Actualités Aéronautique et Spatiale

Rappel du premier message :

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Viking Air : Le Twin Otter de retour


Le premier DHC-6 400 Twin Otter de série s’est envolé pour la première fois hier aux installations du constructeur à Calgary en Alberta au Canada.



Premier vol du Viking Air DHC-6 Twin Otter série 400

L’appareil, numéro de série 845 immatriculé C-FMJO, est le premier appareil de production Twin Otter depuis que De Havilland Canada en avait cessé la production en 1988 avec la livraison de l’appareil 844. Ce premier appareil sera vendu à l’entreprise suisse Zimex Aviation dès que le DHC-6 400 sera certifié par les autorités canadiennes (Transport Canada) et européennes (EASA).
Steve Stackhouse, directeur des opérations en vol de Viking Air, secondé par le président et CEO David Curtis était aux commandes de l’appareil pour ce vol initial : « L’appareil s’est comporté comme prévu, il est très stable, rapide et même si j’ai des milliers d’heures de vol sur ce type d’appareil, j’ai eu beaucoup de plaisir à le piloter. »
« C'est un jalon important, non seulement pour Viking et toute notre équipe, mais aussi pour nos nombreux clients », a commenté David Curtis. « Faire voler le premier nouveau Twin Otter en 22 ans est l'aboutissement de plusieurs mois de travail acharné et de détermination par notre personnel et nos partenaires notre chaîne d'approvisionnement ».
Le premier appareil de production a été immatriculé C-FMJO en honneur de Michael J. Orr, un ancien membre du conseil d’administration de Viking Air décédé en octobre dernier.
Viking Air a annoncé le lancement d’une version modernisé du Twin Otter en octobre 2007 avec l’introduction du DHC-6 série 400 qui a subit plus de 400 modifications par rapport à son prédécesseur. Parmi ces modifications, il y a une nouvelle suite avionique Honeywell Primus Apex et des moteurs Pratt & Whitney Canada PT6A-34

aeroweb-f

lancement du Tiangong-1 la premiere phase de la station spatiale chinoise

pour les inconditionels des compagnies Low Cost et en particulier Ryanair

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Ryanair répare ses avions avec du ruban adhésif...

© reuters
Un avion avec 200 passagers à bord a dû rebrousser chemin vers Londres après que le ruban adhésif utilisé pour colmater la fenêtre du pilote montre des signes de faiblesse.

Avant le décollage, les passagers avaient pu observer l'équipe au sol s'activer autour du pare-brise, horrifiés de voir que celui-ci était réparé avec du simple ruban adhésif. L'avion devait relier l'aéroport de Stansted à celui de Riga, en Lettonie.

L'Autorité Irlandaise de l'Aviation (IAA) a déclaré que le ruban avait été utilisé comme précaution supplémentaire pour assurer l'étanchéité de la fenêtre. Apparemment, cela n'aura pas suffi puisque le pilote a décidé de faire demi-tour 20 minutes seulement après le décollage. L'adhésif donnant déjà des signes de faiblesse et étant accompagné de bruits inquiétants...

Ryanair se défend en expliquant avoir suivi les procédures normales de sécurité et que ni les passagers, ni l'équipage n'ont été en danger. Un avis que ne partagent pas les passagers.

L'un de ceux-ci, Anthony Neal, 33 ans, de Bromley, au sud de Londres a déclaré: "Nous étions terrifiés. On pouvait voir les gens de la maintenance essayer de recoller le pare-brise avec du ruban adhésif!". "Peu après le décollage, le pilote nous a annoncé que suite aux dégâts sur le pare-brise, nous devions rebrousser chemin."

On peut tout de même se demander comment les passagers ont accepté de monter à bord face à un tel spectacle... (7sur7Sydney/ca)
25/10/11 01h31

comment expliquer qu'une autorité censée être intolérable sur la sécurité d'un avion de l'équipage et des passagers autorise
un vol avec une pareille anomalie?
c'est decidé je ne prendrai jamais un avion de Ryanair

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Ryanair veut supprimer deux des trois WC de ses avions

Michael O'Leary. © afp

© afp Après avoir émis l'idée de rendre les toilettes de ses avions payantes, Michael O'Leary, le fantasque et controversé dirigeant de Ryanair envisage désormais de supprimer deux des trois WC sur les court-courriers de la compagnie afin de mettre six sièges en plus, révèlent plusieurs médias.

Cette mesure permettrait selon les calculs du patron de la compagnie low-cost de baisser le tarif des billets de 5%.

Seule une toilette serait donc mis à la disposition à -en moyenne- deux cents voyageurs. Les transporteurs aériens n'ont aucune obligation légale de fournir des toilettes à leurs passagers. (mdv)

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Test-Achats introduira une plainte contre Brussels Airlines et Ryanair

© reuters
Test-Achats va introduire une plainte contre Brussels Airlines et Ryanair en raison de certains suppléments de prix appliqués par ces compagnies aériennes, a annoncé lundi l'association de défense des intérêts des consommateurs. Test-Achats demande dans le même temps aux autorités d'analyser si les tour-opérateurs Jetair et Thomas Cook respectent la loi.


© reuters La plainte de Test-Achats va être introduite auprès du service de Contrôle et Médiation du SPF Économie contre Ryanair, qualifiée de "champion des suppléments", et contre Brussels Airlines pour le "credit card fee", un supplément demandé par la compagnie aérienne pour l'utilisation d'une carte de crédit comme moyen de paiement.

Suppléments dans l'aviation
Auparavant, Test-Achats avait lancé un appel aux consommateurs, en mai et en juin, pour pointer les problèmes rencontrés en matière de suppléments dans l'aviation.

La majeure partie des plaintes reçues (57%) étaient liées aux suppléments carburant dans des voyages organisés tandis qu'environ 16% des plaintes concernaient des compagnies à bas prix.

"Credit card fee"
"Il s'agissait surtout de suppléments non optionnels portant généralement des dénominations anglaises telles que: transaction fee, credit card fee, check-in fee, speedy boarding fee, boarding card fee, cancellation fee ...", précise Test-Achats.

Enfin, 12% des plaintes concernaient les compagnies aériennes classiques, les consommateurs se plaignant surtout du "credit card fee", des suppléments pour la réservation d'un siège et des suppléments carburant.

Jetair et Thomas Cook
"La plupart des consommateurs ont trouvé très curieux que des credit card fee pour un paiement à l'aide d'une carte de crédit soient souvent calculés par personne et même par trajet, et pas par transaction", illustre Test-Achats.

L'association demande également aux services du SPF Economie d'enquêter pour déterminer si les tour-opérateurs Jetair et Thomas Cook respectent bien la loi. (belga/chds)
22/08/11 12h49

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Un syndicat belge attaque Ryanair en justice

© afp
7S7 mise à jour Le week-end dernier, trois employés de la compagnie low-cost Ryanair témoignaient (sous le couvert de l'anonymat) de leurs conditions de travail déplorables: prix de l'uniforme déduit de leurs émoluments, les congés de maladie non payés, les congés annuels qui peuvent être annulés. Des pratiques abusives qui seraient en porte-à-faux avec le droit belge, selon la CNE.


© afp La Centrale nationale des employés (CNE) entend soumettre sept voire huit dossiers contre Ryanair et sa société partenaire Crewlink, a annoncé mercredi Tony Demonté, le secrétaire adjoint CNE. Les dossiers sont en cours d'instruction et seront introduits fin septembre au plus tard au tribunal du travail de Charleroi, a-t-il précisé. Le syndicat veut dénoncer les conditions de travail imposées aux hôtesses et stewards de Ryanair basés à l'aéroport de Charleroi.

Tony Demonté dénonce ainsi certaines obligations imposées aux employés: coût de l'uniforme déduit du salaire à raison de 30 euros par mois pendant 12 mois, mutations - même temporaires - sans compensations, interdiction de s'éloigner de plus d'une heure de l'aéroport, préavis de licenciement très courts et facturation de frais administratifs en cas de démission.

Les plaintes viseront Ryanair et la société Crewlink qui met à la disposition de la compagnie des personnels de cabine, à propos des conditions de travail illégales au regard du droit belge de leur personnels à Charleroi, a précisé à l'AFP M. Demonté. Ryanair argue régulièrement que ses personnels dépendent du droit du travail irlandais, car ils travaillent à bord d'avions enregistrés en Irlande.

Avec des revenus pouvant varier de 800 à 1.800 euros bruts, hôtesses et stewards ne sont payés que pour environ 70% du temps travaillé, et ne sont même pas défrayés quand ils sont "de garde" à leur domicile, s'indigne le syndicaliste. La CNE organisera, le mois prochain, une action de sensibilisation sur le site de l'aéroport de Charleroi, consistant en une enquête "grandeur nature" auprès des voyageurs. (belga/mb)

17/08/11 17h57

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Ryanair nous rase pour des tests de drogue"

© belga

© reuters

© epa La compagnie aérienne à bas prix Ryanair prélèverait des mèches de cheveux à ses employés à leur descente d'avion pour vérifier qu'ils n'ont pas consommé de cannabis, révèle mercredi L'Avenir sur base du témoignage d'une hôtesse.

"Chaque semaine, une infirmière vient d'Irlande et reçoit dans notre office les hôtesses et stewards qui descendent des avions. C'est là qu'on nous rase les cheveux qui serviront aux analyses pour ces drug tests", raconte cette hôtesse qui a requis l'anonymat.

La mèche de cheveux, de 4 cm sur 3, est prélevée derrière l'oreille pour les hommes et à l'arrière du crâne pour les femmes.

Ces contrôles étaient auparavant effectués deux fois par an, mais ils se sont intensifiés ces dernières semaines. La pratique est illégale en droit du travail belge, mais la compagnie aérienne assume: oui, elle effectue ces contrôles, stipulés dans le contrat -régi par le droit irlandais- de ses employés.

L'hôtesse dénonce aussi les pressions que fait subir la compagnie aérienne. Ces deux dernières semaines, 21 personnes auraient été virées ou poussées à la démission. (belga)
25/05/11 06h38

la compagnie emirates passe commande de 50 appareils boeing 777-300 long courrier pour 18 milliards de dollars:


http://www.journaldunet.com/economie/actualite/depeche/afp/24/861933/mega-commande_d_emirates_50_boeing_777_pour_18_mds_usd.shtml

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American Airlines choisit des Airbus


American Airlines a annoncé aujourd'hui son intention d'intégrer 130 Airbus A319 et A321 dans sa flotte d'avions à l'occasion du renouvellement de celle-ci.

AMR, la maison mère de la compagnie aérienne américaine, a précisé prévoir parallèlement d'acquérir 200 Boeing, dont 42 B787, le dernier modèle du constructeur américain.

lefigaro

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La compagnie American Airlines dépose le bilan




Crédits photo : Tony Gutierrez/AP
Cette procédure devrait in fine permettre à la compagnie américaine de réduire durablement ses coûts de fonctionnement.

La compagnie aérienne American Airlines et sa maison mère, la holding AMR, ont annoncé aujourd'hui avoir deposé leur bilan, tout en assurant que la continuité de ses opérations était pour l'heure assurée grâce à une trésorerie disponible de 4,1 milliards de dollars. La compagnie a dénombré des actifs de 24,7 milliards et des engagements de 29,5 milliards.

Dans un communiqué, la compagnie a expliqué que la réorganisation qui va être désormais engagée, comme le permet le chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites, allait lui permettre d'abaisser durablement ses coûts de fonctionnement, notamment en matière salariale.

Commande géante de 460 moyens courriers

American Airlines se targuait encore le mois dernier d'être l'une des rares grandes compagnies américaines à ne pas avoir récemment déposé le bilan. Le marché estimait pourtant depuis longtemps que le groupe pourrait être contraint à une telle extrémité, faute de n'avoir pu obtenir de ses pilotes des concessions salariales suffisantes pour redresser ses comptes. Les pilotes d'American Airlines estiment de leur côté avoir assez donné, en consentant d'importants sacrifices financiers lors d'une précédente crise, en 2003, lorsque le groupe était alors le numéro un mondial du secteur.

American Airlines a assuré qu'il poursuivrait ses services normalement et que ses clients continueraient à recevoir les services auxquels ils sont habitués. Le groupe, qui a massivement investi pour renouveler sa flotte, ne dit toutefois rien du devenir de la commande géante de 460 moyens courriers (260 Airbus A320 et 200 Boeing 737) annoncée en juillet. Cette méga commande ne devrait pas être remise en cause, en dépit de l'annonce mardi du dépôt de bilan de la compagnie américaine, a indiqué à l'AFP une source proche du constructeur européen.

Dans les transactions avant-Bourse, le titre AMR cède près de 60%.

Par ailleurs, le PDG de la compagnie aérienne américaine, Gérard Arpey a été remplacé par Thomas Horton. Ce dernier a fait la quasi-totalité de sa carrière chez Americain Airlines, à l'exception d'une parenthèse de quatre ans (2002-2006) chez l'opérateur téléphonique AT&T, où il était déjà directeur financier.

lefigaro

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Chute d'un élément de satellite sur une maison rue des Cosmonautes

Un habitant de la rue des Cosmonautes, située dans la ville d'Odinsk en Sibérie a eu la frayeur de sa vie en entendant samedi dernier un bruit sourd en provenance du haut de sa maison. Sitôt sorti, il s'est aperçu que la toiture de l'immeuble présentait un trou de 50 centimètres de diamètre.

Le coupable, selon l'agence Interfax citée par Waarmaarraar.nl: un élément provenant d'un satellite. L'accident n'a fait aucun blessé. Le satellite avait été chargé à bord d'une fusée Soyouz sans équipage. La fusée avait elle-même chuté auparavant, en Russie.

rtl be

Une folle exploratrice urbaine a penetré au coeur de d'une usine de fabrication de moteur pour fusée, et le pire c'est qu'il n'y avait aucune sécurité, les photos sont hallucinantes.

celle là ressemble un décor de star wars.

Spoiler:

http://gizmodo.com/5873441/this-girl-sneaked-into-this-russian-military-rocket-factory

http://www.rue89.com/rue89-culture/2012/01/15/une-jeune-russe-devoile-des-cliches-interdits-dune-usine-darmement-228386

pyromane a écrit:

Une folle exploratrice urbaine a penetré au coeur de d'une usine de fabrication de moteur pour fusée, et le pire c'est qu'il n'y avait aucune sécurité, les photos sont hallucinantes.

celle là ressemble un décor de star wars.

Spoiler:

http://gizmodo.com/5873441/this-girl-sneaked-into-this-russian-military-rocket-factory

http://www.rue89.com/rue89-culture/2012/01/15/une-jeune-russe-devoile-des-cliches-interdits-dune-usine-darmement-228386

C'est une usine destiné à produire pour l'armée ?

C'est pour l'aérospatial surtout, il motorise la fusée Zénith et surtout l'américaine Atlas V.

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Airbus : Etihad annule ses A350-1000


Le transporteur d'Abu Dhabi a mis en application ses critiques et a annulé une partie de sa commande de la version longue de l'A350 XWB.


Airbus A350-1000 d'Etihad Airways


Parmi les tableaux montrés par Airbus pour la conférence de presse annuelle présentant les résultats de l'année passée, on a pu apercevoir que Etihad Airways avait annulé ses six Airbus A350-1000 qui avaient été commandés au salon de salon de Farnborough en 2008 (voir actualité).

Cette annulation fait suite aux retards accumulés sur la version longue de l'A350 XWB et aux critiques émises par les clients de cette variante, Emirates, Qatar et ... Etihad.

Airbus avait annoncé en juin dernier vouloir optimiser l'A350-1000 pour le faire passer à quarante-quatre tonnes, au lieu de quarante-deux à l'origine. Cela devait lui permettre d'avoir un rayon d'action accru de quatre cents milles nautiques supplémentaires ou d'emporter quatre tonnes et demie de plus. Cela avait repoussé la première livraison à 2017, au mieux.

Malheureusement, les trois clients avaient fait savoir leur mécontentement et l'un d'entre eux, Etihad Airways, a décidé de passer à l'acte. Le carnet de commandes pour cette version passe désormais à soixante-neuf (au lieu de soixante-quinze), mais la décision d'Etihad pourrait faire émulation ; surtout en sachant que Boeing travaille sur une mise à jour de son très populaire Boeing 777-300/ER.

En 2011, seuls dix Airbus A350 ont été commandés, mais de nombreux exemplaires ont été annulés. En commandes nettes, le résultat est négatif.

AU niveau de la production, l'assemblage final du premier exemplaire devrait débuter au mois de mars 2012 alors qu'initialement, le tout début de 2012 était évoqué. Tom Enders ne s'est pas attardé pour donner une date de premier vol. Prévue à la fin de 2012, celle-ci ne devrait toutefois pas intervenir avant 2013.

aeroweb-fr

C919 et CSeries: Bombardier s'entend avec la chinoise COMAC

LaPresseLesAffaires.ca

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Les efforts de Bombardier (T.BBD.B) pour vendre sa CSeries dans l'important marché chinois ont reçu un élan après que la multinationale montréalaise eut signé avec le constructeur chinois d'avions COMAC une entente portant sur les communités des programmes d'avions C919 et CSeries.

Plus particulièrement, les deux avionneurs ont convenu de coopérer à quatre projets distincts dans le cadre de la première phase de collaboration à long terme de COMAC et Bombardier relative aux gammes d'avions commerciaux de ligne C919 et CSeries.

Le chef de la direction Pierre Beaudoin a signé l'entente à Shanghaï mercredi avec son homologue chinois, un an après la conclusion d'un accord de principe.

Les quatre initiatives auxquelles COMAC et Bombardier collaboreront dans le cadre de cette phase initiale sont les communités des interfaces humain-machine du poste de pilotage; du circuit électrique; du développement des normes et spécifications des alliages aluminium-lithium; et des volets du service à la clientèle touchant les publications techniques et la colocalisation des équipes.

Les quatre projets devraient tous être menés à terme d'ici 12 mois, conjointement à l'exécution du calendrier de développement de l'avion C919.

Les deux parties continueront d'explorer d'autres possibilités de coopération en ce qui a trait aux communités des programmes d'avions, de l'approvisionnement conjoint, des synergies de développement et de services à la clientèle, ainsi que de la collaboration à d'autres programmes de Bombardier et de COMAC.

COMAC est la principale société engagée dans la mise en oeuvre du programme principal de transport aérien de grandes lignes en Chine.

Bombardier est un chef de file mondial en solutions de transport, dans les secteurs des avions commerciaux et avions d'affaires, ainsi que dans ceux du matériel et des systèmes de transport sur rail et services connexes.

À la Bourse de Toronto, l'action de Bombardier gagnait mercredi après-midi 11 cents, ou près de 3%, à 4,16$.

Citation :

Un satellite américain retombe sur Terre après 52 ans en orbite


Explorer 8, l'un des premiers satellites américains lancé en 1960, est entré mercredi matin dans les couches denses de l'atmosphère terrestre, a annoncé le Commandement stratégique américain (USSTRATCOM).

Selon l'USSTRATCOM, le satellite aurait dû retomber sur Terre vers 01h15 UTC.

Un responsable de l'industrie spatiale russe a pour sa part indiqué à RIA Novosti qu'Explorer 8 était entré dans les couches denses de l'atmosphère à 03h23 UTC, sans pour autant préciser le lieu où l'engin serait tombé.

Le satellite de recherche Explorer 8, d'un poids de 40,9 kg, était destiné à mesurer la densité et l'énergie des électrons dans l'ionosphère terrestre à des altitudes variant entre 400 et 1.600 km. Les équipements du satellite ont également permis de confirmer l'existence de la couche d'hélium dans l'atmosphère terrestre et ont enregistré le passage de micrométéorites. Lancé le 3 novembre 1960, l'appareil n'a fonctionné que 54 jours, jusqu'au 27 décembre 1960, jusqu'à l'épuisement de sa batterie au mercure.

Le satellite évoluait initialement sur une orbite dont l'apogée (le point le plus éloigné de la Terre) était à 2.200 km, le périgée (le point le plus proche) à 420 km. Le 26 mars dernier, il se trouvait sur une orbite de 167,15 km en apogée et de 187,19 km en périgée.
Le plus ancien engin spatial toujours en orbite, Vanguard 1, a été lancé par les Etats-Unis le 17 mars 1958.

ria

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Hawker Beechcraft readies bankruptcy filing - sources

* Bankruptcy filing expected in the next weeks-sources

* Negotiating pre-arranged bankruptcy with key lenders

* Lenders, led by Centerbridge, likely to give DIP-sources

Reuters

http://www.reuters.com/article/2012/03/28/hawkerbeechcraft-idUSL2E8ESXII20120328

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Qatar Airways s'apprête à commander des jets d'affaires à Bombardier

Qatar Airways s'apprête à commander des jets d'affaires au constructeur aéronautique canadien Bombardier, a indiqué jeudi le PDG de la compagnie qatarie, Akbar Al-Baker.

Lors d'une conférence de presse à Montréal, le dirigeant de la compagnie Qatar Airways n'a pas précisé la taille de la commande ou le modèle, mais il a affirmé être intéressé par les Global 7000 et 8000, de gros avions d'affaires à long rayon d'action lancés en 2010 par Bombardier.

Concernant la commande d'avions moyen-courrier CSeries de Bombardier, M.

Al-Baker a assuré que son pays souhaitait toujours acquérir une vingtaine d'appareils, mais qu'avant de passer une commande à Bombardier, la compagnie devait assurer le suivi des nombreux achats qu'elle a déjà faits auprès de Boeing et d'Airbus.

La nouvelle gamme d'avions CSeries, qui doit entrer en service en 2013, pourra transporter plus de cent passagers et sera donc en concurrence avec certains moyen-courriers d'Airbus et de l'américain Boeing.

Le patron de Qatar Airways a par ailleurs dénoncé la décision du gouvernement canadien de limiter à trois par semaine le nombre de liaisons entre Montréal et Doha, accusant Ottawa de faire le jeu d'Air Canada. "Le gouvernement tente de protéger Air Canada", a-t-il estimé.

Qatar Airways n'assure actuellement qu'une seule liaison entre le Canada et Doha, à partir de Montréal.

MAP

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Des fissures découvertes sur les rotors d'hélicoptères EC135


Le Monde.fr avec AFP | 21.05.2012 à 13h54 • Mis à jour le 21.05.2012



Un hélicoptère EC135 d'Eurocopter. | AFP/AHMAD AL-RUBAYE
L'Agence européenne de sécurité aérienne (EASA) a requis des inspections visuelles des rotors des hélicoptères EC135, un des modèles les plus vendus d'Eurocopter, après la découverte de fissures, a confirmé le constructeur européen, filiale du groupe EADS, lundi 21 mai.
"Les premières investigations ont confirmé que les vols en EC135 restent sûrs", a néanmoins souligné un porte-parole d'Eurocopter. Le constructeur dit consacrer tous ses efforts à identifier la cause du problème. La directive de l'EASA, révélée par le journal Financial Times Deutschland, date du 17 mai.

PLUS DE 1 000 EXEMPLAIRES VENDUS

L'Agence européenne demande aux opérateurs de l'hélicoptère EC135 et de sa version militaire, EC635, d'inspecter visuellement le système de rotor avant chaque vol et, au cas où des fissures seraient détectées, de remplacer le moyeu de rotor principal.

Le EC135, un bimoteur de la classe des 3 tonnes, s'est vendu à plus de mille exemplaires à deux cent soixante-dix clients. La flotte totalise plus de 2,3 millions d'heures de vol, souligne Eurocopter.

Bien que la nature du problème reste à déterminer, il rappelle immanquablement les microfissures détectées depuis le début de l'année dans les ailes des superjumbo A380, d'Airbus, société sœur d'Eurocopter. Ces fissures apparues sur quelques dizaines de pièces en équerre, sur les quatre mille que compte chaque avion, ont déjà coûté à Airbus plus de 260 millions d'euros.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/05/21/des-fissures-decouvertes-sur-les-rotors-d-helicopteres-ec135_1704710_3234.html

PGM

http://www.latimes.com/business/money/la-fi-mo-spacex-rocket-elon-musk-20120521,0,5183184.story

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NASA hails SpaceX launch as 'a new era' for spaceflight

By W.J. Hennigan
May 22, 2012, 5:30 a.m.
In a pivotal moment for private spaceflight, a towering white rocket lifted a cone-shaped capsule into space early Tuesday on a mission to the International Space Station.

SpaceX's Falcon 9 rocket carried the unmanned Dragon capsule into space after a 3:44 a.m. EDT launch from Cape Canaveral, Fla., marking the first time a private company has sent a spacecraft to the space station.

The mission is considered the first test of NASA's plan to outsource space missions to privately funded companies now that its fleet of space shuttles is retired. SpaceX aims to prove to NASA that its Falcon 9 rocket and Dragon capsule are ready to take on the task of hauling cargo -- and eventually astronauts -- for the space agency.

INTERACTIVE GRAPHIC: SpaceX's demonstration mission

"Today marks the beginning of a new era in exploration; a private company has launched a spacecraft to the International Space Station that will attempt to dock there for the first time," said NASA Administrator Charles Bolden in a speech at the cape. "And while there is a lot of work ahead to successfully complete this mission, we are certainly off to good start."

In a separate news conference, Elon Musk, SpaceX's 40-year-old billionaire founder and chief executive, spoke at company headquarters in Hawthorne. It was there that SpaceX employees had gathered, watched and cheered as the Falcon 9 climbed toward the heavens.

"There's so much hope riding on that rocket," he said. "When it worked ... and they saw their handiwork in space and operating as it should, there was tremendous elation. For us, it's like winning the Super Bowl."

But the launch is just the beginning, and the toughest tasks in the mission lie ahead.

The Dragon capsule will rendezvous with the space station as it circles the Earth at about 1,700 mph. Once the Dragon catches up to the station, it must complete a series of complicated tests to determine if it is ready to dock.

If all goes well, the crew aboard the station will snag the spacecraft with a robotic arm and lead it in. SpaceX hopes to dock the Dragon, which is designed to carry up to seven astronauts, as early as Friday.

After years of testing, NASA is hoping to turn the job of carrying cargo and crews over to private industry at a lower cost. Meanwhile, the agency will focus on deep-space missions to land probes on asteroids and Mars.

The agency has poured nearly $400 million in seed money into SpaceX in hopes that the company can one day complete routine missions to the space station. NASA is doling out $63 million to the Russians each time it wants to send an astronaut to the station.

SpaceX, formally known as Space Exploration Technologies Corp., is one of the leading contenders to carry astronauts for NASA one day. Company officials say cargo missions will yield valuable flight experience toward accomplishing this goal by 2015.

Still, the company has experienced repeated delays over the years. For instance, SpaceX planned to launch the current mission Saturday. The countdown was flawless until the last second, when the rocket engines briefly lit up and then went dark.

SpaceX said a flight computer detected an anomaly in one of the rocket's nine engines and automatically shut down the launch sequence. Later that day, company engineers traced the problem to a faulty valve, and technicians fixed it within hours.

That made Tuesday's launch all that more exciting for Musk, who said that when he saw the Falcon 9 finally lift off, "every bit of adrenaline in my body released at that point."

Founded in 2002, SpaceX makes the Dragon and Falcon 9 at a sprawling facility in Hawthorne that once was used to assemble fuselage sections for Boeing 747s. The hardware is put on a big rig and trucked to Cape Canaveral for launches.

The company, with about 1,800 employees, has a $1.6-billion contract to haul cargo in 12 flights to the space station for NASA. If the current mission is successful, SpaceX will begin fulfilling the contract later this year.

SpaceX has now had three successful launches of the Falcon 9.

With Tuesday's successful launch, the reusable Dragon became the first U.S.-made spacecraft to head to the space station since the space shuttle started flying more than 30 years ago.

"We're at the dawn of a new era in space exploration," Musk said. "There are no precedents for what we're doing here."

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BAE SYSTEMS LOCATES OPPORTUNITY TO REPLACE GPS

Great Baddow, United Kingdom; BAE Systems has unveiled its latest research on an advanced positioning system that exploits existing transmissions such as Wi-Fi, TV, radio and mobile phone signals, to calculate the user’s location to within a few metres.


Military platforms commonly use Global Positioning Systems (GPS) to find their position and navigate. GPS rely upon a specific and relatively weak satellite signal that is vulnerable to disruption. Known as Navigation via Signals of Opportunity (NAVSOP), BAE Systems’ new system is able to calculate its position by making use of the hundreds of different signals that are all around us.

By exploiting such a wide range of signals, NAVSOP is resistant to hostile interference such as jamming (a particular weakness of GPS) and spoofing, where a bogus signal tricks a device into misidentifying its location. The new system can learn from signals that are initially unidentified to build an ever more accurate and reliable fix on its location. Even the signals from GPS jammers can be exploited by the device to aid navigation under certain conditions.

The real beauty of NAVSOP is that the infrastructure required to make it work is already in place. There is no need to build costly networks of transmitters and the hardware behind the system is already commercially available. Another benefit is that it can be integrated into existing positioning devices to provide superior performance to GPS.

A major advantage of the system is its ability to function in places where GPS is unable to reach, such as dense urban areas and deep inside buildings. It is also able to work in the most remote parts of the world, such as the Arctic, by picking up signals that include Low-Earth-Orbit satellites and other civilian signals.

From aiding soldiers operating in remote or dense urban areas to providing improved security for Unmanned Aerial Vehicles (UAVs), which could face attempts to disrupt their guidance systems, NAVSOP has a wide range of potential military applications.

Among those pioneering this area of research is Dr Ramsey Faragher, a Principal Scientist from BAE Systems Advanced Technology Centre, who recently led a team that received a prestigious award from the Institute of Navigation 1 for a ground-breaking paper on how aspects of the technology work indoors.

Dr Faragher said: "The potential applications of this technology are already generating huge excitement in both civilian and military circles. This research is a great example of BAE Systems working closely with potential customers to not only improve the performance of existing technology, but also tackle their weaknesses head on and find innovative ways to reduce or eliminate them."

James Baker, Managing Director at BAE Systems Advanced Technology Centre, said: "At a time when the need to be innovative and resourceful is more important than ever, this capability represents truly outside-the-box thinking by providing a cost effective system with a wide variety of different applications. This technology is a real game changer when it comes to navigation, which builds upon the rich heritage that both BAE Systems and the UK have in radio engineering."

This research is generating interest in both defence and civilian domains where its uses could include helping fire and rescue services find their way through smoke filled buildings and enhancing the safety of lone workers and security staff.

1 Royal Academy of Engineering Report, Global Navigation Space Systems: reliance and vulnerability, www.raeng.org.uk/gnss

http://www.baesystems.com/article/BAES_053641/bae-systems-locates-opportunity-to-replace-gps?_afrLoop=143045913977000&_afrWindowMode=0&_afrWindowId=null#%40%3F_afrWindowId%3Dnull%26_afrLoop%3D143045913977000%26_afrWindowMode%3D0%26_adf.ctrl-state%3D1b7uciqvf3_4

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SPACEX'S MERLIN 1D ENGINE ACHIEVES FULL MISSION DURATION FIRING

Hawthorne, CA – Space Exploration Technologies (SpaceX) announces that its Merlin 1D engine has achieved a full mission duration firing and multiple restarts at target thrust and specific impulse (Isp).

The engine firing was for 185 seconds with 147,000 pounds of thrust, the full duration and power required for a Falcon 9 rocket launch. The tests took place at SpaceX's rocket development facility in McGregor, Texas.

"This is another important milestone in our efforts to push the boundaries of space technology," said SpaceX CEO and Chief Designer Elon Musk. "With the Merlin 1D powering the Falcon 9 and Falcon Heavy rockets, SpaceX will be capable of carrying a full range of payloads to orbit."

The Merlin 1D builds on the proven technology of the Merlin engines used on the first three flights of Falcon 9, including the recent historic mission to the International Space Station.

With nine Merlins on the first stage, the Falcon 9 rocket will produce nearly 1.5 million pounds of thrust in a vacuum. An enhanced design makes the Merlin 1D the most efficient booster engine ever built, with a vacuum thrust-to-weight ratio exceeding 150, while still maintaining the structural and thermal safety margins needed to carry astronauts.

Additionally, as SpaceX continues to fulfill an extensive manifest of launches, the new engine is designed for improved manufacturability by using higher efficiency processes, increased robotic construction and reduced parts count.

The Merlin 1D engines will first see flight on Falcon 9 Flight 6, expected to launch in 2013.

About SpaceX

SpaceX designs, manufactures and launches the world's most advanced rockets and spacecraft. With a diverse manifest of more than 40 launches to resupply the space station and deliver commercial and government satellites to orbit, SpaceX is the world's fastest growing launch services provider. In 2012, SpaceX made history when its Dragon spacecraft became the first commercial vehicle to successfully attach to the International Space Station--a feat previously achieved by only four governments. With the retirement of the space shuttle, the SpaceX Falcon 9 rocket and Dragon spacecraft are carrying cargo, and one day will carry astronauts, to and from the space station for NASA. Founded in 2002 by Elon Musk, SpaceX is a private company owned by management and employees, with minority investments from Founders Fund, Draper Fisher Jurvetson, and Valor Equity Partners. The company has more than 1,800 employees in California, Texas, Florida and Washington, DC. For more information, visit SpaceX.com.

Rocket Symphonie for you



Le Blog de SpaceX

http://www.spacex.com/updates.php

La Presse Affaire depuis AFP pour les 2 articles

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United Continental commande 150 avions à Boeing

Publié le 12 juillet 2012 à 12h04

La première compagnie aérienne américaine, United Continental, a annoncé jeudi une commande de 150 avions monocouloirs Boeing 737, le modèle le plus vendu du constructeur aéronautique américain, pour 14 milliards de dollars.

La valeur de la commande s'élève à «14 milliards de dollars» et les avions commenceront à être livrés en 2013, a précisé Jeff Smisek, directeur général d'United Continental, lors d'une conférence de presse commune avec Boeing.

Au prix catalogue, la commande représentait 14,7 milliards de dollars, United a donc bénéficié d'une ristourne de 700 millions de dollars.

Elle comprend 100 Boeing 737 MAX et 50 Boeing 737-900ER NG à rayon d'action étendu, précise Boeing dans un communiqué, ajoutant que le 737 a ainsi «franchi le cap des 10 000 commandes».

Le 737 est un avion régional et il représente la grosse majorité des commandes de Boeing en nombre d'avions. Les grosses commandes d'un même modèle permettent aux transporteurs aériens des économies importantes en termes non seulement de négociation du prix d'achat, mais aussi de dépenses de formation des pilotes et d'entretien.

Boeing présente son 737 NG comme «l'avion monocouloir le plus économe en carburant» avec «un coût par siège inférieur de 8% à celui de son principal concurrent», l'Airbus A320.

Les 737-900ER et 737 MAX 9 peuvent transporter jusqu'à 180 passagers.

«Les avions vont être utilisés pour remplacer des avions moins efficaces», a commenté M. Smisek.

À la question de savoir si son groupe souhaitait s'éloigner d'Airbus, le concurrent européen de Boeing, pour spécialiser sa flotte uniquement sur des avions Boeing, M. Smisek a fait remarquer qu'United Continental comptait actuellement «152 Airbus» dans sa flotte et avait placé une commande ferme pour «25 A320».

Sans détailler les raisons précises qui ont amené sa compagnie à opter pour commander uniquement des Boeing, M. Smisek a souligné que son groupe avait passé «presque toute l'année passée dans des discussions détaillées sur les cellules et les moteurs» avec les deux grands constructeurs et avec les fabricants de moteurs, et «nous avons négocié ce que nous pensons être les meilleurs avions avec les meilleurs moteurs au meilleur prix».

Enfin, interrogé sur la livraison attendue d'un 787, le nouvel avion gros porteur de Boeing plombé par les problèmes techniques pendant son développement et en retard de plus de trois ans sur le planning, M. Smisek a répondu: «Boeing nous a garanti, et je regarde Jim McNerney (le PDG de l'avionneur) alors que je vous parle, que nous l'aurions en septembre».

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Jazz commande six Q400 supplémentaires NOTE: Q400 de Bombardier

Publié le 12 juillet 2012 à 08h39

Farnborough) Jazz Aviation a converti en commandes fermes six options pour des appareils turbopropulsés Q400.

Le transporteur de Nouvelle-Écosse, qui exploite les liaisons régionales d'Air Canada, espère être en mesure de convertir en commandes fermes neuf autres options d'ici la fin de l'année.

«Ce sont les besoins d'Air Canada qui influencent nos décisions, a indiqué le président et chef de la direction de Jazz Aviation, Joseph Randell, dans une entrevue accordée à La Presse Affaires, jeudi, dans le cadre du salon aéronautique de Farnborough. Nous sommes cependant confiants de pouvoir aller de l'avant.»

La valeur de la commande de Jazz est estimée à 189 millions de dollars US au prix courant.

«Ça fait partie de notre plan de rajeunissement de notre flotte, a expliqué M. Randell en conférence de presse. Nous allons remplacer des biréacteurs régionaux, ce qui nous aidera à diminuer nos coûts et nos dépenses en carburant, tout en réduisant notre impact sur l'environnement.»

En avril 2010, Jazz avait placé une commande ferme pour 15 appareils Q400 et avait pris une option sur 15 appareils supplémentaires.

La semaine dernière, le transporteur a pris livraison du 15e appareil compris dans la portion ferme de l'entente. Il s'agissait, incidemment, du 400e appareil Q400 produit par Bombardier.

Jazz prendra livraison des six nouveaux appareils au cours du premier semestre de 2013. Il reste maintenant neuf options à exercer.

«Nous travaillons fort pour aller les chercher», a confié le président de Bombardier Avions commerciaux, Mike Arcamone, à La Presse Affaires.

Jazz est le plus important exploitant du turbopropulseur Q400 et des versions précédentes de cet appareil, soit la famille Dash 8, assemblée à l'usine de Havilland de Toronto. Jazz exploite 80 de ces appareils.

http://supersonique.blogs.challenges.fr/archive/2012/07/12/farnborough-le-bilan.html

Vincent Lamigeon, grand reporter à Challenges

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Farnborough : le bilan

Il aura fallu attendre le quatrième jour, mais le salon de Farnborough s’est finalement –enfin- un peu emballé. La commande géante de 150 monocouloirs 737 NG et 737 MAX par la compagnie américaine United restera comme le gros coup de ce salon : l’avionneur américain a à la fois réussi à placer ses MAX, version remotorisée du B737 prévue pour 2017, et ses 737-900 actuels, préférés à l’A321 d’Airbus. Une marque de confiance à Boeing par un de ses fidèles clients, une semaine après l’annonce de l’ouverture d’une ligne d’assemblage Airbus à Mobile (Alabama), sa première en terre américaine.


Boeing a-t-il repris la main pour autant ? Pas tout à fait. L’avionneur termine certes avec un bilan de 396 commandes et engagements d’achats, contre 115 pour Airbus. Mais il ne parvient pas à effacer la raclée du Bourget 2011 (730 avions pour Airbus, 142 pour Boeing), ni à rattraper les commandes d’A320 NEO (plus de 1400 commandes fermes contre 649 pour le 737 MAX). Sur le segment des longs courriers, Airbus s’est aussi rassuré avec la commande d’A350-1000 de Cathay Pacific et la première commande de son A330 à rayon d’action élargi par le loueur CIT. On notera l’absence totale de commandes de super jumbos, l’A380 et le 747-8 n’ayant fait l’objet d’aucune annonce.


Le reste ? Bombardier se contente d’un accord non ferme pour 10 appareils CSeries avec Baltic Air, après les 15 commandes d’un client non identifié communiquée dimanche, et de 6 commandes de Q400. Mais il a reçu la visite du patron d’AirAsia Tony Fernandes, qui a confirmé des discussions préliminaires pour l’achat de 100 CS300, la plus grande version du CSeries, qui serait densifiée à 160 sièges. Bluff pour faire réagir Airbus ? Possible. L’avionneur européen semble en tout cas considérer la proposition de Bombardier comme intenable techniquement.


Le japonais Mitsubishi a réussi son salon, avec un accord signé avec la compagnie américaine Skywest pour 100 MRJ, des appareils régionaux de 70 à 90 places. Cette commande crédibilise le constructeur face aux Embraer, Bombardier, et autres Sukhoi, les acteurs majeurs des jets régionaux. ATR, le champion des turbopropulseurs, a annoncé avoir signé 24 commandes.


Du côté des motoristes, si GE et Rolls-Royce ont été relativement discrets, Pratt & Whitney et CFM ont encore rempli leurs carnets de commandes, avec respectivement 814 et 786 commandes et engagements d’achats, selon le décompte du site Aspire Aviation. On s’oriente clairement vers un partage assez équilibré du marché des monocouloirs, ce qui va très bien aux deux motoristes : CFM maintient sa part de marché, et Pratt réussit son pari de s’imposer sur un créneau où il n’était pas directement présent.


Côté défense, enfin, ce fut le calme plat, mis à part les bonnes nouvelles de MBDA sur l’avancée du programme de missile Meteor. Pas d’annonce, pourtant attendue, sur le drone franco-britannique, peu de nouveautés sur les grandes campagnes export, et des industriels clairement préoccupés par les baisses des budgets de défense en cours ou à venir. Un ciel finalement aussi sombre que celui de Farnborough.

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Oshkosh 2012 : Deux ou trois précisions sur la Transition de Terrafugia
Article publié le 24 juillet 2012 par David Barrie

La société américaine a été avare de révélations pour son véhicule volant convertible en voiture.
Terrafugia a convié la presse aujourd'hui pour faire un point sur sa voiture volante, la Transition.

Peu d'informations vraiment nouvelles ont filtré ; le constructeur faisait un descriptif complet de son appareil hybride. Il a évoqué les avantages, pas les inconvénients bien sûr même si les convives n'ont pas manqué de le faire remarquer à son responsable, il a aussi parlé des avancées avec les compagnies d'assurance ou avec les autorités, mais ça s'est arrêté là.

On a appris que les ailes pouvaient se replier en quarante secondes et que cela accélèrerait le transfer entre l'avion et la voiture qu'on loue ; du réchauffé en bref.

A la toute fin, Terrafugia a déclaré que le second prototype de l'avion-voiture (il faudra trouver un terme approprié dans le futur) avait déjà volé et comptait une quarantaine d'heures de vol.

Les pilotes d'essais sont à l'heure actuelle (en ce moment même en fait puisque le véhicule n'est pas présent à Oshkosh à cause de tests se déroulant) en train de tester les performances de roulage sur route de la Transition. Ils l'ont poussée à quatre-vingts kilomètres par heure et prévoient de la mener jusqu'à cent vingt kilomètres par heure.

La société espère livrer ses premiers exemplaires dans le courant de l'année prochaine, sans dire si ce sera

http://www.aeroweb-fr.net/actualites/2012/07/oshkosh-2012-deux-ou-trois-precisions-sur-la-transition-de-terrafugia

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A man takes a photo as Space Shuttle Endeavour travels to the California Science Center in Inglewood, Los Angeles October 13, 2012. REUTERS/Rick Loomis

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Airbus A320neo : Gulf Air nouveau client
Le 13/11/2012
Par Yann Cochennec
Le carnet de commande de la famille Airbus A320neo, version re-motorisée des moyen-courriers européens, s’enrichira bientôt d’un nouveau client et de 16 appareils supplémentaires.
Une commande à venir de Gulf Air qui vient de renégocier avec Airbus la transformation d’un contrat portant sur 20 long-courriers A330-300 en 16 A320neo et huit A320ceo ou classiques. Ces huit derniers seront livrés d’ici à la fin de cette année.
Cette renégociation de contrat affecte également les commandes de Boeing 787. Gulf Air avait en effet commandé ferme 16 Boeing 787 en deux lots de huit (janvier 2008 et avril 2009) assortis de huit options.
L’accord obtenu avec le constructeur américain permet à la compagnie de réduire ses besoins initiaux dans une fourchette de 12 à 16 appareils.
Ces réductions de commandes sont la suite logique de la décision de l’Etat de Bahreïn de réinjecter 491 millions de dollars dans Gulf Air à condition pour le transporteur de diviser par deux sa flotte, son réseau et son personnel.
Gulf Air s’était ainsi vue contrainte de réduire spectaculairement non seulement ses coûts mais également ses engagements financiers à long terme. La réduction des commandes auprès d’Airbus et de Boeing permet à la compagnie de diminuer de plus de la moitié de ces engagements qui s’élevaient à cinq milliards de dollars.

http://www.air-cosmos.com/aviation-civile/airbus-a320neo-gulf-air-nouveau-client.html

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Airbus A320neo contre Boeing 737 MAX au Mexique
Le 14/11/2012
Par Yann Cochennec
L’Airbus A320neo vient d’accrocher un nouveau client au Mexique. La compagnie à bas coûts Interjet qui vient de passer commande pour 40 exemplaires fermes. Montant du contrat : près de 3,9 milliards de dollars, prix catalogue.
Interjet avait été précédée en janvier dernier par une autre compagnie mexicaine à bas coûts, Volaris, qui a signé pour 30 A320neo tout en prenant 14 A320 classique supplémentaires. Un contrat qui avait été comptabilisé dans l’année 2011 par Airbus.
Volaris et Interjet se sont lancées à l’assaut du marché mexicain en jouant le carte Airbus. Avant de signer ces contrats, les deux compagnies avaient d’ores et déjà commandés pas moins de 50 moyen-courriers européens. L’A320neo était donc un choix logique.
Même démarche chez Aeromexico mais en faveur du Boeing 737 MAX pour lequel la compagnie "traditionnelle" s’est engagée pour 60 exemplaires, il y a quelques jours.
Déjà cliente des 737-700/800, Aeromexico a pris du 737 MAX 8 et 9. A sa commande ferme, le transporteur a ajouté des droits d’achats pour 30 Boeing 737 MAX supplémentaires.
Des commandes successives qui illustrent la vigueur continue non seulement du marché intérieur mexicain mais aussi des liaisons entre Mexique et Etats-Unis sur lesquelles ces trois compagnies se développent.

http://www.air-cosmos.com/aviation-civile/airbus-a320neo-contre-boeing-737-max-au-mexique.html