Révolte en Syrie.

Rappel du premier message :

Citation :

Syrie : des détenus libérés, appel à la «révolte populaire»

Le régime syrien, confronté à un mouvement de colère, tente toujours de calmer l'opposition. Après un train de réformes annoncé dans la semaine, ce sont des dizaines de détenus politiques, dont des islamistes, qui ont été libérés.

La situation se tend davantage chaque jour en Syrie. Au lendemain d'une grande journée de manifestations réclamant plus de liberté et réprimées dans le sang, des mosquées de Deraa, ville du sud d'où est partie la contestation, ont annoncé le nom des «martyrs» dont les funérailles seraient organisées plus tard dans la journée. Sur une place du centre-ville, les employés municipaux ont balayé les restes d'une statue d'Hafez al-Assad, père de l'actuel président, déboulonnée la veille par des manifestants. Un nouvel appel à manifester a en outre été lancé samedi sur Facebook. Un texte publié sur le réseau social mais non signé appelle à «une révolte populaire» dans tout le pays et notamment dans le sud. La volonté de changement semble se maintenir malgré la violente repression engagée par les autorités.

Vendredi, les manifestations ont donc continué à Deraa, où des dizaines de personnes ont péri depuis le 18 mars, et ont gagné d'autres villes, dont Sanamein, Daael, Damas la capitale, Douma, Banias et Hama. Des militants syriens rapportent qu'environ 200 manifestants ont été arrêtés dans la nuit de vendredi à samedi alors qu'ils participaient à un sit-in près de Damas.

260 détenus libérés

Le pouvoir politique, en place depuis 1963, tente de répondre à ce mouvement. Des réformes ont été annoncées (augmentation des salaires des fonctionnaires, levée envisagée de l'état d'urgence, davantage de liberté de la presse, etc.) Dernier geste en date : la libération d'environ 260 détenus politiques, en grande majorité des islamistes, a affirmé samedi à l'AFP Abdel Karim Rihaoui, président de la Ligue syrienne de défense des droits de l'Homme, basée à Damas. Ce geste «s'inscrit dans le cadre des promesses qu'elles avaient annoncées récemment pour améliorer les libertés publiques en Syrie», a-t-il dit.

Cependant, le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) basé à Londres, a regretté que plusieurs personnes arrêtées lors des récentes manifestations contre le régime soient toujours détenues dans les locaux des services de sécurité, comme le jeune étudiant et blogeur Ahmad Khadifi, arrêté le 23 mars, et le manifestant Mohammad Houriyé, interpellé le 15 mars.

Citation :

Syrie : la fronde s'étend, Damas serre la vis

Les manifestations pour «la liberté» ont essaimé, vendredi, à travers le pays et fait de nouvelles victimes.

À Sanamein, à 40 km au sud de Damas, une marche de solidarité se dirigeant vers Deraa, l'épicentre de la contestation contre le régime, a tourné au drame, vendredi après-midi, lorsque les forces de l'ordre ont tiré sur les frondeurs. Dix-sept d'entre eux auraient été tués, selon un bilan fourni par un militant des droits de l'homme, mais non confirmé de source indépendante.

Malgré un dispositif policier serré et des annonces d'ouverture politique, la «Journée de la dignité» a encore été marquée par de très nombreuses manifestations à travers la Syrie. À Damas, au moins trois cents personnes ont marché, après la prière, vers le souk Hamidiey, en criant «Dieu, la liberté, la Syrie, et c'est tout» , le slogan de ralliement de cette contestation sans précédent contre le pouvoir de Bachar el-Assad. «Des agents de la sécurité étaient postés à chaque coin de rue, raconte un manifestant joint par téléphone. Même dans le quartier chrétien de la Vieille Ville, on savait très bien que les vendeurs à la sauvette étaient des agents des renseignements qui repéraient les manifestants», ajoute notre interlocuteur. Au moins trois d'entre eux auraient été arrêtés par la police.

À Deraa, les forces de sécurité ont également tiré sur des protestataires rassemblés dans le centre-ville, où plus de cent manifestants ont été tués mercredi, selon les associations de défense des droits de l'homme. vendredi, des portraits d'Hafez el-Assad, le père de l'actuel président syrien, ont été brûlés et des slogans hostiles scandés contre Maher, le frère de Bachar, chef de la garde présidentielle.

À Daael, à 30 km au nord de Deraa, trois cents personnes se sont réunies pour crier «Daael et Deraa ne se laisseront pas humilier». Des manifestations ont également eu lieu à Banyas, mais aussi à Hamaa, où le régime bassiste avait écrasé dans le sang une révolte islamiste en 1982, faisant quelque 20 000 morts. Des vidéos sur YouTube ont aussi montré des rassemblements à Homs, au nord-est de Damas, ainsi qu'à Lattaquieh, en pays alaouite, bastion de la minorité au pouvoir.

Un scénario à l'irakienne

Jeudi, pourtant, le régime avait annoncé qu'il envisageait une levée de l'état d'urgence, en vigueur depuis 1963, et entendait octroyer davantage de libertés politiques. Mais les manifestants ne se contentent plus de promesses. «Nous voulons une levée immédiate de l'état d'urgence, assure notre interlocuteur damascène. Pourquoi devrait-on attendre qu'un comité en discute ? Nous connaissons la politique syrienne : un comité, cela veut dire qu'il faudra encore attendre des années.» Et le militant d'ajouter : «Nous sommes fatigués de voir la corruption au sommet de l'État. On aime bien encore le président Bachar. Mais les gens ne supportent plus ceux qui l'entourent et qui s'en mettent plein les poches.»

Déstabilisé comme jamais, le régime syrien n'entend pas céder rapidement. «Il ne veut pas donner l'impression qu'il lâche en position de faiblesse, car il a peur que cela entraîne d'autres demandes», analyse un expert. Le pouvoir mise également sur les divergences entre manifestants. «Les jeunes de Facebook et ceux de Deraa sont les plus radicaux. Ils veulent un changement de régime, ils ne veulent plus accorder une autre chance à Bachar el-Assad», nous affirme, depuis Damas, Hindt Kabawat, une militante des droits de l'homme. «Mais moi, comme beaucoup d'autres, ajoute-t-elle, je ne veux pas du chaos. On veut changer le système, mais pas renverser le régime. En Syrie, n'oubliez pas que si on commence à parler de révolution, cela va dégénérer en luttes sectaires. Beaucoup redoutent un scénario à l'irakienne. Les minorités chrétiennes et alaouites ont peur. Nous devons être prudents. La Syrie n'est pas la Tunisie, où 99 % de la population sont des sunnites. Nous avons besoin d'unité nationale. Le président a encore la possibilité d'agir. Mais il doit le faire rapidement. Dans quelques semaines, ce sera trop tard.»

Les plus modérés des opposants auraient adressé des appels au dialogue aux autorités. Mais, sous l'effet d'une répression accrue, les manifestants les plus ultras sont peut-être en passe de prendre le dessus. vendredi, la rumeur circulait que Bachar el-Assad pourrait se déplacer jusqu'à Deraa. «Qu'il aille là-bas pour présenter des excuses aux familles des victimes», lance notre interlocuteur à Damas.

lefigaro.fr

Citation :

Report: U.S. carrier sent to Syrian coast as tensions flare



Read more: http://dailycaller.com/2011/11/23/report-u-s-carrier-sent-to-syrian-coast-as-tensions-flare/#ixzz1ecPeelCt
USS George H.W. Bush







The USS George H.W. Bush, the Navy’s newest aircraft carrier, has reportedly parked off the Syrian coast. The move comes as the U.S. embassy in Damascus urged Americans to “immediately” leave the country.

“The U.S. embassy continues to urge U.S. citizens in Syria to depart immediately while commercial transportation is available,” began a statement released Wednesday on the embassy website. “The number of airlines serving Syria has decreased significantly since the summer, while many of those airlines remaining have reduced their number of flights.”

In addition to urging citizens to leave the country, CBS News reports that Ambassador Robert Ford, who was recalled from Syria last month due to what the Obama administration called credible threats to his safety, will not return to the country later this month as planned.

Syria’s government has been strongly condemned by the international community following months of state-sponsored violence against political activists protesting the regime of President Bashar al-Assad. The violence is said to have left thousands dead in the country, which is a close ally of Iran and a sponsor of the Islamic terrorist group Hezbollah.

Adding to the sense of danger, Turkey, a NATO member and fierce critic of Assad’s government, recently warned its citizens to avoid traveling through the country after Syrian troops fired on at least two buses carrying Turkish Muslims returning from the annual pilgrimage to Mecca.

Some Arab publications have reported this week that a no-fly zone will soon be put in place over Syria — similar to the one implemented over Libya last spring. And while such reports in the Arab press are often met with skepticism by western observers, the financial news service ZeroHedge flagged down a report from the respected private intelligence company Stratfor stating that CVN 77, better known as the George H.W. Bush, had left the strategically vital Straits of Hormuz for the Syrian coast.

The idea of imposing a no-fly zone over Syria — an increasingly hot topic in Washington, D.C. — was discussed at Tuesday’s CNN Republican debate. Texas Gov. Rick Perry has said he would “absolutely” propose a no-fly zone for the country, but when asked if they would do the same, other Republican presidential candidates remained hesitant.

dailycaller

Citation :

Syrie et Iran prêts à attaquer la Turquie. Erdogan conseille à Assad d’apprendre du sort d’Hitler.
C’est la presse de propagande iranienne qui rapporte la double information. D’un côté, la Syrie a redéployé ses missiles SCUD, de production russe, dans les provinces de Khamis et d’Aïn Divari, situé à proximité des frontières turque. De l’autre, l’Iran menace d’attaquer les installations du bouclier anti-missile de l’OTAN en Turquie
Dans la première information, Bachar el-Assad a particulièrement peur d’une attaque de l’armée d’Erdogan. Assad a parfaitement comprit que la seule menace militaire sur son pays est la menace turque. Ankara est le seul qui aurait la légitimité d’attaquer Assad pour le faire fuir. En cas d’attaque, la population syrienne serait apte à soutenir la Turquie dans ses frappes anti-syriennes.

De son côté, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a accusé le président syrien Bachar al-Assad de lâcheté et lui a conseillé de d’apprendre du sort de Hitler, Mussolini et Kadhafi.

En réponse, Assad a accusé la Turquie de “vouloir faire revivre l’empire Ottoman en écrasant “tous les pays de la région. “

Il y a quelques jours, les troupes syriennes ont tiré sur un autobus rempli de pèlerins turcs revenants de la Mecque.

JSSNEWS

Avec tout le respect que j'ai pour toi Glaivedesion, pour moi JSSnews n'est ni plus ni moins qu'un torchon pour racistes et particulièrement islamophobe.
Je donnerais plus de "débilité" que de crédibilité aux article de ce site.
Qui par l'occasion, aime faire dans le sensationnel sans source.

Bachar ElAssad est con mais pas bête...

BOUBOU a écrit:

Avec tout le respect que j'ai pour toi Glaivedesion, pour moi JSSnews n'est ni plus ni moins qu'un torchon pour racistes et particulièrement islamophobe.
Je ne donnerais plus de "débilité" que de crédibilité aux article de ce site.
Qui par l'occasion, aime faire dans le sensationnel sans source.

Bachar ElAssad est con mais pas bête...

C'est ton point de vue BOUBOU pas le mien,mais neanmoins je le respecte.

Concernant la syrie je ne doute pas personnelement que assad a deployé ces missiles contre la Turquie et contre Israel,je vais apporter quelques infos sur ce forum tout en ne précisant pas ma situation géographique,j'ai constaté derniérement une activité accrue de l'armée de l'air nottament des exercices impliquant des avions de combat qui normalement ne devrai pas avoir lieu dans la mesure ou la meteo etais extrénement mauvaise,j'ai constaté aussi la présence d'helicoptére de combat apache sur la base aerienne prés de chez moi,or ces helicoptéres n'ont normalement rien a faire la bas leurs bases habituel ce situe dans le sud centre du pays,j'ai aussi constater un nombre accrue de reservistes affluant du coté de chez moi,ils participent a des exercices de type 50/50 c'est a dire guerre conventionelle et guerilla,autre chose le centre d'entrainement de l'armée de terre qui est prés de chez moi est en pleine effervessence normalement les seances d'entrainement de tir d'armes legeres et d'armes lourdes sont plus espacer et moin intensives or depuis une semaine ce n'est plus le cas les tirs sont trés soutenues ce qui note une activité accrue des entrainements aux tirs et donc de la preparation aux combats.
Voila pour Israel.

Sur le plan diplomatique et relations militaires je constate que la turquie a recu reccament une delegation d'IAI dans le sud du pays pour l'entretiens des Herons et aussi qu'un nouveau chargé d'affaire israelien a etais nommer ankara ce qui me fait dire que la situation en syrie avec les dangers qu'ils impliquent pour la region ont naturellement proceder aux rapprochement d'israel et de la turquie malgrés de serieuses tensions persistantes.

Tous cela pour dire quoi? que la turquie a desormais de plus en plus les moyens d'intervenir en syrie d'un point de vue militaire et politique c'est d'autant plus vrai que l'armée jordanienne est en etat d'alerte maximal elle aussi,rajoutons a cela la présence militaire accrue des forces americaines dans la region et on ce rend bien compte que le plan irano-syrano-hezbollano-hamas visant a enflammer la region en cas d'attaque sur la syrie et de toute maniére vouer a la defaite ,méme si personne ne doute des coups serieux qu'ils peuvent porter a leurs l'adversaires.

Leurs alliances ne fait pas le poids face a l'otan-la turquie-israel et les pays arabes de la regions .

L'intervention des turcs n'est qu'une question de temps.

La syrie aurait obtenu des S300 des russes ( info ou intoxe ? ) ... info relayé par plusieurs source

http://www.israel7.com/2011/11/la-syrie-a-obtenu-des-missiles-s-300/

GlaivedeSion a écrit:

BOUBOU a écrit:

Avec tout le respect que j'ai pour toi Glaivedesion, pour moi JSSnews n'est ni plus ni moins qu'un torchon pour racistes et particulièrement islamophobe.
Je ne donnerais plus de "débilité" que de crédibilité aux article de ce site.
Qui par l'occasion, aime faire dans le sensationnel sans source.

Bachar ElAssad est con mais pas bête...

Concernant la syrie je ne doute pas personnelement que assad a deployé ces missiles contre la Turquie ,et contre Israel

Tous cela pour dire quoi? que la turquie a desormais de plus en plus les moyens d'intervenir en syrie d'un point de vue militaire et politique c'est d'autant plus vrai que l'armée jordanienne est en etat d'alerte maximal elle aussi,rajoutons a cela la présence militaire accrue des forces americaines dans la region et on ce rend bien compte que le plan irano-syrano-hezbollano-hamas visant a enflammer la region en cas d'attaque sur la syrie et de toute maniére vouer a la defaite ,méme si personne ne doute des coups serieux qu'ils peuvent porter a leurs l'adversaires.

Leurs alliances ne fait pas le poids face a l'otan-la turquie-israel et les pays arabes de la regions .

L'intervention des turcs n'est qu'une question de temps.

Tu vois, je donnerai plus de crédibilité a ce que tu dit toi qu'à JSSnews.
Tu dit ne pas douter du deploiement de missiles syriens en direction d'Israël, mais JSSnews n'en fait point echos et ne parle que de la Turquie, et pour ameuter la comunauté international, JSS y implique une menace également venant de l'Iran.
Mais pas une trace sur une menace contre Israël...

J'ai pour habitude de tomber sur des articles de JSS traitants du sujet, et ils sont spécialisé dans la désinformation et la malinformation volontaire.

Bref.
Par-contre en ce qui concerne ce que tu nome le plan irano-syrano-hezbollano-hamas de destabilisation de la région est a mon sens trés dangereu.
Les chiites etants présents en nombres dans tous les pays du golf sont un vecteur de destabilisation. Et les évenements récents au Bahrein ne doivent pas être oubliés.

et qu'en est il du plan americano israelo turc associé au monarchies du golf pour destabiliser tout le moyen orient personne n'en parle.ensuite dire que les iraniens syriens hezbollah et hamas sont les mechants de l'histoire c'est un peu se foutre de notre intelligence.

vympel27 a écrit:

et qu'en est il du plan americano israelo turc associé au monarchies du golf pour destabiliser tout le moyen orient personne n'en parle.ensuite dire que les iraniens syriens hezbollah et hamas sont les mechants de l'histoire c'est un peu se foutre de notre intelligence.

Tout dépend du degret d'intelligence que l'on dispose,les israeliens,les turcs,les americains et les monarchies du golfe n'ont aucun veritable intéret a destabilliser la region vu que cela empecherai l'onu et les grandes puissances de ce pencher sur le cas de l'iran atomique qui menace tous les pays de la region sauf comme par hasard la syrie et le hezbollahliban.....assad et en diffulcutés,le hezbollah,l'iran et le hamas ont enormément a perdre a syrie,sans parler de l'affaire du TSL
les autres dossiers que la communauté international essaye de gerer dans la région (afghanistan-irak-somalie-pakistan-lybie-yemen...) sont deja tres compliquer alors pourquoi destabiliser d'avantage la region?

par contre il est de l'interet de l'arc chiite de créer des tensions dans la region histoire de multiplier les problémes afin d'empecher la communauté international de ce pencher sur le cas iranien+complices.

Le Maroc lui méme n'est pas dupe il a couper les relations avec l'iran qui ne c'est pas priver d'infester le royaume de ses agents et de ses suppletifs du hezbollah qui ont comploter contre le royaume et des interets etrangers implantés au Maroc.

vympel27 a écrit:

et qu'en est il du plan americano israelo turc associé au monarchies du golf pour destabiliser tout le moyen orient personne n'en parle.ensuite dire que les iraniens syriens hezbollah et hamas sont les mechants de l'histoire c'est un peu se foutre de notre intelligence.

En tout cas il y a formation de 2 blocs dans la région.

Je suis persuadé de l’amélioration des relations turco-israeliennes dans les semaines à venir. Erdogan à toujours dit qu'il n'a pas de problèmes avec le peuple Israélien mais seulement avec certains membre du gouvernement (Netenyahu-Liebermann), de plus il y a beaucoup de pro turc au sein des politiciens (comme Barak; Ben Eliazer), et parmi des militaires de haut rang, et aussi dans le milieu des affaires en Israël (les médias turcs parlent parfois de lobby turc en Israël). Les récentes menacent de l'Iran sur la Turquie devrait amplifier se rapprochement.

empecher l'onu de regler les conflits depuis quand ce machin regle quelque chose et depuis quand les puissances mondiales font du bien dans ce monde?et l'iran atomique qui menace le monde encore une fable mais je ne vais pas debattre avec toi de ce genre de sujet.pour ta gouverne je suis aussi intelligent pour penser qu'une nation ne peut survivre dans une region du monde sans faire la paix avec ses voisins chose que semble negliger les dirigeants de ton pays (meme vos amis vous conseille de faire la paix de braves et pas celle que vous voulez imposer) et ton peuple qui vote pour un gouvernement d'extreme droite et de colons.entre temps pour la syrie c est bien la syrie qui a un territoire occupé par ton pays et pour l'iran c'est bien l iran qui est entouré par des puissances nucleaires qui n'hesitent pas a comploter avec son pire ennemi les americains qui sont a ses portes en iraq et en afghanistan.tu vois les autres aussi ont le droit de se proteger par tous les moyens il n'y a pas qu israel qui monopolise ce droit.

LaikTurkiye a écrit:

vympel27 a écrit:

et qu'en est il du plan americano israelo turc associé au monarchies du golf pour destabiliser tout le moyen orient personne n'en parle.ensuite dire que les iraniens syriens hezbollah et hamas sont les mechants de l'histoire c'est un peu se foutre de notre intelligence.

En tout cas il y a formation de 2 blocs dans la région.

Je suis persuadé de l’amélioration des relations turco-israeliennes dans les semaines à venir. Erdogan à toujours dit qu'il n'a pas de problèmes avec le peuple Israélien mais seulement avec certains membre du gouvernement (Netenyahu-Liebermann), de plus il y a beaucoup de pro turc au sein des politiciens (comme Barak; Ben Eliazer), et parmi des militaires de haut rang, et aussi dans le milieu des affaires en Israël (les médias turcs parlent parfois de lobby turc en Israël). Les récentes menacent de l'Iran sur la Turquie devrait amplifier se rapprochement.

C'est aussi mon sentiment,la dégradation de la situation sécuritaire n'est qu'une question de temps,Israel et la Turquie sont les pays les plus forts de la région et ont plus d'intéréts communs que de points de crispations,erdogan c'est rendu compte que ca politique qui consiste a tous mettre sur le dos sur Israel histoire de faire du buisness avec la dictature arabe a vécu,la region est instable plus que jamais c'est le moment de revenir aux fondamentaux et de faire travailler nos intelligences en commun histoire de mettre en echec ceux qui pense en avoir plus que nous autres.

Nano a écrit:

La syrie aurait obtenu des S300 des russes ( info ou intoxe ? ) ... info relayé par plusieurs source

http://www.israel7.com/2011/11/la-syrie-a-obtenu-des-missiles-s-300/

En fait c'est beaucoup plus vieux tout ça. Les contrats remontent aux années 90.
http://www.missilethreat.com/missiledefensesystems/id.50/system_detail.asp
http://cns.miis.edu/cyprus/s300tdms.htm

Ils ont aussi une cinquantaine de Pantsyr je crois.
Ce sont les seuls moyens de défense aérienne modernes dont ils disposent.

Ils n'ont pas de SA-11 Gadfly???

pierrot1771 a écrit:

Ils n'ont pas de SA-11 Gadfly???

Des SA-2, SA-3, SA-5 SA-6, SA-8, SA-11 mais tous remontent à l'époque soviétique des années 60 et 70.

En matière de détention de missiles tous types confondus (aériens, sols, ...) la Syrie doit être classée 5ème mondialement.
Mais l'armement moderne est beaucoup moins nombreux parmi ce bel arsenal.

Et tu sais si tous leurs systémes sont opérationnels (sauf peut-être les SA-2)???

Les russes sont les premiers partenaires du régime syrien. Avant ils leur vendaient énormément d'armes à prix préférentiel.
Aujourd’hui ils ne le peuvent plus mais envoient toujours régulièrement des équipes de maintenance contrairement à la Libye avec son embargo.
Pour les SA-2/SA-3 selon les dernières nouvelles ils étaient en upgrade. Et il en faut bien puisqu'ils représentent la plus grosse part des missiles air sol qu'ils ont.

http://www.abovetopsecret.com/forum/thread213023/pg1

les russes envoient leur porte avoins l'amiral kouznetsov et plusieurs batiments de guerre en syrie
http://arabic.rt.com/news_all_news/news/572821/

Les Syriens lancent des programmes d'upgrade pour leurs SA-2??? Ils doivent vraiment en avoir beaucoup.

Désolé pour le HS mais quelqu'1 sait à quoi correspond l'upgrade des SA-2 Syriens?

des vidéos que je viens de découvrir :s
https://www.youtube.com/watch?v=5pXL4EtGdZM&feature=relmfu
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=JhMoSr2PRdU
https://www.youtube.com/watch?v=6CEVadjsckA&feature=relmfu

armées turques, Jordanienne, Israelienne en Stand-by la coquotte syrienne est sur le point de s'exploser

Citation :

Arab sanctions find Syria's 7 neighbors on alert. Russian missiles for Assad
DEBKAfile Special Report November 27, 2011, 6:44 PM (GMT+02:00) Tags: Syria Bashar Assad Arab League sanctions Israel Turkey Russia

Russian Yakhont blockade breaker
Twenty-four hours before the Arab League Sunday, Nov. 27, clamped down sanctions on the Assad regime, the first ever against a member state, the armies of Syria's seven neighbors were already scrambling into position on standby on its borders for acts of retaliation. Military suspense mounted after the Arab League vote to cut off transactions with Syria's central bank, withdraw Arab funding from projects and other painful sanctions over Bashar Assad's refusal to halt his crackdown on protest.
DEBKAfile's military sources report Israeli armored brigades pushed forward up to the Lebanese and Syrian borders; Ankara placed three armored brigades, its air force and navy in astate of preparedness, likewise Hizballah and the Lebanese and Jordanian armed forces, while the US and Russia are in the midst of a naval buildup opposite Syrian shores.
Military sources in the Gulf report that 150 Iranian Revolutionary Guards specialists had landed at a military airport south of Damascus on their way to Lebanon to join Hizballah which began bringing its rockets out of their hideouts.
Ahead of the Arab League vote, Qatar and Turkey were reported to be airlifting "volunteers" from Libya to fight alongside the rebel Free Syrian Army, some also transporting weapons, whereas Russia has begun another airlift to deliver top-notch missiles for Assad's forces.
Our sources report the two key items are advanced Pantsir-1 (SA-22 Greyhound) anti-air missiles for breaking a no-fly zone against most types of aircraft should one be imposed and supersonic Yakhont (SS-26) missiles for targeting vessels blockading Syria's shores at a distance of 300 kilometers.
On Nov. 25, DEBKAfile reported:
Israeli and Jordanian armed forces declared a state of preparedness Friday, Nov. 25, after the Syrian General Command accused an "armed terrorist" group of an ambush killing 10 airmen including 6 elite pilots on the Homs-Palmyra road Thursday, "with the involvement of foreign parties, the foremost of which is Israel."
DEBKAfile's military and intelligence sources report the ambush was another of the major operations against Assad regime's most sensitive targets executed by the Free Syrian Army this week.
It took place at a point on the highway east of Palmyra on the fringe of the Syrian Desert and close to the Syrian Air Force base at Tiyas.
The official statement aired on Syrian state TV said the attack claimed the lives of six elite pilots, one technical officer and three technical sub-officers of the airbase.
Our sources add that the rebel army must have penetrated the highest levels of Syria's military intelligence command for the attack and was clearly receiving targeting data from inside the armed forces.
The attack took place two days after the Free Syrian Army using rocket grenade launchers and heavy machine guns smashed into the Air Force Intelligence base of Harasta near Damascus, killing at least 10 Syrian troops. The ruling Baath party headquarters in Damascus was also attacked on Thursday.
The official statement broadcast Friday described the pilots as "qualitatively trained in piloting modern military aircraft" and "prepared to carry out "the sacred duty of liberating the land and restoring the usurped rights."
It went on to say: "The General Command… considers that the beneficiaries of this terrorist act are the enemies of the homeland and the nation, foremost being Israel."
The Syrian military vowed "to cut every evil hand that targets Syrian blood, and decisively confront all who threaten the homeland's security and stability."
The 24-hour lapse between the attack and the official statement indicated the level of dismay and confusion in Damascus over the sudden assault on the most stalwart buttress of the Assad dynasty in the nine-month crisis and a body blow to his regime.
Bashar Assad cannot afford to avoid retaliating. If he does, it will be an admission that the backbone of his armed forces is falling apart and out of control.
Since there is no knowing what form his revenge will take, Israel, Jordan and most likely Turkey too were braced Friday for trouble.
Assad no doubt took into account that bombing Free Syrian Army training bases across the border in Turkey would bring forth a Turkish military strike. So for now, he decided to point the finger at Israel, a reliable standby when the regime has its back to the wall. Jordan, through which large arms supplies reach the Syrian opposition, may seem to Damascus to be easy prey for the bombardment or raid of bases hosting Syrian rebels.
In the heat of the crisis, the Syrian ruler allowed the deadline set by the Arab League of his acceptance of hundreds of monitors go by Friday without an answer. "It is a last chance, a new chance for Syria,” Turkish Foreign Minister Ahmet Davutoglu told reporters in Istanbul at a joint news conference with his Jordanian counterpart Nasser Judeh. By missing the deadline, Damascus faces possible economic sanctions spearheaded by the Arab League, which earlier this month suspended Syrian membership, amid growing international isolation

http://www.debka.com/article/21519/

pierrot1771 a écrit:

Les Syriens lancent des programmes d'upgrade pour leurs SA-2??? Ils doivent vraiment en avoir beaucoup.

Désolé pour le HS mais quelqu'1 sait à quoi correspond l'upgrade des SA-2 Syriens?

bah généralement ça concerne le système radar, le contrôle simultané, la portée/altitude des missiles et la résistance aux contre mesures.
Si tu cherches des détails par contre je ne pense pas que l'armée syrienne ait choisi de les divulguer.

@Cyrax,
C'est clair que l'armée Syrienne est trés discrete; En tout cas, merci pour ta réponse..

Un article intéressant:

Citation :

L'Armée syrienne libre : couverture turque ou faux-nez islamiste ?

Après huit mois d'une sanglante répression qui a coûté la vie à plus de 3500 personnes, le soulèvement contre le régime de Bachar el-Assad est aujourd'hui à un tournant. La révolte est de moins en moins pacifique et de plus en plus militarisée. «À Homs, Idleb, dans trois ou quatre villes autour de Damas ainsi que dans certaines localités près de Daraa au sud, il n'y a plus que des affrontements armés», nous affirme Haytham Mana, le responsable de la Coordination nationale, une des formations de l'opposition syrienne en exil. Première conséquences de cette dérive : le bilan s'est dramatiquement alourdi ces dernières semaines. Aux tortures certes beaucoup plus nombreuses perpétrées par les sbires du régime répondent désormais des actes de vengeance particulièrement sanglants, comme cette récente attaque d'un bus de pilotes (7 tués) près de Homs. Les affrontements confessionnels se durcissent également dans les zones mixtes, là où les ferments de guerre civile sont les plus inquiétants.

Deuxième conséquence : les responsables de la Coordination et leurs rivaux du Conseil national syrien (CNS) sont en passe d'être dépassés par les radicaux, sur le terrain mais aussi en Turquie, où s'est réfugiée l'Armée syrienne libre (ASL), composée de quelques milliers de déserteurs, qui revendique désormais des attaques à la roquette contre ses bâtiments des services de renseignements de Bachar el-Assad. Une délégation du Conseil national, dirigée par son chef, Bouran Ghalioun, est allée s'entretenir lundi dernier avec le colonel Riad el-Assad - sans lien de parenté avec le raïs syrien, ndlr - qui commande l'ASL. Mais la rencontre a été plutôt froide. Et il n'est pas certain que les militaires aient accepté de se plier aux demandes des politiques.

Ghalioun, comme la Coordination nationale, s'opposent à ce que l'ASL attaque la troupe encore loyale à Assad. Pour deux raisons : cela précipiterait une guerre civile qui ferait le jeu du régime, qui en profiterait pour anéantir la contestation. Mais surtout parce que le CNS et la Coordination ne veulent pas être débordés par ceux qui, en coulisses, tirent les ficelles derrière le colonel Assad.

L'agenda des Frères pourrait différer de celui des laïcs

Qui sont-ils ? «Certains membres des Frères musulmans à l'extérieur de la Syrie, y compris en Turquie, et tous ceux qui à l'intérieur ne croient plus en des manifestations pacifiques et veulent désormais en découdre les armes à la main», souligne un membre du CNS, qui reconnait que ces derniers «sont de plus en plus nombreux». Les Frères sont membres du Conseil national, mais à terme, leur agenda pourrait différer de celui des «laïcs», qui composent la principale organisation de l'opposition syrienne.

Un retour en arrière s'impose. A partir de juin, les premières défections au sein de l'armée ont permis la création du Mouvement des officiels libres autour du colonel Hussein Harmoush. Mais depuis son campement turc dans la province d'Hatay, celui-ci refusa de passer sous les fourches caudines des Frères musulmans qui l'avaient approché, relate Haytham Mana. Quelques jours après, le colonel Harmoush était mystérieusement kidnappé par les services de renseignements syriens, grâce à une complicité d'Alevis une branche voisine des alaouites au pouvoir en Syrie au sein de l'appareil sécuritaire turc. Plusieurs responsables de l'opposition syrienne soupçonnent en fait les Turcs d'avoir tout simplement livré Harmoush aux Syriens pour lui faire payer son refus de collaborer avec les islamistes. Constatant leur échec, ces derniers se sont alors retournés vers l'Armée syrienne libre du colonel Assad, plus faible, donc moins à même de résister aux pressions.

Riad el-Assad, une couverture utilisée par les Turcs

Pour un responsable du CNS, «Assad aujourd'hui n'est qu'une couverture utilisée par les autorités turques» qui le cantonnent lui et ses hommes dans une base de la province d'Hatay limitrophe de la Syrie. Le service de renseignements turcs (Milli Istibarat Teskilati) contrôle ses mouvements tandis qu'un agent du ministère des Affaires étrangères répond aux demandes d'entretien que les journalistes souhaitent réaliser avec le chef de l'ASL.

Selon les services de renseignements français, l'ASL est forte de quelques 8000 hommes, mais dans l'ensemble peu habitués aux combats, issus souvent de l'administration de l'armée. La majorité de ses membres sont en fait des appelés qui ne sont pas retournés à leurs casernes à l'issue d'une permission. Localement, ils s'appuieraient sur des milices qui ont décidé de rejoindre la contestation.

Dans ces conditions, on comprend mieux pourquoi l'ASL a tant besoin d'aide et d'encadrement : appui qui lui serait fourni par la Turquie et d'autres pays occidentaux. Un peu comme les rebelles libyens au début de la révolte contre Kadhafi. Sauf qu'avec Damas, les risques de représailles sont autrement plus élevés qu'avec feu le bouffon colonel libyen.

http://www.lefigaro.fr/international/2011/12/01/01003-20111201ARTFIG00504-l-armee-syrienne-libre-couverture-turque-ou-faux-nez-islamiste.php

tres interessant comme article.il faut aussi noter que l'armée comme de larges couches de la population restent encore fidéles au regime meme apres des mois de repression.d'abord parce que les quelques milliers de deserteurs ne sont pas tres importants compte tenu de l'effectif de l'armée syrienne plus de 300 000 hommes +280000 de reservistes sans oublier les milliers de miliciens et forces de securité dont dispose le regime.bashar prefere envoyer l'armée reguliere et ses "shabiha" dirigés par ses cousins pour mater la revolte il n a pas encore lancé ses contingents et unités formées d'alevites et qui comptent des milliers d'hommes pour ne pas donner un caractere de guerre confessionnelle au conflit c'est tres important parce que le regime compte sur le soutien des druzes,chretiens et alevites plus une partie de la bourgeoisie sunnite de la ville de damas qui a soit des craintes des islamistes soit soucieuse de ses privileges.attaquer l'armée et les differentes confessions ne fait que renforcer le regime et conforter ses theses de groupes islamistes infiltrés.