Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 7 Mai 2016 - 8:46
http://www.lorientlejour.com/article/984648/apres-le-depart-de-davutoglu-erdogan-vers-un-pouvoir-incontestable.html a écrit:
Après le départ de Davutoglu, Erdogan vers un pouvoir incontestable
"Turquie = RTE (initiales du président) = AKP", tweet un influent conseiller du chef d'Etat.
L'annonce du départ précipité du Premier ministre turc Ahmet Davutoglu devrait consolider encore le pouvoir du chef de l'Etat Recep Tayyip Erdogan, l'homme fort incontestable du pays, avec ou sans l'instauration d'un régime présidentiel qu'il appelle de ses voeux.
Le prochain départ de M. Davutoglu, 20 mois après avoir sa nomination à la tête du gouvernement et du Parti de la justice et du développement (AKP), mettra un terme à la période que M. Erdogan avait en août 2014 qualifiée ainsi : "Un président fort, un Premier ministre fort et un gouvernement fort".
Désormais, résume vendredi dans les colonnes du quotidien Hürriyet Abdulkadir Selvi, fin connaisseur de l'AKP, le tandem au pouvoir sera marqué par "un président fort, un Premier ministre obéissant". Un tandem composé d'"un président fort et un Premier ministre fort ne produit pas de bons résultats", avait déclaré jeudi soir le député AKP Aydin Unal, proche de M. Erdogan. "Le prochain Premier ministre aura un profil moindre", a-t-il prédit.
L'arrivée attendue d'un allié plus docile que M. Davutoglu, avec qui les tensions ont brusquement affleuré cette semaine, donne l'occasion à M. Erdogan de mener à bien son projet de nouvelle Constitution instaurant un régime présidentiel, un projet publiquement soutenu par le Premier ministre, qui a toutefois semblé peu pressé de le mettre en oeuvre.
La perspective de voir M. Erdogan se renforcer encore inquiète ses détracteurs, qui accusent de dérive autoritaire celui qui multiplie les poursuites pour "insulte" contre les journalistes et réclame la levée de l'immunité des parlementaire prokurdes, qui pourraient être jugés pour leur soutien présumé aux rebelles kurdes. Autre point d'incertitude, l'avenir de l'accord sur les migrants conclu le 18 mars entre Ankara et Bruxelles, pour lequel M. Erdogan a montré moins d'enthousiasme que M. Davutoglu. Berlin a souhaité vendredi la poursuite d'une "coopération bonne et constructive" avec le prochain Premier ministre.
(Portrait : Ahmet Davutoglu, vizir déchu d'Erdogan)
'Turquie = RTE = AKP' M. Davutoglu a annoncé jeudi qu'un congrès extraordinaire de l'AKP se tiendrait le 22 mai, lors duquel il ne briguerait pas un nouveau mandat. Sa mise à l'écart de la direction du parti signifiera la fin de son mandat de Premier ministre, les deux fonctions étant inséparables.
Cette décision a été prise alors que les tensions entre MM. Erdogan et Davutoglu, longtemps restées discrètes, ont éclaté au grand jour après que l'AKP eût décidé de raboter les pouvoirs de nomination de ce dernier. Les deux hommes se sont notamment opposés sur la reprise des négociations avec le PKK et le placement en détention provisoire de journalistes en procès.
Comme pour mettre les points sur les "i", Mustafa Akis, influent conseiller de M. Erdogan, a tweeté cette semaine l'équation "Turquie = RTE (initiales du président) = AKP", assaisonnée du commentaire suivant : "Que tu la lises de droite à gauche ou de gauche à droite, telle est la situation actuelle".
Si le chef de l'Etat est censé être constitutionnellement au-dessus de tout parti, dans les faits M. Erdogan tient toujours les rênes de l'AKP, formation qu'il a fondée en 2001 et truffée de fidèles, et a donc les coudées franches pour choisir son Premier ministre.
(Lire aussi : « En Turquie, la liberté de presse est au niveau le plus bas de toute l'histoire de la République »)
Dans son discours d'adieu jeudi, M. Davutoglu a dit n'éprouver "ni colère, ni rancoeur", semblant écarter une guerre de succession à l'AKP. Les membres du parti devraient se contenter d'enjamber son corps, à l'image du maire d'Ankara Melih Gökçek, présentant "dès à présent" ses félicitations au "Premier ministre à venir" sur Twitter, à peine le discours de M. Davutoglu achevé.
En ce qui concerne les favoris, les "3B" semblent tenir la corde : Binali Yildirim, ministre des Transports, Bekir Bozdag, ministre de la Justice et Berat Albayrak, ministre de l'Energie et gendre du chef de l'Etat. En plus de partager la même initiale pour leur prénom, ces trois hommes ont pour particularité d'être des fidèles du président turc.
Quel qu'il soit, son successeur aura pour "mission suprême sera de faire en sorte qu'une nouvelle Constitution légalise le +règne d'un seul homme+, Erdogan", résume Kemal Kirisci, du groupe de réflexion Brookings. Si M. Erdogan semble à ce stade exclure toute nouvelle élection anticipée, certains observateurs estiment toutefois que la tentation est grande : deux des trois partis de l'opposition parlementaire sont en crise et un scrutin législatif anticipé pourrait permettre à l'AKP d'atteindre la majorité des deux tiers nécessaire pour organiser seul un référendum (330), qu'il est assuré de remporter, selon les sondages, pour une nouvelle Constitution.
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Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 14 Mai 2016 - 15:11
la turquie a commencé la production de masse de son fusil MPT-76 pour son armée
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 14 Mai 2016 - 22:11
Il est magnifique ....
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Sam 14 Mai 2016 - 22:13
Base ar15. Inanc avait eu un jugement sévère sur ce FA
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Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 15 Mai 2016 - 0:07
la fille d'erdogan s est marié quelque 6.000 personnes étaient invitées au mariage La cérémonie a débuté avec une lecture du Coran et le Premier ministre sur le départ Ahmet Davutoglu et le chef d'état-major des armées, le général Hulusi Akar, étaient les témoins de la mariée
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 15 Mai 2016 - 0:27
http://www.liberation.fr/planete/2016/05/14/un-siecle-apres-la-turquie-bataille-contre-l-heritage-de-sykes-picot_1452631 a écrit:
Un siècle après, la Turquie bataille contre l’héritage de Sykes-Picot
Un siècle après les accords Sykes-Picot, le ressentiment d’Ankara envers ce pacte par lequel Britanniques et Français se sont partagé l’Empire ottoman reste un important moteur de sa politique étrangère sous la présidence de Recep Tayyip Erdogan.
Signés le 16 mai 1916 par les diplomates Sir Mark Sykes et François Georges-Picot alors que la défaite de l’Allemagne et de son allié ottoman se profilait, ces accords ont délimité des sphères de contrôle et d’influence françaises et britanniques qui ont largement façonné les frontières actuelles au Moyen-Orient.
Après la fondation d’une république laïque par Mustafa Kemal en 1923, l’Etat turc a tourné le dos à son passé impérial, qui a vu la Sublime Porte régner à son apogée sur un territoire s’étirant des portes de Vienne au golfe d’Aden, pour bâtir une nation moderne à l’intérieur de ses propres frontières.
Mais depuis l’arrivée au pouvoir en 2002 du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) de M. Erdogan, la Turquie mène une politique étrangère ambitieuse, cherchant à renforcer son influence dans les territoires de l’ex-empire, de la Bosnie à l’Arabie saoudite.
Signe de son ambition transfrontalière, Ankara avait pour projet de créer une zone de libre-échange incluant la Syrie, le Liban, la Jordanie, puis, dans un second temps, l’Irak. L’accord a été signé en 2010, mais s’est noyé dans les Printemps arabes.
Les dirigeants turcs actuels, accusés de néo-ottomanisme par leurs détracteurs, n’ont jamais dissimulé leur mépris pour les accords Sykes-Picot qui ont, selon eux, dressé des barrières entre peuples musulmans et privé la Turquie de son influence naturelle dans la région.
A ce titre, M. Erdogan ne rate pas une occasion de dénoncer le «marchandage» qui a conduit Paris et Londres à «tracer des frontières avec une règle».
«Nous nous sommes toujours opposés à Sykes-Picot, parce que Sykes-Picot a divisé notre région et a éloigné nos villes les unes des autres», a déclaré le Premier ministre Ahmet Davutoglu en mars.
- «Nouveaux Lawrence» d’Arabie -
Selon lui, certaines personnes cherchent aujourd’hui à «écrire un nouveau Sykes-Picot» en divisant la Syrie et l’Irak, alors que les Kurdes, notamment, revendiquent plus d’autonomie dans ces deux pays et en Turquie.
Les multiples crises qui ont enflammé la région ces dernières années, de la guerre en Syrie à la montée en puisssance du groupe Etat islamique (EI), ont réveillé chez les Turcs les démons de Sykes-Picot.
«Chaque conflit dans la région (...) a été conçu il y a un siècle», déclarait en 2014 M. Erdogan, qui s’en prend régulièrement aux «nouveaux Lawrence» qui cherchent à déstabiliser la région, en référence à l’officier de liaison britannique T.E Lawrence, acteur de la révolte arabe contre l’Empire ottoman.
Les accords Sykes-Picot s’inscrivent dans une «narration du ressentiment contre les +abus occidentaux+», explique à l’AFP Sezin Oney, professeure de sciences politiques à l’Université Bilkent.
Selon elle, «Ankara considère ces frontières comme artificielles, limitant, voire +volant+ ce qui appartient à l’héritage historique de la Turquie».
Ankara a montré l’étendue de son ambition «post-ottomane» lors du conflit syrien, encourageant la chute du président Bachar al-Assad. Mais cet activisme s’est pour l’instant en grande partie retourné contre la Turquie.
Le pays, qui accueille 2,7 millions de réfugiés syriens, est aujourd’hui confronté à l’extension du conflit voisin à sa frontière, régulièrement visée par des tirs de roquettes meurtriers de l’EI, qui a commis plusieurs attentats à Istanbul et Ankara.
Une succession de commémorations récentes liées à la Première guerre mondiale ont permis aux dirigeants turcs de critiquer le pacte franco-britannique, comme lors du centenaire le 29 avril d’une victoire de l’Empire ottoman contre les forces alliées à Kut-el-Amara, dans l’Irak d’aujourd’hui.
«L’esprit de Kut-el-Amara l’emportera quoi qu’il advienne et Sykes-Picot connaîtra une défaite cinglante», a promis M. Davutoglu.
Le retrait prochain du gouvernement de cet ancien universitaire considéré comme l’artisan de la diplomatie turque de la dernière décennie pose la question d’un éventuel réajustement.
«Je pense qu’il y a très peu de chances», a dit à l’AFP l’ancien ambassadeur de Turquie aux Etats-Unis, Faruk Logoglu, soulignant que la politique étrangère pensée par M. Davutoglu avait été approuvée par M. Erdogan.
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Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Dim 15 Mai 2016 - 12:58
normalement le nord de l irak notamment la ville de mossoul revenait a la turquie apres la création de la republique turque mais ata turk ne la pas voulu et la donné a l'irak
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Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Ven 20 Mai 2016 - 13:54
Le parlement turc vien de voté la levée de l'immunité des 138 depute s pro kurde hdp les remplacer par des députés pro erdogan sera la prochaine etape
La construction du 3ème aéroport d'Istanbul d'une capacité finale de 150 millions voyageurs continue, le chantier est actif 24h/24-7J/7. L'aéroport d'Istanbul sera le plus grand aéroport du monde avec Dubaï World Airport.
Coût: 10 milliards $ financé par les banques turques.
Les phases des constructions.
Le terminal 1:
Erdogan qui visite le chantier le 9 mai 2016:
Dernière édition par Kurssad le Lun 30 Mai 2016 - 18:25, édité 1 fois
Deux gigantesques projets autoroutier sont en cours de construction, l'un est l'autoroute Marmara-Nord (avec le pont Sultan Selim qui reliera aussi le 3ème aéroport d'Istanbul) et l'autre l'autoroute Istanbul-Izmir (Avec le pont Sultan Osman Ghazi), une première tronçon est ouverte depuis peu entre Istanbul-Izmir.
La première tronçon de l'autoroute entre Istanbul-Izmir:
Turquie : Erdogan commémore en grande pompe les 563 ans de la prise de Constantinople
Le président Erdogan a célébré devant des centaines de milliers de personnes l'anniversaire de la conquête de Constantinople, devenue Istanbul, par les Ottomans en 1453.
Pendant qu'à Verdun Français et Allemands communiaient dans le souvenir de la première guerre mondiale, à Istanbul on commémorait une autre bataille. Plus d'un demi-millénaire après, les grandes bombardes qui ont éventré les murailles de Constantinople ont tonné à nouveau... Les Turcs fêtaient dimanche, avec d'énormes moyens pyrotechniques, le 563e anniversaire de la «conquête» de la capitale byzantine. Des événements étaient organisés partout en Turquie pour célébrer la prise, en 1453, de Constantinople par le sultan ottoman Mehmet II dit «le Conquérant», mais les plus spectaculaires - de loin - étaient ceux organisés dans la ville même où se déroulèrent les combats, aujourd'hui baptisée Istanbul. Des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées dans le quartier de Yenikapi, dans la Corne d'Or, et ont entonné l'hymne national turc, agitant d'immenses drapeaux. La foule a été régalée par les acrobaties d'un escadron de l'armée de l'air turque.
Un feu d'artifice géant, une reconstitution de la prise de la ville en 3D ou encore un concert donné par un orchestre militaire ottoman de 563 musiciens devaient suivre, conformément au programme publié sur le site internet du gouvernorat d'Istanbul. L'AKP accusé de néo-ottomanisme
Un important dispositif de sécurité a été déployé à Istanbul, la Turquie ayant été secouée cette année par plusieurs attentats attribués au groupe État islamique ou aux rebelles kurdes. Un sous-marin, une frégate, cinq hélicoptères, 9.000 policiers, dont 40 tireurs d'élite, et des dizaines de chiens renifleurs y ont été mobilisés, a rapporté l'agence de presse progouvernementale Anatolie, qui cite le responsable de la police municipale, Mustafa Çaliskan. Depuis l'arrivée au pouvoir du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur), en 2002, les autorités turques, accusées de néo-ottomanisme, multiplient les références au passé impérial. À son apogée, la Sublime Porte a régné sur un territoire s'étirant des environs immédiats de Vienne au golfe d'Aden. «Je salue toutes nos capitales sœurs, de Sarajevo à Bakou», s'est exclamé, dans un discours à Istanbul, le président Recep Tayyip Erdogan, qui mène une diplomatie active dans les pays de l'ancien espace impérial. «D'ici à 2023, nous ferons de l'héritière de «l'homme malade» [NDLR: surnom donné à l'empire ottoman après la première guerre mondiale] d'il y a 100 ans l'une des dix plus grandes économies mondiales», a assuré M. Erdogan, qui faisait allusion au surnom donné dès le XIXe siècle par les capitales européennes à l'Empire ottoman déclinant: «C'est ce qui sied aux petits-enfants du Conquérant». M. Erdogan a par ailleurs estimé que plusieurs problèmes auxquels est actuellement confrontée la Turquie, comme la reprise des combats contre les rebelles kurdes dans le sud-est de son territoire, étaient le fait de ceux qui «n'ont pas fini de régler leurs comptes» avec le pays depuis la conquête de Constantinople. Le président turc n'a pas précisé sa pensée. M. Erdogan a en outre annoncé l'inauguration fin août du troisième pont sur le Bosphore, actuellement en construction et auquel a été donné le nom du sultan Selim 1er, fossoyeur au XVIe siècle de quelque 40.000 alévis, une minorité musulmane libérale.
Je pas souvent d'accord avec Erdogan mais concerne la population, il est clair qu'on doit l'augmenter a plus de 100 millions, la Turquie est riche et peut nourrir autant de population. Quelques centaines de milliers de Syriens sont nés en Turquie, et auront la nationalité turque.
Citation :
Erdogan: «Aucune famille musulmane» ne peut accepter la contraception
"Aucune famille musulmane" ne peut accepter la contraception et le planning familial, a estimé ce lundi le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui en a appelé aux mères pour accroître le nombre de Turcs. "Je le dis clairement (...) Nous allons accroître notre descendance", a déclaré Recep Tayyip Erdogan lors d'un discours à Istanbul. "On nous parle de contraception, de planning familial. Aucune famille musulmane ne peut avoir une telle mentalité".
"Ce que dit mon Dieu, ce que dit mon cher prophète, nous irons dans cette voie", a poursuivi le chef de l'Etat turc: "Dans ce cadre, le premier devoir appartient aux mères." Le président turc est un habitué des déclarations à l'emporte-pièce. Il avait déjà assuré que les femmes devaient avoir au moins trois enfants, critiqué l'avortement décrit comme un "crime contre l'Humanité", et dénoncé la "trahison contre des générations de Turcs" que représente à ses yeux le planning familial. "Je sais qu'il y en aura encore qui en seront gênés, mais pour moi la femme est avant tout une mère", avait déclaré Recep Tayyip Erdogan à l'occasion de la Journée des droits des femmes, le 8 mars.
L'opposition et les mouvements féministes turcs reprochent au régime du président islamo-conservateur, au pouvoir depuis 2002, d'entretenir les violences contre les femmes avec des préjugés religieux. La présence d'une seule femme - Fatma Betül Sayan Kaya, au ministère de la Famille - dans le nouveau gouvernement turc du Premier ministre Binali Yildirim a également été critiquée. "Vous ne pourrez pas usurper notre droit à la contraception, ni nos autres droits, avec vos déclarations moyenâgeuses. Nous défendrons nos droits", a déclaré lundi sur Twitter le collectif "Kadin Cinayetleri", qui milite contre les violences faites aux femmes.
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 31 Mai 2016 - 22:48
Erdogan assiste à l'exercice Efes-2016 qui consiste aux bombardements et débarquements de troupe de marine et le contrôle des collines.
Avec la participation de pays alliés et amis (dont les généraux), comme les USA (F-16 & F-15 avec la Navy), Arabie Saoudite (dont F-15), Qatar, Ukraine, Pakistan, Azerbedjian, Pologne, Allemagne et le Royaume-Uni.
On aurait aimer voir aussi le Maroc.
Efes-2016:
Invité Invité
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mar 31 Mai 2016 - 23:21
Je viens d'apprendre, le Maroc a envoyé des observateurs militaires à l'exercice.. Ainsi que tous les pays de l'Otan (France compris) et les pays Turcophone quelques pays d'Asie et d'Afrique.
Je remet cette belle vidéo d'Habertürk.
badr le patriotique Sous lieutenant
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 1 Juin 2016 - 0:03
re-bienvenu baybars
_________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
Invité Invité
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 1 Juin 2016 - 16:47
Le gouvernement turc installera des Turcs venus d'Asie, de Russie et d'Ukraine et des Syriens Arabes dans les villages abandonnés par les Kurdes.
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 1 Juin 2016 - 17:25
badr le patriotique a écrit:
re-bienvenu baybars
_________________
""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 1 Juin 2016 - 18:04
Kurssad@
Vous en êtes ou avec vos programmes militaires ?
Invité Invité
Sujet: Re: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Jeu 2 Juin 2016 - 16:23
vinseeld a écrit:
Kurssad@
Vous en êtes ou avec vos programmes militaires ?
Tous les programmes avancent comme prévu, le fusil d'assaut, le char Altay, le projet TF-X, drone armé, missile AA courte, moyenne et longue portée, le portehélicoptère TCG Anatolie, le T-129 (opérationnel), etc..etc..
Citation :
Le gouvernement turc installera des Turcs venus d'Asie, de Russie et d'Ukraine et des Syriens Arabes dans les villages abandonnés par les Kurdes.
Sinon, les premiers 30 familles d'Ahiska (300 personnes) originaire d'Ukraine viennent de s'installer dans un village Kurde, dont les habitants ont quitté les lieux. Des réfugiés Arabes seront installés aussi dans ces villages.