Une grande avancée ils ont baissé la largeur du petit tracé entre le Maroc et nôtre Sahara on le voit pas très bien il faut bien regarder c'est déjà pas mal une grande avancée C'est sur France 24. Ils sont passés du centimètre au millimètre c'est déjà pas mal la prochaine fois ça va être du micromètre je sais pas quoi et d'ici une trentaine d'années ils vont faire disparaître la ligne p***** qu'ils sont ridicules. ( On le voit presque plus )
Ceci étant on est sur la voie d'une réconciliation si on revoit les faits depuis quelques mois:
Niveau ambassadeurs: Nomination de Lecourtier et Sitail, le courtier qui appelle depuis sa prise de fonction à une revue sur la question du Sahara
Niveau ministres: Déclaration de Sejourné
Niveau ''First Ladies'': Rencontre entre leurs altesse royales et la première dame de France
On voit que cela va crescendo petit à petit , l'étape d'après devrait être un appel téléphonique entre Sa Majesté et le président Francais ...
la perte de vitesse Française au Sahel nous aura profité sur le moyen terme..
Suite à l'échange téléphonique de novembre 2022 entre les 2 chefs d’État, les relations franco-marocaines ont connu de nombreuses fluctuations, oscillant entre espoirs de réconciliation et périodes de tension.
Malgré les attentes, une véritable réconciliation n'a pas encore eu lieu, marquée au contraire par des moments de discordance. Actuellement, nous sommes témoins d'une nouvelle tentative de redresser et d'améliorer les relations bilatérales entre les deux pays.
Cependant, il semble que la Macronie reste prudente, hésitant à apporter un soutien ouvert et sans réserve à notre pays. Cette réticence s'explique probablement par la crainte des répercussions que cela pourrait avoir sur leurs intérêts dans la région.
Pour ma part, je reste sceptique. Néanmoins, la table de Lftour est prête à accueillir Macron le mois prochain, s'il entendra enfin raison !
Je pense que la France reconnaitra notre souveraineté sur le sahara en fin d'année vers les élections du zoo à l'est, vu qu'un potentiel chimping out entre clans se dessine petit à petit sur ce territoire postcolonial. Comme ça les français vont minimiser les "noises" que peut produire ce territoire.
A vrai dite une reconnaissance Française n'est meme plus assez. Ils doivent avec les Espagnols user leur influence dans l'Union Européene pour qu'ils basculent en masse vers la position Americaine.
Les tensions entre Alger et Bamako, ont éclaté au grand jour le 20 décembre dernier. Le ministère malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale a annoncé avoir convoqué l’ambassadeur d’Algérie à Bamako pour protester contre les « actes inamicaux » de la partie algérienne et son « ingérence dans les affaires internes » du Mali. Deux jours plus tard, les autorités de transition au Mali ont rappelé leur ambassadeur en poste à Alger. En cause : l’audience accordé le 19 décembre par le président algérien Abdelmadjid Tebboune au leader religieux Mahmoud Dicko, guide de la Confrérie Kountia réputé pour sa proximité avec les groupes salafistes armés opérant au Sahel que combat le nouveau pouvoir malien. Cet épisode illustre les errements de la diplomatie algérienne dans la région alors que les changements de régime dans les pays du Sahel tendent à reconfigurer la géopolitique locale marquée par la perte d’influence autant de la France que de l’Algérie. Cette dernière s’arc-boute sur les Accords d’Alger datant de 2015 qui recherchaient une simple gestion sécuritaire de cette région particulièrement instable, sans réelle perspective de développement économique. Dans l’intervalle, le Maroc qui entretient des rapports historiques avec les principaux du Sahel a proposé à quatre pays frontaliers de l’Algérie l’Initiative Atlantique fondée non pas sur la simple coopération sécuritaire, mais aussi sur une offre d’alliance économique multiforme destinée à permettre à ces pays désertiques et enclavés de sortir de leur isolement par un accès à l’Atlantique, bénéficiant des infrastructures en développement dans le sud du Royaume (routes, rail, port de Dakhla, accès à l’eau, avantages douaniers etc.). Cette offre devrait aussi inclure la Mauritanie dont le territoire sépare le Maroc de la zone sahélienne. Pour Rabat, cette offre est de nature à assoir son influence dans la région et concrétiser son ancrage africain avec un mécanisme de coopération concret conclu avec des pays membres de la CEDEAO, espace économique que le Royaume cherche à intégrer. Sur le plan politique, l’Initiative Atlantique conforte le caractère stratégique du territoire du Sahara Occidental comme interface majeure avec le Sahel et l’Afrique subsaharienne assurant aussi de facto la pleine reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara de la part des pays partenaires de cette alliance en gestation. Dakhla Gateway To Africa La force de la proposition marocaine, outre le fait qu’elle découle d’un cadre économique industrialisé et diversifié, réside dans la qualité de ses infrastructures portuaires, notamment le futur port Dakhla Atlantique et son hinterland (Dakhla Gateway To Africa, West Africa Free Zone) intégré sur le modèle de la réussite de Tanger Med dans le nord du pays.Côté algérien, l’Initiative Atlantique est perçue comme une menace directe à ses intérêts. Le régime algérien qui continue de soutenir le séparatisme du Polisario accuse un énorme retard en termes d’intégration économique avec les pays qui bordent son territoire par le Sud, l’économie du plus vaste pays d’Afrique demeure très peu diversifiée et basée essentiellement sur les hydrocarbures et leurs dérivés. De plus, la récente sortie du président Tebboune sur une éventualité de renforcer les échanges commerciaux avec les pays riverains de l’Algérie sur la base du troc transfontalier illustre une forme d’arriération dans la conception de l’intégration économique régionale, doublée d’une carence significative en matière de développement des services financiers, les banques algériennes étant encore passablement primitives.RTS sans véritable débouché à Alger Reliant six pays du continent africain (Algérie, Mali, Niger, Nigeria, Tchad, Tunisie) par voie terrestre, la Route transsaharienne (RTS) est, depuis les années 60, un projet ayant pour objectif est de dynamiser l’activité économique de la région et de faciliter la mobilité des hommes et des marchandises. Cependant, force est de constater que ce projet ambitieux mais quasi-stagnant depuis des décennies, ne s’appuie pas sur une politique de réelle intégration économique Une étude intitulée « Le corridor de la route transsaharienne », publiée par la CNUCED en octobre 2022, synthétise le projet et présente l’état des lieux actualisé. Le corridor RTS qui relie l’Algérie, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Tchad et la Tunisie (trois pays portuaires et trois pays sans littoral) demeure inachevé et son infrastructure est mal entretenue malgré un taux d’asphaltage de 80 % (axe principal du nord au sud de 4 500 km auquel s’ajoutent 4 600 km de routes secondaires connexes). Le trafic observé est inégal, parfois dense dans le nord, il reste très faible dans les tronçons de raccordement. La RTS pose des problèmes majeurs qui restent à résoudre au niveau des deux principales portes d’entrée du grand axe nord-sud, soit le port d’Alger et le port de Lagos. Malgré de timides améliorations, le port d’Alger reste engorgé et des surtaxes de congestion sont régulièrement appliquées par les compagnies de transport maritime. Les retards sont courants et les temps d’attente au port restent importants. Plusieurs facteurs critiques minent également l’efficacité du port de Lagos. Parmi les problèmes répertoriés figurent des déficits d’infrastructures de transport, des carences au niveau des services et des installations des agences gouvernementales, et une insuffisance des services proposés par les opérateurs du secteur privé présents dans le port. En Tunisie, le port de Gabès (comme celui de Radès) pâtit d’un déficit de son terminal à conteneurs. De plus, les difficultés observées aux différents postes-frontières du corridor RTS sont dues à une interprétation étroite et excessivement bureaucratique de la réglementation, qui entraîne embouteillages et retards. Il n’existe aux postes-frontières aucune utilisation des TIC pour le partage d’informations, et aucune réelle gestion des risques n’y est appliquée. Le fait que l’Algérie ne fait pas partie de la convention relative au transport international routier (TIR) – le pays en a suspendu l’application en 1991 – est un point noir rédhibitoire. a écrit:
Il prend cher sur les commentaires ! En gros, il est accusé d'être esclave du Maroc !
Il aura une conférence de presse après la rencontre au palais ! ça sens une annonce fracassante ! Attendez-vous à entendre des pleures du côté de Tanger et Oujda cette nuit !
Sanchez is showing Macro how things get done for a win-win relationship! Both are young and ambitious, and of course face internal dissension and tensions; but one bet on a solid win-win relationship while the other bet on a losing and nagging horse.
Il prend cher sur les commentaires ! En gros, il est accusé d'être esclave du Maroc !
Il aura une conférence de presse après la rencontre au palais ! ça sens une annonce fracassante ! Attendez-vous à entendre des pleures du côté de Tanger et Oujda cette nuit !
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Même si il s'en prend plein la gueule l'accord avec l'Espagne c'est plus un accord avec l'état espagnol et l'État profond espagnol qu'avec Sanchez ou un parti politique même avec tout le cinéma podemos....... tout le reste
"Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, a reçu, ce jour, au Palais Royal de Rabat, Son Excellence Monsieur Pedro SANCHEZ, Président du Gouvernement du Royaume d’Espagne, qui effectue une visite de travail au Maroc.
Cette visite s’inscrit dans la continuité de la nouvelle phase des relations bilatérales, entamée depuis la rencontre entre Sa Majesté le Roi, que Dieu Le glorifie, et le Président du Gouvernement espagnol, en avril 2022, et l’adoption, à cette occasion, de la Déclaration conjointe entre les deux pays.
Cette nouvelle dynamique se déploie de manière satisfaisante. Elle est marquée par le renforcement de la coopération, de la coordination et du partenariat dans tous les domaines, sur la base des principes de la confiance, du respect mutuel, de l’ambition, du bon voisinage et du respect des engagements.
À l’occasion de cette Audience, le Président du gouvernement espagnol a réitéré à Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, la position de l’Espagne, contenue dans la déclaration conjointe d’avril 2022, considérant l’initiative marocaine d’autonomie comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend. Sa Majesté le Roi a remercié l’Espagne pour cette nouvelle position constructive et importante.
Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, et Son Excellence Monsieur Pedro SANCHEZ, ont souligné les perspectives uniques de coopération qui s’ouvrent aux deux pays voisins. L’organisation conjointe - avec le Portugal - de la Coupe du Monde de football 2030, constitue un levier supplémentaire de renforcement des relations bilatérales.
Par ailleurs, le Président du Gouvernement espagnol a salué et marqué l’intérêt de l’Espagne pour les initiatives stratégiques lancées par Sa Majesté le Roi, que Dieu L’assiste, notamment l’Initiative des pays africains riverains de l’Atlantique, l’Initiative Royale pour favoriser l’accès des pays du Sahel à l’Océan Atlantique, ainsi que le Gazoduc Africain-Atlantique Nigéria-Maroc.
Ont assisté à cette audience du côté espagnol, M. José Manuel Albares, ministre des Affaires étrangères, de l'Union Européenne et de la Coopération, Mme Emma Aparici, secrétaire générale des Affaires étrangères à la Présidence du gouvernement, et du côté marocain, M. Fouad Ali El Himma, Conseiller de SM le Roi et M. Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.
A son arrivée au Palais Royal, le Président du gouvernement espagnol a passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d'être convié à la traditionnelle cérémonie d'offrande de lait et de dattes".
_________________ A nation can survive its fools, even the ambitious. But it cannot survive treason from within....for the traitor appears not to be a traitor...he rots the soul of a nation...he infects the body politic so that it can no longer resist. CICERO
Fahed64 Administrateur
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C'est énorme. Un pays comme l'Espagne qui fout 2 milliards par an jusqu'en 2050. Incroyable Après ça confirme l'idée de l'intégration de l'économie marocaine a l'économie espagnole. Comme la Pologne avec l'Allemagne.
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romh General de Division
messages : 4040 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Les espagnols sont plus intelligent ils ont réalisé combien les marocains ont été utiles soit pour le développement de leurs agriculteurs soit pour le développement du commerce avec l'Afrique ils regardent vers l'avenir et n'ont pas de passé colonial ni héritage relationnel avec les animaux de l'est en plus de leurs proximité géographique avec nous qui leur impose de coopérer et garder un certain niveau de relation
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romh General de Division
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C'est énorme. Un pays comme l'Espagne qui fout 2 milliards par an jusqu'en 2050. Incroyable Après ça confirme l'idée de l'intégration de l'économie marocaine a l'économie espagnole. Comme la Pologne avec l'Allemagne.
Le pays qui a profité le plus de tout les investisseurs industrielle au Maroc (à part le Maroc) c'est l'Espagne ils sont pratiquement gagnant sur toit les aspects de développement de nos échanges extérieurs etc