Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris

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Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Empty
MessageSujet: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeJeu 5 Déc 2013 - 18:07

Rappel du premier message :

J'ouvre ce thread pour plusieurs raisons . Premièrement , parce que aujourd’hui même officiellement l'ONU a donner son feu vert a la France pour une intervention militaire au coté des forces africaines , l'opération va se faire . Et deuxièmement , ce conflit nous intéresse en tant que musulmans , car le conflit opposent justement musulmans et chrétiens dans ce pays . Personnellement je n'ai jamais su que il y avait des musulmans en Centrafrique .
Vos informations nous permettrons de mieux comprendre les raisons de ce conflits , les différentes parties de ce conflit , certains parlent de vengeances de l'ex president Bozizé et des milices chrétiennes  , d'autres mettent en cause la rebelle du Séléka qui sont musulmans ...

Citation :
Le Conseil de sécurité de l'ONU  a adopté ce jeudi un projet de résolution de la Franceautorisant le recours à la force pour les troupes d'intervention africaines et françaises. Sur place, a tension est encore montée d'un cran à Bangui, la capitale de la Centrafrique.

Des tirs et détonations ont été entendus, faisant plusieurs victimes. Des journalistes ont dénombré ce jeudi après-midi 80 morts dans une mosquée de Bangui et des rues voisines.

Les accrochages opposent les membres de milices chrétiennes d'autodéfense, les «anti-balaka» (anti-machettes), à des hommesarmés issus des rangs de la coalition rebelle Séléka — depuis dissoute — dirigée par Michel Djotodia. Ces derniers, qui se revendiquent musulmans, ont renversé en mars par un coup d'Etat le président François Bozizé, arrivé au pouvoir dix ans plus tôt, plongeant le pays dans le chaos.

Environ 250 soldats français ont été déployés ce jeudi dans le centre-ville, a prévenu l'état-major des armées. Tout comme la force africaine, l'armée française, plus que jamais «gendarme» de l'Afrique après le Mali, attend le feu vert des Nations-Unies pour lancer son opération militaire, baptisée «Sangaris».

Suivez les évènements, minute par minute.

17h25. Environ 1,3 million de personnes ont besoin d'une aide alimentaire en République centrafricaine, en raison des troubles intérieurs, a mis en garde la FAO (Food and Agriculture organization, Organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture).

16h48. Les soldats français pourraient intervenir dans les heures qui viennent.

Les 1200 soldats français, qui doivent être déployés en RCA, auront à leurs côtés 3000 hommes de la force africaine, la Misca (Mission internationale de soutien à la Centrafique : Tchad, Cameroun, Congo, Gabon), qu'ils sont chargés d'appuyer. Une force encore mal équipée, dont le commandement reste à mettre en place, qui devra prendre dans quelques mois le relai des Français.

La France dispose d'un dispositif unique de forces prépositionnées sur le continent africain, ce qui qui multiplie sa capacité de réaction : 940 hommes au Gabon, 350 au Sénégal, 2000 à Djibouti, 450 en Côte d'Ivoire, 250 en temps normal en Centrafrique.

La France table cette fois sur une opération ponctuelle. «Nous mobilisons un millier d'hommes pour une période de montée en puissance de 4 à 6 mois, puis de retrait progressif de 4 à 6 mois», a résumé mardi Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, dans une interview au quotidien Le Dauphiné.

Une facture de 400 M€ au Mali

Impossible de chiffrer pour l'instant le coût de l'opération française qui est sur le point de démarrer en Centrafrique.

La précédente intervention extérieure de la France en Afrique est l'opération Serval, au Mali, où les militaires ont traqué les jihadistes et aidé l'Etat Malien à rétablir l'ordre.

Le coût de l'opération Serval au Mali devrait «dépasser les 400 M€ à la fin de l'année» 2013, estimait fin juin le chef d'état-major des armées (CEMA), l'amiral Edouard Guillaud, selon La Tribune. La facture globale d'une telle opération est «de l'ordre de 100 000 € par homme et par an», a précisé le CEMA.

16h36. Jean-Yves Le Drian, le ministre de le Défense qui a écourté un déplacement à Toulon (Var) a commencé à préparer le conseil restreint de Défense avec les services de renseignement. Ce conseil de défense réunira notamment le chef d'état major des armées, Edouard Guillaud, et les ministres Jean-Yves Le Drian (Défense), Laurent Fabius (Affaires étrangères) et Manuel Valls (Intérieur), autour du président Hollande.

16h33. Qui paiera pour une future force de casques bleus après l'intervention de la France ? C'est la question qui se pose déjà dans les couloirs de l'ONU. Les Etats-Unis ne cachent pas leur frilosité à l'idée de financer un tel dispositif.

16h21. François Hollande réunit un conseil restreint de défense à 18 heures.

16h15. La résolution a été votée à l'unanimité. Elle permet aux forces françaises engagées sur le terrain de sécuriser les civils et d'apporter une aide humanitaire. Elle est placée sous le chapitre 7, autrement dit l'usage de la France est autorisé.

Ce que prévoit la résolution de l'ONU
Le Conseil, déclarant agir sous le chapitre 7 de la Charte de l'ONU (autorisant le recours à la force)...
TRANSITION POLITIQUE ... «réclame l'application rapide des accords de transition (..) qui devront mener à la tenue d'élections présidentielle et législatives libres, équitables et transparentes...»
DROITS DE L'HOMME ... «exprime sa profonde inquiétude devant la multiplication des violences inter-religieuses et inter-ethniques...», «demande au secrétaire général (Ban Ki-moon) de mettre en place rapidement une commission internationale d'enquête (...) pour une période initiale d'un an. L'enquête portera sur les exactions commises depuis le 1er janvier 2013.»
MISCA ET FORCES FRANCAISES... «autorise le déploiement" de la force africaine présente en RCA (Misca) pour une période de douze mois, avec une clause de révision à six mois, afin de protéger les civils et rétablir l'ordre et la sécurité (...), stabiliser le pays (...) et créer les conditions propices à la fourniture d'aide humanitaire. Autorise les forces françaises en RCA, dans la limite de leurs capacités et de leurs zones de déploiement, et de manière temporaire, à prendre toutes les mesures nécessaires pour soutenir la Misca dans l'accomplissement de son mandat et demande à Bangui et aux pays voisins de soutenir leur action.»
EMBARGO SUR LES ARMES... « impose un embargo sur les armes et équipements militaires destinés à la RCA pour une période initiale d'un an. Cet embargo ne concernera pas les matériels destinés à la Misca ou aux forces françaises. Un comité des sanctions veillera au respect de l'embargo.»
SANCTIONS CIBLEES... «exprime sa ferme intention d'envisager rapidement des sanctions ciblées, dont des gels d'avoirs et des interdictions de voyage, contre les individus qui violent l'embargo sur les armes ou les droits de l'homme, bloquent la transition politique dans le pays, ou exploitent illégalement des ressources naturelles comme les diamants.»


⇒ 16h11. Le Conseil de Sécurité de l'ONU donne son feu vert à l'intervention de la France en Centrafrique.

16h03. A la mosquée du quartier PK5, dans le centre de la capitale, 54 cadavres étaient alignés dans la salle de prière et la cour intérieure, portant des marques de blessures à l'arme blanche et par balles. Dans les rues voisines, les journalistes ont comptabilisé 25 cadavres abandonnés sur le bas coté.

«Les corps ont été amenés dans la matinée par des gens du quartier», a expliqué à l'AFP un responsable de la mosquée qui a souhaité garder l'anonymat. La mosquée était remplie d'hommes et de femmes venus chercher un parent disparu.

Signe de l'extrême tension régnant dans la ville, les abords de la mosquée étaient bondés d'hommes portant des machettes, alors que les rues voisines, dans lesquelles gisaient d'autres corps, étaient désertes.

15h47. Plus de 80 cadavres comptés dans une mosquée et dans les rues de Bangui.

14h45. Au moins huit morts et des dizaines de blessés, selon MSF. « Depuis ce matin, nous avons aidé à prendre en charge 65 blessés arrivés aux urgences. Une vingtaine présentait des blessures graves ; 8 sont morts ; 5 sont déjà passés en urgence au bloc » témoigne Thomas Curbillon, chef de mission MSF à Bangui.  « La plupart présentent des blessures par balle et armes blanches, type machette ou couteau ».


13h51. Extension du couvre-feu. Appelant la population terrorisée «à garder son calme» dans une allocution radio-télévisée, le président centrafricain de transition Michel Djotodia annonce l'extension immédiate de quatre heures du couvre-feu, imposé désormais de 18 heures à 6 heures, face aux aux tirs et violences meurtrières qui ont éclaté avant l'aube. Il ajoute que «l'armée française est une amie de la Centrafrique», quelques heures avant le vote par le conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution autorisant la France à intervenir militairement pour rétablir la sécurité dans le pays.

13h31. Huit morts selon MSF. «Hôpital communautaire: 65 blessés, 8 morts», indique un bref message transmis par MSF, qui a dépêché dans cet établissement une équipe médicale et chirurgicale.

13h15. Le FN «appuie et soutient» l'intervention militaire imminente de la France en Centrafrique sous mandat de l'ONU, indique jeudi le parti dans un communiqué. «La dégradation de la situation civile et sécuritaire en Centrafrique justifie plus que jamais l'intervention militaire de la France sous l'égide de l'ONU», est-il écrit.

Pourquoi «Sangaris» ?
L'armée française a baptisé son opération «Sangaris», baptisée du nom d'un petit papillon rouge. Pour les entomologistes du monde entier, la Centrafrique est en effet le paradis des papillons où, en saison, il suffit d'emprunter une piste forestière à la sortie de Bangui pour croiser des nuages de millions de ces insectes.


12h50. Environ 650 militaires français présents à Bangui. Le colonel Jaron indique qu'«aujourd'hui, environ 650 militaires français sont présents» dans la capitale de la Centrafrique.

12h45. «Environ 250 soldats français se sont déployés dans Bangui à la suite des incidents de la nuit», annonce le porte-parole de l'état-major des armées françaises, le colonel Gilles Jaron. «Vers 3 heures, il y a eu des accrochages entre des ex-Séléka et des éléments armés non identifiés à cette heure (...), les forces françaises ont dû réagir». Une partie des effectifs de l'opération Bouali «s'est déployée dans Bangui», déclare le porte-parole lors du point de presse hebdomadaire de la Défense, soulignant la «nette dégradation de la situation». La mission de ces 250 soldats français : «sécuriser les points sensible (ambassade...) et des points de regroupement pour assurer la sécurité des ressortissants».

12h15. Le Premier ministre centrafricain appelle à l'intervention «immédiatement» après le feu vert de l'ONU. «Vu l'urgence, mon souhait est que l'intervention se fasse dans les meilleurs délais, immédiatement après la résolution», déclare Nicolas Tiangaye, qui se trouve à Paris pour le sommet de l'Elysée sur la paix et la sécurité en Afrique.

10h50. Les tirs à l'arme automatique jeudi matin à Bangui ont fait «plusieurs morts et des blessés», selon le chef de la mission de Médecins sans Frontières (MSF) en Centrafrique, Sylvain Groulx. «Il y a des morts et des blessés», qui ont été conduits à l'hôpital communautaire de Bangui, où MSF a dépêché une équipe médicale et chirurgicale, indique-t-il, incapable de donner de bilan précis dans l'immédiat.


10h30. Hollande reçoit ce jeudi après-midi le Premier ministre algérien à l'Elysée. Cet entretien, qui ne figurait pas initialement dans l'agenda hebdomadaire de l'Elysée, précède le Sommet sur la paix et la sécurité en Afrique organisé par la France vendredi et samedi, à Paris, en présence d'une quarantaine de dirigeants africains.

9h10. La France ne doit plus être le «mercenaire gratuit» de l'UE, selon Pierrre Lellouche (UMP). «On se retrouve, nous Français, encore une fois tout seuls», déclare-t-il sur France Inter. «Ca n'est pas supportable» s'indigne l'alu d'opposition. «L'Europe sait réguler le nombre de cigarettes dans le coffre de la voiture, mais dès qu'il y a un problème sérieux, il n'y a plus personne !»

8h50. «Ca ira très vite». «Dès que le président de la République aura donné le top, les choses vont aller très vite», explique Laurent Fabius. sur BFMTV/RMC. «Ca tombe bien puisque nous avons entre aujourd'hui et samedi à Paris à la fois tous les Etats africains, plus le secrétaire général des Nations unies, plus le président de l'Union européenne», rappelle-t-il.


8h48. La France interviendra «en appui» de la force africaine Misca, qui compte 2.500 hommes et doit à terme arriver à 3.600 soldats, souligne Laurent Fabius. Le but de l'intervention est «d'éviter les drames humanitaires épouvantables et de rétablir la sécurité. Dans un deuxième temps ce sera de favoriser une transition démocratique parce qu'il va falloir organiser des élections», théoriquement début 2015, ajoute Laurent Fabius.


8h45. Fabius : 1.200 soldats français déployés «dans les jours qui viennent». «Autour de 1.200» soldats seront déployés en Centrafrique, et l'intervention débutera «entre le vote de la résolution à l'ONU ce soir et la date que choisira le président de la République», déclare ole ministre des Affaires etrangères Fabius sur BFM TV/RMC, précisant que ce sera «dans les jours qui viennent».

6 heures. Des tirs d'armes automatiques et des détonations plus lourdes sont entendus depuis l'aube dans plusieurs quartiers de Bangui, la capitale centrafricaine, selon des journalistes de l'AFP. Ces tirs, dont l'origine était inconnue dans l'immédiat, ont débuté vers 05H30  dans la zone du PK-12, dans le nord de la ville, puis se sont étendus à d'autres quartiers de la ville, notamment non loin du centre-ville, dans la zone du fleuve.

Bilan de la veille
Une douzaine de personnes ont été tuées près de Bangui dans la nuit de lundi à mardi, a-t-on appris mercredi. A une centaine de kilomètres au nord de la capitale - où la tension monte dans les quartiers à l'approche du vote à l'ONU, dans un climat détestable de suspicion et de soif de vengeance - ces civils, des éleveurs peuls musulmans, ont été massacrés à la machette, selon des sources militaires. Dix très jeunes enfants ont été sauvagement blessés dans la même attaque, aux membres ou la tête, eux aussi à coups de machettes, et étaient hospitalisés mercredi à Bangui, ont constaté des journalistes de l'AFP. Le Premier ministre centrafricain Nicolas Tiangaye a dénoncé des «actes horribles, odieux», tandis que les Etats-Unis se sont dits «horrifiés».
http://www.leparisien.fr/international/en-direct-centrafrique-250-soldats-francais-deployes-a-bangui-jour-j-a-l-onu-05-12-2013-3379685.php





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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeLun 3 Aoû 2015 - 21:39

Citation :
Le secrétaire général de l’ONU condamne le meurtre d’un casque bleu en RCA


Publié le lundi 3 aout 2015  |   Xinhua


Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a condamné dimanche le meurtre d’un casque bleu en mission à Bangui, capitale de la République Centrafricaine.
Les casques bleus de la Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies en République Centrafricaine (MINUSCA) ont été attaqués par un groupe armé lors d’une opération de recherche, selon un communiqué du porte-parole de M. Ban.
Durant cette opération, dont l’objectif était d’arrêter un criminel en application d’un mandat judiciaire du Procureur publique de Bangui, les officiers ont été attaqués, un casque bleu se faisant tuer et huit autres blesser, indique le communiqué.

M. Ban a appelé à une réaction rapide pour traduire en justice les auteurs de ce crime, et a exhorté les groupes armés à respecter l’impartialité de la MINUSCA.
"Le secrétaire général de l’ONU réaffirme l’engagement de l’ONU dans le soutien des autorités centrafricaines dans leur lutte contre la criminalité et pour mettre fin à l’impunité, en accord avec le mandat de la MINUSCA au sien de sa zone de déploiement", précise le communiqué.
La MINUSCA a été créée en avril 2014 pour protéger les civils des violences, ainsi que pour soutenir le processus de transition dans le pays et faciliter l’aide humanitaire. Son mandat a été renouvelé en avril dernier pour une année de plus.


http://news.abangui.com/h/31239.html
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeVen 7 Aoû 2015 - 16:28

Citation :
Centrafrique : 12 morts dans des affrontements entre anti-balaka et ex-Séléka


07 août 2015


Au moins 12 personnes ont perdu la vie dans une attaque de miliciens anti-balaka suivie de représailles d'ex-Séléka au cours des derniers jours dans l'est du pays, a annoncé jeudi une source de la gendarmerie royale.
 
« Des individus armés se réclamant des anti-balaka ont attaqué dimanche et lundi derniers un campement d’éleveurs au village Malégbassa, dans la commune de Zangba, pour les déposséder de leurs bœufs, faisant au moins quatre morts et quatre blessés », a indiqué cette source, jeudi 6 août, sous couvert d’anonymat.

« Ces attaques ont entraîné lundi des représailles d’éléments ex-Séléka et peuls armés contre les habitants du village Ndoma, voisin de Malégbassa, faisant au moins huit morts et plusieurs blessés ainsi que des prisonniers, d’après un bilan encore provisoire », a-t-elle ajouté.

Les représailles d’ex-Séléka ont aussi provoqué la fuite de nombreux habitants. Ces violences se sont déroulées dans la région de la Basse-Kotto, à environ 600 km à l’est de Bangui, près de la frontière avec la RDC, où se trouvent plusieurs dizaines de milliers de Centrafricains ayant déjà fui les violences dans leur pays.

Le bilan pourrait s’alourdir

Le bilan des morts parmi les éleveurs peuls dans la première attaque pourrait s’élever à « 16 tués », selon Ibrahim Hamat Nediad, le porte-parole de l’ex-Séléka dans la région. Cette milice, à majorité musulmane, est très proche des éleveurs peuls et les défend contre les attaques des anti-balaka.

Malgré un retour au calme relatif à Bangui depuis le renversement de l’ex-président François Bozizé par la Séléka en 2013, les violences se poursuivent toujours entre les communautés chrétiennes et musulmanes dans certaines régions du pays.



http://www.jeuneafrique.com/254845/politique/centrafrique-12-morts-affrontements-entre-milices-lest-pays/
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 8 Aoû 2015 - 18:22

RIP  Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_sal
Citation :
Centrafrique: un Casque bleu rwandais tue 4 compagnons d'armes avant d'être abattu


AFP  08/08/2015


Un Casque bleu rwandais a tué quatre de ses compagnons d'armes et en a blessé huit autres, lors d'une fusillade au sein de leur contingent samedi à Bangui, avant d'être abattu, a-t-on appris auprès de plusieurs sources militaires.

"C'est un soldat rwandais qui a pris son arme et il a tiré sur ses compagnons avant d'être abattu. Il y a eu cinq morts et huit blessés. C'est la première fois que cela arrive à la Minusca", a affirmé à l'AFP une source proche de la Mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca). "Une fusillade, a confirmé un officier centrafricain sous couvert d'anonymat, a éclaté samedi à la base du contingent rwandais, faisant au moins cinq morts (dont le tireur, NDLR) et huit blessés parmi les soldats. C'est un soldat qui a ouvert le feu sur ses compagnons d'armes pour des raisons qu'on ignore encore".

Le commandement rwandais au sein de la Minusca n'était pas joignable dans l'immédiat pour confirmer cette information. Il s'agit du plus grave incident survenu au sein de la force onusienne depuis son déploiement en septembre 2014. En décembre 2013, des échanges de tirs avaient opposés soldats tchadiens et burundais de la force africaine de maintien de la paix (Misca) depuis remplacée par la Minusca, sans faire de victimes.

La Minusca, qui compte actuellement 10.800 hommes, comprend des contingents issus du Burundi, du Cameroun, du Congo, de RD-Congo, de Guinée Equatoriale, du Gabon, du Rwanda, du Maroc, du Sénégal, du Pakistan, et d'Indonésie, appuyés par la force française Sangaris déployée fin 2013 pour enrayer les massacres entre communautés chrétiennes et musulmanes.

Le renversement en mars 2013 du président François Bozizé par une rébellion à dominante musulmane, la Séléka, a plongé la Centrafrique dans la plus grave crise de son histoire depuis son indépendance en 1960.
Les autorités de transition mises en place lorsque la Séléka a été chassée du pouvoir par l'intervention militaire française et internationale début 2014, peinent à relever ce pays déjà meurtri par des années de troubles et rébellions.



http://www.lorientlejour.com/article/938285/centrafrique-un-casque-bleu-rwandais-tue-4-compagnons-darmes-avant-detre-abattu.html
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeMer 12 Aoû 2015 - 21:42

Citation :
Centrafrique: l'ONU ouvre une enquête après des accusations de viol et d'homicides

11 Août 2015



La Mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca) a ouvert une enquête sur des accusations communiquées mardi par Amnesty international sur le "viol d?une fillette" et "l'homicide d'un adolescent de 16 ans et de son père" qui auraient été commis par des Casques bleus au cours d'une opération armée dans Bangui début août.


"D'après les éléments dont nous disposons, tout porte à croire qu'un Casque bleu a violé une fillette et que d'autres ont tué deux civils de façon aveugle", affirme Amnesty International dans un communiqué publié mardi.
La Minusca, tout en "prenant très au sérieux" ces accusations, a déclaré ne "pas être au courant de ces faits". "Il nous faut des faits établis, vérifiables, nous avons ouvert une enquête", a déclaré à l'AFP depuis Bangui son porte-parole Hamadoun Touré.
Au moins cinq personnes, dont un Casque bleu camerounais de la Minusca, avaient été tués et des dizaines blessés pendant cette opération qui s'est déroulée les 2 et 3 août, visant à arrêter un ancien chef de l'ex-rébellion Séléka dans l?enclave musulmane du PK5 à Bangui. La Séléka, à dominante musulmane, avait pris le pouvoir à Bangui en mars 2013, avant d'en être chassée l'année suivante, mais elle y a gardé des sympathisants, notamment dans le quartier du PK5.
"Il faut qu?une enquête indépendante soit menée de toute urgence par la justice civile et que les responsables présumés de ces crimes soient suspendus sans délai", a réclamé Amnesty International.
L'ONG a indiqué s'être "entretenue avec 15 témoins immédiatement après les faits, ainsi qu?avec la fillette concernée et des membres de sa famille".
- tirs de roquette et de grenades -

"Pendant une perquisition effectuée dans une maison le 2 août vers 2 heures du matin, la fillette s'était cachée dans la salle de bains. Un homme portant, semble-t-il, un Casque bleu et un gilet des forces de maintien de la paix des Nations unies l'a emmenée à l'extérieur et violée derrière un camion", accuse le communiqué".
"Je me suis mise à pleurer, alors il m'a giflée fort et a mis la main sur ma bouche", a expliqué la fillette aux délégués d'Amnesty.
Au sujet de l'homicide d'un père et de son fils, Amnesty précise "que Balla Hadji, 61 ans, et son fils Souleimane Hadji, 16 ans, ont été atteints par des tirs devant leur maison". Un voisin ayant assisté à la scène à indiqué à Amnesty que les les Casques bleus "avaient tiré sur tout ce qui bougeait".
Le porte-parole de la Minusca a précisé que la mission a ouvert une enquête "sur toute l'opération" au PK 5, quartier difficile d?accès et ouvert au trafic d'armes. "Nous pratiquons une tolérance zéro en matière d'exploitation sexuelle", a-t-il dit.
Au sujet de l'accusation d'homicide, il a précisé que les Casques bleus avaient été accueillis dimanche vers 2 heures du matin "par des tirs de roquettes et de grenades. C'est difficile de savoir dans ces conditions qui est tué".
"Nous avons ouvert des investigations, nous ne prenons pas cela à la légère", a-t-il dit.
La justice française a ouvert une enquête au sujet de quatorze militaires français de l'opération Sangaris en Centrafrique, accusés de viols de six enfants, qui auraient été commis entre fin 2013 et début juin 2014.
L'opération française Sangaris a été lancé en décembre 2013 pour mettre un terme aux violences de la Séléka contre les civils. Mais si la capitale centrafricaine connait un certain retour au calme depuis des mois, Sangaris et la Minusca n'arrivent pas à stabiliser l'ensemble du pays dans lequel de nombreuses "zones grises" restent en proie aux groupes armés et au banditisme.

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/centrafrique-l-onu-ouvre-une-enquete-apres-des-accusations-de-viol-et-d-homicides-11-08-2015-5004481.php  
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeVen 21 Aoû 2015 - 18:04

Citation :
Publié le 21-08-2015  •  Modifié le 21-08-2015 à 13:29

RCA: l'ONU sanctionne un marchand de diamants et 3 miliciens

Par RFI

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 3238
Des soldats rwandais de la Minusca patrouillent à Bangui.
AFP PHOTO / Pacome PABANDJI



Trois nouveaux noms ont été ajoutés à la liste des personnes qui compromettent la paix en Centrafrique par le comité du Conseil de sécurité de l'ONU. D'après l'ONU, elles menacent la transition politique, notamment la tenue d'élections démocratiques. Elles sont désormais sous le coup de sanctions, notamment d'interdiction de voyager et le gel de leurs avoirs.

Parmi les trois nouvelles personnes sanctionnées, Alfred Yekatom, le chef des milices présentes dans le quartier PK 9 de Bangui et dans plusieurs autres villes du pays. Il commandait aussi des hommes à une douzaine de points de contrôle et imposait des taxes illégales aux véhicules.

Les sanctions concernent également Habib Soussou, un commandant de la zone de Boda, à 180 kilomètres au sud-ouest de Bangui. Depuis sa nomination, des organisations humanitaires et leurs équipes ont été victimes de meurtres ciblés, d'affrontements et d'attaques commis par les anti-balaka dans les secteurs sous son commandement

Trafiquant de diamants

Le comité des sanctions de l'ONU a également émis une interdiction de voyager et un gel des avoirs à l'encontre d'un ancien chauffeur d'une entreprise de diamants, Oumar Younous. Devenu général de l'ex-Seleka et trafiquant de diamants, il a d'après le Conseil de sécurité de l'ONU, « soutenu un groupe armé grâce au commerce de diamants».


Enfin à cette liste, le comité du Conseil de sécurité a également ajouté la société de diamant BADICA. Cette entreprise a fourni un appui financier à l'ex-Seleka et aux forces antibalaka, grâce notamment au commerce illicite de diamants et d'or. Le Conseil de sécurité de l'ONU avait décrété en mai 2014 des sanctions similaires contre notamment l'ex-président François Bozizé.


A Bangui, la justice de nouveau mise à mal

Le secrétaire général du KNK, le parti de l'ex-président François Bozizé, en garde à vue depuis six jours pour des propos jugés « incitant à la haine », a été libéré par des militants alors qu'il était auditionné au tribunal de grande instance de Bangui.

Après six jours de garde à vue, Bertin Béa s'est vu notifier par le juge d'instruction son mandat de dépôt. En apprenant la nouvelle, les militants réunis à l'extérieur du palais de justice ont tenté, selon le procureur de la République, de pénétrer dans le tribunal. « Pendant qu'il était auditionné jeudi après-midi au tribunal de grande instance de Bangui, plusieurs individus en moto munis d'armes sont arrivés, ont assiégé le tribunal avant de jeter une grenade lacrymogène dans le cabinet du juge d'instruction, le faisant sortir à toute vitesse. Et ils ont libéré Bertin Béa », selon une source proche du Parquet. Ce que démentent fermement les partisans du KNK.

« Inertie complice des forces de sécurité »

Alors que la situation devenait de plus en plus tendue, la Minusca a décidé de l'exfiltrer le procureur, en abandonnant le prévenu Bertin Béa dans le tribunal. « Ils ont fait usage de gaz lacrymogène contre les manifestants civils. Ils sont entrés dans le bureau du doyen des juges d’instruction où monsieur Bertin Béa était en train d’être interrogé. Maintenant, au lieu de prendre Bertin Béa, ils ont seulement récupéré le doyen des juges d’instruction et le procureur de la République, ils les ont exfiltrés et ils sont partis. Monsieur Bertin Béa, il était abandonné dans le bureau du doyen des juges d’instruction », a expliqué un militant s'exprimant sous couvert d'anonymat.

Contacté par téléphone le procureur de la République n'a pas de mots assez fort pour « condamner l'inertie complice des forces de sécurité centrafricaines qui n'ont pas rempli leur devoir », en abandonnant un prévenu à l'intérieur du tribunal. Bertin Béa le principal intéressé confie avoir été récupéré par des militants peu après le départ en catastrophe de tous les policiers et militaires du palais de justice. Selon des sources au ministère de la Sécurité, des tractations seraient en cours pour faire évoluer le mandat de dépôt en simple remise en liberté sous contrôle judiciaire pour tenter de désamorcer la situation.


http://www.rfi.fr/afrique/20150821-rca-onu-sanction-marchand-diamants-miliciens-bozize
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 22 Aoû 2015 - 16:17

Citation :
Centrafrique : des violences intercommunautaires dans le centre font au moins 10 morts

21 août 2015 à 19h46  — Mis à jour le 21 août 2015 à 20h24  

Par Jeune Afrique avec AFP  

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 3243
Des soldats rwandais de la MISCA patrouillent à proximité du camp Kasai dans Bangui, le 28 janvier 2014.
© Issouf Sanogo/AFP



Au moins dix personnes ont été tuées et cinq blessées dans des violences intercommunautaires jeudi dans la région de Bambari, dans le centre du pays. La tension reste vive vendredi.
 
« Tout est parti de la mort d’un jeune musulman abattu par des individus armés identifiés comme étant des miliciens anti-balaka à quelques dizaines de kilomètres de Bambari », a déclaré un responsable de la gendarmerie, sous couvert d’anonymat. « Ce meurtre […] a entraîné des représailles de jeunes musulmans et ex-(rebelles) Séléka dans certains quartiers non musulmans de la ville. On dénombre dix morts et cinq blessés selon un bilan provisoire », a-t-il ajouté.

« De nombreux habitants de ces secteurs ont fui les tirs pour regagner les sites des déplacés où vivent toujours plusieurs milliers de personnes », ont raconté des témoins sur place, joints par téléphone. Par ailleurs, des jeunes des différentes communautés, chrétiennes comme musulmanes, « ont dressé des barricades à certains endroits pour se protéger des tirs […]. La tension était toujours vive » vendredi, ont-ils affirmé.

La province en proie aux groupes armés

Le renversement en mars 2013 du président François Bozizé par une rébellion à dominante musulmane, la Séléka, avait plongé cette ex-colonie française dans la plus grave crise de son histoire depuis son indépendance en 1960. Des tueries de masse entre communautés musulmanes et chrétiennes– notamment les milices anti-balaka- avaient alors éclaté.

Chassée du pouvoir en janvier 2014 par une intervention militaire internationale, l’ex-coalition rebelle Séléka avait installé son état-major à Bambari. Depuis, la ville est régulièrement secouée par de nouvelles violences inter communautaires. Car contrairement à la capitale Bangui, qui connaît un certain retour au calme depuis des mois, de nombreuses « zones grises » restent en province en proie aux groupes armés et au banditisme.



http://www.jeuneafrique.com/258907/politique/centrafrique-violences-intercommunautaires-centre-10-morts/
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 22 Aoû 2015 - 16:47

Citation :
MINUSCA

Arrivée du nouveau Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU pour la #Centrarique et Chef de la #MINUSCA , Parfait Onanga-Anyanga, Bangui 21 août 2015.

UN Photo/ Nektarios Markogiannis – à Bangui.

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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeLun 24 Aoû 2015 - 23:40

Citation :
Babacar Gaye s’en va avec des milliers de tonnes de diamants

Publié le lundi 24 aout 2015  |   Centrafrique Libre

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 286
© Autre presse par dr  
Général Babacar Gaye, chef de la MINUSCA.



Les Centrafricains et avec eux le monde entier continuent à se demander pour quelles raisons, le Général d’opérette Babacar GAYE a-t-il été renvoyé de la République Centrafricaine comme un malpropre ? Etait-ce possible que celui qui avait placé la religion au cœur de la crise centrafricaine et qui a pu faire tomber dans ce piège la terre, les mers et océans allait être placé sur un vol bleu sans remords par le patron des Nations Unies? Au-delà des commodités internationales, les langues commencent à se délier. C’est pourquoi l’on dit toujours : « Il n’y a jamais de fumée sans feu ».
Baobab ouvre-toi…

Les arrangements politiques sur la scène internationale ont été tels qu’on a placé sur les faibles épaules du Général d’opérette Babacar GAYE, les chefs d’accusation du viol de mineurs, d’abus sexuels et de nombreux massacres de civils. Il va sans dire que ce sont des faits qui ont fini par s’avérer et qu’on ne pourra pas nier. Cependant, au-delà de cette insolente vérité que la presse nationale et internationale n’ont de cesse relayé, il y a d’autres pratiques auxquelles le petit général en carton du Sénégal s’était livré et dont on n’a pas sérieusement fait mention sur la place publique. Du haut de sa soixante d’années, Babacar GAYE n’a pas perdu le goût du calcul. Selon des sources dignes de foi, les politiques de recrutement sont suspendues jusqu’à nouvel ordre pour la simple raison que non seulement les postes se marchandaient mais aussi que nombreuses recrues venaient du Sénégal natal de Babacar GAYE ou étaient de même religion que lui. C’est parce exemple le cas de nombreux chauffeurs dont certains sont recrutés parmi les ex Séléka.

Une autre vérité cachée de la vie de Babacar GAYE, c’est le commerce sans merci. Selon des témoignages des populations de la ville de Bossangoa, le contingent Camerounais se la coule douce dans le commerce de la viande du serpent bois, de la viande boucanée et même du poisson fumé. Selon les mêmes témoignages, ces marchandises très prisées, se vendent cinquante mille francs le paquet. Et au retour, ce sont les bières étrangères que les soldats Camerounais déversent à quantité industrielle sur le marché centrafricain.

La grande affaire s’est faite avec les Libanais et certains commerçants de la place. Ce business consiste à faire bénéficier à ces derniers, la protection onusienne. Les marchandises passent les barrières sans formalité. C’est le résultat d’un protocole avec le Gouvernement Centrafricain. L’information est d’autant plus vraie dans la mesure où l’accord sur la levée de franchise a été momentanément suspendu parce que les autorités centrafricaines ont voulu voir clair dans cette histoire.

Le dernier business qui a permis au Général d’opérette de se faire du sous, c’est le sol et le sous sol centrafricains. Les mines de ce pays n’avaient pas seulement turlupiné les malins soldats Français. Le tirailleur sénégalais de GAYE les regardait aussi avec des yeux de convoitise. C’est, semble-t-il, cette dernière affaire qui a du faire grand bruit au haut sommet des Nations Unies.

En d’autres termes, si c’est à cause des mines que Babacar GAYE a été viré de ses fonctions, la MINUSCA devrait être dissoute, toute son équipe doit partir en éclat parce que viciée. Les Généraux Tumenta, MOKOKO, ESSONGO et tous les voleurs du GIC ou de G7 ou G8 doivent quitter le sol centrafricain. Ils s’en sont beaucoup mis dans la poche déjà. Même le Français de Charles MALINAS doit faire ses bagages avant la tenue des élections. Il était tellement en bons termes avec Babacar GAYE qu’on doit dire : « Qui s’assemble, se ressemble ».

Pétrus KASSALO SOURCES: LA FRATERNITE OVER BLOG DE CENTRAFRIQUE  



http://news.abangui.com/h/31674.html
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeMar 25 Aoû 2015 - 14:35

Citation :
Centrafrique : l'ONU condamne vivement une attaque contre des travailleurs humanitaires à Bambari

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 3254
Des Casques bleus de la MINUSCA patrouillent à Bambari, en République centrafricaine. Photo : ONU/Catianne Tijerina



24 août 2015 – Le Coordonnateur humanitaire des Nations Unies, Aurélien A. Agbénonci, et toute la communauté humanitaire en République centrafricaine ont condamné vivement lundi une attaque contre des travailleurs humanitaires le 20 août à Bambari, au cours de laquelle un employé de la Croix Rouge a été blessé.

Ces violences sont survenues dans le cadre d'un regain de tensions intercommunautaires qui ont causé la mort de cinq civils au moins et rendu nécessaire l'évacuation de six blessés vers les structures de santé de Bambari.

« Je condamne cette violence et j'appelle tous les belligérants à respecter et protéger les travailleurs humanitaires qui portent assistance à des milliers de personnes affectées par la crise dans le pays », a déclaré M. Agbénonci. « La situation humanitaire dans le pays demeure préoccupante et requiert la présence et l'action des acteurs humanitaires. Les principes de neutralité, d'indépendance et d'impartialité ainsi que les règles du droit international humanitaire doivent absolument être respectés ».

Il a rappelé que les acteurs humanitaires payaient un lourd tribut dans l'exercice de leur fonction. Dix-neuf d'entre eux ont déjà été tués depuis le début de la crise en République centrafricaine. L'accès humanitaire continue d'être entravé par diverses contraintes dans le pays, en particulier par la violence contre les civils et les travailleurs humanitaires.

« Les attaques contre les travailleurs humanitaires diminuent leur capacité à mener à bien ces activités essentielles, laissant les plus vulnérables en République centrafricaine dans une situation à risque, » a déploré M. Agbénonci.

Le Coordonnateur humanitaire a appelé toutes les parties à veiller à ce que ceux qui fournissent une assistance humanitaire puissent accéder en toute sécurité aux personnes dans le besoin et mener leurs activités sans entrave.  


http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=35417#.VdxgEqYw_IW
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeMer 26 Aoû 2015 - 18:18

Citation :
Centrafrique : cinq morts dans des affrontements intercommunautaires à Bria

Publié le mercredi 26 aout 2015



Au moins cinq personnes ont été tuées mardi et huit blessées au cours d’affrontements intercommunautaires qui ont éclaté dans un village près de Bria, une ville minière de l’est de la Centrafrique, a appris l’AFP de source proche de la gendarmerie.
"D’après les premières informations, des peuls (musulmans) armés ont blessé un jeune qu’ils considéraient comme étant un anti-balaka (un milicien chrétien).Alertés, les villageois ont en représailles tué un jeune peul et la situation a dégénéré en affrontements entraînant cinq morts et huit blessés.Cinq maisons ont été incendiées", a déclaré cette source de la gendarmerie de Bambari, située à 200 kilomètres de Bria.
Selon la même source, "la situation à Bria est en ce moment sous contrôle des Casques bleus de la Minusca (la mission de l’ONU en Centrafrique), dont l’intervention a permis d’arrêter les violences".
"Les tirs entendus dans le village ont provoqué la fuite de nombreux habitants en brousse ou en direction des villages voisins", a indiqué Paul Goné, habitant de Bria."Les dignitaires religieux de la localité ont entrepris des démarches destinées à favoriser le retour des habitants qui ont fui", a-t-il ajouté.
Ces affrontements surviennent après ceux qui ont fait au moins 20 morts et plusieurs dizaines de blessés à Bambari (centre) dans des violences similaires.
Jeudi dernier, des affrontements avaient éclaté à Bambari entre anti-balaka et jeunes musulmans appuyés par des membres de l’ex-rébellion séléka (à dominante musulmane), après la découverte du corps d’un jeune musulman tué par des individus considérés comme étant des anti-balaka.
Le renversement en mars 2013 du président François Bozizé par la Séléka a plongé l’ex-colonie française dans sa plus grave crise depuis son indépendance en 1960, déclenchant des tueries de masse entre communautés musulmane et chrétienne.
Malgré une intervention internationale en décembre 2013 (force française Sangaris et onusienne Minusca), le pays, l’un des plus pauvres au monde, peine à se stabiliser. Les violences intercommunautaires et les actes de banditisme sont fréquents dans la plupart des régions.

http://news.abangui.com/h/31740.html
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeVen 28 Aoû 2015 - 14:16

Citation :
Centrafrique: Le nouveau chef de la MINUSCA appelle à l’engagement des élites nationales

Publié le vendredi 28 aout 2015  |   alwihdainfo


Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 296
© Autre presse par DR  
Parfait Onanga-Anyanga nommé à la tête de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations-unies pour la stabilisation en Centrafrique (Minusca)


PARFAIT ONANGA-ANYANGA réaffirme le soutien de la MINUSCA a la Centrafrique et appelle a l’engagement des elites nationales.

Bangui le 27 août 2015 - Le nouveau Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies et Chef de la Mission multidimensionnelle intégrée de stabilisation des Nations Unies en République centrafricaine (MINUSCA), Parfait Onanga-Anyanga, a réaffirmé mercredi le soutien de l’organisation à la RCA, et appelé les élites du pays à un engagement accru, au cours de la conférence de presse hebdomadaire tenue au siège de la Mission.

« Les priorités de la MINUSCA restent les mêmes, à savoir protéger les populations civiles, contribuer au rétablissement de l’autorité de l’Etat et appuyer le processus politique vers la fin de la Transition et la restauration de l’ordre constitutionnel et la mise en place de nouvelles institutions à travers des élections démocratiques », a signifié le Chef de la MINUSCA qui s’exprimait face aux medias locaux et internationaux. Le premier défi étant d’accompagner le peuple centrafricain sur le chemin d’une paix durable à travers une réconciliation véritable et une cohésion sociale réussie.

« Accompagner les Centrafricains sur ce chemin impose au personnel civil et militaire de la MINUSCA un comportement exemplaire et même un rôle de modèle, conforme aux principes et valeurs qui font des Nations Unies une organisation respectable et respectée » a indiqué le Représentant spécial, avant de rappeler la Politique de Tolérance Zéro des Nations Unies en matière d’exploitation et d’abus sexuels.

Aux élites centrafricaines, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies a lancé un appel à l’engagement et à la responsabilité dans la reconstruction de la Nation centrafricaine. Ainsi, dira-t-il, « nous avons à cœur de conduire cette transition le plus vite possible dans les délais qui ont été agréés, de manière à ce que de nouvelles institutions et élites prennent sur elles l’immense responsabilité de parachever l’ouvrage que nous avons commencé ».

Evoquant les récents affrontements intercommunautaires à Bambari et à Bria, Parfait Onanga-Anyanga a déclaré que la MINUSCA prendra, pour sa part, toutes ses responsabilités, encouragée par les initiatives du gouvernement pour faire baisser les tensions entre les différentes communautés.


http://news.abangui.com/h/31799.html
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 29 Aoû 2015 - 18:47

Citation :
Publié le 29-08-2015  •  Modifié le 29-08-2015 à 04:44

RCA: la RDC enquête sur des accusations de viols par ses troupes

Par RFI

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 314
Un soldat congolais de la Minusca à Bria.

RFI / Laurent Correau


La RDC envoie des responsables de l'armée pour enquêter sur les accusations de viol contre ses casques bleus, dans le cadre de l'opération de maintien de la paix en Centrafrique. Trois militaires du contingent congolais de Bambari sont accusés d'avoir eu des rapports sexuels avec des jeunes femmes, dont une mineure. La délégation congolaise envoyée sur place par Kinshasa est arrivée à Bambari ce vendredi soir.


Le 18 août dernier, l'Organisation des Nations unies envoie une note à Kinshasa. Trois casques bleus congolais sont accusés de viol. La RDC a 10 jours pour ouvrir une enquête. L'ONU précise que cette affaire est la quatrième du genre et promet des sanctions si rien n'est fait. Le ministre congolais de la Justice, Alexis Thambwe Mwanba dit avoir immédiatement pris ses responsabilités.

« Nous avons reçu une dénonciation de la part du secrétariat général des Nations unies, avec des allégations de viols qui auraient été commis par nos éléments, explique-t-il. Nous avons considéré qu’il fallait réagir immédiatement. Donc un général de brigade, qui est avocat général des forces armées est sur place avec trois autres enquêteurs, dont un colonel et deux majors. »

Tolérance zéro

Le ministre promet des poursuites si les accusations sont avérées. La responsable de la communication de la Minusca, Myriam Dessables, salue la démarche congolaise. Pour elle, cette enquête illustre la politique affichée par l'ONU de tolérance zéro en matière d'exploitation et d'abus sexuels.


« Ce qu’il est possible de faire, on le fait, affirme Myriam Dessables, surtout pour la protection des victimes. Le siège des Nations unies à New York, continue et particulièrement ces jours-ci- je crois que ce n’est un secret pour personne – de mettre une pression sur les Etats membres, pour qu’ils mènent à bien les investigations, et qu’ils aillent jusqu’au bout des processus de justice pour les cas concernés.

Tout repose donc sur la justice congolaise, qui devra transmettre le résultat de son enquête au siège des Nations unies.


http://www.rfi.fr/afrique/20150829-rca-rdc-enquete-accusations-viols-troupe-thambwe-mwanba-myriam-dessables
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 29 Aoû 2015 - 20:40

Citation :
MINUSCA

« En prélude à la visite du Pape François prévue en novembre prochain à ‪#‎Bangui‬, la ‪#‎MINUSCA‬ a effectué, le 26 août, des travaux de
nettoyage de la façade de la Cathédrale Notre Dame de l’Immaculée Conception de Bangui ».

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 20930411131_a125f9c49c_cMINUSCA assists in cleaning Bangui's Catherdral
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeJeu 3 Sep 2015 - 16:16

Encore ! Evil or Very Mad

Citation :
RCA: un nouveau cas de viol présumé par un soldat de Sangaris

Par RFI    Publié le 03-09-2015   •  Modifié le 03-09-2015 à 15:22  

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 255
Quatorze soldats français de Sangaris sont incriminés dans cette affaire d'abus sexuels, mais très peu ont été identifiés.
AFP PHOTO / MARCO LONGARI



Un nouveau cas de viol présumé par un militaire français de l'opération Sangaris en Centrafrique a été révélé. C’est le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Zeid Ra'ad al-Hussein, en visite dans le pays en ce moment, qui a sorti l’information.


Le haut commissaire aux droits de l'homme indique que l'ONU a été mise au courant de ce dernier cas présumé le 30 août dernier. Les faits remonteraient à environ un an. Selon le communiqué des Nations unies, la victime présumée serait une « jeune fille probablement en fin d'adolescence au moment des faits allégués ». Elle a mis au monde un enfant fin avril et a porté plainte auprès des autorités locales pour une reconnaissance de paternité.

Toujours selon Zeid Ra'ad al-Hussein, les autorités françaises ont été informées de ce dernier cas. Ces allégations viennent s'ajouter à une longue série d'accusations de viols par des soldats étrangers en Centrafrique. Une information judiciaire française a été ouverte en mai dernier sur des viols présumés d'enfants commis par 14 militaires français à Bangui en 2014. Trois autres militaires africains étaient également mis en cause dans le rapport onusien qui a déclenché ces investigations.

Plus récemment, le 18 août, des casques bleus de RDC ont été accusés de viol sur trois jeunes filles, dont une mineure. Kinshasa avait promis une enquête. Début août, des casques bleus étaient soupçonnés du viol d'une fillette de 12 ans à Bangui lors d'une opération au cours de laquelle deux civils avaient été tués. Une situation qui a provoqué le mois dernier la démission de Babacar Gaye, l'ancien patron de la Minusca.


http://www.rfi.fr/afrique/20150903-rca-nouveau-cas-viol-presume-soldat-sangaris
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 5 Sep 2015 - 16:29

Citation :
Centrafrique : Un responsable de l’ONU veut une action « plus robuste » contre les groupes armés


Posté dans Afrique, Opérations par Laurent Lagneau Le 05-09-2015  


Le format de la force Sangaris, déployée en Centrafrique depuis le 5 décembre 2013, a été réduit lors de ces dernières semaines. Désormais, elle compte environ 900 hommes et son dispositif s’articule autour du Groupement tactique interarmes (GTIA) Centurion, composé principalement par des éléments du 1er Régiment étranger de cavalerie (1er REC), du 2e Régiment étranger d’infanterie (2e REI), du 1er Régiment étranger de génie (1er REG) et du 3e Régiment d’artillerie de marine (3e RAMa).

L’opération Sangaris aura permis d’éviter le pire alors que combattants de l’ex-coalition rebelle de la Séléka et les miliciens anti-balaka semaient le chaos dans le pays.

Au 15 juillet, les militaires français ont saisi et détruit 36 tonnes de munitions et plus de 8.000 armes de toute nature. La situation s’est améliorée à Bangui, de même que dans l’ouest du pays. Et l’action de Sangaris a facilité le déploiement des casques bleus de la Mission des Nations unis en République centrafricaine (Minusca) tout en permettant de relancer le processus politique.

Ce désengagement progressif des militaires français de Centrafrique s’est traduit, début août, par la cession de la base opérationnelle avancée de Bambari (centre-est) à un bataillon congolais de la Minusca.

Seulement, ceux qui veulent toujours en découdre n’ont pas tardé à faire parler la poudre : deux semaines plus tard, des affrontements ayant opposé des miliciens anti-balaka et d’éléments de l’Unité du peuple centrafricain (UPC), une branche de l’ex-Seleka commandée par le général Ali Darass, ont fait au moins une dizaine de tués à Bambari.

Mieux encore : la Minusca n’a pas été en mesure de garder les trois points d’entrée de la ville, passés sous le contrôle des combattants de l’UPC. « Les casques bleus continuent de patrouiller, mais selon plusieurs sources sur place, ce sont bien les ex-Seleka qui contrôlent désormais la majeur partie de Bambari », expliquait RFI, le 28 août.

» Nous sommes préoccupés par la situation dans cette partie de votre pays, à Bambari. (…) La fermeté de nous assurer que tous les groupes néfastes seront mis hors d’état de nuire est incontestable. Et c’est bien dans ce cadre que nous évoluerons », a toutefois assuré Parfait Onanga-Anyanga, le nouveau chef de la Minusca, le 25 août.

Ces faits expliquent en partie la sortie du Haut Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein. Lors d’un déplacement à Bangui, le 4 septembre, il s’est prononcé pour une action plus musclée face aux groupes armés qui déstabilisent la Centrafrique.

« Je pense qu’il faudrait une approche bien plus robuste envers ces groupes armés, afin qu’ils commencent à comprendre qu’ils ne peuvent impunément bafouer l’état de droit quand, où et comme ils le souhaitent », a affirmé M. Zeid, dans une déclaration faite à la presse.

« Bien que certaines personnes aient été arrêtées et inculpées de crimes, il ne s’agit que du menu fretin. Les dirigeants les plus connus qui ont tant de sang sur les mains ne sont ni arrêtés, ni poursuivis, ni jugés ni condamnés », a-t-il déploré.

« Actuellement, dans de nombreuses parties du pays, il n’y a toujours pas de procureur ni de juge. Dans certains endroits où il y a l’un, mais pas l’autre. Et dans les endroits où il y a un procureur et un juge, ils sont souvent incapables de fonctionner, car ils sont soumis à des intimidations et des menaces de la part de groupes armés ou d’autres criminels », a encore expliqué M. Zeid, avant d’en appeler à un renforcement de la Minusca, qui manque d’effectifs et d’équipements essentiels, comme les hélicoptères d’attaque.

« Les États qui ont promis mais pas encore fourni le total des contingents militaires et policiers aux forces de maintien de la paix de l’ONU (…) devraient intensifier leurs efforts car ils font cruellement défaut », a estimé M. Zeid, pour qui le désarmement [des groupes armés] doit être une « priorité absolue ».

« Les criminels et meurtriers notoires doivent être traduits en justice, quel que soit le groupe auquel ils appartiennent », a poursuivi M. Zeid. « Mais, a-t-il ajouté, pour que cela arrive, il faut que les gouvernements présents et futurs et leurs soutiens internationaux, dont ma propre organisation, accroissent leurs efforts pour mettre en place une justice qui fonctionne ».  



http://www.opex360.com/2015/09/05/centrafrique-responsable-de-lonu-veut-action-plus-robuste-les-groupes-armes/
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeMer 9 Sep 2015 - 14:32

Un soldat marocain est décédé hier suite à un accident de la circulation en Centrafrique, un autre dont la nationalité n'a pas été communiquée est toujours hospitalisé dans un état critique.

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Allah yra7mou (il n'avait que 23 ans). Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_sal

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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeMer 9 Sep 2015 - 15:40

Allah i ra7mou Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_sal
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeJeu 10 Sep 2015 - 12:15

RIP Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_sal

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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeJeu 10 Sep 2015 - 16:46

QuickShark a écrit:
Un soldat marocain est décédé hier suite à un accident de la circulation en Centrafrique, un autre dont la nationalité n'a pas été communiquée est toujours hospitalisé dans un état critique.

جندي مغربي يلقى مصرعه في إفريقيا الوسطى

Allah yra7mou (il n'avait que 23 ans). Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_sal

RIP  Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_sal

Citation :
Mort d'un casque bleu marocain en Centrafrique


Par Ziad Alami le 09/09/2015 à 14h30 (mise à jour le 09/09/2015 à 15h07)

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 463
Le contingent marocain dépêché en République centrafricaine.
©️ Copyright : dr


Un casque bleu du bataillon marocain basé en Centrafrique est mort, lundi 7 septembre, des suites d’un accident de la circulation dans le sud du pays.

Une perte affligeante parmi les casques bleus marocains, dépêchés dans le cadre de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine. La victime, Adil Khtira, 23 ans, est décédé lundi 7 septembre des suites d’un accident de la circulation, survenu au niveau de la localité de Sibut, préfecture de Kemo, sud de la Centrafrique, révèle la Minusca, sur son site d’information.

Dans un communiqué, diffusé hier mardi, la Minusca s’est dite «endeuillée par le décès de ce soldat de première classe», en présentant, en cette douloureuse circonstance, ses sincères condoléances à la famille du défunt.

Par ailleurs, la Minusca a dit «partager la douleur du contingent marocain» et lui exprime «toute sa sympathie en ces moments difficiles».

 
http://www.le360.ma/fr/politique/mort-dun-casque-bleu-marocain-en-centrafrique-50637
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeJeu 10 Sep 2015 - 16:55

Citation :
RCA: attentats à la grenade près de l’église Fatima, à Bangui

Par RFI    Publié le 10-09-2015   •  Modifié le 10-09-2015 à 10:34  

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 464
Des casques bleus rwandais de la Minusca, en mai dernier à Bangui, en République centrafricaine.
AFP PHOTO / PATRICK FORT



Plusieurs grenades ont explosé dans le VIe arrondissement de la capitale centrafricaine, mercredi soir. Deux personnes ont été tuées et au moins 22 autres blessées dans cet attentat qui a provoqué une réaction de colère des habitants, qui ont érigé des barricades et coupé la circulation pour se protéger.

Au moins trois explosions ont retenti ce mercredi 9 septembre dans la soirée, un peu avant 19 h (heure locale), dans le VIe arrondissement de Bangui. Deux grenades ont explosé au niveau du rond-point de Petovo et une troisième quelque 800 mètres plus loin, près de l'église de Fatima. Cette dernière grenade a été jetée « sur un bar qui s’appelle Air Force One », rapporte Faustin Bangou, journaliste et membre du Conseil national de transition, joint par RFI.

Colère des habitants

Il précise également que les auteurs de ces attentats circulaient sur une moto, selon les témoignages qu’il a pu recueillir. « Les jeunes ont été nombreux à sortir de manière instantanée, pour ériger des barricades et couper la circulation », explique Faustin Bangou. « La jeunesse ne veut pas, à chaque fois, être victime de pareille chose. » Le calme est cependant revenu dans le quartier, mais dans la soirée, les barricades ont été maintenues.

Selon la Mission des Nations unies en République centrafricaine (Minusca), deux personnes ont été tuées dans ces attaques, qui ont également fait 22 blessés, actuellement traités à l’hôpital de Bangui, ont précisé des sources médicales. Dans un communiqué publié sur son site, la Minusca appelle « la population des quartiers victimes de ces attaques à ne point céder à la panique et à éviter toute action susceptible d’exacerber les tensions ».



Citation :
"Lorsque je me suis rendu sur les lieux, j’ai rencontré le commissaire de police du VIe arrondissement, on a pu constater du sang sur la chaussée et plus tard encore nous avons appris que les individus qui seraient sur une moto"

Faustin Bangou, journaliste et membre du Conseil national de transition en RCA



La Minusca instaure une « zone désarmée » à Bambari

Cette attaque intervient alors que la Minusca a annoncé la mise en place d’une « zone désarmée » à Bambari, à 400 kilomètres à l’est de Bangui. Les combats ont en effet repris dans cette ville considérée comme l’un des fiefs de l'ex-Seleka, après que des miliciens ont décapité un jeune homme en représaille à des exactions attribuées aux rebelles musulmans, selon l'Agence France-Presse.

Cette décision est prise « dans le cadre de notre mandat, dont l'élément central est la protection des civils », a précisé mercredi Hervé Ladsous, secrétaire général adjoint des Nations unies au maintien de la paix, qui revenait par ailleurs plus en profondeur sur la situation en RCA dans l'édition de ce mardi 8 septembre de l'Invité Afrique de RFI. Mercredi soir, 24 heures après l'instauration de cette « zone désarmée », aucun incident n'avait été constaté par la Minusca.  


http://www.rfi.fr/afrique/20150910-rca-attentats-grenade-pres-eglise-fatima-bangui-minusca-bambari-seleka-onu
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeJeu 10 Sep 2015 - 21:18

Citation :
Actes de terreur de Bria, Fatima et Petevo : Boko Haram en RCA et aux portes de Bangui


Publié le jeudi 10 septembre 2015  |   Centrafrique Libre


«La secte islamique Boko Haram est désormais présente en RCA. Elle est même présente dans la capitale. Boko haram est présent dans le quartier km5 depuis plusieurs mois et est sur la voie de s’implanter au centre-ville de Bangui » a déclaré Abdoulaye, un jeune opérateur économique centrafricain de 35 ans habitant à Kokoro dans le 3è arrondissement.

Après avoir incendié l’église évangélique de la Pentecôte Centre 1 de Bria, chef-lieu de la préfecture de la Haute kotto le 7 septembre, des hommes aux allures des islamistes ont frappé simultanément Bangui, la capitale de la RCA dans le 6è et le 3è arrondissement.

Hier aux environs de 19h d’après des sources dignes, des hommes en tréllis sont arrivés en moto au niveau de la station de Total du quartier Pétévo dans le 6èarrondissement. Sans motif apparent, ils ont dégoupillé des grenades et les ont lancées en direction de la station d’essence. Leur objectif était d’atteindre cette station-service et provoquer une grave explosion dans le quartier. Des faits similaires se sont aussi déroulés à Fatima à proximité du bar dancing Air Force One à la même heure.

Maladroits, les terroristes n’ont pas atteint leur principal but qui était de décimer ces quartiers et semer la mort et la désolation dans les ménages centrafricains déjà touchés par trois années de détresse et de souffrance. Ces incidents présentent un bilan lourd : un mort sur le coup à Pétévo et treize blessés dans un état très grave. A Fatima, on a déploré trois blessés dont les pronostics vitaux sont engagés. Aux dernières nouvelles, on est passé à neuf morts.

Les policiers centrafricains de l’aéroport de Bangui m’Poko dont les pouvoirs sont limités se disent exaspérés par l’arrivée massive de plusieurs mercenaires dont la majorité ne parle ni le français, ni le sango qui sont les deux langues les plus parlées dans ce pays. Il suffit de se rapprocher de la police des frontières de l’aéroport Bangui M’Poko pour constater quotidiennement le retour en masse des hommes aux noms à consonance arabo-musulmanes.

C’était déjà le cas au mois de mai dernier. Ce jour, la police avait interpellé quatre suspects, trois de nationalité tchadienne et un libanais. Interpellés, transférés au commissariat du port et présentés à la justice centrafricaine, nous ignorons à présent où se trouvent ces derniers. Notons que l’un de ces malfrats M. Mahamat Seny Abdelkerim est connu comme un dangereux assassin du KM5 sous le magistère de la Séléka. Il égorgeait les chrétiens et les musulmans qui ne voulaient pas rallier leur rang et les jetait dans les puits.

Souvent arrêtés à leur arrivée et transférés au commissariat du port fluvial, les policiers reçoivent l’ordre de la part des autorités pour libérer ces malfrats, qui gonflent aussitôt le rang des milliers terroristes qui se trouvent déjà dans la capitale, notamment au KM5.

Au terme de trois années de tergiversation, des enrichissements illicites, de la démission et de l’irresponsabilité, les autorités de la transition et la classe politique sont incapables de trouver un terrain d’entente pour imposer le retour des forces armées centrafricaines à la communauté internationale.

Ces derniers pour des intérêts égoïstes et pour servir leurs maîtres, préfèrent utiliser les motifs ethniques et tribaux pour empêcher le réarmement de leurs propres militaires.

La communauté internationale dominée par des puissants pays s’accommode de la bassesse de l’esprit des centrafricains et de l’absence de leur patriotisme pour faire main basse sur les richesses de leur sous-sol en laissant librement les groupes armés semer du désordre et devenir de facto leurs chiens de garde.Les autorités controversées de la transition pour lesquelles la vie des centrafricains ne vaut pas un beignet, n’ont jamais manifesté une volonté ferme pour faire intégrer les FACA au sein des unités de la MINUSCA comme c’est le cas dans tous les pays assistés.

M. Ladsous, Sécretaire général adjoint des Nations Unies qui a séjourné dernièrement en RCA, a confirmé l’entente tacite qu’il y a entre son institution et le trio des affamés qui dirigent actuellement la RCA au sujet du blocage du retour des FACA.Il a affirmé entendre «l’appel des autorités de la Centrafrique pour la remise sur pied des Forces armées centrafricaines (FACA) ». Les Nations unies travailleront «de concert avec les autorités pour une armée professionnelle, représentative et équilibrée ».

En attendant la supposée mise en place de cette armée professionnelle, représentative et équilibrée Boko Haram a commencé à frapper et frappera sans doute encore.Nous sommes bien en Centrafrique, le pays de tous les paradoxes

Wilfried Maurice SEBIRO

La phrase du jour

Mgr Dieudonné Nzapalainga « Il faut que les autorités de ce pays prennent leurs responsabilités pour atténuer la souffrance des populations. La communauté internationale aussi qui est venue a également une responsabilité à prendre pour que la violence ne puisse pas être exponentielle mais réduite le plutôt possible. Or, on a l’impression parfois où on est passif ou on est incapable.


http://news.abangui.com/h/32043.html
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeVen 11 Sep 2015 - 21:34

Citation :
Allégations de viols en Centrafrique: l’ONU autorise l’audition de la rédactrice du rapport accusateur

11 septembre 2015


L’ONU a autorisé l’audition de son employée qui avait rédigé un rapport sur des accusations de viols portées par des enfants centrafricains contre des militaires français, a appris vendredi l’AFP de source judiciaire.

Les Nations unies ont accepté la « levée d’immunité juridictionnelle dont jouit la rédactrice du rapport afin qu’elle soit entendue comme témoin », a expliqué la source. Cette audition devra se dérouler en présence d’un représentant du secrétaire général, Ban Ki-moon, a-t-elle précisé.

Il s’agit d’une Française désormais en poste au Chili, a ajouté une source proche du dossier.

Révélé au printemps par le quotidien britannique The Guardian, son rapport fait état des témoignages de six enfants de 9 à 13 ans, qui dénoncent des abus sexuels commis par des militaires français de l’opération Sangaris, dans le camp de l’aéroport M’Poko à Bangui, entre fin 2013 et mai-juin 2014.

Quatorze militaires français ont été mis en cause, dont trois identifiés, par les témoignages de six enfants, qui ont notamment parlé de fellations.

L’opération française Sangaris, qui n’est pas sous commandement de l’ONU, a été déclenchée en 2013, pour stabiliser la situation en Centrafrique alors en proie au chaos, et tenter d’enrayer les tueries entre communautés chrétienne et musulmane. Au plus fort de sa présence elle a compté 2.000 hommes, des effectifs désormais réduits de plus de moitié.

Des enquêteurs français se sont rendus durant la première quinzaine de juillet en Centrafrique: des prévôts de gendarmerie, le service chargés d’enquêter sur les forces armées françaises à l’étranger, accompagnés d’un juge d’instruction et d’un représentant du parquet.

En présence d’un interprète en sango, la langue parlée en Centrafrique, une enquêtrice spécialisée dans les interrogatoires de mineurs victimes a notamment entendu les 11 enfants, des auditions qui ont été filmées, ainsi que des responsables d’associations et d’ONG.

Les enquêteurs vont désormais décortiquer ces auditions pour notamment vérifier si ces déclarations sont compatibles avec la topographie des lieux, et pour vérifier qu’elles n’ont pas varié. Durant leur séjour centrafricain, les enquêteurs se sont rendus dans le camp de l’aéroport M’Poko.

Un instituteur centrafricain, qui avait été le premier à transmettre ces accusations, a également été entendu. Selon une source proche du dossier, il a confirmé les identités des mineurs qui auraient été victimes de viols, selon une source proche du dossier. Il n’a en revanche pas souhaité répondre à d’autres questions précises sur les faits allégués, a ajouté cette source.

Les trois soldats identifiés n’ont pour l’instant pas été entendus.


L’ONU et le ministère de la Défense s’étaient défendus d’avoir voulu étouffer ces accusations, rendues publiques près d’un an après l’ouverture d’une enquête préliminaire à Paris.

« Si les faits sont avérés, je ne mesurerai pas ma colère, parce que lorsque le soldat français est en mission, il est la France. Si d’aventure un seul d’entre eux a commis de tels actes, qu’il se dénonce immédiatement », avait déclaré le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.

La semaine dernière, la justice française a ouvert une enquête préliminaire distincte, pour viol, après des accusations portées contre un soldat français de Sangaris par une jeune femme centrafricaine.


http://maliactu.net/allegations-de-viols-en-centrafrique-lonu-autorise-laudition-de-la-redactrice-du-rapport-accusateur/#sthash.6flF7bXj.dpuf
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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeVen 11 Sep 2015 - 23:07

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Centrafrique: embuscade contre des Casques bleus dans Bangui

Publié le vendredi 11 septembre 2015 | AFP

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Des policiers de la Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca) sont sortis indemnes d'une embuscade jeudi à Bangui, qui a toutefois occasionné d'importants dégâts matériels, a annoncé la Minusca dans un communiqué reçu à Libreville.

"Cette attaque, qui est survenue alors que l’Unité de Police rwandaise de la Minusca effectuait une patrouille dans le quartier Gobongo, dans le 4e arrondissement de Bangui, a occasionné des dégâts matériels importants", ajoute le texte sans préciser la nature des dégâts.

Quelques heures auparavant, des tirs d’armes avaient été entendus dans le 1er arrondissement, à proximité de l’Etat-major conjoint du secteur de Bangui, et dans le 8e arrondissement où stationnent des policiers de la République démocratique du Congo, indique la mission onusienne.

Par ailleurs, toujours à Bangui, "plusieurs véhicules de la Communauté internationale, y compris de la Minusca, ont fait l’objet d’actes d’agressions violentes qui les ont sérieusement endommagés et mis en danger la vie des fonctionnaires se trouvant à leur bord", selon la même source.

La Minusca dit avoir "lancé des enquêtes pour identifier les auteurs de ces actes criminels afin qu’ils soient arrêtés et répondent de leurs forfaits devant la justice".

Deux civils ont été tués mercredi soir dans la capitale centrafricaine par des grenades lancées par des inconnus armés dans les quartiers Petevo et Fatima de la capitale centrafricaine, avait annoncé plus tôt la Minusca.

Condamnant des "actes odieux et lâches", la Minusca "déplore que ces attaques surviennent à un moment où se note une amélioration de la situation sécuritaire à Bangui ainsi qu'une reprise des activités économiques".

Le renversement en mars 2013 du président François Bozizé par la Séléka a plongé l'ex-colonie française, déjà très instable et l'un des pays les plus miséreux au monde, dans sa plus grave crise depuis son indépendance en 1960, déclenchant des tueries de masse entre communautés musulmanes et chrétiennes en 2013 et 2014, dont elle peine toujours à se relever.

Malgré une intervention internationale (opération française Sangaris et Minusca), des groupes armés sévissent toujours dans certaines parties du territoire et de très nombreuses armes de guerre - dont des grenades - circulent dans le pays. Le pape François doit s'y rendre fin novembre dans le cadre de sa première tournée africaine.


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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 12 Sep 2015 - 22:17

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Des villages prise en otages successivement par des hommes armés aux environs de Bakouma

Publié le samedi 12 septembre 2015  |   RJDH Centrafrique


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Des hommes armés à Batangafo



Au total 50 habitants du village Gbodoro situé à 12 km de la ville de Bakouma ont été pris en otage le jeudi 10 septembre par un groupe d’hommes armés. Les ravisseurs ont obligé les otages à leur préparer à manger avant de les dépouiller de tous les vivres et argent. Ils se sont retirés de ce village à la fin de l’après midi.

De sources locales, la présence de ces hommes armés a été signalée depuis le 22 août dans cette région. Avant d’attaquer le village Gbodoro à 12 kilomètres de Bakoukouma. Ils ont envahis un autre village à 7 kilomètres

« C’était le 9 septembre à sept kilomètres sur l’axe Bangassou-Bakouma ces mêmes hommes armés ont pris 50 personnes en otages aux environs de 6 heures jusqu’à 17 heures, ces personnes ont été dépouillées de leurs biens parmi lesquelles ils ont pris 2.400.000 FCFA sur une femme. Ils les ont tabassé avant de les libérer», a relaté une autorité locale.

Cette source relève par ailleurs la peur de la population de ces localités. Car elle vit dans l’insécurité totale.

Les habitants de la ville de Nzacko, Bakouma et Bangassou demandent au gouvernement et aux forces des Nations-Unies d’envoyer des éléments afin de veiller sur cette population abandonnée à leur triste sort.  


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  Deux présumés auteurs de jets de grenade appréhendés et remis à la justice

Publié le samedi 12 septembre 2015  |   RJDH Centrafrique

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Les deux présumés auteurs de jets de grenade


Deux jeunes musulmans, présumés auteurs de l’attaque à la grenade dans le 6ème arrondissement ont été appréhendés par des jeunes constitués en auto-défense et remis à la police. Ces jeunes homme ont été présentés à la presse ce vendredi par le porte- parole du gouvernement, Dominique Saïd Panguindji, et ministre de la sécurité publique .

« La police a put mettre la main sur les présumé auteur de l’attaque a la grenade de Fatima et Pétévo, grâce à l’implication citoyen des jeunes du km5 qui se sont organisés en comité d’auto défense qui ont pu appréhender ces présumés auteurs »

Le délégué des jeunes constitués en auto défense au km5, a fait savoir que « que ces éléments sont au nombre de trois, ils sont connu au km5. On les a appréhender au moment où ils ont commencé à semer des trouble dans le 6e arrondissement pour en finir au km5 en tuant un conducteur pour récupérer sa moto ».

Ces présumés auteurs seront auditionnés par la police judiciaire en vue de l’établissement d’une procédure judiciaire. Toute fois le ministre de la Sécurité Publique promet d’approfondir les investigations


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MessageSujet: Re: Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris   Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 Icon_minitimeSam 12 Sep 2015 - 22:24

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Nouvelles accusations contre un Casque bleu en Centrafrique

Publié le samedi 12 septembre 2015  |   AFP

Intervention militaire en Centrafrique - Opération Sangaris - Page 17 3119
© Autre presse par DR  
Les casques Bleus de L`ONU en Centrafrique



Un Casque bleu de la mission de l'ONU en Centrafrique (Minusca) est accusé d'avoir entretenu une relation sexuelle avec une jeune fille tombée enceinte, ont rapporté vendredi des responsables de l'ONU.

La Minusca a été accusée de 15 cas d'abus sexuels, dont neuf concernant des mineurs, l'un d'entre eux étant âgé de seulement 11 ans.

Les nouvelles accusations contre un Casque bleu ont fait surface mercredi et la Minusca cherche à vérifier plusieurs détails de cette affaire. La mission cherche notamment à savoir si la victime présumée était mineure.

"Selon les informations réunies jusqu'à maintenant, un soldat de la Minusca entretenait une relation sexuelle avec une jeune femme qui est désormais enceinte", a déclaré sous couvert d'anonymat un responsable onusien à New York.

"Cette attitude représenterait une violation de la politique onusienne de non-fraternisation", a-t-il ajouté.

Ce responsable a refusé de préciser la nationalité du Casque bleu, indiquant seulement que le pays avait été informé.

Les accusations d'abus sexuels par des membres de la Minusca sont "catastrophiques", a estimé le chef des missions de l'ONU de maintien de la paix, Hervé Ladsous, de retour de Centrafrique.

M. Ladsous a affirmé que les Nations unies avaient suspendu les paiements à 15 pays dont des soldats ont été visés par des accusations de violences sexuelles. Les soldes de Casques bleus venant de neuf pays participant à la Minusca ont cessé d'être payés, a-t-il ajouté.

Ces nouvelles accusations interviennent au moment où le président américain Barack Obama s'apprête à accueillir un sommet à la fin du mois destiné à renforcer le soutien des pays développés, surtout l'Europe, aux missions de maintien de la paix.

Fin août, une délégation de la République démocratique du Congo (RDC) s'est rendue en Centrafrique pour enquêter sur des accusations de viol portées contre trois de ses Casques bleus en Centrafrique.

Suite à ces scandales, le secrétaire général de l'ONU a nommé Parfait Onanga-Anyanga, un Gabonais, à la tête de sa mission en Centrafrique, après la démission de Babacar Gaye.

Ban Ki-moon avait qualifié ces abus de "cancer dans notre organisation".

D'après la règles de l'ONU, les Etats membres sont chargés d'enquêter et éventuellement de poursuivre les Casques bleus mis en accusation.  


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