Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

Finalement, la GB eu égard a la situation de Gibraltar, a tout intérêt à suivre les USA. Parce qu'un Maroc liberé de son conflit sur le Sahara (du sud) pourra regarder l'Espagne droit dans les yeux concernant les deux villes du nord. Et plus le Maroc mettra la pression sur les espagnols sur Sebta et Melilia, moins ces derniers seront à l'aise pour revendiquer Gibraltar.

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Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.

Lagouira c'est le MAROC c'est chez nous.
Ville fantôme recouverte par le sable........certe. Mais elle doit retourner dans le giron national.
la laisser sous juridiction mauritanienne tout ce temps me dépasse.

Sahara: le Polisario et son sponsor algérien pris au piège de leur guerre imaginaire.

https://m.le360.ma/politique/sahara-le-polisario-et-son-sponsor-algerien-pris-au-piege-de-leur-guerre-imaginaire-230283

https://fr.le360.ma/politique/sahara-el-othmani-il-sera-tres-difficile-pour-ladministration-biden-de-revenir-sur-la-decision-du-230280 a écrit:

L'intervention d'El othmani au parlement où il écarte que Biden revienne sur sa décision

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Invité

bradli23 a écrit:: Lagouira est une ville fantôme. En plus qu'il y reste encore des mines partout. Elle n'est d'aucun intérêt militaire poche isolé qui peut être une cible facile.
L'essentiel on a coupé la route aux sandalos vers l'Atlantique. Le port Dakhla à finaliser . Lgouira peut être transformée en une station balnéaire de choix le temps venu.

Tu semble oublier la ZEE que ce petit point isolé nous donne. Il ne faut pas le laisser aux Mauritaniens ni à qui que ce soit. La pointe de Lagouira est on ne peut plus stratégique car elle nous donne une zone maritime gigantesque. Je suppose que tout ceux qui prennent les décisions le savent mais les Mauritaniens le savent aussi et, je suppose, ils vont surement vouloir négocier leur reconnaissance contre l'occtroie de ce petit bout de territoire. Si tel est le cas (ceci n'est qu'une supposition mais c'est ce que je tenterais si j'étais à leur place), le Maroc doit etre stricle et leur dire d'aller au diable. On n'a pas besoin de leur reconnaissance.

Et oui, il faut que les FAR ou la Marine Royale place quelque chose à Lagouira. Nous en avons parlé avant. quelqu'un a expliqué que la Marine Royale contrôle les eaux au large de cette zone mais je ne pense pas que cela soit suffisant. Il faut une présence permanente sur terre avec le drapeau qui flotte au vent.

+1 alphatango.

Les notres ont bel est bien conscience de l'importance de Lgouira à l'équation.

Les Mauritaniens n'ont rien à exigé puisque ce sont retirés du conflit en 1979 et ont renonce à toute partie du Sahara par la même occasion.

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

Actualités du Sahara Marocain - Page 23 Signat10

Le maroc n’est pas bête à ce point, le gouvernement a eu la reconnaissance des USA, il va pas brader un territoire marocain à l’importance stratégique majeure pour obtenir la reconnaissance de la mauritanie....un état pauvre, entièrement désertique et avec aucun poids... De plus le peuple marocain n’accepterait jamais une telle chose si jamais l’idée leur aurait passé par la tête (ce dont je suis persuadé que ce n’est pas le cas). Il faudrait y construire une grande base navale le temps de faire avancer le mur, puis par la suite y construire une grande ville, économique, industrielle pk pas en faire un grand port, qui pourrait être un joyaux marocain au plus près de l’afrique de l’Ouest. Ya bcp de potentiel au cap blanc, ca pourrait être un nouveau dakhla, de plus n’oubliez pas le slogan de Tanger à Lagouira ! Ni l’espagne ni l’algérie ni la mauritanie n’aurons aucun grain de sable du sahara marocain.

alphatango a écrit:

bradli23 a écrit:: Lagouira est une ville fantôme. En plus qu'il y reste encore des mines partout. Elle n'est d'aucun intérêt militaire poche isolé qui peut être une cible facile.
L'essentiel on a coupé la route aux sandalos vers l'Atlantique. Le port Dakhla à finaliser . Lgouira peut être transformée en une station balnéaire de choix le temps venu.

Tu semble oublier la ZEE que ce petit point isolé nous donne. Il ne faut pas le laisser aux Mauritaniens ni à qui que ce soit. La pointe de Lagouira est on ne peut plus stratégique car elle nous donne une zone maritime gigantesque. Je suppose que tout ceux qui prennent les décisions le savent mais les Mauritaniens le savent aussi et, je suppose, ils vont surement vouloir négocier leur reconnaissance contre l'occtroie de ce petit bout de territoire. Si tel est le cas (ceci n'est qu'une supposition mais c'est ce que je tenterais si j'étais à leur place), le Maroc doit etre stricle et leur dire d'aller au diable. On n'a pas besoin de leur reconnaissance.

Et oui, il faut que les FAR ou la Marine Royale place quelque chose à Lagouira. Nous en avons parlé avant. quelqu'un a expliqué que la Marine Royale contrôle les eaux au large de cette zone mais je ne pense pas que cela soit suffisant. Il faut une présence permanente sur terre avec le drapeau qui flotte au vent.

A mon avis Lagouira n'est pas une priorité pour le moment ouvrir ce dossier maintenant serait une erreur monumentale. c'est comme ouvrir le dossier de Ceuta et Mellila, il y a comme un accord tacite entre nous et les mauritaniens mais ils savent que Lagouira nous reviens.
Le polisario à toujours fait miroiter aux Mauritaniens que c'est lui qui joue le rôle pare feu contre les intentions expansionnistes du Maroc contre la Mauritanie selon leur propagonde. donc s'installer maintenant a Lagouira ne va que renforcer cette propagonde et nous faire perdre l'appui de la Mauritanie qu'on a commencé a sentir.
Il ne faut pas laisser encore la Mauritanie basculer dans l'autre camp comme ça était le cas les dernières années.
Lagouira est marocaine et le restera toujours je n'ai aucun doute la dessus, mais je pense que le moment est mal choisi d'entreprendre la construction d'une base navale ou autre.
On ne doit pas ouvrir plusieurs front à la fois. La ZEE n'a pas été encore négocié avec l'Espagne et de toute façon cette zone est loin des intérêts de l'Espagne . C'est les eaux autour des îles canarais qui l'intéresse. l'espagne ne va jamais contester la Zone devant Lagouira, la Mauritanie peut être.

Faut tout régler a la prochaine réunion au sommet avec les Mauritaniens . On a plus de temps a perdre

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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alphatango a écrit:

bradli23 a écrit:: Lagouira est une ville fantôme. En plus qu'il y reste encore des mines partout. Elle n'est d'aucun intérêt militaire poche isolé qui peut être une cible facile.
L'essentiel on a coupé la route aux sandalos vers l'Atlantique. Le port Dakhla à finaliser . Lgouira peut être transformée en une station balnéaire de choix le temps venu.

Tu semble oublier la ZEE que ce petit point isolé nous donne. Il ne faut pas le laisser aux Mauritaniens ni à qui que ce soit. La pointe de Lagouira est on ne peut plus stratégique car elle nous donne une zone maritime gigantesque. Je suppose que tout ceux qui prennent les décisions le savent mais les Mauritaniens le savent aussi et, je suppose, ils vont surement vouloir négocier leur reconnaissance contre l'occtroie de ce petit bout de territoire. Si tel est le cas (ceci n'est qu'une supposition mais c'est ce que je tenterais si j'étais à leur place), le Maroc doit etre stricle et leur dire d'aller au diable. On n'a pas besoin de leur reconnaissance.

Et oui, il faut que les FAR ou la Marine Royale place quelque chose à Lagouira. Nous en avons parlé avant. quelqu'un a expliqué que la Marine Royale contrôle les eaux au large de cette zone mais je ne pense pas que cela soit suffisant. Il faut une présence permanente sur terre avec le drapeau qui flotte au vent.

Lagouira au delà de son importance stratégique et économique est devenue un symbole pour toute la nation. Nous avons été bercés par la phrase "de Tanger à Laguira" depuis notre tendre enfance.

Aucun gouvernant marocain n’osera sacrifié cette bourgade au risque d'avoir toute la nation contre lui.

Mais je suis d'accord que ce n'est pas le moment de l'investir. Attendons la consolidation de nos positions suite au derniers évènements avant d'agir.

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لك الله ياوطني

Lagouira c est au moin 100 000 km2 de ZEE. N oublions pas que la Mauritanie et le Sénégal ont trouvé d'importants gisements de gaz et de pétrole dans leur côte ce qui indique que ns aussi nous avons de forte chance d en trouver surtout que nous avons plus de ZEE donc non pas question de laisser tomber cette localité aux mauritaniens.

Quand je lis la tribune qu'offre "le monde" aux ennemis de notre nation ( ici, le texte "abonné" integral c'est le même disque, aucune nuance ), ca me confirme que l'algérie et son proxy sont très loin d'être les seuls obstacles à l'intégrité du Maroc.

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Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.

B.Bolden a écrit:: Quand je lis la tribune qu'offre "le monde" aux ennemis de notre nation ( ici, le texte "abonné" integral c'est le même disque, aucune nuance ), ca me confirme que l'algérie et son proxy sont très loin d'être les seuls obstacles à l'intégrité du Maroc.

Le monde n'offre pas elle est payé

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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simplet a écrit:: Le monde n'offre pas elle est payé

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Payée ou pas, ce n'est vraiment pas ce qui m’intéresse.

En revanche, comment on ferme son clapet à un prof de droit international marocophobe, ça oui. Et ce ne sont pas les arguments qui manquent, surtout sur le concept d'autodetermination sur lequel ce genre de rageux se raccroche.

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Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.

Citation :: Pourquoi le Maroc doit revendiquer le Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf….

Intégrité territoriale et souveraineté nationale

Le temps des révélations historiques et des documents juridiques resurgit et comme par enchantement semble reprendre le dessus dans cette affaire du Sahara marocain , qui constitue à n’en pas douter le plus grand hold-up du siècle.

Fabriquée de toutes pièces par le pouvoir de Boumediene, elle a bénéficié notamment de conditions que les marxistes qualifient « d’objectives », autrement dit du contexte de la guerre froide, qui opposait les deux blocs de l’époque, occidental d’un côté et soviétique de l’autre. Elle a également été subvertie par la littérature et le catéchisme politique des années soixante à l’aune du triomphe relatif du langage socialiste sur lequel l’Algérie et certains Etats du Tiers-monde avaient allègrement surfé. Tant et si bien que, soutenus par l’Union soviétique de l’époque, ils croyaient investir et « coloniser » pour de bon le cadre des Nations unies, l’Assemblée générale, le Conseil de sécurité et la 4ème Commission devenue le théâtre de subterfuges algériens, ainsi que d’autres organes.

Nous gardons toujours en mémoire cette image grotesque d’un Abdelaziz Bouteflika, affublé , grisé par son quolibet de « plus jeune ministre des Affaires étrangères » qui paradait sur les travées de l’ONU, un cigare Cohiba au bec, fabulant et ergotant à n’en plus finir sur les thèmes de l’anticolonialisme, la libération des peuples, la glorieuse et révolutionnaire Algérie…Sauf qu’au sujet du Sahara marocain dont Boumediene venait de faire le cheval de bataille de son expansionnisme rampant, il se heurtait lamentablement à plus fort que lui, à plus éloquent et déterminé, un certain Ahmed Taibi Benhima, ministre des Affaires étrangères du Maroc. La 4ème Commission de l’ONU était, à notre corps défendant, transformée en champ clos algérien, une sorte de chambre d’enregistrement des manœuvres de Bouteflika et consorts, noyée dans la propagande d’Alger au nom du Tiers-Monde.

Le Maroc a posé la question de son Sahara dès 1956

Ni les grandes puissances, ni a fortiori les Nations unies n’avaient prêté attention à un facteur décisif dans cette affaire, celui du fait que l’Algérie n’existait pas en tant qu’Etat constitué et reconnu avant 1962. Non plus qu’elle était d’abord une province turque avant de devenir un département français en 1830…Non plus que le Maroc, en accédant à son indépendance en novembre 1955 et mars 1956, avait posé résolument la question, aussi bien à la France et l’Espagne qu’aux Nations unies, de la récupération de ses territoires spoliés du Sahara qui vont de Lagouira – on dira à présent de Guerguérate aussi – jusqu’aux confins du sud-est, incorporant le Tidikelt, le Touat, Saoura, Gourara, Bechar et Tindouf…

Tous ces territoires du Sahara central appartiennent au Maroc de jure et de facto, concédés arbitrairement et unilatéralement par la France coloniale à l’Algérie en 1962 . Les archives historiques, les traités, les pièces officielles en témoignent. Ils avaient été arrachés au Royaume chérifien du Maroc, sans scrupules, sans accords signés, sans négociations, mais en violation du droit international, avec cette invocation fallacieuse du « fait accompli ». Ils étaient incorporés dans le grand projet que la France avait lancé et mis en place en 1957 de l’OCRS ( Organisation commune des régions sahariennes). Le lancement de de projet géoéconomique ambitieux avait eu pour première conséquence immédiate d’arracher une partie de leurs territoires au Maroc, au Mali, à la Mauritanie, au Niger et à l’Algérie coloniale. Dans l’esprit des géniaux stratèges français, habitués à l’époque à travailler sur des cartes un crayon et un ciseau à la main, ce projet devait finir par constituer in fine un territoire autonome voire même un minuscule Etat voué à fournir à la France pétrole, gaz, fer et sidérurgie, toutes ressources stratégiques à l’époque.

Des territoires grignotés , « bouffés » à droite et à gauche de cet immense espace désertique, la France entendait y faire, selon une suggestion d’Alain Peyrefitte – alors ministre de l’Intérieur – un Etat indépendant, le Maroc étant en premier rogné dans sa profondeur géographique et l’Algérie héritant d’un territoire devenu démesurément « gonflé ». La responsabilité de la France est évidemment lourde. Et soixante ans après, les conséquences de sa politique de partage léonin – au détriment du Royaume du Maroc – ne l’atténuent nullement. Les archives coloniales enfouies au Centre historique du ministère français de la Défense à Vincennes , consacrées à sa présence de plus de 43 ans au Maroc, témoigneraient vite de l’injustice absolue qui a été faite à notre pays. Autrement dit, la partition arbitraire a été entérinée aussi impunément que pouvait l’être une violation par un Etat fort – la France – contre un pays affaibli, morcelé à la Conférence d’Algésiras en 1906 par les impérialismes de toutes sortes, objet ensuite d’agressions commises par les puissances, l’Espagne au nord et au sud, la France au milieu et sur le littoral…

Jamais jusque-là , en effet, l’intégrité territoriale du Royaume chérifien n’avait été mise en cause . Et l’Algérie, fief reculé vers l’ouest de l’empire ottoman, colonisée par la France en 1830, n’existait pas en tant qu’Etat, sinon sous forme d’un département français avec un peuple que le Maroc , fondant ses espoirs unitaires dans sa future émancipation soutiendra et appuiera dans sa lutte à partir de 1956.

Les germes de la trahison algérienne

Les germes de la trahison algérienne envers le Maroc existaient-elles déjà dans l’esprit des futurs dirigeants algériens ? Ils étaient nombreux à faire le voyage de Rabat, à obtenir l’aide, en argent et en armes, des Rois du Maroc, en l’occurrence Mohammed V et Hassan II. Ils faisaient tous serment de fraternité envers notre pays et ses institutions. Il a été dit, ici et là, que ceux qui formaient ce qu’on appelle « le clan d’Oujda », entre autres Boumediene et Bouteflika qui y avaient pignon sur rue, se sont en fin de compte révélés être au lendemain de l’indépendance les plus obsessionnellement antimarocains… L’un et l’autre ont tout simplement enterré la gratitude et la fraternité du peuple du Maroc, comme aussi cette déclaration solennelle de Juillet 1961 signée par Farhat Abbas, président du GRPA à Rabat avec le Roi Hassan II, et reconnaissant clairement les frontières internationales du Maroc…

Membre fondateur de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) en 1961, le Maroc avait rejeté dans la foulée la sinistre théorie de « l’uti possidetis » ou « d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme » que les résidus de la littérature coloniale entendaient perpétuer. Car, le Maroc en accédant à l’indépendance en 1956 avait aussi réclamé avec force le parachèvement de son intégrité territoriale, ensuite déposé une requête aux Nations unies pour revendiquer ipso facto son territoire du sud occupé depuis 1934 par l’Espagne, comme il fera de nouveau en 1962-63 et en défendra bec et ongles le principe de décolonisation devant la fameuse 4ème Commission des Nations unies, harcelée et transformée plus tard en « chasse gardée » par l’Algérie. Or, dès la création de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1963, le Maroc n’a cessé de rejeter la clause sur l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme. La communauté mondiale des juristes y faisait écho. En témoigne le texte que Maurice Flory, professeur de droit et de science politique à l’Université d’Aix-en-Provence, à l’époque observateur pertinent du dossier du Sahara, écrivait : « Le territoire, écrivait-il, est source de contentieux. L’apparition des nouveaux Etats issus de la décolonisation ne pouvait que multiplier les difficultés en raison du caractère le plus souvent artificiel des frontières coloniales. Aussi l’une des premières initiatives de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) a-t-elle été le vote d’une recommandation destinée à geler la situation telle qu’elle résulte du découpage colonial afin d’éviter une remise en cause généralisée qui aurait été la source d’un gigantesque et inépuisable contentieux

« Il eût été trop beau de croire qu’une recommandation pouvait régler un problème aussi complexe. L’affaire du Sahara occidental en est l’illustration ». .(Cf. Maurice Flory : « L’Avis de la Cour Internationale de Justice sur le Sahara occidental, 16 octobre 1975)

Ce témoignage, on ne peut plus éloquent, se suffit à lui-même. Il rejoint et résume la position du Royaume du Maroc qui, documents et pièces à conviction à l’appui, affirme avec force que le Sahara n’a jamais été « terra nullius » et , l’avis de la CIJ l’a démontré, des liens juridiques et historiques forts, ont toujours existé depuis la nuit des temps avec le Royaume du Maroc. A telle enseigne que la monnaie du territoire était frappée à l’effigie du Roi, la prière du vendredi dite en son nom et les actes d’allégeance prêtés régulièrement à son endroit. Les gouverneurs et les autorités relevaient du pouvoir du Roi qui les nommait, à Smara, Dakhla, Tindouf, Bechar …

Boumediene ou le mimétisme de Bismarck

Rien ne viendra modifier ce cours des faits tangibles qui sont à l’histoire du Maroc ce que le souffle est à la vie. Ils sont consubstantiels à sa mémoire éternelle, et la colonisation à géométrie variable du Maroc par les impérialismes divers ne fera que renforcer le sentiment nationalitaire de son peuple. Or, une fois la France partie du Maroc après l’avoir dépecé et morcelé jusqu’à la caricature, après que l’Espagne de Franco eût aussi rétrocédé sous la pression de la Marche verte le Sahara en signant le 14 novembre 1975 l’Accord tripartite de Madrid, voilà que l’ambitieux Boukharrouba, alias Boumediene se prit pour le Bismarck de la région, jetant son dévolu sur les frontières de ses voisins, Maroc et Tunisie, grignotant sans vergogne des portions significatives de leurs territoires et, comble de l’arrogance, reluquant le Sahara marocain…

Les promesses faites au Roi Hassan II lors du Sommet bilatéral d’Ifrane en janvier 1969 sur les frontières , non seulement n’ont jamais été respectées, mais elles se sont transmuées en déclarations de guerre sur fond de cynisme algérien que l’agression de l’ANP de janvier-février 19676 contre Amgala est venue confirmer. Le Sommet d’Ifrane aura été de ce fait le premier et sans doute le dernier de son genre à avoir abordé le sujet des frontières du sud-est marocain entre les deux pays. Ces frontières qui n’en ont que le nom constituent à vrai dire le plus révoltant scandale de l’histoire de la région des années soixante. La démonstration est plus que faite explicitement que l’Algérie, de pays colonisé est devenue la « puissance coloniale » de la région , dans le sillage des puissances française et espagnole, elle est leur héritière naturelle, parce qu’elle n’a de cesse de mettre en œuvre l’expansionnisme le plus abject et le plus pervers.

Force est de nous interroger à présent si, comme un impératif catégorique, nécessité n’a pas lieu pour le Maroc de poser les termes d’une revendication sérieuse et opposable à l’Algérie des territoires spoliés que sont entre autres Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf dont la preuve de leur appartenance historique au Maroc est plus que tangible et évidente ?

MAROC DIPLOMATIE

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لك الله ياوطني

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Citation :: Pourquoi le Maroc doit revendiquer le Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf….

Intégrité territoriale et souveraineté nationale

Le temps des révélations historiques et des documents juridiques resurgit et comme par enchantement semble reprendre le dessus dans cette affaire du Sahara marocain , qui constitue à n’en pas douter le plus grand hold-up du siècle.

Fabriquée de toutes pièces par le pouvoir de Boumediene, elle a bénéficié notamment de conditions que les marxistes qualifient « d’objectives », autrement dit du contexte de la guerre froide, qui opposait les deux blocs de l’époque, occidental d’un côté et soviétique de l’autre. Elle a également été subvertie par la littérature et le catéchisme politique des années soixante à l’aune du triomphe relatif du langage socialiste sur lequel l’Algérie et certains Etats du Tiers-monde avaient allègrement surfé. Tant et si bien que, soutenus par l’Union soviétique de l’époque, ils croyaient investir et « coloniser » pour de bon le cadre des Nations unies, l’Assemblée générale, le Conseil de sécurité et la 4ème Commission devenue le théâtre de subterfuges algériens, ainsi que d’autres organes.

Nous gardons toujours en mémoire cette image grotesque d’un Abdelaziz Bouteflika, affublé , grisé par son quolibet de « plus jeune ministre des Affaires étrangères » qui paradait sur les travées de l’ONU, un cigare Cohiba au bec, fabulant et ergotant à n’en plus finir sur les thèmes de l’anticolonialisme, la libération des peuples, la glorieuse et révolutionnaire Algérie…Sauf qu’au sujet du Sahara marocain dont Boumediene venait de faire le cheval de bataille de son expansionnisme rampant, il se heurtait lamentablement à plus fort que lui, à plus éloquent et déterminé, un certain Ahmed Taibi Benhima, ministre des Affaires étrangères du Maroc. La 4ème Commission de l’ONU était, à notre corps défendant, transformée en champ clos algérien, une sorte de chambre d’enregistrement des manœuvres de Bouteflika et consorts, noyée dans la propagande d’Alger au nom du Tiers-Monde.

Le Maroc a posé la question de son Sahara dès 1956

Ni les grandes puissances, ni a fortiori les Nations unies n’avaient prêté attention à un facteur décisif dans cette affaire, celui du fait que l’Algérie n’existait pas en tant qu’Etat constitué et reconnu avant 1962. Non plus qu’elle était d’abord une province turque avant de devenir un département français en 1830…Non plus que le Maroc, en accédant à son indépendance en novembre 1955 et mars 1956, avait posé résolument la question, aussi bien à la France et l’Espagne qu’aux Nations unies, de la récupération de ses territoires spoliés du Sahara qui vont de Lagouira – on dira à présent de Guerguérate aussi – jusqu’aux confins du sud-est, incorporant le Tidikelt, le Touat, Saoura, Gourara, Bechar et Tindouf…

Tous ces territoires du Sahara central appartiennent au Maroc de jure et de facto, concédés arbitrairement et unilatéralement par la France coloniale à l’Algérie en 1962 . Les archives historiques, les traités, les pièces officielles en témoignent. Ils avaient été arrachés au Royaume chérifien du Maroc, sans scrupules, sans accords signés, sans négociations, mais en violation du droit international, avec cette invocation fallacieuse du « fait accompli ». Ils étaient incorporés dans le grand projet que la France avait lancé et mis en place en 1957 de l’OCRS ( Organisation commune des régions sahariennes). Le lancement de de projet géoéconomique ambitieux avait eu pour première conséquence immédiate d’arracher une partie de leurs territoires au Maroc, au Mali, à la Mauritanie, au Niger et à l’Algérie coloniale. Dans l’esprit des géniaux stratèges français, habitués à l’époque à travailler sur des cartes un crayon et un ciseau à la main, ce projet devait finir par constituer in fine un territoire autonome voire même un minuscule Etat voué à fournir à la France pétrole, gaz, fer et sidérurgie, toutes ressources stratégiques à l’époque.

Des territoires grignotés , « bouffés » à droite et à gauche de cet immense espace désertique, la France entendait y faire, selon une suggestion d’Alain Peyrefitte – alors ministre de l’Intérieur – un Etat indépendant, le Maroc étant en premier rogné dans sa profondeur géographique et l’Algérie héritant d’un territoire devenu démesurément « gonflé ». La responsabilité de la France est évidemment lourde. Et soixante ans après, les conséquences de sa politique de partage léonin – au détriment du Royaume du Maroc – ne l’atténuent nullement. Les archives coloniales enfouies au Centre historique du ministère français de la Défense à Vincennes , consacrées à sa présence de plus de 43 ans au Maroc, témoigneraient vite de l’injustice absolue qui a été faite à notre pays. Autrement dit, la partition arbitraire a été entérinée aussi impunément que pouvait l’être une violation par un Etat fort – la France – contre un pays affaibli, morcelé à la Conférence d’Algésiras en 1906 par les impérialismes de toutes sortes, objet ensuite d’agressions commises par les puissances, l’Espagne au nord et au sud, la France au milieu et sur le littoral…

Jamais jusque-là , en effet, l’intégrité territoriale du Royaume chérifien n’avait été mise en cause . Et l’Algérie, fief reculé vers l’ouest de l’empire ottoman, colonisée par la France en 1830, n’existait pas en tant qu’Etat, sinon sous forme d’un département français avec un peuple que le Maroc , fondant ses espoirs unitaires dans sa future émancipation soutiendra et appuiera dans sa lutte à partir de 1956.

Les germes de la trahison algérienne

Les germes de la trahison algérienne envers le Maroc existaient-elles déjà dans l’esprit des futurs dirigeants algériens ? Ils étaient nombreux à faire le voyage de Rabat, à obtenir l’aide, en argent et en armes, des Rois du Maroc, en l’occurrence Mohammed V et Hassan II. Ils faisaient tous serment de fraternité envers notre pays et ses institutions. Il a été dit, ici et là, que ceux qui formaient ce qu’on appelle « le clan d’Oujda », entre autres Boumediene et Bouteflika qui y avaient pignon sur rue, se sont en fin de compte révélés être au lendemain de l’indépendance les plus obsessionnellement antimarocains… L’un et l’autre ont tout simplement enterré la gratitude et la fraternité du peuple du Maroc, comme aussi cette déclaration solennelle de Juillet 1961 signée par Farhat Abbas, président du GRPA à Rabat avec le Roi Hassan II, et reconnaissant clairement les frontières internationales du Maroc…

Membre fondateur de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) en 1961, le Maroc avait rejeté dans la foulée la sinistre théorie de « l’uti possidetis » ou « d’intangibilité des frontières héritées du colonialisme » que les résidus de la littérature coloniale entendaient perpétuer. Car, le Maroc en accédant à l’indépendance en 1956 avait aussi réclamé avec force le parachèvement de son intégrité territoriale, ensuite déposé une requête aux Nations unies pour revendiquer ipso facto son territoire du sud occupé depuis 1934 par l’Espagne, comme il fera de nouveau en 1962-63 et en défendra bec et ongles le principe de décolonisation devant la fameuse 4ème Commission des Nations unies, harcelée et transformée plus tard en « chasse gardée » par l’Algérie. Or, dès la création de l’Organisation de l’Unité Africaine en 1963, le Maroc n’a cessé de rejeter la clause sur l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme. La communauté mondiale des juristes y faisait écho. En témoigne le texte que Maurice Flory, professeur de droit et de science politique à l’Université d’Aix-en-Provence, à l’époque observateur pertinent du dossier du Sahara, écrivait : « Le territoire, écrivait-il, est source de contentieux. L’apparition des nouveaux Etats issus de la décolonisation ne pouvait que multiplier les difficultés en raison du caractère le plus souvent artificiel des frontières coloniales. Aussi l’une des premières initiatives de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) a-t-elle été le vote d’une recommandation destinée à geler la situation telle qu’elle résulte du découpage colonial afin d’éviter une remise en cause généralisée qui aurait été la source d’un gigantesque et inépuisable contentieux

« Il eût été trop beau de croire qu’une recommandation pouvait régler un problème aussi complexe. L’affaire du Sahara occidental en est l’illustration ». .(Cf. Maurice Flory : « L’Avis de la Cour Internationale de Justice sur le Sahara occidental, 16 octobre 1975)

Ce témoignage, on ne peut plus éloquent, se suffit à lui-même. Il rejoint et résume la position du Royaume du Maroc qui, documents et pièces à conviction à l’appui, affirme avec force que le Sahara n’a jamais été « terra nullius » et , l’avis de la CIJ l’a démontré, des liens juridiques et historiques forts, ont toujours existé depuis la nuit des temps avec le Royaume du Maroc. A telle enseigne que la monnaie du territoire était frappée à l’effigie du Roi, la prière du vendredi dite en son nom et les actes d’allégeance prêtés régulièrement à son endroit. Les gouverneurs et les autorités relevaient du pouvoir du Roi qui les nommait, à Smara, Dakhla, Tindouf, Bechar …

Boumediene ou le mimétisme de Bismarck

Rien ne viendra modifier ce cours des faits tangibles qui sont à l’histoire du Maroc ce que le souffle est à la vie. Ils sont consubstantiels à sa mémoire éternelle, et la colonisation à géométrie variable du Maroc par les impérialismes divers ne fera que renforcer le sentiment nationalitaire de son peuple. Or, une fois la France partie du Maroc après l’avoir dépecé et morcelé jusqu’à la caricature, après que l’Espagne de Franco eût aussi rétrocédé sous la pression de la Marche verte le Sahara en signant le 14 novembre 1975 l’Accord tripartite de Madrid, voilà que l’ambitieux Boukharrouba, alias Boumediene se prit pour le Bismarck de la région, jetant son dévolu sur les frontières de ses voisins, Maroc et Tunisie, grignotant sans vergogne des portions significatives de leurs territoires et, comble de l’arrogance, reluquant le Sahara marocain…

Les promesses faites au Roi Hassan II lors du Sommet bilatéral d’Ifrane en janvier 1969 sur les frontières , non seulement n’ont jamais été respectées, mais elles se sont transmuées en déclarations de guerre sur fond de cynisme algérien que l’agression de l’ANP de janvier-février 19676 contre Amgala est venue confirmer. Le Sommet d’Ifrane aura été de ce fait le premier et sans doute le dernier de son genre à avoir abordé le sujet des frontières du sud-est marocain entre les deux pays. Ces frontières qui n’en ont que le nom constituent à vrai dire le plus révoltant scandale de l’histoire de la région des années soixante. La démonstration est plus que faite explicitement que l’Algérie, de pays colonisé est devenue la « puissance coloniale » de la région , dans le sillage des puissances française et espagnole, elle est leur héritière naturelle, parce qu’elle n’a de cesse de mettre en œuvre l’expansionnisme le plus abject et le plus pervers.

Force est de nous interroger à présent si, comme un impératif catégorique, nécessité n’a pas lieu pour le Maroc de poser les termes d’une revendication sérieuse et opposable à l’Algérie des territoires spoliés que sont entre autres Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf dont la preuve de leur appartenance historique au Maroc est plus que tangible et évidente ?

MAROC DIPLOMATIE

c'est la phase II de notre offensive ?

Il faut mettre ce dossier sur la table, pour qu'ils soient en position de défense.

Nous avions un accord sur le tracé de la frontière entre nos 2 pays, mais ils n'ont pas respecté les modalités :

- Qu'ils laissent tomber les Sendalos
- Exploitation commune des mines de fer de Tindouf

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Socket-error a écrit:: Il faut mettre ce dossier sur la table, pour qu'ils soient en position de défense.

Nous avions un accord sur le tracé de la frontière entre nos 2 pays, mais ils n'ont pas respecté les modalités :

- Qu'ils laissent tomber les Sendalos
- Exploitation commune des mines de fer à Tindouf

jusqu'au plus profond de leur zdagaadag

Il n’ya point de négociation avec ces gens là. Pour récupérer nos terre spoliés il faudra passer par les armes.
Nous nous sommes pas encore prêt....

Comme nous l’avons tous dis ici, le maroc avance par étapes. Il attend de définitivement boucler le dossier du sahara marocain pour traiter celui des territoires occupés par l’espagne au nord et celui du sahara oriental. On voit bien que le maroc commence à devenir agressif et prépare l’arrivée de ces sujets sur la table. La sortie du chef du gouvernement El othamnie sur les enclaves occupées n’était pas le fait du hasard ou juste pour faire beau. Il a clairement dit aux espagnols continuez votre hypocrisie vous inquiétez pas on va bientôt y arriver au dossier du nord. J’attends la même chose de sa part au sujet du sahara oriental. Il faut que les algeriens commencent à voir la vérité en face, que ca va peter et cette fois-ci, on ne s’arrêtera que lorsque le sahara oriental sera retourné à ses vrais propriétaires. Ils se croient en sécurité, mais attention comme l’a dit monsieur Bourita, le maroc agit en silence, loin des grands blabla et cameras. Les gros achats effectués c’est pour donner une triha à l’anp et la remettre a sa place, c’est à dire une armée de pays sous développé avec aucune économie ni industrie, armée sans expérience et qui s’est fait malmené par des barbus en sandalettes pendant 10 ans alors qu’ils ne bénéficiaient D’AUCUN soutient extérieur, aucun fournisseur d’arme, pas de base arrière SÛR, pas de MILLIARDS À VOLONTÉ. 10 ans de triha, et ils sont font malmené encore, ils ne contrôlent nada dans leur bac à sable. C’est ça la réalité de l’ANP, rien à voir avec le professionnalisme, la combativité et le sérieux de nos FAR.
On verra si leurs multiples cirques à la frontière leur serviront a quelque chose. Ces idiots ont placés leurs bases à portée de nos bombardements, ça n dit long sur le sens dans lequel va aller la guerre qui aura lieu de manière quasi-certaine.

Anzarane a écrit:: Il n’ya point de négociation avec ces gens là. Pour récupérer nos terre spoliés il faudra passer par les armes.
Nous nous sommes pas encore prêt....

Il n'y aura pas à passer par les armes inch'Allah, quand laljiri sera lybianisée le monde comptera sur nous pour sécuriser l'ouest du Sahara dit aljirien afin d'y contenir l'expansion du grand méchant loup islamiste.
On le fera avec d'autant plus de plaisir que nous revendiquons ces régions. Et tout comme certains habitants de Tripolitaine se sont souvenus de leur origines turques pas si lointaines, les algériens de Tindouf du Touat de la saoura etc etc se souviendront de leurs origines marocaines encore moins lointaines. Et pour ces régions, les archives du Makhzen regorgent de documents administratifs. Entre les dahirs nommant les caïds dans les oasis et les documents fiscaux on a de quoi faire.

Tanjawi a écrit:: Comme nous l’avons tous dis ici, le maroc avance par étapes. Il attend de définitivement boucler le dossier du sahara marocain pour traiter celui des territoires occupés par l’espagne au nord et celui du sahara oriental. On voit bien que le maroc commence à devenir agressif et prépare l’arrivée de ces sujets sur la table. La sortie du chef du gouvernement El othamnie sur les enclaves occupées n’était pas le fait du hasard ou juste pour faire beau. Il a clairement dit aux espagnols continuez votre hypocrisie vous inquiétez pas on va bientôt y arriver au dossier du nord. J’attends la même chose de sa part au sujet du sahara oriental. Il faut que les algeriens commencent à voir la vérité en face, que ca va peter et cette fois-ci, on ne s’arrêtera que lorsque le sahara oriental sera retourné à ses vrais propriétaires. Ils se croient en sécurité, mais attention comme l’a dit monsieur Bourita, le maroc agit en silence, loin des grands blabla et cameras. Les gros achats effectués c’est pour donner une triha à l’anp et la remettre a sa place, c’est à dire une armée de pays sous développé avec aucune économie ni industrie, armée sans expérience et qui s’est fait malmené par des barbus en sandalettes pendant 10 ans alors qu’ils ne bénéficiaient D’AUCUN soutient extérieur, aucun fournisseur d’arme, pas de base arrière SÛR, pas de MILLIARDS À VOLONTÉ. 10 ans de triha, et ils sont font malmené encore, ils ne contrôlent nada dans leur bac à sable. C’est ça la réalité de l’ANP, rien à voir avec le professionnalisme, la combativité et le sérieux de nos FAR.
On verra si leurs multiples cirques à la frontière leur serviront a quelque chose. Ces idiots ont placés leurs bases à portée de nos bombardements, ça n dit long sur le sens dans lequel va aller la guerre qui aura lieu de manière quasi-certaine.

Je suis tout à fait d'accord avec ton analyse et j'ai envie d'ajouter quelques éléments d'observations :
Leur propagande acharnée est un indice probant de leur échec et de leur incapacité à faire face à une armée comme les FAR .Si ces gens étaient capables , ils nous auraient attaqué lorsqu'ils avaient à leur disposition 1400 milliards de dollars ; et s'ils ne l'ont pas fait à l'époque , ce n'est pas par bonté fraternelle ! D'autre part , l'armement Russe s'est avéré problématique en Libye et en Arménie .Car il y'a une différence entre les manoeuvres ou il n'y a personne en face et la réalité .Nous avons tendance également à oublier qu'au début du conflit du Sahara , notre armée était partie avec des handicaps inimaginables: privés de nos meilleurs officiers très expérimentés à cause des coups d'état , mal armés à cause de l'embargo imposé par Jimmy Carter, modestement entrainés ; ne connaissant pas trop le terrain ,nous n'avions que notre courage pour résister à l'ennemi . Mais malgré toutes ces difficultés, nous les avions vaincus avec peu de moyens .Je me souviens de certains récits d'officiers des FAR qui disait que le polz avait des chars équipés de vision de nuit , alors que nous, nous étions aveugles et très vulnérables lors des attaques de nuits. N'oubliant pas non plus, les orgues de Staline et toutes sortes de missiles et d'un encadrement venu du pacte de Varsovie !Au final , le polz et son souteneur sont réduits aujourd'hui à faire des montages infantiles pour endormir leur peuple ! N'est-ce pas là un aveux d'échec ?

https://ledesk.ma/2020/12/29/sahara-lalgerie-mobilise-le-cabinet-foley-hoag-contre-les-accords-maroc-usa/ a écrit:

Ca en devient maladif vraiment, claqué ses derniers deniers pour nous porter préjudice , à chaque fois je me pose la question de l'utilité de garder des relations diplomatiques avec cet ennemi parceque c'est le mot ..

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Je ne sais pas qui disait attendant l'UMA ! Mais ce régime dépensera le dernier $ pour nous nuire ! Ils veulent faire peur aux entreprises US pour ne pas investir dans notre Sahara Shocked

Citation :: Sahara : L'Algérie mobilise le cabinet Foley Hoag contre les accords Maroc USA

https://ledesk.ma/2020/12/29/sahara-lalgerie-mobilise-le-cabinet-foley-hoag-contre-les-accords-maroc-usa/

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Socket-error a écrit:

Je ne sais pas qui disait attendant l'UMA ! Mais ce régime dépensera le dernier $ pour nous nuire ! Ils veulent faire peur aux entreprises US pour ne pas investir dans notre Sahara Shocked

Citation :: Sahara : L'Algérie mobilise le cabinet Foley Hoag contre les accords Maroc USA

https://ledesk.ma/2020/12/29/sahara-lalgerie-mobilise-le-cabinet-foley-hoag-contre-les-accords-maroc-usa/

C'est grave oulah l3adim c'est contraire à tout les principes de bon voisinage, d'islam de fraternité ce qu'ont veut mais y'a une justice divine et ils vont le payer , je ne connais aucun pays au monde qui a un voisin pareil même les nord-coréens ne font pas sa à leur voisin du sud .Allah yakhoud l7a9 , je comprends toujours pas qu'on garde une ambassade d'un régime pareil chez nous

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L'ambassadeur DZ à Rabat, c'est juste pour éviter une guerre direct avec eux, pour que les choses ne dégénèrent pas

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Pourquoi le Maroc doit revendiquer le Touat, Tidikelt, Gourara, Saoura , Bechar et Tindouf….

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Sahara : L'Algérie mobilise le cabinet Foley Hoag contre les accords Maroc USA

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