Diplomatie marocaine - Relations internationales

Rappel du premier message :

Je n'ai pas vu de d'enfilade là dessus..

Pour ouvrir, les pays qui n'impose pas de visa pour les citoyens marocains dans le monde:

Citation :

Alistair Burt : Le Royaume-Uni plaide pour un partenariat stratégique avec le Maroc

Yakuza a écrit:

plutot fin 2013,que 8 mois

J'ai suivi penadant dix ans a la TV marocaine et etrangere les debats politico strategiques et so far les meilleures pointures etaient des individus qui appartenaient a la gauche marocaine.Il faut remettre le ministere MAE a la gauche et voire les resultats ,ils etaient inpitoyables et bien experimentes contre le polisario et des diplomates algeriens et sud africains.

juba2 a écrit:

Yakuza a écrit:

plutot fin 2013,que 8 mois

J'ai suivi penadant dix ans a la TV marocaine et etrangere les debats politico strategiques et so far les meilleures pointures etaient des individus qui appartenaient a la gauche marocaine.Il faut remettre le ministere MAE a la gauche et voire les resultats ,ils etaient inpitoyables et bien experimentes contre le polisario et des diplomates algeriens et sud africains.

Faut commencer par nommé Mohamed Tajeddine El Houssaini comme conseiller du Roi au lieu de ce nullard de Fassi Fihri


.

simplet a écrit:

juba2 a écrit:

Yakuza a écrit:

plutot fin 2013,que 8 mois

J'ai suivi penadant dix ans a la TV marocaine et etrangere les debats politico strategiques et so far les meilleures pointures etaient des individus qui appartenaient a la gauche marocaine.Il faut remettre le ministere MAE a la gauche et voire les resultats ,ils etaient inpitoyables et bien experimentes contre le polisario et des diplomates algeriens et sud africains.

Faut commencer par nommé Mohamed Tajeddine El Houssaini comme conseiller du Roi au lieu de ce nullard de Fassi Fihri


.

il ya une différence entre un diplomate de métier et une professeurs universitaire et théoricien , je pense , le clan kerry kenedy a surpris tout le monde , la diplomatie classique pouvait rien faire , notre réaction diplomatique a été bonne , maintenant la seul chose a faire c'est le travaille sur le terrain au sahara , on a pas besoin de leçon à avoir de quelqu'un il faut passé à la régionalisation , et avancé , on s'enfou des autres ...

Citation :

Révélations. Le Maroc, les USA et la Guerre froide


Housni Benslimane, Ali Yata et Ahmed Dlimi, sans parler de Hassan II, étaient tous surveillés de près par les Etats-Unis dans les années 1970… C’est ce que nous apprend la nouvelle livraison des câbles diplomatiques dévoilés par Wikileaks.

Wikileaks sévit de nouveau ! Mais cette fois-ci, le célèbre site de Julian Assange fait dans l’histoire. Le 8 avril dernier, l’opération “Project K” a rendu publics près de 2 millions de documents diplomatiques classés “secret défense” couvrant les années 1973 à 1976. Une somme de câbles regroupés sous le nom de “Kissinger Cable”, du nom de Henry Kissinger, fameux secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères de l’époque. Si les seventies correspondent à la période dite de “détente” de la Guerre froide, ces années n’ont pas moins été rythmées par les soubresauts politiques, les coups d’Etat, les tractations secrètes… Le Maroc n’a d’ailleurs pas été épargné. Socialisme, relations avec l’Union soviétique, armement et manoeuvres politiques : l’Oncle Sam nous surveillait de près.



La peur du rouge

Au mois d’avril 1973, les Américains en poste au Maroc expédient câble sur câble. La Guerre d’octobre a éclaté et le royaume envoie des troupes soutenir les Syriens contre Israël. Concernant leur acheminement vers l’Orient, “une assistance soviétique n’est pas à exclure”, s’inquiètent les Américains, qui découvrent la présence de 35 membres de l’aviation soviétique à Meknès. En mai, ils concluent à “une nouvelle phase” dans les relations maroco-soviétiques. Un cargo et deux navires de débarquement de bataillon d’infanterie auraient été acquis par le Maroc auprès des Russes. Suffisant pour embêter les Etats-Unis, quand bien même les Marocains leur assurent qu’il s’agit là de questions “pratiques et non politiques”. “Il est remarquable, ne manquent pas de noter les diplomates US, que ce rapprochement coïncide avec l’augmentation de l’activité politique du communiste Ali Yata”. La peur du rouge n’empêche pas des émissaires américains de rencontrer le fondateur de l’actuel PPS (Parti du progrès et du socialisme) en octobre 1974. Ils découvrent un homme disposé à collaborer avec Hassan II et le gouvernement et dont l’action, lorsqu’il se déplace à Moscou, semble se résumer à défendre la ligne marocaine concernant le Sahara. En 1975, à l’occasion d’un congrès, l’Oncle Sam comprend que le mouvement communiste ne saurait être une menace : la ligne de Ali Yata semble “relativement modérée” et le parti “très faible”. La légalisation du PPS n’a fait que servir les intérêts du régime selon les Américains, lui “coûtant peu” et lui taillant une image de pouvoir “libéral”. En pleine Guerre froide, au même titre que l’action diplomatique soviétique, les agissements des mouvements communistes et gauchistes, dont certains seraient “tournés vers l’action directe et attirés par une certaine forme de maoïsme”, méritent toute l’attention des équipes diplomatiques. Ces dernières dissèquent les tracts d’Ilal Amam ou encore les manifestes révolutionnaires de la branche armée de l’UNFP (menée par Fqih Basri) qui paraissent dans de petits journaux de gauche libanais.



Derrière les murailles du Palais

Tout au long de ces années houleuses et propices aux retournements de situation, les Américains passent au crible les discours publics, bien au-delà de ceux de la gauche radicale. Ils ne manquent pas de résumer un discours de Hassan II de 1974 sur le “socialisme authentique”, ou les éditos de la presse istiqlalienne à propos de “l’impérialisme US”. De nombreuses rencontres sont organisées avec des personnalités comme le syndicaliste Mahjoub Ben Seddik. De même, un rapport relate point par point une rencontre avec Abderrahim Bouabid datée d’octobre 1974. Le leader de la gauche apparaît alors “moins militant, plus conservateur et disposé à s’accommoder du Palais”. Il s’inquiète de la radicalisation des jeunes suite à la répression, ce qui les rend “incontrôlables, même pour la gauche”, et argue que l’armée “sera une source évidente de changement”.

Une attention particulière est aussi portée aux relations entre la classe politique et le Palais. En août 1974, un rapport est rédigé lorsque le leader de l’UNFP, Abdallah Ibrahim, décline la proposition du roi d’être son émissaire à propos du Sahara. La vie de l’entourage royal est, of course, décryptée. Quelques indiscrétions sur la famille royale vont même filtrer. Ainsi, les Américains attribuent le déclin des relations maroco-tunisiennes à “une remarque indiscrète” du prince Moulay Abdallah. Toujours en 1974, des changements dans l’équipe médicale du Palais sont dûment recensés et un diplomate américain va jusqu’à s’inquiéter de la santé du monarque, avant de déduire qu’il ne s’agirait que d’hémorroïdes…



Contacts avec les galonnés

Un câble de 1976 s’attarde sur la promotion au grade de colonel-major de Ahmed Dlimi, après une période de gel des promotions suite aux tentatives de putsch. “Il est notable que le roi n’ait pas nommé de nouveau général”, lit-on. “Le douloureux souvenir de Oufkir est toujours là”. Un autre câble rapporte une rencontre entre des membres du corps diplomatique et le colonel Housni Benslimane. Les Américains croient savoir que des Tu-114, avions de ligne soviétiques, se ravitaillent au Maroc en vue d’atteindre Cuba pour mener d’éventuels vols de surveillance près des côtes américaines. Ils mettent au courant Benslimane, qui leur aurait assuré que “tout ce qui concerne les Etats-Unis et les activités militaires soviétiques nous concerne aussi. Comme vous le savez, le Maroc est du côté de l’Ouest…”

Comme dans toute relation amicale, chacun peut venir frapper à la porte de l’autre. Le 23 septembre 1976, c’est Benslimane qui aurait exigé une rencontre urgente : un objet volant non identifié, décrit comme un cercle lumineux et métallisé, parfaitement silencieux, a traversé le ciel marocain à une altitude de 1000 mètres et s’est approché du palais de Skhirat. Aussitôt, son interlocuteur lui promet de s’enquérir au plus vite auprès de Washington pour y voir plus clair. Les Américains, heureux de ce contact avec le colonel, dont la relation privilégiée avec le monarque ne passe pas inaperçue, décident d’aller plus en avant. “J’ai décidé d’approcher Benslimane de manière subtile”, écrit un diplomate US. En 1976, lors d’une audience avec le corps diplomatique américain, Hassan II aurait rappelé, comme si besoin était, que le Maroc se rangeait catégoriquement du côté des Etats-Unis. Si le Maroc a soutenu l’indépendance de l’Angola, acquise en 1975, le roi s’inquiète désormais des actions soviétiques dans ce pays, d’autant que l’URSS est dorénavant soutenue en Afrique par le Vietnam et Cuba, dont des ressortissants pourraient être présents du côté de Tindouf. Et le monarque d’ajouter que Moscou pourrait choisir la Mauritanie, maillon faible, comme “cible”. Ne manquant pas de souligner que son pays est “entouré de régimes pro-soviétiques”, il demande alors de l’aide à Washington pour mieux surveiller les allées et venues de la flotte rouge sur les côtes atlantiques et le soutenir dans sa démarche de surveillance de la région.



Marche verte. Les indiscrétions de l’Oncle Sam

Les Etats-Unis ne pouvaient qu’être attentifs au big-bang politique que la Marche Verte promettait d’être. Le 8 juillet 1974, l’ambassadeur américain rencontre le Premier ministre Ahmed Osman, qui lui demande encore une fois d’user de son influence pour que l’Espagne quitte la région sans histoires. Le lendemain, un câble très clair est expédié à Washington : “Dans notre intérêt, le Maroc serait préférable à l’Algérie ou à la Mauritanie comme maître du Sahara. Malgré tout, nous devrions donner l’impression de ne travailler contre aucune des parties concernées”. Le 22 octobre 1975, la diplomatie américaine rencontre cette fois-ci Hassan II. Le monarque est clair : la Marche verte aura lieu. Côté espagnol, les Etats-Unis auraient disposé d’un informateur particulier : le futur monarque Juan Carlos qui, la veille de la Marche verte, informait encore l’ambassadeur américain à Madrid, Wells Stabler, des plans de Franco pour le Sahara…

http://www.telquel-online.com/Actualite/Maroc/Revelations-Le-Maroc-les-USA-et-la-Guerre-froide/566

Apres la bataille gagnee il faut les resultats.Une suggestion,quelqu'un doit donner l'example de professionalisme.Loulichki au UN doit etre virer pour ne pas etre a la hauteur et aussi lent pour ne pas etre predisposer a sniffer tout en avance et etre coller a susan rice tous les jours en plus il a rate l'occasion en or dans le programme de CNN de christine amanpour et il y a d'autres example,c'est maintenant ou jamais de donner un example a tous ceux qui sont dans le MAE et les futures one,pas de rahma.Zero tolerance pour l'amateurisme,zero room for mistake.

juba2 a écrit:

Apres la bataille gagnee il faut les resultats.Une suggestion,quelqu'un doit donner l'example de professionalisme.Loulichki au UN doit etre virer pour ne pas etre a la hauteur et aussi lent pour ne pas etre predisposer a sniffer tout en avance et etre coller a susan rice tous les jours en plus il a rate l'occasion en or dans le programme de CNN de christine amanpour et il y a d'autres example,c'est maintenant ou jamais de donner un example a tous ceux qui sont dans le MAE et les futures one,pas de rahma.Zero tolerance pour l'amateurisme,zero room for mistake.

Et n'oublie pas notre venerable heros el amrani…ouffff

Citation :

La Mauritanie et le Maroc signent 17 accords de coopération

La Mauritanie et le Maroc ont signé mercredi à Nouakchott dix-sept accords dans divers domaines à l'occasion de la tenue de la 7e session de la "grande commission mixte de coopération", en présence du Premier ministre marocain Abdelilah Benkirane.

Ces accords portent sur le pétrole et le gaz, les transports, l'échange de personnes condamnées, le développement industriel et technique, l'éducation et la formation professionnelle, selon un communiqué publié à l'issue de la rencontre.

En ouvrant les travaux de cette commission, le Premier ministre mauritanien, Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, a appelé les hommes d'affaires marocains à investir en Mauritanie, particulièrement dans les secteurs de la pêche, de l'agriculture et de la prospection minière.

Pour sa part, M. Benkirane a prôné la suppression des visas entre Nouakchott et Rabat, estimant que "le niveau des relations entre nos deux pays ne saurait atteindre son apogée tant que le visa est imposé aux ressortissants des deux pays".

M. Benkirane a été reçu par le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz avant son retour au Maroc.

AFP

Pourquoi on n'essayent pas d'uitiliser nos lobbies en US pour inclure le polizbel dans la liste des groupes terroristes ?

ramm a écrit:

Pourquoi on n'essayent pas d'uitiliser nos lobbies en US pour inclure le polizbel dans la liste des groupes terroristes ?

attends l'arrivée de Hilary Clinton à la Maison Blanche ....

marques a écrit:

ramm a écrit:

Pourquoi on n'essayent pas d'uitiliser nos lobbies en US pour inclure le polizbel dans la liste des groupes terroristes ?

attends l'arrivée de Hilary Clinton à la Maison Blanche ....

Inchahalah y a Rebbi !!

j'ai vu hier sur 2M qu'il y aurait aujourd'hui une réunion entre Amrani et la Département d'Etat à Washington

marques a écrit:

ramm a écrit:

Pourquoi on n'essayent pas d'uitiliser nos lobbies en US pour inclure le polizbel dans la liste des groupes terroristes ?

attends l'arrivée de Hilary Clinton à la Maison Blanche ....

hillary possede une experience politique qui en fait une candidate idéale pour la présidence mais je pense que sa santé ne lui permet pas de se présenter a ce poste

Citation :

Alberto Navarro : Le pétrole menace d'être épicentre d'un conflit entre le Maroc et l’Espagne

Lemag : Alberto Navarro est ambassadeur d’Espagne au Maroc, il a donné une interview à un quotidien canarien, y faisant un tour général des grandes questions de la région, impliquant les deux pays.

«Je souhaite que l'extraction d'hydrocarbures, au cas où il y en aurait, ne devienne pas un motif à conflit entre le Maroc et l’Espagne».

Ainsi a déclaré Alberto Navarro dans un entretien accordé par lui, jeudi au quotidien canarien ‘Canarias7’.

«L'Espagne et le Maroc n'ont pas délimité leurs eaux territoriales et c'est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés à relancer le groupe de travail bilatéral qui s'est réuni entre 2003 et 2008. Le Maroc n'accepte pas la ligne médiane car les Iles Canaries ne sont pas un Etat-Archipel mais un Archipel qui appartient à l'Etat espagnol et par conséquent il faut négocier cela», a-t-il expliqué.

Selon Alberto Navarro, qui a été déjà ambassadeur au Portugal, «il y a des précédents à suivre. Nous avons l'exemple du Sud de la Galice (Espagne) et du Nord du Portugal».

«Pour les Canaries et le Maroc, il faut trouver une manière de réaliser une exploitation commune dans la zone non délimitée» a-t-il clamé.

Par ailleurs et parlant de la question du Sahara, Navarro a considéré que la région nord africaine est assez instable pour qu’on lui rajoute une autre source de déstabilisation, allusion faite aux troubles commandés et financés par l’Algérie au Sahara.

«Nous devons tous aider l’ONU à trouver une solution politique qui soit acceptable par les deux parties» a-t-il plaidé.

«Il s'agit d'un conflit qui dure depuis plusieurs années et nous avons assez de problèmes d'instabilité en Afrique», a souligné Navarro qu’il faille apporter de la stabilité et «l'Espagne est en train de le faire» annonce t il.

Evoquant l'accord de pêche actuellement en négociation entre le Maroc et l'Union européenne (UE ), et dont l’Espagne est le principal bénéficiaire, Navarro a souligné que «les négociations sont presque finies et qu'il reste un détail sur une clause», sans la nommer.

http://www.lemag.ma/Alberto-Navarro-Le-petrole-menace-d-etre-epicentre-d-un-conflit-entre-le-Maroc-et-l-Espagne_a70567.html

C'est bien ce que l'on disait, ils l'ont dans l'os, et avec le dossier d'extension de la zee, le maroc va gagner en superficie. D'où le profil bas de l'ambassadeur d'espagne.

Citation :

Govt eager to develop relations with Morocco


The Government is eager to develop relations with Morocco, showing signs of goodwill whenever it can.

The latest move has been the donation of an ambulance to the municipality of Oued Laou, Wilaya de Tetuan, not the first ambulance to make its way to Morocco. It follows a request from the Moroccan representatives. This could be the beginning of a much wider and more important relationship with our southern neighbours.

The thousands of Moroccans who have found employment in Gibraltar over the years is another example of how Gibraltar has been a source of foreign exchange as the comparatively high level of wages here has been a steady income that has helped the northern Moroccan region.

At a military level, the cooperation with Morocco has also featured, with the Royal Gibraltar Regiment taking part in exercises with Moroccan forces.

NEW DRIVE

The new Government has meanwhile initiated a drive in the fields of tourism and trade. There is much that complements this and that side of the Strait.

It remains to be seen how far this development drive can go before it is caught in the wider issue of international relations, given the evident Spanish attitude of seeking to interfere in anything which Gibraltar might get involved in.

The Spanish have trade and political issues with Morocco. We have seen on more than one occasion how the Moroccan navy has acted to stop illegal fishing by the Spanish and how new fishing agreements have been stalled due to serious disagreements.

The political issues over Ceuta and Melilla are also matters of constant concern in Morocco, as well as the Spanish position over the old Western Sahara, which Morocco claims as theirs and where the Spanish, ironically, favour self-determination, in sharp contrast to their position over Gibraltar.

While some of those issues may loom over any attempt at widening relations between Gibraltar and Morocco, there is no doubt that there are potential areas for development.

Tourism is regarded as an obvious one, but here it is a question of what comes first, the chicken or the egg, in that to attract tourism from Morocco to Gibraltar in substantial numbers there is the obvious need to improve communications.

Certainly, Moroccan tourism via Spain is not impossible but those coming from across the Strait would have to go through two frontiers, two countries.

The more attractive proposition is for there to be direct air and sea links with Gibraltar at a level that will help attract more visitors.

In the past, air links have dwindled to a nil position while ferry services have ended with what we now have.

However, it might be possible to re-start air services on a modest scale, with small aircraft, and see how we can move upwards from such a position. The same applies to ferry services.

TWO-WAY TRAFFIC

If we could develop two-way traffic that would help, in that the influx of tourist traffic from Gibraltar to Morocco, and vice versa, could open new avenues in economic development.

In the past there have been air services with Britain which have stopped-over at Gibraltar on their way to Morocco, but for one reason or another they have come to nothing. Cannot they be revived?

It has to be recognised that Britain has been losing interest in her presence in this part of the world, and Anglo-Moroccan relations is a case in point.

The British government appears to think that its sphere of interest in this part of the world ends at Europa Point. As such, wider British interests in this strategically important part of the world has increasingly been taken over by others, instead of Britain using the Rock as a beacon of British enterprise, influencing the wider world around us, in every sphere of human endeavour, for the benefit of all interested parties.

http://www.panorama.gi/localnews/headlines.php?action=view_article&article=10208&offset=0

http://www.lemag.ma/Rabat-Reunion-des-ambassadeurs-russes-au-Maghreb-au-Sahel-et-au-Sahara_a71133.html

Citation :

Rabat : Réunion des ambassadeurs russes au Maghreb au Sahel et au Sahara

MAP - publié le Vendredi 17 Mai 2013 à 09:29 modifié le Vendredi 17 Mai 2013 - 08:29

Rabat - Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Saad Dine El Otmani a coprésidé, jeudi à Rabat, avec le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhail Bogdanov, envoyé spécial du Président russe au Moyen-Orient, une réunion des ambassadeurs de la Fédération russe accrédités au Maghreb et dans des pays de la région du Sahel et du Sahara.

Cette réunion, qui s'est déroulée à huis clos, s'assigne pour objectif d'examiner toutes les questions concernant le Maghreb et la région du Sahel et du Sahara, a indiqué Bogdanov dans une déclaration à la presse au début de ce conclave.

Le responsable russe a également souligné que sa visite au Royaume vise à renforcer les relations bilatérales traditionnelles entre le Maroc et la Russie, et à aller de l'avant dans l'élargissement du dialogue politique entre les deux pays.

Nous espérons réaliser une meilleure coordination avec le Maroc au niveau des Nations unies, et au sein des instances internationales sur les questions régionales, internationales et du Moyen-Orient, a ajouté le ministre qui a dit avoir apprécié la position du Maroc vis-à-vis de ces questions.

Bogdanov a, par ailleurs, qualifié de distingués les liens de son pays avec le Maroc, formant le vÂœu de voir la coopération bilatérale s'intensifier dans les domaines économique, commercial, touristique et des investissements.

Il a, dans ce cadre, rappelé la visite que SM le Roi Mohammed VI avait effectué en Russie en 2002, et qui a été soldée par la signature de la déclaration sur le partenariat stratégique, ainsi que la visite du Président russe, Vladimir Poutine à Rabat en 2006, faisant remarquer que ces déplacements des deux chefs d'Etat ont donné une forte impulsion aux relations bilatérales.

De son côté, El Otmani a déclaré à la presse que la tenue de cette réunion reflète la profondeur des relations russo-marocaines, et le développement positif de ces liens durant les dernières années, soulignant la forte volonté des deux pays de les renforcer davantage dans tous les domaines.

Cette réunion, a-t-il poursuivi, sera l'occasion d'exposer les points de vue respectifs des deux pays sur nombre de questions régionales d'intérêt commun, notamment les défis sécuritaires et l'édification de l'Union du Maghreb arabe.

Outre le vice-ministre des Affaires étrangères, la délégation russe est composée du président du Conseil de l'union des producteurs russe du pétrole et du gaz, Yuriy Chafranki, du vice-président de ce conseil, Gissa Guchetl et du directeur du département du Moyen-Orient et de l'Afrique du nord au ministère russe des Affaires étrangères, Sergey Vershinin.

Ont pris part à cette réunion les ambassadeurs russes accrédités au Maroc, en Algérie, en Tunisie, en Mauritanie, en Libye, au Sénégal, au Mali, en Guinée, au Nigéria, et en Côte d'Ivoire/Burkina Faso ainsi que de hauts responsables au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.

je crois que Rabat est entrain de retirer le tapis russe sous les pieds de l'Algerie

Erdogan sera au Maroc avec des centaines d'hommes d'affaires (au moins 300 hommes d'affaires) entre le 3-6 juin 2013. Ils visiteront aussi la Tunisie et l'Algérie par la même occasion.

Au menu, coopération économique, politique, industrielle et agricole..

http://ekonomi.haber7.com/gundem-veriler/haber/1028327-musiad-erdoganla-kafrikaya-cikarma-yapiyor

Mar7abihom

300 hommes d'affaires !
2 fois plus que les français...en même temps c'est pour 3 pays.

mirage a écrit:

300 hommes d'affaires !
2 fois plus que les français...en même temps c'est pour 3 pays.

Ces hommes d'affaires participeront aux forums économiques dans ces 3 pays. Ils chercheront coopération et affaires.

ils veulent seulement vendre rien investire,la relation economique n´est pas comme on le souhaiterai,pas tres serieux les firmes turques,dernier episode est la sortie de l´un d´eux du chantier du TGV

Yakuza a écrit:

ils veulent seulement vendre rien investire,la relation economique n´est pas comme on le souhaiterai,pas tres serieux les firmes turques,dernier episode est la sortie de l´un d´eux du chantier du TGV

Pas sorti yaku renvoyer in english dismissed,ils n'ont pas suivis ni respecter les cahiers des charges.S'il viennent on leur donnera du Raibi notre boisson national.

Citation :

Espagne : Le Maroc est une menace sérieuse selon le nouveau Conseil National de Sécurité

S’il y a un sujet où la droite en Espagne est à cheval, c’est bien entendu, sur la sécurité. Le gouvernement Rajoy se met à la page et crée son Conseil National de Sécurité. Un SNC qui considère le Maroc comme une menace sérieuse. Les dossiers de conflits avec Rabat sont multiples. Pire, en cas de guerre, Madrid devrait compter sur sa propre armée. Ni l’UE ni l’OTAN ne lui seront d’aucuns secours.

C’est désormais chose faite. L’Espagne a son Conseil National de Sécurité. Le conseil des ministres, du vendredi 31 mai, a donné son feu vert à la création du CNS, présidé par le chef de gouvernement, Mariano Rajoy. La présence du roi n’est souhaitée que lorsqu’il estime que cela est nécessaire. La nouvelle instance, dont les réunions seront tenues tous les deux mois, supplante, de facto, le Conseil de Défense national, chapeauté par le roi. Ce changement atteste, d’une part, de la perte de l’influence de la monarchie sur la scène politique espagnole et d’autre part du rôle prépondérant des civils, et surtout de la présidence du gouvernement, dans la gestion des dossiers sécuritaires. Preuve en est la mise de l’espionnage et du contre-espionnage entre les mains de Mme Soraya Sáenz de Santamaría, une proche de Rajoy.

Le Maroc une menace sérieuse pour la stabilité de l’Espagne

Et qu’en est-il du Maroc dans le nouveau Conseil de Sécurité National du voisin ibérique ? Au-delà des déclarations de bonnes intentions chantant la lune de miel entre Rabat et Madrid, force est de constater que la droite espagnole n’a point changé sa position vis-à-vis du royaume. Sebta et Melilla, les iles (Gomera Chafarinas, Pejeril, Tierra, la Goméra) et les prospections de pétrole dans une zone off-shore à une soixantaine de kilomètres des eaux marocaines, font que Rabat soit qualifié de menace sérieuse pour la sécurité espagnole. Des possibles causes de conflits armés entre les deux pays, dans lesquels Madrid ne pourrait compter que sur son propre arsenal militaire. Tous ses territoires qu’elle occupe ne sont pas reconnus comme faisant partie ni de l’espace géographique de l’Union européenne ni de l’OTAN.

Cette hostilité envers le Maroc n’est pas sans rappeler le document de neuf pages préparé, août 2012, par le ministère de la Défense dans lequel il érige la protection de Sebta et Melilla au rang de « priorité » parce qu’elle sont « à la limite du danger » émanant d’une « menace extérieure ».

Ce durcissement de ton à l’égard du Maroc, selon la Radio Sera (proche du PCE) s’oppose à l’ancienne stratégie élaborée par les socialistes qui évitaient de pointer du doigt directement Rabat et parlaient de « la rive méridionale de la Méditerranée » et du Maghreb qualifiée de « zone prioritaire pour l’Espagne, pour sa proximité et les liens historiques et humains entre les deux rives ».

A quand le conseil de sécurité national marocain ?

La constitution du 1er juillet 2011 le prévoit. L’article 54 y consacré : « Il est créé un Conseil Supérieur de Sécurité, en tant qu’instance de concertation sur les stratégies de sécurité intérieure et extérieure du pays, et de gestion des situations de crise, qui veille également à l’institutionnalisation des normes d’une bonne gouvernance sécuritaire. Le Roi préside ce Conseil et peut déléguer au Chef du Gouvernement la présidence d’une réunion du Conseil, sur la base d’un ordre du jour déterminé ». A un mois de la commémoration du deuxième anniversaire de l’adoption de la nouvelle loi fondamental, le CSS est, encore, en hibernation forcée.

Un état des lieux appelé à durer dans le temps. Et pour cause, la feuille de route des lois que le cabinet Benkirane a remise, au début de cette année, au parlement ne comprend nullement la loi organique du CSS. A-t-il laissé le soin de cette initiative au palais comme il a fait avec le conseil de la régence ?

Yabiladi