Armée Indienne / Indian Armed Forces

Rappel du premier message :

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L'Inde veut cesser d'être le premier importateur mondial d'armement

L'inde de veut cesser d'être le premier importateur mondial d'armement et porter d'ici cinq ans à 70% la part de son équipement militaire produite sur son sol, a indiqué mercredi le Premier ministre indien Narendra Modi lors du salon aéronautique et de défense de Bangalore.

Le Premier ministre, qui a promis de relancer l'investissement, en particulier grâce à sa campagne "Make in India", a assuré que son gouvernement favoriserait les fournisseurs produisant en Inde lorsqu'il s'agira d'octroyer des contrats militaires.

"Nous avons la réputation d'être le premier importateur d'équipement militaire au monde", a-t-il dit à l'occasion du salon Aero India qui se tient tous les deux ans à Bangalore.

"C'est peut-être une musique qui est familière à certains d'entre vous présents ici. Mais c'est un domaine dans lequel nous aimerions ne pas être numéro un", a-t-il ajouté.

"Nous réformons notre politique d'approvisionnement en matériel de défense et allons accorder une préférence nette au matériel fabriqué en Inde", a dit Modi devant des centaines d'industriels indiens et étrangers.

L'Inde exprime depuis des décennies sa volonté de réduire sa dépendance envers l'industrie de défense étrangère mais n'y est pas parvenue, le pays devant en outre faire face à un équipement en voie d'obsolescence.

Depuis son arrivée au pouvoir en mai, le gouvernement de Modi a relevé à 49% la participation que peut détenir un investisseur étranger dans un groupe de défense en Inde.

Le Premier ministre a indiqué vouloir porter de 40% actuellement à 70% d'ici 2020 la production d'équipement matériel produite sur son sol.

"Une nation disposant d'une forte industrie de défense ne sera pas uniquement plus sûre. Elle en retirera également d'importants bénéfices économiques", a dit Modi.

"Environ 60% de notre matériel de défense continue d'être importé et nous dépensons des dizaines de milliards de dollars dans des acquisitions à l'étranger", a-t-il poursuivi.

"Certaines études montrent qu'une réduction de 20% à 25% de nos importations pourrait créer directement 100.000 à 120.000 emplois hautement qualifiés en Inde".

Le salon de Bangalore réunit des centaines de groupes de la défense et de l'aéronautique pendant cinq jours, notamment Dassault, Airbus ou Boeing.

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02/08/2016

L’Inde suspend l’acquisition de l’A330 MRTT !




New Delhi, vient de lancer une petite bombe, avec l’annonce de la suspension de son projet d'acquisition de six Airbus A330 MRTT de ravitaillement en vol.

Un retour en arrière pour la seconde fois :

Ce retour en arrière n’est pas une première, car l’Inde avait déjà sélectionné l'avion ravitailleur d’airbus, l'A330 MRTT et annulé la commande en 2010. Puis en 2013, le pays avait à nouveau choisi l’A330 MRTT européen.

On ne connaît pas encore la raison de ce nouveau retrait du projet, mais il se pourrait que les mêmes raisons puissent être invoquées qu’en 2010, soit une problématique de surcoûts.

Une relance plus compliquée :

Si l'Inde devait à l’avenir décider de relancer son appel d'offres pour un nouvel avion ravitailleur, les concurrents sont susceptibles d'inclure à nouveau l'A330 MRTT et IL-78MK mais également un nouveau venu en la personne du Boeing KC46A « Pegasus ». La bataille sera alors plus rude pour Airbus en ce qui concerne les coûts.


Photo : A330 MRTT saoudien ravitaillant un F-15 @ RSAF

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2016/08/02/l-inde-suspend-l-acquisition-de-l-a330-mrtt-861870.html

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India considers buying Russian Il-78 MRTT after ending six year pld Airbus deal
Aug 2, 2016


Recent reports emerged that the Indian government cancelled the much coveted deal for 6 Airbus A330 MRTT (Multi Role Tanker Transport) aircraft. While the news sending shocks in the already struggling Indian Air Force.

The the Indian Air Force first acquired mid-air refueling tanker aircraft from TAPA (Tashkent Aviation Production Association) in 2001 the same t. The six Il-78 were bought for an estimated price of $50 million each. The tankers before being converted and stripped was Il-76 aircraft assembled in Uzbekistan. The aircraft were stripped, repaired and refurbished and then fitted with avionics and systems,sub-systems along with Israeli refueling systems after that it went through two months of rigorous tests and training. Finally the first Gajraj (Named by the Indian Air Force) made it’s public appearance on 8th October, 2003 during the Air Force Parade.

Later in 2013 the Indian Air Force decided to expand the reach of it’s multi-role fighters by inducting at least six more MRTT aircraft or something of comparable standard. A RFP was issued and two companies responded. The Airbus with it’s A330 MRTT and the TAPA with it’s IL-78 MRTT. After exhaustive calculations and meeting it was decided that the A330 MRTT would be selected with a price tag of $2 billion for six aircraft along with life cycle costs. Although the initial purchase would be expensive but it would go easy on the pockets of the government on a long term when compared to it’s Russian Counterpart.

After the news broke out that the Indian government has decided to cancel the tender due to the issues with Airbus regarding the Airbus scam that took place in the 1990’s. The former government envisaged a plan to acquire six more tankers and place them in the Eastern part of India specifically Panagarh in West Bengal so, In case of an outbreak of conflict with China the Tankers can assist the Indian Air Force aircraft to increase their legs allowing them to stay longer in the air and carry out deeper attacks. Although new reports have started emerging that the Indian government would soon sign a deal with Russia for the sale of 6 Il-78 MKI aircraft with upgraded engines and systems and the aircraft in service with the Indian Air Force would be upgraded to the latest standard.

Although if the Airbus M330 aircraft would have been acquired it would’ve given the Indian Air Force in the region with advanced technology when compared to other tanker aircraft in the region. Yes,it would’ve added to the already logistical nightmare faced by the Indian Air Force due to it’s acquisition policy of having the best of both worlds namely the Russian and the West. But, since we are facing a dilemma here the IL-78 is not a bad option. The Pilot training and service infrastructure is already present with Russia now being more frank with giving the license to build spares and important parts to the Indian government which it was an still is an issue. In a similar way the Indian Air Force can look at IL-79MD-90A heavy transport aircraft for strategic airlift purposes since the production line of the C-17 Globemaster has closed down and the decision to purchase more aircraft came a tad bit late.

nomanslandd.weebly.com


http://defence-blog.com/news/india-considers-buying-russian-il-78-mrtt-after-ending-six-year-pld-airbus-deal.html

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03/08/2016

Des P-8i « Poseidon » de plus pour l’Inde !




New Delhi, les commandes vont et viennent, le gouvernement vient de conclure un accord portant sur l’achat de quatre Boeing P-8I « Poseidon » de patrouille maritime supplémentaires. La transaction sera effectuée sous la direction du Foreign Military Sale du gouvernement des États-Unis (FMS). La commande a été initialement autorisée par le Conseil d'acquisition de la défense Indien en juillet 2015, selon des sources proches du dossier.

L'accord a été récemment approuvé par le comité du Cabinet sur la sécurité (CCS) et les livraisons commenceront d’ici trois ans. L'ordre comprend quatre avions de patrouille maritime supplémentaires de type Boeing P-8i pour une valeur d'environ 1 milliard de dollars. Ces appareils vont venir grossir la flotte actuelle de P-8i composée de huit avions pleinement opérationnel.

Les P-8i indiens sont utilisés pour les patrouilles à longue distance de guerre anti-sous-marine (ASW) et les missions de renseignement, de surveillance, de reconnaissance (ISR) et d’'appui-maritime sur l'Océan Indien. Les appareils sont basés à Rajali au sein du Naval air Squadron 312A.


Le P-8i «Poseidon» :

Le P-8i est la version indienne du P-8A destiné à l’US Navy, soit un appareil de reconnaissance maritime à long rayon d’action et de lutte anti-sous marine construit par Boeing est destiné à l'Inde dans le cadre d'un contrat attribué en janvier 2009. Le standard du P-8I dispose des mêmes équipements que la version destinée à la marine américaine, mais avec en plus un détecteur d’anomalie magnétique et d’un radar arrière APS-143C (V) 3. Les P-8i ont reçu du matériel indien dont un système IFF ami/ennemi fabriqué par Hindustan Aeronautics.

Les P-8A & i « Poseidon» sont conçu pour remplacer le P-3C « Orion » comme appareil longue portée de lutte anti-sous-marine (ASM) et antisurface (LAN), de renseignement, surveillance et reconnaissance (RSR). La famille P-8 est capable de longues patrouilles proche et loin des côtes.

Le P-8 « Poseidon » est conçu pour assurer l'avenir de la Marine à long rayon d'action dans les missions de patrouille maritime. Ils offre une plus grande capacité de combat et demanderont moins d'infrastructure tout en se concentrant sur la réactivité et l'interopérabilité avec les forces traditionnelles. L’avion peut échanger ses informations avec l’ensemble des bâtiments de surface, sous-marins, avions et drones en service dans les marines utilisatrices. Les P-8 sont armés de missiles AGM-84L « Harpoon II », de torpilles légères Mk 54 et de charges de profondeur Mk-82.


Photos : 1 P-8i avec missiles Harpoon sous les ailes @ Kevin Scott 2 P-8i @ IN

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2016/08/03/des-p-8i-poseidon-de-plus-pour-l-inde-861876.html

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Hawk trainer jet crashes in West Bengal state of India
Aug 4, 201623
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Indian Air Force trainer jet crashes in West Bengal state, both pilots ejected safely.

The jet crashed around 11:00 am on Thursday in the Eastern Indian state of West Bengal. Both pilots successfully ejected from the aircraft and are in good condition according to Indian media.

The IAF received 24 aircraft directly from BAE Systems with deliveries beginning in November 2007, and further 42 Hawks assembled by Hindustan Aeronautics Limited between 2008 and 2011. In February 2008, India planned to order 57 more Hawks, with 40 going to the Indian Air Force and the remaining 17 to the Indian Navy.

In July 2010, it was announced that the IAF and the Navy would receive the additional 57 aircraft. The additional aircraft will be all built in India by Hindustan Aeronautics (HAL), continuing to work under licence from BAE. In February 2011, Hindustan Aeronautics Limited and GE Aviation signed a contract under which GE Aviation will conduct the next 30 years of maintenance on the Hawk fleet.

http://defence-blog.com/news/hawk-trainer-jet-crashes-in-west-bengal-state-in-india.html

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India, Russia Sign $300Mln Deal on Upgrade of 10 Ka-28 Helicopters - Indian Navy

According to navy spokesman, Indian Navy and Russian state arms exporter Rosoboronexport signed a deal worth nearly $300 million to modernize 10 Russia-produced Ka-28 anti-submarine helicopters.


NEW DELHI (Sputnik) – The Indian Navy and Russian state arms exporter Rosoboronexport signed a deal worth nearly $300 million to modernize 10 Russia-produced Ka-28 anti-submarine helicopters, Indian Navy spokesman Capt. D.K. Sharma said Thursday.
"The amount is approx 2K Crores for [the] upgrade of 10 Ka-28 ASW helicopters. The helicopters will be fitted with [the] latest sensors, details of which are not available to me… and the job shall be done in 42 months approx," Sharma told RIA Novosti.

The Ka-28 helicopter is an export modification of the Ka-27, designed for anti-submarine warfare missions and capable of docking on various types of ships.

India purchased these helicopters in 1980. According to reports, only four of them are currently suitable for use.

http://sputniknews.com/business/20160804/1043931461/india-russia-ka-28-helicopters.html

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ndia to acquire three Admiral Grigorovich-class frigates from Russia

Nikolai Novichkov, Moscow - IHS Jane's Defence Weekly
04 August 2016




Russia will supply three Admiral Grigorovich-class (Project 11356M) frigates to India that were originally intended for the Russian Navy's Black Sea Fleet, according to a source in the Russian defence industry.

"The relevant concealed agreement has been achieved, and India will receive the second three of Project 11356 frigates being built for the Russian Navy. The Indian side has obtained 12 spare tool and accessory kits for the ships," the source said.

The only issue at the moment is that the vessels, which are being constructed at the Kaliningrad-based Yantar Shipyard, use a Ukrainian Zorya-Mashproyekt gas-turbine propulsion plant. The 2014 Ukraine conflict slammed the door on co-operation between Moscow and Kiev over critical propulsion system components, especially marine gas turbine engines.

While Russia has already received the propulsion systems for the first three frigates, Ukraine's termination of defence exports to Russia has left the final three without their turbines, with indigenous replacements possibly not be available before 2019.

While Ukraine says it will not supply the engines to Russia, the source told IHS Jane's that India could use previously acquired Ukrainian engines. Alternatively India could acquire new engines directly from Kiev.

Meanwhile Moscow and New Delhi are considering transporting the frigates' hulls from the Yantar Baltic Shipyard to India to enable the further construction of the ships and the installation of the engines in the country.

The additional three Project 11356 frigates for the Indian Navy - No. 360 Admiral Butakov , No. 361 Admiral Istomin , and No. 362 Admiral Kornilov - will reportedly be equipped with the BrahMos cruise missile system.

Admiral Grigorovich-class vessels are variants of the Talwar (Krivak III)-class frigates, of which six were built for the Indian Navy at the Yantar Baltic Shipyard between 2003 and 2013.

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India to test drop BrahMos cruise missile by August end

The final tests for firing a nuclear-capable Indo-Russian BrahMos supersonic cruise missile from a Sukhoi SU-30 jet -- seen as a major force-multiplier for the Indian Air Force (IAF) -- is expected to take place by December. A drop test is scheduled for later this month, its manufacturer has said.


http://worlddefencenews.blogspot.com/








India intends to launch production of Russian BMP-3 IFVs under license


Russia`s JSC Rosoboronexport (a subsidiary of the Rostec state corporation) and an Indian producer of railroad hardware, Texmaco Rail and Engineering (TRI) have signed the agreement on the developing and manufacturing of military hardware intended for the Indian Armed Forces, according to the press department of TRI.

http://worlddefencenews.blogspot.com/

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Su-30MKI With BrahMos Missiles May Join Ranks of Indian Army in Early 2017


Russian-designed Sukhoi Su-30MKI (Flanker-H) multirole fighters integrated with Russian-Indian BrahMos cruise missiles are expected to go into service of the Indian Air Force in the first four months of 2017, local media reported Monday.

NEW DELHI (Sputnik) — Three squadrons of such aircraft are set to join the ranks of the Indian army, according to the source.

"There are plans to deploy and operate fighter squadrons of the Sukhoi aircraft with the integrated heavyweight BrahMos missile within the first four months of 2017," a defense source told the Asian Age newspaper.


In April, Brahmos Aerospace said they expected all of the tests of the aircraft missile placed on an Su-30 jet to be completed by December.
Using BrahMos allows to engage targets from beyond the effective range of enemy weapons and attack enemy objectives protected by air defense, according to Brahmos Aerospace.

BrahMos is a short-range supersonic missile with a range of 180 miles that can carry a conventional warhead of up to 660 pounds.



http://sputniknews.com/military/20160808/1044043103/brahmos-missiles-jets-indian-army.html

Que du bonheur !

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Les avions embarqués MiG-29K de la marine indienne accumulent les déficiences


Posté dans Asie-Pacifique, Forces navales par Laurent Lagneau Le 11-08-2016



Après avoir, en 2015, déploré le faible taux de disponibilité des avions de combat Su-30 MKI de l’Indian Air Force, le « Comptroller and Auditor General » (CAG, l’équivalent indien de la Cour des comptes) s’est penché sur le cas des appareils embarqués MiG-29K de la marine indienne. Et les conclusions de son dernier rapport ne sont pas très bonnes…

Ainsi, le CAG dénonce que les premiers MiG-29K livrés (sur les 45 commandés pour 2,2 milliards de dollars) ont été acceptés malgré des anomalies techniques. En clair, les avions n’étaient pas conformes à ce qui était attendu par la marine indienne.

En outre, le CAG pointe également, de multiples problèmes et défauts concernant non seulement les moteurs mais aussi la cellule et les commandes de vol électrique des MiG-29K en service.

Pour rappel, ces appareils sont mis en oeuvre à partir du porte-avions INS Vikramaditya (ex-Amiral Gorshkov), un navire acquis auprès de la Russie et livré avec 4 ans de retard, avec en prime une facture passée de 947 millions à 2 milliards de dollars.

Cela étant, la marine indienne n’avait le choix qu’entre le MiG-29K et le Su-33, deux appareils de conception russe capable d’évoluer à partir d’un porte-avions en configuration STOBAR (Short Take-Off But Arrested Recovery).

Quoi qu’il en soit, ce rapport du CAG a suscité des commentaires acides de la part de l’amiral Arun Prakash, un ancien chef d’état-major de la marine indienne.

« Les causes de ces problèmes [ceux des MiG-29K Indien, ndlr] viennent du très mauvais contrôle de la qualité dans le complexe militaro-industriel russe et le soutien lamentable rendu de l’industrie russe à la marine indienne », a-t-il estimé dans les colonnes de DefenseNews.

D’après le rapport du CAG, 62% des moteurs destinés aux MiG-29K ont été soit déjà retirés du service, soit refusés en raison de défauts de conception.

« Les défauts de conception des moteurs doivent être corrigés au plus vite, à la charge des Russes. Toute entreprise respectable, consciente de sa réputation, le ferait. Mais les oligarques qui contrôlent le complexe militaro-industriel sont trop effrontés car ils savent que l’Inde n’a pas le choix et ils sont confiants dans le fait que les politiciens indiens ne leur diront jamais rien », s’est emporté l’amiral Arun Prakash.

http://www.opex360.com/2016/08/11/les-avions-embarques-mig-29k-de-la-marine-indienne-accumulent-les-deficiences/

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Brahmos Missile and Su-30MKI Integration to Be Completed 99 Percent In August
(Source: TASS Defense; published Aug 12, 2016)
NEW DELHI --- The work to integrate supersonic cruise missiles Brahmos with Su-30MKI fighter are at the final stage and will be completed 99 percent by the end of August, CEO of the Russian-Indian Brahmos Aerospace Company Sudhir Kumar Mishra told TASS.

"The decisive test will be held on August 26-27. If it succeeds the work to integrate Brahmos with the fighter will be practically completed. It is a very important and responsible stage. The discharge of the missile from Su-39MKI at the army test range Chandan in Rajasthan State in the northwest of India shall be precise and perfect," he said.

Sudhir Kumar Mishra said "such tests are very risky." "Dozens of aircraft were lost in the world during them, but if everything goes successfully we would be able to say that the creation of the airborne version has been completed 99 percent," he said.

He also said the first test flight of Su-30MKI with integrated Brahmos missile took place on June 25. Ten other successful flights followed and aircraft performed complicated menoeuvres at supersonic speed. "The next round of tests is planned for October. It will master transmission of adjustment commands from the fighter to the missile and back in order to ensure precise hit," Mishra said.

The head of the joint venture explained the fighter will have to fire the missile two more times, and both Russian and Indian experts will be engaged. "In December 2016 Brahmos will be fired at a moving seaborne target and in early 2017 - at a ground target. After that all Indian requirements for aircraft missile supplies will be met. By the middle of 2017 we plan to equip with cruise missiles at least two squadrons of Indian Air Force with 40 Su-30MKI each," he said.

"The combination of Su-30 with Brahmos has already caused a major interest among foreign buyers. We have major commercial expectations from the pair. Its exports can develop into a profitable business for our countries and proceeds will be divided according to the share of the parties in the joint venture - India 50.5 percent and Russia - 49.5 percent," Mishra said.

Ah ces Russes ,sont trop fort pour l'enfumage....
tu m'étonnes que les autorités politiques ne disent rien, vu la tonne d'argent en dessous de table qu'ils rammassent a chaque contrat......
Et leur pilote se meurent dans leur cerceuil made in URSS.....

MIG ils ont toujours été scandaleux notamment avec l'affaire des mig 29 algériens et plus récemment la Croatie...

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Indian Navy makes inaugural port call in Micronesia
Ridzwan Rahmat, Singapore - IHS Jane's Defence Weekly
19 August 2016
A Shivalik (Project 17)-class guided-missile frigate has made an inaugural visit of an Indian Navy vessel to the Federated States of Micronesia in a demonstration of the service's increasing footprint and operational reach, the Indian Ministry of Defence announced on 18 August.

The frigate, INS Satpura , arrived in the island state of Pohnpei on 18 August as part of its journey back to India from Hawaii where it was participating in the 2016 iteration of the Rim of the Pacific ('RIMPAC') international naval exercises.

The crew onboard Satpura is scheduled to conduct a number of professional exchanges on the island over a period of two days, with the aim of improving bilateral relations between the two countries, said the MoD.

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India to buy C-130J Super Hercules for $134 Million
Aug 19, 201683


The Indian Ministry of Defense has approved buying one C-130J Super Hercules military transport aircraft for INR 900 crore (US $134 million).

The Defense Acquisition Council (DAC) chaired by defense minister Manohar Parrikar on Thursday made a decision to buy the aircraft which, will replace another C-130J aircraft that crashed while practising a tactical operation after taking off from Agra on March 28, 2014.

The IAF had inducted six C-130J Super Hercules aircraft which were bought from the US at a cost of around Rs. 6,000 crore (USD 1 billion) in 2010. India has already ordered for six additional aircraft.

The DAC has also approved procurement of 58 night vision goggles for pilots, for night enablement, Defence sources said.

The DAC reviewed progress of capital acquisition proposals in current financial year. Since May 2016-10 acquisition schemes worth approximately Rs. 16,000 crore have been approved including 6 at CCS level, sources said.

In addition, four major acquisitions worth Rs. 15,000 crore have been cleared by MoD and have been forwarded for consideration of CCS.

With over Rs. 31,000 crore major acquisitions either contracted or at advanced stage – DAC urged the services and the Ministry to expedite process.

It was also said that as against 329 Acceptance of Necessity (AON) worth over Rs. 5 lakh crore in pipeline in April 2014, today there are about 235 AONs in pipeline.



Defence-blog.com

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Industry
India to reallocate unspent defence funding
Rahul Bedi, New Delhi - IHS Jane's Defence Weekly
19 August 2016
India's Ministry of Defence (MoD) plans to reallocate a large proportion of about INR558.92 billion (USD8.46 billion) lying unspent with nine Defence Public Sector Undertakings (DPSUs), to supplement defence budgets for long-delayed military modernisation.

Official sources said a recent internal audit revealed that for decades the MoD had 'routinely parked' money earmarked for materiel acquisitions in the annual defence budget with these DPSUs, following its inability to employ it within the respective fiscal years (FYs).

The MoD review disclosed that in some instances advances to DPSUs like Hindustan Aeronautics Limited (HAL) in Bangalore dated back to the mid-1970's that still remained unaccounted for.

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Govt Seeks 134 Million Euro Waiver from France for Rafale Deal
(Source: Hindustan Times; published Aug 20, 2016)
NEW DELHI --- As the NDA government inches toward closing the multi-billion euro Rafale fighter deal, New Delhi has sought a waiver from a key provision that requires India to shell out an advance guarantee.

If France accepts the Indian demand, it will result in a saving of more than euro 134 million, South Block sources said on Friday.

The deal for 36 Rafale warplanes is expected to be worth around euro 7.3 billion.

The sources said the deal was stuck as India had put its foot down on doing away with the advance guarantee clause as it was a government-to-government sale. The sources said defence minister Manohar Parrikar has conveyed the Indian position on the issue to French authorities through diplomatic channels on Thursday. It is learnt all other issues have been resolved.

Last week, Parrikar informed Lok Sabha that the team negotiating the deal to buy the French fighters, manufactured by Dassault Aviation, had submitted its final report to the government.

A favourable response from France to the Indian proposal could see the deal being sent to finance ministry in the coming days, the sources confirmed. Finance ministry clearance will pave the way for final approval by the Cabinet Committee on Security, headed by Prime Minister Narendra Modi.

The deal is crucial for the Indian Air Force which is grappling with a significant drawdown of its fighter fleet. The IAF has a 33 fighter squadrons – each consisting of 18 fighter planes, but it requires 45 combat units to counter a combined threat from China and Pakistan. The IAF admits it does not have sufficient number of warplanes to fight a two-front war.

The plan was to buy 126 fighter planes but the Centre scrapped that deal, opting to buy 36 jets in fly-away condition from France. The new deal was announced by Modi during a visit to Paris last year.


(EDITOR’S NOTE: Indian Defense Minister Manohar Parrikar opposes the Rafale deal, primarily because it was signed over his head by Indian Prime Minister Narendra Modi and French President François Hollande.
Sources say he only found out about the deal from Indian journalists who asked him to comment, during a visit to Goa where he inaugurated a fish market.
Parrikar has also not got over the fact he was appointed defense minister after a six-month wait, during which Finance Minister Arun Jaitley held the defense portfolio. Parrikar would prefer India buy the locally-developed Tejas Light Combat Aircraft, which however is loathed by the Indian military, and which would have a hard time defeating the 60-year old MiG-21 fighter it was intended to replace when it was first launched in the early 1980s.
Holding up an €8 billion deal for an aircraft the Indian Air Force urgently needs – it is 12 fighter squadrons short of its nominal establishment – over a €143 million waiver is a particularly churlish way of affirming his authority, but it will ultimately prove as ineffective as his previous attempts to derail the Rafale deal.

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India May Spend Over $220 Bln to Buy Weapons in Next Decade - Reports



NEW DELHI (Sputnik) — Indian Defense Minister Manohar Parrikar has ordered the military to assess the expected cost of military modernization in accordance with the Long Term Integrated Perspective Planning modernization roadmap for the period of 2012-2027.
India plans to procure 500 helicopters, over 200 warplanes, twelve submarines and other types of hardware by 2027, the television network said, citing sources in the Defense Ministry.

The ministry also intends to decrease the number of human resources by replacing them with modern systems to diminish the budget shortfall, according to the broadcaster.



http://sputniknews.com/military/20160824/1044583434/india-billions-weapons.html

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Scorpène : quelle est la réelle valeur des documents divulgués ?



Scorpène : quelle est la réelle valeur des documents divulgués ?
Publié le 24/08/2016 18:39 | Mis à jour le 25/08/2016 09:18



La fuite d’un document technique de 22 400 pages sur les sous-marins Scorpène vendus par DCNS à l’Inde provoque une tempête chez l’industriel français, ainsi que chez ses clients, en particulier en Inde et en Australie. Cependant, la réelle valeur des données diffusées reste à définir. Selon deux experts interrogés par le marin, elle pourrait être, en fait, mineure.
L’un des éléments clés des prochains jours va être de déterminer précisément la valeur du document dont le quotidien australien The Australian a révélé la fuite, dans un article paru le 24 août en matinée, c’est-à-dire au milieu de la nuit à Paris.
Alors, The Australian annonçait avoir pu consulter un document décrivant les caractéristiques techniques des sous-marins Scorpène sur 22 400 pages. Une masse considérable équivalente à 16 fois Flottes de combat. Pour étayer son propos, The Australian détaille le sommaire, la pagination des chapitres, évoque certains aspects techniques décrits et publie une douzaine de pages dont les quelques données précises imprimées ont été masquées à l’initiative du journal.

Quel contenu ?


Reste donc à savoir qui est l’auteur de la fuite, qui en a été destinataire, mais surtout ce qu’elle contient exactement. Ce qui pourrait permettre de contenir l’incendie qui s’est aussitôt déclaré à Bombay et à Canberra.
En Inde, on procède depuis trois mois aux premiers essais à la mer du premier des six sous-marins dont les plans sont désormais dans la nature, nouveaux fers de lance de la sous-marinade indienne en compétition avec ses voisins pakistanais (eux aussi équipés par DCNS, mais avec une génération antérieure de sous-marins, les Agosta) et, surtout, chinois. Une série de six navires en construction à Bombay avec l’assistance française (et quatre ans de retard), moyennant un contrat de 3,9 milliards de dollars, un avenant étant de plus en cours de négociation. Il est peut-être la première cible du mauvais coup.

Retournement possible


À Canberra, on a sélectionné, le 26 avril, l’offre de DCNS pour la réalisation, en Australie, de 12 sous-marins dérivés, en version diesel-électrique, du sous-marin nucléaire français Barracuda. Un contrat géant qui s’étale sur 25 ans et 50 milliards de dollars australiens, soit 34 milliards d’euros, dont 8 milliards d'euros pour DCNS. Mais à ce stade, on en est encore des négociations exclusives. Les contrats fermes doivent encore être négociés. En fait, un retournement est encore possible.
Plusieurs services français de renseignement ont été missionnés sur l’affaire. Et, chez DCNS, c’est l’une des priorités du moment, qui permettra d’autant mieux, le cas échéant, de rassurer les clients (Chili et Malaisie, dont les Scorpène naviguent déjà, Inde, Australie) et prospects (Norvège, Pologne).
Si l'on en juge par les extraits mis en ligne par The Australian, peu nombreux, le document semble relever du manuel d'instruction ou de la notice de présentation générale.

« Pas particulièrement sensible »


Des documents de ce type, a priori réalisés en commun par l’industriel et la marine utilisatrice, peuvent circuler entre de nombreuses mains : équipages, techniciens, sous-traitants. Certaines données et mesures sont mentionnées (mais ont été masquées par la rédaction du journal). Différents schémas d'équipements sont présentés, par exemple du sonar d'étrave, l'un des équipements les plus secrets qui soient. Ceci étant, un schéma ne donne pas les performances du sonar.
Le marin a interrogé deux experts. Tous deux n’ont pu avoir accès qu’à ce qui a été mis en ligne par The Australian, c’est-à-dire à quelques pages seulement. « On n’est certes pas à l’abri de la présence des données vraiment classifiées glissées dans la masse. Mais sauf à ce que soit le cas, le type de document qui est présenté ne semble pas particulièrement sensible », estime l’une de nos sources.
Un autre expert considère que « ce que l’on découvre ne contient rien qui soit vraiment protégé, en tout cas rien qui ne soit objectivement connu de toute personne ayant quelque curiosité sur le sujet. Les documents joints sont très synthétiques et les courbes en tiers d’octave (NDLR : présentées pour illustrer le bruit rayonné du navire) n’expriment rien de proprement secret. Les descriptifs d’appareils sont génériques. Il faut en outre considérer que le document est daté et que rien ne dit que l’on n’est pas techniquement plus loin. »
Le fait que des caractéristiques électro-magnétiques, magnétiques et infrarouges du sous-marin soient décrites « ne suffit pas à permettre la détection d’un sous-marin ». Les systèmes de lancement de torpille sont considérés comme « connus », de même « pour les conditions d’utilisation des périscopes ».

Authenticité et portée à vérifier


En Inde, le ministre de la Défense Manohar Parrikar a indiqué le 24 août qu'il venait de charger le chef d'état-major de la marine, l'amiral Sunil Lanba, de vérifier l'authenticité des documents et l'étendue des données réellement valables. Mais il a ajouté que, par définition, les données, si elles sont exactes, ne révèlent pas 100 % des caractéristiques des sous-marins, puisqu'elles ne comprennent pas ce qui relève du travail d'intégration par les industriels indiens.
Autre son de cloche chez un officier général indien, ancien sous-marinier en retraite, le vice-amiral A.K. Singh, qui a indiqué à un journal indien être en train de parcourir le document (ce qui signifie donc qu'il circule au moins en Inde) et avoir la certitude que d’autres faisaient de même à Islamabad et à Pékin. Selon lui, un tel document récompense à lui seul « 20 à 30 ans d’espionnage des services pakistanais et chinois ».
L’amiral Arun Prakash, ancien chef d’état-major de la marine indienne, relativise la valeur des documents et rappelle pour sa part que leur niveau de classification (« restricted ») est seulement le moins élevé (équivalent à « diffusion restreinte » dans les armées françaises).
DCNS, qui est actuellement en compétition pour des sous-marins à fournir à la Norvège et à la Pologne, n’est pas le seul à se trouver sur le gril. Avec lui, tous ses partenaires et fournisseurs français, dont, au premier chef Thales, qui est à la fois actionnaire de DCNS et fournisseur de la plus grande partie d'équipements sensibles : suites sonars et radars en particulier dans le domaine naval, radars, équipements optroniques et autres pour l'aérien et le terrestre. Le leader français de l'industrie de défense cédait d'ailleurs 1,34 % en milieu de matinée, le matin de la révélation de l'affaire, pour clore la journée à -1,28 %. Thales est aussi l'un des premiers industriels de défense sur le sol australien, depuis qu'il y a racheté ADI en 2006.
On imagine que des vérifications sont également en cours au sein de grandes entreprises françaises telles que Sagem, MBDA, dont les produits navals sont proposés à l'export et pas uniquement dans le cadre de contrats liés aux navires de DCNS.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activites/chantiers-navals/26139-scorpene-quelle-reelle-valeur-des-documents-divulgues

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No Records Available On AgustaWestland Deal: Defence Ministry, IAF
(Source: Press Trust of India; published Aug 25, 2016)
NEW DELHI --- It may appear strange but Indian Air Force has claimed it does not have records related to controversial VVIP chopper deal with AgustaWestland which was later scrapped following allegations of bribery.

The IAF and Defence Ministry are primary holders of the information sought through an RTI query. The Ministry had referred the matter to CBI for a probe after alleged corruption surfaced in the Rs 3,600 crore deal.

Under the Right to Information Act, an application was filed with the Defence Ministry seeking complete records related to the deal, including price negotiations and file notings.

In addition, the applicant had also sought information related to meetings of the Price Negotiation Committee on the deal, cancellation of the deal, first estimate of the helicopters provided by AgustaWestland, specific additions sought in the helicopters which increased the cost and deliberations which allowed lowering of flight ceiling and cabin height.

The application was transferred by the Defence Ministry on June 16 to Indian Air Force to furnish the information in accordance with the transparency law.

An application is transferred under Section 6(3) of the RTI Act when the public authority does not have any or a part of information sought by the RTI applicant.

The Indian Air Force headquarters in a reply said, "The information sought vide your RTI application is not available at this HQ."

Surprisingly, several details of the deal were referred to by Defence Minister Manohar Parrikar during a debate on the issue in the Lok Sabha on May 6.

CBI, which is probing the case, had collected many records during investigation, but as per norms, copies of necessary documents were left with the concerned ministry or the department from where they had been collected.

According to Right to Information Act, the "information" is defined as "any material in any form..." which is held by or is under the control of a public authority.

CBI had registered a case against former IAF Chief S P Tyagi along with 13 others, including his cousins and European middlemen, in connection with alleged bribery in the 2010 deal for 12 AgustaWestland helicopters for VVIPs.

The former Air Chief is accused of reducing the flying ceiling of helicopters from 6,000 m to 4,500 m (15,000 ft), which facilitated AgustaWestland to be in contention for the deal. (Emphasis added—Ed.) Otherwise the company did not qualify for submission of bids.

Tyagi has denied the allegations and claimed that the change of specifications, which allowed AgustaWestland to be in contention, was a collective decision in which senior officers of Indian Air Force, SPG, NSA and other departments were involved.


(EDITOR’S NOTE: It is truly remarkable how India’s Enforcement Directorate, Central Bureau of Investigation, certain politicians and media continue to make and repeat unfounded allegations of corruption surrounding the sale of AW101 helicopters to the Indian Air Force.
No evidence of corruption has been found.
As highlighted in bold above, a former Indian Air Force Chief of Staff was accused of taking a bribe to lower the specified “ceiling of the helicopters from 6,000 m to 4,500 m,” allowing AgustaWestland to compete and to ultimately win the contract.
Gen. Tyagi is innocent of that charge, and is right to maintain that “the change of specifications…. was a collective decision in which senior officers of Indian Air Force, SPG, NSA and other departments were involved.”
This was confirmed in a Feb. 14, 2013 statement by the Indian Ministry of Defence (Acquisition of AW-101 Choppers for IAF: The Facts), which confirmed that the decision to reduce the operational ceiling was taken on November 19, 2003 during a meeting chaired by the Principal Secretary to the Prime Minister: “In the meeting it was decided to make the mandatory requirement for operational altitude 4500 meters.”
In a separate, Dec 11, 2013 statement on Lowering Altitude Requirement of VVIP Helicopters, the MoD repeated that “the technical requirements specified (in the RFP on 27th September, 2006) were formulated after detailed discussions among all the stakeholders.”
No hanky-panky, no corrupt decision, no bribery and no truth to these recurring allegations, yet the circus continues to the point where, as detailed in the above story, major Indian government agencies are acting as if nothing ever happened.)

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India Plans to Acquire Predator Drones from the United States to Combat Terror


India’s Defense Minister visits Washington on Monday and at the top of his wish list is to push the Obama administration to provide New Delhi with lethal drone technology – a request defense analysts believe will be granted. India will look to acquire lethal predator drones from the United States during Defense Minister Manohar Parrikar’s visit to Washington this week as New Delhi looks to ramp up its counterterrorism operations and to counter the growing relationship between its neighbors Pakistan and China.


Parrikar is scheduled to meet with his American counterpart Ash Carter on Monday marking the sixth meeting between the two defense ministers. The two parties are also expected to sign an extensive defense pact wherein the two parties agree to support one another militarily. In the past, the United States has refused to provide armed predator drones to India, which have been used in both Afghanistan and Pakistan, for fear that New Delhi would turn the weapons against the Pakistanis at a time when Washington sought robust cooperation in the fight against al-Qaeda. However, with the geopolitical landscape having shifted in recent years towards battling against Daesh in addition to a historically close relationship between Washington and New Delhi in a bid to contain China, the United States has signaled a willingness to provide India with lethal unmanned aerial vehicles. India formally applied for membership in the Missile Technology Control Regime (MTCR) in June of 2015, and with the support of the United States and France became a member on June 27, 2016 which also increased the likelihood that Washington would be willing to engage in sharing of drone technology with India under the controlled protocols of the regime.

Read more: http://sputniknews.com/military/20160829/1044723527/india-washington-predator-drones-terror.html

Citation :

Les États-Unis et l’Inde renforcent leur coopération militaire

Posté dans Asie-Pacifique, Diplomatie par Laurent Lagneau Le 30-08-2016



Pour équiper ses forces armées, l’Inde a longtemps compté sur l’Union soviétique (puis la Russie) et, dans une moindre mesure, sur la France. Depuis les années 2000, les choses ont commencé à changer et le pays s’est tourné vers Israël pour la défense antimissile et les États-Unis, auprès desquels il a commandé des avions de transport C-130 Hercules et C-117 Globmaster III ainsi que des appareils de surveillance maritime P-8 Poseidon et des hélicoptères AH-64 Apache et CH-47 Chinook.

Ces commandes passées auprès de l’industrie américaine de l’armement coïncident avec le rapprochement opéré par New Delhi et Washington en 2004, avec la signature du Next Step in Strategic Partnership (NSSP) et celle, un an plus tard, d’un accord sur le nucléaire civil. Et cela, alors que les États-Unis cherchaient aussi à ménager le Pakistan – ennemi historique de l’Inde et allié de la Chine – dans le cadre de leur engagement en Afghanistan.

Depuis, les relations entre les deux pays ne cessent de s’intensifier, le Premier ministre indien, Narendra Modi, s’étant déplacé au moins à 4 reprises aux États-Unis depuis 2014.

En septembre 2015, l’objectif d’arriver à 500 milliards de dollars d’échanges commerciaux par an entre New Delhi et Washington a ainsi été fixé. Et les deux capitales ont des sujets de préoccupation communs, comme la lutte contre le terrorisme et la sécurité maritime dans l’océan Indien et en mer de Chine méridionale.

Sur ce dernier point, l’Inde s’inquiéte du dispositif naval que la Chine met en place dans environnement immédiat (le « collier de perles »), avec l’installation de facilités portuaires au Pakistan (Gwadar), en Birmanie (Kyaukpyu) et au Bangladesh (Chittagong).

En juin, devant le Congrès américain, Narendra Modi a estimé qu’un partenariat entre les États-Unis et son pays pouvait « contribuer à assurer la sécurité des voies maritimes internationales et la liberté de navigation. »

D’où, sans doute, l’accord trouvé en avril (après 10 ans de discussions) et officiellement signé le 29 août à l’occasion d’une rencontre en le secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter, et son homologue indien, Manohar Parrikar.

Appelé Logistics Exchange Memorandum of Agreement (LEMOA), cet accord vise à donner, aux forces armées des deux pays, un accès réciproque aux bases militaires pour la maintenance et le réapprovisionnement de leurs équipements. En clair, il s’agit de faciliter les opérations et les manoeuvres conjointes. « Aujourd’hui, l’Inde a plus d’exercices avec les Etats-Unis qu’avec n’importe quel autre pays dans le monde », avait souligné, en avril, M. Parrikar.

Cela étant, deux autres accords font encore l’objet de discussions : le Communications and Information Security Memorandum of Agreement (CISMOA), qui permettrait à l’Inde de disposer d’un réseau sécurisé de communications, et le Basic Exchange and Cooperation Agreement (BECA) pour le renseignement spatial.

Mais c’est surtout sur le plan industriel que l’Inde attend le plus des États-Unis, lesquels lui ont donné, en juin, le statut de « partenaire majeur de la Défense« . Ainsi, il a été rapporté que, dans le cadre de la « Defense Technology and Trade Initiative« , New Delhi chercherait l’appui de Washington pour concevoir l’un de ses deux prochaine porte-avions, lequel sera en configuration CATOBAR (Catapult Assisted Take Off But Arrested Recovery), c’est à dire doté de catapultes et de brin d’arrêt.

En attendant, après avoir signé le LEMOA, le ministre indien de la Défense a été convié à visiter la DARPA (l’agence de recherche du Pentagone), la Defense Innovation Unit Experimental (DIUx), l’US Cyber Command ainsi que la 480e escadre spécialisée dans les missions ISR (Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance).

http://www.opex360.com/2016/08/30/les-etats-unis-linde-renforcent-leur-cooperation-militaire/

Citation :

India plans to invest $300mn in new Su-30MKI spart part supply center


India is planning to invest more than 20 billion rupees ($300 million) in setting up a spare part supply center for the Sukhoi Su-30MKI fighter jet with the help of Russia, a source in the Indian Defense Ministry told TASS. The spare part supply center is planned to be set up on the premises of India’s Hindustan Aeronautics Limited (HAL), the source added.





http://worlddefencenews.blogspot.com/

Citation :

Ukraine submits offers to upgrade Indian T-72 main battle tank fleet






The State Concern “Ukroboronprom” has submitted proposal to extend the life and upgrade the capabilities of the Indian Army’s T-72 Main Battle Tank (MBT) fleet, that was reported by informed Agency “Interfax-Ukraine”.

“The Indian side is interested in placing an order for the modernization of T-72 in Ukraine, currently, the parties are negotiating on the organization of cooperation. The estimated demand of the Indian customer in the modernized T-72, according to some estimates, is estimated at more than 1 thousand units,” – stated in the message.

According to the source, the main Indian requirements – conduct re-engine armored vehicles with engine replacement for a Ukrainian 6TD-2 power 1200 HP, and also equip tanks with air conditioning and Autonomous power plant.
The Indian T-72 Ajeya Tank is a licence manufactured Russian T-72M1, which started in the late 1970’s. It’s believed some 1700 have been delivered to the Indian Army. During the 1990’s, as the Arjun (Mk I) development dragged on, hundreds of T-72M1’s (named Ajeya) were in need overhauling and repairing and opportunity normally capitalised upon to implement upgrades.

India has been working on a long-term upgrade program of its Ajeya’s in stages.

In 2016 UKROBORONPROM holds a course for transition to high-tech manufacturing, international standards (NATO) and supplying the army with modern types of armaments. The State Concern expands cooperation with NATO and the EU countries, as defined by the strategic course of the state. In 2015 UKROBORONPROM export contracts amounted to more than $ 1.3 billion.



http://defence-blog.com/army/ukraine-submits-offers-to-upgrade-indian-t-72-main-battle-tank-fleet.html

Citation :

GRSE delivers second improved variant of Car-Nicobar-class fast attack craft

Ridzwan Rahmat, Singapore - IHS Jane's Defence Weekly
01 September 2016

Indian shipbuilder Garden Reach Shipbuilders & Engineers (GRSE) has delivered the second improved variant of the Car Nicobar-class patrol vessel on order for the Indian Navy.

Dubbed as the 'follow on waterjet fast attack craft' (FOWJFAC) in India, the vessel was handed over on 30 August in a ceremony attended by senior members of the Indian Navy's Eastern Naval Command. The boat will be known as INS Tihayu , with pennant number T 93, once it is commissioned.

Tihayu was launched in June 2015 and is one of four FOWJFAC vessels ordered under a contract awarded to GRSE in March 2013.