) was designed by the Third Academy of the China Aerospace Science and Industry Corporation "CASIC" (HiWING Mechanical & Electrical Technology Corporation). It is fitted with liquid-fueled ramjet (with a combined booster and combustion chamber).

Its reported speed is around Mach 2 if launched from a low altitude and up to Mach 3.2 if launched from high altitude. According to Chinese sources, the YJ-12 maximum range is around 380 kilometers (the distance varies depending on launch altitude) and its terminal attack altitude is 15 meters. Finally the missile would be about 6,3 meters long with a diameter below 0,756 meters.

In addition to PLAN's H-6G bomber, the YJ-12 would also be fitted on PLAN's JH-7B as their main weapon for anti-ship missions.

Pictures of YJ-12, one of china's latest anti-ship missile, fitted on a Chinese Navy (PLAN) Xian H-6G bomber have recently emerged on the Chinese internet meaning this new generation missile may have entered operational service.
A recent picture (January 2014) showing a Chinese H-6G bomber carrying a YJ-12 supersonic anti-ship missile under the new pylon.

http://www.navyrecognition.com

Citation :

Un bombardier à long rayon d’action de première génération sera créé en Chine

http://french.ruvr.ru/news/2014_01_20/Un-bombardier-a-long-rayon-d-action-de-premiere-generation-sera-cree-en-Chine-5418/

Citation :

PLA Navy group begins long-distance exercise




A group of warships from the People's Liberation Army Navy set sail from a port in Hainan province on Monday and started a long-distance patrol training mission.

The group is composed of several surface warships from the South Sea Fleet: the amphibian landing craft Changbaishan and the missile destroyers Haikou and Wuhan, the PLA Navy said in a statement on Monday.

The training operation will involve a range of tasks, including supportive engagement — assisting other ships that are exchanging fire with hostile forces, said the statement.

They will also practice tactical maneuvers in the South China Sea, the Western Pacific Ocean and the Eastern Indian Ocean.

The group carries three helicopters, a hovercraft and a company of marines. The flagship, the Changbaishan, is the most advanced amphibian landing craft in the Chinese navy, boasting a heavy tonnage and cutting-edge weapons.

The Haikou and Wuhan missile destroyers are capable of defending against enemy aircraft and submarines as well as incoming missiles. They have previously taken part in escort missions in the pirate-plagued Gulf of Aden, as well as a joint drill with the Russian military, according to the PLA Navy statement.

Soon after leaving port, the two destroyers set off to join submarines on an exercise simulating the breaking of a hostile blockade.

"The patrol training mission aims to test the combat capabilities of the navy's ships, submarines and aircraft," said Lieutenant Admiral Jiang Weilie, commander of the South Sea Fleet.

"It is also intended to explore effective methods for long-distance training operations, which have become a regular thing for our navy," he said, adding that the mission is the navy's first long-distance voyage of 2014.

http://www.ecns.cn/military/2014/01-21/97870.shtml

missile ou avion ?   

Citation :

La Chine teste un engin hypersonique



Pékin aurait testé le 9 janvier dernier un engin hypersonique, qui aurait atteint la vitesse de Mach 10. Ce serait la première fois que ce pays procède à l'essai d'un tel véhicule hypervéloce. L'information, relayée par le site internet Washington Free Beacon aurait visiblement été confirmée par le ministère chinois de la Défense.
 
L'engin testé serait baptisé WU-14. Il s'agirait visiblement d'un planeur hypersonique, semblable au projet de la Darpa américaine baptisé HTV-2. Comme pour ce dernier, l'engin chinois aurait été propulsé par une fusée au delà de l’atmosphère. C'est durant la phase de rentrée atmosphérique qu'il peut ensuite accélérer jusqu'à une vitesse hypersonique.
 
Cet essai présumé, aurait suscité l'émotion de quelques sénateurs américains, préoccupés par ce qui pourrait devenir une course à l'armement dans la zone Asie-Pacifique.
 
Jusque là, le projet le plus emblématique des chinois dans le domaine de l'hypersonique était le missile de croisière anti-navire (plus précisément anti-porte-avions) YJ-12, et son dérivé le CM-400 AKG. La Chine a également déjà montré des maquettes d'engins dotés de superstatoréacteurs, comme le X-51 américain.
 
A ce jour, ce sont les Etats-Unis qui sont la nation la plus avancée dans le domaine de l'hypersonique, avec notamment le X-43, le X-51 et le SR-72 en développement. La France a également son projet (programme LEA), tout comme l'Inde, la Russie et le Brésil.

http://www.air-cosmos.com/defense/la-chine-teste-un-engin-hypersonique.html

Citation :

China builds world’s largest patrol ship


China is reportedly building a 10,000-ton class marine surveillance vessel, the largest of its kind in the world, amid the country’s buildup of its maritime law enforcement force against the backdrop of territorial disputes at sea.
Analysts said the ship, with a higher continuous voyage capability than current Chinese ships, could better cope with conditions in the South China Sea and safeguard the country’s maritime interests.
According to a Tuesday report by the Beijing Times, China Shipbuilding Industry Corporation (CSIC) recently said on its official website that it signed contracts in 2013 to build two kinds of marine surveillance ships, one of them 10,000 tons.
However, the information was no longer available on the company’s website on Tuesday.
CSIC’s spokesman Liu Zhengguo Tuesday declined to confirm the news to the Global Times, saying it would take days to verify the information.
If confirmed, the vessel under construction would surpass Japan Coast Guard’s two 6,500-ton vessels to be the world’s largest patrol ship.
The China Coast Guard’s (CCG) largest patrol ships in service have a tonnage of 4,000.
China Ocean News reported Tuesday that a 5,000-ton class patrol ship will be deployed to the waters around Sansha, China’s newest city, set up to consolidate the country’s claim over the South China Sea.
Li Daguang, a professor at the National Defense University of the People’s Liberation Army, said that building large tonnage vessels has become a trend in shoring up China’s maritime strength, as the fleet of the patrol ships used to be made up of outdated vessels as well as retired warships, which were refitted.
Liu Cigui, head of the State Oceanic Administration (SOA), last week told a national maritime work conference that 20 new patrol vessels are under construction.
It is not clear to which area the 10,000-ton vessel allegedly under construction would be commissioned.
Wang Xiaopeng, a maritime border expert at the Chinese Academy of Social Sciences, told the Global Times that as its continuous voyage capability is expected to be over 10,000 nautical miles, the ship will be able to carry out cross-sea patrols.
Yu Zhirong, a retired official from the maritime law enforcement authority in the East China Sea, told the Global Times the ship is more likely to be deployed in the South China Sea, given the absence of relay stations in the vast waters.
“With abundant supplies and fuel, it would be able to carry out enduring surveillance tasks,” said Yu.
Wang shared similar sentiments, noting most of the illegal oil exploitation by foreign countries takes place in waters far away from China’s coastal areas.
The expert estimated that the large vessel will be equipped with at least two planes and several boats. “Entering November, the disputed waters become choppy, therefore, only ships above 1,000 tons could sail to the high seas. Meanwhile, the boats attached to the large ship could enter the lagoons for patrol,” he said.
Wang also noted that the 10,000-ton vessel could serve as both “shield and sword” in safeguarding China’s maritime rights.
According to him, the large ship could more effectively drive away armed foreign fishing boats, which operate in waters claimed by China, and carry out close-up surveillance on offshore oil platforms set up by foreign countries.
Tensions have been running high between Beijing and Tokyo over the Diaoyu Islands in the East China Sea, while China is also locked in disputes on the South China Sea with some Southeast Asian countries.
At last week’s maritime work conference, Liu, the SOA head, named the major goals set for this year, including fostering the “combat capability” of the CCG, which was established last July.
He also vowed to strengthen the Chinese maritime law enforcement force’s regular presence at sea and deepen the CCG and military’s coordination in their maritime operations.


http://www.nzweek.com/world/china/china-builds-worlds-largest-patrol-ship-report-110467/

Citation :

Chinese Navy (PLAN) conducts amphibious drills on Paracel Islands

A PLAN flotilla centered around a Type 071 LPD (Yuzhao-class Landing Platform Dock) has completed a two-day amphibious drill off the Paracel Islands (also called Xisha Islands in Chinese and Hoàng Sa Islands in Vietnamese) on Wednesday. The flotilla undertook a "three-dimensional" patrol of several islets, using surface vessels, Type 726 LCAC (Yuyi class) and Z-8 helicopters.

A PLAN flotilla centered around a Type 071 LPD (Yuzhao-class Landing Platform Dock) has completed a two-day amphibious drill off the Paracel Islands (also called Xisha Islands in Chinese and Hoàng Sa Islands in Vietnamese) on Wednesday. The flotilla undertook a "three-dimensional" patrol of several islets, using surface vessels, Type 726 LCAC (Yuyi class) and Z-8 helicopters.
The joint maneuver taskforce of the South China Sea Fleet of the Navy of the Chinese People’s Liberation Army (PLAN) carried out a three-dimension cruise in the Xisha Islands from January 21 to 22, 2014. A Type 726 LCAC is seen as it is about to enter the Type 071 LPD well deck
(navy.81.cn/Qian Xiaohu)

Marines with the flotilla conducted a 20-minute landing training on Wednesday. The training "attained its anticipated objectives", according to Hu Dehai, a deputy brigade commander.

Commander of the Nanhai Fleet Jiang Weilie, who also serves as the flotilla's commander, landed on the islands to greet the garrison troops.

The patrol and landing operations fall within the flotilla's annual schedule that include combat drills in the South China Sea, the West Pacific Ocean and the east Indian Ocean.

The three-ship flotilla, consisting of Type 071 amphibious landing craft Changbaishan and destroyers Wuhan (Type 052B) and Haikou (Type 052C), left from a military port in south China's Hainan Province on Monday.

Changbaishan is the country's largest landing ship by gross tonnage and is equipped with an advanced weapons system. Both Wuhan and Haikou have experience of major drills and escort missions in the Gulf of Aden.

Three Z-8 helicopters and a company of marines are stationed aboard the ships.

The Paracel Islands, also called Xisha Islands in Chinese and Hoàng Sa Islands in Vietnamese, is a group of islands whose sovereignty is disputed among the People's Republic of China, the Republic of China and Vietnam.

http://www.navyrecognition.com

PLA women Marines 

Spoiler:

Citation :

China plans new patrols from disputed Paracel island


China announced on 21 January that it would deploy a 5,000-tonne vessel to Woody Island (Yongxing Island) in the South China Sea and set up a programme of patrols. The island is administered as a prefectural level city of Hainan province and is the largest of the disputed Paracel Islands claimed also by Vietnam and Taiwan.
The China Ocean News , published by Beijing's State Oceanic Administration, reported that the aim of the deployment was, among other things, to "safeguard national sovereign rights and benefits, develop at-sea assistance, and ensure navigational safety". It is not known when the patrols will begin or how frequent they may be.

http://www.janes.com/article/32879/china-plans-new-patrols-from-disputed-paracel-island

Exercices pour le GAN

Artillery exercice (Shenyang)

 HQ-9 . La cible qui l'a détruit c’était quoi  

Y-20
La dernière photo c'est le vol du 2éme prototype . Un monstre ce Y-20 quand même , bel avion   

Citation :

PLA drill in Victoria Harbour seen as warning to Hong Kong protesters

The People's Liberation Army staged its first air-and-sea drill of the year across Victoria Harbour yesterday in a move seen as a warning to protesters such as those who broke into the garrison's headquarters in Admiralty last month and to the emerging Occupy Central movement.

Two frigates and three helicopters carried out a co-ordinated patrol across the harbour yesterday morning, Xinhua reported.

It said the drill had made the PLA "more familiar with the air-and-sea situation of Hong Kong and has improved its ability to handle emergency situations".

Activists of independence group Hongkongers Come First broke into the Central Barracks in Admiralty on December 26, waved a colonial-era Hong Kong flag and called on the PLA to "get out".

Activists have protested outside the barracks since then.

China analyst Johnny Lau Yui-siu said the high-profile drill was intended to issue a strong warning to the protesters.

"The PLA not only wants to reflect the army's stern stance on the trespassing incident, but also to tell Hongkongers that they would be ready to carry out their duties if they are needed to handle the Occupy Central movement," he said.

But Macau-based military observer Antony Wong Dong said the garrison had been "restrained and humble" in conducting the drill to "avoid making the Hong Kong public nervous".

He said the navy's role had been important because the plan for a military pier on the Central waterfront was a focus of the barracks protest.

Shanghai-based naval expert Ni Lexiong said he believed the drill would be a deterrent to "disobedient forces" in Hong Kong. "Although it is just a regular drill, it was held at a sensitive time," he said. "Everyone in Hong Kong should inevitably connect the two things together.

"[The drill] was aimed at warning the public that Hong Kong could continue to enjoy a certain level of freedom, but should not challenge the central government's political authority, with military means being Beijing's last step to maintain Hong Kong's prosperity and stability."

The Hong Kong and Macau Affairs Office expressed "grave concern" after the barracks trespassing incident, while former Basic Law Committee member Professor Wang Zhenmin said the protesters had "gone too far" and "tested the bottom line, harming relations between Hong Kong and Beijing".

The military also conducted an air-and-sea drill in the harbour last July. That drill was carried out less than a week after the annual anti-government march.

http://www.scmp.com