messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 27 Mar 2014 - 17:24
Rappel du premier message :
Baybars a écrit:
Ce sont les bureaux du MAE qui ont été écouté. Des têtes doivent tomber pour trahison des secrets de l'état. Les fedayin de Gülen sont derrière cette action a coup sur.
une simple confrérerie, si puissante soit-elle ne dispose pas des moyens techniques de brancher un MAE ou Fidan. Comme dit Inanç, je crois que certains (USA/Israel), disposant de la technologie adéquate, ont donné aux Gulenistes le petit coup de pouce qui va bien. Dans ce dossier, pour moi, le Cemaat n'est qu'un véhicule pour des forces étatiques. Je crois que d'avoir balancer aux iraniens l'identités des agents du mossad opérants chez eux, est en train d'etre payé par le MIT.
Auteur
Message
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
FAMAS, les turques ont choisi Erdogan de nouveau, parce qu'il a pu garantir au pays un développement économique sans précédent et non pas parce qu'il est islamiste.
Et sa politique économique n'a rien d'islamiste, la politique économique de la Turquie est ultra libérale. La Chine enregistre des taux de développement économiques plus élevées même s'ils ont un parti unique et les dirigeants sont pour la plupart athées.
Regarde ça, c'est pas moi qui parle de "laicité" mais c'est Erdogan, le Sultan. Sois, il parle vrai (donc il est laic), sois il est entrain de mentir
Il a beaucoup jouer sur l'Islam et le Sunnisme. L'un empêche pas l'autre. Concernant la laïcité, je ne crois pas qu'il y croit a ce qu'il dit. Il a joué le jeu pour détruire ses ennemis. Aujourd'hui, c'est autre chose.
Spot de propagande d'Erdogan dans les chaînes turques:
Elu président à 52 % des voix, l'ancien Premier ministre veut continuer à mener le pays de sa main de fer et faire oublier ses récents déboires en prônant la réconciliation. Objectif : le centenaire de la révolution kémaliste, en… 2023.
Une victoire sans surprise
De son balcon, il a prononcé des mots forts, de sa voix de stentor. Parfois un peu effrayante, mais ambitieuse et volontaire. "Aujourd’hui, pour la Turquie, c’est le début d’une nouvelle ère, aujourd’hui, c’est le jour où la Turquie renaît de ses cendres pour devenir la nouvelle Turquie. […] Nous sommes tous les enfants d’un même ancêtre, d’une même culture, d’une même civilisation, d’une même histoire. Nos choix politiques peuvent diverger, nos styles de vie peuvent être différents, nos croyances, nos religions, nos confessions, nos valeurs, nos racines ethniques et nos langues peuvent ne pas être les mêmes."
Réconciliation, unité, donc, dans une nation très divisée : "Nous tous sommes les enfants de ce pays. Nous vivons tous à l’ombre de ce même drapeau frappé du croissant et de l’étoile. Chacun de nous est un peu le propriétaire de cet Etat. Avant d’être musulman, chrétien, israélite, assyrien ou yezidi, ce qui compte c’est d’être citoyen de Turquie. Avant d’être alévi ou sunnite, l’important, c’est la citoyenneté turque. Avant d’être turc, kurde, arabe, laze (habitant des régions qui bordent la mer Noire, ndlr), géorgien, bosnien, circassien, rom, avant d’être Arménien, ce qui importe, c’est la citoyenneté turque."
Le rite de la prière
Mais avant ce prêche, il n’aura donc fallu qu’un tour au premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, pour être élu ce dimanche 10 août président de la République, lors d’un scrutin disputé pour la première fois au suffrage universel direct. Il a obtenu 52,1% des voix, selon des résultats provisoires diffusés par les télévisions turques. Sitôt connus ces résultats, celui qui dirige de facto le pays depuis 2003 s’est rendu à la mosquée historique Eyüp Sultan d’Istanbul – lieu saint consacré à un compagnon et porte-étendard du Prophète, mort sous les murs de la ville en 670 – pour prier, comme le faisaient les sultans ottomans avant de monter sur le trône.
Le geste en dit long. "Erdogan, le nouveau sultan" : c’est le titre repris par Courrier international, qui traduit un article pour le moins critique de Hürriyet Daily News, fustigeant une campagne électorale qui "aura été l’une des plus vulgaires, irrespectueuses et haineuses que la Turquie ait jamais connues". Il faut aussi regarder à ce propos sur YouTube l’édifiant film d’animation de campagne (film muet) pour évaluer la propagande qui a convaincu les électeurs. Corruption et dérive autocratique
Dans les faits, Erdogan veut réaliser son rêve de maîtrise absolue sur la Turquie, même s’il est de plus en plus contesté. Dénoncé comme un "dictateur" par la rue pendant les émeutes de juin 2013 et considéré comme un "voleur" depuis sa mise en cause, l’hiver dernier, dans un scandale de corruption sans précédent qui a fait trembler son régime sur ses bases, il entend néanmoins renforcer les prérogatives exécutives du chef de l’Etat.
Le Figaro abonde, qui écrit que "l’homme fort d’Ankara n’a désormais presque plus aucun obstacle pour devenir encore plus fort". Il a déjà déclaré qu’il entendait mener "une présidence active, alors que la Constitution turque prévoit un régime parlementaire où le président de la République ne possède que des pouvoirs symboliques. Erdogan, lui, souhaite changer la Constitution pour passer à un système présidentiel. Il pourra "ainsi continuer à diriger le pays d’une main de fer, comme il le fait depuis quelques années, après avoir mis fin à la tutelle des militaires".
Un gouvernement à sa botte
"Au vu de l’écart entre les résultats des différents candidats, commente Radio France internationale, c’est une victoire franche et sans contestation, comme l’annonçaient les enquêtes d’opinion." Erdogan "a pleinement remporté son pari d’être largement élu, donc légitimé par le vote populaire. […] Ce résultat tourne indiscutablement une page de remous, de contestation et de doutes" pour le Parti de la justice et du développement (AKP).
Alors bien sûr, "Erdogan va maintenant installer un gouvernement à sa botte, modifier la Constitution pour instaurer le régime présidentiel ou semi-présidentiel, et avancer le scrutin législatif prévu normalement pour le printemps prochain, pour filer sereinement vers son prochain objectif".
Le symbole kémaliste
L’écrivain et politologue Ahmet Insel confirmait d’ailleurs dimanche soir dans le Forum radiophonique de RTS Info que le but ultime d’Erdogan était bien de rester au pouvoir jusqu’en 2023, après un deuxième mandat présidentiel de cinq ans. Il pourrait alors célébrer triomphalement – et paradoxalement – le centenaire de la révolution kémaliste : le 29 octobre 1923 était proclamée la République de Turquie, et Mustafa Kemal Atatürk aussitôt élu président, après l’abolition, une année plus tôt, du sultanat.
Mais pour l’heure, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine pense tout de même que tout n'est pas rose pour Erdogan, qui risque bien de voir la croissance du pays entravée par les guerres toutes proches en Syrie, en Irak et en Ukraine, trois de ses voisins.
Recep Tayyip Erdogan, nouveau sultan de la Turquie
C’est tout sauf une surprise, tant l’opposition était faible et l’élection jouée d’avance : Recep Tayyip Erdogan a remporté dès le premier tour de scrutin, dimanche 10 août, l’élection présidentielle disputée – une première en Turquie – au suffrage universel direct. M. Erdogan parachève, ainsi, une carrière politique jalonnée, depuis vingt ans, par d’incessants succès électoraux. Maire d’Istanbul en 1994, premier ministre depuis 2002, le voilà désormais président d’une république qu’il entend profondément remodeler. Cette ascension et cette longévité en font, déjà, l’un des responsables politiques les plus marquants de son pays. S’il parvient à rester au pouvoir jusqu’en 2023, il peut espérer rejoindre, dans l’Histoire, Mustafa Kemal Atatürk, le fondateur de la république en 1923.
LA CROISSANCE PLUS L'ISLAM
« Le communisme, c’est l’électricité plus les soviets », disait Lénine. La « nouvelle Turquie », que M. Erdogan appelle de ses vœux, c’est la croissance plus l’islam. Depuis 2002, le produit intérieur brut de la Turquie et le revenu par habitant ont pratiquement triplé. Quant à l’AKP (Parti de la justice et du développement), sur lequel il règne sans partage, c’est une formation islamo-conservatrice qui entend contrôler tous les rouages de la république et y remplacer l’ancienne laïcité kémaliste.
Enfin, le style Erdogan, tonitruant et populiste, est pour beaucoup dans ses succès. Il n’hésite jamais à lancer une provocation, à faire vibrer la corde patriotique ou religieuse : contre ses anciens alliés de la confrérie de Fethullah Gülen, devenus ses pires ennemis, contre les traîtres, contre les juifs, les Arméniens, les femmes ou les journalistes… Auprès de son électorat traditionnel, anatolien, conservateur, nationaliste et peu éduqué, ce type de harangue fait mouche.
Mais, pour consolider son emprise sur son pays, le nouveau président turc a préféré s’isoler plutôt que s’entourer. Au sein de l’AKP, les dissidents ont été écartés. Le cabinet restreint avec lequel il dirige est de plus en plus recroquevillé sur lui-même et agité par la hantise de complots. Depuis la révélation de retentissantes affaires de corruption en décembre 2013, il ne fait plus confiance qu’à ses propres enfants. Et encore.
POLARISATION DE LA SOCIÉTÉ
Ce mode de gouvernement et les positions radicales de M. Erdogan ont accentué la polarisation au sein de la société turque. Un peu plus d’un Turc sur deux lui accorde une confiance quasi aveugle. Pour ses opposants, il ramène le pays vers le passé, un gouvernement autoritaire et un régime policier dont la répression contre la révolte de la « place Taksim », au printemps 2013, a donné la mesure.
De fait, M. Erdogan ne s’adresse qu’à ces 20 millions de Turcs qui le suivent les yeux fermés. Depuis 2008, il s’est coupé de la Turquie libérale, urbaine et tournée vers l’Europe, qui l’avait initialement soutenu. « La démocratie, c’est comme le bus. On descend quand on arrive au terminus », avait-il déclaré dans les années 1990, à l’époque où il était maire d’Istanbul. Il n’a pas précisé depuis si l’élection présidentielle constituait justement ce terminus.
Le gouvernement aurait l'intention de proposé un projet de loi sur le service militaire. Chaque citoyen payant 20 000 livre turque (10 000$) sera exempté du service militaire. 800 000 personnes attendraient cette loi pour ne pas aller à l'armée. Les experts pensent que seul 500 000 personnes pourront bénéficier de cette loi, ce qui veut dire que l'Etat Turc pourra recevoir jusqu'à 10 milliards livre turque (5 milliards $).
Pour comparaison, les Turcs vivant à l'étranger payent 10 000 euros pour être exempté su service militaire.
charly Colonel-Major
messages : 2420 Inscrit le : 25/05/2011 Localisation : Aquitaine Nationalité : Médailles de mérite :
En gros les riches sont exemptés et les pauvres défendront le pays.
Très libérable comme réforme.
_________________ « Je voudrais que les Français renouent avec cette idée simple selon laquelle ce n’est pas seulement un territoire qu’il leur faut défendre (…) mais aussi une façon d’être, une langue, une civilisation. Bref, l’ensemble d’un patrimoine dont nous sommes les héritiers. Et s’ils venaient à oublier ou à refuser cette idée, alors je craindrais beaucoup pour l’avenir de mon pays », plaidait François Léotard, peu suspect de sympathie avec des idées extrêmes.
La Turquie prévoit d'augmenter les exportations alimentaires vers la Russie. C'est bon pour la Turquie sa, mais je sais pas pour combien de millions sa se chiffre les exportations
La Turquie prévoit d'augmenter les exportations alimentaires vers la Russie. C'est bon pour la Turquie sa, mais je sais pas pour combien de millions sa se chiffre les exportations
baybars qu'estce que vous n'avez pu vendre aux arabes??
L'agro-alimentaire, les pays Arabes ne produisent pas grand chose. L'Irak, la Syrie, la Libye et le Golfe sont de gros marchés pour l'industrie agro-alimentaire turque.
L'armée Turque a put détruire la statue d'un terroriste kurde tué par l'armée, martyrisé par les sympathisants du Pkk. Représenté comme la destruction d'une idole par les pro-Akp. Qui souhaitent aussi la destruction des autres idoles en Turquie (à comprendre celles de Mustafa Kemal).
Sinon, une nouvelle drogue synthétique fait des ravages en Turquie (pas encore connu en Europe et Maghreb), le Bonzaï.. +18
Hallucination, excitation, trouble névralgique, excitation sexuelle, coma, mort, etc.. Les effets sont catastrophiques sur les jeunes..
jf16 General de Division
messages : 41614 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Espionnage américain en Turquie : Ankara convoque le chargé d'affaires
Les autorités turques ont convoqué lundi le chargé d'affaires américain à Ankara à la suite d'informations de presse décrivant les activités d'espionnage menées par les Etats-Unis sur leur territoire, a rapporté lundi le porte-parole du gouvernement turc.
"Le nouvel ambassadeur américain n'est pas encore là mais son chargé d'affaires a été convoqué au ministère des Affaires étrangères pour explication", a annoncé le vice-Premier ministre Bülent Arinç à l'issue du conseil des ministres.
Dans son édition parue dimanche, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel a révélé que les services de renseignement américains et britanniques se livraient à une intense surveillance électronique du gouvernement turc, pourtant leur allié au sein de l'Otan. Selon le Spiegel, qui affirme avoir eu accès à des documents rendus publics par le lanceur d'alerte Edward Snowden, l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) espionne depuis 2006 les ordinateurs des plus hauts responsables turcs, afin de connaître les intentions de son dirigeant islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan.
A la tête du gouvernement depuis 2003, M. Erdogan a été élu président le 10 août et a entamé un premier mandat de cinq ans jeudi. La NSA "a placé la Turquie au même niveau que le Venezuela, et même à un niveau plus élevé que Cuba, en terme de priorité américaine en matière de recherche d'informations", écrit l'hebdomadaire allemand. "Nous allons évoquer cette question, qui préoccupe la Turquie, lorsque nous nous retrouverons avec les autres dirigeants" à l'occasion du sommet de l'Otan à Newport (Pays de Galles) prévu jeudi et vendredi, a indiqué lundi M. Erdogan.
Il y a deux semaines, le Spiegel avait publié un premier article affirmant que les services secrets allemands, eux aussi, surveillaient la Turquie. Le gouvernement turc avait alors convoqué l'ambassadeur de l'Allemagne en Turquie pour lui exprimer sa "préoccupation". Dans l'article publié lundi, le magazine allemand explique qu'en même temps qu'ils espionnent les autorités d'Ankara, les Etats-Unis sont aussi un de leurs principaux pourvoyeurs de renseignements dans la lutte contre les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Irak : La Turquie s’inquiète des livraisons d’armes aux combattants kurdesPosté dans Moyen-Orient par Laurent Lagneau Le 10-09-2014
inShare
Afin de leur apporter un soutien face aux jihadistes de l’État islamique (EI) qui menacent leur territoire, plusieurs pays occidentaux, dont la France, l’Allemagne et les États-Unis, ont livré – ou sont sur le point de le faire – des armes aux combattants kurdes irakiens (peshmergas). Le 9 septembre encore, Londres a annoncé l’envoi de mitrailleuses lourdes et de munitions pour un montant de 2 millions d’euros.
Seulement, ces livraisons d’armes sont suivies de près par Ankara. En effet, l’offensive de l’EI dans le nord de l’Irak a donné lieu à un élan de solidarité entre les différents mouvements kurdes, établis en Syrie (Parti de l’union démocratique – PYD), et en Turquie (Parti des travailleurs kurdes, PKK), au point de gommer leurs dissensions.
Depuis les années 1980, le PKK, classé comme terroriste par certains pays, dont les États-Unis, s’oppose à Ankara par les armes pour exiger davantage d’autonomie. En 2003, suite à la chute de Saddam Hussein, le Kurdistan irakien lui servit de base de repli face aux forces armées turques. Ces dernières y menèrent d’ailleurs plusieurs opérations pour y démanteler des camps du groupe rebelle.
Cela étant, depuis 2012, Ankara a entamé un dialogue avec les responsables du PKK afin d’arriver à un accord de paix. Mais les livraisons d’armes dont bénéficient les Kurdes irakiens pourraient changer le cours des choses. Du moins, c’est ce que craignent les autorités turques.
« Les armes qui vont là-bas (Irak) ne doivent pas tomber entre les mains des organisations terroristes », a mis en garde Mevlüt Cavusoglu, le ministre turc des Affaires étrangères, dans un entretien diffusé le 8 septembre par l’agence de presse gouvernementale Anatolie. « Nous avons exprimé notre sensibilité sur ce point (…) il sera difficile de contrôler la destination de toutes ces armes », a-t-il ajouté.
Étant donné son hostilité à l’égard du régime syrien de Bachar el-Assad, le gouvernement islamo-conservateur turc a été maintes fois accusé d’avoir soutenu des groupes radicaux contre les forces de Damas. Quitte même à leur livrer des armes. Ce qu’il a toujours nié. Mais il ne peut en revanche qu’admettre que des jihadistes étrangers rejoignent les rangs de l’EI en passant par son territoire…
Toutefois, et alors que l’EI retient en otages 49 de ses ressortissants depuis la prise de Mossoul en juin, la Turquie devrait participer à la coalition internationale que Washington cherche à former pour chasser les jihadistes du nord de l’Irak.
_________________ « Je voudrais que les Français renouent avec cette idée simple selon laquelle ce n’est pas seulement un territoire qu’il leur faut défendre (…) mais aussi une façon d’être, une langue, une civilisation. Bref, l’ensemble d’un patrimoine dont nous sommes les héritiers. Et s’ils venaient à oublier ou à refuser cette idée, alors je craindrais beaucoup pour l’avenir de mon pays », plaidait François Léotard, peu suspect de sympathie avec des idées extrêmes.
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
On saura apres le discours d'Obama dans 15 minute,ce qui deviendra de la turquie d'erdogan,mais une chose est sure ils vont payer pour le support des terros avec leurs banques comme pipeline pour les sauds et qatari.
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Le Parlement turc a adopté lundi une réforme qui permet à l’autorité des télécoms de bloquer tout site pour des questions “de sécurité nationale” et “de restauration de l’ordre public”. L’autorité pourra désormais accéder à l’historique de navigation d’un internaute sans l’aval d’un tribunal.
Moi sa me choque pas ce genre d'info car personne n est parfait que ce soit la turquie ou les sois disantes "democratie occidentale" . Pourquoi on serait choqué que la turquie fasse sa et quand la NSA a espionne le monde entier du simple citoyen americain aux president d'etat souverain ( peut etre meme notre propre Roi..) en passant pas des entreprises etrangere concurrentes de leur consoeurs US et tout ceci sans l'aval de personne aucune institutions democratique et au nom de la securite nationale , tout le monde a trouve sa plutot normal parce que ce sont les USA ... je suis desole soit on met tout le monde sur le meme pied d'estale soit tout le monde fait ce qu il veux sans rendre de compte a personne ,s'ofusquer a geometrie variable c'est hypocrite . Dans le monde tout le monde espionne tout le monde , au point que les Chinois sont en train de developper leur propre systeme d'exploitation car les USA les avait infiltre via Microsoft et leurs systeme d exploitation , et ils ont bien raison . Je n'ai rien contre ces pays la comme les USA , GB etc etc ce sont des pays que j'admire le probleme ne se trouve pas la , mais faut aretter d'etre sous leur epee de damocles "democratique" grace a laquelle il t'impose ce qu il veulent et quand il veulent alors que eux ne rendent de compte a personne quand ils font pire que toi ! Par exemple l'approche des BRIC qui dernierement ont decide de constituer leur propre fond monetaire je dit Bravo justement parce que le FMI est un organisme qui est louche et sa leur permettra d'avoir une plus grande independance vis a vis des US . Ce complexe d'inferiorite des pays du Sud doit etre brisé il n'a plus lieu d'etre
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Erdogan peut faire de son peuple ce qu'il veut, tant qu'ils en sont heureux. Mon problème c'est de me passer Erdogan pour un dieu.
La difference entre les exemples que tu donne (Far Soldier) c'est qu'en USA ou en Europe, si on découvre que ton gouvernement t'espionne, tu as le droit de le poursuivre en justice, mais là, Erdogan, il veut t'espionner et tu n'a rien à dire car c'est légal.
Les USA, l'Europe.... espionnent l'étranger, pour leur sécurité nationale et non pas leur propre citoyens. Ce ci dis, je ne défends personne, chacun cherche son intérêt pas plus.
arsenik General de Division
messages : 4636 Inscrit le : 19/05/2012 Localisation : juste a coté Nationalité : Médailles de mérite :
Erdogan peut faire de son peuple ce qu'il veut, tant qu'ils en sont heureux. Mon problème c'est de me passer Erdogan pour un dieu.
La difference entre les exemples que tu donne (Far Soldier) c'est qu'en USA ou en Europe, si on découvre que ton gouvernement t'espionne, tu as le droit de le poursuivre en justice, mais là, Erdogan, il veut t'espionner et tu n'a rien à dire car c'est légal.
Les USA, l'Europe.... espionnent l'étranger, pour leur sécurité nationale et non pas leur propre citoyens. Ce ci dis, je ne défends personne, chacun cherche son intérêt pas plus.
Les usa et l'europe espionne leurs propres peuples c'est une évidence et pas que pour la sécurité national
en ce qui concerne l'attaque en justice oui c'est vrai qu'il y a un droit mais il est quasiment sans conséquence pour l'état de plus comme savoir que l'on est espionné ?
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Oui arsenik certainement, l'occident espionne ses citoyens, faut pas être naif non plus.
Mais, si on est espionné en occident, c'est un scandale mais là Erdogan, veut légaliser l'espionnage.
Comment savoir qu'on est espionné? c'est pas du tout facile, faut plutot se protéger, utiliser des programmes comme le Hotspotshield et autres programmes de changement d'IP. Mais on peut quand même savoir si quelqu'un s'est introduit à votre compte email, c'est possible de consulter son "Login Activity" sur Gmail et Yahoo...
arsenik General de Division
messages : 4636 Inscrit le : 19/05/2012 Localisation : juste a coté Nationalité : Médailles de mérite :
Oui arsenik certainement, l'occident espionne ses citoyens, faut pas être naif non plus.
Mais, si on est espionné en occident, c'est un scandale mais là Erdogan, veut légaliser l'espionnage.
Comment savoir qu'on est espionné? c'est pas du tout facile, faut plutot se protéger, utiliser des programmes comme le Hotspotshield et autres programmes de changement d'IP. Mais on peut quand même savoir si quelqu'un s'est introduit à votre compte email, c'est possible de consulter son "Login Activity" sur Gmail et Yahoo...
je vais te dire quelque chose j'ai quelques diplome en informatique et des vrai pro j'en ai vu et je peux te dire quand tu est surveillé par un vrai crack et avec le matérielle qu'ils ont , a moin que tu sois un crack toi aussi tu sens rien passé comme une lettre a la post hotspotshield ou pas
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Oui arsenik certainement, l'occident espionne ses citoyens, faut pas être naif non plus.
Mais, si on est espionné en occident, c'est un scandale mais là Erdogan, veut légaliser l'espionnage.
Comment savoir qu'on est espionné? c'est pas du tout facile, faut plutot se protéger, utiliser des programmes comme le Hotspotshield et autres programmes de changement d'IP. Mais on peut quand même savoir si quelqu'un s'est introduit à votre compte email, c'est possible de consulter son "Login Activity" sur Gmail et Yahoo...
La Turquie doit espionner lorsque la sécurité nationale est en jeu. Les pays Occidentaux ont déjà légaliser l'espionnage de leur propre citoyen (Patriotic Act, NSL, FSSTITPA, Oracle, Privacy Act, etc...).
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Ce n'est as une bonne nouvelle en général, mais y'a pas de raison de critiquer la Turquie plus que les donneurs de leçon occidentaux, je rappelle que le chef hiérarchique de la NSA est un détenteur du prix Nobel de la paix , donc qu'Erdogan se définisse comme démocrate ça ne me choque pas plus que ca, au moins lui il a conduit son pays vers le progrès économique, pas comme d'autre clown (suivez mon regard )