Armée Indienne / Indian Armed Forces

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L'Inde veut cesser d'être le premier importateur mondial d'armement

L'inde de veut cesser d'être le premier importateur mondial d'armement et porter d'ici cinq ans à 70% la part de son équipement militaire produite sur son sol, a indiqué mercredi le Premier ministre indien Narendra Modi lors du salon aéronautique et de défense de Bangalore.

Le Premier ministre, qui a promis de relancer l'investissement, en particulier grâce à sa campagne "Make in India", a assuré que son gouvernement favoriserait les fournisseurs produisant en Inde lorsqu'il s'agira d'octroyer des contrats militaires.

"Nous avons la réputation d'être le premier importateur d'équipement militaire au monde", a-t-il dit à l'occasion du salon Aero India qui se tient tous les deux ans à Bangalore.

"C'est peut-être une musique qui est familière à certains d'entre vous présents ici. Mais c'est un domaine dans lequel nous aimerions ne pas être numéro un", a-t-il ajouté.

"Nous réformons notre politique d'approvisionnement en matériel de défense et allons accorder une préférence nette au matériel fabriqué en Inde", a dit Modi devant des centaines d'industriels indiens et étrangers.

L'Inde exprime depuis des décennies sa volonté de réduire sa dépendance envers l'industrie de défense étrangère mais n'y est pas parvenue, le pays devant en outre faire face à un équipement en voie d'obsolescence.

Depuis son arrivée au pouvoir en mai, le gouvernement de Modi a relevé à 49% la participation que peut détenir un investisseur étranger dans un groupe de défense en Inde.

Le Premier ministre a indiqué vouloir porter de 40% actuellement à 70% d'ici 2020 la production d'équipement matériel produite sur son sol.

"Une nation disposant d'une forte industrie de défense ne sera pas uniquement plus sûre. Elle en retirera également d'importants bénéfices économiques", a dit Modi.

"Environ 60% de notre matériel de défense continue d'être importé et nous dépensons des dizaines de milliards de dollars dans des acquisitions à l'étranger", a-t-il poursuivi.

"Certaines études montrent qu'une réduction de 20% à 25% de nos importations pourrait créer directement 100.000 à 120.000 emplois hautement qualifiés en Inde".

Le salon de Bangalore réunit des centaines de groupes de la défense et de l'aéronautique pendant cinq jours, notamment Dassault, Airbus ou Boeing.

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02 July 2020

Indian MoD approves acquisition of 33 Russian fighter aircraft

by Rahul Bedi


India’s Ministry of Defence (MoD) has approved the INR181.48 billion (USD2.43 billion) procurement of 21 Mikoyan MiG-29 and 12 Sukhoi Su-30MKI fighter aircraft for the Indian Air Force (IAF) amid heightened tensions between India and China over a border dispute along the Line of Actual Control (LoAC) in the Himalayas.

In a 2 July statement the MoD said the Defence Acquisition Council (DAC), which is headed by Defence Minister Rajnath Singh, cleared the acquisition of 21 upgraded, second-hand MiG-29s from Russia for INR74.18 billion and of 12 licence-built Su-30MKIs for INR 107.3 billion.

The 21 platforms will supplement 59 MiG-29s inducted into the IAF from 1986 that are being upgraded to MiG-29M standard.

The 12 additional Su-30MKIs will be acquired to replace an equal number of aircraft lost in accidents over the years. These fighters will be licence-built by Hindustan Aeronautics Limited (HAL). Officials said that HAL, which by March 2021 will have completed the last of 222 licence-built Su-30MKIs as part of the IAF’s fleet of 272 of the type, had been eager for additional orders to keep its assembly lines active.


Four IAF Su-30MKI fighters flying in formation. The Indian MoD has approved the acquisition of an additional 12 licence-built Su-30 MKI and 21
second-hand MiG-29 fighter aircraft amid tensions between India and China over a border dispute in the Himalayas. (Irkut)

IAF sources said the additional aircraft will boost the service’s depleting fighter squadron numbers, which had dropped from a sanctioned strength of 42 to 28 squadrons.

https://www.janes.com/defence-news/news-detail/indian-mod-approves-acquisition-of-33-russian-fighter-aircraft

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Des Rafale décollent de Mérignac pour rejoindre l’armée indienne

Cinq avions de chasse Rafale arborant les couleurs du drapeau indien ont décollé de Mérignac ce lundi 27 juillet. Ce sont les tout premiers aéronefs livrés à l’Inde par Dassault Aviation dans le cadre d’une commande totale de 36 appareils. Ces avions militaires effectueront un trajet de plus de 6.500 kilomètres pour rejoindre la base aérienne d'Ambala, dans le nord du pays, à environ 200 kilomètres des frontières pakistanaise et chinoise. Les appareils, qui feront partie de l’escadron “Golden Arrows”, seront très vite opérationnels pour le combat, Une nécessité pour l’Inde alors que les tensions s’intensifient depuis un incident survenu avec la Chine, dans le nord de son territoire, au Ladakh.

Avant d’effectuer ce long voyage, les pilotes et mécaniciens indiens ont reçu un entraînement complet délivré par Dassault avec la participation de l’armée de l’air française. Pour effectuer ce long trajet vers le sous-continent indien, les Rafales seront ravitaillés plusieurs fois en vol avec le soutien logistique de l’armée de l’air française.

Une coordination entre les deux forces militaires que salue Éric Trappier, le PDG de Dassault Aviation. “Je suis extrêmement impressionné par l’incroyable efficacité et la détermination sans faille dont ont fait preuve l’armée de l’air indienne et le ministère Indien de la Défense”, a-t-il affirmé avant l’envol des cinq Rafales depuis le site de Mérignac. L’homme d’affaires a également souligné la rapidité d’apprentissage des pilotes et mécaniciens indiens “pour s’approprier rapidement les différents aspects du Rafale, afin de conforter la souveraineté de l’Inde”.

Pour Dassault, ce premier convoyage témoigne du bon déroulement du programme et du respect du calendrier des livraisons, en dépit de la pandémie de la covid-19. Il initie l’entrée en service du Rafale dans l’armée de l'air indienne.

https://fr.yahoo.com/news/rafale-d%C3%A9collent-m%C3%A9rignac-rejoindre-l-153148055.html

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India Likely to Order 2 More Israeli Phalcon AEW&C Aircraft
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 08:47 AM, August 27, 2020


Ilyushin Il-76 plane mounted with IAI ELW-2090 AEW&C system

India’s fleet of Phalcon Airborne Early Warning and Control (AEW&C) aircraft could increase to five from three, with New Delhi preparing to ink $1 billion-worth contracts with both Israel and Russia.

The Cabinet Committee on Security (CCS) is expected to give the green-light after extensive inter-ministerial consultations, sources told Times of India Wednesday.

Israel Aerospace Industries (IAI)-built Phalcon early-warning radar systems will be mounted on Russian Ilyushin-76 A-50 heavy-lift aircraft. The AEW&C, in a nutshell, gives early warning of incoming hostile aircraft and missiles.

While the radar systems come with a price tag of $1 billion, the aircraft will cost another billion dollars. Delivery of the planes will be completed in three years from the date of signing of the contract.



India already has three of these aircraft it bought in 2004, besides two indigenous “Netra” mini-AEW&C planes (Embraer-145) with a 250km range, in its roster. Indigenous DRDO system is equipped with a 240-degree coverage radar. In contrast, Phalcons provide 360-degree coverage over a 400km range.

Under the tri-partite 2004 agreement between Israel, India and Russia; Israel and India signed a $1.1 billion deal for three IAI AEW&C radar systems, each of which was worth approximately $350 million. Another contract worth $500 million was signed with Russia’s Ilyushin for three Il-76 A-50s.

India’s neighbour China has around 30 such systems including Kong Jing-2000 “Mainring,” KJ-200 “Moth” and KJ-500 aircraft. Pakistan has eight Chinese-made Karakoram Eagle ZDK-03 and Swedish Saab-2000 AEW&C planes and is on course to get more from China.

https://www.defenseworld.net/news/27734/India_Likely_to_Order_2_More_Israeli_Phalcon_AEW_C_Aircraft#.X0f1LaYw_IV

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09 September 2020

Indian Army seeks to upgrade more than 800 BMP-2/2K ICVs

by Samuel Cranny-Evans


The Indian Army (IA) has invited expressions of interest (EoIs) from local vendors by 16 October regarding the planned upgrade of 811 of its licence-built BMP-2/2K ‘Sarath’ infantry combat vehicles (ICVs).

The IA said on 4 September that it requires potential vendors to develop a BMP-2/2K prototype fitted with third-generation, thermal imager-based gunner and panoramic commander sights, a modern fire-control system, and an automatic target tracker.


The IA has invited EoIs from local vendors by 16 October regarding the planned upgrade of 811 of its BMP-2/2K ‘Sarath’ ICVs
(similar to this one). (V K Singh/Indian MoD)

The service noted that the upgrades will be carried out under the Ministry of Defence’s (MoD’s) Defence Procurement Procedure-2016, and indicated that all the add-ons will be required to feature at least 40% indigenous content.

Each of the shortlisted vendors, which the IA referred to as “development agencies “(DAs), will eventually be provided with one BMP-2/2K to integrate their respective systems. Industry officials said the prototypes are likely to undergo trials some 24 months after the DAs are selected.

In a rare admission the IA said that its BMP-2/2Ks have been “night blind” and that their sighting systems, which are based on image intensification technology, are “not fit for modern day warfare”.

Moreover, it said that the lack of modernised fire-control and automatic tracker systems have “adversely affected” the platform’s day and night-fighting capabilities.

https://www.janes.com/defence-news/news-detail/indian-army-seeks-to-upgrade-more-than-800-bmp-22k-icvs

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Inde : Une femme pilote a été désignée pour prendre les commandes d’un Rafale

par Laurent Lagneau · 23 septembre 2020



En 2012, alors douzième française à être brevetée pilote de chasse à l’issue d’un cursus ayant débuté sept ans plus tôt par sa réussite au concours d’entrée à l’École de l’Air, Mme le commandant Claire Mérouze devint la première femme à prendre les commandes d’un Rafale. Depuis, elle a été suivie par Mme le capitaine Caroline, dont l’État-major des armées [EMA] a fait le portrait en 2019.

En Inde, où l’Indian Air Force [IAF] a officiellement mis en service les cinq premiers Rafale du Squadron n°17 « Golden Arrows », le 10 septembre dernier, sur la base aérienne d’Ambala, une femme a d’ores et déjà été désignée pour marcher dans les pas du commandant Mérouze.

En effet, selon la presse indienne, la première femme de l’IAF à avoir piloté un MiG-21 « Bison », le lieutenant Avani Chaturvedi, vient d’être affectée au Squadron n°17. Ce qui signifie qu’elle deviendra la première Indienne à prendre les commandes d’un Rafale.

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Citation :

#TouchTheSkyWithGlory : Fg Offr Avani Chaturvedi became the first Indian Woman to fly a fighter aircraft solo, when on 19 Feb 18 she flew a MiG-21 Bison aircraft in her first solo flight. The photo attached has been taken after her solo sortie. pic.twitter.com/nHWe4sgSmi

— Indian Air Force (@IAF_MCC) February 22, 2018

« Elle a été choisie pour piloter des avions Rafale suite à un processus de sélection rigoureux. Elle est actuellement en formation », a confié une source à NDTV.

Le lieutenant Avani Chaturvedi a été l’une des trois premières femmes indienne à entamer une formation de pilote de chasse, en 2016. Une « révolution » à l’époque étant donné que, jusqu’alors, les forces indiennes s’étaient longtemps opposées à l’idée de permettre à des femmes de combattre en première ligne. « Cela inaugure un nouveau chapitre pour les forces de défense », avait commenté, à l’époque, le quotidien Times of India. Depuis, sept autres pilotes féminins ont rejoint les rangs de l’IAF.

Née en octobre 1993, Avani Chaturvedi s’est engagée après avoir fait des études de technologie à l’Université de Banasthali. À l’issue de sa formation, elle a été affectée au No. 23 Squadron Panthers, au sein duquel elle a effectué son premier vol en solo à bord d’un MiG-21 en 2018.

L’IAF a besoin d’environ 4.230 pilotes. Or, actuellement, elle peine à tenir cet objectif car il en lui manquerait 300, si l’on en croit les chiffres donnés par la la presse indienne. Aussi, autoriser les femmes à devenir pilote de combat, au terme d’une formation aussi exigeantes que pour les hommes, est un moyen d’élargir de vivier de recrutement. Et sans doute que l’exemple du lieutenant Avani Chaturvedi suscitera de nouvelles vocations.

Photo : Indian Air Force

http://www.opex360.com/2020/09/23/inde-une-femme-pilote-a-ete-designee-pour-prendre-les-commandes-dun-rafale/

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Rafale: Vers un nouveau contrat en Inde ?


 06/10/2020 16:32 | Yannick Genty-Boudry

Rafale: Vers un nouveau contrat en Inde ?


L'Indian Air Force étudie la possibilité d'acquérir deux escadrons de Dassault Rafale supplémentaires.


Inde: 36 Rafale de plus ?

Lors de sa conférence de presse annuelle du lundi 4 octobre, l'Air Chief Marshal Bhadauria a déclaré que l'Indian Air Force étudiait la possibilité de commander 2 escadrons supplémentaires d'avions de combat Dassault Rafale. Même si pour le moment la priorité serait consacrée à l'acquisition des 83 LCA MK1A nationaux, Bhadauria a indiqué que dans un second temps l'Indian Air Force devra se prononcer soit vers la poursuite du programme MRFA (Multi-Role Fighter Aircraft) qui oppose plusieurs compétiteurs pour la livraison de 114 avions de combat, soit vers l'acquisition en gré à gré de 36 Rafale supplémentaires.

Choix politique

Mais même dans l'hypothèse de la poursuite de MRFA, le Rafale resterait le grand favori. Non seulement pour des raisons opérationnelles, puisqu'en en 2023 les 36 Rafale acquis par Delhi en 2016 seront totalement déployés au sein de l'IAF, mais surtout financières. Les prochains appareils proposés seront en effet moins coûteux que lors de la première acquisition dans la mesure où en 2016 l'IAF avait exigé des modifications lourdes de l'appareil, nécessitant une enveloppe de 1,7 Geur pour mener à bien les travaux de R&D, d'intégration, et de certification associés. Aussi, il est fortement probable que les aviateurs indiens cherchent à capitaliser sur cet investissement.

Menace nucléaire

En outre, en cas d'urgence opérationnelle le gouvernement indien recourt fréquemment aux acquisitions en gré à gré, et surtout lorsqu'il s'agit d'appareils déjà déployés dans les forces et construits localement. Un scénario qui s'est encore reproduit l'été dernier avec l'acquisition auprès des russes de 12 SU-30 MKI et de 21 Mig-29 d'occasion. Or une nouvelle menace inquiète particulièrement le gouvernement indien depuis quelques semaines. En raison des tensions dans l'Himalaya, Pékin a récemment déployé sur la base de Kachgar située à 625 km de Leh, la capitale du Ladakh indien, 6 bombardiers lourds H-6 de nouvelle génération capables de délivrer à distance de sécurité des missiles de croisière KD-20, mais aussi prochainement des missiles balistiques à charge nucléaire. Cette capacité qui menace déjà une grande partie des centres stratégiques indiens, n'en est pourtant qu'à ses prémisses puisque la Chine est en train de reconstituer, précisément au travers de ces bombardiers, une triade nucléaire. Une triade sans commune mesure avec ce dont elle disposait lors de la guerre froide. Or de tous les avions en compétition sur le marché indien, seul le Rafale a depuis son origine été spécifié pour répondre à un tel défi.

https://www.air-cosmos.com/article/rafale-vers-un-nouveau-contrat-en-inde-23701

The 100km range missile has midcourse guidance via a Passive Homing Head(X-Band) and terminal guidance via a MMW seeker. It is powered by a dual pulse solid rocket motor similar to the IN LRSAM currently in service and the Astra Mk-2 in development. pic.twitter.com/fMgjOKqJMM

— Delhi Defence Review (@delhidefence) October 9, 2020

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L'Inde accueille des manoeuvres navales, un oeil sur la Chine


New Delhi, 3 nov 2020 (AFP) -

L'Inde, le Japon, les Etats-Unis et, pour la première fois, l'Australie ont entamé mardi d'importantes manoeuvres navales communes dans le golfe du Bengale, l'oeil fixé sur la Chine dont la puissance militaire croissante inquiète ces quatre pays.

Ces manoeuvres se déroulent alors que l'Inde, engagée dans une épreuve de force à sa frontière himalayenne avec la Chine, cherche à renforcer ses soutiens internationaux, en particulier au sein du Quad (Quadrilateral security dialogue, Groupe quadrilatéral de coordination de défense).

Ce groupement stratégique informel, initié en 2007, a été relancé en 2017 pour contrer l'influence chinoise, et en particulier celle de la marine chinoise dans laquelle Pékin a beaucoup investi ces dernières années pour la moderniser.

Les manoeuvres navales qui ont débuté mardi ont pour nom de code "Malabar" et comporteront des exercices de défense anti-aérienne et anti-sous-marins. Elles sont prévues trois jours durant dans le golfe du Bengale, avec une deuxième étape en mer d'Arabie.

Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a multiplié la semaine dernière lors d'une tournée dans cinq pays d'Asie (Inde, Sri Lanka, Maldives, Indonésie, Vietnam) les mises en garde et les accusations contre la Chine.

En Inde, M. Pompeo a dénoncé "l'agression croissante" et les "activités déstabilisatrices" de la Chine. Un affrontement meurtrier, le premier en 45 ans, a opposé en juin l'Inde et la Chine à leur frontière contestée au Ladakh (nord de l'Inde), faisant 20 morts côté indien et un nombre inconnu de victimes dans les rangs chinois.

L'Australie, dont les relations avec la Chine sont également tendues, participe pour la première fois à ces manoeuvres qui visent, a déclaré fin octobre la ministre australienne de la Défense Linda Reynolds, à "démontrer notre détermination commune à soutenir une région indo-pacifique ouverte et prospère".

Ces exercices "démontreront le haut niveau de synergie et de coordination entre marines amies, fondé sur leurs valeurs partagées", selon la marine indienne.

Les Etats-Unis ont envoyé le destroyer USS John S. McCain, qui a repris du service cette année trois ans après être entré en collision avec un pétrolier au large de Singapour, tuant 10 marins et en blessant cinq autres.

En raison de la pandémie de coronavirus, aucun contact humain n'est prévu entre les navires en mer, a précisé la marine indienne dans un communiqué.

https://www.marine-oceans.com/actualites/21181-l-inde-accueille-des-manoeuvres-navales-un-oeil-sur-la-chine

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 Indian Navy launches its fifth Scorpene-Class submarine INS Vagir

Naval News November 2020 Navy Forces Maritime Defense Industry
Posted On  Thursday, 12 November 2020 10:20  


According to a press release published on November 12, 2020, on November 12th 2020, INS Vagir was launched by Smt Vijaya Shripad Naik, wife of Shri Shripad Naik, Hon’ble Raksha Rajya Mantri. INS Vagir is the fifth P75 Scorpene submarine entirely built by the Indian shipyard Mazagon Dock Shipbuilders Limited (MDL) based on years of technology transfer and partnership with Naval Group
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INS Vagir Scorpene-class submarine of the Indian Navy was launched on November 12, 2020. (Picture source Naval Group)


After recent commissioning of INS Khanderi in September 2019 and the launch of the INS Vela in May 2019, the Vagir, the fifth of the series of six Kalvari-class submarines ordered by India in 2005, to be launched.

This event highlights the success of the indigenous submarines construction program of the Government of India. These submarines have been completely built by Mazagon Dock Shipbuilders Limited (MDL) through a transfer of technology from Naval Group, in line with Indian Government’s “Make in India” policy. This series of six submarines are fitted with a number of equipment, built in India by qualified and highly trained industrial Micro, Small and Medium enterprises (MSMEs) which form the sound base of the Indian submarine building ecosystem.

“Naval Group is proud to be part of first of its kind P75 Kalvari program to deliver entirely ”Made in India” submarines to the Indian Navy. The P75 program is a major element of the strategic Indo-French partnership developed over the last decades. This launch, amidst Covid-19 challenges, represents a new milestone for this unique industrial program and illustrates the Aatmanirbharta (self-reliance) of Indian Navy and industry”, mentioned Alain Guillou, Senior EVP - International Development at Naval Group.

The Scorpène-class submarines are a class of diesel-electric attack submarines jointly developed by the French Company Naval Group (formerly DCNS) and the Spanish company Navantia. The Scorpène class of submarines has four subtypes including the CM-2000 conventional diesel-electric version, the AM-2000 air-independent propulsion (AIP) derivative, the downsized CA-2000 coastal submarine, and the enlarged S-BR for the Brazilian Navy, without AIP. The Scorpéne-class submarines are in service with Chile, Malaysia, India and Brazil. Over fourteen Scorpène submarines were sold by Naval Group internationally.

Citing Forecast International, The Scorpène hull design traces its lineage to the proposed diesel-electric version of the nuclear-powered Amethyste-class attack submarines. This design has been downsized to eliminate the size penalties that are automatically associated with nuclear power. The hull form itself is a derivative of the hydro-dynamically efficient Albacore design, with an extended parallel mid-ships section and rounded bow. The stern form is elongated and features fin-mounted hydroplanes and "+" shaped tailplanes.

Internally, the layout is very conventional, with two decks. The accommodations are on the upper deck, with the ship's diesel and batteries situated on the lower deck. The torpedo tubes are forward, firing out through the bow, with the sonar arrays in the chin position under the tubes. The ship has accommodations for 31 men, with a standard watch team of nine. The control room and the living quarters are mounted on an elastically supported and acoustically isolated floating platform. All living and operational areas are air-conditioned. The submarine also has space for six additional fold-down bunks for a special operations crew.

The Scorpène -class submarine has two diesel generation sets providing 1,250kW of power. At the top of the hull immediately above the diesel generator sets is a Dutch Breach machinery shipping hatch. The submarine has an elastically supported 2,900kW electronic engine.

The Scorpène submarine can carry 18 torpedoes and missiles or 30 mines. It is equipped with six bow-located 21in torpedo tubes providing salvo launch capability. Positive discharge launching is by an air turbine pump. It can launch anti-ship and anti-submarine torpedoes, as well as anti-surface missiles. The handling and loading of weapons are automated.

https://www.navyrecognition.com/index.php/news/defence-news/2020/november/9259-indian-navy-launches-its-fifth-scorpen-class-submarine-ins-vagir.html

Zone Militaire a écrit:

Depuis 2018, la marine indienne a perdu près de 9% de sa flotte de chasseurs embarqués MiG-29K/KUB

Le 26 novembre, en fin d’après-midi, un chasseur embarqué de type MiG-29 KUB de l’Indian Navy s’est abîmé en mer d’Oman, au large de la côte de Goa, alors qu’il regagnait le porte-avions INS Vikramaditya. Si l’un des deux pilotes a pu être récupéré, les recherches sont toujours en cours pour tenter de retrouver le commandant Nishant Singh. Un avion de patrouille maritime P8I Poseidon ainsi qu’un C-130J Hercules sont venus prêter main forte aux moyens déjà déployés sur place.

Cet accident est survenu quelques jours après que l’INS Vikramaditya a participé la seconde phase de la 24e édition de l’exercice Malabar, lequel a impliqué un groupe aéronaval américain formé autour du porte-avions USS Nimitz ainsi que des unités des forces navales australiennes et japonaises.

Quoi qu’il en soit, cet accident est le troisième d’un MiG-29K/KUB de la marine indienne en un an. En février, un appareil de ce type s’était abîmé au large de Goa. Le pilote avait pu s’éjecter alors que l’avion avait pris feu. Et, le 16 novembre 2019, un autre s’était écrasé peu après avoir décollé de la base aéronavale INS Hansa, avec un moteur éteint et un autre en feu. Une collision avec un volatile avait été avancée pour expliquer la perte de ce denrier.

Au total, l’Indian Navy a perdu quatre MiG-29K/KUB sur les 45 qu’elle a reçus. Le premier accident s’est produit en janvier 2018, quand un appareil de ce type s’est écrasé sur la base INS Hansa après avoir dévié de la piste.

En clair, la marine indienne a perdu près de 9% de sa flotte de MiG-29 en presque trois ans. Pour rappel, l’Inde avait commandé un promier lot de 16 appareils auprès de la Russie en 2004. Puis 29 autres exemplaires ont été acquis six ans plus tard. Le tout pour un montant de 2,2 milliards de dollars. Le 45e et dernier avion a été livré en février 2017.

Cela étant, ces MiG-29K/KUB ont jusqu’à présent causé beaucoup de soucis à l’Indian Navy depuis leur entrée en service. En 2016, un rapport du « Comptroller and Auditor General » [CAG, l’équivalent indien de la Cour des comptes] avait déploré leur faible disponibilité, due à ubne myriades de problème concernant les moteurs, les cellules et les commandes de vol électriques.

« Les causes de ces problèmes [MiG-29K] viennent du très mauvais contrôle de la qualité dans le complexe militaro-industriel russe et le soutien lamentable rendu de l’industrie russe à la marine indienne », avait alors commenté l’amiral Arun Prakash, un ancien chef d’état-major de la marine indienne.

Reste que l’Inde n’avait que deux options pour équiper son aéronavale, en raison de la configuration STOBAR de ses porte-avions [plan incliné et brins d’arrêt] : le Su-33 et le MiG-29K.

Mais ce sera différent à l’avenir, avec l’appel d’offres « Multi Role Carrier Borne Fighters » [MBCBF], qui prévoit l’acquisition de 57 chasseurs-bombardiers embarqués pouvant opérer à la fois sur les porte-avions STOBAR ainsi que sur celui en configuration CATOBAR [catapulte et brins d’arrêt] qu’espère l’Indian Navy. Le Rafale M et le F/A-18E Super Hornet sont notamment en lice.

The EurAsian Times a écrit:

India Falls Back On European Fighter Jets To Counter Rising Menace Of Chinese Swarm Drones

To counter Chinese air defenses in Ladakh and other bordering areas, India has decided to fast-track its swarm drone system, similar to the ones deployed by the rival country on the other side of the border, Indian media reports.  

The development of the air-launched swarm ​drone ​system is being accelerated to reduce the vulnerability of the Indian fighter jets to ground-based air defenses, The Economic Times said.  

Indian defense companies are reportedly contemplating using the Indian Air Force’s (IAF) Jaguar land-attack fighter to launch up to 24 killer drones to take down individual targets inside enemy territory, the report added. The country’s artificial intelligence agency has been tasked to develop AI capabilities for the drones for target acquisition.



Although ​India has been quickening the pace towards developing indigenously built autonomous systems for many years now, the recent developments on the border with China have pushed the armed forces to remain prepared for all eventualities.

China’s Advanced Weaponry

China has deployed advanced weaponry, which includes tanks, helicopters, and high-tech drones, in Ladakh, ​especially the S-400, ​which is said to give the country the advantage in high-altitude conflicts, should they arise.

The state-owned Global Times had recently reported that since the Doklam standoff with India in 2017, the Chinese military had expanded its drone deployments such as GJ-2, which should give it an ​edge over India.

Being the biggest manufacturer and exporters of UAVs, China’s widely used UAV, the GJ-2 strike model is an 11-meter long medium-altitude long-endurance (MALE) drone with a payload of 480kg.

It can carry up to 12 missiles or bombs, has a top speed of 380km/hour, a cruising speed of 200km/hour, and a service ceiling of 9,000 meters. The country is said to have recently sold 48 of these attack drones to Pakistan under the export brand name, Wing Loong II.


China’s Wing Loong 2 UAV

However, the new initiative by India is to use drone swarms to destroy the enemy’s air defenses before they could pose any threat to the fighter aircraft. The UAVs are both cheap and hard to detect, compared to fighter jets, an advantage that is now being recognized worldwide by many countries.

The project, to be undertaken by the IAF, involves two startups and the state-owned Hindustan Aeronautics Limited (HAL). It is set to take four years for the country’s armed forces to finally get hold of the swarm drone systems and involves the development of four individual systems, which are already being designed, as per the report.

The plan envisages using the Jaguar land attack aircraft as the mothership, which will release the four pods, each carrying six hunter-killer drones launched towards the target. The aircraft is being modified to allow for such an arrangement to take place. Each of the individual drones will then proceed to the target autonomously while the aircraft stays out of the range of the enemy air defenses.  

Also being designed is the very high altitude, long-endurance (VHALE) unmanned aircraft, which will not only monitor the system itself but keep an eye on adversary positions while staying at dizzying heights of 70,000 feet.

Not much is known about India’s VHALE development, although at least 20 companies had demonstrated their capabilities to develop such systems last year, which the IAF wants to use mainly for human assistance and disaster relief (HADR) and real-time intelligence-gathering purposes, but may weaponize them as well.

India’s worries increased when China deployed its Russian-acquired S-400 air defense system in Aksai Chin, the area where the two countries are locked in a conflict for months now.

This could severely hamper India’s air penetration through the area, and as such cheaper alternatives are being sought to counter such air defenses, and the attack drones could achieve such a mission. That explains the urgency of the current initiative to bolster the attack drone offensive against Chinese defenses.

India Has A Long Way To

Currently, India does not possess attack drone capabilities, and the country has a long way to go with its primary UAVs (the Israeli Searchers and Herons), with its few indigenously developed UAVs continuing to perform badly due to lack of technology.

India in 2019 had announced that it was jointly pursuing the development of swarm drones and anti-drones systems with the US, under their Defense Technology Trade Initiative.

Recently, the country inducted two American drones — MQ-9 Sea Guardian, the unarmed Predator-B — into the Navy on lease under the emergency procurement in the backdrop of the tensions with China in Ladakh.



The indigenous Rustom-2 medium altitude long endurance program was also given precedence recently after the conflict with China worsened, however, it may take many years to actually be operational with the armed forces. A prototype of the drone tested this year achieved eight hours of flying at an altitude of 16,000 feet, although it is expected to reach up to 26,000 feet and endurance of 18 hours by 2020 end.

While India’s DRDO, along with HAL, has already developed many other UAVs, such as Lakshya and Nishant, besides the indigenous MALE drone Rustom, they seem incapable of giving the country a decisive edge over​​ the technologically-superior adversary.

However, the country’s private companies, such as the Bengaluru-based start-up, New Space Research and Technologies, are also working along with HAL to develop its own drone swarm technology project, called the ‘Air-Launched Flexible Asset-Swarm’ (ALFA-S).

The ALFA-S drones are expected to be 1-2 meters long with folding wings, capable of being packed in canisters and launched from aircraft. The first prototype is expected to be completed within two years.

Considering India will be pitted against mighty China, whose swarm technology has even outflanked the US’ in some aspects, the Indian side will have much work to do in the coming years. The Chinese military understands the potential of drone swarms in offensive roles and has been amassing hordes of such systems on the border with India.

Spoiler:

Times Of India a écrit:

India plans major indigenous project for six powerful 'eyes in the sky' AWACS

India plans to launch a major Rs 10,500 crore project to indigenously develop six airborne warning and control system (AWACS) aircraft, which act as powerful “eyes in the sky” to look deep into enemy territory in modern-day warfare.

Defence sources on Wednesday said the project, which entails mounting indigenous 360-degree coverage AESA (active electronically scanned array) radars on six aircraft acquired from Air India, is set to soon get the initial approval or “acceptance of necessity” by the Rajnath Singh-led Defence Acquisitions Council.

The new project, which will involve cost-sharing between the IAF and DRDO, is actually a recast of an earlier plan to mount the indigenous AESA radar on two new Airbus A-330 wide-body jets, which was hanging fire for the last five years.

Under the new project, DRDO will acquire six smaller A-320 variants from the existing Air India fleet, get the airframes modified, and then mount the radars on them.

“This project for six AWACS or advanced AEW&C (airborne early-warning and control) aircraft will be much more cost-effective than the earlier one of acquiring two new A-330s from the European multi-national company. DRDO has promised to deliver the six AWACS in a four-to-seven year timeframe,” said a source.



IAF currently has just three Israeli Phalcon AWACS, with a 400-km range and 360-degree radar coverage, and two indigenous “Netra” AEW&C aircraft. The latter have indigenous 240-degree coverage radars, with a 250-km range, fitted on smaller Brazilian Embraer-145 jets.

The acute operational need for additional AWACS was felt during the Balakot strikes and the subsequent aerial skirmish with Pakistani fighters in February last year. It has been further reinforced by the ongoing military confrontation with China in eastern Ladakh.

Though the IAF needs at least 10 AWACS, repeated attempts to acquire more have not yet fructified due to the high costs involved. The long-pending IAF case for two more Israeli Phalcons mounted on Russian A-50 aircraft, worth over $1.5 billion, for instance, is yet to be cleared by the Cabinet Committee on Security.

AWACS can detect incoming fighters, cruise missiles and drones much before ground-based radars, direct friendly fighters during air combat with enemy jets, and keep tabs on enemy troop build-ups and warships.

Not just China, but even Pakistan is ahead of India in this arena. Pakistan has 8-10 Chinese Karakoram Eagle ZDK-03 AWACS and Swedish Saab-2000 AEW&C. China, in turn, has around 30, including Kong Jing-2000 “Mainring”, KJ-200 “Moth” and KJ-500 aircraft.

Citation :

Future members of Tejas family
Mk. 1A
Mk. 2 and
potential ORCA
Beautifully created by Kuntal pic.twitter.com/Aowg40Nu3m

— Vinod DX9 (@VinodDX9) December 20, 2020

https://www.defenseworld.net/news/28640/Israel___s_Rafael_Wins__200M_Asian_Deal_for_SPICE_2000_Bombs__Spike_ATGMs#.X-nsii27hsM a écrit:

https://www.hindustantimes.com/india-news/from-19-jan-iaf-s-rafales-to-participate-in-1st-wargames-with-french-air-force/story-yZOYMvNjaANZ7DacxGssTP.html a écrit:

4 French air force jets to come for wargames with IAF’s Rafale jets from 19 Jan
India is also considering a French proposal to acquire six Airbus 330 multi-role transport tanker aircraft on a government-to-government basis for expanding the strike capability of the Indian Air Force

https://www.latestly.com/india/news/mig-21-bison-of-iaf-crashes-near-suratgarh-in-rajasthan-court-of-inquiry-ordered-2250381.html a écrit:

MiG-21 Bison of IAF Crashes Near Suratgarh in Rajasthan; Court of Inquiry Ordered

The Indian Air Force’s (IAF’s) MiG-21 Bison fighter crashed during a training session on Tuesday. The tragic incident took place near Suratgarh in Rajasthan. The pilot of the aircraft managed to eject safely. The exact cause of the incident is still not known.

https://www.forbes.com/sites/pauliddon/2021/12/28/the-indian-navys-mig-29s-keep-crashing-will-new-delhi-seek-a-replacement-fighter/?sh=3e211c7b1b8c a écrit:

The Indian Navy’s Carrier MiG-29s Keep Crashing. Will New Delhi Seek A Replacement Fighter?

Citation :

India sets up sale of BEML

by Jon Grevatt

The Indian government has initiated plans to divest an additional 26% stake in state-owned defence company BEML Limited, formerly Bharat Earth Movers Limited.

The sale, which offers investors management and control of the firm, will progress through a ‘preliminary information memorandum’ issued by the Ministry of Defence (MoD) on 4 January. The sale is expected to be worth about INR10 billion (USD137 million).

The Indian government is looking to divest a 26% stake in BEML, manufacturer of equipment including high-mobility vehicles for India’s Pinaka MBRL system. (BEML Limited)
The Indian government is looking to divest a 26% stake in BEML, manufacturer of equipment including high-mobility vehicles for India’s Pinaka MBRL system. (BEML Limited)

“The government of India has in-principle decided to disinvest 26% of the equity share capital of BEML Limited through strategic disinvestment with transfer of management control,” said the document.

The sale will downsize the government’s shareholding in BEML to 28%. It currently holds a 54% stake, with most of the remainder owned through Indian stock exchanges.

“The successful bidder could be required to undertake certain obligations… such as employee protection, asset stripping, [and] business continuity,” said the memorandum. It added that final conditions will be specified at the request for proposal stage.

The deadline for submission of expressions of interest is 1 March.

Various conditions apply to the sale including security clearances and the requirement for investors to have a minimum net worth of INR14 billion.

Partnership bidding has been permitted where the lead member has a minimum 51% stake in the investment consortium, although government-owned companies are not allowed to bid.

The government confirmed its plan to sell an additional stake in BEML in 2019. Indian Defence Minister Rajnath Singh said at the time that the divestment is intended to improve BEML’s efficiencies.