Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

jimmyhendrix a écrit:

L'Est utilise tous les moyens possibles et imaginables ,et tout indique qu'ils veulent le Sahara pour eux et leur degré de motivation élevé le démontre .Quant au  Maroc , lui, il attend les bras croisés que Biden confirme la reconnaissance,  l'Europe reconnait le Sahara ,ou que le régime en algérie change !Il y'a pourtant beaucoup de choses à dénoncer en matière de droit de l'homme ,comme le chercheur d'or sahraoui qui a été brulé vivant par leur armée , une population hétérogène ( en grande partie non Sahraoui ) encerclée , enfermée et maltraitée, des détournements d'aides alimentaires ,des crimes commis par les dirigeants du plz et qui sont poursuivis par le tribunal Espagnol , les violations ne manquent pas !Malheureusement notre pays reste sur la défensive , les politologues ou journalistes sont en grande difficulté face à leurs contradicteurs lors des débats médiatisés ,aucune initiative n'est prise pour contrer nos ennemis, et si nous sommes souvent attaqués par certains pays , c'est parce que notre inertie est interprétée comme une faiblesse .N'oublions surtout pas qu'une guerre se gagne aussi avec les initiatives médiatisées : c'est le cas de l'Afrique du Sud qui a permis à Mandela de prendre le pouvoir face au régime d'apartheid, ou d'arrêter la guerre du Vietnam. Les Israéliens ont compris dès le début qu'il fallait se doter d'une section de désinformation pour contrer leurs ennemis .Alors que nous et en dehors de notre ambassadeur à l'ONU et notre ministre des affaires étrangères , on a l'impression que beaucoup de gens ne font pas leur travail ,et au premier chef, les associations qui reçoivent pourtant beaucoup d'argent , mais qu'on les entend jamais! Si notre pays veut que notre cause nationale et légitime soit respectée , il va falloir se doter de tous les instruments qui permettront à notre nation de se défendre .

Superbe intervention, tu as tout dit.

BOUBOU a écrit:

en regardant la carte, je ne voit pas de "potentialité viable" ou avec un intérêt économique et sociale.

si quelqu'un pouvait nous faire un topo sur les possibilités d'ouvrire une brèche "intéressante".

encourager la Mauritanie a faire son boulot et sécuriser son territoire nord, si elle veut redynamiser ces régions au niveau commercial en profitant des échanges avec le Maroc

après l'extension du Mur au niveau de Touizgui le Polisario ne peut plus accéder a la zone tampon sans passer par le territoire mauritanien

,

SI c'est vrai alors route directe et plus courte vers le Nord Mali et Niger mais aussi Burkina Nigéria Togo Ghana etc
même le Nigeria devient à portée pour nos exportations

La carte si dessous montre la location du passage frontalier qui va être ouvert prés de la Mauritanie (Désoler pour la qualité)

Outre le bénéfice commercial évident pour les marchands du nord de la Mauritanie, ce passage aura le mérite de couper en 2 les soit disant "territoire libérées".

Le Polisario n'y aura plus accès à moins de complicité mauritanienne ou de trouver un moyen de contourner plus à l'Est avant de braquer vers l'ouest ce qui compliquerait considérablement leur tâche.

Remarquez bien comment petit à petit on se détache les mains du cessez le feu de l'ONU

Le mur coupe déjà la zonne tampon en deux zones, il rentre carrément en mauritanie à cet endroit ! Si c’est vrai j’espère que le gouvernement a bien prévu la protection de ce poste frontière avec les far, pas question qu’un guerguerat bis ressurgisse pendant encore 3 ans

Quelque questions:
Économiquement à qoui ça va servir ce passage sachant que le nord mauritanien est presque un no man land.
Est si l objectif est de desservir la region de sahel ,il n y a aucune infrastructure routière directe.
La Mauritanie a t il les moyens pour protéger le nord et l'est de son territoire de l Algérie.
Et si on veut le faire nous meme ,est ce que les Far ont les moyens de projection nécessaire.

Pour accéder au Sahel.. le chemin est guergerat car le Sahel praticable et relativement sécurisé et le Sahel du sud à la hauteur de Bamako, Niamey et N’Djamena ... le nord est infesté de terroristes algériens ... ... ....

On peut imaginer un Laayoune/Bamako ? Ca nous permettrait d'éviter le nord du Mali et l'extrême nord de la Mauritanie, non ?

Ça existe déjà Khalid ....

De plus les mauritanien veulent construire une autoroute entre Nouakchott et l’est de leur pays en direction de Bamako ...

Merci pour la réponse Si Fahed !

il faut savoir qu'il n'y a pas de route directe pour rejoindre le nord de la mauritanie depuis guerguerate il faut faire un crochet par nouakchott et les régions du nord de la mauritanie sont presque a l'abandon, la chaine d'approvisionnement est compliquée au point qu'ils utilisent le train du brut de fer pour acheminer l'eau la nourriture etc
il y a aussi la région minière de zouerate ou il y a un pouvoir d'achat donc potentiel pour les exportations marocaine en tout genre
la mauritanie ferme les yeux sur le commerce des aides alimentaires du polisario car elle n'est pas capable de controler cet approvisionnement sans parler de la pauvreté de beaucoup de zones
le polisario qui peut entrer en Mauritanie rien qu'avec la carte d'identité fait partie du décor et de la vie économique et politique aussi et influence l'image du Maroc surtout avec une population mauritanienne qui a besoin de visa et doit se rendre a guerguerat si elle veut se rendre au Maroc alors qu'essmara et juste en face la meme frustration pour les populations de nouadhibou

je vous raconte une histoire d'un mauritanien dont le père est mort lors de la guerre du sahara dans la zone qui était controlé par la mauritanie tiress lgharbia son père enterré dans notre sahara aujourd'hui ce monsieur a besoin d'obtenir un visa pour aller sur la tombe de son père avec ce que ça coute en argent de distance a parcourir via guerguerat biensur s'il obtient le visa

donc ce passage frontalier va pas mal améliorer les choses en notre faveure et renforcer les relation du nord de la mauritanie avec le royaume ce qui va forcement influencer la politique mauritanienne

je n'oublie pas de dire que les saharaouis d'Espagne se font maltraiter aux points frontaliers algeriens comme ghazawat (on leur confisque passeports véhicules marchandises) la distance jusqu aux camps est très longues et la route est une nationale pourrie qui manque de tout a savoir carburant eau hébergements etc ces dernières années la tendance est de passer par le Maroc (ils en profitent pour visiter leurs familles au sahara)
grâce a l'autoroute jusqu a agadir , les commodités et le confort dont ils ont l'habitude en europe les distributeurs bancaires les paiement en VISA MASTERCARD Hotels etc etc
toutes ces commodités vont monter en puissance avec la fin des travaux de la voie express jusqu a dakhla
s'ajoute a eux les saharuis des iles canaries qui arrivaient par ferry a agadir avec leurs voitures
tout ces gens n'ont pas besoins d'aller a nouakchott pour rejoindre les camps de tindouf ils vont économiser du temps et de l'argent
j'ai deja lu des témoignages de saharaouis qui avouent préférer le Maroc malgré qu'ils nous détestent sur le plan politique
mais le temps fera que cette politique influencera les avis

Ce passage vers le nord de la Mauritanie va surement créer une synergie (absente jusqu'à maintenant) qui va à long terme nous servir pour atteindre d'autres régions, dans les modèles gravitationnels de l'attractivité économique la connectivité terrestre/ transport et toujours un facteurs/ paramètres qui a non seulement un impact positif sur l'activité économique mais aussi il va confirmer le Maroc comme région motrice ou le noyau d'un corredor qui peut vraiment couper l'herbe sous nos enemies du nord et de l'Est ainsi que ceux du sud aussi...
Sur le plan politique ça va donner plus de légitimité au royaume pour intervenir contre le terrorisme dans cette région, pas pour les intérêts de la France où autre, mais pour ses propres intérêts.
Autre point important c'est que combattre le terrorisme peut passer aussi par créer une dynamique économique dans cette région, avoir des alternatives peut présenter une motivation pour la population de la région pour bouder l'adhésion à ces groupes terroriste voir même les combattre, bref tout ça au conditionnel bien sûr car ça demande un engagement à long terme de la par non seulement du Maroc et de la Mauritanie mais aussi du Mali et du Niger aussi ..
Et ici je peux citer l'exemple de la Turquie qui a beaucoup profité de l'ouverture sur les pays turcophone après la chute de l URSS grace notamment à la connectivité terrestre avec ces pays.

Économiquement il faut développer le commerce avec ces régions pr contrecarrer l'influence de l'Algérie qui veut connecter le nord incluant le port El Hamdania (concurrent de Tanger Med) avec le sud et ainsi pourvoir accéder au Mali Niger...

La Mauritanie est une parodie de pays, trop difficile de projeter quoi que ce soit avec ces gens. Mon impression est qu'ils ont peur de l'algerie et de sa chienne de milice sur le plan sécuritaire voire militaire, et ils dépendent beaucoup du Maroc sur le plan économique. Donc ils continueront à bouffer à tous les râteliers tant qu'ils le pourront.

Ce n'est pas le moment de se fâcher avec nos amis mauritaniens...

Pred@tor a écrit:

La carte si dessous montre la location du passage frontalier qui va être ouvert prés de la Mauritanie (Désoler pour la qualité)

ce trajet n'est pas logique et ne respecte pas la topographie... la route possible est celle de gueltat zemour route existante sécurisée... il reste 40 km pour la frontière et entre la frontière et mogrine (Mauritanie) 40 km aussi à construire pour rejoindre une route existante...

Est si c'était un prétexte pour construire un mur qui engloberait Tifaritie et Amgala ?

J'ai trouvé cette bouse je voulais la partager.

Désole si la mise en page ne convient pas trop ...

Le Point a écrit:

Jalousies horizontales
PAR KAMEL DAOUD

Algérie et Maroc se livrent une guerre tiède d’ex-colonisés. Et qui souffle sur les braises ? Les islamistes. Une histoire ostcoloniale « française » qui échappe aux médias : les jalousies horizontales. C’est ainsi qu’on peut désigner ces rapports belliqueux entre pays proches, autrefois colonisés par la même puissance. Aujourd’hui indépendants, ils se disputent non seulement les frontières tracées par la colonisation, mais aussi les influences sur les exilés, les confessions consulaires dans le pays hôte, l’intérêt tutélaire de l’ex-puissance coloniale. Et paradoxalement, si la souveraineté y est mille fois proclamée comme non négociable, dopée par un récit national dominant, l’intérêt exclusif de l’ex-colonisateur est très désiré et scrupuleusement disputé à la concurrence du « voisin ». Comme si, aux solidarités de mise durant les libérations il ne pouvait succéder que des jalousies mutuelles. Cette impuissance à transcender les différends pour aboutir à la communauté des intérêts, on la voit s’exprimer entre l’Algérie et le Maroc. De part et d’autre, on adore rapporter des tensions et pousser la provocation. On affectionne, jusqu’à la limite de l’irréversible, la fameuse guerre tiède. Pour ce faire, chacun a ses arguments : le Sahara occidental, la contrebande, la gestion des migrants, le reliquat mémoriel de la guerre des Sables aux premières années des indépendances, le souvenir des expulsions des communautés, etc. Les deux pays se consacrent désormais à prendre en otages les générations d’Algériens et de Marocains à naître et qui ne se connaîtront pas, en hystérisant les foules, en cédant follement à l’envie de la guerre. Parce qu’elle est commode, parce qu’elle escamote les échecs internes, parce qu’elle dispense de préparer l’avenir. Il faut vivre en Algérie (ou au Maroc) pour saisir ce que les médias occidentaux négligent : l’énième épisode de cette guerre au nom du Sahara occidental se voit associé dorénavant à la mécanique des médias et lobbys islamistes. Quotidiennement, on y lit ces hallucinants communiqués de guerre imaginaire, bilans de destructions militaires et prêches pour nourrir la haine des foules. On s’autorise, dans la surenchère, à ridiculiser le roi voisin sous la forme d’un personnage de guignol télévisuel, on nourrit la haine victimaire. De chaque côté de ces tranchées, on ajoute une dose d’antisémitisme au nom de la Palestine, et d’intox au nom du droit à la riposte. Étrange phénomène, car (chose exceptionnelle) ce sont deux courants populo-islamistes, l’un algérien, l’autre marocain, qui s’étripent. La « guerre » est désormais « sacrée » et l’éducation à la haine du voisin atteint son apogée. Pourquoi, en sus des « régimes », ceux qui se chargent de nourrir ce feu sont-ils les islamistes et les populistes ? On peut avancer des hypothèses : concurrence entre courants islamistes, les uns « turquisés », les autres vassalisés par les monarchies moyen-orientales. On peut se perdre à essayer de comprendre, mais ce qui est à assumer, c’est le présent : à la jalousie qui parfois se développe entre nouvelles indépendances s’ajoutent désormais les manipulations de tuteurs internationaux de l’islamisme et un désoeuvrement impuissant à surmonter les différences. Il est à peine possible, d’ailleurs, en Algérie comme au Maroc, de dénoncer cette « guerre » qui arrive. Les élites locales ou exilées ne s’en indignent même pas, étant admis que c’est la faute de l’autre. Au Maroc comme en Algérie, défendre la « paix » et l’avenir expose à l’insulte de naïveté. D’ailleurs, les rentiers du postcolonial évitent soigneusement d’évoquer ce « sujet ». Voilà donc que ceux qui dénoncent crimes, expulsions, racisme, discours haineux et ségrégation n’en voient jamais dans ce qui s’échange aujourd’hui entre le Maroc et l’Algérie. Rien parfois ne trahit davantage l’impuissance à construire un État fort que ces jalousies. Cela concerne la France ? Oui : c’est sur ces reliquats que se joue son avenir face à la pluralité et aux communautarismes.

Alors déjà que je l'aimais pas machin daoud mais là ...

C'est le même procédé qu'avec l'article de Jeune Afrique : le mec s'emploie à renvoyer les deux pays dos à dos en prenant soin de leur faisant partager les torts, et pourtant quand il s'agit de rentrer dans le sujet et de parler concrètement, on voit gros comme une maison d'ou vient la haine et lequel des deux pays s'en prend à l'autre quotidiennement. Tous les exemples que daoud cite pour illustrer les tensions viennent tous des caporaux et leur marionnette de président : communiqué de guerre imaginaire, prêche pour nourrir la haine, carricature du Roi, antisémitisme, intrumentalisation de la cause palestinienne etc ...

Tout cela ça vient d'où gros de fils de lâche que tu es ? Pourquoi tu dis pas les choses telles quels sont, pourquoi mettre le Maroc au même niveau que ces dégénérés de moustachus oulad franssa ?

Bolden a écrit:

J'ai trouvé cette bouse je voulais la partager.

Désole si la mise en page ne convient pas trop ...

Le Point a écrit:

Jalousies horizontales
PAR KAMEL DAOUD

Algérie et Maroc se livrent une guerre tiède d’ex-colonisés. Et qui souffle sur les braises ? Les islamistes. Une histoire ostcoloniale « française » qui échappe aux médias : les jalousies horizontales. C’est ainsi qu’on peut désigner ces rapports belliqueux entre pays proches, autrefois colonisés par la même puissance. Aujourd’hui indépendants, ils se disputent non seulement les frontières tracées par la colonisation, mais aussi les influences sur les exilés, les confessions consulaires dans le pays hôte, l’intérêt tutélaire de l’ex-puissance coloniale. Et paradoxalement, si la souveraineté y est mille fois proclamée comme non négociable, dopée par un récit national dominant, l’intérêt exclusif de l’ex-colonisateur est très désiré et scrupuleusement disputé à la concurrence du « voisin ». Comme si, aux solidarités de mise durant les libérations il ne pouvait succéder que des jalousies mutuelles. Cette impuissance à transcender les différends pour aboutir à la communauté des intérêts, on la voit s’exprimer entre l’Algérie et le Maroc. De part et d’autre, on adore rapporter des tensions et pousser la provocation. On affectionne, jusqu’à la limite de l’irréversible, la fameuse guerre tiède. Pour ce faire, chacun a ses arguments : le Sahara occidental, la contrebande, la gestion des migrants, le reliquat mémoriel de la guerre des Sables aux premières années des indépendances, le souvenir des expulsions des communautés, etc. Les deux pays se consacrent désormais à prendre en otages les générations d’Algériens et de Marocains à naître et qui ne se connaîtront pas, en hystérisant les foules, en cédant follement à l’envie de la guerre. Parce qu’elle est commode, parce qu’elle escamote les échecs internes, parce qu’elle dispense de préparer l’avenir. Il faut vivre en Algérie (ou au Maroc) pour saisir ce que les médias occidentaux négligent : l’énième épisode de cette guerre au nom du Sahara occidental se voit associé dorénavant à la mécanique des médias et lobbys islamistes. Quotidiennement, on y lit ces hallucinants communiqués de guerre imaginaire, bilans de destructions militaires et prêches pour nourrir la haine des foules. On s’autorise, dans la surenchère, à ridiculiser le roi voisin sous la forme d’un personnage de guignol télévisuel, on nourrit la haine victimaire. De chaque côté de ces tranchées, on ajoute une dose d’antisémitisme au nom de la Palestine, et d’intox au nom du droit à la riposte. Étrange phénomène, car (chose exceptionnelle) ce sont deux courants populo-islamistes, l’un algérien, l’autre marocain, qui s’étripent. La « guerre » est désormais « sacrée » et l’éducation à la haine du voisin atteint son apogée. Pourquoi, en sus des « régimes », ceux qui se chargent de nourrir ce feu sont-ils les islamistes et les populistes ? On peut avancer des hypothèses : concurrence entre courants islamistes, les uns « turquisés », les autres vassalisés par les monarchies moyen-orientales. On peut se perdre à essayer de comprendre, mais ce qui est à assumer, c’est le présent : à la jalousie qui parfois se développe entre nouvelles indépendances s’ajoutent désormais les manipulations de tuteurs internationaux de l’islamisme et un désoeuvrement impuissant à surmonter les différences. Il est à peine possible, d’ailleurs, en Algérie comme au Maroc, de dénoncer cette « guerre » qui arrive. Les élites locales ou exilées ne s’en indignent même pas, étant admis que c’est la faute de l’autre. Au Maroc comme en Algérie, défendre la « paix » et l’avenir expose à l’insulte de naïveté. D’ailleurs, les rentiers du postcolonial évitent soigneusement d’évoquer ce « sujet ». Voilà donc que ceux qui dénoncent crimes, expulsions, racisme, discours haineux et ségrégation n’en voient jamais dans ce qui s’échange aujourd’hui entre le Maroc et l’Algérie. Rien parfois ne trahit davantage l’impuissance à construire un État fort que ces jalousies. Cela concerne la France ? Oui : c’est sur ces reliquats que se joue son avenir face à la pluralité et aux communautarismes.

Alors déjà que je l'aimais pas machin daoud mais là ...

C'est le même procédé qu'avec l'article de Jeune Afrique : le mec s'emploie à renvoyer les deux pays dos à dos en prenant soin de leur faisant partager les torts, et pourtant quand il s'agit de rentrer dans le sujet et de parler concrètement, on voit gros comme une maison d'ou vient la haine et lequel des deux pays s'en prend à l'autre quotidiennement. Tous les exemples que daoud cite pour illustrer les tensions viennent tous des caporaux et leur marionnette de président : communiqué de guerre imaginaire, prêche pour nourrir la haine, carricature du Roi, antisémitisme, intrumentalisation de la cause palestinienne etc ...

Tout cela ça vient d'où gros de fils de lâche que tu es ? Pourquoi tu dis pas les choses telles quels sont, pourquoi mettre le Maroc au même niveau que ces dégénérés de moustachus oulad franssa ?

C'est exactement ça

J'ai mis en rouge deux petites phrases qu'il a glissées dans le texte parce qu'elles m'ont fait doucement sourire. La première c'est quand il dit: "ils se disputent non seulement les frontières tracées par la colonisation". L'Algérie n'a jamais critiqué ou contesté les frontières tracées par la colonisation! Au contraire, elle a toujours sacralisé un principe qu'elle a inventée et a appelé "le respect des frontières hérédités de la colonisation".

La deuxième c'est quand il dit :"Comme si, aux solidarités de mise durant les libérations il ne pouvait succéder que des jalousies mutuelles". L'Algérie n'a jamais montré aucune solidarité pour la libération du Maroc (ni pour le Sahara, ni pour Sebta et Melilia, ni pour les iles, ni pour aucune autre partie), mais le Maroc si.

Un soutien de taille.
C'est peut être le futur président Kenyan... Au moins on sait à qui on doit apporter notre soutien l'année prochaine.
https://www.infomediaire.net/le-vice-president-kenyan-ne-veut-pas-du-polisario-a-nairobi/?fbclid=IwAR0erFP-UnmKouQEQj34S_aedCoBEGn5rWumhfahqDbYE_f98S5B8cYOnV8

Pourtant le Kenya a fait parti de la « conspiration » du CSP du 09 mars dernier .... le président actuel ne veut rien entendre.

Cependant cette sortie représente une opportunité pour les notres.

Clairement ils veulent que le Maroc investisse chez eux mais ça ne doit pas être sans contre partie.

La bonne nouvelle est la neutralité strict d’une Nigeria qui emmerde Alger.

youssef_ma73 a écrit:

Un soutien de taille.
C'est peut être le futur président Kenyan... Au moins on sait à qui on doit apporter notre soutien l'année prochaine.
https://www.infomediaire.net/le-vice-president-kenyan-ne-veut-pas-du-polisario-a-nairobi/?fbclid=IwAR0erFP-UnmKouQEQj34S_aedCoBEGn5rWumhfahqDbYE_f98S5B8cYOnV8

Ils viennent de nous planter un couteau dans le dos en publiant un communiqué anti-unité territoriale et comme par miracle , il soutiennent l'autonomie ? J'espère que ce n'est pas un poisson d'Avril qui est arrivé au mois de Mars !!!

https://www.voltairenet.org/article212496.html a écrit:

Le ''journaliste'' Thierry Meysan a publié un article dans ce site, ce site est considéré par les médias français comme complotiste, je sais que la source est pas la plus fiable du monde, cependant contrairement aux ''bouses'' habituelles, il cite des événements qui se sont produits sans pour autant surinterpreter.. Il a parlé des dernières manoeuvres maroco-us

Deuxième épisode : les États-Unis du président Trump ont obtenu la normalisation des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël en reconnaissant que le Sahara espagnol n’est pas un État indépendant, mais un territoire marocain. L’Espagne a interprété —à tort— l’élection du président Biden comme une occasion de remettre en cause cette évolution. Erreur ! Les États-Unis n’ont pas tardé à menacer militairement Madrid pour le dissuader de toute velléité d’intervention. Ils ont « oublié » de le prévenir qu’ils organisaient un exercice militaire joint avec le Maroc et ils ont « perdu » les cartes régionales. Un beau matin de mars, l’état-major espagnol stupéfait a vu des dizaines d’avions US armés pénétrer dans son espace aérien « par erreur », aux Canaries a écrit:

youssef_ma73 a écrit:

Un soutien de taille.
C'est peut être le futur président Kenyan... Au moins on sait à qui on doit apporter notre soutien l'année prochaine.
https://www.infomediaire.net/le-vice-president-kenyan-ne-veut-pas-du-polisario-a-nairobi/?fbclid=IwAR0erFP-UnmKouQEQj34S_aedCoBEGn5rWumhfahqDbYE_f98S5B8cYOnV8

J'ai bien peur que ce soit l'unique but de la manœuvre.

pour ceux qui ont dit qu'on pourra compter sur le prince Hicham dans le dossier du Sahara, surtout avec cette administration américaine. ...
voilà que l'un de ses serviteur créature vienne de publier avec la francoalgerienne khadija mohcin finane un article qui pue la haine de notre pays
https://orientxxi.info/magazine/offensive-diplomatique-marocaine-contre-l-allemagne,4606