un jour, c'est le Roi, Un autre jour, c'est le 1er ministre, Un autre jour, c'est Omar Hilale etc .... Un autre jour, çà sera Klan, Un jour, çà sera moi, Marques ...
les kabranates vont devenir fous d'ici début Novembre ...
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Khalid sergent chef
messages : 288 Inscrit le : 22/11/2020 Localisation : France Nationalité :
Une visite royale serait un cadeau pour les caporaux. Ils vont croire comme d'habitude que le Maroc est faible. Les livres sont fermés depuis El Guergarates. Nos responsables savent qu'il n'y a rien à espérer tant que le duo Teboune Chengriha est au pouvoir.
romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Bravo aux équipes qui gère ces dossiers diplomatiques. Ils donnent le tempo et imposent un rythme infernal en travaillant une multitudes de dossiers au même temps.
Nos adversaires ne savent plus ou donner la tête !
Nous avons besoin de déployer des task forces pareilles sur d'autres domaines !
_________________ لك الله ياوطني
Dernière édition par Socket-error le Jeu 15 Sep - 16:32, édité 1 fois
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bradli23 Colonel
messages : 1866 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
C'est comme ça qu'il fait gérer ce dossier. Il ne faut pas laisser le terrain aux batards de l'est. Vos avez vu comment l'autre guignole s'est retrouvé parmi les délégations pour féliciter le président Kenyian et garder son statut. Mais il a reçu une claque à la tranche. De mon point de vue il faut continuer à travailler les autres pays. Pour l'Égypte le temps venu il fera le nécessaire. Leur neutralité n'est que factice pour jouer le rôle de médiateur . Ils ont assisté à une visioconference présidé par Bourita et Blinken pour promouvoir le plan d'autonomie.
Le Royaume doit maintenir et intensifier la pression jusqu’à la rendre écrasante pour les ennemis et qu’ils prennent conscience de leur rang de première Farce de la région et du continent. Leur diplomatie de pacotille est entrain de voir s’effondrer toute la supercherie qu’elle avait monté de toute pièce et à coups de pétrodollars et corruption. L’idéologie communiste et révolutionnaire est terminée, l’algérie et sa verrue chimérique polisario avec. Le seul moyen qu’il reste à l’algerie pour stopper l’avancée du maroc c’est la guerre, la vraie, celle entre les armées des deux pays, une guerre qui la mènera tout droit à sa dislocation.
Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
J'ai l'impression qu'on va vraiment vers un déplacement du roi à Alger... avec nos alliés du golf on va les mettre devant le fait accompli et ils auront le choix:
- La paix franche qui colle à la réalité de la région et pas le délire bounifik de "9owa Dariba". - La guerre ( sauf qu'il est évident que si cette option ce dessine nous auront des alliés puissant de notre côté).
Le coup du Kenya ressemble à un tsuki d'un karatéka d'expérience qui avec seulement une longueur de bras te coupe la respiration
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
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bradli23 Colonel
messages : 1866 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Je ne croit même pas une seconde à une visite royale. Leur agence de presse et la télévision nationale n'arrête pas de nous attaquer. On va leur envoyer Bourita .il est rompu à ce genre d'événements et il a de bonnes relations avec la majorité des MAE des pays arabes.
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sinon on peut (m)'envoyer Batman il a l'habitude des clowns (le Joker par exemple) haha...
Franchement ni SM ni Bourita ne doivent y aller ne serait-ce que pour leur sécurité basique, si on vraiment on veut envoyer un officiel Akhennouch en tant que CDG fait largement l'affaire, mais Bourita doit être surement autant hait que SM
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
bradli23 et Stinger aiment ce message
Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sinon on peut (m)'envoyer Batman il a l'habitude des clowns (le Joker par exemple) haha...
Franchement ni SM ni Bourita ne doivent y aller ne serait-ce que pour leur sécurité basique, si on vraiment on veut envoyer un officiel Akhennouch en tant que CDG fait largement l'affaire, mais Bourita doit être surement autant hait que SM
Bourita est un samouraï dans l'esprit Remember 2017 à Maputo ou il a été bousculer physiquement.
Avec ce sommet arabe on va les rendre fou.
Le message de l'Egypte est pourtant clair, les signaux sont la. Couchez vous
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Bruce Wayne, QuickShark et @Winners aiment ce message
A moins d’être dans les petits papiers de l’Élysée, il sera difficile de prédire le nom qui va figurer dans le décret final de nomination du prochain ambassadeur de France au Maroc.” Comme le confirme à TelQuel ce fin connaisseur des lambris dorés de la République, le nom du futur chef de la représentation tricolore dans la capitale marocaine est un des secrets les mieux gardés du château.
Et pourtant, le temps presse. Hélène Le Gal est annoncée sur le départ d’ici la fin septembre, selon plusieurs sources contactées par TelQuel, corroborant une information de nos confrères d’Africa Intelligence. Selon la lettre confidentielle bien informée, l’actuelle ambassadrice de France au Maroc devrait rejoindre les bureaux du Triangle Building, le siège du Service européen pour l’action extérieure (SEAE) à Bruxelles.
La diplomate devrait y prendre les rênes de la Direction Afrique du Nord et Moyen-Orient. La nouvelle directrice obtiendrait alors un siège au SEAE, organe chargé de coordonner l’action extérieure de l’UE et la politique de sécurité et de défense commune. Ce même SEAE qui est dirigé par le Haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères. Un certain… Joseph Borrell !
Hélène Le Gal, une ambassadrice en vacances ?
Une nouvelle ligne sur le CV de cette diplomate habituée à être première de cordée. Nommée en septembre 2019 à la tête de la mission diplomatique française à Rabat, Hélène Le Gal arrivait de Tel-Aviv où elle était la première femme à occuper le poste. La première “Madame Afrique” (elle a été conseillère du président François Hollande) était aussi, à son arrivée dans la capitale marocaine, la première femme à diriger l’ambassade.
Trois ans après la présentation de ses lettres de créance, le passage d’Hélène Le Gal dans le royaume n’aura cependant pas laissé de trace profonde. De l’affaire Pegasus à l’affaire des visas en passant par la visite prévue en février 2019 puis annulée d’Emmanuel Macron, son mandat a en effet vu les nuages s’accumuler dans le ciel des relations entre le Maroc et la France, devenues glaciales.
Ses tweets maladroits sur les dons français pendant le Covid, ou encore sur le “point d’étape” qui lui aurait été présenté par Chakib Benmoussa alors président de la CSMD, son manque de connexion sur les réseaux politiques et économiques marocains ont achevé de lui tailler le costume d’une ambassadrice musarde. “Son track record lui donnait toutes les cartes pour réussir sa mission. Mais elle aura laissé l’image d’une ambassadrice en vacances pour une représentation aussi importante. A Paris comme à Rabat, personne ne cache son soulagement de la voir partir vers d’autres missions”, tacle notre connaisseur.
Arnaud Pescheux, la doublure ?
C’est peut-être pour cela que la prise de fonction, le 21 août dernier, d’Arnaud Pescheux en tant que ministre conseiller de l’ambassade a pu sonner comme un pré-remplacement d’Hélène Le Gal. Venu en renfort d’une légation de plus en plus critiquée, cet ancien premier conseiller à l’ambassade française à Beyrouth a également été sous-directeur de la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée au ministère des Affaires étrangères.
Avant de rejoindre l’ambassade de France au Maroc, son passage à la cellule diplomatique de l’Élysée et son rôle éphémère de conseiller Afrique du Nord en font une “doublure pour épauler cette ambassade en crise et peut-être même préparer la visite de Macron”, confie un habitué des salons diplomatiques.
“Il aurait pu être un très bon ambassadeur, pour avoir notamment traité lors de son passage à l’Élysée, des sujets sur le Maghreb. Il a suivi de très près le dossier libyen et connaît les ramifications d’Alger et d’autres puissances régionales. Sa nomination en tant que conseiller a été une grande surprise à Paris”, complète notre source.
Pistes brouillées par un Macron imprévisible
L’énigme élyséenne sur le ou la remplaçant(e) d’Hélène Le Gal reste donc entière. “Dans les archives, les ambassadeurs de France au Maroc ont longtemps été des chefs du protocole de l’Élysée, sans doute pour être à même de respecter le protocole du Royaume”, éclaircit le journaliste et écrivain Antoine Glaser, citant le cas de Frédéric Grasset (2002-2004).
“Ils ont été par la suite des anciens (ou futurs) conseillers Afrique de l’Élysée, surtout depuis la diplomatie d’influence du Maroc dans l’ancien pré carré français d’Afrique subsaharienne” complète l’auteur (avec Pascal Airault) du livre Le Piège africain de Macron (Fayard), citant les cas de Michel de Bonnecorse (1995 à 2001), Bruno Joubert(2009-2012) et Hélène Le Gal (2019-2022).
Les pistes sont d’autant plus brouillées depuis qu’Emmanuel Macron a entrepris de réorganiser le Quai d’Orsay. Entamée en 2022, cette réforme prévoit la “mise en extinction” des deux corps historiques de la diplomatie d’ici à la fin 2023 — le corps des conseillers des Affaires étrangères et le corps des ministres plénipotentiaires — et la création d’un nouveau corps unique de l’État d’où seront issus tous les ambassadeurs de France dans le monde.
La réforme pourrait ainsi s’appliquer au choix du suppléant d’Hélène Le Gal. “Emmanuel Macron est totalement imprévisible pour les nominations de diplomates. Il a sa propre stratégie d’influenceur, surtout au moment où les relations entre Paris et Rabat sont à l’étiage !”, reconnaît Antoine Glaser.
Ambassade cherche ambassadrice
Pourtant, à Paris, les supputations vont bon train, nourries par les ambitions et la volonté de restructurer les relations franco-marocaines. “Le prochain ambassadeur de France au Maroc ne sera pas obligatoirement une femme, mais cela pourrait l’être très probablement”, brouille encore notre connaisseur.
Annoncée sur le départ, le nom de Marie Audouard est revenu avec insistance pour occuper le fauteuil de Le Gal. Mais “même si la proposition lui avait été faite, je la vois mal accepter. Elle ne compte pas s’éloigner des centres de décisions”, confie un sympathisant. Entrée à l’Élysée en même temps que Macron en 2017, cette diplomate venue de la Direction Afrique du Quai d’Orsay a d’abord rejoint la cellule africaine de l’Élysée. Avant son ascension au rôle d’actuelle conseillère Afrique adjointe chargée des diasporas, elle était en poste à New York, à la représentation permanente des Nations Unies.
Selon nos sources, le choix de Catherine Colonna, la cheffe de la diplomatie française se porterait plutôt sur Marion Paradas. Cette diplômée de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris a été directrice des affaires internationales, stratégiques et technologiques au Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) puis représentante de la France auprès de l’ONU à Vienne. Placée à la tête de la représentation française à Ljubljana en Slovénie (2016-2018), elle a ensuite rejoint le groupe Thales en tant que vice-présidente chargée des relations internationales.
Sur la fiche de réserve, figure aussi le nom d’Anne Grillo. A 55 ans — dont 30 au sein de la diplomatie française — l’actuelle ambassadrice de France au Liban est dans les petits papiers du gouvernement français. Cette ancienne énarque passée par Sciences Po a été ambassadrice au Mexique, en Espagne, en Chine et connaît bien le Maroc où elle a servi pendant 4 ans comme ministre conseiller. “Un bon profil : elle a été numéro 2 sous Sarko, connaît bien les acteurs des dossiers qui intéressent le Maroc. La seule chose qui empêcherait sa nomination est qu’elle n’est au Liban que depuis 2 ans”, fait savoir un de ses proches.
Ou pas
Autre profil évoqué, Anne-Claire Legendre. Mais l’actuelle porte-parole et directrice de la communication au Quai d’Orsay et ancienne consule générale de France à New York (2016 à 2020) a été disqualifiée en raison de son “manque d’expérience”. Idem pour Ahlem Gharbi. A 45 ans, son CV diplomatique avait pourtant de quoi convaincre : issue de classes préparatoires, diplômée en histoire et en langue arabe, Ahlem Gharbi avait été conseillère pour l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient à l’Élysée.
Ancienne numéro 2 de l’ambassade de France en Égypte, ex-conseillère diplomatique de la France aux Nations Unies, cette Franco-Tunisienne a été aux premières loges de la première visite de Macron au Maroc après son élection en 2017. Mais son passé de militante d’extrême gauche, ses sympathies avec la Tunisie et sa position d’actuelle présidente de l’Institut français d’Algérie ne plaidaient pas en sa faveur.
Parmi les prétendants au poste, circule aussi le nom de Bruno Foucher. Décrit comme un homme de culture et un diplomate hors pair, l’envoyé spécial du Quai d’Orsay dans le monde arabo-musulman semble avoir hérité d’un lot de consolation. Sa longue carrière d’ancien ambassadeur au Liban, en Iran, au Tchad et son poste d’ancien président du Conseil d’administration de l’Institut français le prédestinaient à un poste plus important. Le nommer à Rabat pourrait donc être le moyen de réparer une “injustice”…
Le chantier de la restructuration de la relation
Les critères de la fiche de poste seront difficiles à remplir. “Il faudrait que le prochain ambassadeur maîtrise en profondeur les dossiers et saisisse la complexité des sujets maghrébins et particulièrement marocains. Il devrait être issu d’une ambassade prestigieuse pour lui donner une légitimité”, estime encore notre connaisseur.
En arrivant à Rabat, le prochain locataire de la représentation française devra marcher sur des œufs. A charge pour lui de réchauffer une relation franco-marocaine distendue tant sur les plans diplomatique, économique et même populaire. Et notre source de prolonger : “A Rabat, on s’attend à un technicien avec un sens diplomatique aigu, quelqu’un qui n’est pas là pour des coups d’éclat, qui va identifier et décoder les signaux faibles afin d’impulser une nouvelle dynamique à la relation”. Vaste chantier !
Ils pensent cours terme pour avoir la mains mise sur les imams, comme la mosquée de Paris qui a appelé à voter Macron, comme lors de la dernière élection.
Mais Moussa oublie que le régime Algérien a éduqué sa population sur la haine du Maroc, d'Israel et de la France.
On verra quand il aura des attentats, sur qui il pourra compter pour sortir encore de la merde !!!
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