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Sujet: AFRIQUE - toutes l'actualités Ven 3 Fév 2017 - 20:13
Rappel du premier message :
http://www.jeuneafrique.com/400016/politique/tchad-idriss-deby-reporte-tenue-elections-legislatives-manque-de-moyens/ a écrit:
Tchad : Idriss Déby Itno reporte la tenue des élections législatives « par manque de moyens »
Le président tchadien Idriss Déby Itno a annoncé ce jeudi lors d'une conférence de presse le report des élections législatives à une date inconnue. Le chef d'Etat a justifié cette décision par un manque de moyens pour les organiser.
« Quand je dis que nous ne pouvons pas faire des législatives, c’est par manque des moyens. En période de vache maigre, on ne peut rien faire. Quand nous aurons des ressources, on pourra organiser des élections législatives », a-t-il précisé jeudi 02 février devant la presse.
Les élections législatives devaient se dérouler courant 2016 rappelle la FIDH. Aucune nouvelle date n’a été fixée. C’est donc le statu quo pour l’instant à l’Assemblée nationale, où le Mouvement patriotique du Salut (MPS), le parti du président Déby, occupe 133 des 188 sièges depuis les dernières législatives en février 2011.
Appel au dialogue avec l’opposition
De retour du sommet d’Addis Abeba où il a fait élire son ministre des Affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, à la tête de la commission de l’Union africaine (UA), Idriss Déby Into a lancé un appel au dialogue en direction de l’opposition.
« Qu’elle n’ait pas peur de dialoguer avec moi, je suis Tchadien comme eux », a-t-il insisté, ajoutant que « l’opposition doit cesser de cultiver la haine qui a pour conséquence la déchirure du pays. Le Tchad n’a pas besoin de cela ».
L’opposition, emmené par l’ancien ministre Saleh Kebzabo, a contesté la réélection d’Idriss Déby pour un cinquième mandat en avril dernier avec près de 60%. L’opposition n’a recueilli que 12, 80 % des voix. Une réélection dès le premier tour donc qui marquait néanmoins un recul de presque 30 points par rapport à la présidentielle de 2011 (88%).
« Boko Haram est terminé »
Idriss Déby Itno a également profité de cette conférence de presse pour témoigner de son optimisme sur l’issue de la lutte contre les terroristes de Boko Haram, très dans la région du Lac Tchad. Le Tchad est un allié majeur de l’Occident en Afrique sub-saharienne contre les jihadistes dans la région. « Boko Haram est terminé, dans le cas contraire il est très affaibli. En plus des efforts faits par notre armée, la force mixte (composée du Tchad, du Niger, Nigeria et du Cameroun) a réduit la capacité de nuisance de Boko Haram », a-t-il assuré, avant d’ajouter « nous parviendrons à endiguer totalement Boko Haram ».
Pour rappel, Idriss Déby Itno avait déjà déclaré que Boko Haram était « décapité » en août 2015. L’organisation jihadiste continue de semer la terreur dans le nord Cameroun et du Nigéria où elle a pris d’assaut un convoi sous escorte militaire, faisant au passage 15 morts.
''Le Comité exécutif de Prospérité a consulté sur divers programmes nationaux et régionaux. Parmi les sujets abordés figuraient la situation sécuritaire actuelle dans notre pays, les activités économiques et politiques, 1/2''
''Il comprend également un agenda pour le changement géopolitique. Il a passé en revue les lacunes à combler, les problèmes à régler et les problèmes à régler. 2/2''
La deuxième partie peut-être en rapport avec les rumeurs d'une reconnaissance de notre Sahara par l'Ethiopie..
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Mer 22 Sep 2021 - 22:29
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Ven 24 Sep 2021 - 17:38
Citation :
Mali : l’ancien président Konaré hospitalisé d’urgence au Maroc
Alpha Oumar Konaré le 7 octobre 2013, à Ankara.
Alpha Oumar Konaré, au pouvoir au Mali de 1992 à 2002, est soigné dans un hôpital de Rabat.
L’ancien président malien Alpha Oumar Konaré (AOK), 75 ans, a été admis en urgence dimanche 19 septembre à l’hôpital Cheikh Zaïd de Rabat, où il est soigné depuis, a appris « Jeune Afrique » de source marocaine. Instructions royales
Il est accompagné de son épouse, Adame, et de ses deux fils, Malamine et Birama, ainsi que de son gendre, l’ancien ministre des Affaires étrangères Tiébilé Dramé, dirigeant du Parti pour la renaissance nationale (Parena).
Selon nos informations, l’ex-chef de l’État (de 1992 à 2002), ancien président de la Commission de l’Union africaine (de 2003 à 2008), avait été victime le 8 août d’un début d’AVC à Bamako.
Son état demeurant préoccupant après une brève hospitalisation dans la capitale malienne, décision a été prise de l’évacuer au Maroc, où le colonel Malamine Konaré vient d’achever une formation au Collège royal d’enseignement militaire supérieur de Kenitra.
C’est le président congolais Denis Sassou Nguesso qui, alerté par la famille, a mis à sa disposition un avion médicalisé pour transférer AOK de Bamako à Rabat, où il a été pris en charge sur instructions du roi Mohammed VI.
Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Sam 25 Sep 2021 - 22:10
Citation :
Soudan: les autorités annoncent des saisies de biens liés au Hamas palestinien
Le Soudan post Omar el-Béchir tourne le dos au Hamas palestinien. Le Comité pour le démantèlement du régime du 30 juin, créé après l’éviction de l’ex-dirigeant, a annoncé jeudi 23 septembre 2021 la saisie des actifs de plusieurs entreprises, liées au mouvement islamiste au pouvoir dans la bande de Gaza. Une décision à laquelle les États-Unis ne sont pas étrangers.
Immeubles, hôtels, parts dans des sociétés, chaine de télévision ou terres agricoles, la liste des biens saisis par le Soudan témoigne de l’ampleur du réseau que la Hamas avait tissé à Khartoum du temps d’Omar el-Béchir. Ce dernier soutenait ouvertement le mouvement islamiste face à Israël et avait laissé son pays devenir une base arrière, où les militants du Hamas pouvaient trouver refuge, lever des fonds ou encore acheminer des armes.
Ce soutien s’était d’ailleurs poursuivi en dépit de la rupture des liens en 2016 entre Téhéran et Khartoum. Omar el-Béchir « leur accordait un traitement préférentiel lors des appels d’offres, des exemptions fiscales, et leur permettait de transférer des fonds à Gaza sans limite de plafond », explique à l’agence Reuters un membre du Comité pour le démantèlement du régime du 30 juin.
Les saisies annoncées ce jeudi marquent donc un tournant, une rupture que Washington avait appelée de ses vœux et même posée parmi ses conditions pour retirer le Soudan de sa liste des pays soutenant le terrorisme. Selon des sources soudanaises et occidentales citées par Reuters, les États-Unis auraient même fourni à Khartoum une liste de sociétés à fermer.
On peut supposer que cette mesure inattendue correspond à une demande israélienne. Mais on peut aussi la rapprocher de la tentative de coup d’Etat manqué qui a eu lieu au Soudan dont beaucoup se sont demandés d’où elle venait. Il y avait une sorte de confusion derrière cette tentative de prise de la télévision par un groupe de militaires. On peut supposer que ce sont des nostalgiques de l’époque d’Omar el-Béchir, des gens qui avaient partie liée avec le Hamas, la Turquie, le Qatar…
Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Ven 1 Oct 2021 - 20:17
Pour ce qui est de la France à propos du Mali c'est du pipeau c'est juste du cinéma pour la communication il y a une entente sou la table entre les Russes les Français et l algérien pour (Wagner) comme ce qu'il y a eu pour la Libye c'est communiquer de Macron et tout le reste c'est que du cinéma
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Sam 2 Oct 2021 - 19:23
JA: Union africaine : les dessous du voyage de Moussa Faki Mahamat en Turquie:
Recep Tayyip Erdogan, le chef de l’État turc, reçoit Moussa Faki Mahamat, le président de la Commission de l’UA, à Ankara, le 30 septembre 2021. Murat Kula/Anadolu Agency/AFP
La visite du président de la Commission de l’UA a mis fin au suspense : le sommet Turquie-Afrique se tiendra en décembre à Istanbul.
C’est lors de la visite officielle à Ankara de Moussa Faki Mahamat, le président de la Commission de l’Union africaine (UA), que Mevlüt Çavusoglu, le ministre turc des Affaires étrangères, a mis fin à des mois de suspense. Le troisième sommet Turquie-Afrique aura lieu à Istanbul les 17 et 18 décembre prochains, a-t-il annoncé lors de leur conférence de presse conjointe.
Un déjeuner avec Erdogan
En deux jours, Moussa Faki Mahamat a enchaîné les rendez-vous. D’abord au palais présidentiel, pour un entretien avec Recep Tayyip Erdogan, le chef de l’État turc, avec qui il a ensuite déjeuné en compagnie du vice-président, Fuat Oktay, et de Mevlüt Çavusoglu. Puis, au Parlement, où l’a reçu son président, Mustafa Sentop. Enfin, à la présidence des Turcs de l’étranger et à la Tika (l’agence de coopération), où il a signé, au nom de l’UA, des protocoles d’accord avec la Turquie.
Le 1er octobre, Moussa Faki Mahamat a pris l’avion pour Istanbul. Au menu : une promenade en bateau sur le Bosphore à l’initiative de l’organisation patronale Deik, qui, sous l’impulsion de son président Nail Olpak, est très active en Afrique. Y étaient conviés des dirigeants de grandes sociétés turques, parmi lesquels Selim Bora (groupe Summa), Nuri Albayrak (Albayrak), Aygen Yenigün (Yenigün), Berna Akyildiz (Transtas), Berna Gözbasi (BRN) et Erhan Barutoglu (Tellioglu-Avrasya Enerji).
La délégation de l’UA s’est envolée pour Addis-Abeba en soirée.
D’Addis-Abeba à Kinshasa
Ce voyage met donc un terme à des mois d’incertitudes sur la date du sommet Turquie-Afrique. Alors que les précédentes éditions avaient été organisées à Istanbul (2008) et à Malabo (2014), la troisième du genre, qui aurait dû se tenir en avril 2020, a été plusieurs fois différée en raison de la crise sanitaire.
En outre, en février 2020, alors qu’elle présidait l’UA, l’Afrique du Sud avait insisté sur le strict respect de la règle de deux sommets annuels avec un «partenaire stratégique » – statut que possède la Turquie. Les sommets prévus à ce titre pour 2020 (l’un avec l’Union européenne, l’autre avec la Ligue arabe) ayant été reportés en raison de la pandémie de Covid-19, Ankara avait subi les conséquences de ce décalage de calendrier.
Cela n’a nullement empêché les responsables turcs de préparer l’événement. Avec, en première ligne, Mevlüt Çavusoglu, épaulé par le vice-ministre Sedat Önal ainsi que par Nur Sagman, la directrice des Affaires africaines, et Can Incesu, le coordinateur du futur sommet. Parfaits francophones, tous deux ont été ambassadeurs en Afrique : Nur Sagman, en Guinée et au Gabon ; Can Incesu au Congo.
Ce dernier s’est rendu en mars 2021 à Addis-Abeba, où ses efforts se sont conjugués à ceux de Yaprak Alp, ambassadrice de Turquie auprès de l’UA, et où il a travaillé avec le Nigérian Levi Uche Madueke, chef du département Coopération et Partenariats de l’UA.
Can Incesu est aussi allé en juillet à Kinshasa, où il a rencontré Samy Adubango Awotho, le vice-ministre congolais des Affaires étrangères. Félix Tshisekedi et son pair sénégalais Macky Sall, qui lui succédera à la présidence de l’UA en 2022, se sont impliqués dans le dossier.
Rivaux français et chinois
En vue du sommet, les Turcs ont transmis à l’UA un rapport retraçant le bilan 2015-2020 de la coopération turco-africaine, ainsi qu’un plan d’action sur cinq ans. Leur mot d’ordre ? « Nous voulons voir une Afrique unie et indépendante » : allusion à l’importance qu’Ankara accorde à l’UA, et critique feutrée à l’égard des rivaux français ou chinois.
Depuis 2002, les liens entre la Turquie et l’Afrique n’ont cessé de se resserrer. Les échanges commerciaux atteignent 25 milliards de dollars. Ankara possède 43 ambassades sur le continent, contre 12 en 2003.
Les relations privilégiées qu’entretient le couple présidentiel avec plusieurs dirigeants africains, comme Macky Sall, contribuent à cette dynamique, même si certains proches d’hier ont quitté le pouvoir, comme le Guinéen Alpha Condé.
Fortement engagée dans le domaine de l’aide humanitaire, la première dame, Emine Erdogan, vient de sortir un livre : Afrika seyahatlerim (« Mes voyages en Afrique »), traduit en français, en anglais et en arabe (éd. Turkuaz). Elle l’a offert aux First ladies africaines lors de l’Assemblée générale de l’ONU, en septembre. Les droits de cet ouvrage seront versés à la Maison de l’Afrique, à Ankara, qui, à l’initiative de Mme Erdogan, promeut l’artisanat africain.
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Lun 4 Oct 2021 - 15:39
Benjamin Fincham-de Groot - Deakin University a écrit:
Options to Counter Russia’s Wagner Group in Africa
National Security Situation: Russia’s Wagner Group, a Private Military Company, conducts military-like operations in Africa. As a PMC, Wagner Group’s activities can be disavowed by the Russian government.
Author and / or Article Point of View: The author believes that Russia’s Wagner Group poses a threat to stability in Africa. This article discusses options to project U.S. influence and protect American interests in the African theatre.
Background: Grey zone tactics are the use of civilian or non-military assets to achieve military or strategic objectives. These tactics are useful for state actors to use or project power while maintaining a plausible deniability that can minimise the chance of conflict escalation.
Broadly, there are two ways in which state actors work to effect change through grey zone tactics. First, through grey zone tactics a state actor normalises transgressions through small violations that each create precedent to justify a greater violation. Thus, whereas it would be unreasonable for one state actor to escalate to full-blown conflict over a freedom of navigation operation, or a lesser violation of airspace, each unanswered transgression creates precedent for greater transgression without repercussion. One example is the steady escalation of Chinese military flight incursions into Taiwanese airspace. Second, the fait accompli in which a state actor swiftly and suddenly achieves a strategic objective and positions near-peer rivals to choose between escalation and acceptance. This tactic can be pertinent to seizing an objective, extracting a person of interesting, or destroying an enemy asset.
Antulio Echevarria believes that a key aspect of grey zone tactics has been ensuring that no transgression executed as a grey zone manoeuvre is so significant as to illicit a response from the North Atlantic Treaty Organization (NATO) under Article Five. This article states that any attack on a NATO member state should be treated as an attack on all of them; and that any military attack should be responded to in kind. To stay below the Article Five threshold, grey zone tactics in Europe have primarily been used in the cyber-domain. That said, the definition of what constitutes an attack under Article Five is evolving and has grown to include transgressions in both space and cyber.
Significance: Africa is increasingly become a theatre for great power competition. The United States has a well-established presence there, both military in nature and for peace-keeping operations. China is developing its ability to project power from Africa and within it, and has recently completed its first port capable of servicing Chinese aircraft carriers away from Chinese sovereign territory in Djibouti.
Through 2018 and 2019, pursuant to President Omar Hassan al-Bashir being convicted by the International Criminal Court of war crimes, Sudan was isolated within the global community. It was Vladimir Putin’s Russia that came to Sudan’s aid in supporting Sudan through trade generally, but also supplying Sudan with a significant supply of weapons. Further, when pro-democracy protesters pushed for al-Bashir to step down, the Russian paramilitary contractors known as Wagner Group were unleashed on the protesters.
While officially unaffiliated with Putin, the Russian military or any part of Russian intelligence, Wagner Group nonetheless have ties with Yevgeny Prigozhin, a Kremlin insider. Thus, because of their ties with Prigorzhin and the Kremlin, the actions of Wagner group are considered to be simultaneously enacting the Kremlin’s agenda and projecting Russian power, while also operating as a private military contractor whose behaviour cannot be held against any given state. That is to say, it is a reasonable assumption that any and all actions taken by Wagner Group are on behalf of or towards the strategic goals of the Kremlin, but must be considered as being beneath the threshold of war as they are not representing a state at this time.
While primarily operating in Sudan, Wagner Group has been active throughout Africa. Wagner Group uses both gray zone tactics described above, normalizing transgressions and fait accompli. As such, America and their allies and partners allied state actors have two options available to them that would allow them to combat or minimise the impact that Wagner Group are having in the African theatre.
Option #1: First, given that American forces are already deployed in the African theatre, it is reasonable that some troops can be repositioned. If Wagner Group were to act on key strategic or humanitarian objectives, they would have to choose between escalating and initiating combat with American forces or abandoning those objectives. As much as openly pursuing Wagner Group assets for their war crimes would be difficult to justify to the United Nations Security Council, and might be seen as the pursuit of Russian nationals; positioning assets to defend strategic objectives minimises the capacity for Wagner Group to achieve Russian strategic goals. This is not to say that these repositioned American forces should patrol endlessly, but rather be positioned around key objectives such that Wagner Group assets must risk greater escalation and greater personal risk in pursuing those strategic objectives.
Risk: This option risks an escalation of conflict between Wagner group assets and the American military.
Gain: This option deters of Wagner Group assets from achieving their strategic goals, and minimizing Russian power projection in Africa.
Option #2: The U.S. could deploy their own paramilitary contractors into the African theatre to counter Wagner Group. These paramilitary contractors, similar to the ones the Americans deployed into Afghanistan and Iraq, could be used to provide strategic pressure, or engage in combat with Wagner Group assets in the event in efforts to maintain the security of key assets. Significantly, the deployment of paramilitary contractors in defense of American and humanitarian assets would reasonably be below any threshold for war, and be unlikely to escalate beyond that initial conflict.
Risk: This option risks an escalation of conflict between Wagner Group and American-employed paramilitary contractors.
Gain: This option protectis humanitarian assets in the African theatre, minimising Russian power projection, and demonstrating American investment in protecting Allied assets. Through the utilization of paramilitary contractors, this also frees up the U.S. military to focus on other threats.
Other Comments: Africa is increasingly a theatre for great power competition. With Russia and China pursuing very different avenues of projecting power onto that continent, America and its allies need to clarify what their goals and strategic aims are in that region; and to what lengths the West is willing to go to in order to pursue them.
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Mar 5 Oct 2021 - 19:05
JA Classement Les 200 premières banques africaines : Standard Bank, Attijari, BMCE, Ecobank font la preuve de leur résilience:
Secouées par les multiples épisodes de la crise du Covid-19 comme toute l’économie continentale, les grandes banques africaines ont malgré tout fait preuve de solidité pendant cette période. Et certaines repartent déjà fort.
Une période sans pareille. Comme l’ensemble de la planète, le continent africain, pourtant jusque-là le moins touché par la pandémie, aura vu son économie jouer aux montagnes russes depuis le début de 2020. En cette phase où l’on semble s’approcher d’une sortie de crise, les prévisions de la Banque africaine de développement (BAD) font état d’une croissance attendue en Afrique subsaharienne de 3,4 % en 2021 et de 4,6 % en 2022, ceci après une récession chiffrée à 2,1 % l’an dernier.
En 2020, tous les pays du continent ont vu leur croissance s’affaisser, voire s’effondrer. Sur le plan régional, le produit intérieur brut (PIB) de l’Afrique du Nord aura reculé de 1,1 % (dont 5,9 % pour le seul Maroc) selon la BAD, celui de l’Afrique centrale de 2,7 %, celui de l’Ouest de 1,5 %. Quant à l’Afrique de l’Est, elle est la seule à être restée en territoire positif (+ 0,7 %).
Ces mauvais chiffres se traduisent dans les PNB (produit net bancaire) des 200 banques de notre classement exclusif, qui porte sur les comptes de 2020. Au total, cet indicateur clé qui mesure l’activité commerciale a plongé, en cumul, de 14,7 % sur l’exercice 2020 à 71,36 milliards de dollars. Une chute historique qui fait suite au record, lui aussi historique, en valeur absolue cette fois, atteint sur l’exercice 2019 avec un PNB global de 83,7 milliards de dollars.
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Tripler la capacité d’emprunt
Et le total des bilans de ces 200 banques ? Il s’affiche en progression de 12,39 % à 1 973 milliards de dollars. Cette nette hausse, plutôt inattendue pendant cette période récessive, s’explique, en bonne partie, par l’effet des politiques monétaires dites « non conventionnelles », mises en place pour faire face à la crise. Ces politiques comprennent, de la part des banques centrales, une large mise à disposition de liquidités et une baisse souvent historique des taux directeurs.
Les banques ont été en première ligne dans cette période hors norme
À titre d’illustration, en 2020, outre plusieurs baisses des taux, la banque centrale marocaine, Bank Al-Maghrib, a ainsi décidé d’élargir les collatéraux (actifs acceptés en garantie) éligibles aux opérations de refinancement permettant, rappelle une note d’Attijariwafa bank, « de tripler la capacité d’emprunt des banques, de renforcer le programme non conventionnel de refinancement des crédits aux très petites et moyennes entreprises et d’assouplir les règles prudentielles ».
Pour sa part, la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), après avoir, dès la fin de mars 2020, procédé par le biais d’une première adjudication à une injection de liquidité au taux fixe de 2,50%, a servi, à compter du 24 juin 2020, la totalité des besoins de liquidité exprimés par les banques de la région au taux unique de 2 %. La South African Reserve Bank ou encore la Central Bank of Nigeria ont conduit la même politique, sans grand changement jusqu’à ce jour, tant est prégnant le besoin de financement des économies africaines.
Suspension des crédits
Hormis la répercussion de la crise sur leur activité propre, les banques ont été en première ligne dans cette période hors norme. La plupart de gouvernements se sont souvent servis en effet du canal bancaire pour mettre en place des mesures pour amortir le choc en ciblant les PME. De nombreuses banques du continent ont mis en place, à partir d’avril 2020, des mesures de suspension ou des rééchelonnements de crédits, ce qui a été le cas par exemple chez KCB au Kenya.
Ces mesures, indique l’un de ses dirigeants, ont été rendues possibles « grâce à l’action de l’État, de la Banque centrale et des institutions internationales comme la Banque mondiale et le FMI qui, pour aider les entreprises à faire face à cette crise inédite, ont créé des dispositifs fléchés vers le secteur bancaire ».
Le haut de notre classement demeure étonnamment stable
En Côte d’Ivoire, un prêt accordé de 300 millions de dollars par la Banque mondiale en février doit notamment servir à soutenir le crédit aux PME à travers la création d’un Fonds de garantie des crédits aux petites et moyennes entreprises. De son côté, en septembre 2020, Oragroup a reçu de la Banque d’investissement et de développement de la Cedeao (BIDC) une ligne de 50 millions d’euros destinée au financement des investissements des PME-PMI des huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).
Pas de défauts majeurs
Concernant le Top 200 dans ce contexte inédit, le haut de notre classement demeure étonnamment stable comparé à l’an dernier. Les douze premières banques du classement restent les mêmes, à quelques modestes réajustements de rangs près. Une nouvelle fois, seuls trois pays sont représentés dans ce haut du classement, à savoir l’Égypte, le Maroc et bien sûr l’Afrique du Sud, qui continue d’aligner les champions, dont l’inamovible leader Standard Bank Group.
En part relative, les banques d’Afrique australe, principalement composées des quatorze sud-africaines classées, dominent à nouveau notre Top 200 en matière de bilan cumulé. Néanmoins, à 42 % du total, leur part recule de quatre points au profit des banques d’Afrique du Nord (35 % du total) et ouest-africaines (16 %), dont le poids relatif progresse de deux points chacune. La part des établissements d’Afrique de l’Est reste, elle, stable (16 %) du total.
Augmentation du risque, défauts de crédits, baisse d’activité… L’année fut rude.
De façon surprenante, cette année de crise n’a pas été marquée par des défauts majeurs d’établissements bancaires. Une forme de justification a posteriori des mesures de renforcement des ratios prudentiels mises en place ces dernières années par les tutelles. Tiémoko Meyliet Kone, gouverneur de la BCEAO, estime qu’en 2020 « les niveaux moyens des ratios de solvabilité, aussi bien pour les établissements de crédit que les systèmes financiers décentralisés de grande taille, sont ressortis supérieurs aux normes minimales en vigueur ».
Reprise marquée
Cette résistance ne masque pas le fait que l’année a été rude pour le secteur bancaire avec l’augmentation du coût du risque, les défauts de crédit, et la baisse d’activité liée à la dépression de secteurs comme le tourisme. Cela se traduit en termes de rentabilité. Sur notre Top 200, en moyenne la rentabilité (résultat net sur PNB) s’affiche à 24,6 % contre 30 % l’an dernier, ce qui est le plus mauvais ratio depuis que notre classement existe. Le cabinet McKinsey estime ainsi que le résultat sur capitaux des banques africaines a été divisé par deux pour s’établir à 7 %. Au Maroc, le profit net des banques chérifiennes a par exemple plongé de 42 %, selon Bank Al-Maghrib.
À noter toutefois que les résultats intérimaires de 2021 montrent souvent sur l’ensemble du continent une reprise marquée des profits, comme Standard Bank, dont le résultat ce premier semestre a rebondi de 41 %. Enfin, au-delà des ratios, une des conséquences de cette crise a été l’accélération de la digitalisation des process et des produits bancaires. Confinements et distanciation ont joué un rôle d’accélérateur du déploiement des services numériques et autres m-banking. Au sein de la banque kényane KCB, 98 % des opérations au troisième trimestre 2020 ont été effectuées en ligne ! Et la part du paiement mobile en C2B (consumer-to-business) est passée de 16 % à 44 % en un an.
Ce mouvement s’est fait au profit des établissements et réseaux traditionnels, mais aussi des néobanques et des fintech. C’est ce qu’illustrent les levées de fonds record en ce domaine depuis dix-huit mois, dont celle de 200 millions de dollars de l’entreprise Wave, établie au Sénégal, qui est ainsi devenue la première licorne de la zone francophone.
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Dim 10 Oct 2021 - 20:53
j'ai trouvé cet video avec des exemple du probléme de l'afrocentrisme dont un exmple ou des africains ont envahi l'embassade du maroc a la france leur idées supporte l'éradiction avec force des pays de l'afrique du nords car ils croient que l'afrique doit etre noir du nord au sud c dangereux comme idéologie , je crois qu'ont doit bien controller l'immigration et la limiter https://www.facebook.com/Amine.Aminoo22/posts/1199130873904256
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Dim 10 Oct 2021 - 22:10
kolopoi12 a écrit:
j'ai trouvé cet video avec des exemple du probléme de l'afrocentrisme dont un exmple ou des africains ont envahi l'embassade du maroc a la france leur idées supporte l'éradiction avec force des pays de l'afrique du nords car ils croient que l'afrique doit etre noir du nord au sud c dangereux comme idéologie , je crois qu'ont doit bien controller l'immigration et la limiter https://www.facebook.com/Amine.Aminoo22/posts/1199130873904256
C'est votre idéologie avec ce texte et cette analyse à deux balles il faut limiter
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Lun 11 Oct 2021 - 19:00
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Sujet: Re: AFRIQUE - toutes l'actualités Mar 12 Oct 2021 - 22:43
The UN's top court has ruled largely in favour of Somalia in its long-running maritime border dispute with Kenya. The International Court of Justice rejected Kenya's argument of a pre-existing agreement on a parallel boundary. https://t.co/ovRyHu1itC