Le seul et l'unique responsable de la situation c'est le pouvoir algérien. Le Roi depuis 1999, a fait ce qu'il a pu pour faire le Maghreb Uni et aller vers un partenariat gagnant-gagnant. Un Maghreb Uni aurait été acceptable pour les Européens et il n'y aurait pas de problème. Mais le pouvoir d'Alger voulait une relation gagnant-perdant. Ou ils seraient la puissance régionale avec un baril a 100 dollars. Or la roue a tourné et les prix diviser par deux. Leur modèle économique ne tient plus et ils s'enfonce dans la crise. Les Européens qui veulent a defaut d'un Maghreb Uni, un Maghreb Équilibré voit justement une rupture avec la crise en Tunisie, l'effondrement de la Libye et la crise en Algérie. Comme c'est compliqué d'aider ces pays a se relever et bien il décide de ralentir le Maroc. Comme le Maroc voit qu' il ne peut plus compter sur les européens. Il s'est donc tourné vers les USA ( et Israël) et les pays du Golfe.
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Northrop General de Division
messages : 6028 Inscrit le : 29/05/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
l'Espagne et un pays civilisés, et pacifiste comme le Maroc et les autres anciens nation avec qui nous avons des relations diplomatiques du temps ou les Turcs occuper l'ensemble du monde Arabe..
Ils savent que les problème avec le Maroc sont de nature politique, contrairement aux égorgeurs de soldats pendant leur sommeil d'à côté, donc moi qui croyais que c'était uniquement l'ANP et ses gros moustachus blasphématoires, qui était contre notre Monarchie, mais finalement 80 pour 100 de la population sont derrière les Généraux de l'armée française, contre notre Monarchie mais aussi notre peuple..
J'étais persuadé que les choses allaient se régler diplomatiquement avec l'Espagne..
Donc la menace est et reste les zouaves et leurs têtes a claques des damnés de Tindouf, tuant, avec des multitudes de coup de couteau, nos pauvres FA, de sang froid RIP, lors des scandales de Laayoune.. C'est l'Algérie qui est responsable de ça.
Et maintenant ont voit des Perses et la secte du "hezbmollah" en Tinfoufistan..
Franchement laissons la frontière fermé et murer définitivement avec la 2eme France d'à côté, et fermer le gazoduc.
Il y'a un Gazoduc qui arrive et des milliers de KW d'énergie qui fournirons nos partenaires Européens et des accords avec le Maroc sont pour bientôt.
Ont ne veux plus voir de Fitna chez nous, nous sommes un pays Touristique, pacifiste,et fêtard comme nos cousins européen.
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الله الوطن الملك
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Stinger Colonel
messages : 1732 Inscrit le : 18/06/2020 Localisation : Paris Nationalité :
l'Espagne et un pays civilisés, et pacifiste comme le Maroc et les autres anciens nation avec qui nous avons des relations diplomatiques du temps ou les Turcs occuper l'ensemble du monde Arabe..
Ils savent que les problème avec le Maroc sont de nature politique, contrairement aux égorgeurs de soldats pendant leur sommeil d'à côté, donc moi qui croyais que c'était uniquement l'ANP et ses gros moustachus blasphématoires, qui était contre notre Monarchie, mais finalement 80 pour 100 de la population sont derrière les Généraux de l'armée française, contre notre Monarchie mais aussi notre peuple..
J'étais persuadé que les choses allaient se régler diplomatiquement avec l'Espagne..
Donc la menace est et reste les zouaves et leurs têtes a claques des damnés de Tindouf, tuant, avec des multitudes de coup de couteau, nos pauvres FA, de sang froid RIP, lors des scandales de Laayoune.. C'est l'Algérie qui est responsable de ça.
Et maintenant ont voit des Perses et la secte du "hezbmollah" en Tinfoufistan..
Franchement laissons la frontière fermé et murer définitivement avec la 2eme France d'à côté, et fermer le gazoduc.
Il y'a un Gazoduc qui arrive et des milliers de KW d'énergie qui fournirons nos partenaires Européens et des accords avec le Maroc sont pour bientôt.
Ont ne veux plus voir de Fitna chez nous, nous sommes un pays Touristique, pacifiste,et fêtard comme nos cousins européen.
C'est une population pour toi cette bande de gnou qui se bagarre même pour un verre et dans les mosquée ?
chez moi on apelle ça des sauvages
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marques General de Brigade
messages : 3962 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Quand un journaliste fait bien son travail de recherche, ça donne un article intéressant!
Citation :
Maroc-Allemagne: Une «rupture de fait» dont nous supportons les dégâts, les uns les autres
On a toujours été tenté de croire qu’entre le Maroc et l’Allemagne, les relations étaient normales. Certes, des réunions mixtes annuelles ou biannuelles se tiennent régulièrement et alternativement au Maroc ou en Allemagne.
L’Allemagne finance généreusement certains projets sociaux au Maroc et en assure le suivi, comme elle participe au financement de projets de développement, via des lignes de crédit, au Royaume. Des milliers d’étudiants marocains suivent leurs études en Allemagne, dans des filières de la science et de technologie, notamment la célèbre Université technique de Berlin. La communauté marocaine en Allemagne, principalement issue du nord et de l’est du pays, est une communauté stable, dont les transferts, proportionnels à leur nombre, restent des plus élevés du pays. Y vivent également des marocains illégaux, qui seraient aussi nombreux que les réguliers.
De là, à dire que les relations sont excellentes, il n’y a qu’un pas.
En politique, les choses ne sont pas si merveilleuses que cela. L’ancien chef de gouvernement marocain, feu Abderrahmane El Youssoufi, avait effectué une visite officielle en Allemagne en 2002, la première d’un chef de gouvernement marocain, depuis 30 ans. Donc, la dernière visite d’un chef de gouvernement marocain en Allemagne remonte aux années soixante dix ! Le chancelier Gerhard Schroeder en avait pris note avec regret. Cela veut dire qu’au plan politique, les échanges de visites, au plus haut niveau, sont rarissimes.
Et ce n’est pas ainsi qu’on entend, de part et d’autre, stimuler le développement des relations et de la coopération bilatérales, favoriser la bonne entente des deux capitales sur les sujets d’intérêts communs. De l’autre côté, Helmut Kohl, chancelier allemand, pendant 16 ans, a effectué une visite éclair au Royaume, le temps d’un week end, avant d’aller en villégiature à Marrakech, au deuxième jour. Certes, il avait été reçu par le défunt Roi Hassan II pour un diner officiel à Rabat, à son arrivée dans la capitale, un samedi.
D’un autre côté, la dernière visite d’un souverain marocain en Allemagne remonte à 1965, date à laquelle Feu SM le Roi Hassan II s’était rendu à Bonn pour sensibiliser l’Allemagne, alors divisée, à la cause palestinienne. Le Souverain avait dû écourter son séjour à cause d’un rhume.
Jamais, un président allemand, qui occupe certes des fonctions honorifiques, ne s’est rendu au Maroc, en visite officielle. SM le Roi Mohammed VI, par contre, avait été invité en Allemagne, pour une visite officielle, au début de son règne, une visite, programmée, qui au bout du compte n’a pas eu lieu. La chancellerie Allemagne inscrit annuellement la visite en Allemagne de quatre chefs d’Etat étrangers. Le Maroc avait invoqué, pour justifier ce report, un sommet maghrébin, qui devait avoir lieu deux semaines plus tard à Tunis.
Angela Merkel, qui est elle-même restée 16 ans au pouvoir, n’a jamais effectué de visite officielle au Royaume. Certes, elle s’était rendue au sommet de Marrakech sur le climat, sans toutefois, pouvoir rencontrer SM le Roi Mohammed VI. Le souverain et Angela Merkel, se sont, toutefois, rencontrés, à l’occasion de sommets internationaux et rendez-vous en Europe et en Afrique.
Les Chanceliers Schroeder et Merkel se sont par contre rendus à Alger. Bouteflika, de son côté, avait effectué une visite en Allemagne. Par contre, au niveau des parlements, les deux pays échangent des visites.
Personnellement, je ne trouve aucune explication à cette «rupture de fait», bien que les deux pays soient de cultures et de langues différentes. Mais cela ne constituerait tout de même pas un obstacle, puisque nous entretenons des relations avec des pays lointains, comme la Chine, la Russie…
L’Allemagne est aujourd’hui la quatrième puissance mondiale et la première économie européenne. Autant son système d’organisation politique et administrative que ses performances économiques, financières, voire industrielles et sociales, font d’elle un modèle pour le Maroc, plus particulièrement s’agissant de la régionalisation avancée. Ses performances sont données en exemple, y compris dans son voisinage immédiat (France), déchiré dans certains cas, par des mouvements de grève longs et redondants. Un modèle de stabilité sociale, qui ne laisse aucune place aux grèves et aux arrêts de travail, Une tradition germanophone, qui privilégie la concertation régulière avec de puissants syndicats, capables pourtant de financer des arrêts de travail pour six mois.
Si au plan politique et diplomatique, les relations ne sont pas merveilleuses, c’est, à mon humble avis, à cause d’ «une rupture de fait» du dialogue et de la concertation bilatérale, régulière et permanente. Les dernières décisions du Royaume ne viennent que pour entériner cette situation de fait. Car comment voulez-vous que les choses tournent bien, alors que les chefs de gouvernement des deux pays ne se voient qu’une fois tous les trente ans !!!
C’est sous cet angle qu’il y’ a lieu d’interpréter le récent positionnement de l’Allemagne sur la question du Sahara marocain. L’Allemagne, réunifiée, connait plus que quiconque les blessures de la division, pour en soutenir des partisans au Maghreb. C’est à mes yeux, « une rupture de fait » du dialogue et de la concertation, voire de la communication entre les deux pays, dont aujourd’hui, nous supportons, les uns les autres, les dégâts.
Moroccan foreign policy has garnered significant attention in recent months amidst heightened tensions with the European Union, talks of further rapprochement with Israel and stronger stances vis-à-vis its involvement in the Libyan peace process and its claim over the disputed territory of Western Sahara. Some argue that U.S. recognition of Morocco’s sovereignty over the latter has emboldened its decision-makers, while others describe Rabat’s recent redirections as “aggressive.” What, in fact, is happening with the kingdom’s foreign policy?
As Morocco’s relationships with its traditional partners in Europe and with the Gulf monarchies became occasionally strained over the last decade, its decision-makers sought to strengthen the kingdom’s position regionally and internationally through three strategies aiming to promote its diplomatic, political, security, and economic interests: diversifying international partnerships to avoid over-relying on traditional partners and acquiescing to their demands; attracting investment from Asia and Europe by turning the kingdom into an African financial and trade hub; and positioning the country as a regional security partner, stability provider and mediator by taking an involved role in the Libya peace process and by partially normalizing ties with Israel. What are the implications of this approach?
Turbulent Ties
The 2000s marked the strengthening of relations between the kingdom and its counterparts in the Gulf, which have long been traditional partners for Rabat, and which provide it with financial support and backing in regional forums in exchange for security cooperation. However, between 2017 and 2021, Morocco’s close ties to Qatar and neutral stance during the Saudi and Emirati-led blockade against the latter triggered tensions with Riyadh and Abu Dhabi. Although Morocco officially refused to take sides, it arguably favored Qatar, sending supplies amidst fears of food shortage and maintaining security and trade relations despite pressures from the blockading countries, which adopted hostile rhetoric about Morocco, canceled planned trips and recalled ambassadors.
The kingdom has also clashed with Europe—its largest trade partner, investor and donor—repeatedly over the last decade, including with Spain and Germany over Western Sahara this year. Despite deep economic ties and a particularly close relationship with France, Moroccan decision-makers have sought to reduce EU influence on the kingdom by leveraging the country’s role in controlling irregular migration to Europe and helping European states like France and Spain foil terror attacks on their soil.
Normalization with Israel: Two Birds, One Stone
Beyond its symbolic significance, the Moroccan state’s historic deal with Israel and the United States has significant security, financial and diplomatic implications. In exchange for partial—not full—normalization, the United States recognized Morocco’s sovereignty over Western Sahara, pledged $3 billion in investment to its private sector and agreed to a $1 billion arms sale (pending approval by Congress). Partial normalization could also ensure major benefits from Israel in terms of trade, investment and cooperation in key sectors such as tourism and technology.
Despite some domestic discontent and regional criticism, there will likely be further rapprochement between Morocco and Israel. Indeed, the Moroccan foreign minister expressed the kingdom’s intention to take the relationship as far as possible; and Israel’s foreign minister recently announced that he would visit Rabat in mid-August. The two states signed a cyberdefense accord in July 2021, and are likely to increase security and economic cooperation down the line. As long as the Biden administration does not reverse its predecessor’s recognition, Rabat so far has no reason to pull out of the deal. However, it remains unlikely that Morocco would go so far as to open an embassy in Israel due to domestic and regional opinion.
Investing in Africa
Since 2016, Morocco has intensified its economic and diplomatic presence in sub-Saharan Africa. Moroccan companies increased cooperation with their sub-Saharan counterparts in various sectors, most notably in telecommunications, insurance, banking and manufacturing. In fact, over a period of ten years (2008–2018), Moroccan-African trade rose by 68%; and in 2018, 85% of the kingdom’s foreign direct investment went to sub-Saharan states. In 2017, the kingdom rejoined the African Union over three decades after it withdrew its membership in protest over Western Sahara’s admission as an independent member state.
Morocco’s involvement in the region will not only boost its economy and diversify its alliance base but will also make it the West and China’s gateway to Africa—thereby opening the door for triangular trade deals and cooperation. In fact, economic cooperation with sub-Saharan Africa is closely tied to Rabat’s move to form closer ties with China over the last five years. The same year Morocco rejoined the African Union, the Bank of China opened its first branch in Morocco, while Morocco’s Bank of Africa opened a branch in Shanghai. Moroccan decision-makers aim to turn Casablanca into a major financial center on the continent, and Chinese financial institutions seek to manage their activity in African markets from there.
Due to Morocco’s proximity to Europe, China also seeks to establish factories in the kingdom to manufacture goods that can be exported to Europe. In addition, Chinese construction companies have been involved in Tanger Med—a $10 billion industrial port complex being built in northern Morocco and the largest port in Africa. Morocco’s relationship with China has been successful in great part because China has not sought to intervene in the kingdom’s domestic affairs, unlike Europe.
The Mediation Game in Libya
In another move towards bolstering the country’s international standing, Moroccan decision-makers have focused on positioning the kingdom as a regional stability provider and mediator, most notably in Libya. The Skhirat agreement, which resulted in the international recognition of the Government of National Accord (GNA) as Libya’s sole legitimate authority, was signed in Morocco in 2015. Seemingly in reference to international processes like the Berlin Conference, Moroccan decision-makers have consistently promoted inter-Libyan dialogue, characterizing their position on Libya as one of active neutrality which seeks to facilitate communication between all Libyan parties.
Most recently, the chairman of the Libyan High Council of State, Khaled al-Mishri, and the speaker of the House of Representatives (HoR), Aguila Saleh, met in Morocco last month to discuss the issue of key institutional positions in Libya. Rabat hosted a total of four meetings between rival factions to discuss the next steps in Libya’s political process last year, bringing together representatives of the HoR and State Supreme Council as well as parliamentarians from the Tripoli and Tobruk branches of the divided HoR. Over the summer, meetings multiplied between Libyan and Moroccan officials, with many of these disclosing that they were working on enhanced security cooperation, a potential military partnership, bilateral economic forums and cooperation in the field of renewable energy.
Takeaways and Outlook: Emboldened Policy?
It may be that recent U.S. support for Morocco has emboldened its decision-makers to harden their stances on regional issues and face off with key partners. However, the kingdom’s approach is not unforeseen. As it has done over the last decade, the state is pursuing a strategic and independent foreign policy, aiming to bolster its position internationally and regionally through new partnerships, as well as through deepened security and diplomatic cooperation with traditional partners. Importantly, Morocco’s widened support base and security tools have changed its relationship with key partners and have set its decision-makers’ sights on a stronger role regionally and internationally.
Going forward, the state will likely continue to maintain neutrality in various foreign policy dossiers, including in regional crises. As decision-makers have been emboldened by recent diplomatic successes, it seems that they will be less likely to bow to international pressures and more likely to stand their ground, especially vis-à-vis Europe. Although it would be expected that the state will strive to maintain strong relations with the EU, it will solidify which red lines cannot be crossed.
Moroccan decision-makers will likely continue to pursue an involved role in the Libyan peace process to promote their own economic and diplomatic interests. The increased frequency of Morocco-brokered meetings for and with Libyan officials will allow the kingdom to cultivate economic ties with Libya especially in terms of energy and trade. More to the point, this role will make it easier for Rabat to check rival Algeria’s influence in North Africa.
Within the wider Middle East and North Africa region, the state will strive to portray itself as a neutral facilitator to shore up international and regional support and to open the door for future diplomatic and economic cooperation. Similarly, Rabat will deepen its mutually beneficial ties with sub-Saharan Africa, thereby making itself a more attractive partner for China and Europe. On the security front, it will intensify its involvement in the Sahel where it will export security and attempt to contain terrorist activity. On the side of normalization, the state is unlikely to back out of the Israel deal and will present itself as a potential facilitator of conversations between Israel and the Palestinians.
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Message de condoléances et de compassion de SM le Roi au Président algérien suite aux incendies de forêts qui ont fait plusieurs victimes
MAP Express 2 minutes
Message de condoléances et de compassion de SM le Roi au Président algérien suite aux incendies de forêts qui ont fait plusieurs victimes
jeudi, 12 août, 2021 à 18:26
Rabat- Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé un message de condoléances et de compassion au Président de la République algérienne démocratique populaire, son Excellence M. Abdelmajid Tebboune, suite aux incendies de forêts qui ont fait plusieurs victimes.
Dans ce message, Sa Majesté le Roi affirme avoir appris avec une vive émotion et une profonde affliction la nouvelle des violents incendies qui ont ravagé des forêts dans certaines wilayas au nord de l’Algérie sœur faisant plusieurs victimes.
En cette douloureuse circonstance, Sa Majesté le Roi exprime au Président algérien et, à travers lui, aux familles éplorées et au peuple algérien, Ses vives condoléances et Ses sincères sentiments de compassion.
Le Souverain exprime en Son nom propre et en celui du peuple marocain sa totale solidarité avec l’Algérie sœur en cette pénible épreuve.
Sa Majesté le Roi dit partager avec le Président algérien et avec les familles éplorées Ses sentiments de tristesse suite à cette perte cruelle, implorant le Tout-Puissant de leur accorder réconfort et compassion, d’entourer les victimes de sa sainte miséricorde et de préserver le peuple algérien frère de tout malheur, tout en souhaitant prompt rétablissement aux blessés.
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Fahed64 Administrateur
messages : 25527 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
On continue à mettre la pression sur les caporaux.
Citation :
Yaïr Lapid : le rapprochement algério-iranien est inquiétant
Lors de la rencontre entre le ministre des affaires étrangères, Nasser Bourita et son homologue israélien, Yaïr Lapid, les deux chefs de la diplomatie d’échanger sur diverses thématiques, notamment, l’affaire du Sahara marocain et le rapprochement de l’Algérie avec l’Iran.
Yaïr Lapid : le rapprochement algério-iranien est inquiétant
Le ministre israélien des affaires étrangères, Yaïr Lapid, a indiqué, jeudi, lors d'une conférence de presse tenue à Casablanca en conclusion de sa visite au Royaume, qu'il a discuté avec Bourita sur « la question du Sahara et des questions préoccupant les deux pays», notant toutefois, et qu' aucun accord d’armement n'a été signé, en réponse à quelques rumeurs qui trainent sur certains médias.
Le ministre israélien des Affaires étrangères n'a pas manqué d'exprimer publiquement sa préoccupation vis-à-vis du rapprochement entre le régime algérien et l'Iran. « Nous partageons une certaine inquiétude quant au rôle de l’État algérien dans la région, qui s’est rapproché de l’Iran et mène actuellement une campagne contre l’admission d’Israël à l’Union africaine en tant qu’observateur », a-t-il martelé.
Par ailleurs, Yaïr Lapid a salué la position du Royaume sous la direction de SM le Roi Mohammed VI au sein de la communauté internationale, notant que le Maroc pourrait jouer un rôle central dans le conflit palestino-israélien. « Ce qui distingue le Maroc, c'est qu'il est un pays de tolérance et qu'il est un leader dans la région. Il entretient d'excellentes relations avec tous les pays du monde, et le Royaume, sous la direction du Roi Mohammed VI, peut jouer un rôle majeur dans le dossier israélo-palestinien », a-t-il indiqué.
Dans le même sillage, Lapid a souligné qu'il avait toujours soutenu la solution à deux États pour mettre fin au conflit entre les palestiniens et les israéliens, déclarant : « J'ai toujours soutenu la solution à deux États avec les palestiniens, mais en ce moment, je ne vois malheureusement aucune solution susceptible de résoudre le différend».
Concernant la convergence de vues entre les parties israélienne et palestinienne, le ministre des Affaires étrangères israélien a affirmé, par ailleurs, qu'il se concerterait avec son homologue marocain, et ce vu la sagesse et l'expérience du Maroc et de son Roi Mohammed VI.
Dans ce sens, Bourita a mis l'accent sur la nécessité impérieuse de rétablir la confiance entre les parties israélienne et palestinienne au service de la paix, de la stabilité, du progrès et de la prospérité dans la région.
D'autre part, il a rappelé que SM le Roi, Président du Comité Al Qods, a constamment souligné l'impératif de préserver le cachet singulier de la Ville sainte en tant que patrimoine universel de l'humanité, dotée d'une profonde symbolique et d'une charge spirituelle pour les disciples des trois religions monothéistes.
Il a également souligné l’importance de rétablir la confiance, de maintenir le calme et d'éviter tout ce qui est de nature à attiser les tensions, « des prérequis fondamentaux pour l'ouverture d'un horizon politique au conflit israélo-palestinien et le maintien de la solution à deux États, en tant qu'unique issue pour garantir paix et stabilité pour tous».
Il est à noter que durant la visite de Yaïr Lapid au Maroc, les deux pas ont convenu d'ouvrir réciproquement des ambassades dans quelques mois. «Nous avons décidé l’ouverture d’ambassades à Jérusalem et au Maroc dans quelques mois», a déclaré Yaïr Lapid lors d’une conférence presse précitée. Le ministre des Affaires étrangères israélien a salué, à nouveau, les accords conclus avec des pays arabes, en indiquant que d’autres pays suivraient cette voie, sans les citer, et a annoncé l’ouverture prochaine d’une ambassade d’Israël au Bahreïn.
Je sais pas trop si c'est le bon topic, mais je vous met ci-dessus le lien d'une vidéo YouTube d'un russe qui fait une simulation d'une guerre entre Espagne et Maroc, ça vaut ce que ça vaut (qui prédit une victoire marocaine), mais vous en pensez quoi ?
Dias63 Lieutenant
messages : 796 Inscrit le : 31/07/2018 Localisation : France Nationalité :
Je sais pas trop si c'est le bon topic, mais je vous met ci-dessus le lien d'une vidéo YouTube d'un russe qui fait une simulation d'une guerre entre Espagne et Maroc, ça vaut ce que ça vaut (qui prédit une victoire marocaine), mais vous en pensez quoi ?
HS mode Faut glisser a ce binkov dans les commentaires qu'il a falsifié la carte du Maroc sans son Sahara, et que on est aussi prêt à affiche la carte de la Russie sans la crimee.
Fin HS
Dernière édition par Fox-One le Dim 15 Aoû 2021 - 1:36, édité 1 fois
al_bundy aime ce message
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Depuis quelques mois, Boureq3a n'est plus tranquille Il ne passe pas un seul jour sans que ça ne parle du Maroc.
Citation :
La défense de l'Espagne
Dans le Concept actuel, la défense collective s'appuie davantage sur la défense de valeurs partagées que sur celle d'espaces territoriaux délimités d'une manière ou d'une autre.
Le 24 juin 2007, six légionnaires des chevaliers parachutistes espagnols sont morts dans une attaque à l'explosif dans la ville libanaise d'El Khiam. Ils faisaient partie du contingent des Nations Unies dans ce pays. Le véhicule dans lequel ils circulaient, un véhicule blindé moyen sur roues (BMR), a été sectionné longitudinalement, faisant disparaître complètement le côté sur lequel a eu lieu l'impact des explosifs placés dans un véhicule en bordure de route.
À la suite de cette attaque, un débat public a été déclenché dans les médias sur la protection offerte aux véhicules de nos soldats pour résister même de façon minimale aux attaques de ces caractéristiques. Le débat a abouti à la récrimination du gouvernement, récrimination qui a été transférée à la chaîne de commandement militaire, sur les raisons pour lesquelles les véhicules n'avaient pas d'inhibiteurs, étant une technologie déjà très expérimentée en Espagne à la suite de l'expérience antiterroriste accumulés par nos Forces et Organismes de Sécurité de l'État. Le problème des inhibiteurs a été résolu avec une certaine agilité et rapidité. La protection inhérente au véhicule lui-même est encore aujourd'hui, 14 ans plus tard, l'objet de controverses budgétaires et techniques,
Le fait est que, lors de ce débat, il a été publiquement déclaré que ni le reste des contingents, comme l'Italien, avec qui nous avons travaillé en étroite collaboration, n'avait de tels inhibiteurs. Cette manifestation publique a fait l'objet d'une plainte formelle de l'Italie qui demandait au gouvernement espagnol d'éviter de rendre publiques les prétendues vulnérabilités des contingents militaires déployés dans les zones d'opérations. Ils sont venus nous dire que si nous étions assez fous pour le faire avec nos contingents, allez-y, c'était notre problème, mais qu'il ne fallait pas l'étendre au reste des forces opérant dans ce pays. En d'autres termes, ils nous ont reproché notre peu de bon sens sur des questions aussi sensibles.
Cette semaine, l'interrogatoire d'un sénateur de Compromís au gouvernement a été rendu public dans les médias, dans lesquels il a déclaré que la seule issue possible pour retrouver de bonnes relations avec le Maroc était d'accepter la question du Sahara, c'est-à-dire de reconnaître sa souveraineté. sur ledit territoire, contrairement à la position tenue, jusqu'à présent, par la communauté internationale, y compris l'Espagne, à l'appui de la thèse des Nations Unies sur cette question.
Dans son argumentation sur les relations hispano-marocaines, il a introduit des considérations qui jettent le doute sur la sécurité des villes de Ceuta et Melilla, compte tenu de l'important processus de réarmement entrepris, selon le sénateur, par le royaume du Maroc et, selon lui, Ceuta et Melilla n'ont pas le parapluie de sécurité fourni par notre adhésion à l'OTAN, car aucune des deux villes n'est incluse dans le libellé littéral de la clause de défense collective de l'art. 5 du traité fondateur de l'Alliance atlantique.
J'ai déjà expliqué à une autre occasion que ce n'est pas le cas et que toute attaque physique sur les deux villes en violation du droit international aurait des conséquences dans le domaine de l'Alliance atlantique, puisque depuis 1949, date à laquelle le traité de l'Alliance a été rédigée, à une époque où nous n'en faisions pas partie et une fois les critères de la guerre froide dépassés, les clauses de défense collective ont été très nuancées du fait de l'élaboration des concepts stratégiques successifs de l'OTAN. Maintenant, celle de 2010 est en vigueur, qui est en cours de révision pour faire face à de nouvelles menaces telles que celles du cyberespace, non liées aux délimitations territoriales physiques, comme prévu dans le traité initial. Dans le concept actuel,
Le fait est que, comme on le voit, contrairement à ce qui se passe dans la plupart des pays avec lesquels nous interagissons, dans notre nation, les questions de sécurité et de défense sont utilisées de manière irresponsable pour pratiquer la confrontation politique, dénigrant l'effet de la confrontation sur notre sécurité et notre défense. Et c'est que la configuration d'une culture de défense adéquate est un sujet en suspens de notre évolution politique. Elle doit être prise au sérieux, une fois pour toutes, par tous les acteurs impliqués, notamment ceux qui assument des responsabilités politiques.
Il est nécessaire de passer progressivement de la diffusion d'une Culture de Défense de l'Assistance Humanitaire et des bons offices à celle d'une culture de défense de la Dissuasion et de donner à nos soldats la capacité d'accomplir leurs tâches toujours avec la plus exquise proportionnalité dans le recours à la force, mais avec une garantie d'efficacité et surtout de sécurité. C'est une obligation que nous avons envers eux, pour laquelle, nous devons être disposés à garantir la disponibilité de budgets de défense qui leur permettent d'avoir les équipements nécessaires et la capacité de les maintenir à des niveaux de performance appropriés, ainsi que l'accès aux rémunérations digne de l'évolution du pouvoir d'achat de la généralité des espagnols.
https://elfarodemelilla.es/la-defensa-de-espana/
_________________ "C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard". William Shakespeare ; Hamlet (1603)
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Fahed64 Administrateur
messages : 25527 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Israel fais la déclaration et la junte accuse le Maroc sans avoir les couilles de mentionner Israel? où est le fameux nif et avec la Palestine dalima aw madlouma?
ralek1 Colonel-Major
messages : 2062 Inscrit le : 27/04/2016 Localisation : Lyon Nationalité : Médailles de mérite :
Les Harkis, bien installés en France, main dans la main avec les gauchos pour critiquer le Maroc
Citation :
Incendies en Algérie : une caricature de Médiapart jugée antisémite visant le Maroc déchaîne une violente polémique
Conspiracy Watch, la plate-forme éditée par l’Observatoire du conspirationnisme et des théories du complot, a épinglé un dessin antisémite publié dans un des blogs hébergés par Médiapart.
La publication d’une caricature jugée antisémite et hautement polémique dans Médiapart a déclenché une violente tempête, samedi 15 août, alors que le site qui s’est engagé à un contrôle éditorial renforcé de ses contenus ne bouge pas malgré ses promesses de durcir sa politique de modération.
Le Maroc s’est dit disposé à aider l’Algérie pour lutter contre les incendies meurtriers qui font rage dans le nord du pays. Dans un dessin à charge antisémite, publié sur un blog de Médiapart par le caricaturiste controversé Abdellatif Zeraïdi, on voit un dragon portant une kippa avec une étoile de David cracher du feu à l’envers de l’Algérie depuis le Maroc, un dessin signalé par plusieurs lecteurs et dénoncé par Conspiracy Watch.
La publication, fin juillet, d’un éditorial écrit par les responsables des blogs après un billet raciste envers le Maroc, n’a fait qu’alimenter l’hostilité d’une partie de l’opinion à l’égard du journal, accusé par certains de se dégager de ses responsabilités en entretenant un parti pris hostile contre le royaume.
En marge de sa visite au Maroc, le chef de la diplomatie israélienne Yaïr Lapid a confié avoir abordé avec son homologue marocain ses «inquiétudes au sujet du rôle joué par l’Algérie dans la région, son rapprochement avec l’Iran et la campagne qu’elle a menée contre l’admission d’Israël en tant que membre observateur de l’Union africaine.»
La déclaration marocaine pour aider l’Algérie est intervenue après l’appel lancé début août par le roi Mohamed VI au président algérien Abdelmadjid Tebboune «à faire prévaloir la sagesse» et «œuvrer à l’unisson au développement des rapports» entre les deux pays voisins.
Le souverain avait donné des instructions afin d’exprimer «la disponibilité du royaume du Maroc à aider l’Algérie à combattre les incendies de forêts qui ravagent plusieurs régions du pays», d’après un communiqué mercredi du ministère des Affaires étrangères marocain. «Deux Canadair ont été mobilisés afin de participer à cette opération, dès accord des autorités algériennes», d’après la même source.