Révolte en Syrie.

Rappel du premier message :

Citation :

Syrie : des détenus libérés, appel à la «révolte populaire»

Le régime syrien, confronté à un mouvement de colère, tente toujours de calmer l'opposition. Après un train de réformes annoncé dans la semaine, ce sont des dizaines de détenus politiques, dont des islamistes, qui ont été libérés.

La situation se tend davantage chaque jour en Syrie. Au lendemain d'une grande journée de manifestations réclamant plus de liberté et réprimées dans le sang, des mosquées de Deraa, ville du sud d'où est partie la contestation, ont annoncé le nom des «martyrs» dont les funérailles seraient organisées plus tard dans la journée. Sur une place du centre-ville, les employés municipaux ont balayé les restes d'une statue d'Hafez al-Assad, père de l'actuel président, déboulonnée la veille par des manifestants. Un nouvel appel à manifester a en outre été lancé samedi sur Facebook. Un texte publié sur le réseau social mais non signé appelle à «une révolte populaire» dans tout le pays et notamment dans le sud. La volonté de changement semble se maintenir malgré la violente repression engagée par les autorités.

Vendredi, les manifestations ont donc continué à Deraa, où des dizaines de personnes ont péri depuis le 18 mars, et ont gagné d'autres villes, dont Sanamein, Daael, Damas la capitale, Douma, Banias et Hama. Des militants syriens rapportent qu'environ 200 manifestants ont été arrêtés dans la nuit de vendredi à samedi alors qu'ils participaient à un sit-in près de Damas.

260 détenus libérés

Le pouvoir politique, en place depuis 1963, tente de répondre à ce mouvement. Des réformes ont été annoncées (augmentation des salaires des fonctionnaires, levée envisagée de l'état d'urgence, davantage de liberté de la presse, etc.) Dernier geste en date : la libération d'environ 260 détenus politiques, en grande majorité des islamistes, a affirmé samedi à l'AFP Abdel Karim Rihaoui, président de la Ligue syrienne de défense des droits de l'Homme, basée à Damas. Ce geste «s'inscrit dans le cadre des promesses qu'elles avaient annoncées récemment pour améliorer les libertés publiques en Syrie», a-t-il dit.

Cependant, le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) basé à Londres, a regretté que plusieurs personnes arrêtées lors des récentes manifestations contre le régime soient toujours détenues dans les locaux des services de sécurité, comme le jeune étudiant et blogeur Ahmad Khadifi, arrêté le 23 mars, et le manifestant Mohammad Houriyé, interpellé le 15 mars.

Citation :

Syrie : la fronde s'étend, Damas serre la vis

Les manifestations pour «la liberté» ont essaimé, vendredi, à travers le pays et fait de nouvelles victimes.

À Sanamein, à 40 km au sud de Damas, une marche de solidarité se dirigeant vers Deraa, l'épicentre de la contestation contre le régime, a tourné au drame, vendredi après-midi, lorsque les forces de l'ordre ont tiré sur les frondeurs. Dix-sept d'entre eux auraient été tués, selon un bilan fourni par un militant des droits de l'homme, mais non confirmé de source indépendante.

Malgré un dispositif policier serré et des annonces d'ouverture politique, la «Journée de la dignité» a encore été marquée par de très nombreuses manifestations à travers la Syrie. À Damas, au moins trois cents personnes ont marché, après la prière, vers le souk Hamidiey, en criant «Dieu, la liberté, la Syrie, et c'est tout» , le slogan de ralliement de cette contestation sans précédent contre le pouvoir de Bachar el-Assad. «Des agents de la sécurité étaient postés à chaque coin de rue, raconte un manifestant joint par téléphone. Même dans le quartier chrétien de la Vieille Ville, on savait très bien que les vendeurs à la sauvette étaient des agents des renseignements qui repéraient les manifestants», ajoute notre interlocuteur. Au moins trois d'entre eux auraient été arrêtés par la police.

À Deraa, les forces de sécurité ont également tiré sur des protestataires rassemblés dans le centre-ville, où plus de cent manifestants ont été tués mercredi, selon les associations de défense des droits de l'homme. vendredi, des portraits d'Hafez el-Assad, le père de l'actuel président syrien, ont été brûlés et des slogans hostiles scandés contre Maher, le frère de Bachar, chef de la garde présidentielle.

À Daael, à 30 km au nord de Deraa, trois cents personnes se sont réunies pour crier «Daael et Deraa ne se laisseront pas humilier». Des manifestations ont également eu lieu à Banyas, mais aussi à Hamaa, où le régime bassiste avait écrasé dans le sang une révolte islamiste en 1982, faisant quelque 20 000 morts. Des vidéos sur YouTube ont aussi montré des rassemblements à Homs, au nord-est de Damas, ainsi qu'à Lattaquieh, en pays alaouite, bastion de la minorité au pouvoir.

Un scénario à l'irakienne

Jeudi, pourtant, le régime avait annoncé qu'il envisageait une levée de l'état d'urgence, en vigueur depuis 1963, et entendait octroyer davantage de libertés politiques. Mais les manifestants ne se contentent plus de promesses. «Nous voulons une levée immédiate de l'état d'urgence, assure notre interlocuteur damascène. Pourquoi devrait-on attendre qu'un comité en discute ? Nous connaissons la politique syrienne : un comité, cela veut dire qu'il faudra encore attendre des années.» Et le militant d'ajouter : «Nous sommes fatigués de voir la corruption au sommet de l'État. On aime bien encore le président Bachar. Mais les gens ne supportent plus ceux qui l'entourent et qui s'en mettent plein les poches.»

Déstabilisé comme jamais, le régime syrien n'entend pas céder rapidement. «Il ne veut pas donner l'impression qu'il lâche en position de faiblesse, car il a peur que cela entraîne d'autres demandes», analyse un expert. Le pouvoir mise également sur les divergences entre manifestants. «Les jeunes de Facebook et ceux de Deraa sont les plus radicaux. Ils veulent un changement de régime, ils ne veulent plus accorder une autre chance à Bachar el-Assad», nous affirme, depuis Damas, Hindt Kabawat, une militante des droits de l'homme. «Mais moi, comme beaucoup d'autres, ajoute-t-elle, je ne veux pas du chaos. On veut changer le système, mais pas renverser le régime. En Syrie, n'oubliez pas que si on commence à parler de révolution, cela va dégénérer en luttes sectaires. Beaucoup redoutent un scénario à l'irakienne. Les minorités chrétiennes et alaouites ont peur. Nous devons être prudents. La Syrie n'est pas la Tunisie, où 99 % de la population sont des sunnites. Nous avons besoin d'unité nationale. Le président a encore la possibilité d'agir. Mais il doit le faire rapidement. Dans quelques semaines, ce sera trop tard.»

Les plus modérés des opposants auraient adressé des appels au dialogue aux autorités. Mais, sous l'effet d'une répression accrue, les manifestants les plus ultras sont peut-être en passe de prendre le dessus. vendredi, la rumeur circulait que Bachar el-Assad pourrait se déplacer jusqu'à Deraa. «Qu'il aille là-bas pour présenter des excuses aux familles des victimes», lance notre interlocuteur à Damas.

lefigaro.fr

rafi a écrit:

Tant que nous ne savons pas ce qui s'est passé exactement, nous ne savons qu'un chose, c'est que ce bus à forcé un barrage militaire syrien, s'est fait tiré dessus pour une raison encore inconnue, ou l'inverse, puis à forcé le passage à la frontière truco-syrienne. Vous êtes sûrs de connaître les lois de votre propre pays les gars?

Franchement Rafi, crois tu que le chauffeur ne savaient pas ce qu'il faisait . Que c'était un bleu? Qu'il ne sait pas ce que c'est de passer une douane. Etant chauffeur il a du taper 10-20 ou même 50 fois plus de bornes que nous et autant de frontières.... Cet homme conduisait un groupe de pèlerins revenant de la Mecque, juste imagine l'état d'esprit de ses gens.... si il a forcé le barrage c'est qu'il y a une raison.

N'oublions pas que: La Syrie est un pays en demi guerre civil et que le gouvernement turc ne lache pas la gorge de Assad.... et connaissant la mentalité arabe l'occasion était trop belle pour la douane/garde frontière!

Déjà quand je vois avec quel mépris/condescendance nous citoyen marocains subissons la douane espagnol, j'imagine même pas le citoyen turc en Syrie dans le contexte actuelle

Si c'est 1 "groupe armé" ça change tout. Même si en ce moment, il y a beaucoup de "groupes armés" en Syrie...

2 choses sur le sujet :
Le passage en force d'un poste frontière : c'est une erreur du chauffeur, soit.
Les tirs sur le car : également une erreur comme bcp l'ont dit, il est possible de stopper le car par d'autres moyens que les mitraillages en règle.Mais la dessus, la syrie agit en droite ligne de ce qu'elle fait à l'intérieur, c'est à dire avec violence.

Meme si d'autres pays n'auraient pas hésité a faire feu, il ne faut pas prendre le mauvais élève en exemple (israel j'entend).
un autre point important, il s'agit du poste frontière de la province du Hatay qui fait l'objet d'un vieux contentieux turco-syrien, mais nos amis turcs pourraient nous dire plus, car il semble que les revendications syriennes sur cette région avaient déjà failli dégénérer en conflit entre les 2 pays.
La récente prise de position turque sur le CNS ne doit pas être de nature a espérer autre chose du pouvoir syrien.

Mais attendons d'avoir les tenants et aboutissant avant de nous prononcer.

nota: il ne faut pas exclure que les syriens aient sous-traité le message adressé à la turquie par "hommes armés" interposé. Les syriens sont les spécialites locaux de la sous-traitance.

PGM

Regarde ce qu'il y a écrit ci-dessus, Fahed, ça s'appelle ( si c'est exact) un refus d'obtempérer, et il y en a plus d'un qui l'a payé de sa vie dans les quartiers dit difficiles des villes françaises, alors dans une dictature. Il n'y a pas qu'en Israel où ça se passe.

rafi a écrit:

Lis ce qu'il y a écrit ci-dessus, Fahed, ça s'appelle un refus d'obtempérer, et il y en a plus d'un qui l'a payé de sa vie dans les quartiers dit difficiles des villes françaises.

Refus d'obtempéré à qui? Une douane d'un état assasin qui bombarde sa population? D'une douane d'un état en déliquescence? D'une douane d'un pays dont le gouvernement est ennemi avec le gouvernement voisin

Surtout que ces gens ont du déjà subir un contrôle en sortant de l' AS, en rentrant en jordanie, en sortant de jordanie et en entrant en syrie, en plus du check point ou ils ont subi une agression verbales en syrie.
Pour qu'un chauffeur de bus décide d' accelerer pour sortir le plus rapidement possible d' un pays alors qu'il vient d' en traverser deux, il faut bien qu'il ai craint pour sa vie ou celle de ses passagers.


Bref. On en saura plus lorsque le mae turc fera une déclaration.

Erdogan à déclaré ce matin en s' addressant à Assad : " il ne fait aucun que toi aussi tu vas partir " .

Les forces de l'ordre te disent de t'arrêter, tu t'arrêtes. Ils veulent te contrôler, ils te contrôlent. Tu refuses de t'arrêter car ils veulent t'amener au poste et tu t'enfuis, ça va chauffer, crois-moi. Tu peux penser ce que tu veux au sujet de la Syrie, c'est une chose, mais la Loi c'est la Loi.

Si un policier tente de te contrôler et que tu ne te laisses pas faire, il est évident que cela finira par des noms d'oiseaux. Si je commence à contester le droit du service douanier à faire son boulot pour les raisons que tu évoques, et j'y rajouterais le trafic de drogue, Fahed, il ne va y avoir beaucoup de pays où j'entrerais ou ressortirais sans problème.

La belle affaire qu'ils aient été contrôlés en Arabie Saoudite, ou ailleurs, ce qui compte c'est le contrôle effectué par le pays où tu te trouves. C'est pas Schengen là-bas...

Rafi,

Personnes ne discute la souveraineté syrienne sur son sol. Ni même que la Loi doive être respectée, quand bien ce pays n'en respecte aucune.
Mais pour compléter ce que tu dis : il y a la Loi, l'esprit de la loi et l'intelligence des situations. Je m'explique : il y a 6 mois, le même délit de la part du chaffeur de car n'aurait pas entrainé de mitraillage (ceci dans l'hypothèse des faits rapportés), car la situation etait tout autre. Il y a donc bien une application "circonstancielle" de la Loi qui en dénature l'esprit et fait que ce mitraillage ne découle pas de la seul application de loi (sans quoi le meme délit il y a 6 mois aurait eu les même conséquences, non ?), mais d'un contexte. De ce simple fait, il ne faut pas à mon avis privilégié la seule loi. C'est le contexte qu'il faut retenir. Une même loi sur les frontières vous donnera un mitraillage entre la corée du nord et celle du sud, mais pas entre la suede et la norvège : tout est question de contexte et d'etat d'esprit.

PGM

Nous ne sommes pas en Norvéges, mais en Syrie, une dictature, et il ne viendrais pas une seconde à l'idée de refuser d'obéir à des gars qui ont la gachette facile. Toute cette affaire aurait pu se terminer dans un bain de sang, heureusement ça se termine par 2 blessés seulement. Il y a des choix à faire, ça mitraille tout le temps dans ces pays, et pour un rien. Tenter le diable ne m'a jamais paru être une solution. Tu veux que l'on fasse le tour du monde des pays qui ne respectent pas les lois que les parlements ont voté, et il y a du beau monde? En France, une course poursuite (refus d'obtempérer) entre police et jeunes des banlieues fait x morts, hier, aujourd'hui, demain.

Il y a quand même 1 question que je me pose...

Que ce serait-il passé si le chauffeur avait stoppé???
Parce que pour qu'il ait prit 1 tel risque, c'est qu'il a du voir ou "sentir" quelque chose?

La peur fait faire des choses que l'on ne ferait pas normalement, mais le risque de massacre était énorme.

Alors..Après différentes lectures de l' évenement :

Le bus s'est trompé de chemin à Homs. Le chauffeur voyant un checkpoint de l' armée syrienne, en uniforme, s'est arrété pour leur demander le chemin. Ces militaires voyant qu'ils avaient affaire à des turcs ont demandé aux passagers de descendre. Un des passagers qui parlait arabe s'est présenté pour établir la communication. Le soldat l' aurit braqué avec son arme et lui aurait demandé de le suivre dans la guerite . L'homme a refusé de se rendre dans la guerite. Suite à ça le soldat lui a tiré dessus et les quelques passagers qui étaient descendus sont remonté dans le bus. Les syriens ont bloqué 5 pelerins qui n' ont pas pu regagner le bus et ont commencé a tirer sur le bus . Le chauffeur a accelerer pour se sauver et sauver ses passagers d' un massacre.

Le mitraillage a eu lieu à Homs. Pas au poste frontière. Le chauffeur n' a pas refuser de s' arreter à un contrôle, il s'était arreter demander son chemin aux militaires syriens. LEs syriens les ont insulter parcequ'ils étaient turcs. Ils ont également iinsulter la Turquie et Erdogan. D' après les temoignages.

De quel massacre le chauffeur les a t-il sauvé alors qu'il suffisait de se rendre au poste? Les 5 pélerins restés entre les mains des syriens n'ont pas été massacrés par eux que je sache...

Plus de passage de frontière en force, c'est déjà ça.

rafi a écrit:

Nous ne sommes pas en Norvéges, mais en Syrie, une dictature, et il ne viendrais pas une seconde à l'idée de refuser d'obéir à des gars qui ont la gachette facile. Toute cette affaire aurait pu se terminer dans un bain de sang, heureusement ça se termine par 2 blessés seulement. Il y a des choix à faire, ça mitraille tout le temps dans ces pays, et pour un rien. Tenter le diable ne m'a jamais paru être une solution. Tu veux que l'on fasse le tour du monde des pays qui ne respectent pas les lois que les parlements ont voté, et il y a du beau monde? En France, une course poursuite (refus d'obtempérer) entre police et jeunes des banlieues fait x morts, hier, aujourd'hui, demain.

C'est bien ce que je dis, ce n'est pas un problème de Lois, mais de contexte et d'etat d'esprit (tu ne feras pas avec un douanier/policier syrien ce que tu peux t'autoriser avec un flic suedois, car avec une même loi, les répercussions ne seront pas du tout les mêmes).

PGM

@rafi

Donc en pleine nuit en Syrie, tu t' arrètes demander ton chemin a des militaires, qui te repondent en te pointant une arme dessus, en t' insultant et te demande de les suivre seul dans une guerite tu les suis ??

Ouais d' accord ..Je te crois.

rafi a écrit:

De quel massacre le chauffeur les a t-il sauvé alors qu'il suffisait de se rendre au poste?

franchement Rafi.... aller au poste pour finir comme ça:



La il s'agit d'un maire, un "élu" du peuple (je mets des guillemets ) bref, moi j'aurai agis exactement comme eux, je sauve ma peau face à des soldats qui ont la gachette facile au lieu de finir dans un trou à rat pour rien

traverser la Syrie dans ces conditions est un suicide en lui même fallait rentrer en avion, ou passer de la Jordanie au Liban, prendre le bateau pour la Turquie

Les 5 personnes restés entre les mains des syriens ont-elles été massacrées? Non, alors pourquoi massacrer les autres, quel intérêt?

Ta remarque est pleine de bon sens, FAMAS. Pour éviter les problèmes, on ne vas pas là où il y en a.

rafi a écrit:

Les 5 personnes restés entre les mains des syriens ont-elles été massacrées? Non, alors pourquoi massacrer les autres, quel intérêt?

Ta remarque est pleine de bon sens, FAMAS. Pour éviter les problèmes, on ne vas pas là où il y en a.

Qu'est ce qu'on en sait de leur condition pour l'instant rafi? L'incident à eu lieu aujourd'hui.... et je suis pas sur qu'on leur offre des cornes de gazelle avec du thé si tu vois ce que je veux dire

Elles ont été tuées, c'est écrit où qu'elles l'auraient été? j'espère bien que non. Comment ont-elles été traités par les syriens, dont on ne connait pas le point de vue, je n'en ai aucune idée.

Que la police ou l'armée agressent des citoyens syriens, nous sommes d'accord, c'est ignoble (je n'ai jamais accepté la torture et je ne l'ai jamais légitimé de quelque façon que ce soit). Qu'elle fasse de même avec des citoyens turcs, dans la situation actuelle, c'est une autre histoire pouvant entrainer une intervention turque, ce qui n'est pas l'intérêt d'une Syrie aux abois.

Un bus syrien aurait aussi été attaqué à Homs...

Citation :

Meanwhile, in Homs, a separate bus, which had been carrying Syrian civilians, was also reportedly attacked in recent days. Two people are said to have been killed.

http://www.euronews.net/2011/11/21/turkish-convoy-comes-under-fire-in-syria

je me demande si on cherche un casus belli pour une intervention militaire turque en syrie.en tout cas cette agression vient a point nommé

vympel27 a écrit:

je me demande si on cherche un casus belli pour une intervention militaire turque en syrie.en tout cas cette agression vient a point nommé

mon cher vympel dommage mais ce sont les regles du jeu et comme on dit chez nous " zbakni ou bka ou drabni ou msha"

Le bus aurait du passer par l`Irak. Aujourd`hui l`Irak est plus sur que la Syrie.

Histoire de comprendre un peu mieux:


Syrie : des contestations pour raisons économiques et communautaires

http://www.lemonde.fr/proche-orient/infographie/2011/11/23/syrie-des-contestations-pour-raisons-economiques-et-communautaires_1607769_3218.html