Actualités du Sahara Marocain

BOUBOU a écrit:

Stinger a écrit:

BOUBOU a écrit:

je ne croit pas que ça a été posté.
l'abstention tunisienne  lors du vote de la résolution sur le sahara marocain. les 300 millions de dollars octroyé par l'Algéristan sont en réalité le salaire de la corruption. imaginez donc ce qu'à coûté cette affaire depuis 1975!

Il va falloir les recadrer la prochaine fois il faut absolument pas se laisser faire

La Tunisie va à sa propre perte en agissant ainsi. Nous n'avons pas à agir là dessus. mais c'est vrai qu'il faille que ce pays précise sa vision des choses. ils ne peuvent pas jouer sur deux tableaux.
Mais comme je l'ai souvent préciser ici et aileurs, la Tunisie est dans une situation extrêmement délicate. Géographiquement, et économiquement. Elle est presque à la merci de l'Algéristan avec tout ce que ça comporte de danger. La Tunisie voit sa voisine comme les autres  la vois, c'est à dire une vache à lait. Et l'algéristan tante de flêchire la Tunisie sur des questions stratégiques (intégrité du Maroc, Israel, model économique et social, coopération sécuritaire, voir même d'intégration régionale...).
La Tunisie n'a pas les moyens et ne les aura pas d'ici tôt de rendre a l'Algéristan les prêts déjà octroyés, ni même les dépôts effectués à la banque de Tunisie! Et c'est un levier que va utiliser l'algéristan.

Alors que beaucoups ici me disaient il y a quelques mois en arriére que le président tunisien érait un patriote et amoureux de son pays, je persiste à croire que son âge avancé le fait délirer au point de ventre son pays ou du moins le jeter dans la gueule du loup...

Nous n'en seront que renforcé, mais si la Tunisie a besoin d'aide, nous devons être disposé à le lui fournire. (Surtout depuis que nous sommes la tête pensente de la Banque Mondiale)

ralek1 a écrit:

Bruce Wayne a écrit:

https://ledesk.ma/enoff/position-de-lespagne-pour-sa-premiere-sortie-mediatique-ghali-gene-par-les-questions-del-mundo/

Le truc a donné une ''interview'' à El Mundo, enfin bon interview est un grand mot il a répondu à 2 questions le reste le régime li men lhih lui a pas donné les réponses à donné

Ce que je trouve encore plus intéressant ce sont les questions des journalistes espagnols.

- "Selon vous, que s'est-il passé pour que la position marocaine ait fait changer d'avis Sanchez?"

- "Nasser Bourita vous a décrit, et ce sont ses mots littéraux, comme un violeur qui a toléré l'esclavage, la torture, les crimes de guerre, les enfants soldats et le génocide et l'Espagne le savait avant tout le monde. Qu'avez-vous à répondre à ces accusations"?

- "Ce changement de position du gouvernement espagnol pourrait-il amener les sahraouis du Front Polisario à envisager à nouveau d'agir contre les intérêts espagnols, comme cela s'est produit dans les années 1970 avec des enlèvement et des mitraillages de bateaux?"

Ce sont des questions très violentes que lui balancent dans la figure sans retenue ou respect. Et venant de journalistes de El Mundo ça reflète quand même qu'ils ne sont plus dans le registre d'avant la nouvelle position espagnole. Les journalistes s'adaptent à la nouvelle donne et sont en train de façonner l'opinion publique espagnol en introduisant dans leurs questions des faits historiques... des petits rappels ...

Ils s'adressent à Benbettouche comme une merde, ce qu'il est réellement   . On est loin de l'espagnol "humaniste". comme disait l'autre, “Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche.”

Code:

Le Royaume-Uni, qui préside en avril le Conseil de sécurité de l’ONU, organise le 20 avril une réunion consacrée à l’examen de la mission onusienne au Sahara (Minurso). Son représentant spécial, Alexander Ivanko fera le point sur la situation sur le terrain, et l’envoyé personnel d’Antonio Guterres, Staffan de Mistura, exposera les conclusions de sa première tournée régionale. Round-up

Le 20 avril, les 15 membres du Conseil de sécurité seront briefés lors des consultations sur la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) par le représentant spécial pour le Sahara occidental et chef de la Minurso, le Russe Alexander Ivanko, et l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, l’Italo-Suédois Staffan de Mistura.

Ivanko fera le point sur la situation sur le terrain marquée par des actions bellicistes du Front Polisario et par la politique de no go zone engagée par le Maroc à l’est du mur de défense militaire. De Mistura s’exprimera pour la première fois devant le Conseil de sécurité (présidé par le Royaume-Uni) depuis sa nomination en tant qu’envoyé personnel en novembre 2021 en remplacement de l’Allemand Horst Köhler qui avait démissionné du poste en mai 2019 « pour raisons de santé ». Dès son entrée en fonction, de Mistura a entrepris des discussions diplomatiques avec plusieurs parties prenantes au conflit, dont le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le Front Polisario. Il fera alors le point sur sa tournée dans la région. D’abord sa rencontre le 12 janvier avec le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita et l’ambassadeur Omar Hilale, représentant permanent du Maroc du pays auprès de l’ONU au cours de la réunion, le Maroc a réitéré sa position concernant son plan d’autonomie, puis celle du 15 janvier avec le chef du Front Polisario Brahim Ghali lors de sa visite des camps de réfugiés de Tindouf en Algérie.

Un rapport du HCR publié en février indique que ces camps accueillent quelque 90 000 réfugiés sahraouis, bien que le HCR note également que le nombre réel serait plus élevé. Le Front Polisario aurait réitéré son « attachement à l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui ».

Le 17 janvier, de Mistura a rencontré le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le ministre des Affaires étrangères Ismail Ould Cheikh Ahmed à Nouakchott. De là, il s’était rendu en Algérie pour une rencontre avec le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et Amar Belani, envoyé spécial de l’Algérie sur la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb. Dans un communiqué de presse suite à la visite de de Mistura, l’Algérie a exprimé son soutien à « des négociations directes sans conditions préalables entre le Maroc et le Front Polisario et à la revitalisation du plan de règlement conjoint de 1991, qui comprend la tenue d’un référendum ».

Le Secrétaire général António Guterres a commenté les efforts de de Mistura lors d’une conférence de presse le 21 janvier, exprimant « l’espoir que la visite et les bons offices de de Mistura donneraient un nouvel élan au processus politique ».

Une dynamique régionale complexe

Cependant, de Mistura a dû faire face à une dynamique régionale complexe alors qu’il s’est lancé dans son nouveau rôle. En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc après une période de relations de plus en plus tendues.

Plus près de nous, le 19 mars, l’Algérie a rappelé son ambassadeur en Espagne en raison du changement de position de Madrid en soutien du plan marocain d’autonomie du Sahara. Cette décision a amélioré les relations de l’Espagne avec le Maroc en berne depuis une année, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez et son ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares sont attendus ces jours-ci en audience royale à Rabat, tandis que le régime d’Alger a entamé des mesures de coercition à caractère économique contre l’Espagne.

La principale question que les membres du Conseil doivent examiner est de savoir comment amener toutes les parties à la table des négociations. La résolution 2602 du 29 octobre 2021 (prorogeant le mandat de la Minurso à octobre) a appelé toutes les parties à reprendre les négociations en vue de « parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, qui assurera l’autodétermination du peuple du Sahara occidental ». La nomination de de Mistura a donné un nouvel élan au processus de paix et ravivé les perspectives de reprise des négociations.

Néanmoins, des obstacles importants subsistent pour faire des progrès significatifs dans le processus de paix. Le Front Polisario a annoncé en novembre 2020 qu’il ne respecterait plus l’accord de cessez-le-feu qu’il avait conclu sous l’égide de l’ONU avec le Maroc en 1991. Cette annonce faisait suite à l’opération militaire des Forces armées royales (FAR) pour déloger les milices du Polisario du corridor de Guerguerat menant à la Mauritanie. Une position des séparatistes de nature à assombrir les perspectives de la reprise du processus politique entre les parties belligérantes.

La position américaine favorable au Maroc

Aussi, les membres du Conseil devraient se contenter d’un communiqué exprimant leur soutien aux efforts de l’envoyé spécial de Mistura et exhortant toutes les parties à reprendre les négociations.

Le Conseil de sécurité continue d’être divisé sur la question du Sahara occidental. Les États-Unis, pen holder du dossier ont reconnu la souveraineté du Maroc sur la région en décembre 2020, sous l’administration Trump. L’administration Biden n’a pas changé cette position. Le 3 février, de Mistura a rencontré le secrétaire d’État américain Antony Blinken et a discuté de l’engagement diplomatique avec des partenaires internationaux pour renforcer « un processus politique crédible qui conduira à une résolution durable et digne du conflit ».

Blinken a rencontré à deux reprises Nasser Bourita, dans le cadre du Sommet du Neguev organisé fin mars par Israël, nouvel allier régional de poids du Maroc et à Rabat, avant de visiter Alger. A chacune de ses étapes, il a montré que Washington ne changera pas sa position qui demeure dans les faits favorables au royaume. De son côté, la France, bien qu’elle entretienne des relations contrastées avec le Maroc en cette fin de mandat présidentiel d’Emmanuel Macron à l’Elysée, a traditionnellement soutenu le plan marocain d’autonomie pour la région, et le Gabon et les Émirats arabes unis soutiennent également le Maroc. Par ailleurs, le Ghana, le Kenya et le Mexique, entretiennent des relations diplomatiques avec le Polisario et leur position ne pèsera pas lors de cette réunion de l’instance exécutive de l’ONU.

Les parties espagnoles Ciudadanos et PSOE classe le Front Polisario comme organisation terroriste

Fox-One a écrit:

C quoi leur problème avec la ceinture de sécurité ces malades, est ce qu'ils croient que c'est une cours de recreation au delà ?

Fox-One a écrit:

C quoi leur problème avec la ceinture de sécurité ces malades, est ce qu'ils croient que c'est une cours de recreation au delà ?

Citation :

Documentos exclusivos. Cómo el Polisario abrió en España una embajada secreta en una entreplanta de Madrid financiada por el CESID

https://autonomico.elconfidencialdigital.com/articulo/madrid/documentos-exclusivos-como-polisario-abrio-espana-embajada-secreta-entreplanta-madrid-financiada-cesid/20220408103154080340.html

Socket-error a écrit:

La presse espagnole est devenue bavarde, elle vient de balancer comment le service de renseignement espagnol a financé l'ambassade secrète des Sendalos dans les années 80 à Madrid.

Des agents de la CIA ont assisté aux réunions :

Citation :

Documentos exclusivos. Cómo el Polisario abrió en España una embajada secreta en una entreplanta de Madrid financiada por el CESID

https://autonomico.elconfidencialdigital.com/articulo/madrid/documentos-exclusivos-como-polisario-abrio-espana-embajada-secreta-entreplanta-madrid-financiada-cesid/20220408103154080340.html

Code:

C’est avec une rage non contenue que Amar Belani, ambassadeur d’Alger pour la question du Sahara a réagi à la nouvelle entente hispano-marocaine. Dans une sortie anonyme dans un média algérien, puis à découvert, il attaque le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez accusé, comme d’autres responsables espagnols, de corruption. Une diatribe constellée d’extrapolations sans fondement sur fond de théorie du complot

« Sánchez a vendu son âme sans que Rabat reconnaisse l’intégrité territoriale de l’Espagne », voici résumée en une phrase lapidaire la réponse furieuse d’Alger aux retrouvailles maroco-espagnoles, après 15 mois de crise, marquées par une audience accordée jeudi par le roi Mohammed VI au président du gouvernement espagnol Pedro Sánchez, suivie d’un ftour à la résidence royale de Salé et enfin la publication d’une « feuille de route » encadrant les nouvelles relations bilatérales entre Rabat et Madrid.

Cette punchline vient d’Amar Belani, ambassadeur chargé du suivi du conflit du Sahara occidental en Algérie, révèle El Confidencial, alors que ses propos véhéments avaient été publiés sous forme d’interview anonyme dans les colonnes du média algérien TSA.

Belani fustige l’abandon par l’Espagne de sa position traditionnelle sur le Sahara exprimée dès le 14 mars par Sánchez dans une lettre au roi Mohammed VI s’alignant, ainsi sur le Maroc et soutenant sa proposition de résoudre le conflit en accordant l’autonomie à cette ancienne colonie espagnole. L’ambassadeur algérien la qualifie de « crime » et accuse de corruption deux personnalités ayant, selon lui participé à sa rédaction : l’ancien chef du gouvernement José Luis Rodríguez Zapatero et un ancien ministre des Affaires étrangères, Miguel Ángel Moratinos, tous deux membres du PSOE, « connus pour leurs liens intéressés avec le Makhzen », lance-t-il.

Pour une assiette de lentilles…

« L’Espagne de Pedro Sánchez a perdu son âme pour une assiette de lentilles et le Makhzen manipulateur et rusé reviendra tôt ou tard à la charge des deux villes [Ceuta et Melilla] qu’il considère comme une cause nationale au même titre que le Sahara Occidental occupé », a déclaré Belani.

L’Algérien fulmine contre le fait que les Marocains, dans la déclaration conjointe de jeudi auraient « rejeté toute mention, fût-elle implicite, du respect de ‘l’intégrité territoriale’  de l’Espagne », la mention de « l’intégrité territoriale », en clair, le respect de la souveraineté espagnole sur Ceuta (Sebta) et Melilla, n’est mentionnée que dans les communiqués de la Moncloa. Sauf que, la déclaration qui garantit que « la pleine normalisation de la circulation des personnes et des biens », suggère clairement l’acceptation par Rabat d’ouvrir un bureau de douane commerciale à Ceuta, qui n’en a pas, et de rouvrir celui de Melilla, que le Maroc a fermé en 2018. Sánchez l’a d’ailleurs confirmé en marge d’une conférence de presse signifiant que les deux villes-enclaves ne seront plus asphyxiées économiquement.

Malgré cela, l’envoyé spécial de la Mouradia prophétise que « l’asphyxie économique et commerciale de Ceuta et Melilla, le flot de l’immigration clandestine, la contestation des espaces maritimes [aux Canaries, Ceuta et Melilla], le trafic de drogue et les menaces à la sécurité continueront à être les principales sources de la stratégie de tension permanente favorisée par un Makhzen expérimenté dans les pratiques d’intimidation, de chantage et de corruption ».

Les propos fébriles de Belani

Sauf que, la Marine marchande a déjà signifié dès le 8 avril aux transporteurs la réouverture « immédiate et progressive » des lignes maritimes reliant cinq ports espagnols (Algésiras, Tarifa, Malaga, Motril et Almería) aux quatre ports marocains (Tanger Med, Tanger Ville, Nador et Al Hoceima) dont le trafic avait été interrompu en mars 2020.

Il faudra, souligne El Confidencial, attendre dans quelles conditions les frontières terrestres de Ceuta et Melilla avec le Maroc seront rouvertes, même si cela devra être avant le 15 juin, date du début de l’opération Marhaba qui transporte plus de trois millions de personnes par bateau, essentiellement des Marocains résidents en Europe.

Enfin, chose la plus grave dans la bouche d’un diplomate, Belani, qui a été pendant de longues années ambassadeur d’Algérie auprès de l’Union européenne, assure que les attentats du 17 août 2017 à Barcelone et Cambrils « étaient planifiés à Mrirt », la bourgade d’origine des jeunes Espagnols d’origine marocaine qui ont perpétré ces actions terroristes. Une accusation à peine voilée contre les services secrets marocains d’être à l’origine du double coup d’Etat terroriste, alors que l’enquête judiciaire (d’ailleurs très bien relatée dans le documentaire « 800 mètres » de Netflix) a établi une auto-radicalisation des jeunes terroristes en Espagne soumis à l’influence néfaste d’un imam.

Belani a aussi rué dans les brancards lorsque la presse marocaine a fait état d’une modification de la carte du Maroc sur le site internet de la diplomatie espagnole. « Le gouvernement espagnol reconnaît ainsi ouvertement la prétendue souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental », a dénoncé l’ambassadeur algérien. Elle va plus loin que la lettre de Sánchez, « qui se limite à mentionner l’autonomie comme la base la plus appropriée » pour parvenir à une solution, insiste l’ambassadeur. « La fraude a ainsi été révélée », conclut-il. En réalité, comme le rapporte El Confidencial, citant des sources diplomatiques espagnoles, « la cartographie du web est issue d’Open Street Map et on ne peut pas modifier les cartes en dessinant, par exemple, des lignes »…

Belani n’a pas non plus manqué de fustiger la vice-présidente espagnole Teresa Ribera, et le ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares, qui ont insisté ces jours-ci sur la « fluidité » des relations de l’Espagne avec l’Algérie, qui ont également un « caractère stratégique ». « Ces mots ne peuvent cacher la réalité d’une crise (… ) dont les autres conséquences seront perceptibles à différents niveaux à court et moyen terme », a menacé l’ambassadeur algérien. S’il ne donne pas de détails sur les représailles à venir de la part d’Alger contre Madrid, le régime des généraux a déjà rappelé son ambassadeur à Madrid, Saïd Moussi, pour des consultations juste après la diffusion de la lettre de Sánchez au roi Mohammed VI, et des mesures de coercition sécuritaires et économiques ont déjà été enclenchées de manière incrémentale : refus du retour des migrants, gel des liaisons aériennes de la compagnie Iberia, annonce d’augmentation à venir des tarifs du gaz fourni à travers le pipeline Medgaz, alors que le GNL américain a évincé le gaz algérien importé par l’Espagne…