L'industrie automobile au Maroc

Rappel du premier message :

Puisque c'est un secteur appelé à être une locomotive de secteur industriel marocain ... il est préférable d'avoir un topic spécial pour ...

à noter que 30% de cette production a été exporté vers les marchés européens et arabes

Citation :

Somaca: Production record en 2010 Près de 50.000 voitures sorties de l’usine de Casablanca


Plus de 21.500 Dacia montées localement Il y a 25 ans, la production de Somaca ne dépassait pas les 7.000 véhicules par an. Ce qui était à l’époque perçu comme un exploit. Aujourd’hui, le site de Casablanca produit 7 fois plus.
Somaca dope sa production… Après la traversée du désert, la Société marocaine de constructions automobiles se frotte les mains. Le site d’assemblage a pu boucler l’année 2010 avec près de 50.000 véhicules montés. Un résultat record boosté en grande partie par la marque Dacia.
En effet, la production du site a été boostée par l’arrivée de la Sandero Stepway au 4e trimestre 2010.
L’an dernier, Somaca a monté plus de 15.000 Logan et 6.500 Sandero. En revanche, le 4x4 Duster reste la chasse gardée de l’usine roumaine de Pitesti. L’utilitaire n’est pas en reste. Le site de Casablanca a pu assembler pas moins de 17.000 Kangoo. Le reste de la production a été réalisé pour le compte de Sopriam (Berlingo et Partner). Le français PSA, rappelons-le, a arrêté l’assemblage local de ses marques Peugeot Partner et de la Citroën Berlingo en décembre 2010. Le contrat liant le constructeur à Somaca étant arrivé à terme fin 2010.
Outre la dynamisation de l’assemblage, Somaca a poursuivi son programme d’investissements en 2010. Des actions qui visent à rendre l’outil industriel plus souple et robuste, avec l’introduction de nouveaux process et méthodes de travail.
Le programme d’investissements a également porté sur la mise à niveau des ressources humaines. Un véritable levier de développement et de compétitivité de l’usine de Casablanca.
De sources proches du management de Somaca, «l’entreprise devrait produire davantage à l’avenir». D’ailleurs, la demande est aussi importante tant au niveau local qu’à l’export, poursuit-on. Le tour de table de Somaca est, rappelons-le, détenu majoritairement par Renault SSA (71%), Automobiles Peugeot (20%), Renault Maroc (8%) et divers (1%).
Valeur aujourd’hui, le Maroc est en phase de devenir un centre régional de l’automobile. C’est le premier pays à avoir consolidé une expérience concluante en construction automobile dans la région (Maghreb). Depuis 2008, le site Maroc exporte des Logan vers des pays très exigeants de l’UE (France, Espagne, Allemagne…) ainsi qu’en Afrique du Nord (Tunisie et Egypte via l’accord Quadra). Mais ce n’est qu’un début. Le site de Somaca est appelé à faire jouer des synergies avec le site de Renault Tanger (RTM). A terme, la plateforme de Melloussa devrait produire quelque 400.000 véhicules et exporter dans près de 50 pays!
Autre actualité, Renault inaugure, mardi 22 mars, son institut de formation aux métiers de l’industrie automobile Tanger Méditerranée (IFMIA/TM). Le centre assurera aux salariés de Renault des formations dans les filières de la peinture, du montage, de la logistique et du contrôle. Il dispensera également une formation dans les filières de l’ingénierie, les achats, la qualité, la gestion et les ressources humaines.

l'eco

je confirme pour la branche d’intelligence économique au sein de la DGED, depuis plusieurs années déjà. j'en dis pas plus:) .

Cette branche doit etre independant de toute agency pour etre fiable et specialisee avec son propre directeur avec des employes multilinguistes,ainsi que des avocats,des juristes,des ingenieurs,des diplomes en commerce,economie,science politiques et bien  sure des software engineers,ainsi que d'avoir des antennes en catimini ou des superviseurs employes et specialiste qui travaillent pour cette agency dans des entreprise marocaine sans que ctte derniere le sache. a very complexe web to play with the big boys and head to become a real develop country.It is the real game folks.

hamouda a écrit:

je confirme pour la branche d’intelligence économique au sein de la DGED, depuis plusieurs années déjà. j'en dis pas plus:) .

oui normal copier / coller France  

Citation :

http://www.usinenouvelle.com/article/la-presence-de-l-indien-tata-motors-au-maroc-en-question.N217280

A priori le maroc regroupe toutes conditions favorables ( techniquement, fiscalement, geostrategique), je me demande quels sont les réel s déterminants

Le niveau de production diminue. Beaucoup sont en surproduction. Donc pas évident de répondre même quand les conditions sont favorables. Fabriquer et écouler doivent aller de paire.

A ceci près que c'est conjoncturel cette baisse d'activité productive, or l'implantation surtout d'une firme comme tata obéit a une logique financière et de strategie a long terme... il me semble sa que ne colle pas d'où mon interrogation sur les déterminants secrets qui font pencher la balance

Cordialement

Je ne comprends pas ce que tu veux dire déterminants secrets, ce qui a penché la balance c'est le coût de revient au Maroc inférieur à celui en Espagne, est que la filiale Marocaine a montré des signes de succès notamment les marchés conclus au niveau national et le succès des exportations de la firme notamment en Afrique du nord et Sub-saharienne.

Donc ils ont le choix entre une firme en pleine croissance et une autre en pleine maturité.

Citation :

Sous-traitance Leoni à Berrechid
lereporter
Publié le 19 novembre 2013
Affichages : 24

Leoni, spécialiste allemand du câblage automobile, inaugurera d'ici la fin de cette année une cinquième usine au Maroc, précisément à Berrechid, pour fournir spécialement General Motors.

La conclusion de ce contrat d'équipement avec le constructeur automobile américain se matérialiserait ainsi au Maroc par un investissement de 23 millions d'euros et le recrutement de 3.000 salariés.

http://www.lereporter.ma/economie/breves-economie/1628-sous-traitance-leoni-%C3%A0-berrechid

Citation :

Industrie automobile

Le difficile pari de l’intégration

Le processus pourrait prendre 5 à 10 ans

Feuille de route commune entre constructeurs et équipementiers

Sans vouloir donner de leçons, le président de l’Amica propose à l’Administration et au secteur semi-public de consommer «voiture made in Maroc». Ce qui devra booster les ventes et favoriser la création d’un marché local

30 milliards de DH de chiffre d’affaires à l’export attendus cette année, 85.000 emplois, 165 entreprises… Les indicateurs du secteur de l’industrie automobile s’améliorent. Mais le pari n’est pas encore gagné. Le principal baromètre de la compétitivité des équipementiers se juge à l’aune de l’intégration. En clair, arriver à placer le maximum de produits locaux auprès du constructeur. Le deal entre l’Etat marocain et Renault Tanger est de parvenir à une moyenne de 60 à 70%. Deux ans après le démarrage de l’usine de Tanger, on est encore loin de cet objectif. En tout cas, il y a beaucoup de zones d’ombre autour de cette question. Si le management de Renault avance des taux qui oscillent entre 40 et 50%, l’un des actionnaires de référence parle plutôt de moins 20%! Sachant que l’on est dans un schéma hors boîte de vitesses et bloc moteur. Mais au niveau du secteur, les opérateurs préfèrent temporiser et éviter les débats stériles. D’ailleurs, ils ont commencé par se mettre à table avec le constructeur de manière à arrêter une feuille de route commune sur ce qui reste à intégrer. L’idée aussi est de se préparer aux futurs marchés et des projets en développement. Car l’intégration suppose une taille critique, une valeur ajoutée, une certaine diversification tout autant que des normes de qualité à respecter. «Ce sont des choses sur lesquelles nous devrions travailler pour rattraper le retard. Mais en même temps, l’Etat devra cibler les groupes compétitifs et les soutenir. C’est ce que d’autres pays ont déjà fait, car tous seuls les opérateurs ne pourront pas faire le poids», fait valoir Hakim Abdelmoumen, président de l’Association marocaine pour l’industrie et le commerce automobile (Amica).
Pour l’heure, les opérateurs s’activent et comptent bientôt signer une convention avec l’ANPME. Tout un programme d’aide à l’entreprise, pour qu’elle puisse investir dans l’ingénierie, le consulting et décrocher des licences.

. est prévu. Le secteur semble adhérer à la démarche retenue par d’autres pays, en l’occurrence la Roumanie qui avait opté pour une intégration progressive (80%) sur une période allant de 5 à 10 ans. Pour y arriver, il va falloir monter des joint-ventures et des partenariats avec des groupes internationaux pour atteindre la taille critique tout en s’assurant un transfert de savoir-faire.
Il faut dire aussi que la conjoncture internationale avec la baisse de la demande en Europe n’est pas favorable. Ce qui fait dire au président de l’Amica « qu’il faut continuer à accompagner le constructeur sans pression ». Renault Tanger est, rappelons-le, en concurrence directe avec d’autres sites de production. «Il faudrait qu’à l’arrivée en Europe, le véhicule made in Maroc soit plus compétitif que celui produit en Roumanie », soutient Hakim Abdelmoumen. L’enjeu consiste à réussir cette première étape de Renault Tanger qui pourrait servir de «carte de visite» et permettre au site de production Maroc d’attirer d’autres constructeurs et de nouveaux investissements. D’ailleurs, plusieurs constructeurs de renom lorgnent le Maroc. L’on parle notamment de majors allemand, français, indien, coréen, voire américain. Certes, cela reste des intentions pour le moment. En attendant d’accueillir un deuxième constructeur de référence (Nissan a fortiori), le secteur s’attaque aux multiples freins. C’est le cas en particulier de la logistique. «Le secteur le plus touché par les surcoûts logistiques (20%) est l’automobile», tient à rappeler le président des équipementiers. La commission Logistique de l’Amica planche sur cette question. Pour commencer, elle a analysé et comparé la structure des coûts avec d’autres pays producteurs. A priori, les opérateurs pourraient s’aligner sur le modèle déjà mis en place par le constructeur de Tanger et qui lui permet de réaliser des économies d’échelle. Pour un traitement transversal, les opérateurs se sont organisés en commissions: en plus de la logistique, figure le développement de la sous-traitance, non seulement des pièces automobiles mais aussi des services et de l’emballage. Il ya aussi la commission Formation & RH et celle du financement et de la promotion des exportations.

Citation :

Tata au Maroc!

Le secteur des équipementiers se fait l’écho de l’arrivée de Tata Carocera à Casablanca. De sources concordantes, Hispano Maroc, qui est la filiale de Tata Carocera, s’apprête à accueillir les activités de montage de carrosseries pour bus, autocars et vans… Des activités qui étaient jusque-là assurées par le site espagnol (basé à Saragosse) Tata Hispano Motors Carocera. Les démarches sont bien engagées. L’objectif étant de mettre en place de petites unités intermédiaires de montage. A priori, le constructeur compte assurer le montage de petits utilitaires de transport de marchandises au Maroc. Il s’agit de petits véhicules très demandés et que l’on importe principalement d’Asie. A terme, l’unité de Casablanca pourrait produire des pickups pour le marché africain, voire aussi des petites citadines, des produits d’appel.

Economiste

juste une petite remarque,
l'agroalimentaire et le secteur minier représente plus des 2/3 de l'industrie au maroc.

Normal secteur minier = Phosphate

yz a écrit:

juste une petite remarque,
l'agroalimentaire et le secteur minier représente plus des 2/3 de l'industrie au maroc.

Personne n'a dit que l'agriculture un secteur pas important c'est même le plus important !!!

N'empêche qu'on doit up notre industrie aussi (ras le bol du focus touristique )

Quand au mines faudrait que les grandes familles et le palais lâchent prise !!

yassine1985 a écrit:

yz a écrit:

juste une petite remarque,
l'agroalimentaire et le secteur minier représente plus des 2/3 de l'industrie au maroc.

Personne n'a dit que l'agriculture un secteur pas important c'est même le plus important !!!

N'empêche qu'on doit up notre industrie aussi (ras le bol du focus touristique )

Quand au mines faudrait que les grandes familles et le palais lâchent prise !!

arrêtons de dire n'importe quoi la ou agriculture représente 13% du pib les services font 60% les économie développer sont des économies de service .. l'importance de l'agriculture s’arrête au nombre de gens que elle embauche et au devise c'est pas le plus important moteur économique du pays .

leadlord a écrit:

yassine1985 a écrit:

yz a écrit:

juste une petite remarque,
l'agroalimentaire et le secteur minier représente plus des 2/3 de l'industrie au maroc.

Personne n'a dit que l'agriculture un secteur pas important c'est même le plus important !!!

N'empêche qu'on doit up notre industrie aussi (ras le bol du focus touristique )

Quand au mines faudrait que les grandes familles et le palais lâchent prise !!

arrêtons de dire n'importe quoi la ou agriculture représente 13% du pib les services font 60% les économie développer sont des économies de service .. l'importance de l'agriculture s’arrête au nombre de gens que elle embauche et au devise c'est pas le plus important moteur économique du pays  .

Tu notera que je n'ai pas parlé de moteur économique, et toi même tu relève un des points important de l'agriculture, je ne vais pas parlé du potentiel encore gâché de ce secteur mais bon tu conclura que ce n'est pas du n'importe quoi surtout quand tu compare un secteur avec une branche !

agri sur economie pas ici

Citation :

Renault : dans les coulisses d'une usine de fabrication au Maroc

Renault vient de doubler la capacité de son usine de Tanger, au Maroc, devenant ainsi la plus grande usine d'Afrique. Un développement qui devrait s'accompagner du lancement prochain de la seconde ligne de fabrication, qui poussera la production à 340.000 unités par an en 2014. Parmi les véhicules fabriqués, les voitures low cost, qui se vendent de plus en plus.

http://videos.tf1.fr/jt-20h/2013/renault-dans-les-coulisses-d-une-usine-de-fabrication-au-maroc-8324259.html

la question du salaire a été negociée directement par l'Etat marocain avec Renault je me demande  si les gens qui negocient  ne se posent pas la question qui est : es ce qu'un marocain peut  nourrir une femme et enfant acheter le mouton de l'aid la rentrés scolaire  les achats  exceptionnelles du ramadan et aid kbir sans oublier les habits de l'aid pour ses enfants
sans oublier de s'entretenir biensur

c´est pas pour des mariés ces jobs,des initiés,qui doivent apres chercher plus remunerateur avec les skills appris..

Tant que Renault respecte le droit de travail en vigueur au Maroc, ils sont réglos. Une multitude d'entreprises nationales ne payent même pas le smig, déjà être déclaré à la CNSS au Maroc c'est plus une exception que la règle. Le secteur de l'agriculture n'a pas de droit de travail, les industries de l'agroalimentaire et textile c'est l'anarchie.

Citation :

Auto Hall se lance dans l'assemblage de voitures chinoises
h24info.ma / Publié le 09/12/2013 | 18h00 | Z.C.

Auto Hall est en forme et lance d'ambitieux plans de développement: filiales en Mauritanie, un plan d'un milliard pour étoffer son réseau de distribution et last but not least un contrat pour assembler les véhicules du groupe chinois Dongfeng Motors.

Auto Hall affiche ses ambitions. Le groupe spécialisé dans la commercialisation de matériel roulant a tenu son conseil d’administration vendredi 6 décembre, l’occasion de communiquer sur la (bonne) santé financière du groupe et ses projets de développement.

Première annonce : Auto Hall devient assembleur et signe avec le chinois ZNA (Groupe Dongfeng Motors) un contrat pour l’assemblage et la distribution de véhicules utilitaires légers au Maroc, mais aussi dans d’autres pays africains.

Toujours dans le cadre de son ouverture à l’international, Auto Hall annonce l’ouverture d’une filiale en Mauritanie pour y distribuer directement ses produits.

Le Rich ZNA TDi-CR fabriqué par le chinois Dongfeng Motors © Dongfeng

Au niveau local, le groupe élargit son réseau et annonce un plan de développement d’un milliard de dirhams pour lancer 100 sites d’ici l’année 2020. Le budget de l’entreprise et de ses filiales a été fixé.

Auto hall a aussi rendu public ses résultats financiers provisoires à fin octobre 2013. Le groupe a consolidé des parts, surtout dans le marché du véhicule industriel où elles atteignent 39%. Sur le marché des véhicules légers, Auto Hall dispose de 27% des parts et 10,4% sur le marché des voitures particulières.
Le chiffre d’affaires consolidé de l’entreprise est en hausse de 8%, comparé à la même période de l’année dernière et atteint 2,916 milliards de dirhams. En comptant les filiales, le CA consolidé s’établit à 4,2 milliards.

h24 Info

leadlord a écrit:

arrêtons de dire n'importe quoi la ou agriculture représente 13% du pib les services font 60% les économie développer sont des économies de service .. l'importance de l'agriculture s’arrête au nombre de gens que elle embauche et au devise c'est pas le plus important moteur économique du pays  .

Justement ce pourcentage doit passer au minimum à 30% parce que l’agriculture fait vivre 45% d la population, pour combattre la pauvreté le Maroc doit passer du stade d'un pays rural a un pays vraiment agricole

.

Citation :

Autohall-Dongfeng: les détails du partenariat

Par Hamza Mekouar
Lundi 16 décembre 2013 à 13h48


Auto Hall est l'une des premières entreprises du secteur de la distribution des matériels roulants au Maroc.

Le 6 décembre, Auto hall annonçait la signature d'un contrat avec le groupe chinois ZNA pour l’assemblage et la distribution des véhicules Dongfeng, ainsi que l'ouverture d’une filiale en Mauritanie. La direction du groupe nous livre les détails.

« La Chine représente l’avenir du secteur de l’automobile, et il s’agit aujourd’hui du premier producteur mondial avec près de 20 millions de véhicules produits par an. Donc c’est de là qu’est venue notre réflexion pour signer ce contrat avec le groupe chinois ZNA », déclare à Médias 24 Abderrahim Bachiri, directeur financier et administratif d’Auto Hall.

En effet, le marché automobile chinois fait rêver les constructeurs occidentaux. En 2009, la Chine est même devenue le premier marché automobile mondial, dépassant les États-Unis.

Forcément, le choix de signer un contrat avec Dongfen est loin d’être anodin. Le groupe Dongfeng, numéro deux chinois de l'automobile, est impliqué dans de nombreuses co-entreprises, notamment avec Peugeot, Honda et Nissan.

« Vous l’avez sans doute lu dans la presse française, Renault a signé aujourd’hui (lundi 16 novembre, ndlr) avec Dongfeng pour assembler ses véhicules en Chine », ajoute Abderrahim Bachiri, qui précise que Auto Hall va assembler dans un premier temps des Pickups Dongfeng, « car nous estimons qu’il s’agit d’un produit adapté aux marchés marocain et africain en général. »

Pour ce faire, Auto Hall utilisera son usine déjà existante qui assemble des camions Mitsubishi de petit et moyen tonnages.

« Auto Hall possède déjà une usine d’assemblage à Aïn Sebaa pour les camions Mitsubishi de petit et moyen tonnages. Ces véhicules détiennent 70% de part de marché. Donc nous avons le métier, le savoir faire et l’histoire, et s’il y a nécessité, nous allons agrandir cette usine voire créer une seconde», poursuit-il.

Sachant que Auto Hall distribue déjà trois marques internationales, à savoir Ford, Mitsubishi Motors et Fuso, ce nouveau contrat aura-t-il des conséquences sur les partenariats déjà existants ? « Il s’agit d’un partenariat ouvert et complémentaire avec les autres partenariats que nous avons », répond M. Bachiri.

A terme, l’objectif est de développer une activité industrielle, « afin de produire une valeur ajoutée pour le Maroc ». A noter aussi que cette stratégie de partenariat a été arrêtée par le Conseil depuis 3 ou 4 ans.

Auto Hall poursuit son expansion en Afrique

Parallèlement, Auto Hall poursuit son expansion en Afrique à travers la création d’une nouvelle filiale en Mauritanie pour y distribuer directement ses produits, et ce après plusieurs opérations concluantes en Mauritanie réalisées à partir de la succursale de Dakhla.

Il s’agira donc de la première succursale du groupe à l’étranger, ce qui permettra d’éclairer la vision d’Auto Hall concernant sa future expansion en Afrique. « Sur la base de cette expérience en Mauritanie, nous mettrons en place une stratégie détaillée pour l’Afrique», conclut M. Bachiri.

Auto Hall est l'une des premières entreprises du secteur de la distribution des matériels roulants au Maroc. Le groupe compte plus de trente succursales à travers le Maroc. Son chiffre d’affaires en 2013 s’élève à 2,9 milliards de DH, en hausse de 8% par rapport à fin octobre 2012. Le 6 décembre, le Conseil a adopté un nouveau programme d'un montant de 1 MMDH visant à disposer d'un réseau de 100 sites opérationnels à l'horizon 2020. Bonne route.

Médias 24

Je pense qu'il s'agit des Dongfeng RuiQi

mirage a écrit:

Citation :

Autohall-Dongfeng: les détails du partenariat

Par Hamza Mekouar
Lundi 16 décembre 2013 à 13h48


Auto Hall est l'une des premières entreprises du secteur de la distribution des matériels roulants au Maroc.  

Le 6 décembre, Auto hall annonçait la signature d'un contrat avec le groupe chinois ZNA pour l’assemblage et la distribution des véhicules Dongfeng, ainsi que l'ouverture d’une filiale en Mauritanie. La direction du groupe nous livre les détails.

« La Chine représente l’avenir du secteur de l’automobile, et il s’agit aujourd’hui du premier producteur mondial avec près de 20 millions de véhicules produits par an. Donc c’est de là qu’est venue notre réflexion pour signer ce contrat avec le groupe chinois ZNA », déclare à Médias 24 Abderrahim Bachiri, directeur financier et administratif d’Auto Hall.

En effet, le marché automobile chinois fait rêver les constructeurs occidentaux. En 2009, la Chine est même devenue le premier marché automobile mondial, dépassant les États-Unis.

Forcément, le choix de signer un contrat avec Dongfen est loin d’être anodin. Le groupe Dongfeng, numéro deux chinois de l'automobile, est impliqué dans de nombreuses co-entreprises, notamment avec Peugeot, Honda et Nissan.

« Vous l’avez sans doute lu dans la presse française, Renault a signé aujourd’hui (lundi 16 novembre, ndlr) avec Dongfeng pour assembler ses véhicules en Chine », ajoute Abderrahim Bachiri, qui précise que Auto Hall va assembler dans un premier temps des Pickups Dongfeng, « car nous estimons qu’il s’agit d’un produit adapté aux marchés marocain et africain en général. »

Pour ce faire, Auto Hall utilisera son usine déjà existante qui assemble des camions Mitsubishi de petit et moyen tonnages.

« Auto Hall possède déjà une usine d’assemblage à Aïn Sebaa pour les camions Mitsubishi de petit et moyen tonnages. Ces véhicules détiennent 70% de part de marché. Donc nous avons le métier, le savoir faire et l’histoire, et s’il y a nécessité, nous allons agrandir cette usine voire créer une seconde», poursuit-il.

Sachant que Auto Hall distribue déjà trois marques internationales, à savoir Ford, Mitsubishi Motors et Fuso, ce nouveau contrat aura-t-il des conséquences sur les partenariats déjà existants ?  « Il s’agit d’un partenariat ouvert et complémentaire avec les autres partenariats que nous avons », répond M. Bachiri.

A terme, l’objectif est de développer une activité industrielle, « afin de produire une valeur ajoutée pour le Maroc ». A noter aussi que cette stratégie de partenariat a été arrêtée par le Conseil depuis 3 ou 4 ans.

Auto Hall poursuit son expansion en Afrique

Parallèlement, Auto Hall poursuit son expansion en Afrique à travers la création d’une nouvelle filiale en Mauritanie pour y distribuer directement ses produits, et ce après plusieurs opérations concluantes en Mauritanie réalisées à partir de la succursale de Dakhla.

Il s’agira donc de la première succursale du groupe à l’étranger, ce qui permettra d’éclairer la vision d’Auto Hall concernant sa future expansion en Afrique. « Sur la base de cette expérience en Mauritanie, nous mettrons en place une stratégie détaillée pour l’Afrique», conclut M. Bachiri.  

Auto Hall est l'une des premières entreprises du secteur de la distribution des matériels roulants au Maroc. Le groupe compte plus de trente succursales à travers le Maroc. Son chiffre d’affaires en 2013 s’élève à 2,9 milliards de DH, en hausse de 8% par rapport à fin octobre 2012. Le 6 décembre, le Conseil a adopté un nouveau programme d'un montant de 1 MMDH visant à disposer d'un réseau de 100 sites opérationnels à l'horizon 2020. Bonne route.

Médias 24

Je pense qu'il s'agit des Dongfeng RuiQi

Peut être un signe du retour de PSA à casa   
personnellement, je n'y crois pas mais ça reste une opportunité à saisire.

Non ZNA est la JV entre Dongfeng et Nissan
Ca devrait plutôt inciter Nissan a accélérer son implantation a Tanger.

Ca devrais se faire des entreprises marocains fabrique déjà des utilitaire chinois ( SinoTruck, Baw et maintenant Dongfeng)

J'attend TATA pour son extension de son usine de Casa

En attendant de Gros projet comme Renault

mirage a écrit:

Non ZNA est la JV entre Dongfeng et Nissan
Ca devrait plutôt inciter Nissan a accélérer son implantation a Tanger. Nissan, ce n'est pas pour maintenant, on n'est pas assez mature à leurs yeux pour les absorber.

Ca devrais se faire des entreprises marocains fabrique assemblage déjà des utilitaire chinois ( SinoTruck, Baw et maintenant Dongfeng)

J'attend TATA pour son extension de son usine de Casa il n'ya pas de TATA à casa

En attendant de Gros projet comme Renault

J'ai dis ça parce que PSA était présente à la SOMACA à casa dans le passé. Avec l'entrée de Dongfeng dans le capital de PSA et la présence de Dongfeng au Maroc on peut éspérer des choses ..