Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 8 Jan 2009 - 1:15

Rappel du premier message :

8 milions Very Happy tbarkallah ou sla 3la n'bi.

_________________
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 20:56

[ cheers


Dernière édition par atlas le Mar 12 Mai 2009 - 20:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 20:57

rafi a écrit:
Effectivement, c'est pas donné, mais on n'a qu'une vie... Cool

8 à 9 millions de touristes cette année, c'est énorme!

la ram a doublé de volume en 10 ANS, la capacité hoteliere du royaume doit approcher les 200 000 LITS ( sans les gites etc )

non 10 MILLIONS c'est pas plus que ça...qd on voit ce que fait l'espagne et la france ( +50 MILLIONS )il faut avoir les infrastructures et bien promouvoir la destination au juste prix pour le tx de retour santa
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rafi
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 21:01

la France c'est trop cher, l'Espagne, ça parle trop allemand ou anglais, reste l'autre côté de la méditerranée. La TV nous montre souvent des reportages sur le Maroc ou la Tunisie, les gens sont chaleureux, les prix sont faits pour satisfaire la bourse de l'européen moyen, et lorsque je viendrai au Maroc en touriste, j'irai sur cette place très connue de Marrakech je crois, où il y a une foule de stands où on peut manger plein de bonnes choses...

Rafi gourmand.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 21:05

tu sera tjs le Bienvenu Rafi chez nous cheers
pour une fois que tu n´ira pas en Tunisie Razz

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rafi
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMar 12 Mai 2009 - 21:10

Yakuza a écrit:
tu sera tjs le Bienvenu Rafi chez nous cheers
pour une fois que tu n´ira pas en Tunisie Razz

Quand je viendrai, je ferai le tour du forum pour me faire inviter, et inviter, les copains du forums qui s'y trouveront en même temps que madame et moi.

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Rafi
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 13 Mai 2009 - 1:50

Bienvenu Rafi, tu pourras visiter à Rabat, ou je reside, notre vieille forteresse des Oudayas et la cité romaine de Chellah.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 13 Mai 2009 - 2:13

Citation :
Maroc : Le taux de chômage se stabilise à 9,6%
La totalité des nouveaux postes créés seulement par les services et les BTP

Alors qu'on s'attendait à une envolée du taux de chômage suite aux cris de détresse émis par une partie des opérateurs économiques, les statistiques du Haut commissariat au Plan (HCP) font état d'une stabilisation de cet indicateur.

En fait, d'après une note d'information du HCP, le taux de chômage s'est stabilisé à 9,6% à l'échelle nationale entre le premier trimestre 2008 et la même période de 2009. Autrement dit, la population active en chômage a légèrement augmenté (+1,1%) au niveau national, passant de 1.078.000 au premier trimestre 2008 à 1.090.000 personnes au cours de la même période de l'année en cours. Ce qui correspond à un renforcement des rangs des chômeurs de 12.000 chômeurs, résultant d'une hausse de 36.000 nouvelles personnes dans le monde rural et d'une baisse de 24.000 en milieu urbain. Ainsi, le taux de chômage est passé de 14,7% à 14,1% dans les villes et de 4 % à 4,7 % dans les campagnes.

Selon les tranches d'âge, ajoute-t-on dans cette note d'information, de légères hausses du taux de chômage ont été enregistrées, en particulier, chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans (1,4 point) et les non diplômés (0,3 point). Par contre, des baisses ont toutefois été relevées chez les diplômés (-1,1 point), les adultes âgés de 25 à 34 ans (-0,5 point) et chez les femmes (-0,3 point).

Cette stabilisation du taux de chômage est le résultat de la capacité qu'a gardée l'économie nationale à créer de l'emploi même en ces temps de crise.
En fait, d'après le HCP, entre le premier trimestre 2008 et la même période de l'année en cours, 40.000 emplois ont été créés, résultant d'une création de 76.000 postes en zones urbaines et d'une perte de 36.000 postes en zones rurales.
Au total 70.000 postes d'emplois rémunérés ont été créés au cours de la période (88.000 nouveaux postes dans les villes et 18.000 en moins dans les campagnes). En revanche, l'emploi non rémunéré a reculé de 30.000 postes (18.000 en milieu rural et 12.000 en zones urbaines). Par conséquent, le taux d'emploi est passé de 46,1% à 45,4%, enregistrant ainsi une baisse de 0,4 point en milieu urbain (de 38,6 à 38,2%) et d'un point en milieu rural (de 56,8 à 55,8 %). Fait marquant, seulement deux secteurs ont contribué à l'animation du marché du travail, en créant de l'emploi. Il s'agit des secteurs des services et du Bâtiments et travaux publics (BTP) qui ont généré la totalité des nouveaux emplois avec respectivement 113.000 (+5,9 %) et 53.000 postes (+5,9 %). Par contre, les autres secteurs ont connu une perte d'emploi ayant atteint 126.000 postes.

Ce sont notamment les deux secteurs, l'industrie (y compris l'artisanat) et l'agriculture, forêt et pêche qui ont subi cette perte d'emploi, avec 60.000 chacun, soit une baisse respective de 4,5% et de 1,4%. Par ailleurs, il est à rappeler que, selon le HCP, au terme de l'année 2008, l'économie nationale a créé quelque 133.000 emplois nets (contre 128.000 en 2007) et le taux de chômage a reculé pour s'établir à 9,6% au niveau national (contre 9,8% en 2007). La ventilation par milieu montre que ce taux est de 14,7% (contre 15,4% en 2007) en milieu urbain et de 3,8% à 4% dans le monde rural. Cette relative dynamique du marché de l'emploi s'est traduite par une légère diminution de la population active en chômage. En fait, celle-ci est passée, au niveau national, de 1.092.000 en 2007 à 1.078.000 chômeurs en 2008, soit 14.000 chômeurs en moins ou une baisse relative de 1,3%.

Des programmes à améliorer

Pour la promotion de l'emploi, divers programmes ont été lancés par le gouvernement. Toutefois, la plupart d'entre eux ne connaissent pas le succès escompté. Il en est ainsi de « Moukawalati », programme d'appui à la création de petites entreprises qui a été lancé par le gouvernement avec fracas en 2006, visant des objectifs trop ambitieux et dont les réalisations ont été très loin des aspirations. Ce qui a poussé les pouvoirs publics à préparer un plan de relance plus réaliste, se fixant des objectifs plus à la portée. Autre atout que les meneurs de ce programme veulent mettre de leur côté est l'outil de la communication. En fait, la nouvelle stratégie de promotion du programme Moukawalati sera intensifiée par des campagnes de sensibilisation au profit des étudiants des établissements de formation en vue de susciter auprès de ces jeunes le sens de l'initiative et la volonté d'entreprendre leurs propres projets.

Mais, il est à relever que cette tâche ne sera pas du tout facile. En fait, l'esprit entrepreneurial fait encore défaut chez la majorité des jeunes qui se portent candidats à ce programme. Ce qui d'ailleurs donne une certaine crédibilité aux réticences des banques qui ne font pas de concession quant à la viabilité des projets présentés. De même, les autres programmes existant, tels que "Idmaj" et "Ta'hil", feront l'objet d'une évaluation préliminaire en vue du réajustement de leurs mécanismes et de l'amélioration de leur fiabilité. Il est à noter que le programme "Idmaj" a permis l'intégration de 120.076 demandeurs d'emploi durant la période 2006-2008 et que "Taahil" a, quant à lui, permis d'identifier 25.000 opportunités de formation sous contrat.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 13 Mai 2009 - 23:12

Citation :
Le Maroc et la Turquie déterminés à développer leur coopération économique


RABAT, 12 mai (Xinhua) -- Le Maroc et la Turquie ont exprimé leur détermination à développer leurs liens de coopération économique et commerciale et à redoubler d'efforts en vue de renforcer leurs échanges commerciaux sur une base équilibrée, selon un un communiqué du ministère marociain du Commerce extérieur, rendu public mardi à Rabat.

Les deux parties ont fait part, lors de la 1ère session du Comité Mixte maroc-turc, qui s'est tenue lundi et mardi à Rabat, de leur ferme volonté de promouvoir leurs relations d'affaires et de partenariat, indique un communiqué.

Les délégations marocaine et turque, présidées respectivement par M. Khalid Sayah, directeur des Relations commerciales internationales au ministère marocain du commerce Extérieur et par M. Ali Fikri Bakir, directeur général adjoint au Sous-Secrétariat Turc chargé du commerce Extérieur, ont salué les efforts d'ouverture économique et les réformes entreprises de part et d'autre, relatives l'environnement des affaires.

Sur le plan technique, les deux parties ont passé en revue toutes les questions inscrites à l'ordre du jour de cette session et qui ont trait aux différents aspects de la mise en uvre de l'Accord de libre-échange, en particulier les entraves à l'accès des deux marchés et le rapprochement des positions en matière de règle d'origine.

http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-05/13/content_876695.htm
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 13 Mai 2009 - 23:21

Les entreprises turques sont tres compétitives et sont déjà présentes au Maroc, du BTP aux simples produits de comsommation. Ce sont les biscuits turcs que j'adore Économie marocaine - Page 16 874160
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 14 Mai 2009 - 0:52

Le potentiel économique entre les deux pays est énorme, les marocains ont beaucoup à apprendre des turcs.
Il y a BIM le géant Turcs de l'agroalimentaire qui veut ouvrir 40 supermarché au Maroc en deux ans.
Il y a aussi pas mal d'entreprise turcs sur les chantiers marocains.
C'est un partenariat qui sur le long terme peut nous apporter beaucoup
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rafi
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 14 Mai 2009 - 12:41

Samyadams a écrit:
Bienvenu Rafi, tu pourras visiter à Rabat, ou je reside, notre vieille forteresse des Oudayas et la cité romaine de Chellah.

Merci. Je n'y manquerai pas. Wink

Rafi
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 14 Mai 2009 - 21:18

Citation :
La coopération maroco-turque: Un modèle réussi d'échanges commerciaux en constante évolution


Économie marocaine - Page 16 Maroc-turquie


De par ses fondements solides, son évolution constante et les immenses opportunités qu'elle offre, la coopération entre le Maroc et la Turquie est un modèle réussi d'échanges commerciaux entre deux pays déterminés à aller de l'avant sur la voie du partenariat mutuellement avantageux.
Consolidées depuis le 1er janvier 2006 par l'entrée en vigueur de l'Accord de libre-échange (ALE) entre les deux pays, les échanges maroco-turcs ne cessent de se développer et de s'accroître pour atteindre, selon les chiffres de 2007, un volume annuel de quelque 920 millions de dollars contre quelque 260 millions en 2003.

Signé en avril 2004 à Ankara par l'ancien Premier ministre, M. Driss Jettou, et son homologue turc, M. Recep Tayyip Erdogan, l'ALE qui s'inscrit dans le cadre du processus d'intégration régionale euro-méditerranéenne auquel le Maroc et la Turquie participent activement, a donné une nouvelle impulsion à la coopération bilatérale et constitué un stimulant aussi bien pour les décideurs que les opérateurs privés pour aller de l'avant en vue de hisser le partenariat économique au rang privilégié des liens politiques et socioculturels existant entre les deux pays.

Le bilan et l'évaluation des réalisations accomplies depuis l'avènement de cet important accord, ont été à l'ordre du jour de la 1-ère session du Comité mixte maroco-turc, qui s'est tenue en début de semaine à Rabat. La réunion a été une occasion, pour les deux pays, de réitérer leur détermination à développer leurs liens de coopération économique et commerciale et à redoubler d'efforts en vue de renforcer leurs échanges commerciaux sur une base équilibrée.

En effet, si les échanges entre les deux pays ont connu ces dernières années une relance significative, la balance commerciale reste très déséquilibrée au profit de la Turquie, dont le volume global des exportations vers le Royaume a atteint 720 millions de dollars en 2007, contre 200 millions de dollars d'importations du Maroc.

Les importations du Maroc de la Turquie, couvrent une panoplie de produits et services touchants à divers domaines. Le marché marocain est récepteur de produits sidérurgiques et métalliques, acier, tissus de fibres synthétiques et artificielles, voitures et véhicules industriels, réfrigérateurs domestiques, cycles et motocycles, ainsi que des appareils récepteurs radio et télévision, de fabrication ou de montage turc.

L'intérêt suscité par le Royaume auprès des Turcs, se constate également au niveau de la participation des firmes turques aux appels d'offres internationaux lancés au Maroc, en particulier dans les secteurs du bâtiment et travaux publics où plusieurs holdings turcs sont actuellement à pied d'oeuvre.

Face à cette "conquête" turque, les firmes et hommes d'affaires marocains sont appelés à adopter une véritable stratégie commerciale, "agressive" et "entreprenante" ciblant un marché turc fort de plus de 72 millions d'âmes, et un pays qui pourrait devenir le passage clé pour accéder à d'autres marchés européens et de la région.

Aujourd'hui, les exportations du Royaume vers la Turquie consistent essentiellement en des produits de phosphates et acides phosphoriques, pâte à papier, pièces détachées pour voitures, poissons et produits de l'agroalimentaire, vêtements confectionnés et articles de bonneterie.

Il est temps que les énormes avantages offerts par l'ALE soient saisis par les entreprises et opérateurs économiques marocains. Les hommes d'affaires sont appelés à prospecter minutieusement les opportunités de partenariat dans différents domaines.

Des secteurs comme l'artisanat et l'agroalimentaire représentent des potentiels importants à cibler dans le marché turc, mais les filières "services", en particulier le tourisme, sont également à saisir dans les démarches "agressives" que doivent désormais adopter les opérateurs économiques marocains en direction de la Turquie.

De par ses 72 millions d'habitants, son niveau de vie de plus en plus élevé et ses liens privilégiés avec le Maroc, la Turquie ne cesse de s'imposer comme marché touristique très prometteur à conquérir par les professionnels marocains habituellement tournés vers les pays traditionnellement émetteurs de touristes de l'Europe et de l'Amérique.

Le pays, aux performances économiques gigantesques, compte aujourd'hui une société de consommation forte d'une large classe moyenne et dotée de plus en plus de moyens lui permettant de s'offrir des loisirs et d'aller à la découverte de diverses destinations à travers le monde.

Or, dans le tourisme aussi la balance des échanges maroco-turcs est déséquilibrée en défaveur du Royaume. Selon des estimations émises par les professionnels, plus de 30.000 Marocains se rendent chaque année en Turquie, et presque un nombre similaire de ressortissants turcs choisissent le Royaume comme destination de leurs vacances, ce qui reste déséquilibré eu égard aux nombres des populations des deux pays.

Aujourd'hui, près de quatre ans après l'entrée en vigueur de l'ALE entre le Maroc et la Turquie, force est de constater que la coopération bilatérale a connu certes une dynamique significative, mais le volume global des échanges commerciaux reste en deçà des potentiels énormes offerts par les économies des deux pays.



MAP

http://www.infomaroc.net/economie/39-economie/15811-la-cooperation-maroco-turque-un-modele-reussi-dechanges-commerciaux-en-constante-evolution.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeVen 15 Mai 2009 - 18:28

Axa s'instalera au Maroc Cool

Citation :


· Le contrat de bail signé le 14 mai

· Objectif: augmenter le nombre de postes d’emploi à 1.500


Axa France Vie fera son entrée dans la Technopolis Rabatshore en juin prochain. Et, c’est pour occuper une surface de plateaux de services de 6.250 m2. Le contrat de bail a été signé jeudi 14 mai au siège social de MedZ par Mohamed Lasri, administrateur directeur général de la Technopolis, et François Clin, directeur général de Axa France Vie.

Pour rappel, le groupe Axa est présent au Maroc à la fois comme compagnie d’assurance et de services. Le contrat couvre la dernière branche qui représente l’ensemble des activités offshore du groupe en France. Selon Jérôme Aubert, directeur des affaires générales de Axa Services Maroc, la nouvelle implantation s’inscrit dans le cadre du projet «Ambition 2012».

Ce programme vise à doubler le chiffre d’affaires et à tripler le résultat net à l’horizon 2012. Pour atteindre ces objectifs, Axa Services Maroc devrait porter le nombre d’emplois à 1.500 postes. Pour le moment, la société emploie 700 personnes réparties sur deux sites au centre-ville de Rabat. La Technopolis abriterait 700 à 800 personnes dans des métiers aussi pointus que l’assurance vie, santé et incendie et autres risques dommages (IARD). Sur ce site, l’ensemble de ces activités sera effectif à partir de janvier 2010. Les services relatifs à l’assurance vie démarreront vers fin octobre 2009. Suivront en novembre de la même année, les prestations concernant l’assurance santé alors que ceux touchant aux IARD seront mis en place en janvier 2010.

Pour être en phase avec ces échéances, le centre de formation, qui sera implanté dans Rabatshore, ouvrira ses portes aux nouvelles recrues le 15 juin prochain. «Il s’agit d’avoir des profils rompus aux métiers à promouvoir, ce qui requiert des cycles de formation allant de 6 à 8 semaines selon les produits à vendre», explique Aubert. En tout cas, le directeur des affaires générales de Axa Services Maroc est confiant.

Selon lui la capitale du Royaume recèle un potentiel de ressources humaines d’un niveau appréciable, en ce sens qu’il s’avère adaptable à tous les métiers. «Ceci avec un usage assez aisé de la langue de Voltaire», reconnaît Aubert. Car, la clientèle ciblée n’est autre que la population française.

Au départ, le démarrage de Axa Services Maroc a été effectué en partenariat avec un opérateur franco-marocain, Webhelp, qui assurait le service RH ainsi que l’hébergement des activités de la société. La sortie des locaux de Webhelp a été opérée en 2008.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 16 Mai 2009 - 4:29

Non fahed AXA est installé au maroc depuis 1996, ce projet rentre juste dans le cadre de son développement pour atteindre les objectifs fixés dans le projet "ambition 2012" initié en 2004. Mais ça reste une bonne nouvelle pour l'emploi et la formation des cadres marocains ainsi que le développement de leurs compétences.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 16 Mai 2009 - 15:06

Oui Moro je sais bien que AXA est déja au Maroc je voulais simplement souligné le faite qu'ils ont été séduits par le Technopolis de Rabat pour accélerer leur developpement, d'ou l'article Wink
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeDim 17 Mai 2009 - 13:08

Citation :


Le Chantier de rocade méditérranéenne de 510 Km sera achevé en 2011 comme prévu
Rocade méditerranéenne La dernière section sera prête en 2011 Le chantier avance malgré l'inhospitalité du site Publié le : 15.05.2009 | 15h36





Économie marocaine - Page 16 Pixel Le projet de la rocade méditerranéenne défie l'hostilité de la nature et poursuit imperturbablement son chemin entre les montagnes majestueuses et les gorges escarpées du nord du Royaume.
Tantôt droite tantôt sinueuse, cette route qui devrait s'étaler sur 510 km de Saïdia à Tanger coûtera près de 6 milliards de dirhams. Plus de 280 km ont été déjà réalisés mais plus de 220 km, correspondant à la section Al-Hoceima–Tétouan, restent à construire. « C'est la section la plus difficile à réaliser compte tenu des reliefs abrupts et de la nature instable du sol. Dans cette section, le coût de réalisation d'un kilomètre de cette route de 7 mètres de largeur équivaut au coût de réalisation de 1 km d'autoroute», explique le ministre de l'Equipement, Karim Ghellab, qui visitait les chantiers de ce projet mercredi dernier. Les chiffres illustrent parfaitement les propos du responsable gouvernemental: la réalisation de cette section de 223 km demande a elle seule 4 milliards DH alors que les 284 km déjà en service ont nécessité 1,8 milliard DH.

C'est l'environnement inhospitalier du site et la nature géologique du sol qui expliquent la complexité des travaux à réaliser entre Al Hoceima et Tétouan. Les travaux de stabilisation et de soutènement engloutissent à eux seuls plus de 70 % du budget allouée à cette section. « Plusieurs fois, on a été obligé de refaire les travaux à cause des pluies, des chutes de pierres ou de faire face à des glissements de terrains.
C'est ce qui explique parfois les coûts élevés et les délais allongés. Contrairement aux autres projets, les bureaux d'études font plusieurs analyses au fur et à mesure que le projet avance. Et à chaque fois, on doit adapter notre approche en fonction des résultats», explique un ingénieur sur place.

En effet, la nature ici est tellement austère et imprévisible que, pour la dompter, il faut recourir à des solutions techniques ingénieuses et complètement nouvelles. Mais, parfois, même avec ça, les ingénieurs sont impuissants face aux caprices de la géologie du sol. Ils sont par conséquent obligés de contourner certains obstacles quitte à augmenter les coûts de réalisation.
« On a été obligé au niveau de certains points de changer le tracé de la route pour éviter la structure trop instable du sol. Malgré les travaux de stabilisation de certaines pentes, on est confronté à des glissements de terrains, voire à des effondrements. Mais ce n'est pas toujours le cas heureusement.

Souvent, face aux difficultés, on recourt à des techniques nouvelles telles que le confortement des déblais par des parois cloués ou le confortement des remblais par des murs à contrefort et moyennant la technique terre armée», précise un autre ingénieur.

Mais l'hostilité de la nature n'est pas la seule entrave à laquelle cette entreprise titanesque a été confrontée. Il fallait gérer aussi la réaction de la population riveraine et la pousser à s'approprier ce projet. C'était d'autant plus difficile que parfois les habitants ont été lésés, soit parce que leurs plantations ont pâti des travaux soit que leurs maisons étaient trop proches du chantier. « Et là le combat n'était pas gagné d'avance. Les travaux de creusement, de stabilisation et de terrassement provoquent des secousses qui menacent les habitations proches. Les responsables ont dû faire montre de beaucoup de tact et de sens de compromis pour trouver un terrain d'entente. Pour eux, il n'est pas question que ce projet se fasse aux dépens des habitants», explique un responsable de la Direction des routes d'Al Hoceima.

Construire des routes avec l'adhésion de la population, c'est bien. Mais ce qui est mieux, c'est de le faire tout en respectant l'environnement et l'écologie du site. « Il ne fallait surtout pas porter atteinte aux paysages environnants par les amas de déblais et autres gravats. Ces déblais sont boisés de telle sorte qu'ils s'insèrent parfaitement dans le paysage. C'est un souci majeur pour nous», explique un responsable du ministère de l'Equipement.

Pour toutes ces raisons, Karim Ghellab semble confiant quant au rythme des travaux et ne cache pas sa satisfaction de ce qui a été réalisé jusque-là. Selon lui, en dépit de toutes les contraintes, rien ne semble pouvoir perturber l'avancement du projet de la rocade méditerranéenne qui sera mené à bon port vers la moitié du mois de juillet 2011.

Cahier des charges

La visite du ministre de l'Equipement et du Transport aux chantiers de la section Al-Hoceima–Tétouan lui a permis de s'enquérir de l'état d'avancement du projet. Le responsable gouvernemental a visité ainsi la partie allant d'Ajdir à Jebha sur 103 km et dont le coût s'élève à 1,65 milliard DH.« Il était nécessaire pour nous de voir comment les travaux évoluent sur le terrain surtout après la résiliation des contrats de deux sociétés adjudicataires (italienne et portugaise) qui n'ont pas respecté les dispositions contenues dans le cahier des charges.

De nouveaux appels d'offres ont été lancés et les marchés adjugés à des entreprises marocaines qui semblent respecter les conditions requises. Donc, cette partie sera mise en service vers la fin de l'été 2009». M. Ghellab a visité également la partie allant de Jebha à Tétouan sur 120 km et dont le coût est de l'ordre de 2,3 milliards de DH. Là aussi, il a pu constater de visu l'état d'avancement des travaux qui prendront fin en 2011 et verront la réalisation de la rocade méditerranéenne. La rocade méditerranéenne consiste, pour rappel, à construire 210 km de routes neuves et l'aménagement de 300 km de routes existantes pour près de 6 MMDH.Les retombées socioéconomiques de ce projet sont énormes, lequel permettra de désenclaver une zone de près de 3 millions d'habitants et de mettre en valeur ses potentialités naturelles et touristiques. La rocade longe 200 km de plages.
Par Al hoceima - Abdelwahed Rmiche | LE MATIN

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeLun 18 Mai 2009 - 14:48

Concretisation des accord signé en Janvier 2008 entre la Jordanie et le Maroc
Citation :


Maroc/Jordanie: signature d'un accord pour la construction d'une ville près d'Amman
RABAT, 17 mai (Xinhua) -- La Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) du Maroc et la société jordanienne Mawared ont signé, dimanche à Amman, un accord portant sur la réalisation d'une tranche des travaux de construction d'une nouvelle ville, située à 20 km d'Amman, capitale jordanienne, selon une information de l'agence MAP.

L'accord a été signé par Mustapha Bakkoury, directeur général de la CDG, et Akram Abou Hamdan, directeur général de la National Resources Investment and Development Corporation (Mawared), en présence du Roi Abdellah II de Jordanie et du Premier ministre marocain, Abbas El Fassi.

En vertu de l'accord, conclu en marge du Forum économique mondial, qui se tient à la station balnéaire de la Mer morte, le holding, créé l'année dernière entre les deux groupes, sera chargé de réaliser une importante partie de la nouvelle ville, baptisée Roi Abdellah Ibn Abdelaziz, et d'en superviser l'aménagement urbanistique,selon la même source.

M. Bakkoury a souligné à cette occasion que cette convention s'inscrit dans le cadre de l'accord stratégique signé entre les deux pays, en janvier 2008, lors d'une cérémonie présidée par le Roi Mohammed VI et le Roi Abdellah II portant sur la réalisation d'un projet urbanistique intégré sur une superficie de 500 ha.

La partie jordanienne, a-t-il ajouté, a exprimé son souhait de tirer profit de l'expérience marocaine, notamment en matière des mécanismes de financement de l'acquisition de logement. Cool

Source : Xinhua

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeSam 23 Mai 2009 - 23:55

Citation :
Le Maroc se met à l’Offset industriel

Les accords de compensations industrielles bientôt en vigueur

· Une circulaire du Premier ministre en cours de signature


Le Premier ministre met les dernières touches à une lettre circulaire qu’il adressera sous peu aux membres de son gouvernement. L’objectif est de les inciter à recourir aux accords Offset industriel. Derrière ce sigle barbare se cache un instrument de compensations économiques et industrielles, d’une importance cruciale et qui pourrait révolutionner la manière avec laquelle le marché marocain est négocié par les exportateurs étrangers.

Il s’agit d’une approche qui consiste à exiger d’une entreprise étrangère, qui soumissionne pour un marché, une contrepartie qui peut être un investissement dans un site de production, de maintenance ou un engagement à s’équiper auprès de fournisseurs locaux. L’obligation est ainsi faite à l’exportateur d’investir ou de trouver des investisseurs pour le pays acheteur. L’expérience internationale a montré que la pratique s’appliquait souvent aux secteurs à haute valeur ajoutée et aux contrats à montants importants.

Abbas El Fassi est convaincu que la démarche est réalisable au Maroc, avec des effets positifs incontestables sur le développement économique. Les ministères chargés des stratégies sectorielles comme l’Industrie, l’Energie, l’Equipement, l’Agriculture, le Tourisme et les Nouvelles technologies sont donc interpellés. Ils doivent intégrer cette approche d’une manière spontanée aux appels d’offres des grands projets de leur département.

Ainsi, les négociations peuvent être accompagnées de conditions comme la production des équipements dans des usines installées au Maroc, le déploiement d’activités de recherche et développement… Le Premier ministre est convaincu que les entreprises francophones et espagnoles pourront délocaliser une partie de leurs services financiers et ressources humaines vers le Maroc, particulièrement dans les complexes technologiques de Casablanca, Rabat ou dans les prochains sites de Tétouan, Fès et Oujda.

Les secteurs de l’automobile et de l’aéronautique pourraient figurer parmi les secteurs ciblés prioritairement. En clair, les donneurs d’ordre seront amenés à en tenir compte parmi les critères d’évaluation des offres. Pour les appels d’offres déjà lancés, il sera possible de l’introduire lors des négociations. Pour les contrats déjà passés, le dispositif sera introduit à l’occasion de la discussion des accords de maintenance.

Sur les traces de l’Inde, la Chine, la Tunisie...

Les avantages de l’Offset sont multiples: transfert de savoir-faire, valeur ajoutée... La démarche a fait ses preuves dans des pays comme l’Inde, la Chine ou encore la Tunisie avec des exemples qui prouvent que cette démarche est en mesure de générer des montants d’investissement équivalents ou supérieurs au volume du contrat initial.

Ainsi, la Pologne a pu obtenir un programme d’investissement américain de 12 milliards de dollars sur une période de 10 ans contre un contrat d’armement de 3,5 milliards de dollars avec la société Lockheed Martin. De même, la Chine a décroché la réalisation d’une usine d’assemblage aéronautique de la compagnie Airbus dans le cadre d’un contrat d’achat de 150 avions A320.

Mohamed CHAOUI

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeDim 24 Mai 2009 - 18:28

big boss a écrit:
Citation :
Le Maroc se met à l’Offset industriel

Les accords de compensations industrielles bientôt en vigueur

· Une circulaire du Premier ministre en cours de signature


Le du contrat initial.

Ainsi, la Pologne a pu obtenir un programme d’investissement américain de 12 milliards de dollars sur une période de 10 ans contre un contrat d’armement de 3,5 milliards de dollars avec la société Lockheed Martin. De même, la Chine a décroché la réalisation d’une usine d’assemblage aéronautique de la compagnie Airbus dans le cadre d’un contrat d’achat de 150 avions A320.

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C'est une excellente nouvelle......bientôt de l'integration militaire... lol!
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeDim 24 Mai 2009 - 18:48

un exemple a la polonaise serait le bienvenu,mais c´est trop tard pour LockMart,l´important c´est de l´imposer dans les futurs marchés cheers
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 13:52

Citation :
Pierre & Vacances passe la vitesse supérieure au Maroc
Publié le 27/05/2009 13:00:00


Déjà actionnaire du Club Med à hauteur de 10,7%, la Caisse des Dépôts et de Gestion du Maroc vient de signer un partenariat stratégique avec Pierre & Vacances. Celui-ci vise à assurer le développement immobilier du groupe français au Maroc au travers de la construction et de la gestion de resorts de loisirs et de résidences de tourisme.

Déjà annoncé par Gérard Brémond, Pdg du groupe Pierre & Vacances, l’objectif affiché à 5 ans est de 15 000 lits (soit 3 000 villas et appartements) avec la création de résidences de tourisme dans les régions touristiques marocaines : Les Senioriales dédiées aux seniors, des résidences urbaines Adagio City Aparthotel et Orion International, et deux Oasis Eco Resort.

Projet phare du groupe à Marrakech et Agadir, les Oasis Eco Resorts abriteront des résidences MGM, Pierre & Vacances et Maeva autour d’un espace aqualudique.

Pour mener à bien ce développement, deux structures sont créées avec une société foncière et d’exploitation touristique (dont P & V détiendra 15%) et une société de promotion immobilière (Pierre & Vacances Maroc prenant ici 50% du capital).
http://www.pros-du-tourisme.com/actualites/detail/12185/pierre-et-vacances-passe-la-vitesse-superieure-au-maroc.html

Citation :
Maroc: baisse prévue de 15% des transferts de devises en 2009
Il y a 51 minutes

RABAT (AFP) — Les tranferts en devises des quelque 3,2 millions de Marocains résidant à l'étranger (MRE) devraient baisser de 15% en 2009 par rapport à 2008 et représenter 45 milliards de dirhams (environ 4 milliards d'euros), a-t-on appris mercredi auprès du ministère marocain des Finances.

"Ces transferts ont (déjà) accusé une baisse de 15,5% durant le premier trimestre 2009 dans un contexte économique peu favorable pour les pays de l'Union européenne (UE) à cause de la crise financière mondiale", selon le ministère.

Le montant des transferts des MRE au cours du premier trimestre 2009 "reste toutefois positif par rapport à la moyenne des dernières années", avait déclaré mardi le ministre des Finances Salaheddine Mezouar lors de la séance des questions orales devant la Chambre des conseillers (sénat).

Selon la presse, la crise mondiale a eu un impact négatif sur certaines exportations marocaines, telles que les phosphates, le textile et la sous-traitance automobile, ainsi que le tourisme.

En février, le gouvernement marocain avait mis en place un "comité de veille stratégique" chargé de suivre les répercutions de cette crise sur l'économie du pays.

Copyright ©️ 2009 AFP
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeMer 27 Mai 2009 - 15:02

Agadir developpe un peu plus son pôle halieutique. Avec l''autoroute plus Tanger Med les surgelés marocains se retrouveront en europe en très peu de temps.

Citation :
Un parc halieutique à 6 milliards de DH · Il est dédié aux industries de transformation des produits de la mer

· 150 hectares à aménager et 20.000 emplois à créer à Agadir

· Activités annexes: logistique, emballage, conditionnement...



Haliopolis. C’est le nom donné au grand parc halieutique en projet à Agadir. Se positionner sur ce créneau est une recommandation du plan Emergence. Un plan qui définit, pour la région, une nouvelle stratégie industrielle dont l’un des piliers est la modernisation et la relance de l’industrie de la transformation des produits de la mer, indique-t-on auprès du Centre régional d’investissement (CRI) du Souss-Massa-Draâ.
Le chef-lieu du Souss compte beaucoup d’atouts. D’abord, le positionnement géographique de la ville. Ensuite, son savoir-faire dans les domaines des activités de la pêche et de la transformation des produits de la mer.
Haliopolis, un seul projet, cinq partenaires. D’un côté, la région Souss-Massa-Draâ. De l’autre, le fonds Igrane, le Crédit Agricole et MedZ en tant que maître d’ouvrage délégué. Les parties prenantes ont scellé un accord-cadre en vue de la réalisation du pôle des produits de la mer à Agadir (PPMA). Plus en détail, le parc halieutique Haliopolis sera aménagé sur une superficie de 150 hectares, dont 111 hectares lotis. Une première tranche de 99 hectares (dont 73 lotis) sera concrétisée en premier lieu. Suivra par la suite la seconde tranche de 51 hectares (38 lotis). Le tout, aménagement et équipement, pour un investissement de 6 milliards de DH. En termes d’emploi, les partenaires tablent sur la création d’un peu plus de 20.000 postes dans divers secteurs (transformation, logistique, support et services). Haliopolis élira domicile dans la commune rurale de Drarga et bénéficiera de la proximité des infrastructures routières, du port et de l’aéroport, tient-on à souligner.
Le parc halieutique de la région du Souss est une zone d’activités ouverte à l’industrie de la transformation des produits de la mer. Mais aussi aux activités de logistique. En ce qui concerne le premier cas, sont essentiellement ciblées les industries dont le cœur de métier est la transformation des produits de la mer comme la conserve, la semi-conserve et la congélation. La zone est aussi accessible aux activités de support aux industries de transformation, comme les industries de l’emballage et du conditionnement (caisses en polystyrène, barquettes en plastique, sachets, films, boîtes et bocaux, emballages en carton, etc.). Sont également concernées les industries de transformation des intrants (sauce, condiments…).
Haliopolis est aussi une opportunité pour le développement des multiples activités de logistique (prestations du transport et de la distribution). Mais aussi des services comme l’étiquetage, l’identification et la traçabilité. Sans oublier les fonctions de conditionnement, de l’emballage, du packaging, de l’assemblage et du copacking. Et en dernier lieu, les services de gestion des commandes telles la réception et la préparation.
Pour la mise en place, le mode de gouvernance choisi privilégie la création de deux entités. Une dédiée à l’aménagement et le développement. Elle regroupe les acteurs qui financent et réalisent le projet sur le plan des études, de l’acquisition du foncier et de la construction du parc. Cette entité rentabilise ses investissements par la commercialisation ou la location des lots du parc. Une fois Haliopolis créé, la gestion courante (animation, gestion des infrastructures…) sera confiée à une entité distincte.
Par ailleurs, l’on tient à souligner que «l’objectif principal du pôle halieutique est le développement de la compétitivité dans les filières des produits de la mer en répondant à leurs besoins et en les aidant à pérenniser leurs activités. Et ce, grâce à l’innovation, à la qualité et au développement technologique». Le pôle s’attribue aussi la mission de constituer un interlocuteur unique doté de ressources afin de répondre aux besoins des entreprises membres du pôle en termes d’études et de démarches administratives, entre autres.
Il faut rappeler que le port d’Agadir est le premier port de pêche au Maroc avec une flotte côtière de plus de 400 unités et une flotte hauturière de 240 chalutiers. La pêche artisanale produit annuellement 140.00 tonnes. La région est aussi la première en termes d’exportation avec un peu plus de 3 milliards de DH (soit un taux de 46% sur le total des exportations).

Ali JAFRY

L'economiste: 25/05/09
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeVen 29 Mai 2009 - 23:43

La Ram c'est enfin tiré de ce merdier Twisted Evil
Au finish les sénégalais veulent voler tout seul mais ont besoin des ailes de la RAM, tout ça pour ça c'est ridicule. Je pense à mon humble avis que toute cette histoire était pour placer le fils de Wade comme ministre et future repreuneur de l'Etat sénégalais


Citation :
Air Sénégal: accord entre Dakar et RAM
Air Sénégal: accord entre Dakar et RAM pour créer une nouvelle compagnie
Il y a 4 heures

DAKAR (AFP) — L'Etat sénégalais et Royal Air Maroc (RAM), co-actionnaires d'Air Sénégal international actuellement en liquidation, ont annoncé avoir signé vendredi à Dakar un protocole d'accord visant à créer au Sénégal une nouvelle compagnie contrôlée par des intérêts privés sénégalais.

Les avions d'Air Sénégal, une des plus importantes compagnies aériennes d'Afrique de l'Ouest, sont cloués au sol depuis le 24 avril et une procédure de liquidation des biens a été ouverte, mettant en péril plus de 500 emplois.

"Nous avons signé en début d'après-midi un accord avec la Royal Air Maroc, qui porte sur la mise en place d'une nouvelle compagnie dont le capital sera détenu en majorité par des privés sénégalais", a annoncé à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de l'aviation civile du Sénégal (ANACS), Mathiaco Bessane.

L'accord vise "la création d'une nouvelle compagnie contrôlée par le Sénégal", ont annoncé les deux parties dans un communiqué conjoint, signé par le PDG de Royal Air Maroc (RAM), Driss Benhima, et le tout nouveau ministre de la Coopération internationale et des Transports aériens, Karim Wade.

Le texte précise bien que cette compagnie serait mise en place au Sénégal "sous l'impulsion de l'Etat et avec le concours actif de Royal Air Maroc" mais "sans aucune participation capitalistique de sa part".

Dans cette nouvelle configuration, "la RAM n'est plus dans le capital mais reste en support opérationnel" a souligné M. Bessane, interrogé par l'AFP.

La compagnie marocaine apporterait néanmoins son "assistance" technique, commerciale et opérationnelle" pour lancer la nouvelle compagnie.

Le porte-parole du ministère sénégalais des Transports, Madior Sylla, a affirmé dans un communiqué séparé que les deux avions actuellement immobilisés à Dakar serait ainsi mis "à la disposition de la nouvelle compagnie". Elle aurait aussi "la possibilité d'affréter auprès de la RAM deux avions supplémentaires".

Mais "l'Etat sénégalais a également contacté d'autres partenaires pour la formation, la mise à disposition d'avions" selon M. Bessane.

Pour les 500 employés de la compagnie, l'avenir reste incertain: certains seraient repris dans la nouvelle compagnie ou "redéployés" dans d'autres sociétés, les autres perdraient leur emploi et seraient "indemnisés".

Air Sénégal avait été créé en 2000 par la RAM (51% du capital) et le Sénégal (49%), mais les deux parties étaient en conflit depuis plusieurs années sur sa gestion.

Fin avril, des experts des deux pays s'étaient réunis à Dakar pour tenter de "sauver" la compagnie qui avait accumulé au cours de ces trois dernières années "25 milliards de francs CFA (38 millions d'euros) de pertes", selon les syndicats.

L'arrêt de ses vols a énormément handicapé le secteur du tourisme au Sénégal et pénalisé la Casamance (région sud, séparée du nord par la Gambie) enclavée.

Au début du mois, le président sénégalais Abdoulaye Wade avait nommé son fils Karim à la tête d'un grand ministère incluant la Coopération internationale, l'aménagement du territoire, les transports aériens et les infrastructures. "C'est lui qui a mené les négociations de bout en bout" a relevé M. Bessane.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 15:24

Citation :
Importation pétrolière
Baisse de 64% de la facture du Maroc
Publié le : 01.06.2009 | 12h25

Par : Abdallah Darkaoui


Le Maroc a importé, durant la période janvier-avril 2009, pour environ 3,8 milliards de dirhams (MMDH) de pétrole brut, une facture qui s'est inscrite en baisse de 64%, pour un volume également en régression (-27,9%) par rapport à la période correspondante de 2008, selon l'Office des changes.


Le tonnage de brut importé a atteint, à fin avril dernier, quelque 1,43 million de tonnes contre 2 million de tonnes une année auparavant, relève-t-on dans les dernières statistiques rendues publiques par l'Office sur les échanges extérieurs du Maroc.

Outre le recul du volume importé, l'allègement de la facture pétrolière du Royaume s'explique par la dépréciation des cours du pétrole sur le marché international. Le prix moyen de la tonne de brut importé a reculé de 50,1% pour se stabiliser à 2.642 dirhams à fin avril dernier au lieu de 5.292 dirhams une année auparavant, précise l'Office.

Suite à cette baisse, les importations des produits énergétiques en général ont accusé un recul de 36,4% passant de 21,6 MMDH à quelque 13,7 MMDH. Elles occupent désormais la 4e place dans le total des importations nationales avec 16,6%, après avoir occupé le 3e rang à fin avril 2008.

Par MAP
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 16 Icon_minitimeJeu 4 Juin 2009 - 14:38

Citation :

Dacia Sandero fabriquée et commercialisée au Maroc
Source : Communiqué de presse - Actualité publiée le 03 Juin 2009 à 19:05


Sandero, la berline compacte et habitable de Dacia fait son entrée au Maroc, aux côtés de Logan et Logan MCV. Elle sera commercialisée au Maroc à partir du 18 juin 2009 avec une garantie 3 ans ou 100 000 km.

· Dacia Sandero est fabriquée à l’usine SOMACA de Casablanca du groupe Renault pour le marché marocain.

· A fin avril 2009, Dacia est la deuxième marque au Maroc, juste après Renault. Elle détient 16% de part de marché (marchés des véhicules particuliers). Logan est le véhicule le plus vendu dans le pays depuis 2006, toutes marques et modèles confondus, avec plus de 48 000 unités vendues depuis le début de la commercialisation.

· Avec la production de Sandero au Maroc, le groupe Renault poursuit son déploiement international.

Après les usines de Curitiba (Brésil), Sofasa (Colombie), Pitesti (Roumanie), l’usine Nissan de Rosslyn (Afrique du Sud), la SOMACA accueille la fabrication de la dernière née du programme Entry (plateforme Logan).

· Vendue à 76 500 exemplaires principalement en Europe depuis son lancement en juillet 2008, Dacia Sandero a su convaincre une clientèle à la recherche d’une berline compacte, habitable et robuste.


DACIA AU MAROC

Le lancement de la berline compacte Sandero marque une étape majeure du développement de la marque Dacia au Maroc. Composée de la berline familiale Logan et du break Logan MCV (véhicules commercialisés respectivement depuis 2005 et 2008), la gamme Dacia au Maroc s’enrichit de Sandero et part à la conquête d’une nouvelle clientèle.

Principalement mono-motorisés et acheteurs de véhicules d’occasion, les clients de Dacia sont très attentifs au prix, qui est leur premier critère d’achat. Sandero s’adresse à une clientèle rationnelle et pragmatique mais sensiblement plus jeune que celle des autres modèles de la gamme Dacia.

Dacia Sandero est une berline bicorps compacte, habitable et robuste qui se positionne en termes de prix dans le segment des petites voitures alors que ses dimensions intérieures et extérieures relèvent de la catégorie supérieure des compactes.

Elle sera commercialisée au Maroc à partir du 18 juin 2009 avec un rapport prix prestations fidèle à l’esprit de la marque et une garantie 3 ans ou 100 000 km.

Avec 16% de part de marché à fin avril 2009 sur le marché des véhicules particuliers, Dacia confirme sa deuxième place dans le pays. Logan est d’ailleurs le véhicule le plus vendu au Maroc depuis 2006, toutes marques et modèles confondus, avec 14 500 unités vendues en 2008. Dacia Sandero bénéficiera tout naturellement de la notoriété de son aînée Dacia Logan, véhicule reconnu pour sa fiabilité et sa robustesse.


ZOOM SUR LA SOMACA

Dacia Sandero est assemblée dans l’usine de la SOMACA (Société marocaine de construction automobile) de Casablanca, usine détenue à 80% par le groupe Renault et certifiée ISO 14 001 comme l’ensemble des usines du groupe.

Tout comme Logan, industrialisée sur ce site depuis juillet 2005, Sandero est produite selon un procédé CKD (Completely Knocked Down) à partir de pièces livrées principalement de Roumanie et de pièces localisées au Maroc. Le taux d’intégration locale de Sandero est, comme celui de Logan, de 40%.

L’arrivée de Sandero à l’usine de la SOMACA s’appuie sur la flexibilité du site et optimise ses installations. Plus de 70% des pièces sont communes entre Dacia Logan et Dacia Sandero, ce qui facilite la production des différents modèles sur la même ligne et permet de réduire les investissements.

Un total de 16 millions d’euros a été investi pour la production de Sandero à la SOMACA. Pilotés par l’ingénierie et les experts techniques de Renault, ces investissements ont permis la création d’un atelier de tôlerie spécifique, l’agrandissement capacitaire de l’atelier peinture et la modernisation d’un banc à rouleaux en bout de chaîne à l’assemblage.

Les Sandero produites à l’usine de la SOMACA sont destinées au marché marocain.

SANDERO, VEHICULE DE CONQUÊTE DU PROGRAMME ENTRY Sandero est le 5ème véhicule du programme Entry (plateforme Logan) après la berline familiale Logan, le break Logan MCV et les véhicules utilitaires Logan van et Logan pick-up.

Sandero marque une nouvelle étape de l’internationalisation du groupe Renault. Produite et commercialisée en premier lieu au Mercosur, Sandero a fait, à l’instar de Logan, l’objet d’un déploiement mondial. A ce jour, 140 000 Sandero ont été vendues dans le monde sous badges Renault et Dacia. En 2008, la version Dacia est produite à l’usine de Pitesti (Roumanie) pour les marchés européens principalement. Début 2009, Sandero arrive en Afrique du Sud. Et c’est maintenant au Maroc que cette berline compacte de 4 m est industrialisée et commercialisée.

Depuis septembre 2004, plus de 1.4 millions de véhicules du programme Entry ont été vendus dans le monde à la fois sous badge Renault et Dacia. Actuellement, 8 pays produisent les véhicules issus de la plateforme Logan : Roumanie, Russie, Maroc, Colombie, Iran, lnde, Brésil et Afrique du Sud.
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