Actualités du Sahara Marocain

Le monde/communauté internationale est dans un état de faiblesse unique. Nous ne sommes pas en position de faiblesse comme certains le pensent.
Personne ne peut nous imposer quoique ce soit car, si ils osent, on ouvre les vannes et l'Espagne est envahie par 5 millions de musulmans, arabes, marrons, et noirs.

Il faut recuperer Lagouira et l'est du mur. On peut attendre un peu que l'Algerie change ou s'ecroule... Mais c'est la seule solution au pouvoir. Les récents évenements au Moyen Orient (reconnaissance de souveraineté par les US en faveur d'Israel) prouvent que le droit international est mort et ne doit pas nous limiter. Nous devrions l'expliquer très clairement aux Mauritaniens aussi d'ailleurs (car il ne faut pas oublier que ce territoire aussi fait partie de notre mother land).

Moi quand je vois l'onu incapable d'agir face à une colonne de pick up toyota dans le désert Libyen je me dis que personne ne pourra nous empêcher d'une action militaire.

Les.deux options sont:

- négocier l'autonomie et rien que l'autonomie. Si c'est accepté Marhba si c'est pas accepter on gagne du temps pour l'option 2
- attendre patiemment que Zazaire tombe en lambeau économique et on récupère tout ce qui se trouve à l'est du mur.
- Si Zazaire veut nous faire la guerre... On pousse jusqu'à Tinfouf bechar et on reprend aussi ce qu'ils 'pus ont volé !

Les FAR ont largement les moyens militaire de réaliser le tout.

Sur le terrain nous ne sommes absolument pas en position de faiblesse.

Reparlez de Tindouf et de Béchar, c'est comme l'histoire de l'Alsace-Lorraine, c'est offrir aux algériens décérébrés une raison de guerre en continue. Même chose à la Mauritanie, ou à cette réthorique de parler du Maroc Empire...le Maroc est un pays qui travaille sa zone d'influence comme toutes les Nations.
Le meilleur empire possible, est quand les autres peuples rêvent d'avoir une Nation comme la tienne, et rêvent de vivre chez toi. Ça c'est un empire. Je parle pas juste du revenu et bien être matériell, mais de concevoir un mode de vie locale, pas l'État d'esprit actuel où tout est malhonnête et la vie s'est dégradé vue qu'il faut se méfier de tout le monde, et y'a pas de solidarité inter générationnelle ni entre classes, ni y'a pas de valorisation des écosystèmes culturels locales....

Une Nation juste et un État qui donne la possibilité à chacun de réussir selon son mérite par l'éducation (pas l'injustice de l'éducation privé ou impossibilité des pauvres à étudier à l'extérieur....) ou de son labeur (pas le système économique actuels pleins d'intermédiaires rentiers qui sucent les vrais travailleurs).
l'Empire n'est qu'une idée d'aller conquérir d'autres terres proposer par l'aristocratie aux pauvres qui se sentent bloqué dans leurs progrès chez eux, vue que l'aristocratie a pris toutes les terres et richesses disponibles.

Tu as raison Ait. Mais tu ne semble pas te rendre compte que tout le monde autour de nous est en train de reconstruire les differents empires du 19eme siecle.

Les Turcs reconstruisent (avec l'aide des "Perses") l'empire Ottoman, Les Russes, Les allemands (Prusse/empire austro-hongrois). Le Maroc, seul se fera dépecer et manger. Nos pays/systèmes politiques ne sont pas suffisamment matures pour accepter une union politique de type UE, donc le seul choix est d'amener la Mauritanie à venir sous l'aile de la souveraineté marocaine (ils l'ont fait avant et il n'y a pas de raison qu'ils ne le fasse pas encore) et, personnellement, je suis prêt à accepter une fédération. Je pense même que le systeme fédéral est le meilleurs pour le Maroc (même Hassan II parlait du systeme des Landers comme exemple à suivre).
Il ne faut pas se leurrer, le Maroc sans le Sahara (et avec une Mauritanie hostile) n'a pas de profondeur stratégique et est voué à la mort économique.
Donc, il faut finir d'une manière ou d'une autre le probleme du Polisario, puis parler avec nos voisins Mauritaniens et leur parler clairement d'une union politique du type fédéral ou confederal avec le Roi comme garant des droits de chaque "lander" et chef spirituel (une sorte de Commonwealth Marocain).
Je suis entierement d'accord sur le fait que le Sahara Oriental (Tindouf et Bechar) doivent nous etre rendus également et je n'apprécie pas le lien avec l'Alsace Lorraine. Notre ami "Dlimi" a donné un historique et des preuves de la Marocanité de cette région. Nous n'avons aucune raison d'oublier ces citoyens Marocains à qui l'Algerie a enlevé la possibilité d'etre gouverné par des Marocains.

Je respecte ce point de vue a Ssi Alphatango, en fait plus ou moins je le partage, ce qui change c'est la mentalité derrière cette idée et la stratégie à mettre en place.

Métaphoriquement parlant, vous proposez une avancé militaire mais sans assurer la logistique, ou dit d'une autre façon, vous êtes obsédez pour mettre la main sur un territoire, sans regarder est ce que vous êtes capable de le pérenniser ou pas. Résultat : votre jeu est à découvert.

l'Allemagne a repris le Lebensraum, pas en mettant une bordure sur ce territoire, mais elle a travailler son modèle industriel si puissant, et a rendu dépendant d'elle l'ex empire austro-hongrois via sous traitance, une sorte de prise de terrain préparer par une artillerie et feu indirecte.

La Turquie a caché son jeu, elle a boosté son industrie en préparation longue à tout changement stratégique favorable qui peut surgir.
Dans les deux cas, ces pays ont développer les moyens de puissances internes: la maîtrise de la chaine de valeur de A à Z, et la maîtrise de secteur stratégique à forte valeur ajoutée. l'Allemagne a toujours le talon d'Achille de l'approvisionnement gazier et charbon (mais c'est en solution), et sa position de puissance continentale (terrestre, pas de débouchés maritime vers les ressources), et la Turquie a une position géographique qui fera d'elle tôt ou tard, une puissance mondiale (plateforme gazière).

Le Maroc a une position géographique stratégique, faut travailler son industrie, et essayer de maîtriser la chaîne de valeur et monter en gamme par l'export, la Mauritanie doit être un allié à long terme, et doit comprendre que son intérêt est que nous travaillons ensemble, et non des frictions de mentalité de sous développés. Notre force à deux est dans le travail à long terme à deux, dans le respect mutuel.

Si, le Maroc bâtie une Nation juste, soit sûr que toute la région voudrait être nos alliés.

Conclusion : la mentalité c'est le travail avec les autres en étant le meilleur de la classe, et la stratégie est ma puissance interne projetable au lieu de mise en tutelle des autres

D'un autre côté, l'histoire se calcule pas en dizaines d'années mais son temps à elle est long.

Ça peut paraître hors sujet, mais en général les pays sous développés sont incapable de développer des Mafias, je trouve que la Mafia est le noyau primaire de l'évolution de la formation de l'État.
En Sicile féodale, la terre était aux mains de quelques uns, les pauvres n'avaient plus quoi manger, certains volaient les fruits des récoltes pour ne pas mourir de faim. Alors quelques uns plus malins et plus stratèges, ce sont unis et sont venus chez ces propriétaire terriens leurs offrir sécurités des récoltes en faisant des rondes à cheval, puis on développait leurs business en volant eux même les récoltes  et surenchérir le prix de la sécurité, puis on passait aux rackets... Jusqu'à devenir eux même les propriétaire et le systèmes.
Les simples pauvres voleurs sont pas capables de développer quelques choses, ils sont dans l'immédiat, la traîtrise entre eux face aux puissant et aux butins, donc chacun travaille de son côté sur des petites choses, chacun croit s'en sortir tout seul. Et s'ils travaillent ensemble, y'a un qui se croit malin et veut être le chef, pour lui chef signifie pas l'unité décisionnel caché pour e bien de l'ensemble, mais être riche sur le dos de ses travailleurs à sacrifier en leurs racontant des bobards.

Ceci va pour les citoyens des États sous développés, et valable pour relations entre États sous développés.

Observez que ces pays sont incapables de monter des systèmes complexes, genre faire semblant d'être en mauvaise relation, mais en réalité ils oeuvrent sur un but invisible à long terme.

AIT, je suis d'accord avec toi sur le fond seulement notre situation n'est ni celle de l'Allemagne, ni celle de la Turquie.[/size]

Notre pays a une spécificité dans le faite que c'est une "ile terrestre" de facto.[/size]

Notre richesse est toujours venu du sud et en cela nous sommes dépendant du développement de ces pays. Cela ne sert à rien d'avoir une base industriel ( que nous n'auront jamais au demeurant puisque n'ayant pas de bourgeoisie entrepreneur mais parasite et sans valeur ajouté réelle comparé aux allemand ou aux Turcs).[/size]

C'est pour cela que nous devons trouver d'autre levier qui si nous analysons sont déployé de manière pragmatique afin de sécurisé se futur "neo empire en devenir". Nous faisons comme les turcs à ce niveau mais avec des levier différents:

- Banque Assurance
- Telecom
- Service
- Produit agricole
- Phosphate
- Religions

Nous n'avons pas vocation a devenir une puissance mondiale mais continental. L'aspect regional étant quasi assuré ( notre avance sur nos voisins commence à devenir irratrapable pour eux), nous devons jouer avec nos armes.

Tu l'as mentionné ce sont des processus qui prennent plusieurs génération et nous avons une carte maître qu'aucun n'a entre les mains. Les engrais.... nous détendront la sécurité alimentaire de pays qui seront de facto plus ou moins rattaché à nous !!!

Rajoute à cela une influence religieuse et donc sur la société et ce pays fera partir de ton bloc. Si tu ajoutes encore à cela tout les partenariat publique privée qui font ne sorte que leur service de base ne peuvent fonctionner sans toi ( eau, électricité etc) tu renforces encore un peu plus le pays dans "ton bloc".

Je pense que pour l'industrie en l'état actuelle des chose on peut oublier. A default d'avoir une industrie national, dès que nous deviendront "trop"chère", le tout se délocalisera vers le sud.

Autre chose, plus les pays à notre sud se développeront, plus nous profiteront de leur croissance et nous nous alimenterons réciproquement de richesse. D,ou la volonté farouche de SM d'accéléré la coopération sud sud puisque si ils gagnent, nous gagnons !

Citation :

Sahara: Washington pousse pour une solution à l’avantage du Maroc

Les contacts diplomatiques entre le Maroc et les Etats-Unis se multiplient à la veille de la tenue d’une nouvelle réunion du Conseil de sécurité dédiée à la question du Sahara occidental. Si Washington semble vouloir exiger de Rabat plus de concessions en matière de droits de l’Homme, sur l’essentiel du conflit avec le Polisario, un alignement est perceptible sur l’abandon de toute option pouvant mener à l’indépendance du territoire contesté
...

LEDESK

Peut être a Ssi Fahed, il faut passer à la seconde phase. Sur cette phase 1 on a fait avec les moyens du bord.
En réalité sans industrie, un pays pourrait jamais être une puissance, les matières premières font pas de vous une puissance. Il faut rendre l'OCP une locomotive industrielle (valorisation du phosphate et booster un écosystèmes de PME travailleuses autour de l'OCP).
Les services (banques, assurances, conseils...) sont un genre "d'éclaireurs" qui permettent de remonter les infos sur les marchés ciblés, un investissement sans grosse prise de risque.
Les marchés de travaux publiques sont une bonne chose, mais permettent pas un encrage à long terme.

En réalité sans industrie, on peut pas vraiment parler de zone d'influence, ni la pérenniser. C'est le flux de marchandises qui fait la puissance et la zone d'influence. En plus de sécurisé nos imports de ressources énergétiques de l'Afrique.

Il faut maintenir essayer de rendre dépendante l'économie de la CEDEAO de la notre. Les pays de la CEDEAO veulent tous développer une industrie locale, et on les comprend. Sauf que chaque pays tout seul n'est en réalité qu'une proie facile face à l'export venus de pays plus développés que nous. Peut être maintenant faut passer à une autre façon de faire:

1) faut essayer d'utiliser les matières premières africaines dans nos intrants locaux.
2) faut que nous entreprises pensent pas seulement à exporter, mais à nouer des partenariats avec des entreprises locales en apportant technologie et savoir faire, c'est à dire "être" une Entreprise de la CEDEAO. Nos Entreprises contourneront ainsi la barrière d'entrée de celle ci.
3) faut aller contrôler des moyens logistiques, et de distribution locaux
4) ça peut paraître farfelue, mais peut être faut juste donner au Maroc un statut spéciale et non adhésion totale, le Maroc sera une pointe de lance de l'intégration de la CEDEAO dans l'économie libérale mondiale, le Maroc est plus résistant à la concurrence, et la CEDEAO peut fermer ses portes à la concurrence venue de Chine, Turquie... Comme ça leurs entreprises peuvent mûrir trainquilement, et nous on peut nouer des partenariats avec les Entreprises locales en ramenant de la technologie. Les Entreprises CEDEAO peuvent nouer des partenariats avec qui bon leurs semblent pour une industrialisation locale, mais pour importer, elles doivent passer par une commission qui négocie en gros pour l'ensemble des entreprises, cette commission sera de contrôle aussi, afin d'éradiquer l'import rentier.
Résumer : stopper l'import et industrialisé localement.
5) Construire notre réseaux de perle à la chinoise
....
Pour ce qui est de notre niveau d'industrialisation:

1) quand on regarde par exemple AlMada (ex empire coloniale + Leglaoui...), peu d'industrialisation a été osé par ce groupe, à part louer le marché marocain en contrepartie d'une part dans le capital, il a même jouer le rôle que doit normalement jouer une Entreprise publique (secteur vaches à laits) en apportant quelques millions d'euros pour entrer en partenariat avec des étrangers. Il aurait dû attaquer des industries lourdes en capital et apport technologique, pour donner l'exemple. Idem pour la CDG qui fait du tourisme !

2)Peut être faudrait revoir l'impôt sur les sociétés marocaines industrielles investissant massivement leurs gains et apportant de la technologie.

3) faudrait tuer les secteurs rentiers (via plus d'imposition, et appels d'offres avec obligation d'investir et un transfert de technologie) pour que le capital s'enfuit vers l'industrie et la création de valeur.

4) dynamiser les PME et coopératives.

NB :
1) même avec une société maritime qui est primordial, la route terrestre est question de vie ou de mort
2) Il faut faire comme les US, nous devons avoir des faiseurs de Roi en Mauritanie qui sont nos alliés, et veillerons avec nous, à ce que nos amis montent dans l'échelon du pouvoir, et ceux qui sont contre nous réussissent pas.
3) la France et l'Espagne essayent de nous rendre dépendant de leurs investissement et commerces, faut savoir ne pas tomber dans ce piège qui nous enfoncera encore plus, il faut demander à la CGEM d'aller chercher la technologie sur des petits pays avancés mais sans débouché extérieurs.
...
Désolé pour le hors sujet

Il y a des contre exemple ! L'Angleterre pas d'industrie ( ou plutôt ancienne puissance industrielle qui a tout redistribué sur la finance)...

Le Maroc fait plus ou moins la même chose avec les banques ! Tu contrôles les banques tu contrôles de pivot / levier de développement !

Pour ce qui est L'OCP avec le stratégie BI ou Big data ils vont parachever leur mutation en industrie 4.0 sûrement la seule en Afrique et ainsi maîtriser de À à Z toute la chaîne de valeur tout en optimisant un maximum les coûts et donc leur rentabilité !

Pour le moment nos effort doivent se concentrer sur la CDEAO ( mais la on a été trop vite trop fort)
Les pays de la région voient le "piège" venir et nous faisons face à la puissance de papier de cette région I.e le Nigeria qui elle aussi voit grand.

Cependant continuons de tracer notre toile d'araignée tôt ou tard le fruit  tombera mûre.

l'Allemagne a su sortir gagnante d'un partenariat fondateur de l'Europe avec la France, pourtant les français se croyaient avoir dupé les Allemands avec un accord bien ficelé.

Pour ce qui est de l'exemple de l'Angleterre, vous l'avez bien signaler. C'était le pays de la révolution industrielle qui a monté en gamme, c'était le pays qui contrôlait le commerce international (inclus l'opium, esclavage, laine...), et son système financier a bénéficié et bénéficie du commerce et fonds chinois via Honk Kong qui appartient à la City. Mais les flux financiers sont volatiles, le vrai nerf de la guerre c'est l'industrie, d'ailleurs le Brexit est un retour vers l'industrialisation du pays, et l'Allemagne même  qui malgré ces banques fortes, sa vrai force est l'industrie monté en gamme, alors que la France souffre du mauvais positionnement de son industrie ce qui l'a affaiblie. On peut aussi citer l'effondrement cyclique mais sûr du système financier US, ce qui les a fait revenir à l'America First de Trump pour réindustrialiser le pays. On peut citer l'exemple de la Chine qui a pu via les vrais fondements économiques (l'industrie) sous tiré le tapis sous les US. On peut citer la crise financière et monétaire des dragons asiatiques, qui ont été sauvé que grâce à leurs industries....

Il faut jamais oublier les niveaux de développement des pays, après la phase agricole, y'a la phase d'industrialisation, on peut pas prétendre réussir en voulant être un pays de service sans industrialisation. D'abord parce on a une population qu'il faut faire travailler et nourir (+ de classe moyenne), en plus d'une capacité d'indépendance à acquérir pour avoir un poids, les pays que vous citez ont assez de réserves accumulés pour  investir dans le bien être et les nouveaux secteurs économiques tout en gardant une certaine technologie de pointe, stratégique et à grosse valeur ajoutée.

l'Afrique va entrer dans la phase agricole et gros chantiers d'infrastructures, avant d'entrer dans l'industrialisation. Faut nous préparer sur le marché marocain à ce dont l'Afrique aura besoin dans le futur, et en contrôlant en finesse dés maintenant les pépites industriels africaines via dépendance ou directement. Il faut passer au peigne fin toutes l'industrie africaine, et essayer de contrôler et valoriser la chaîne de valeur. En fin, il nous faut développer en interne les éléments qui nous manquent pour ne pas être victime d'une fuite d'industrie étrangères vers d'autres pays moins chers, ce qui suppose "d'absorber" la technologie des autres qui opèrent chez nous.

AIT a écrit:

l'Allemagne a su sortir gagnante d'un partenariat fondateur de l'Europe avec la France, pourtant les français se croyaient avoir dupé les Allemands avec un accord bien ficelé.

Pour ce qui est de l'exemple de l'Angleterre, vous l'avez bien signaler. C'était le pays de la révolution industrielle qui a monté en gamme, c'était le pays qui contrôlait le commerce international (inclus l'opium, esclavage, laine...), et son système financier a bénéficié et bénéficie du commerce et fonds chinois via Honk Kong qui appartient à la City. Mais les flux financiers sont volatiles, le vrai nerf de la guerre c'est l'industrie, d'ailleurs le Brexit est un retour vers l'industrialisation du pays, et l'Allemagne même  qui malgré ces banques fortes, sa vrai force est l'industrie monté en gamme, alors que la France souffre du mauvais positionnement de son industrie ce qui l'a affaiblie. On peut aussi citer l'effondrement cyclique mais sûr du système financier US, ce qui les a fait revenir à l'America First de Trump pour réindustrialiser le pays. On peut citer l'exemple de la Chine qui a pu via les vrais fondements économiques (l'industrie) sous tiré le tapis sous les US. On peut citer la crise financière et monétaire des dragons asiatiques, qui ont été sauvé que grâce à leurs industries....

Il faut jamais oublier les niveaux de développement des pays, après la phase agricole, y'a la phase d'industrialisation, on peut pas prétendre réussir en voulant être un pays de service sans industrialisation. D'abord parce on a une population qu'il faut faire travailler et nourir (+ de classe moyenne), en plus d'une capacité d'indépendance à acquérir pour avoir un poids, les pays que vous citez ont assez de réserves accumulés pour  investir dans le bien être et les nouveaux secteurs
économiques tout en gardant une certaine technologie de pointe, stratégique et à grosse valeur ajoutée.

l'Afrique va entrer dans la phase agricole et gros chantiers d'infrastructures, avant d'entrer dans l'industrialisation. Faut nous préparer sur le marché marocain à ce dont l'Afrique aura besoin dans le futur, et en contrôlant en finesse dés maintenant les pépites industriels africaines via dépendance ou directement. Il faut passer au peigne fin toutes l'industrie africaine, et essayer de contrôler et valoriser la chaîne de valeur. En fin, il nous faut develloper en interne les éléments qui nous manquent pour ne pas être victime d'une fuite d'industrie étrangères vers d'autres pays moins chers, ce qui suppose "dabsorber" la technologie des autres qui opèrent chez nous.

tout à fait d'accord

Il est hors de question de renoncer à la Mauritanie et à Tindouf-Bechar.
Nos tribus sahraoui (Reguibat, Ouled Dlim, Doui Menia et Ait Khabbach) ont des territoires qui doivent être récupérés et ces tribus doivent être réunifiés au Maroc, il n'est plus possible d'accepter que des Doui Menia ou des Ouled Dlim ne soient pas marocains.
Tout comme Sebta et Melilia, nos terres sont notre richesse et notre histoire.

Une fois le sahara réglé, il sera temps de faire payer la note à tout ceux qui nous ont trahi.

La puissance s'acquièrre avec le travail et la terre.

Par contre le Maroc va avoir un probléme avec le tajnid au sahara.
Les indépendantistes vont très mal réagir.

Venant d'Espagne, c'est à prendre toujours avec esprit critique, mais c'est dommage que nos journaux sont pas capables d'étudier les archives de notre histoire et les traduire au grand publique afin de s'approprier son histoire.

Citation :

[h4]Le prix élevé de la coopération militaire de l'Espagne avec la France sur le Sahara[/h4]
Le général Bourgound, avec ses chefs d'état-major de la marine et des forces aériennes, a rencontré aux Canaries tous les chefs militaires espagnols des trois armées pour empêcher le Maroc d'atteindre ses limites géographiques jusqu'au Sénégal
Antonio Herrero Andreu biographie intéressante à regarder
@ABC_Canarias
Santa Cruz de Tenerife
04/10/2019 1


L'Espagne et la France ont établi des négociations secrètes afin de trouver une issue à la crise d'Ifni. En 1957, Madrid et Paris ont commencé à négocier des mesures de contrôle des troupes rebelles qui souhaitaient prendre le contrôle du Sahara dans les îles Canaries. Les rebelles marocains constituaient la branche armée de l'Istiqlal, parti du pouvoir au Maroc.


La France a déclaré que les négociations étaient secrètes parce qu'elle ne voulait pas faire savoir à l'Ouest qu'elle demandait le soutien de Franco en Afrique. François Beslay, ancien chef d'état-major de l'armée mauritanienne lors de l'indépendance de ce pays en 1960, affirme qu '"on peut certes dire que sans l'opération Écouvillon, la Mauritanie serait devenue une province du Maroc ". "Pour obtenir une liberté totale, le peuple mauritanien devait se battre à coups de bras, non pas contre les colonisateurs, mais à ses côtés contre un nouveau potentiel de colonisation, le Maroc."(Propagande: avant on disait peuple sahraoui contre l'occupant marocain, maintenant on inventait la réthorique résistance mauritanienne, alors qu'ils reconnaîssent que c'était eux les espagnols qui combataient!)

Les îles Canaries de Dakar ont dû déménager Gabriel Bourgund. C’est le général français qui s’est rendu à Las Palmas pour établir des contacts secrets avec l’Espagne afin d’appliquer des solutions à la crise d’Ifni . C'était un soldat qui, depuis 1931, était impliqué dans les colonies françaises. Durant la Seconde Guerre mondiale, il combattit avec les Forces françaises libres en Indochine et au Maroc.

L’Espagne comptait 188 morts, 500 blessés et 40 disparus à Ifni. France: 7 morts et 32 ​​blessés

Un peu - épisode connu de la collaboration entre la France et l' Espagne si bien donné les forces espagnoles, et sans doute sans cette coopération, aussi bien que difficile à éradiquer ces groupes, avaient coûté l' Espagne de sang de nos soldats.

La spirale de la violence
Ces groupes ont joué en leur faveur car l’essentiel est qu’ils connaissaient le pays comme une paume et qu’ils savaient comment se camoufler. Ils bénéficiaient également de la précieuse aide secrète du gouvernement
de Rabat, ainsi que de la flotte de une centaine de camions et de jeeps d’origine américaine, ainsi qu’un armement et des munitions légers en abondance, pour plus d’infos, des parcs d’artillerie d’Espagne, ainsi que des moyens motorisés, comestibles et l’argent du commerçant, le traître Ali Ben Boaida .

Le balai français au Sahara
Sans aucun doute que la campagne d'Ifni Sahara, sans les accords du gouvernement Ifni et du haut commissaire général de l'Afrique occidentale française, l' élimination des bandes rebelles ne pourrait jamais être arrêtée. de l'armée de libération marocaine stoppée, et mois après 1957, ils ont fait campagne librement sur tout le territoire.

Et c’est qu’avant la vague d’attaques ennemies à Ifni et dans le Sahara, le 14 janvier 1958, à l’ hôtel Santa Catalina , à Las Palmas, une conférence avait eu lieu de la part de la France. Le général Charles Bourgound, accompagné de ses chefs d'état-major de la marine et des forces aériennes, représentant du Haut-commissaire de l'Afrique occidentale française, attaché militaire français à l'ambassade de France à Madrid.

Cet excellent soldat n'a pas été reconnu pour le rôle important qu'il a joué dans le gouvernement général d'Ifni. Homme de grande culture, dominant les Français, l'autre grand soldat, le gouverneur général, Mariano Gómez-Zamalloa , a nommé le commandant de l'époque, Iglesias, pour les conversations avec les militaires français.

Sans être un diplomate de l'état-major, comme il l'était, un véritable expert militaire, le général a placé toute sa confiance dans ces conversations, de la même manière avec l'état-major français qu'avec le grand commissaire général français Bourgound, ainsi qu'avec tout son état. Major Mais en tant qu’homme fidèle à son serment et totalement fidèle à ses supérieurs, rien de ce qu’il a gardé lors de ces réunions et conférences ne lui est jamais sorti de la bouche.


En 1955, il est nommé commandant des forces françaises au Maroc et en 1956, commandant en chef des troupes en Afrique occidentale française, basé à Dakar. Lorsqu'il était dans cette position, il fut surpris par la guerre d'Ifni.

Il a conclu un accord avec les autorités espagnoles pour mettre fin aux incursions de l'Armée de libération marocaine dans le nord de la Mauritanie et à Saguia el Hamra. Le 30 novembre 1958, il se rendit dans la réserve et fut élu député de son pays. L'Espagne lui a octroyé l'Ordre Cisneros pour son engagement en faveur de l'Espagne en Afrique. Alors ABC l'a dit .

Il a été décoré, en présence de son épouse, dans la capitainerie générale des îles Canaries, de la grande croix du mérite militaire de première classe imposée à Santa Cruz de Tenerife par le capitaine général José María López Valencia . À son arrivée à l'aéroport Los Rodeos, à Tenerife, une batterie d'artillerie, de peloton, de drapeau et de fanfare lui a décerné les honneurs militaires.

Commandant Iglesias Ussel de Lizana
Le 25 février 1957, à Port-Étienne, le commandant en chef Iglesias Ussel de Lizana s'entretient avec le général Charles Bourgound. Au cours de cette réunion, les bases de la coopération entre les forces espagnoles et françaises se font sentir, de même que les forces de la marine, de l’air ou de la terre, et dans certaines bases, il est convenu que, en cas de combat, les forces aériennes françaises d'entrer sur le territoire espagnol de l' Afrique occidentale espagnole, dans une limite de 30 kilomètres .

De son côté, le ministre Gaston Deferre a ordonné au haut-commissaire Cuisin de persécuter les bandes rebelles, en cas d'attaque, indépendamment de la frontière. Tout cela selon les documents de ladite réunion des archives du général décédé, Rafael Casas de la Vega . Par la suite, lors de la réunion précédente, le général Zamalloa et son état-major, ainsi que le commandant Iglesias, ont rencontré à la Villa Cisneros le général Bourgound et son état-major, afin de discuter de la collaboration avec les forces françaises.

Par la suite, le 3 juillet 1957, le général de la zone aérienne des Canaries, Francisco Mata Manzanedo , a rencontré à Port Étiene le général Charles Bourgound, le ministre plénipotentiaire Chaumárd et son état-major avec le colonel de l'état-major général Rcaboy. . Lors de cette réunion, il vint vérifier ce qui avait été convenu avec le général Zamalloa . Les Français ont insisté pour que, en cas de combat, ils soient autorisés à pénétrer à 30 km du territoire espagnol et à établir un code radio entre Sidi Ifni et Fort Trinquet pour l'échange d'informations et la remise de documents.

«Opération Teide»
Le général Zamalloa, en sa qualité de grand soldat, a placé toute sa confiance dans le commandant Iglesias Ussel de Lizana , une fois autorisé par l'état-major central de l'armée et la direction générale des places et des provinces d'Afrique, lors de la réunion entre le général Zamalloa et le général Charles Bourgound et son état-major à la Villa Cisneros.

Le vendredi 20 septembre 1957, les deux délégations se sont réunies à Villa Cisneros , composées par l'Espagne, du général Zamalloa susmentionné, du commandant Iglesias, des capitaines d'état-major Jose Luis Prieta Garcia de la troisième section; Juan Antonio Gómez-Zamalloa Menéndez, de la deuxième section et le capitaine, Hipólito Fernández-Palacios Núñez , quatrième.

Du côté français, Bourgound, le colonel Rocaboy , chef d’état-major, le lieutenant-colonel Maillote, deuxième chef d’état-major, le capitaine Rigud, de la deuxième section d’état-major; Le lieutenant-colonel Dorin, chef de la troisième section du personnel; Le commandant Athiel de la troisième section d'état-major; Le lieutenant-colonel Gatel, chef de section Conjunat entre les armées; Le capitaine de la frégate Degoy, chef d'état-major de la marine ouest-française , le lieutenant-colonel Gentz, chef d'état-major de la Force aérienne, et le colonel Bain, chef des transmissions de l'Afrique occidentale française, complètent la représentation française.

La conférence de la Villa Cisneros , sur proposition du chef de la délégation espagnole, a présenté le calendrier des sessions, comme suit: vendredi 23 septembre 1957 de 15h30 à 18h00. Samedi de 09h00 à 12h15. Lundi et séance plénière, à 17h30, les généraux Mariano Gómez-Zamalloa et le général Bourgound signent le protocole de ladite conférence.

Au cours de ces sessions, l’armée de l’air et l’armée de terre ont convenu de coopérer, facilitant l’aéronef et le carburant français , ainsi que le soutien sanitaire et, surtout, le pouvoir de poursuivre en cas de conflit armé. attaque ennemie à 60 kilomètres par terre et par l'aviation française à une profondeur de 100 kilomètres. Ceci est indiqué dans les rapports de la réunion de la Villa Cisneros.

Venant d'un journal espagnol c'est savoureux.... 

Mohamed 5 et Hassan II Allah yra7mouhoum avaient conscience de la nécessité de recrée l'empire cherifien. 

Incha'Allah on réussira

Fahed64 a écrit:

Venant d'un journal espagnol c'est savoureux.... 

Mohamed 5 et Hassan II Allah yra7mouhoum avaient conscience de la nécessité de recrée l'empire cherifien. 

Incha'Allah on réussira

Ça parle du rôle espagnol, mais y'a le rôle français décisif dans la bataille, cette France qui a décidé de nous couper du Sahara. FAUT JAMAIS L'OUBLIER.

Sinon, l'Espagne dit implicitement via cette article aux français, qu'on s'est sacrifié pour à la fin rien avoir!
Sûrement la réunion avait des clauses sur une possible promesse française d'un rôle espagnol dans le Sahara, que la France actuelle n'est pas en train s'accomplir, l'Espagne n'est pas d'accord sur sa partbdu gâteau marocain ou plutôt mauritanien ?!
Qu'est ce qui y'est arrivé récemment pour "Trigger" un telle article!

NB:
1) Observez bien que même les espagnols reconnaissent que sans les français, ils étaient incapable de tenir dans le Sahara, si on rajoute le Nord, on peut dire qu'on était capable d'en finir avec le colonialisme espagnol touts seuls, mais que les moyens aériens français étaient plus fort que nous, au nord contre les civils avec des bombardements indiscriminé, et au sud dans le désert à découvert, sans oublier notre rôle à nous même contre l'armée de libération au sud...

2) la pensé stratégique qui a poussé la France a avoir agir ainsi, est la même qu'ils entretient aujourd'hui, mais subtilement. Il faut essayer de renverser ce piège. La France et l'espace doivent faire leurs choix publiquement et juridiquement.

Le caporal Abdel Aziz a indiqué lors d'une interview à Ratwan, que les pays européens et les US ne souhaitent pas d'un Etat entre le Maroc et la Mauritanie :

Citation :

Ould Abdel Aziz : L'Occident «ne veut pas d'un Etat entre le Maroc et la Mauritanie»

Dans une interview accordée en début de semaine au journaliste palestinien Abdel Bari Atwan, le président mauritanien a affirmé que «l’Occident, les Etats-Unis et l'Europe ne veulent pas d’un Etat séparant géographiquement la Mauritanie et le Maroc». «Tout ce que vous entendez, en dehors de ce cadre, est faux», a-t-il confié. Une position qui rappelle celle déjà exprimée en 2008 par Peter van Walsum.
...

https://www.yabiladi.com/articles/details/76945/ould-abdel-aziz-l-occident-veut.html

NEXT : Bilad Chengitt

Nos racines c'est le sahara, ce sable est dans nos veines, il nous appelle, le Mauritanie, Tindouf, Bechar, le Touat, c'est notre sang qui coule labas.
L'Empire Chérifien !

Il faut régler définitivement le conflit du sahara d'abord et après procédons étape par étape.......pour tindouf et bechar (sahara oriental ) il faudra passer par les armes. L'histoire ne fait que recommencer ce qui a commencer par les armes ne se terminera que par elles.

Inchallah, Dieu et la mémoire éternelle des martyrs (Allah Irhmhoum) est avec nous, Que Dieu pardonne à Wlad "Polisario", Dieu pardonne leurs! ils savaient pas ce qu'ils faisaient. Eux aussi ont défendu leurs terre, mais en général dans les guerres de libération, la main invisible du colonisateur leurs a fait tirer les balles sur leurs frères qu'on a peint comme ennemies (Inna Alwatan ghfour Rahim). Et malheureusement, s'ils sont devenus esclaves de la haine, et veulent se venger encore, je serait ravi de lui mettre une balle et avec joie. Je libère mon frère devenu comme les Zombies des films! Mais surtout Honte éternelle à ceux qui les ont embarqué ( les vrais traîtres) les faibles d'esprits en connaissance de cause, poubelle de l'histoire.

Une fois ces généralités dites:
A nos frères mauritaniens s'ils nous lisent, on est pas dans une perspective d'envahisseurs, de tuteurs, loin de là. Le marocain est éduqué dans la pauvreté, la modestie et la générosité. Cependant, les leçons de l'histoire disent que nous avons jamais étaient grand, que lorsque on étaient unis, l'unicité est une nécessité pour nous deux et non un luxe ou une perspective de prestige.

La Mauritanie est dans un désert, c'est une zone de tampon, elle peut avoir accès à l'Europe et à l'Afrique, c'est de là que viendra ça grandeur. La réalisation de soi vienne de la chasse en meute.

Le Maroc, même en faisant les plus grands efforts, c'est un pays facile à isolé non par les voisins, mais par des puissances, le Maroc a été un fer de lance durant son histoire pour toutes les batailles.

Stratégiquement parlant, on pourrait jamais rivaliser avec des puissances au niveau maritime. Quand on observe les pays émergents ( qui en plus avec leurs destin en main), ils ont pu résister via leurs profondeurs stratégiques terrestres, un jour viendra ou on dira que nous aimerions jouer un rôle plus important dans ce monde (ex Gibraltar), y'a qu'un accès terrestre commercial profond (jusqu'à la CEDEAO) qui peut nous donner un matelas commercial confortable et critique pour tenir tête. On peut donner l'exemple de l'OBOR terrestre, Turquie actuelle avec son environnement d'ethnie turque, Iran, Russie...

Cet accès terrestre mérite à moyen terme, tout investissement qui sera d'ailleurs plus bénéfique qu' une bénédiction de telle ou telle puissance acheté via des milliards en gré à gré. Ceux qui nous entoure au Sahel veulent pas d'un pays puissant au Maghreb qui leurs face tampon vers l'Afrique.
Il faut donner toutes les garanties possible au Nigeria, ce qui nous intéresse actuellement est beaucoup plus stratégique que la balance commerciale. Même chose pour le Sénégal...

Au niveau pratique:
Toute démocratie est bienvenue en Mauritanie, en fait vaut mieux traiter avec les peuples que des dictateurs ou militaires qui veulent défier les autres pour leurs prestige ou leurs visions étroites des choses, au détriment de leurs peuple:
1) travailler la démocratie mauritanienne, pour libérer ce peuple
2) Faut créer des faiseurs de Roi en Mauritanie,
3) Créer un fichier complet de toutes personnalité mauritanienne (commerçant, chef tribal, responsable), avec mention pro ou anti Maroc.
4) Donner à ce peuple l'intelligence et les moyens pour se libérer des jougs des anciennes puissances coloniales
5) une attention particulière au Sénégal.
6) faut peut être financer les Touareg via... en leurs assurant via agent secret le ravitaillement, et eux se financent via la logistique tout le long du Sahel jusqu'à la Lybie, jusqu'à destinataire.

Pour nous même être fort, faut faire attentions à certaines choses:
1) quand on regarde le match Turquie vs US: on peut en tirer beaucoup d'enseignement, notamment que y'a des secteurs volatiles (Tourisme, monnaie nationale et finance), toute libéralisation de notre monnaie tant que notre Sahara n'est pas libérer est une grosse connerie, et faut contrôler avec des sanctions exemplaires toutes spéculations nationales sur notre monnaie.
2) Par contre, l'industrie est le vrai fondement d'une économie. À ce niveau, faut pas croire les perroquets économistes qui nous chantent l'avantage concurrentiel et la spécialisation, y'a certains domaines qui sont de souveraineté, faut les avoir de A à Z, et le contrôle de la chaîne de valeur est très important, la spécialisation préconisé par le néolibéralisme =>doctrine coloniale US, n'est qu'un partage de la chaîne de valeur et sa dispersion sur le monde. Bien sûr y'a quelques métiers facilement récupérable en cas de crise.
3) faudrait analyser les techniques de travail en silence ou en dehors des radars des coréens, Allemands... Des peuples qui ont éviter la politique du NIF et de la confrontation.
4) Faudra analyser qui sera notre eventuel "ennemi" futur: les USA seront notre allié stratégique dans une alliance Atlantique?! L'Europe? (selon si hégémonique ou pas), quoi du comportement de l'Espagne ? va t elle rester sur son vieux disque de frottement ou alliance ? La France sera un allié que si celle ci s'affaiblisse, pour une allia'ce win-win et non considérer la région sienne exclusivement ( mais j'en doute fort, c'est l'ADN français d'être omnipotent et arrogant...

....

En 1759, Moulay Ismail a reçu l'allégeance du Bilad Chengitt, les emirats du sud Trarza et du Brakna ont fait allégeance aux alaouites ces deux emirats sont les plus au sud de la Mauritanie en territoire.
La femme de Moulay Ismail a été donné par l'emir du Brakna, Lala Khansa lmghafriya.
Avec la tribu des Ouled Dlim, ils representent les arabes Banou Hassan d'origine Maaqilite.
Une autre tribu se trouve dans l'Adrar mauritanien et y avait un emirat englobant Chingetti.



Si la France n'avait pas menacé de réagir militairement, le Bilad Chengitt serait une région marocaine aujourd'hui, l'opinion publique était en partie pro-Maroc et les personnalités qui avaient fait défection à la France rejoignaient le Maroc pour lutter.
L'emir du Trarza de l'époque a justement renouvellé l'allégeance à Hassan II et quitté son pays pour le Maroc lorsque la France a soutenu le petit tolba Ould Daddah afin qu'il prenne la présidence de la Mauritanie.
Le Trarza est la plus grande region du Mauritanie et Nouakchott la capitale s'y trouve.

Citation :

La Mauritanie est peu représentée dans le journal des Actualités françaises, au contraire de la Tunisie, du Maroc et surtout de l'Algérie. Ce curieux reportage réalisé en 1960 semble avoir été produit par la société des Actualités françaises mais n'a jamais été diffusé en salle. La raison tient probablement à la thèse défendue par le journaliste, qui prend explicitement le parti du Maroc dans l'affaire mauritanienne.

Membre de la Communauté française, la Mauritanie accède à la pleine indépendance en 1960. Le Maroc, toutefois, dénonce dans le nouvel État une création artificielle, héritée directement de la colonisation française. Il prétend exercer sa souveraineté sur le territoire, se fondant sur la thèse d'un « Grand Maroc », défendue depuis 1955 par Allal El-Fassi. Une carte présente au spectateur ce Maroc historique, s'étendant « de Tanger jusqu'à Saint-Louis du Sénégal », dont seule la partie nord aurait été « libérée ». Mohammed V a repris ces revendications territoriales à son compte en 1958. Quelques chefs mauritaniens gagnent Rabat, parmi lesquels l'émir du Trarza, Fal Ould Oumeir, nommé ministre d'État en novembre 1960. Le journaliste ne manque pas de mettre en avant la présence de Mauritaniens dans les plus hautes instances de l'État marocain. Il oppose ces derniers au « pseudo gouvernement » de Moktar Ould Daddah qu'il décrit comme entièrement soumis à la France.

De fait, le reportage semble s'inscrire dans la campagne de presse initiée par le royaume pour défendre ses prétentions sur la Mauritanie. La perspective de l'indépendance mauritanienne donne lieu à une véritable offensive diplomatique tout au long de l'année 1960. Des missions « d'amitié et de bonne volonté » sont dépêchées aux quatre coins du monde pour défendre la thèse marocaine. Le livre blanc du 4 novembre 1960 expose les fondements historiques et juridiques de ces revendications. Le gouvernement chérifien n'hésite pas à porter la question mauritanienne devant l'Organisation des nations unies, sans guère de succès : la République islamique de Mauritanie est admise à l'ONU en octobre 1961.

Islamiquement parlant le Trarza est un territoire qui reléve du pays des alaouites aujourd'hui car l'allégeance prédomine.
L'allégeance a été faite par l'emir Fall Ould Oumeir en 1960 au roi du Maroc Hassan II, pas à Ould Daddah.
Je n'ai pas évoqué le Brakna mais son cas est identique au Trarza, allégeance reçue par Moulay Ismail qui a fait une tournée dans tout le bilad Chengitt.
Quant au nord, avec la région de Nouadhibou, c'est le pays de nos Ouled Dlim.

L'extreme nord-est appartient aux Reguibat avec qui nous sommes en guerre actuellement.

AIT a écrit:

Au niveau pratique:
1) travailler la démocratie mauritanienne, pour libérer ce peuple
2) Faut créer des faiseurs de Roi en Mauritanie,
3) Créer un fichier complet de toutes personnalité mauritanienne (commerçant, chef tribal, responsable), avec mention pro ou anti Maroc.
4) Donner à ce peuple l'intelligence et les moyens pour se libérer des jougs des anciennes puissances coloniales
5) une attention particulière au Sénégal.
6) faut que financer les Touareg via... en leurs assurant via agent secret le ravitaillement, et eux se financent via la logistique tout le long du Sahel jusqu'à la Lybie jusqu'à destinataire.

Pour nous même être fort, faut faire attentions à certaines choses:
1) quand on regarde le match Turquie vs US: on peut en tirer beaucoup d'enseignement, notamment que y'a des secteurs volatiles (Tourisme, monnaie nationale et finance), toute libéralisation de notre monnaie tant que notre Sahara n'est pas libérer est une grosse connerie, et faut contrôler avec des sanctions exemplaires toute spéculations nationale sur notre monnaie.
2) Par contre, l'industrie est le vrai fondement d'une économie. À ce niveau, faut pas croire les perroquets économistes qui nous chante l'avantage concurrentiel et la spéculation, y'a certains domaines qui sont de souveraineté, faut les avoir de A à Z, et le contrôle de la chaîne de valeur est très important, la spéculation préconisé par le néolibéralisme =>doctrine coloniale US, n'est qu'un partage de la chaîne de valeur et sa dispersion sur le monde. Bien sûr y'a quelques métiers facilement récupérable en cas de crise.
3) faudrait analyser les technique de travail en silence des coréens, Allemands... Des peuples qui ont éviter la politique du NIF et de la confrontation
4) Faudra analyser qui sera notre eventuel "ennemi" futur: les USA seront notre alliés stratégique alliance Atlantique?! L'Europe (selon si hégémonique ou pas), quoi du comportement de l'Espagne ? va t elle rester sur son vieux disque de frottement ou alliance ? La France sera un allié que que celle s'affaiblisse, pour un allié win-win et non considérer la région sienne exclusivement ( mais j'en doute fort, c'est l'ADN français d'être omnipotent et arrogant...

....

Pour ça il faut que les hautes sphères de l'état aient une vision globale et a long terme de la situation..........et le courage de prendre des décisions fortes.

medi1 TV diffusera ce soir à 21 H le documentaire "de tindouf à laâyoune" réalisé par une journaliste   espagnole

mbarki_49 a écrit:

medi1 TV diffusera ce soir à 21 H le documentaire "de tindouf à laâyoune" réalisé par une journaliste   espagnole

Le live de Medi1 TV pour regarder le reportage :

https://www.medi1tv.ma/ar/live.aspx?jwsource=cl

tres bon reportage!!