Révolte en Syrie.

Rappel du premier message :

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Syrie : des détenus libérés, appel à la «révolte populaire»

Le régime syrien, confronté à un mouvement de colère, tente toujours de calmer l'opposition. Après un train de réformes annoncé dans la semaine, ce sont des dizaines de détenus politiques, dont des islamistes, qui ont été libérés.

La situation se tend davantage chaque jour en Syrie. Au lendemain d'une grande journée de manifestations réclamant plus de liberté et réprimées dans le sang, des mosquées de Deraa, ville du sud d'où est partie la contestation, ont annoncé le nom des «martyrs» dont les funérailles seraient organisées plus tard dans la journée. Sur une place du centre-ville, les employés municipaux ont balayé les restes d'une statue d'Hafez al-Assad, père de l'actuel président, déboulonnée la veille par des manifestants. Un nouvel appel à manifester a en outre été lancé samedi sur Facebook. Un texte publié sur le réseau social mais non signé appelle à «une révolte populaire» dans tout le pays et notamment dans le sud. La volonté de changement semble se maintenir malgré la violente repression engagée par les autorités.

Vendredi, les manifestations ont donc continué à Deraa, où des dizaines de personnes ont péri depuis le 18 mars, et ont gagné d'autres villes, dont Sanamein, Daael, Damas la capitale, Douma, Banias et Hama. Des militants syriens rapportent qu'environ 200 manifestants ont été arrêtés dans la nuit de vendredi à samedi alors qu'ils participaient à un sit-in près de Damas.

260 détenus libérés

Le pouvoir politique, en place depuis 1963, tente de répondre à ce mouvement. Des réformes ont été annoncées (augmentation des salaires des fonctionnaires, levée envisagée de l'état d'urgence, davantage de liberté de la presse, etc.) Dernier geste en date : la libération d'environ 260 détenus politiques, en grande majorité des islamistes, a affirmé samedi à l'AFP Abdel Karim Rihaoui, président de la Ligue syrienne de défense des droits de l'Homme, basée à Damas. Ce geste «s'inscrit dans le cadre des promesses qu'elles avaient annoncées récemment pour améliorer les libertés publiques en Syrie», a-t-il dit.

Cependant, le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) basé à Londres, a regretté que plusieurs personnes arrêtées lors des récentes manifestations contre le régime soient toujours détenues dans les locaux des services de sécurité, comme le jeune étudiant et blogeur Ahmad Khadifi, arrêté le 23 mars, et le manifestant Mohammad Houriyé, interpellé le 15 mars.

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Syrie : la fronde s'étend, Damas serre la vis

Les manifestations pour «la liberté» ont essaimé, vendredi, à travers le pays et fait de nouvelles victimes.

À Sanamein, à 40 km au sud de Damas, une marche de solidarité se dirigeant vers Deraa, l'épicentre de la contestation contre le régime, a tourné au drame, vendredi après-midi, lorsque les forces de l'ordre ont tiré sur les frondeurs. Dix-sept d'entre eux auraient été tués, selon un bilan fourni par un militant des droits de l'homme, mais non confirmé de source indépendante.

Malgré un dispositif policier serré et des annonces d'ouverture politique, la «Journée de la dignité» a encore été marquée par de très nombreuses manifestations à travers la Syrie. À Damas, au moins trois cents personnes ont marché, après la prière, vers le souk Hamidiey, en criant «Dieu, la liberté, la Syrie, et c'est tout» , le slogan de ralliement de cette contestation sans précédent contre le pouvoir de Bachar el-Assad. «Des agents de la sécurité étaient postés à chaque coin de rue, raconte un manifestant joint par téléphone. Même dans le quartier chrétien de la Vieille Ville, on savait très bien que les vendeurs à la sauvette étaient des agents des renseignements qui repéraient les manifestants», ajoute notre interlocuteur. Au moins trois d'entre eux auraient été arrêtés par la police.

À Deraa, les forces de sécurité ont également tiré sur des protestataires rassemblés dans le centre-ville, où plus de cent manifestants ont été tués mercredi, selon les associations de défense des droits de l'homme. vendredi, des portraits d'Hafez el-Assad, le père de l'actuel président syrien, ont été brûlés et des slogans hostiles scandés contre Maher, le frère de Bachar, chef de la garde présidentielle.

À Daael, à 30 km au nord de Deraa, trois cents personnes se sont réunies pour crier «Daael et Deraa ne se laisseront pas humilier». Des manifestations ont également eu lieu à Banyas, mais aussi à Hamaa, où le régime bassiste avait écrasé dans le sang une révolte islamiste en 1982, faisant quelque 20 000 morts. Des vidéos sur YouTube ont aussi montré des rassemblements à Homs, au nord-est de Damas, ainsi qu'à Lattaquieh, en pays alaouite, bastion de la minorité au pouvoir.

Un scénario à l'irakienne

Jeudi, pourtant, le régime avait annoncé qu'il envisageait une levée de l'état d'urgence, en vigueur depuis 1963, et entendait octroyer davantage de libertés politiques. Mais les manifestants ne se contentent plus de promesses. «Nous voulons une levée immédiate de l'état d'urgence, assure notre interlocuteur damascène. Pourquoi devrait-on attendre qu'un comité en discute ? Nous connaissons la politique syrienne : un comité, cela veut dire qu'il faudra encore attendre des années.» Et le militant d'ajouter : «Nous sommes fatigués de voir la corruption au sommet de l'État. On aime bien encore le président Bachar. Mais les gens ne supportent plus ceux qui l'entourent et qui s'en mettent plein les poches.»

Déstabilisé comme jamais, le régime syrien n'entend pas céder rapidement. «Il ne veut pas donner l'impression qu'il lâche en position de faiblesse, car il a peur que cela entraîne d'autres demandes», analyse un expert. Le pouvoir mise également sur les divergences entre manifestants. «Les jeunes de Facebook et ceux de Deraa sont les plus radicaux. Ils veulent un changement de régime, ils ne veulent plus accorder une autre chance à Bachar el-Assad», nous affirme, depuis Damas, Hindt Kabawat, une militante des droits de l'homme. «Mais moi, comme beaucoup d'autres, ajoute-t-elle, je ne veux pas du chaos. On veut changer le système, mais pas renverser le régime. En Syrie, n'oubliez pas que si on commence à parler de révolution, cela va dégénérer en luttes sectaires. Beaucoup redoutent un scénario à l'irakienne. Les minorités chrétiennes et alaouites ont peur. Nous devons être prudents. La Syrie n'est pas la Tunisie, où 99 % de la population sont des sunnites. Nous avons besoin d'unité nationale. Le président a encore la possibilité d'agir. Mais il doit le faire rapidement. Dans quelques semaines, ce sera trop tard.»

Les plus modérés des opposants auraient adressé des appels au dialogue aux autorités. Mais, sous l'effet d'une répression accrue, les manifestants les plus ultras sont peut-être en passe de prendre le dessus. vendredi, la rumeur circulait que Bachar el-Assad pourrait se déplacer jusqu'à Deraa. «Qu'il aille là-bas pour présenter des excuses aux familles des victimes», lance notre interlocuteur à Damas.

lefigaro.fr

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Syrie: Madrid convoque l'ambassadeur

L'Espagne a adressé un avertissement à l'ambassadeur de Syrie en poste à Madrid, convoqué à la suite des accusations d'actes de harcèlement et d'intimidation à l'encontre d'opposants qui seraient commis par des "membres de l'ambassade", selon un communiqué. Alerté par "les plaintes à répétition de citoyens syriens et hispano-syriens, opposants au régime actuel", le ministère espagnol des Affaires étrangères a convoqué l'ambassadeur syrien, Hussamedin Ala'a, pour lui exprimer son "inquiétude" et son "rejet" de tels actes.

L'ambassadeur "a été averti que le gouvernement n'hésiterait pas à prendre les mesures opportunes face à des actes commis sur le territoire national par des personnes titulaires d'accréditations diplomatiques ou avec un statut officiel", ajoute le communiqué du ministère. Madrid "a exigé qu'il mette un terme à toute activité de son personnel qui puisse être considérée comme une violation des droits des manifestants et spécifiquement de leur liberté de réunion et d'expression", pendant cette rencontre entre l'ambassadeur et un diplomate de haut rang chargé du Proche-Orient, a précisé le communiqué.

Amnesty International accuse Damas de se livrer à des violences, du harcèlement et des intimidations "systématiques" à l'encontre des opposants syriens vivant en Europe et aux Etats-Unis, et dont les proches en Syrie ont aussi été "harcelés, arrêtés et parfois torturés", dans un rapport publié le 3 octobre, cité par le communiqué.

Paris, Stockholm et Washington ont déjà exprimé leur "inquiétude" face à ces acccusations. Londres a déjà convoqué deux fois l'ambassadeur syrien, Sami Khiyami, depuis juin en raison d'accusations de harcèlement d'opposants.

lefigaro

Citation :

1 pas de + vers la guerre civile.
De trés violents combats opposent des soldats deserteurs à l'armée réguliére dans les villes de Homs & Hama depuis Samedi 29/10. Le bilan provisoire est de 43 militaires tués & 7 rebelles.
Les deserteurs lancent des attaques sous formes d'embuscades dans différents quartiers des 2 villes.
La Ligue Arabe prévient Bachar al Assad que si les négociations en cours devaient échouer, 1 intervention internationale serait inévitable.
TV5 Monde

quelle est la composition ethnique de l'armée syrienne

j'ai trouvé ça http://www.unhcr.org/refworld/publisher,THE_JF,,SYR,4e3fb2452,0.html

La faute est au panarabisme qui a ouvert les portes à ces arrivistes aux sombres desseins. Lorsque les patriotes panarabistes se sont rendus compte de leur erreur il était déjà trop tard.
Alaouites c'est le nom que les autorités coloniales françaises leur ont donné et ils ont raison de les considérer comme religion à part. Leur vrai nom est Nusayrites une secte déviante de l'Ismaelisme chiite.

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La Syrie accepte le plan de la Ligue arabe


La Syrie a accepté "sans réserves" le plan arabe de sortie de crise lors de la réunion ministérielle de la Ligue arabe au siège de l'organisation au Caire. La réponse formelle de Damas à cette proposition intervient au lendemain de l'annonce par des médias officiels syriens d'un "accord" avec la Ligue arabe sur ce plan.

Le plan proposé par la Ligue arabe prévoit un "arrêt immédiat" de la violence et le "retrait des chars" afin "d'adresser un message rassurant à la rue syrienne", avant l'amorce d'un "dialogue national" avec l'opposition. Affirmant que Damas a répondu à la proposition de la Ligue arabe "par une escalade de la répression", le Conseil national syrien (CNS), qui réunit la majorité des courants de l'opposition à M. Assad, a appelé de nouveau l'organisation panarabe à "geler l'adhésion" de la Syrie.

"Le comportement sanguinaire du régime montre qu'il fait fi des efforts arabes visant à arrêter l'effusion du sang et à éviter les ingérences étrangères. Le régime veut gagner du temps", a affirmé le CNS.

lefigaro

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Ankara s'engage aux côtés des insurgés syriens

Plusieurs opposants coordonnent la lutte armée contre le régime de Bachar el-Assad, depuis un camp en Turquie.

La lune de miel entre Ankara et Damas appartient décidément à une époque révolue. Encore fidèle allié de Damas au début de la révolution, en mars, Ankara s'engage de plus en plus clairement aux côtés de l'opposition syrienne. L'hébergement d'un groupe d'insurgés syriens constitue la manifestation la plus évidente de ce revirement. Bénéficiant d'une protection turque, plusieurs dizaines de membres de l'Armée libre syrienne, dont leur commandant, le colonel Riad al-Asaad, coordonnent la lutte armée contre le régime de Bachar el-Assad, depuis un camp installé en Turquie, près de la frontière syrienne. La semaine dernière, cette faction dissidente a assuré que ses troupes, à l'intérieur de la Syrie, avaient tué neuf militaires. Les autorités turques démentent tout soutien militaire à la rébellion armée. «L'accueil est uniquement motivé par des raisons humanitaires», assure-t-on, sous couvert d'anonymat, au ministère des Affaires étrangères.

Il n'empêche que les activités de l'Armée libre syrienne sur son territoire représentent une étape supplémentaire dans la prise de distance d'Ankara avec Damas. «La Turquie manifeste sa volonté de soutenir les efforts nécessaires à la mise en place d'une opposition syrienne, volet militaire compris», décrypte Sinan Ülgen, ancien diplomate et président d'Edam, un institut de recherches sur la politique étrangère. Depuis le début de l'insurrection, de nombreux dissidents ont trouvé refuge en Turquie. Mais les signes du repositionnement turc se sont multipliés ces dernières semaines.

Formé à Istanbul le 2 octobre, le Conseil national syrien (CNS), qui groupe un large spectre de l'opposition, a été reçu par Ahmet Davutoglu, le chef de la diplomatie, il y a quinze jours. Le CNS a obtenu le feu vert pour ouvrir une représentation sur le sol turc. Afin de maintenir la pression sur leur voisin, les Turcs ont également effectué des manœuvres militaires dans la province frontalière d'Antioche et ont déclaré qu'ils allaient prendre des sanctions unilatérales. Le gel des comptes bancaires du clan Assad ou la fin de la coopération entre les entreprises publiques font partie des mesures envisagées. «Elles sont encore à l'étude, nous ne voulons pas pénaliser le peuple», précise une source officielle.

Cette évolution va à rebours de l'attitude d'Ankara lorsque la révolte en Syrie a démarré. Pendant des mois, le gouvernement turc a tenté de convaincre le président syrien d'engager des réformes, en vain. Ces efforts visaient à sauvegarder les relations entre les deux États, pilier de la politique étrangère turque basée sur le concept de «zéro problème avec les voisins», et à préserver le statu quo avec le maintien de la famille Assad au pouvoir : le potentiel de déstabilisation régionale qu'aurait une guerre civile en Syrie inquiète fortement de ce côté-ci de la frontière. Ce risque explique que les Turcs répètent que la situation en Syrie représente «une affaire intérieure».

Dimension ethnique
Mais, face à l'inflexibilité du pouvoir damascène, le gouvernement se montre de plus en plus critique. Faisant référence au président syrien, le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a récemment déclaré : «J'ai été patient, patient, patient, très patient et puis, j'ai craqué.» Estimant très probable que le régime finirait par «tomber tôt ou tard», Ankara juge donc sage de favoriser l'opposition. La dimension ethnique de l'insurrection en Syrie renforce les liens avec les insurgés. Ils sont essentiellement sunnites, comme la majorité de la population turque. Prudente, la Turquie se ménage tout de même une porte de sortie. Malgré des remarques de plus en plus virulentes, aucun appel à la démission de Bachar el-Assad n'a été officiellement lancé. L'ambassade et les consulats turcs sont toujours ouverts, même si les relations sont désormais réduites a minima.

Enfin, le conflit entre la rébellion kurde du PKK et Ankara alimente l'inconfort turc. Le mouvement autonomiste intensifie ses attaques contre les forces de sécurité turques depuis cet été. En Turquie, les services syriens sont accusés de jouer la déstabilisation avec la «carte kurde». Recep Tayyip Erdogan a vu le spectre «de pays voisins» derrière un assaut du PKK, au cours duquel 24 soldats ont été tués, il y a deux semaines.

http://www.lefigaro.fr/international/2011/11/01/01003-20111101ARTFIG00509-ankara-s-engage-aux-cotes-des-insurges-syriens.php

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La France ne croit plus Bachar al Assad.
Dans 1 interview, Alain Juppé, Ministre des Affaires Étrangéres déclare le 6 Novembre :
"Je pense personnellement qu'on a plus rien à attendre du régime de Bachar al Assad, & que malgré ses annonces de temps en temps, il ne s'engagera pas dans 1 programme de réformes. Différentes initiatives ont été prises pour essayer d'amener Bachar al Assad au dialogue.
Vous avez lu la derniére? Bachar al Assad accepte le plan de la Ligue Arabe & le lendemain, il massacre encore des 10zaines de personnes dans la rue. Je regrette beaucoup ce qui se passe & ce n'est pas à l'honneur de l'ONU, il y a une faillite du Conseil de Sécurité.
Le Parisien.

Quelle grande perte pour Béchar El Assad, les dirigeants de l'un des pays qui veulent le renverser ne croient plus en lui...

Cette fois ci l'Algérie s'est abstenue à voter contre et sans surprises le Yémen et le Liban étaient contre :

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Arab League to suspend Syria over bloody crackdown


CAIRO — In a surprisingly sharp move, the Arab League voted Saturday to suspend Syria over the country's bloody crackdown on an eight-month uprising and stepped up calls on the army to stop killing civilians.

The decision was a humiliating blow to a regime that prides itself as a bastion of Arab nationalism, but it was unlikely to immediately end a wave of violence that the U.N. estimates has killed more than 3,500 people since mid-March.

"Syria is a dear country for all of us and it pains us to make this decision," Qatar's Foreign Minister Hamad bin Jassim told reporters. "We hope there will be a brave move from Syria to stop the violence and begin a real dialogue toward real reform."

Syria's representative to the Arab League said the decision was "not worth the ink it was written with."

In Damascus, pro-regime demonstrators threw eggs and tomatoes at the Qatari embassy to protest the vote.

The 22-member Arab League will monitor the situation and revisit the decision in a meeting Wednesday in the Moroccan capital Rabat, bin Jassim said, a move that appeared to give Syrian President Bashar Assad time to avert the suspension.

But Syria has been unwilling to heed previous calls to end the violence. Saturday's vote came after Damascus failed to carry out a Nov. 2 peace deal brokered by the Arab League that called on Syria to halt the attacks and pull tanks out of cities.

More than 250 Syrian civilians have been killed so far this month, including 12 on Saturday in attacks in the restive city of Homs, the Damascus suburbs and elsewhere, according to activist groups.

President Barack Obama praised the Arab League, highlighting what he called the group's leadership in seeking to end attacks on peaceful protesters. "These significant steps expose the increasing diplomatic isolation of a regime that has systematically violated human rights and repressed peaceful protests," he said in a statement.

Arab League diplomats, speaking on condition of anonymity because they were not authorized to brief reporters, said that if Syria does not adhere to its demands, the organization will work to unify the disparate Syrian opposition into a coalition similar to that of Libya's National Transitional Council. Next steps would be to recognize the opposition as the sole representative of the Syrian people in a move that would symbolically isolate Assad's regime even further.

In his statement, bin Jassim called on all factions to meet later this week to unify their message as a step toward dialogue with the Syrian government, but many within the opposition refuse to negotiate with the regime.

Still, there is little to stop Assad now from calling upon the scorched-earth tactics that have kept his family in power for more than four decades. A longtime pariah, Syria grew accustomed to shrugging off the world's reproach long before the regime started shooting unarmed protesters eight months ago.

An international military intervention has been all but ruled out, given the quagmire in Libya and the lack of any strong opposition leader in Syria to rally behind. International sanctions, some of which target Assad personally, have failed to persuade him to ease his crackdown.

Syria also retains the iron support of Muslim Shiite-led Iran, which wants to keep Damascus in its fold in a mostly Muslim Sunni region dominated by Arab suspicions of Tehran's aims. Should Assad's regime fall, it could rob Iran of a loyal Arab partner.

The vote was a strong message from Syria's Arab neighbors and showed growing impatience with Damascus.

Neil Sammonds, a Syria researcher for Amnesty International, said the unified Arab showing will put more pressure on the U.N. Security Council to impose sanctions despite objections by Syrian allies Russia and China. Only Syria, Lebanon and Yemen voted against the Arab League suspension of Syria, with Iraq abstaining.

"This will help put the diplomatic pressure on the Security Council to act, to show Russia and China that they are out of step with the region and the rest of world," Sammonds said.

Saer el-Nashif, who was among the Syrian opposition leaders meeting with Arab League diplomats in Cairo several times in recent weeks, praised Saturday's vote and said he hopes it leads to a Security Council decision.

Arab nations also are eager to avoid seeing another leader toppled violently, as happened to Libya's Moammar Gadhafi last month. An Arab League decision had paved the way for the U.N.-mandated no-fly zone and NATO airstrikes that eventually brought down Gadhafi, but bin Jassim stressed international intervention was not on the agenda in Syria.

"None of us is talking about this kind of decision," he said.

Syria, which blames the bloodshed on extremists acting out a foreign agenda to destabilize the regime, slammed Saturday's vote as "illegal" under Arab League charter rules.

Its Arab League envoy, Youssef Ahmed, said Damascus was calling on the "armed opposition abroad to lay down arms, surrender, stop the violence and accept a national dialogue."

Diplomats who attended the meeting said the Syrian ambassador accused the Qatari foreign minister of carrying out a U.S. agenda, and the Qatari official replied that the league was doing this for the good of the Syrian people.

The bloodshed has spiked dramatically in recent weeks amid signs that more protesters are taking up arms to protect themselves, changing the face of what has been a largely peaceful movement. Many fear the change plays directly into the hands of the regime by giving the military a pretext to crack down with increasing force.

Activists said at least six people were killed on Saturday.

Despite growing international isolation, Assad appears to have a firm grip on power.

Assad, and his father who ruled Syria before him, stacked key security and military posts with members of their minority Alawite sect, ensuring loyalty by melding the fate of the army and the regime. As a result, the army leadership will likely protect the regime at all costs, for fear it will be persecuted if the country's Sunni majority gains the upper hand. Most of the army defectors so far appear to be lower-level Sunni conscripts.

The government has largely sealed off the country from foreign journalists and prevented independent reporting, making it difficult to confirm events on the ground. Key sources of information are amateur videos posted online and details gathered by witnesses and activist groups who then contact the media, often at great personal risk.

The Associated Press and Reuters contributed to this report.

http://today.msnbc.msn.com/id/45268111/ns/today-today_news/t/arab-league-suspend-syria-over-bloody-crackdown/#.Tr7j2VYa74s

bonjour,

apparemment les algériens ont voté pour, j'ai suivis la conférence de press du 1er ministre qatari et du secrétaire de la ligue, et il ont dit que le Yémen et Liban étaient contre, et l'iraq s'abstient.

Le consulat Turc d'Alep à été saccagé, le drapeau Turc brulé. Par ailleurs, l'ambassade du Royaume d'Arabie Saoudite et du Qatar ont étaient saccagé.

euh bachar al assad a toucher a l'arabie saaudite ça vas etre la fin pour lui il est sur la ligne de mir. le conseil de sécurité de l'ONU va pas tarder a reagir les sanctions vont tomber. assad suivra le chemin de kadhafi / sadam & compagnie.

t'inquiete il lui reste encore l'Iran

Al joundi a écrit:

euh bachar al assad a toucher a l'arabie saaudite ça vas etre la fin pour lui il est sur la ligne de mir. le conseil de sécurité de l'ONU va pas tarder a reagir les sanctions vont tomber. assad suivra le chemin de kadhafi / sadam & compagnie.

L'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie devrait agir ensemble.

Ils ont touché au plus sacré pour un Turc, son drapeau, l'attaque du consulat Turc à Alep:











L'attaque contre l'ambassade d'Arabie Saoudite:

Ebah... si jamais c'est ces trois pays là secout le conseil de sécurité de l'ONU la machine judiciare de l'ONU va déclancher se mettra en route il va appliquer des sanctions et qui va l'arreté et bachar al assd sera mal barré.

Citation :

ce n'est qu'une minorité et c'est clair que ce sont des agents syriens ,je crois que le régime en Syrie est entrain d'agoniser
et dans une idiotie inouie il fonce vers sa fin surtout en touchant d'autres pays ,l'otan doit intervenir malgrés les aboiements de
pays qui soutiennent ce despote

l'armée syrienne est l'une des plus puissante du MO
Un peu comme l'armée de Saddam en 1990
en plus elle soutiens le régime
ca sera pas comme la Libye ca sera dure meme trés dure

La Turquie rapatrie tout son personnel diplomatique non-essentiel, sauf l'ambassadeur. Par ailleurs, la Turquie vient d'émettre une diplomatique à l'encontre du régime de Damas. L'avertissant des conséquences de cette acte.

La France aussi à convoquée l'ambassadeur syrien. L'Arabie Saoudite accuse le régime Al-Assad.

mirage a écrit:

l'armée syrienne est l'une des plus puissante du MO
Un peu comme l'armée de Saddam en 1990
en plus elle soutiens le régime
ca sera pas comme la Libye ca sera dure meme trés dure

L'armée Turque leur fera bouffé en quelques jours, les sables du désert. On aurait dû terminé le travail en 1998.

oui forte contre des civiles avec un effectif avoisinant 450 000 régulier
mais contre une armée moderne ou une coalition ils sont très vulnérables
meme avec leurs t 72 et t72m,bmp1 et 2 ainsi que les brdm
et autres missiles tel sagger ,Spigot,Spandrel,kornet ,milan etc
pour la dca sa 7 , Pantsir-S1,SA-13 Gopher,9K37 Buk
bref du matos russe et sovietique ,des véhicules civiles comme portes char
une aviation qui a pour base des mig dont le mig 29 c'est pas une armée aussi forte .

Citation :

Syrie: agir d'une "même voix" (Ankara)

La Turquie a demandé dimanche à la communauté internationale d'agir d'une "même voix" face à la situation en Syrie, a annoncé le ministère turc des affaires étrangères. "L'attitude du gouvernement syrien (...) montre qu'il est nécessaire que la communauté internationale réagisse d'une même voix concernant les graves développements en Syrie", a déclaré le ministère dans un communiqué.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/13/97001-20111113FILWWW00103-syrie-agir-d-une-meme-voix-ankara.php

Citation :

Syrie: la Turquie convoque un diplomate

Ankara a "convoqué le chargé d'affaires syrien" suite aux attaques de ses missions diplomatiques en Syrie, a annoncé aujourd'hui le ministère turc des affaires étrangères.

Le représentant syrien, plus haut diplomate de ce pays actuellement à Ankara, a été convoqué pour protester contre les manifestations violentes hier contre les missions diplomatiques turcs en Syrie, a précisé le ministère. La Turquie "condamne fermement ces attaques", a ajouté le ministère.

Ankara a décidé aujourd'hui d'évacuer de Syrie les familles de ses diplomates et ses personnels non-essentiels, suite à des manifestations violentes qui ont visé plusieurs bâtiments diplomatiques turcs en Syrie, hier. Des milliers de Syriens s'en sont pris à l'ambassade et aux consulats de Turquie en Syrie, pour protester contre le soutien apporté par Ankara à la décision de la Ligue arabe de suspendre la participation de la Syrie, a rapporté Anatolie, précisant que ces mouvements n'avaient pas fait de victimes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/13/97001-20111113FILWWW00097-syrie-la-turquie-convoque-un-diplomate.php

Citation :

Syrie: des Turcs évacués

La Turquie a décidé aujourd'hui d'évacuer de Syrie les familles de ses diplomates et ses personnels non-essentiels, a annoncé l'agence de presse officielle turque Anatolie. Cette décision a été prise pour des raisons de sécurité, suite à des manifestations violentes qui ont visé plusieurs bâtiments diplomatiques turcs en Syrie, hier soir, ont précisé des sources diplomatiques à Anatolie.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/13/97001-20111113FILWWW00080-syrie-des-turcs-evacues.php

D'aprés ce qu'il ce dit et je serai trés enclain a le croire,l'iran a menacé la turquie de guerre si les turcs attaquent les syriens,c'est ce qui expliquerai sans doute l'attaque des interets turcs en syrie,la turquie réfléchissant deux fois avant d'affronter l'iran,la syrie et le hezbollah .

Sur un autre plan,la politique voulu par l'islamiste erdogan de zeros problémes avec le voisinage et non seulement un echec total, mais des tensions supplémentaires sont mémes venus s'ajouter,tensions turco-syriennes,guerres de plus en plus meurtriéres entre les turcs et les indépendistes du pkk,tensions israelo-grecquo-chypriote,problémes arménien non résolus,et pour finir en beauté tension turco-iranienne(radar us,syrie).

Concernant la ligue arabe quels sont les pays qui ont votés l'eviction de la syrie? et ce qui ne l'ont pas voté? quel a etais le vote du maroc?

Croyez vous a une possible action militaire arabe visant a renversé le dictateur syrien? pensez vous qu'ils en ont les moyens politique et militaire? et surtout la volonté?

Citation :

D'aprés ce qu'il ce dit et je serai trés enclain a le croire,l'iran a menacé la turquie de guerre si les turcs attaquent les syriens,c'est ce qui expliquerai sans doute l'attaque des interets turcs en syrie,la turquie réfléchissant deux fois avant d'affronter l'iran,la syrie et le hezbollah .

Personne à menacée la Turquie, surtout l'Iran. Pour plusieurs raison:

1) La première est la pression exercée par l'Occident et Israël, les Iraniens n'ont une facilité diplomatique.
2) La Turquie membre de l'Otan, une attaque contre elle, fera agir les autres membres, surtout les Usa.
3) Ces allégations sont fausses et émanent des journaux israéliens.
4) L'Iran n'a jamais oublié la défaite de Tchaldiran contre l'Empire Ottoman. Durant toute l'histoire, on a surpassé l'Iran technologiquement et techniquement.
5) L'Iran et la Turquie auront beaucoup à perdre d'une guerre.

Citation :

Sur un autre plan,la politique voulu par l'islamiste erdogan de zeros problémes avec le voisinage et non seulement un echec total, mais des tensions supplémentaires sont mémes venus s'ajouter,tensions turco-syriennes,guerres de plus en plus meurtriéres entre les turcs et les indépendistes du pkk,tensions israelo-grecquo-chypriote,problémes arménien non résolus,et pour finir en beauté tension turco-iranienne(radar us,syrie).

La révolution arabe est passée par là, même les dirigeants israéliens étaient perdu dans ce tourbillon.

N'oublez pas que la Turquie est membre de l'OTAN, ça joue à tous les niveaux...