Révolte en Syrie.

Rappel du premier message :

socrat a écrit:

C'est vraiment triste ce qui se passe en syrie, le vito sino-russe pousse l'ouest à intervenir indirectement en arment comme il le faut l'opposition syreinne probablement via la turquie ainsi la gurre civile et encore plus de mort, walah les amis ça fait mal au coeur cette situation que dieu leur viennent en aide.

amin y'arab regarder cette video apartir de 12minutes 25 seconde. c'est tres grave (allahoma hada mounkar)

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Syrie : Damas dit "oui" au plan Annan, l'armée au Liban pour poursuivre les opposants
http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/syrie-damas-dit-oui-au-plan-annan-l-armee-au-liban-pour-poursuivre-7091872.html

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le cortège d'Assad attaqué près de Homs (TV)

Le cortège du président syrien Bachar al-Assad a fait l'objet d'une "attaque massive" lors de la visite du chef de l'Etat à Homs, fief de la rébellion dirigée contre le régime de Damas, a annoncé mardi la chaîne de télévision Al-Arabiya.

Le président a interrompu sa visite dans cette ville, a indiqué la chaîne sans fournir plus de détails.

rian

MAATAWI a écrit:

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le cortège d'Assad attaqué près de Homs (TV)

Le cortège du président syrien Bachar al-Assad a fait l'objet d'une "attaque massive" lors de la visite du chef de l'Etat à Homs, fief de la rébellion dirigée contre le régime de Damas, a annoncé mardi la chaîne de télévision Al-Arabiya.

Le président a interrompu sa visite dans cette ville, a indiqué la chaîne sans fournir plus de détails.

rian

Moralitée un criminel reviens toujours sur les lieux du crime ......sauf si une attaque massive est la pour l'en empecher

c'est pas ce qui arretera ses massacres feroces malheureusement...

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Syrie : malgré le plan de paix et le sommet arabe, la répression continue
http://lci.tf1.fr/filnews/monde/syrie-malgre-le-plan-de-paix-et-le-sommet-arabe-la-repression-continue-7098154.html

Selon la télé publique turque, 16 chars et une centaine de soldats viennent de désertés l'armée syrienne et rejoignent la rébellion.

L'attaque contre le BMP m'a l'air raté.sinon quelqu'un peut confirmer l'info comme quoi l'armée syrienne a mene un raid au liban en detruisant des fermes et en affrontant des membes de L'ASL,merci.

GlaivedeSion a écrit:

L'attaque contre le BMP m'a l'air raté.sinon quelqu'un peut confirmer l'info comme quoi l'armée syrienne a mene un raid au liban en detruisant des fermes et en affrontant des membes de L'ASL,merci.

BMP touché.. Détruit ou pas, c'est la question.

L'armée syrienne à menée des raids, à la frontière, à l'intérieur des terres, je sais pas.

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L'Iran défendra le régime syrien, affirme Khamenei

L'Iran défendra le régime de son allié régional la Syrie en raison de sa position anti-israélienne, a indiqué jeudi le guide suprême iranien l'ayatollah Ali Khamenei au Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.

"L'Iran défendra la Syrie en raison de son soutien à la résistance anti-sioniste", a indiqué M. Khamenei en recevant M. Erdogan dans la ville sainte de Machhad (nord), a indiqué la télévisions publique.

"Nous sommes fermement opposés à toute ingérence de forces étrangères dans les affaires internes de la Syrie (....) Des réformes qui ont commencé là bas doivent se poursuivre", a-t-il ajouté.

M. Khamenei a par ailleurs mis en garde contre toute initiative menée par les Etats-Unis pour résoudre le conflit en Syrie affirmant que l'Iran serait "fermement opposé" à un tel projet.

M. Erdogan, cité par la télévision, a indiqué que la région "faisait face à une situation très difficile que la Turquie espère voir réglée".

Alors que l'Iran a toujours affiché son soutien à Damas, la Turquie a rompu avec son voisin et ex-allié syrien en raison de la répression, par le régime, d'une révolte sans précédent.
Elle accueillera dimanche à Istanbul une réunion des pays "amis de la Syrie" pour discuter notamment des moyens permettant de venir en aide à l'opposition syrienne.
Selon l'ONU, plus de 9.000 personnes ont trouvé la mort dans les violences en Syrie depuis le début d'une révolte à la mi-mars 2011.

M. Erdogan est arrivé mercredi en Iran pour une visite de deux jours pour des discussions notamment sur les ambitions nucléaires de Téhéran.

Jeudi, M. Erdogan a affirmé soutenir la position de l'Iran sur le nucléaire lors d'une rencontre avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, a rapporté le site de la présidence iranienne.
Le président Ahmadinejad a "salué la position claire et franche de la Turquie à propos de la question nucléaire iranienne", selon le site.

La Turquie s'est proposée pour accueillir les prochaines négociations nucléaires entre l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Grande-Bretagne, France et Allemagne) qui doivent reprendre le 13 avril, selon le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi.

http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/752348/LIran_defendra_le_regime_syrien,_affirme_Khamenei.html

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La Chine appelle l'opposition en Syrie à répondre au plan de paix de Kofi Annan

La Chine a appelé vendredi l'opposition en Syrie à répondre le plus tôt possible au plan de paix en six points proposé par Kofi Annan, l'envoyé spécial de l'ONU et de la Ligue arabe en Syrie.

"La Chine salue la réponse positive du gouvernement syrien à la proposition de M. Annan. En même temps, nous exhortons l'opposition à donner une réponse prompte et concrète au plan de paix, afin de créer les conditions nécessaires à l'arrêt des violences et au lancement du dialogue politique", a indiqué le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hong Lei, lors d'une conférence de presse régulière.

M. Hong a fait ces remarques, invité à commenter la réponse du président syrien Bachar el-Assad au sommet de la Ligue arabe, qui s'est achevé jeudi à Bagdad, la capitale irakienne.

M. Assad, dans sa lettre aux dirigeants des cinq pays membres du BRICS, a déclaré que son pays avait accepté la proposition en six points de Kofi Annan et déploierait tous ses efforts pour faire de sa mission un succès.

"Nous espérons que le gouvernement syrien mettra en oeuvre le plus tôt possible ses engagements", a ajouté le porte-parole.

"La Chine apprécie le contenu de la déclaration de Bagdad, approuvée par le sommet de la Ligue arabe, concernant le soutien à un règlement politique de la crise syrienne, les efforts de médiation de Kofi Annan, ainsi que l'opposition à toute ingérence extérieure", a souligné M. Hong.

http://french.cri.cn/781/2012/03/30/445s275830.htm

Citation :

Les islamistes essaient de récupérer la révolte syrienne

BEYROUTH (Reuters) - "Au début, les Syriens en appelaient à l'Occident et à l'Otan. Aujourd'hui, ils s'en remettent à Dieu." L'homme qui fait ce constat, cheikh Abou Abdallah Zahed, est un dignitaire sunnite libanais influent auprès de la jeunesse et l'un de ceux qui cherchent à transformer la révolte syrienne en soulèvement islamiste.

Alors que les opposants syriens peinent à surmonter leurs divergences sur l'attitude à adopter face à la répression du régime de Bachar al Assad, les extrémistes religieux entendent faire de l'islam le ciment de la révolte.

Même s'ils restent minoritaires, leur influence croissante est un casse-tête pour l'opposition syrienne qui peine déjà à convaincre les minorités -chrétienne ou kurde- de s'associer à un mouvement dominé par la majorité sunnite.

Les pays occidentaux qui participeront ce week-end à la deuxième réunion des "Amis de la Syrie", à Istanbul, hésitent aussi à apporter un soutien inconditionnel à des insurgés dont ils peinent à savoir qui ils sont et ce qu'ils veulent, en particulier quand vient sur la table la question de leur fournir des armes.

"On ne veut pas se retrouver à soutenir malencontreusement des groupes extrémistes", résume Joseph Holliday, de l'Institut d'étude de la guerre, à Washington. "La question fondamentale, c'est celle de l'avenir. Est-ce que notre implication va mener au meilleur ou au pire?"

RÉSEAUX SALAFISTES

Certains activistes sont inquiets de la série d'explosions à la voiture piégée qui ont secoué plusieurs villes syriennes, dont la capitale Damas. Un groupe inconnu, le Front Al Nousra, a revendiqué ces attaques sur un site internet souvent utilisé par des groupes liés à Al Qaïda.

"Les fondamentalistes sont de plus en plus présents en Syrie et je pense qu'ils sont derrière ces attaques. Je pense aussi que vouloir les contrôler est une bataille perdue d'avance", soupire un militant syrien qui tient à conserver l'anonymat, l'infiltration des islamistes étant un sujet tabou chez la plupart des opposants.

Au Liban, la question fait beaucoup moins débat. "Au début, les révoltés ne brandissaient que le drapeau syrien, désormais certains agitent le drapeau de l'islam", se réjouit cheikh Zahed, dont les murs de la bibliothèque sont couverts de drapeaux islamiques noirs.

Avec sa longue barbe, le dignitaire religieux libanais ne dépareille pas au milieu des salafistes, de plus en plus visibles du front de mer de Tripoli à la région montagneuse frontalière, où de nombreux Syriens -rebelles ou civils- ont trouvé refuge.

Pour accroître leur influence, les salafistes fournissent de la nourriture et de l'argent aux réfugiés. Ils aident aussi les médecins ou les cliniques qui les soignent. "L'Etat n'aide pas les Syriens, alors nous sommes ravis de le faire. Ceux qui viennent ici en repartent avec une pensée plus islamique", explique cheikh Zahed.

APPEL AU DJIHAD?

Cette visibilité croissante des fondamentalistes agace certains activistes, qui dénoncent le risque d'amalgame alors que Bachar al Assad se dit en guerre contre des "groupes terroristes".

"Je veux un Etat pluraliste, démocratique et qui appartient à tous. Pourquoi est-ce que les gens ont peur?", demande un militant syrien réfugié à Tripoli. "Oui, il y a des salafistes et d'autres islamistes dans notre révolution. Tout le monde y participe. Est-ce qu'il faut qu'on rase nos barbes pour faire moins peur? Nous ne sommes pas des terroristes."

Dans le nord du Liban, le terme "terrorisme" ne provoque pas les mêmes réticences chez tout le monde.

"Si les Syriens appellent au djihad, nous déclarerons la guerre sainte, avec l'aide de Dieu. L'Onu pourra toujours la qualifier de terrorisme international si elle le veut", assure cheikh Salem al Rifaï, l'imam d'une mosquée de Tripoli.

Rares sont les religieux syriens qui ont pour le moment franchi cette ligne qui reviendrait à ouvrir la porte aux combattants étrangers. Ce qui n'empêcherait pas des militants libanais, irakiens ou libyens de franchir déjà la frontière pour soutenir leurs coreligionnaires sunnites face à la répression menée depuis des décennies par la famille Al Assad et la minorité alaouite.

Pour ne pas laisser le champs libres aux mouvements les plus radicaux, les pays occidentaux devraient répondre à l'appel de l'Arabie saoudite et du Qatar à armer les rebelles syriens, jugent certains analystes. Mais cette approche est loin de faire l'unanimité, rien ne garantissant que les insurgés ne retourneront pas ensuite leurs armes contre ceux qui les ont aidé.

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120330.REU3046/les-islamistes-essaient-de-recuperer-la-revolte-syrienne.html

On comprends pourquoi, Erdogan à diminuer le pétrole venant d'Iran. Sa concerne l'affaire syrienne.

La face (plus ou moins) cachée des rebelles...

Citation :

An Executioner for Syria's Rebels Tells His Story

Human Rights Watch has condemned abuses committed by Syrian rebels in their stronghold of Homs. But one member of a rebel "burial brigade" who has executed four men by slitting their throats defended his work in an interview with SPIEGEL ONLINE. "If we don't do it, nobody will hold these perpetrators to account," he said.

Hussein can barely remember the first time he executed someone. It was probably in a cemetery in the evening, or at night; he can't recall exactly. It was definitely mid-October of last year, and the man was Shiite, for sure. He had confessed to killing women -- decent women, whose husbands and sons had protested against Syrian President Bashar Assad's regime. So the rebels had decided that the man, a soldier in the Syrian army, deserved to die, too.

Hussein didn't care if the man had been beaten into a confession, or that he was terrified of death and had begun to stammer prayers. It was his tough luck that the rebels had caught him. Hussein took out his army knife and sliced the kneeling man's neck. His comrades from the so-called "burial brigade" quickly interred the blood-stained corpse in the sand of the graveyard west of the Baba Amr area of the rebel stronghold of Homs. At the time, the neighborhood was in the hands of the insurgents.

That first execution was a rite of passage for Hussein. He now became a member of the Homs burial brigade. The men, of which there are only a handful, kill in the name of the Syrian revolution. They leave torture to others; that's what the so-called interrogation brigade is for. "They do the ugly work," says Hussein, who is currently being treated in a hospital in the Lebanese city of Tripoli. He was injured when a piece of shrapnel became lodged in his back during the army's ground invasion of Baba Amr in early March.

He is recovering in relatively safe Lebanon until he can return to Syria and "get back to work." It's a job he considers relatively clean. "Most men can torture, but they're not able to kill from close range," he explains. "I don't know why, but it doesn't bother me. That's why they gave me the job of executioner. It's something for a madman like me."

Before he joined the Farouk Brigade, as the Baba Amr militia is known, last August, the 24-year-old had worked as a salesman. "I can sell everything, from porcelain to yogurt," he says.

How the Rebels Lost Their Innocence

The bloody uprising against the Assad regime has now lasted for a year. And Hussein's story illustrates that, in this time, the rebels have also lost their innocence.

There are probably many reasons for that development. Hussein can rattle off several of them. "There are no longer any laws in Syria," he says. "Soldiers or thugs hired by the regime kill men, maim children and rape our women. If we don't do it, nobody will hold these perpetrators to account."

Another reason, he explains, is the desire for vengeance. "I have been arrested twice. I was tortured for 72 hours. They hung me by the hands, until the joints in my shoulders cracked. They burnt me with hot irons. Of course I want revenge."

His family, too, has suffered. He explains that he lost three uncles, all murdered by the regime. "One of them died with his five children," he says. "Their murderers deserve no mercy."

Most chillingly, Hussein believes that violence is simply in the nature of his society. "Children in France grow up with French, and learn to speak it perfectly," he says. "We Syrians were brought up with the language of violence. We don't speak anything else."

But in spite of all the rebels' justification for their brand of self-administered justice, Hussein's actions fall under what the non-governmental organization Human Rights Watch on Tuesday condemned as "serious human rights abuses" on the part of the Syrian rebels. In the corridors of the hospital in Tripoli, Hussein and his fellow injured comrades speak openly about the fact that they, just like the regime's troops, torture and kill. They find the criticism from the human rights activists unfair: "We rebels are trying to defend the people. We're fighting against slaughterers. When we catch them, we must strike hard," says one fighter, who goes by the nom de guerre Abu Rami.

Alternative Justice System

Over the course of the last year, Homs had developed into the unofficial capital of the revolution. Until a few weeks ago, the rebels controlled whole neighborhoods of the city, especially the district of Baba Amr. But that area was overrun by government troops in early March. The fight between rebels and government forces has now shifted to the neighboring district of Khalidiya.

According to Abu Rami and Hussein, the alternative justice system that the rebels set up in Homs last fall remains intact. "When we catch regime supporters, they are brought before a court martial," they say. The commander of the rebels in Homs, Abu Mohammed, presides over the court. He is assisted by Abu Hussein, the head of the coordinating committee. "Sometimes even more men act as a jury," says Hussein. The interrogation brigade reports on the confessions of the accused. Often the suspects even had videos on their cell phones that showed atrocities being perpetrated against insurgents, the men say. "In that situation, their guilt is established quickly." In the event of a conviction, the prisoners are then handed over to Hussein's burial brigade, which takes them to gardens or to the cemetery. And then Hussein comes along with his knife.

So far, Hussein has cut the throats of four men. Among the group of executioners in Homs, he is the least experienced -- something that he almost seems apologetic about. "I was wounded four times in the last seven months," he says. "I was out of action for a long time." On top of that, he also has other commitments. "I operate our heavy machine gun, a Russian BKC. Naturally I have killed a lot more men with that. But only four with the blade." That will change soon, he says. "I hope I will be released from the hospital next week and can return to Homs. Then those dogs will be in for it."

'Sometimes We Acquit People'

The rebels in Homs began carrying out regular executions in August of last year, shortly after the conflict in the country began to escalate, says Hussein's comrade Abu Rami. In his Adidas tracksuit, he looks like any other convalescent in the hospital. But Abu Rami is a senior member of the Homs militia. The other Syrians in the ward greet him respectfully and pay close attention to his words.

"Since last summer, we have executed slightly fewer than 150 men, which represents about 20 percent of our prisoners," says Abu Rami. Those prisoners who are not convicted and sentenced to death are exchanged for rebel prisoners or detained protesters, he says. But the executioners of Homs have been busier with traitors within their own ranks than with prisoners of war. "If we catch a Sunni spying, or if a citizen betrays the revolution, we make it quick," says the fighter. According to Abu Rami, Hussein's burial brigade has put between 200 and 250 traitors to death since the beginning of the uprising.

He dismisses any doubts about whether these people were really all guilty and whether they received a fair trial. "We make great efforts to investigate thoroughly," Abu Rami says. "Sometimes we acquit people, too."

Apart from anything else, it is simply the nature of every revolution to be bloody, Abu Rami explains. "Syria is not a country for the sensitive."

http://www.spiegel.de/international/world/0,1518,824603,00.html

L'article en allemand... http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,823382,00.html