Économie marocaine

Rappel du premier message :

8 milions tbarkallah ou sla 3la n'bi.

bien joué

Le site sera accessible à partir de demain en France, Allemagne, Grande Bretagne, Belgique, Pays bas, Espagne et Italie.

http://moroccotherapy.com/fr/

Sa sort de l'ordinaire !! C'est la première fois que je vois une campagne de pub comme sa !!

Espéront que sa va fonctionné !

bien vu, ça colle parfaitement au contexte actuel.

en tout cas, les gars n'oubliers pas de faire tourné l'adresse de cette vidéo dans les blogs et forums que vous fréquentez, on va peut-être capté les futurs touristes

Pour une fois, nous avons su exploiter notre bonne connaissance de la mentalité française Bravo
Je ne sais pas, par contre, ce que vaut cette pub dans les autres pays ciblés

fesons un minimum confiance à ceux qui l'on conçu ! Je pense qu'ils savent ce qu'ils font !! c'est un travail énorme qui a été réalisé !! on ne s'en rend pas vraiment conte a trévers ce qu'on voit !

Phosphore a écrit:

Le site sera accessible à partir de demain en France, Allemagne, Grande Bretagne, Belgique, Pays bas, Espagne et Italie.

http://moroccotherapy.com/fr/

Le site fonctionne, allez voir

Citation :

Un consortium du Koweït et le Maroc a acquis téléopérateur Wana

Le consortium maroco-koweïtien Al Ajial Investment Fund Holding et l'opérateur koweïtien Zain a acheté 31 pour cent du capital de la Marocaine des télécommunications Wana, selon un communiqué publié hier.
Les deux entités ont investi 2,850 milliards de dirhams (261 millions d'euros) à l'opération, après laquelle les deux sociétés créées en 2005 Wana, Omnium Nord Africain (ONA), liée à la famille royale marocaine et le Conseil national de l'investissement (SNI), restera l'actionnaire majoritaire avec 69 pour cent de la capitale.
Grâce à cet accord, Wana a également accès à des produits, des services et l'expertise développées par Zain, qui facilitera les progrès dans la technologie mobile de deuxième génération (2G), pour lequel il a reçu la licence en Février.
Le président et chef de la direction de Zain, Saad Al Barrak, a déclaré: «avec un 22,5 pour cent des abonnés au téléphone mobile et une pénétration de 70 pour cent, le Maroc est le premier d'une région attrayante pour Zain".
Lancé en 1983 au Koweït, Zain est devenu le premier opérateur de téléphonie mobile dans la région du Golfe et, depuis 2003, a eu une poussée de croissance qui lui a permis de place parmi les grandes sociétés de télécommunications, avec présence dans 23 pays au Moyen-Orient Afrique.
Ajial Andalousie est une société d'investissement gérée par le Consortium maroco-koweïtien pour le développement, créée pour s'engager à long terme dans les secteurs les plus dynamiques de l'économie marocaine.
Wana dispose actuellement de deux millions de clients au Maroc sur tous les segments, fixe, mobile et internet.

http://www.elfaroceutamelilla.es/content/view/29719/55/

Une bonne nouvelles en ces temps de crise international. Si la dette n'est pas "élevé", cela laisse de la marge a l'Etat pour relancer la croissance. En effet il peut emprunter del'argent pour financer de grand projet par exemple. En somme faire une relance keynesienne de l'economie.

Citation :

Dette publique : 48,6% du PIB en 2008

Le Maroc a enregistré pour la deuxième année consécutive, une baisse de la dette publique qui se stabilise à 48,6% du PIB en 2008 contre 53,6% en 2007.


Annoncée par Zouhair Chorfi, directeur du Trésor et des finances extérieures, la dette s’élève en 2008 à 325,8 milliards de dirhams contre 329,8 milliards de dirhams l’année précédente, soit une baisse de 4 milliards de dirhams.

En 2008, la dette extérieure a enregistré une hausse de 2,75 milliards de dirhams pour atteindre 68,7 milliards de dirhams. Cette dette représente 21% de l’endettement total.

La dette intérieure, qui représente 79% du total de la dette publique, a pour sa part connu une baisse de 2,5% et s’élève à 257,1 milliards de dirhams en 2008 contre 263,8 milliards de dirhams en 2007.


http://www.bladi.net/23288-dette-publique-marocaine-2008.html

C'est sure que avec des marques comme Mike Adadas ou Dolge Gabano ont doit figurer dans le classement international de la propriété intelectuelle

Citation :

Propriété intellectuelle : Les marques marocaines se démarquent



Le Maroc a déposé 73 demandes en 2008, ce qui le place au 39e rang à l'échelle internationale
Une bonne note pour le Maroc. Il est le seul pays de la région arabe et africaine à figurer dans le dernier classement de demandes d'enregistrements internationaux de marques effectué par l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI).
Selon le rapport annuel de ce dernier, il a déposé 73 demandes en 2008, soit 20 demandes de moins que 2007, ce qui ne manque pas toutefois de le placer au 39e rang. Au total, le Maroc a déposé 408 demandes d'enregistrement auprès de l'OMPI (57 en 2004, 66 en 2005, 119 en 2006 et 93 en 2007). Le Royaume figure également parmi les pays ayant progressé dans le classement des pays les plus fréquemment désignés par rapport à 2007 avec 4362, soit 4,01% de plus que l'année précédente. A l'échelle internationale, les utilisateurs de l'Allemagne gardent la tête du classement pour la seizième année consécutive. Ils ont déposé 6214 demandes internationales, ce qui représente 14,8% du total et un taux de croissance de 2%. Les déposants de la France ont contribué pour 10% au total des dépôts avec 4218 demandes internationales, soit une hausse de 7,3% par rapport aux chiffres de 2007.

Les entreprises des États-Unis d'Amérique occupent la troisième place puisqu'elles ont déposé 3684 demandes, soit 8,8% du nombre total des dépôts, en légère baisse (-1,5%) par rapport à 2007. La communauté européenne (à travers l'OHMI) arrive en quatrième position avec 3600 demandes internationales, soit une augmentation de 6,8% par rapport à 2007. La Suisse s'est hissée au cinquième rang grâce à une progression de 8,6% (2885 demandes internationales) et a dépassé l'Italie, désormais sixième avec 2763 demandes internationales (+3,7%). Viennent après les déposants du Benelux (2.667 demandes), de la Chine (1.585), du Japon (1.278) et de l'Autriche (1.245), selon les chiffres publiés par l'OMPI. Un certain nombre de pays ont enregistré une croissance marquée en 2008 et ont amélioré leur classement, notamment le Japon. Avec une augmentation de 29,9% et 1278 demandes internationales déposées, ce pays est passé de la douzième place qu'il occupait en 2007 à la neuvième place. La Fédération de Russie (+33,9%) occupe le onzième rang, soit deux places de mieux qu'en 2007.

L'Espagne (+14,2%) et la Turquie (+24,1%) ont respectivement conservé la quatorzième et la quinzième position. Au total, l'OMPI a reçu, en 2008, 42.075 demandes d'enregistrement en vertu du système d'enregistrement international des marques (dit système de Madrid), qui compte 84 membres, soit une augmentation de 5,3%. Encore un autre record ! Le nombre des dépôts a été plus important au cours du premier semestre de 2008 (+6,9% par rapport à la même période en 2007) qu'au cours du second semestre (+3,9%), signe d'un ralentissement économique au niveau mondial, relève-t-on dans ce document.
Cette croissance continue de l'utilisation du système international des marques souligne, selon le directeur général de l'OMPI, Francis Gurry, l'importance capitale des marques pour les entreprises, en particulier dans une conjoncture économique difficile.

En effet, les marques existent essentielles pour susciter la confiance des consommateurs, ce qui est important pour les entreprises confrontées aux défis liés au ralentissement économique actuel. «Elles permettent aux entreprises de bâtir et de maintenir leur réputation sur le marché et d'ajouter de la valeur à leurs opérations commerciales. Même lorsque les conditions économiques sont difficiles, les entreprises sont conscientes que les marques sont des investissements avisés pour leur réputation et leur viabilité à long terme», a ajouté M. Gurry.
En termes de désignation, la Chine est restée le pays le plus fréquemment désigné dans les demandes internationales ; elle est suivie de la Fédération de Russie, ce qui témoigne de l'intérêt soutenu que portent les entreprises étrangères aux échanges commerciaux avec ces pays, explique l'OMPI.

Il est à rappeler que pour toute demande internationale, le déposant doit désigner les pays membres dans lesquels il souhaite faire protéger sa marque. Il peut aussi étendre les effets d'un enregistrement international à d'autres membres à une date ultérieure en déposant une désignation postérieure. Ainsi, le titulaire d'un enregistrement international peut élargir la portée géographique de la protection de sa marque en fonction de l'évolution des besoins commerciaux.
Dans une demande d'enregistrement de marque, un déposant doit préciser les produits ou les services auxquels s'appliquera la marque conformément à un système de classement international dénommé «classification de Niceö».

Relations de coopération Maroc–OMPI

Selon la Mission permanente du Royaume du Maroc auprès des Nations unies à Genève, le Maroc et l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) entretiennent des relations de coopération très étroites dans les différents domaines d'activités et à travers une participation active et constructive de la délégation marocaine dans les différentes structures de l'organisation. Il convient de remarquer que la grande partie des activités de la coopération technique est mise en œuvre entre l'Office marocain de la propriété industrielle et commerciale (OMPIC) et le Bureau marocain des droits d'auteur (BMDA) d'une part et le secteur du développement économique de l'OMPI et notamment le Bureau du développement économique avec les pays arabes d'autre part.

A cet égard et depuis bien des années, plusieurs activités ont été réalisées dans les différents domaines de la propriété intellectuelle conjointement par le Maroc et l'OMPI. Il s'agit aussi bien de la fourniture d'équipements dans le cadre des efforts d'automatisation de l'infrastructure et des procédures des organismes marocains de la propriété intellectuelle, que de l'organisation de séminaires, d'ateliers et de missions d'experts à Rabat et à Genève, au profit des fonctionnaires marocains et également de ceux du monde arabe et africain. Pour la préparation des programmes annuels de l'OMPI en matière de coopération technique, l'OMPIC ainsi que le BMDA proposent régulièrement l'organisation d'activités d'information et de formation dans le domaine de la propriété intellectuelle.

LeMatin

non c'est Nika et Adidos

Le pib du maroc sur le point de depasser les 100 milliards de $



http://fr.wikipedia.org/wiki/Maroc#.C3.89conomie

Citation :

Production électrique: les options nucléaire, solaire et des schistes bitumineux à l'étude (ministre)


Par Mohammed Réda Braim Rabat - Le Maroc envisage de produire de l'électricité à partir de l'énergie nucléaire, des schistes bitumineux ou de l'énergie solaire, trois options, actuellement au stade de l'étude et de l'affinement, qui pourraient renforcer à long terme la production énergétique nationale et assurer la disponibilité de l'énergie au meilleur coût, a indiqué la ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Mme Amina Benkhadra.


Ces alternatives constituent les trois piliers de la vision à long terme de la stratégie énergétique nationale, déclinée lors des premières Assises nationales de l'énergie, tenues le 6 mars à Rabat, a précisé Mme Benkhadra dans un entretien à la MAP.

La préoccupation majeure aujourd'hui étant de répondre à une demande sur l'énergie sans cesse croissante, boostée par la dynamique enclenchée par les grands projets de développement lancés dans plusieurs domaines. Le Maroc, qui est fortement dépendant de l'extérieur pour ses approvisionnements énergétiques (97 pc), a enregistré ces dernières années une hausse de 5 pc de la demande sur l'énergie primaire et de 7,5 pc à 8 pc sur l'énergie électrique, a-t-elle rappelé.

Concernant l'option électronucléaire, envisageable à partir de 2020-2025, Mme Benkhadra a indiqué qu'un groupe de travail se penche actuellement sur cette alternative combien prometteuse, ajoutant que sur le plan réglementaire, la loi sur la sécurité et la sûreté nucléaire a déjà été transmise au Secrétariat général du gouvernement pour examen.

Par ailleurs, le Maroc prépare progressivement les capacités humaines nécessaires pour le projet de l'électronucléaire, a-t-elle indiqué, ajoutant qu'il y a aussi une autre équipe qui travaille avec l'Office national de l'électricité (ONE) sur les options et les choix technologiques à adopter pour ce projet.


+Les schistes bitumineux, une composante d'avenir+.

"Parallèlement à l'option électronucléaire, les schistes bitumineux sont une composante d'avenir", dans la mesure où le Maroc dispose de réserves importantes de ces schistes, a-t-elle fait valoir.

"Nous allons développer la production électrique à partir des schistes bitumineux avec une première centrale-pilote qui nous permettra d'évaluer les paramètres techniques et économiques de l'utilisation de ces schistes", a-t-elle souligné, ajoutant que "l'ONE va incessamment lancer un appel d'offres pour la construction de cette centrale à Tarfaya et si les résultats sont probants, on pourra utiliser les schistes en lieu et place des centrales à charbon, qui seraient programmées après 2012", a-t-elle dit.

Le département de l'Energie et des Mines développe également avec l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) "des procédés de valorisation qui consistent à extraire l'huile et le gaz des schistes bitumineux" et les essais sont en cours sur le gisement de Timehdit, a poursuivi Mme Benkhadra.

Concernant le solaire, la ministre a indiqué qu'il s'agit d'une option onéreuse, mais qui n'est pas écartée de la stratégie à long terme de son département. "Nous avons une démarche structurée qui consiste à avoir une veille technologique sur l'évolution des procédés pour qu'à tout moment, le Maroc puisse se positionner (sur le solaire)", a dit Mme Benkhadra, en rappelant à ce titre l'adhésion du Royaume au "plan solaire méditerranéen".

La stratégie énergétique nationale est également une vision claire à moyen terme, dont "les choix prioritaires tournent autour d'un mix électrique optimisé qui puisse nous permettre d'avoir le kilowattheure le plus compétitif", a indiqué la ministre.

Cette stratégie, mise en place en concertation avec tous les partenaires et acteurs du secteur, accorde également une grande importance aux interconnexions électriques et au développement de l'éolien, a-t-elle ajouté, rappelant que le Maroc compte porter la part des énergies renouvelables dans son bilan énergétique de 4 pc actuellement à 10 pc à l'horizon 2012.

Pour l'éolien, le Maroc a une capacité installée de 124 MW et compte passer à 1.554 MW à l'horizon 2012, dont 1.000 MW dans le cadre de l'autoproduction avec les entreprises qui ont signé des conventions avec l'ONE. Il s'agit de consommateurs qui vont produire leur propre énergie et dont l'excédent sera revendu à l'ONE.


+Le PNAP, une vision déjà implémentée sur le terrain+

Pour les actions à court terme, le département de l'Energie et des Mines a déjà lancé le Plan national d'actions prioritaires (PNAP) pour assurer un équilibre entre l'offre et la demande d'énergie, surtout électrique, à l'horizon 2012, a souligné Mme Benkhadra.

Couvrant la période 2008-2012, le PNAP s'appuie sur l'efficacité énergétique et le renforcement de la capacité de production, a rappelé M. Benkhadra, qui a mis l'accent sur l'importance de l'efficacité énergétique, qui constitue une priorité pour le Maroc et se décline sur plusieurs aspects, dont la réduction de la consommation électrique et le système de tarification incitatif.

Selon le PNAP, 22 millions de lampes basse consommation devraient être distribuées et 3.500 MW de puissance électrique supplémentaire devraient être installés à l'horizon 2012.

+un cadre juridique approprié+

La réussite de cette stratégie nationale est tributaire d'un cadre juridique et réglementaire à la mesure de cette vision ambitieuse qui porte sur des choix pertinents prenant en considération les besoins et les spécificités du Royaume en tant que pays ne disposant pas de ressources énergétiques.

Mme Benkhadra a indiqué que son département travaille sur plusieurs fronts, citant, dans ce cadre, la loi qui a porté le seuil d'autoproduction de 10 MW à 50 MW, afin de permettre aux industriels, qui se sont inscrits dans les constructions de centrales éoliennes pour leur propre besoin, de pouvoir être couverts juridiquement.

La ministre a mis l'accent également sur l'importance des projets de loi sur les énergies renouvelables, sur la transformation du Centre de développement des énergies renouvelables (CDER) en Agence et sur la sécurité et la sûreté nucléaire, ajoutant que son département va continuer à étudier la réforme du secteur électrique et la mise en place d'une Agence de régulation.

Evoquant les produits pétroliers, Mme Benkhadra a indiqué que l'objectif du Maroc est de pouvoir assurer les installations de réception et de stockage, par le développement notamment des infrastructures portuaires au niveau de Mohammedia et de Jorf Lasfar, pour sécuriser les ports par lesquels transitent les importations de produits pétroliers.

La ministre a indiqué que l'ensemble de ces actions vont exiger des investissements de près de 90 milliards de dirhams, dont 80 milliards pour la construction des centrales électriques.

La vision à court, moyen et long termes du secteur de l'énergie a été déclinée lors des premières assises nationales de l'énergie dans le but de la partager avec toutes les forces vives de la nation, a tenu à préciser Mme Benkhadra, ajoutant que ce rendez-vous avait pour objectif ultime de lancer un appel pour une mobilisation générale dans le but de réussir cette stratégie et adhérer à un pacte pour l'efficacité énergétique.

MAP

Citation :

L’ANP lève 1,2 milliard auprès des banques

· Il s’agit de BMCE Bank, Banque centrale populaire et Société générale

· Encore 1,8 milliard de DH pour boucler la 1re phase du programme de développement
Le programme de développement des ports, inscrit à l’agenda de l’Agence nationale des ports (ANP), prend une nouvelle tournure. Elle a signé, hier 18 mars, son 1er contrat de financement. Un contrat d’une enveloppe de 1,2 milliard de DH, conclu avec un consortium de trois banques formé de BMCE Bank (chef de file), la Banque centrale populaire (BCP) et la Société générale (SGMB). A noter que ce contrat a fait l’objet d’un appel d’offres ayant mis en compétition des bailleurs de fonds internationaux et des banques nationales.
La nouvelle dynamique du secteur portuaire, suite à la création de l’ANP, a permis surtout de renforcer les investissements publics à travers l’agence, promouvoir les investissements privés dans le cadre des concessions et de mettre à contribution le système bancaire. D’où le plan de développement ambitieux de l’ANP en 2 phases.
Le 1er programme (2008-2010) bénéficie d’un montant de 3 milliards de DH dont 1,9 milliard sera consacré à des projets de développement. Le terminal polyvalent au port de Jorf Lasfar nécessitera une enveloppe de 400 millions de DH. De même, 100 millions de DH seront affectés au réaménagement du 2e terminal à conteneurs du port de Casablanca. Au programme également, le lancement du 3e terminal à conteneurs du port de Casablanca pour une enveloppe de 700 millions de DH et la réhabilitation du poste pétrolier A de Mohammedia pour un montant de 100 millions de DH.
La phase 2, de 2009 à 2013, va nécessiter 4,5 milliards de DH dont 2,6 milliards destinés à des projets structurants.
Le programme de développement des ports mis en place par l’ANP concerne aussi la revalorisation des espaces portuaires et la requalification des ports. Dans le pipe, les projets pour les ports de Tanger-ville, M’diq, Ras-Kebdana, Larache et El Jadida et qui devraient drainer d’autres investissements privés.

ah la source: http://www.leconomiste.com/

Excellente initiative de signer un autre ale avec un grand pays comme le canada, bien sure les termes de l'échange ne vont être les mêmes, mais ça ne peut être que bénéfique .

Citation :

Maroc-Canada: ALE à l’étude

De sources sûres, le Maroc et le Canada finalisent la possibilité d’un accord de libre-échange (ALE). Les pourparlers diplomatiques sont bien avancés.

Prochaine étape, consultation avec les ministères respectifs du Commerce extérieur avant de recueillir les attentes des opérateurs économiques.

Source: l'economiste

http://www.leconomiste.com/online/online.html?d=972

j´espere que ca ne se fera pas
trop c´est trop,tout le monde profite,et nous on ne fait qu´acheter,pour faire gentils,nos importateurs n´ont pas de freins...la balance le prouve,deuis les premiers ALE on ne fait qu´alourdir la balance,et nos produits personne ne les veux,ni les US veulent notre olive-oil(zaâma qualité US),ni les arabes veulent nos Autos,mais pour leur produots nous somme tout ouverts,seulement pour garder une bonne diplomatie
l´exemple UAE qui nous ont fourgué y´a des années des produits coreens re-labelisés et renvoyé au maroc comme produit UAE

Yak le protectionnisme n'est pas la solution

Yakuza a écrit:

j´espere que ca ne se fera pas
trop c´est trop,tout le monde profite,et nous on ne fait qu´acheter,pour faire gentils,nos importateurs n´ont pas de freins...la balance le prouve,deuis les premiers ALE on ne fait qu´alourdir la balance,et nos produits personne ne les veux,ni les US veulent notre olive-oil(zaâma qualité US),ni les arabes veulent nos Autos,mais pour leur produots nous somme tout ouverts,seulement pour garder une bonne diplomatie
l´exemple UAE qui nous ont fourgué y´a des années des produits coreens re-labelisés et renvoyé au maroc comme produit UAE

Yak, sur le court terme effectivement sa fait mal, mais pourquoi?
Parce que notre outil industriel n'est pas assez compétitif. En faisant sa l'Etat lance un message au industriel, voila on vous offre des opportunités d'export, soyez plus perfomant ou mourrez. Bien sur c'est plus compliqué que sa mais sur le long terme cela sera très payant. Regarde pour la RAM crois tu vraiment que l'open sky l'a affaibli? Bien au contraire elle n'a jamais été aussi forte que maintenant.
Il y a plein d'autre exemple mais attendons encore quelque année et la je suis sure que notre industrie le moment venu réequilibrera la balance des payement

Yakuza a écrit:

j´espere que ca ne se fera pas
trop c´est trop,tout le monde profite,et nous on ne fait qu´acheter,pour faire gentils,nos importateurs n´ont pas de freins...la balance le prouve,deuis les premiers ALE on ne fait qu´alourdir la balance,et nos produits personne ne les veux,ni les US veulent notre olive-oil(zaâma qualité US),ni les arabes veulent nos Autos,mais pour leur produots nous somme tout ouverts,seulement pour garder une bonne diplomatie
l´exemple UAE qui nous ont fourgué y´a des années des produits coreens re-labelisés et renvoyé au maroc comme produit UAE

Vive Yak 100% d'accord

Citation :

Yak, sur le court terme effectivement sa fait mal, mais pourquoi?
Parce que notre outil industriel n'est pas assez compétitif. En faisant sa l'Etat lance un message au industriel, voila on vous offre des opportunités d'export, soyez plus perfomant ou mourrez. Bien sur c'est plus compliqué que sa mais sur le long terme cela sera très payant. Regarde pour la RAM crois tu vraiment que l'open sky l'a affaibli? Bien au contraire elle n'a jamais été aussi forte que maintenant.
Il y a plein d'autre exemple mais attendons encore quelque année et la je suis sure que notre industrie le moment venu réequilibrera la balance des payement

il y a les jolis discours sur les vertus du libre échange, et il y a la réalité.
Qu'est devenu le programme de mise à niveau de notre appareil productif, mis à la disposition des opérateurs marocains juste aprés la signature du premier accord de libre échange avec l'UE ? Tout y était, crédits à des taux préférentiels, garanties étatiques, soutien gratuit à la constitution des dossiers. Nada, que dale, Oualou, rien, la majorité de nos opérateurs ont ignoré ce programme . Trop pointilleux sur la destination finale des fonds accordés . Les dernieres nouvelles à ce sujet, Fahid ? L'Etat vient de décider de mettre fin à l'existence du FORTEX, fonds destinés aux textiliens pour améliorer leur appareil productif, et donc, leur compétitivité. Peu d'entre eux ont cherché à en profiter. L'argent ira ailleurs, puisqu'il ne servait à rien.
Le capitalisme marocain est encore au stade du mercantilisme. Nous avons des "beznassa" pas des capitaines d'industrie. Les produits étrangers plus compétitifs ? Les usines ferment et les capitaux sont tournés vers...l'importation Qui en paye le prix ? Les ouvriers . Les unités qui tournent le mieux actuellement sont celles qui vendent sur le marché local. Tout le Maroc se porte bien actuellement et tient le coup face à la crise mondiale grâce à la demande locale, surtout dans l'immobilier, secteur locomotive de l'économie marocaine ces derniéres années, avec les grands chantiers.
Il est temps de sortir des annales de l'économie un nom inconnu au Maroc, Frederich List. C'est un économiste allemand naturalisé par la suite américain, théoricien du "protectionnisme éducatif" et fondateur de l'économie politique américaine. L'idée est de protéger le marché local, tout en faisant de sérieux efforts d'industrialisation, en vue de l'ouvrir par la suite, un fois le tissu productif national apte à affronter la concurrence. Et ce que ne sait pas ou ne veut pas faire le privé, l'Etat s'en charge temporairement jusqu'à ce que ce secteur privé soit apte à assumer. C'est aussi ce qu'avait fait DeGaulle en France,apres la WWII.
Excellent exemple que celui de la RAM. A qui appartient-elle ? Qui crée ce bijou et l'a entretenu jusqu'à maturité ?
Une autre remarque de Yak que je voudrais mettre en lumière. Le libre écchange n'est un accord gagnant-gagnant que si le partenaire joue le jeu et en respecte les régles. Les Occidentaux, tres légalistes, protégent leur marchés par des quotas et autres normes sanitaires, de qualité, etc, qu'ils savent tres bien les Marocain incapables de respecter. C'est, à la limite, de bonne guerre, puisque dés le début on sait à quoi s'en tenir. Puis il y a les Arabes, hypocrites et malhonnêtes, qui tiennent de beaux discours sur l'unité du monde arabe et essayent de te fourguer des produits étrangers étiquettés chez eux et font tout pour emêcher l'accés des produits marocains sur leurs marchés, quitte à interpréter les accords comme ils l'entendent.
Seuls les Européens sont d'assez bons partenaires, dans la limite de leurs interêts.

Citation :

Regarde pour la RAM crois tu vraiment que l'open
sky l'a affaibli? Bien au contraire elle n'a jamais été aussi forte que
maintenant.

Plutôt l'inverse fahed :

Citation :

La RAM prévoit une mauvaise année 2009

Pour Driss Benhima, le patron de la RAM, l’année 2009 sera probablement en déficit. Pour tenir, face aux grandes compagnies low cost, la compagnie aérienne marocaine souhaite diversifier les destinations et remonte en gamme sa filiale Atlas Blue.

Tandis que la Royal Air Maroc (RAM) est sur le point de se séparer d’Air Sénégal International (ASI), au terme d’une crise de confiance avec les autorités sénégalaises qui aura duré presqu’un an et demi, Driss Benhima, président de la compagnie aérienne marocaine, prévoit une mauvaise année 2009, « probablement en déficit ».

La RAM détient un peu moins de la moitié des parts de marché du trafic passagers vers le Maroc. Un trafic qui devrait stagner en 2009, a estimé le patron de la RAM, invité par la Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc (CFCIM).

Selon l’ Office national des aéroports (ONDA), le trafic global dans les aéroports marocains a concerné 12,8 millions de voyageurs en 2008.

Alterner les moyen et long-courriers Pour faire face à la crise et dans un contexte de concurrence exacerbée par l’arrivée des grandes compagnies low cost, à l’instar de Ryanair et Easyjet, la RAM souhaite alterner les vols moyen et long-courriers, entre capitales provinciales européennes et marocaines, mais aussi à destination de l’Afrique, du Moyen Orient, de l’Europe de l’Est et de l’Amérique du Nord.

« La logique économique des compagnies low cost veut que ces dernières se concentrent aujourd’hui sur les autoroutes du ciel, notamment via Casablanca (…) Face à elles, nous n’avons pas les moyens de résister », a expliqué Driss Benhima.

D’où la volonté du management de la RAM de diversifier les destinations. La compagnie marocaine assure 1 200 vols en moyenne par semaine, sur 65 destinations, dont la moitié en Europe.

Depuis 2002, date d’entrée en vigueur de l’open sky avec l’Europe, le Maroc a vu l’arrivée de nombreuses petites compagnies charters et à bas coût. Mais ces dernières voient aujourd’hui remis en cause l’équilibre de leurs modèles. Aigle Azur et Transavia, filiale d’Air France, ont annoncé récemment une réduction de leurs activités sur le royaume.

Fin de l'aventure low cost pour la RAM

Pour Atlas Blue, filiale de la RAM, la solution passe par une remontée en gamme et l’introduction de services à bord, comme la création prochaine d’une classe affaire entre Paris et Marrakech. Ce qui signifie la fin de l’aventure low cost pour la compagnie marocaine.

Avec la disparition de Regional Air Lines, absorbée par Air Arabia, la compagnie nationale marocaine souhaite, par ailleurs, développer ses liaisons domestiques.

L’avenir de la RAM ? Pour Driss Benhima, l’entrée au capital d’un actionnaire minoritaire, en qualité de consultant, aurait sa faveur : « Un partenaire qui aurait un réseau global, que nous n’avons pas ». Quoiqu’il en soit, c’est le Parlement marocain qui devra statuer.


Vendredi 13 Mars 2009
Christelle Marot, à CASABLANCA

Econostrum.info

on nous fait "passer" ces ALE comme des suppositoire medicinales a guerison long teme,mais apres plus de 7 ans d´aventurisme je ne vois rien,les UAE jouent le subventionisme,et les US le qualitiy restrictions,et comme si notre balance va a merveille on plonge encore sans slip avec le canada AAARGHH

Mon cher Yakuza, tu t trompe à propos de la Logan Marocaine, elle est en Egypte actuellement, j'espère qu'elle feras un carton chaAllah.

WOW,on va flooder le marché egyptien avec 300 pieces