Projets du Maroc

Rappel du premier message :

Je vous propose de regrouper touted les photos des differents projets, qui vont se réaliser au Maroc.

Fremo a écrit:

thierrytigerfan a écrit:

pour Fremo
j'espere que les centres de formations dont tu parles sont accessibles à tout le monde et qu'il ne faut pas payer des fortunes pour y entrer

ces centres dont je parle sont accessible à tous le monde en fait, Ils sont gratuits, l'ISCAE ( Insttitut supérieur de Commer et l'Administartion des Entreprises ) étant donné que c'est une école de luxe, demande des candidats de calibre

j'ai fréquenté des Iscaestes qui ne maitrisent même pas les principes comptables ! seul le cycle d'expertise comptable,(dont elle a encore le monopole) préserve à l'école sa fameuse réputation de qualité
des écoles privés comme HEM la dépassent de loin côté excellence !

FAMAS a écrit:

j'ai fréquenté des Iscaestes qui ne maitrisent même pas les principes comptables ! seul le cycle d'expertise comptable,(dont elle a encore le monopole) préserve à l'école sa fameuse réputation de qualité
des écoles privés comme HEM la dépassent de loin côté excellence !

oui, j'ai entendu des choses pareils derniérement, la HEM est maintenant n°1 au Maroc, mais je crois pas que tous les marocains peuvent payer les frais d'études ...

sinon pour le cycle d'expertise comptable, détrompe toi mon ami, l'ENCG-S a met en place ce cycle cette année, en partenariat avec des préstigieuses écoles française ...

Je peux te dire famas que les iscaeiste que je connais sont de loin les meilleurs étudiants marocain dans leur domaine. Les personnes de Hem que je connais sont plutôt paraisseux et pas forcément motiver. Statistiquement on voit clairement que c'est les iscaeiste qui ont le meilleur salaire a l'embauche ( échelle 11 )

Nano a écrit:

Je peux te dire famas que les iscaeiste que je connais sont de loin les meilleurs étudiants marocain dans leur domaine. Les personnes de Hem que je connais sont plutôt paraisseux et pas forcément motiver. Statistiquement on voit clairement que c'est les iscaeiste qui ont le meilleur salaire a l'embauche ( échelle 11 )

question de marque ... mais les choses ont beaucoup changé ..

Fremo a écrit:

FAMAS a écrit:

j'ai fréquenté des Iscaestes qui ne maitrisent même pas les principes comptables ! seul le cycle d'expertise comptable,(dont elle a encore le monopole) préserve à l'école sa fameuse réputation de qualité
des écoles privés comme HEM la dépassent de loin côté excellence !

oui, j'ai entendu des choses pareils derniérement, la HEM est maintenant n°1 au Maroc, mais je crois pas que tous les marocains peuvent payer les frais d'études ...

sinon pour le cycle d'expertise comptable, détrompe toi mon ami, l'ENCG-S a met en place ce cycle cette année, en partenariat avec des préstigieuses écoles française ...

je parle pas du cycle d'expertise français ! mais celui marocain qui est exclusivement donnée à l'ISCAE à moins que le décret du premier ministre est remis en cause
l'ENCG-Settat a tellement voulu avoir cet honneur, mais sans résultat car l'Iscae a un lobby qui la défend bien à Rabat
les mêmes prof (comme Belkahia, bendriouch) qui ont forgé la réputation de l'iscae interviennent à HEM ou autre, c'est juste que en secteur privé, t'as plus de marge de manoeuvre, et chaque année le programme peut être revue et mis à jour
de plus il y a une orientation "spécialité" en privé, or que les écoles publiques s'attachent à former des gens "passe partout" et ça marche plus de nos jours, il faut former des profils pointus pour des postes bien claires
le programme d'études des ENCG/ISCAE est presque le même depuis le jour de leur création
l'avenir est pour le secteur privé....

Nano a écrit:

Je peux te dire famas que les iscaeiste que je connais sont de loin les meilleurs étudiants marocain dans leur domaine. Les personnes de Hem que je connais sont plutôt paraisseux et pas forcément motiver. Statistiquement on voit clairement que c'est les iscaeiste qui ont le meilleur salaire a l'embauche ( échelle 11 )

Hem est classée numero 1 au maroc parmi les ecoles privés qui proposent des formations aux métiers de commerce et de la gestion. les lauréats d'hem dont je connais qlq uns ont une très bonne réputation au maroc est à l'etranger. ils sont les seuls à bénéficier à coté de l'iscae et de l'université mohamed5(licence economie appliqué) de dispense de certaines unités enseignements composant le cycle d'expetise comptable francais. Pour ce qui est de l'encg c'est une bonne école certe mais le niveau de formation reste inferieur à celui de l'iscae ou d'hem. A ma connaissance le diplôme d'ENCG n'offre aucune dispense d'UE dans le cursus d'expertise comptable Francais.

il ne faut surtout pas prendre la dispense de UV du cycle d'expertise français comme critère de qualité
des écoles médiocres comme ESMA de Marrakech ont en
si les encg n'ont pas de dispense c'est qu'une demande n'a pas été formulé dans ce sens par ces écoles
le "Master CCA" qui donne un max de dispenses des UV du DSCG français on le trouve partout, que ça soit à IGA, ISG , ESG, polyfinance..... ce n'est plus un privilège mais du "petit pain" que tout le monde vend

c'est lancè:

Citation :

S.M. le Roi lance les travaux d'aménagement de la plateforme industrielle intégrée de Kénitra et préside la cérémonie de signature de la convention relative à ce projet.

Le parc de Kénitra est l'une des premières plateformes industrielles intégrées de nouvelle génération qui cible le secteur de l'équipementerie automobile

• L'aménagement de la nouvelle plateforme nécessitera un investissement total de 1,2 milliard DH
• Le projet génèrera à terme 10 milliards DH d'investissements industriels
• La plateforme s'étend sur une surface de 345 ha et permettra de générer 30.000 emplois
• La plateforme vise à capter les investissements tant nationaux qu'internationaux.

Sa Majesté le Roi a donné, vendredi dans la Commune d'Amer Saflia (province de Kénitra), le coup d'envoi des travaux d'aménagement de la plateforme industrielle intégrée de Kénitra, Atlantic Free Zone (AFZ), pour un investissement total de 1,2 milliard de DH.

La plateforme industrielle de Kénitra, qui devra générer 10 milliards de DH d'investissements industriels après sa réalisation, s'inscrit dans le cadre du Pacte national pour l'émergence industrielle qui consiste à formaliser l'offre Maroc et à capter les investissements tant nationaux qu'internationaux.
Le Souverain a présidé, à cette occasion, la cérémonie de signature de la convention relative à l'aménagement, le développement, la promotion, la commercialisation et la gestion de la plateforme AFZ.

Cette convention a été signée par Taieb Cherkaoui, ministre de l'Intérieur, Karim Ghellab, ministre de l'Equipement et des Transports, Salaheddine Mezouar, ministre de l'Economie et des Finances, Jamal Rhmani, ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Ahmed Réda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Abdellatif Benchrifa, wali de la région Gharb-Cherarda-Beni Hssen, Anas Alami, président du conseil d'administration de CDG Développement et Juan Marcos Fernandez Farrugia, conseiller de la société Edonia World.

Par la même occasion, des explications ont été fournies à S.M. le Roi sur le projet Atlantic Free Zone, situé à une dizaine de Km de l'entrée nord de la ville de Kénitra.
Il s'agit de l'une des premières plateformes industrielles intégrées de nouvelle génération qui ciblera les secteurs de l'industrie, notamment l'équipementerie automobile, les activités connexes et à l'export, la logistique industrielle ainsi que les services support à l'industrie (maintenance, bureaux d'études, centres d'affaires, etc.).

Prévu sur une superficie totale de 345 hectares, le projet AFZ a pour ambition à terme l'intégration de la chaîne industrielle automobile dans la région et la création de près de 30.000 emplois, dont 20.000 directs.
Ce parc, qui sera aménagé, développé et géré par le groupement MEDZ-Edonia World, sera divisé en deux zones indépendantes : une zone franche qui occupe environ les deux tiers du projet et une zone libre étalée sur le tiers restant.

L'aménagement d'AFZ se fera en deux tranches, la première tranche concerne une superficie de 192 ha et la seconde une superficie de 153 ha.

Le programme d'aménagement de ce nouveau parc industriel se base sur un concept de plateforme intégré, en mettant à la disposition des investisseurs des lots de terrains équipés, des unités prêtes à l'emploi, des plateaux de bureaux, une cité de l'électronique, une zone high-tech, une zone logistique et une autre administrative.

La plateforme AFZ sera dotée aussi d'équipements publics et de proximité, de commerces et de services, un hôtel, des restaurants, des centres d'expositions ainsi que d'espaces verts et d'aires de repos.

Jouissant du statut de zone franche, la nouvelle plateforme offre aux entreprises qui s'y implanteront des mesures fiscales et douanières attrayantes, notamment une exonération de l'impôt sur les sociétés pendant les 5 premières années d'activité et une réduction à 8,75 % durant les 20 prochaines années, en plus d'une exonération de la TVA et des droits de douanes et la simplification des procédures douanières.

De même, l'Etat offre différentes aides et subventions, à travers en particulier un guichet unique administratif dédié au nouveau parc, des subventions à l'installation et à la formation, avec un plan de formation prévoyant la création d'un Centre de formation du secteur de l'Automobile.

De par ses nombreux atouts, la nouvelle plateforme industrielle intégrée de Kénitra, Atlantic Free Zone représente l'emplacement idéal pour toutes les entreprises souhaitant implanter un centre logistique ou de production au Maroc. Le site jouit en effet d'un emplacement stratégique entre deux grands pôles régionaux, Casablanca et Tanger.
Il bénéficie d'une excellente connectivité et d'une infrastructure routière, ferroviaire et aérienne de qualité.

La réalisation d'Atlantic Free Zone s'inscrit dans le cadre du Pacte National pour l'Emergence Industrielle 2009-2015, signé le 13 février à Fès et visant la construction d'un secteur industriel fort.

Son objectif principal consiste notamment à formaliser l'offre Maroc et à capter les investissements, tant nationaux qu'étrangers, tout en concentrant les efforts et les investissements sur les métiers mondiaux du Maroc (tels l'offshoring, l'automobile, l'aéronautique, l'électronique, le textile-cuir, l'agroalimentaireà), le développement de plateformes industrielles intégrées, l'amélioration du climat des affaires et de la compétitivité des PME-PMI et l'adaptation de la formation aux besoins du marché de l'emploi.

http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=110&id=132082

Citation :

Ain Chkef, Near Fez, Morocco

1800 hectares, 6 000 000m2
AIN CHKEF is the south-westerly urban extension of Fez. Rather than growing from the characterless urban texture of Fez, the new district begins with a new light industrial center, logistics park and commercial center. A green corridor of educational and cultural facilities will grow northward in phases, surrounded by residential development areas. A park on the eastern side of the site is ringed by upmarket residential buildings. Each phase is relatively discreet allowing for autonomous districts to be finished one after another with minimum disruption to residents.

Beau projet, nouvelle ville à côté de Fes ça va donner avec un beau design

Citation :

Agropolis de Meknès
Lancement officiel de la commercialisation

La société Med-Z, filiale de CDG-Développement, a lancé, mercredi lors du 5e Salon international de l'agriculture au Maroc (Siam), la commercialisation du parc agro-industriel «Agropolis» de Meknès, le premier pôle de compétitivité dédié à l'agro-industrie au niveau national.

«Ce projet, dont la première tranche sera achevée vers la fin de l'année en cours, repose sur un concept novateur visant à améliorer la compétitivité du secteur agro-industriel de Meknès et des provinces limitrophes», a souligné Abdellatif Haj Hammou, membre du directoire de Med-Z, chargé du pôle industrie et logistique, qui présentait le projet lors d'une conférence, en présence du ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch.

Mettant l'accent sur la contribution des partenaires institutionnels à l'assouplissement des procédures administratives y afférentes, le responsable a indiqué que le projet «Agropolis» de Meknès propose aux entreprises une offre de valeur complète intégrant le foncier aménagé aux standards internationaux, la logistique et les fonctions de support, la formation et la recherche et développement.

S'étendant sur une superficie globale de 450 ha, «Agropolis» est composé d'un Agroparc, intégrant un espace réservé aux industries, une plateforme logistique et des équipements communaux, une cité intelligente regroupant les fonctions de support à l'industrie agroalimentaire et un pôle recherche-développement et contrôle de qualité constitué de laboratoires et d'espaces communs.

Ce grand pôle de compétitivité, qui s'inscrit dans le cadre des stratégies nationales «Plan Maroc vert» et «Emergence», permettra de valoriser les principales filières de la région, à savoir celles du «lait», des «céréales» et des «viandes» destinées essentiellement au marché local, et celles relatives à l'«oléiculture» et aux «fruits et légumes» destinées essentiellement à l'export.

Le choix de la région de Meknès pour le premier Agropole s'explique par les nombreux atouts de la région, se rapportant à sa position stratégique, à l'importance de son potentiel agricole, à la place de l'industrie agro-alimentaire, qui représente plus que la moitié du chiffre d'affaires industriel de la région, à la présence d'instituts de recherche et d'enseignement supérieur et à l'existence de groupes leaders dans le domaine de l'industrie agro-alimentaire.

Med-Z s'assigne pour mission la conception, l'aménagement, le développement et la gestion de nouvelles zones d'activités touristiques, industrielles, offshoring et spécifiques.

Cette filiale de la CDG a réalisé plusieurs zones touristiques, dont l'Aguedal et Zahrat Annakhil à Marrakech et Ghandouri à Tanger.

En matière d'offshoring et de nouvelles technologies, Med Z a réalisé les projets Casanearshore à Casablanca et Technopolis à Salé et projette de dédier des zones au near-shoring à Fès.

Elle a, également, lancé plusieurs projets de création de zones d'activités industrielles, dont la zone industrielle de Bouznika, le parc industriel de Jorf Lasfar à El Jadida et la plateforme industrielle de Kénitra.

Le Matin

photos du Chantier :Le chantier de l'Agropol...







Photos Prinny Man

... Al mazar Mall a commencé ces activités au cous de ce mois :

Citation :

Ruée sur le centre commercial Almazar de Marrakech

Il a reçu 80 000 visiteurs la première journée de son ouverture n 100 magasins, 20 restaurants et un parking de 800 places.
De grandes enseignes étrangères comme Virgin, Carrefour, Hanes, Glitter.
Deux autres centres identiques en cours de réalisation à Fès et Tanger.


Plus de 80 000 visiteurs en une journée. Le nouveau centre commercial Almazar, qui a ouvert ses portes samedi 3 avril à Marrakech, a drainé les foules, et pas que la population marrakchie. Rien que pour le tout nouvel hypermarché de l’enseigne Carrefour, on a dénombré près de 30 000 visiteurs.

Les promoteurs du centre, Best real Estate (filiale commune du groupe Label Vie et Carrefour), le français H.H. développement, spécialiste des centres commerciaux, et le groupe Saïd Alj, ont dignement fêté l’événement de l’inauguration officielle la veille au soir. Au menu, cordon officiel en présence de plusieurs personnalités, visite des différents espaces puis festivités sur les lieux mêmes du centre. Mais c’est le lendemain que le centre ouvrira ses portes au grand public venu en masse soit pour acheter soit simplement pour découvrir ce qui risque de devenir le nouveau pôle d’attraction de Marrakech.

Bâti sur cinq niveaux, dont trois dédiés au commerce et shopping, pour une superficie globale de 100 000 mètres carrés, Almazar comprend quelque 100 magasins, 20 restaurants en plus d’un espace de loisirs de 1 000 mètres carrés dédiés aux enfants. Prêt-à-porter, produits de beauté, bijoux, mobiliers, jouets pour enfants, loisirs et culture…, le centre a réussi à attirer des enseignes étrangères venues s’installer pour la première fois au Maroc.

C’est le cas notamment de Virgin Megastore, spécialisée dans les produits culturels et le multimédia (livres, films, musique, CD, consoles de jeu…) qui a ouvert un magasin sur deux niveaux d’une superficie de 2 000 mètres carré. Les responsables de Virgin Megastrore Morocco révèlent, au passage, que d’autres ouvertures sont programmées pour les quatre prochaines années à Casablanca, Rabat, Fès et Tanger.
Almazar qui a coûté, en tout, 500 MDH, hors investissements réalisés par les enseignes, permettra la création de 3 500 emplois dont 1 000 directs.

Plus qu’un simple centre commercial, Almazar, selon Zouhair Bennani, président du groupe Label Vie, est un nouveau concept de shopping-entertainment qui sera d’ailleurs dupliqué dans d’autres villes.

A Fès, les travaux ont déjà commencé pour un centre similaire qui sera situé à proximité de la grande place qui fait la jonction entre la Ville-nouvelle et l’artère menant à l’Ancienne médina. Pour le centre de Tanger, les études et plans architecturaux viennent d’être finalisés et les travaux démarreront incessamment.

LAVIEECO

quelques pics :

Permettez moi un petit coup de geule

Citation :

Corniche de Rabat: Encore du retard!

Le projet de la corniche de Rabat tarde encore. Plusieurs dates ont été avancées par le groupe Emaar pour débuter les travaux. La dernière était le début de cette année, une échéance non respectée une autre fois par le promoteur. Il semble que le groupe est préoccupé actuellement par la hiérarchisation de ces projets à travers le monde après la crise économique mondiale. «Nous procédons en concertation avec la wilaya pour finaliser les dossiers afin d’entamer les travaux de la première phase du projet d’ici 4 mois», précise Delmar Yves, PDG d’Emaar Maroc. Dans cette première étape, il est prévu la construction de 300 appartements et le doublement de la voie côtière sur une longueur de plus de 2,5 km.

L'economiste

Y' a un délir que je ne comprend pas...

Citation :

Emaar: Profit net en hausse de 152%

Emaar, le géant de l’immobilier de Dubaï et propriétaire de la tour la plus haute du monde, Burj Khalifa, a annoncé jeudi 22 avril un profit opérationnel net de 207 millions de dollars au premier trimestre 2010, en hausse de 152% par rapport à la même période de l’an dernier. Le groupe de Dubaï ajoute que ses revenus des trois premiers mois de l’année se sont établis à 2,886 milliards de dirhams (786 millions de dollars), en progression de 87% par rapport aux 1,540 milliard de dirhams (419 millions USD) enregistrés au premier trimestre de 2009. Il a justifié ces résultats par «la solide performance» de ses filiales opérant notamment dans l’hôtellerie et les centres commerciaux en ce début d’année, marquée par ailleurs par l’ouverture en janvier de Burj Khalifa.

L'économiste

c´est dingue de laisser les chantiers dans leurs mains ces incapables,tout ce qui leur importe c´est d´agrandir leur portefolio foncier pour vendre plus d´actions,et le gain est investis en vrai en EAU chez eux pas ailleurs,a part en europe bien sure,ici ca plaisante pas avec les delais, tu travaille ou tu degage!
nous on fait encore le hchouma..

Yakuza a écrit:

c´est dingue de laisser les chantiers dans leurs mains ces incapables,tout ce qui leur importe c´est d´agrandir leur portefolio foncier pour vendre plus d´actions,et le gain est investis en vrai en EAU chez eux pas ailleurs,a part en europe bien sure,ici ca plaisante pas avec les delais, tu travaille ou tu degage!
nous on fait encore le hchouma..

Qu'est ce que tu attends de ses aaribans,el khayma,nakhla ou kayla,ou n3ass.lkhmira .si les israeliens etaient en charge cela aurait ete fait en temps record .

qu'ils prennent leur Temp , le Scénario Sama Dubai n'est pas si loin que ca..

Cherokee a écrit:

qu'ils prennent leur Temp , le Scénario Sama Dubai n'est pas si loin que ca..

Alors on copie de la mediocritee.

Sama Dubai etait chargée du Projet Amwaj dans la valée du bouregreg. a force de reporter continuellement ses projets , elle en a été Depossédée. Donc Emaar sait ce qu'elle risque si ca continue

Nano a écrit:

Permettez moi un petit coup de geule

Citation :

Corniche de Rabat: Encore du retard!

Le projet de la corniche de Rabat tarde encore. Plusieurs dates ont été avancées par le groupe Emaar pour débuter les travaux. La dernière était le début de cette année, une échéance non respectée une autre fois par le promoteur. Il semble que le groupe est préoccupé actuellement par la hiérarchisation de ces projets à travers le monde après la crise économique mondiale. «Nous procédons en concertation avec la wilaya pour finaliser les dossiers afin d’entamer les travaux de la première phase du projet d’ici 4 mois», précise Delmar Yves, PDG d’Emaar Maroc. Dans cette première étape, il est prévu la construction de 300 appartements et le doublement de la voie côtière sur une longueur de plus de 2,5 km.

L'economiste

Y' a un délir que je ne comprend pas...

Citation :

Emaar: Profit net en hausse de 152%

Emaar, le géant de l’immobilier de Dubaï et propriétaire de la tour la plus haute du monde, Burj Khalifa, a annoncé jeudi 22 avril un profit opérationnel net de 207 millions de dollars au premier trimestre 2010, en hausse de 152% par rapport à la même période de l’an dernier. Le groupe de Dubaï ajoute que ses revenus des trois premiers mois de l’année se sont établis à 2,886 milliards de dirhams (786 millions de dollars), en progression de 87% par rapport aux 1,540 milliard de dirhams (419 millions USD) enregistrés au premier trimestre de 2009. Il a justifié ces résultats par «la solide performance» de ses filiales opérant notamment dans l’hôtellerie et les centres commerciaux en ce début d’année, marquée par ailleurs par l’ouverture en janvier de Burj Khalifa.

L'économiste

Je remarque encore les commentaires racistes . Mais plus serieusement, les benefices de Emaar ne sont pas reels. Ils consistent en des jeux comptable (je ne pense pas que ce soit le forum pour vous expliquer lesquels). Ce qui compte, ce sont les Cash flows (cad l'argent qui rentre et qui sort) et la, la situation de Emaar est tres mauvaise. Ils n'arrivent plus a lever de cash. Ils n'y a rien de reinvestit aux Emirats. Je reviens de Dubai et les chantiers sont arretes egalement.

Il serait logique que le contrat soit repris par quelqu'un d'autre (avec plus de cash). Je pense que les Qatari sont interesses.

on ne parle pas d´israel/palestine ici ou qui est mieux que l´autre!
uniquement projets du Maroc,merci pour la comprehension

Cobrath a écrit:

Citation :

... Hyundai compte ouvrir une succursale d’ici un an à Tanger. La même ville pourrait, selon les responsables de la marque, abriter l’usine de Hyundai dans le futur. Les négociations et les prospections sont d’ailleurs en cours avec l’ambassade de Corée à Rabat, Kia et Samsung...

Fremo a écrit:

Cobrath a écrit:

Citation :

... Hyundai compte ouvrir une succursale d’ici un an à Tanger. La même ville pourrait, selon les responsables de la marque, abriter l’usine de Hyundai dans le futur. Les négociations et les prospections sont d’ailleurs en cours avec l’ambassade de Corée à Rabat, Kia et Samsung...

espérons que cela se concrétisera imaginez un peu une Detroit marocaine !!!

Nouveau zoo de Rabat

Citation :

Maroc : le nouveau parc zoologique de Rabat opérationnel en 2011

Il nécessitera un investissement global de 813 MDH et reposera sur une toute nouvelle conception : les animaux évolueront en quasi liberté dans des enclos reconstituant leur milieu naturel. 3,5 MDH seront dépensés pour l’achat d’espèces nouvelles.
C’est en 2011 qu’ouvrira à Rabat le nouveau parc zoologique. Et l’événement sera de taille puisque le nouveau zoo répond à un concept tout à fait nouveau au Maroc. Contrairement à l’actuel zoo, ou du moins ce qu’il en reste, dont le concept repose sur une collection animalière présentée au public, le nouveau, lui, se veut comme un « maillon important pour la protection des espèces, la recherche et l’éducation relative à l’environnement », explique Said Hajib, directeur du parc zoologique national. Fini donc le temps où les animaux semblaient malheureux dans leurs cages. Le design et l’aménagement du nouveau parc reposent sur un concept ouvert. « Les animaux évolueront en liberté dans un cadre naturel similaire à leur habitat d’origine, ce qui permet d’immerger le visiteur dans une découverte des aspects les plus surprenants de la vie animale et de l’émerveiller par la diversité du vivant », ajoute M. Hajib.
Géré par la société « Jardin Zoologique National SA » (une société anonyme créée en 2007 et détenue à 100% par l’Etat), le zoo jouera aussi un rôle éducatif auprès du grand public et des élèves à travers des animations et des supports ludiques.
« En outre, le concept d’immersion dans le paysage répond aux besoins environnementaux des animaux sauvages en captivité par une reconstitution réaliste des écosystèmes existants dans la nature à travers, notamment, des enclos conçus sur le modèle de l’habitat naturel pour le bénéfice à la fois des animaux résidents et des visiteurs », affirme le directeur du parc. A l’instar d’un film cinématographique en 3D, le visiteur aura donc l’impression d’être dans le paysage où évoluent les animaux.

L’Afrique à l’honneur

Les spécificités du continent africain seront mises en valeur dans ce nouvel établissement conçu pour la présentation, aussi, de la faune marocaine, saharienne et africaine. Pour atteindre cet objectif, les concepteurs du projet proposent des attractions comme la reproduction de la montagne de l’Atlas avec une hauteur de plus de 15m, l’observation des hippopotames et crocodiles à travers des baies vitrées, créant ainsi « l’effet de face à face avec les animaux, des scènes simulant le désert, la savane, les marécages et forêts tropicales ».
Ainsi, les différents circuits prévus et leur conception moderne, vont permettre aux visiteurs de mieux comprendre le mode de vie des animaux à l’état sauvage. Il y aura, en effet, une sorte de communion parfaite entre l’homme et l’animal.
En ce qui concerne les procédés d’acquisition des différentes espèces animalières, M. Hajib affirme que des prospections ont été lancées auprès de nombreux établissements zoologiques à travers le monde. « Girafes, rhinocéros, buffles, guépards seront acquis auprès de zoos et parcs naturels africains, asiatiques et européens avec lesquels nous avons des programmes d’échanges et de coopérations ». Quant au budget réservé à cet effet, il est estimé à 3,5 millions de DH.
Soulignons enfin que le patrimoine animalier ainsi que les moyens logistiques de l’actuel zoo seront redéployés dans le nouveau zoo selon le concept et les orientations développés dans son plan directeur d’aménagement.



Budget :un budget de 813 millions de DH pour la réalisation du projet

Il est évident qu'un tel projet nécessitera des fonds importants. Son coût global est estimé à 813 millions de dirhams. Un budget pleinement justifié, eu égard à la nature et au calibre des infrastructures et équipements qui vont être exploités pour faire de ce zoo un pôle d'attraction éco touristique. Selon M. Hajib, la réalisation du projet va s'opérer en deux tranches. Le premier module, en cours de réalisation concerne le zoo du jour avec les aménagements connexes (village d'accueil, ferme pédagogique, restaurant thématique, complexe administratif, clinique vétérinaire, infrastructure de conditionnement et de préparation de la nourriture pour les animaux). Le coût de ce premier module avoisinera 490 millions de dirhams. La seconde tranche comprendra, entre autre, une aire où les visiteurs pourront effectuer des safaris nocturnes et des pavillons éducatifs pour les jeunes.


Expertise internationale :Un plan d'aménagement conçu par des experts internationaux

La société « Jardin Zoologique National SA » a eu recours à l'expertise internationale pour la conception de ce nouveau parc zoologique.
L'objectif étant de répondre aux normes et standards internationaux en matière de conservation, d'éducation relative à l'environnement et de la recherche scientifique.
C'est ainsi que le cabinet « Bernard Harrison et Friends », composé d'un panel de 13 experts internationaux et en collaboration d'experts marocains dans différentes disciplines ont conçu un plan d'aménagement présentant les animaux dans un cadre naturel permettant de garantir leur bien être et de conserver leur mode de vie en groupe.

Lavieeco

Citation :

Le RER de Casablanca côutera 1,1 milliards $, pour 2013.
10 milliards de DH pour le RER · 10 km de tunnel

· Mise en service en 2013


Dix milliards de DH. C’est le coût de réalisation de la future ligne RER de 63 kilomètres (Réseau express régional). Les travaux de tunnel sur 10 kilomètres absorberont la moitié du budget (5 milliards de DH). «Toute amélioration d’Al Bidaoui basée sur l’infrastructure actuelle ne répondrait pas à la demande constatée, affirme-t-on dans le rapport de synthèse de l’étude de faisabilité effectuée par l’Office national des chemins de fer (ONCF). Par conséquent, «il en résulte qu’il faut créer une liaison directe souterraine entre Casa-port et Casa-Sud pour bien desservir le centre-ville. C’est désormais donc au programme.
Le tunnel permettra une desserte urbaine avec 8 nouvelles stations (Oued Al Makhazine/Nations unies, Parc de la Ligue arabe, boulevard Zerktouni, boulevard Bir Anzarane, boulevard Ghandi, Hay Hassani/boulevard Grande ceinture, Casa-Anfa, Casa-Sud). Quant aux travaux de plate-forme de surface, ils vont mobiliser 3,4 milliards de DH. Ils concerneront les sections Mohammedia-Aïn Sbâa, Aïn Sbâa-Casa-port, Casa-Sud-Bouskoura et Bouskoura-aéroport Mohammed V. Enfin, un montant de 1,6 milliard de DH sera affecté au matériel roulant. Celui-ci sera adapté à l’activité de type RER avec une vitesse maximale de 160 kilomètres par heure et composé de 18 rames (800 places) dont 16 en ligne et deux en réserve (une pour la maintenance et une pour l’exploitation).
D’une longueur de 63 kilomètres, le RER reliera les villes de Mohammedia et Casablanca. Il desservira aussi les futurs grands pôles d’urbanisation, à savoir la ville nouvelle de Zenata, le pôle d’Anfa et la zone urbaine de Nouaceur. La section urbaine du RER comportera des stations à proximité des quartiers à forte densité comme Hay Mohammadi, Aïn Sbâa, centre-ville, Hay Hassani et quartier Nassim.
Les responsables de l’ONCF affirment que «la nouvelle desserte sera réalisée sur une nouvelle plate-forme ferroviaire, en double voie, parallèle à la double voie actuelle entre Mohammedia et Casa-Port et entre Casa-Sud et l’aéroport Mohammed V.
Les études d’exploitation ont aussi montré que la demande serait de 150.000 à 200.000 voyageurs par jour à l’horizon 2020, en ce qui concerne la desserte urbaine. Pour cela une grille horaire de type RER a déjà été définie. «Il s’agit d’une amplitude de service allant de 6h à 23h avec des plages horaires de pointe (7h à 9h et 17h à 19h30), souligne le rapport. Plus prcisément, aux heures de pointe, il est prévu de mettre en circulation 4 trains par heure entre Mohammedia et l’aéroport Mohammed V et 4 autres entre Aïn Sbâa et Nassim (soit donc un train toutes les 8 minutes). Aux heures creuses, ce sera uniquement la mise en service de 4 trains entre Mohammedia et l’aéroport Mohammed V.
En ce qui concerne les retombées du projet, celles-ci consistent d’abord à faire face aux besoins grandissants en matière de déplacements et à mettre à disposition un service de transport plus attrayant en termes de qualité et de confort. Pour les Casablancais, le RER permettra aussi de réaliser un gain de 15 minutes par déplacement. Pour la communauté, ce mode de transport par rail en milieu urbain favorisera l’utilisation des transports en commun et réduira la congestion de la voirie.
Pour le moment, l’ONCF est encore en train de réaliser ce que l’on appelle APS (Avant projet sommaire) et les campagnes topographique et géotechnique. Le lancement des appels d’offres de réalisation est prévu pour 2010.

Ali JAFRY

mais aussi ... de nouveau, Cap el Hank remonte en surface ???

Citation :

Cap El Hank : Une nouvelle baie pour Casablanca

Le Cap d'El Hank occupe une position stratégique et apparaît comme un lieu d'exception, offrant une vue splendide sur la mosquée Hassan II et renfermant naturellement la grande baie comprise entre ces deux éléments. Le programme projeté, après la libération du terrain, permettra de développer une zone polyvalente: hôtellerie, activités tertiaires, commerces, animations et loisirs.

Ce lieu se prête également à la création d'un grand repère urbain qui viendra renforcer la composition urbaine de la zone s'étendant de la Mosquée Hassan II à la pointe d'El Hank.



Source: Architectes Addict / Projet concept par Anouar Fadil Alami Architecte DESA

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Holmarcom investit dans Cap Tingis, un méga projet immobilier à Tanger

Le complexe sera réalisé sur un site de 60 ha, en bordure de mer.
Il comprendra 1 141 appartements, 96 villas, un hôtel de 25 étages et une galerie commerciale de 7 500 m2.
L'investissement prévisionnel est de 3 milliards de DH.



Après deux semaines de teasing, la campagne «grand bleu» lancée par le groupe Holmarcom a finalement livré son secret. Au cœur de la baie de Tanger, à Malabata, le groupe de la famille Bensalah construit sur 60 ha Cap Tingis, un méga complexe immobilier de 1 141 appartements et 96 villas d’un coût de 3 milliards de DH. Le projet comprend en outre une galerie commerciale de 7 500 m2 et un hôtel de 25 étages.
Ce complexe est réalisé sur un terrain orienté plein ouest, offrant une vue sur le littoral et la ville ancienne de Tanger. En effet, les atouts géographiques sont indéniables. Ouvert sur la Méditerranée, avec une bande côtière d’environ 1,3 km sur une profondeur de 500 mètres, le site présente «une topographie dénivelée et une couverture végétale qui seront préservées et valorisées, offrant ainsi un cadre paysager exceptionnel», explique le promoteur qui insiste beaucoup sur la dimension écologique. «L’ensemble immobilier s’articule autour d’un programme de résidences d’occupations permanentes, d’activités touristiques, d’affaires et de loisirs, dans lequel la nature trouve une place privilégiée. Des parcs, promenades et jardins ont été intégrés au concept, ainsi que des petites places, des escaliers, bassins et palmeraies ombragées qui complèteront un cadre de vie harmonieux», détaille-t-il. Les zones escarpées seront transformées en de grands jardins en pente douce vers la mer.

306 appartements seront livrés dès le quatrième trimestre 2011

L’espace est donc intelligemment mis en valeur. Hormis la tour de 25 étages abritant un hôtel de 249 chambres et 138 appartements en gestion hôtelière, les constructions établies sur différents niveaux, ne dépassant pas 3 étages, «ce qui permettra à 80% des résidents d’avoir une vue sur la mer», insiste-t-on.
Ce projet sera réalisé en plusieurs phases. La première tranche, de 306 appartements, sera livrée dès le quatrième trimestre 2011. «Nous avons démarré les travaux en octobre 2009 et nous sommes actuellement très avancés dans la première tranche», indique le groupe. En revanche, il reste assez discret sur les prix du mètre carré des appartements et villas mais promet qu’ils seront «très attractifs» pour les clients de la première phase dont la commercialisation démarrera incessamment.

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