Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Fév 2012 - 12:51
Rappel du premier message :
LE FISC,CA RAPPORTE: 170 milliards de DH de recettes fiscales en 2011,jamais l etat n a engrangé autant,cela permettera d atténuer grandement le déficit budgetaire,ces recettes ont été realisées malgré le maintien des taux d imposition réstés les memes. Maintenant ,si l actuel gouvernement combat efficacement la fraude fiscale dans ses divers aspects et qu il réussisse a élargir l assiette fiscale aux unités productives de l informel (dont le nombre avoisine UN MILLION selon le DEPF:département des etudes et previsions financieres)le budget de l etat encaissera une somme encore plus substantielle.
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Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 18 Mai 2012 - 17:13
Reuters
Citation :
Morocco to auction 4G licences in 2012 - report
May 18 (Reuters) - Morocco will launch a tender in the autumn to sell 4G licences in a move that may allow the entry of a fourth operator to the market, a business weekly reported on Friday citing the head of the industry's regulator.
"The (telecoms watchog) plans to launch an international tender for this purpose (4G licences) in fall, 2012," Azdine el-Mountassir Billah, head of the Telecommunication Regulatory National Agency (ANRT), said in remarks carried by La Vie Economique.
ANRT plans to award the licences at the start of 2013 and expects they will be operational by the end of that year at the earliest, he added.
An ANRT spokesperson could not immediately comment the report.
Morocco's telecommunications market is dominated by Vivendi's Maroc Telecom, France Telecom's affiliate Meditelecom and Wana, owned by a holding controlled by the Moroccan monarchy and Kuwait's Zain.
While mobile penetration hovers around 110 percent of the 33 million population, Internet subscribers reached only 3.2 million by the end of 2011, rising 70 percent from the previous year, ANRT data shows.
(Reporting By Souhail Karam; Editing by Erica Billingham)
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 18 Mai 2012 - 17:40
Citation :
Le géant suisse de la logistique KUHNE & NAGEL s'installe au Maroc
La liste des entreprises suisses implantées au Maroc vient de s’allonger avec l’arrivée d’un opérateur de taille mondiale. En effet, après Swissport qui vient de gagner le marché du handling (services aéroportuaires allant de l’enregistrement des passagers au traitement des bagages) auprès de l’Office national des aéroports (ONDA), c’est au tour du logisticien Kühne & Nagel de planter son étendard dans notre pays.
Aussi, ce groupe basé à Schindellegi (canton de Schwytz) a-t-il récemment créé une filiale basée à Casablanca. Première implantation au Maghreb de Kühne & Nagel, cette nouvelle entité, dont le capital est entièrement détenu par le holding intermédiaire Kühne & Nagel Participations, compte se positionner sur le créneau de la logistique globale et multimodale combinant transport terrestre, fret maritime et aérien. Un positionnement plus large et ambitieux que celui qu’occupe déjà Panalpina North Africa, la filiale marocaine d’un autre logisticien suisse, en l’occurrence Panalpina dont une bonne partie de son activité au Maroc a été transférée à Timar en 2011 dans le cadre d’un partenariat commercial.
50 000 personnes employées dans le monde
Kühne & Nagel Maroc devrait atteindre rapidement une centaine de collaborateurs et disposer de plusieurs milliers de m2 d’entreposage dans la région de Casablanca dans un premier temps. Un choix logique dans la mesure où la capitale économique se prépare à accueillir à Zenata la première zone du plan national de la logistique, lancé il y a deux ans. Kühne & Nagel dont la création remonte à 1890 est spécialisé dans le domaine de la logistique d’entreposage et de stockage non frigorifique.
Il est numéro quatre mondial dans le segment du fret aérien. En 2011, ce groupe qui emploie plus de 50 000 personnes à travers une centaine de pays a réalisé un chiffre d’affaires de 19,5 milliards de francs suisses (près de 180 milliards de DH), dont à peine moins d’un milliard de francs suisses ont été réalisés sur la région Moyen-Orient et Afrique du nord (MENA). D’où la volonté de renforcer la présence dans cette zone où elle compte une dizaine de filiales notamment au Moyen-Orient. Pour sa part, le résultat net consolidé 2011 a été en stagnation par rapport à celui de 2010, aux alentours de 600 millions (5,5 milliards de DH).
La Vie éco
Citation :
Le Maroc intègre le top 50 mondial de la logistique commerciale !
Le Maroc compte parmi les pays ayant poursuivi des réformes résolues qui leur ont permis d'améliorer leur performance en matière de logistique commerciale, en dépit du ralentissement mondial observé au cours des 2 dernières années dans le contexte de la récession, affirme la Banque mondiale (BM) dans un rapport publié hier à Washington.
Le Maroc est ainsi passé de la 113ème place mondiale en 2007 à la 50ème en 2012 sur la base des Indicateurs de performance logistique (LPI), grâce à la "stratégie globale" mise en oeuvre par le Royaume pour améliorer la logistique et la connectivité et tirer avantage de sa proximité avec l'Europe, souligne l’institution financière internationale dans cette étude intitulée "Connecting to Compete 2012 : Trade Logistics in the Global Economy". La Banque mondiale relève, à cet égard, que le Maroc compte ainsi parmi les pays affichant des améliorations de leurs performances de logistique commerciale "supérieures à la moyenne" dans le groupe des pays à revenu intermédiaire, soulignant que cette performance est le résultat direct de la stratégie globale adoptée par le Royaume en la matière, y compris en ce qui concerne la gestion au niveau des frontières et les investissements importants réalisés dans le cadre du projet Tanger-Med.
Le rapport fait également observer que le Maroc, qui avait investi pour améliorer sa logistique tout au long de la dernière décennie, pourrait développer une industrie de logistique commerciale capable de supporter des chaînes d'approvisionnement beaucoup plus complexes que dans le passé, rappelant à ce propos que le constructeur Renault-Nissan a entamé cette année la production dans son usine de Tanger avec une capacité de 400 000 véhicules destinés à l'export, "une 1ère dans toute l'Afrique".
infomediaire
Dernière édition par L'Antidote le Ven 18 Mai 2012 - 17:43, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 18 Mai 2012 - 17:41
En francais..
Citation :
Le Maroc lancera un appel d'offres pour la 4G à l'automne-presse
vendredi 18 mai 2012 15h45 RABAT, 18 mai (Reuters) - Le Maroc lancera à l'automne un appel d'offres pour des licences 4G, ce qui pourrait permettre au passage à un nouvel opérateur mobile d'entrer sur le marché, rapporte vendredi un hebdomadaire financier marocain.
L'agence nationale de réglementation des télécoms (ANRT) prévoit d'accorder ces licences début 2013, explique son directeur général Azdine El Mountassir Billah dans un entretien accordé à La Vie Économique.
Le marché marocain des télécommunications est dominé par Maroc Telecom, filiale du français Vivendi, par Meditelecom, filiale de France Telecom et par Wana, détenu par une holding contrôlée par la famille royale chérifienne et par le koweïtien Zain.
(Souhail Karam, Nicolas Delame pour le service français, édité par Natalie Huet)
sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Tanger Med 2 bénéficie d'un emprunt obligataire de 136 millions d'euros Ven 18 Mai 2012 - 23:10
Citation :
La société Tanger Med 2 SA, filiale de l'Autorité portuaire Tanger Med (TMPA), en charge du projet d'extension du grand port du nord du Maroc, a levé récemment un emprunt obligataire de 1,5 milliard de dhs (136 M euros), garanti par l'Etat, indique l'agence MAP.
Selon un communiqué de TMPA, cette émission obligataire, réservée aux investisseurs institutionnels de droit marocain, a été entièrement souscrite à des taux de sortie de 4,73% et 5,01%, sur des maturités respectives de 15 et 20 ans.
Cette levée de fonds s'inscrit dans le cadre du plan de financement de Tanger Med 2, au titre de la première phase du projet, dont l'état d'avancement des travaux a atteint 42%, selon l'agence marocaine.
Le financement du projet Tanger Med 2 est assuré d'une part par un apport en fonds propres, et d'autre part, outre cette émission obligataire, par un endettement auquel participent la Banque européenne d'investissement (BEI) et le Fonds arabe pour le développement économique et social.
Le port Tanger Med 2, d'une capacité de 5,2 millions de conteneurs s'ajoutant aux 3 millions de conteneurs du port Tanger Med 1, entrera en service au second semestre 2014, avec la mise en exploitation d'un premier terminal à conteneurs, le terminal 4, d'une longueur de quai de 1.200 m et d'une capacité de 2,2 millions de conteneurs.
La concession du terminal à conteneurs 4 a été attribuée en juin 2009 à Marsa Maroc, qui prévoit un investissement total de 3,5 milliards de dhs (320 millions d'euros) pour l'aménagement de l'ensemble des superstructures et équipements nécessaires au fonctionnement du terminal.
AFP
RadOne Capitaine
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Mai 2012 - 1:14
Toujours à propos de Tanger med, un article de jeune afrique dessus:
Citation :
Maroc : Tanger Med repart à l'abordage
Après une année 2011 difficile, le port marocain de Tanger Med montre de nouveau les dents. Il entend rivaliser avec Algésiras, de l'autre côté du détroit de Gibraltar, pour devenir un haut lieu du transbordement en Méditerranée. Chaque année, quelque 100 000 navires - soit 20 % du trafic mondial - transitent par le détroit de Gibraltar. Sur la rive sud, le port de Tanger Med, qui fêtera ses 5 ans cet été, continue sa montée en puissance. Objectif : devenir l'un des hauts lieux de transbordement de la zone Europe-Méditerranée. Le port marocain, piloté par l'Agence spéciale Tanger Méditerranée (TMSA), est encore loin de sa cible de 8 millions de conteneurs par an, qu'il prévoit d'atteindre en 2016. Le trafic a progressé de 1,7 % en 2011, pour atteindre 2,1 millions de conteneurs manipulés, pour une capacité actuelle de 3 millions. Cette légère hausse est en deçà des attentes de TMSA. Sans une fin d'année socialement tumultueuse, le trafic annuel aurait pu être 15 % plus élevé. Les deux terminaux gérés par APM et le consortium Eurogate Tanger ont subi une baisse d'activité de 70 % pendant les grèves d'octobre et novembre 2011. Après les grèves, les géants CMA CGM et Maersk ont renouvelé leur confiance Alors qu'un navire hongkongais de 200 mètres - le San Francisco -appareille sous ses yeux, Marco Mignogna, président du directoire d'Eurogate Tanger, évoque une période difficile pendant laquelle son entreprise perdait 200 000 euros par jour : « Nos principaux clients ont compris ces tensions sociales comme un problème de jeunesse, et ils nous sont restés fidèles. Mais maintenant, on n'a plus le droit à l'erreur », explique l'Italien, qui affirme que le syndicat majoritaire, l'Union marocaine du travail, est désormais sur la même longueur d'onde que la direction. « Nous avons trouvé une solution avec des hausses de salaires et des primes », indique ce manageur issu de Contship Italia, l'un des principaux actionnaires d'Eurogate Tanger. Le salaire moyen tourne désormais autour de 4 700 dirhams (420 euros) pour les dockers des deux terminaux, après des hausses de plus de 30 % en 2011. Après les grèves, seule la compagnie sud-africaine Safmarine n'est pas revenue à Tanger. Heureusement pour les Marocains, les géants maritimes comme le français CMA CGM ou le danois Maersk ont renouvelé leur confiance, notamment du fait des liens capitalistiques qu'ils entretiennent respectivement avec Eurogate et avec APM, qui leur garantissent des tarifs avantageux.
Un port peut en cacher un autre Quelque 2 200 ouvriers s'activent sur le chantier de Tanger Med 2. Un consortium mené par le français Bouygues Construction y réalise une gigantesque digue de 4,8 km de long en déposant 95 caissons de 24 m de hauteur au fond de l'eau. Celle-ci abritera un bassin de 160 ha et le nouveau terminal de Marsa Maroc, qui doit démarrer en 2014. Sa construction est assurée par le groupement Besix-Somagec. D'ici à 2016, Tanger Med 2 ajoutera une capacité de 5,2 millions de conteneurs aux 3 millions de Tanger Med 1. C.L.B.
La concurrence du frère jumeau Mais les pilotes de Tanger Med n'ont pas oublié l'alerte. Ils savent que des solutions de repli existent à proximité. « Une part du trafic des ports de transbordement méditerranéens est volatile. Comme les compagnies de taille moyenne ne sont pas actionnaires des terminaux, elles se montrent sensibles à tout risque ou variation de la compétitivité », explique un banquier spécialiste du secteur. « Nos opérations de transbordement peuvent être très facilement transférées d'une rive à l'autre du détroit. C'est presque indolore en termes de coûts », confirme le directeur commercial d'une compagnie maritime installée au Maroc et en Espagne. Face à Tanger Med, les ports de Malte, de Valence, de Málaga, mais aussi et surtout d'Algésiras, affûtent leurs armes. En 2011, l'autorité portuaire de la ville andalouse - située à seulement 18 km de Tanger - annonçait un trafic de 3,6 millions de conteneurs. Soit une progression de 27 % qui n'est pas sans lien avec les déboires de fin d'année de son rival marocain.Le tout nouveau terminal multimodal TTI Algeciras, géré par le coréen Hanjin et lancé en mai 2010, est un véritable frère jumeau de Tanger Med. Comme lui, il peut accueillir conteneurs, camions, vrac et produits pétroliers. Au niveau des coûts, les deux ports sont au coude à coude. « Bien sûr, notre main-d'oeuvre est moins chère, explique Marco Mignogna. Mais, comme Tanger Med est un nouveau port, les frais de concession payés à l'État sont élevés. Ce n'est pas le cas à Algésiras, qui est soutenu par des subventions importantes de Madrid. »
Tanger Med parmi les mieux classés Sur les quais marocains, l'heure est à la mobilisation. « Quand nous avons démarré l'exploitation du terminal d'Eurogate Tanger, en 2009, la référence de nos travailleurs, c'était Casablanca : un port dévolu au marché intérieur et qui n'a pas grand-chose à voir avec le transbordement de conteneurs. Nous avons formé des équipes et réduit à dix jours le délai de transfert de marchandises d'un bateau à l'autre. C'est un point très sensible pour les armateurs, pour qui cela signifie des frais moins élevés, détaille l'Italien. Aujourd'hui, nous figurons désormais parmi les ports les mieux classés par CMA CGM. » Commercialement, les opérateurs de Tanger Med se veulent offensifs : « Nous sommes à la croisée de toutes les grandes routes maritimes, affirme Marco Mignogna. Nous voulons devenir incontournables pour le transbordement des marchandises venues d'Amérique latine et d'Extrême-Orient à destination de Dakar, de Nouadhibou, d'Abidjan mais aussi du Cap. À terme, nous souhaitons que les armateurs qui transportent des marchandises du Brésil ou d'Argentine vers l'Europe du Sud-Ouest et l'Afrique de l'Ouest viennent chez nous plutôt qu'à Rotterdam. »
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Maroc : Tanger Med repart à l'abordage | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Mai 2012 - 17:47
Citation :
MAROC: Les besoins en financement des autoroutes s'élèvent à plus de 54 milliards de dhs, 4,9 mds €
Rabat: Les besoins en financement de la construction des autoroutes à l'horizon 2015 s'élèvent à plus de 54 milliards de dhs, (4,9 mds d'euros) alors que le montage financier adopté prévoit 20 pc de fonds propres et 80 pc d'emprunts, a annoncé vendredi à Rabat, le directeur général de la société des Autoroutes du Maroc (ADM), Othmane Fassi Fihri.
ADM a atteint un stade de maturité très avancée avec actuellement un réseau de 1400 km et 1800 km à l'horizon 2015 km, et avec un personnel cadre qui a pratiquement triplé", a-t-il ajouté.
Source: Les Echos 18.05.201
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Mai 2012 - 20:14
Citation :
La BERD se dote d'un fonds spécial dédié aux démocraties arabes
Le Monde.fr avec AFP | 19.05.2012 à 16h50 • Mis à jour le 19.05.2012 à 16h50
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) s'est dotée samedi 19 mai d'un fonds spécial d'un milliard d'euros pour étendre dès cette année ses opérations à quatre "démocraties arabes émergentes", l'Egypte, la Tunisie, le Maroc et la Jordanie. C'est son nouveau président, le Britannique Suma Chakrabarti, qui sera chargé de mettre en oeuvre cette ouverture, après son élection surprise vendredi par les 65 pays et institutions actionnaires réunis en assemblée générale à Londres.
La BERD a déjà ouvert des bureaux au Caire, à Casablanca, Tunis et Amman, dans les quatre pays choisis pour initier son expansion géographique. Les premiers projets devraient démarrer en septembre prochain.
Fondée en 1991 pour favoriser le passage des pays de l'ex-bloc soviétique à l'économie de marché, la banque intervenait jusqu'à présent dans 29 pays d'Europe de l'Est et d'Asie centrale. Elle avait reçu pour mission, lors de sa précédente assemblée générale, de soutenir les démocraties naissantes dans la foulée du "printemps arabe". L'extension de son rayon d'action au sud et à l'est de la Méditerranée avait été souhaitée "par la communauté internationale et les pays de la région", a-t-elle rappelé samedi.
INVESTIR JUSQU'À 2,5 MILLIARDS D'EUROS PAR AN
Ce changement implique un long processus pour modifier à l'unanimité les statuts de la banque. La création du fonds spécial, puisé sur ses réserves propres, va lui permettre de commencer à investir sans attendre la fin de ce processus, qui doit passer dans certains cas par des ratifications parlementaires. Dans les quatre premiers pays arabes choisis, elle concentrera son action "sur le développement du secteur privé, la croissance des petites et moyennes entreprises, l'amélioration des services municipaux, le développement de secteurs financiers stables et l'amélioration des services de fourniture d'énergie".
A terme, la BERD estime qu'elle pourra investir jusqu'à 2,5 milliards d'euros par an dans sa nouvelle zone d'intervention "sans diminuer son engagement dans les pays où elle opère actuellement". Elle y a investi en 2011 un montant record de 9,1 milliards d'euros dans près de 400 projets.
Les actionnaires de la banque avaient déjoué les pronostics vendredi en désignant pour quatre ans à la tête de l'institution le haut fonctionnaire britannique Suma Chakrabarti, un spécialiste du développement. A l'issue d'un vote inédit entre cinq candidats, provoqué par l'incapacité des pays de l'Union européenne à se mettre d'accord en amont comme ils l'avaient fait jusqu'alors, le Britannique a battu notamment le président sortant allemand de la Berd Thomas Mirow, dont le bilan est pourtant largement salué.
Suma Chakrabarti s'est également imposé face au Français Philippe de Fontaine Vive Curtaz, vice-président de la Banque européenne d'investissement (BEI) qui bénéficiait du soutien tacite de Paris et Berlin dans le cadre d'un vaste jeu de chaises musicales incluant une série de postes économiques européens à pourvoir. C'est la première fois depuis la création de la Berd que la présidence échappe à un Français ou à un Allemand.
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Sujet: Re: Économie marocaine Lun 21 Mai 2012 - 18:09
Citation :
Wafa Assurance : Feu vert des autorités tunisiennes
Le Ministère tunisien des Finances, après un avis favorable du Comité Général des Assurances, vient d’octroyer un agrément de principe pour la création d’une nouvelle compagnie d’assurance vie, conjointement détenue par Wafa Assurance et Attijari Bank Tunis (filiale d’Attijariwafa Bank). La création de cette compagnie en Tunisie, considérée comme le 3ème marché d’assurance d’Afrique (hors Afrique du Sud), permet ainsi à Wafa Assurance d’initier sa stratégie de développement régional. A suivre
infomediaire
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Sujet: Re: Économie marocaine Lun 21 Mai 2012 - 22:30
Citation :
IBM to Research Urban Transport Issues in Rabat Team of IBM experts arrives for three-week project funded by IBM Smarter Cities Challenge Grant
Rabat, Morocco - 21 May 2012: As part of the IBM (NYSE: IBM) Smarter Cities Challenge grant program, a team of five IBM experts hailing from three continents has arrived in Morocco. For the next three weeks, they will help devise a plan for a more efficient and better integrated transportation system in the greater metropolitan area of Rabat, including Sale and Temara. Rabat beat 140 other cities around the world to become one of IBM’s Smarter Cities Challenge winners this year. Launched in 2011, the IBM initiative is a three-year, 100-city US$50 million competitive grant program and is IBM's single-largest philanthropic initiative.
Winning cities get the benefit of some of IBM's most talented employees who examine critical top priority urban issues such as transportation, health, housing, economic development and public safety. The IBM team then creates a comprehensive plan of creative solutions which they present to the city's leadership addressing each top priority issue.
Rabat, as the administrative capital of Morocco, hosts all government ministries and embassy headquarters, and has a rapidly growing metropolitan population of 1.8 million people. As a result, Rabat faces increased demand for public transport. As part of the Moroccan National Urban Transport Strategy, transforming the area's transport system has become a priority to help improve the city’s efficiency and demonstrate the sustainability of urban transport for the rest of the country.
In collaboration with the Moroccan Ministry of Interior, the Municipality of Rabat, the Bouregreg Valley Development Agency, Stareo (Greater Rabat Bus transportation Management Company), The National Commission on Urban Transport (NCUT) and The Casablanca Urban Transport Planning and Management Agency, the IBM team will provide insights and recommendations on:
· Governance of the urban transportation sector · Integration of the various transportation modes (Tramway / Bus / Taxi) · Implementation of a sustainable economic model for public transportation · Conducting and implementing change
“IBM is strongly committed to helping cities improve themselves and through this initiative will provide its best talent and expertise to help the city of Rabat develop smarter solutions for urban transport," said Abdallah Rachidi, IBM Morocco Country General Manager.
This is the third IBM team that IBM has sent to Morocco on a pro-bono basis. Earlier this year, a team from IBM's Corporate Service Corps program was involved in several other projects:
· At the Ministry of Agriculture, the IBM team helped design systems to help farmers increase revenue. This included a system that automatically disseminates market prices using phone texts and speech recognition technology. The team also provided advice on establishing international food exchanges and an irrigation advisory system that uses analytics technology.
· At the Ministry of General and Economic Affairs and the Department of Social Economy, a team of IBM employees proposed a national strategy to implement the “Badawi Souk" to increase the revenue of rural entrepreneurs.
· At the ARDI Foundation, the IBM team recommended marketing methodologies for market segmentation and product design, including tactics such as client surveys, word-of-mouth advertising, and an incentive system.
· At the Moroccan Women Network for Mentoring, the IBM team developed a two-year plan to help the organization develop a charter, training manual, blog, social networking guidelines, and web advertising strategy.
Africa is a key priority for IBM's skilled problem-solving efforts. Since its launch in 2008, IBM's Corporate Service Corps has deployed more than 500 IBM employees on approximately 44 teams to South Africa, Tanzania, Nigeria, Ghana, Kenya, Morocco, and Egypt. All told, across 30 different countries, IBM has sent 1,500 employees and executives coming 50 countries on more than 150 team assignments throughout the world via its Corporate Service Corps.
For more information on IBM Corporate Citizenship, please visit www.citizenibm.com. Contact(s) information Ari Fishkind IBM Media Relations 914-499-6420 fishkind@us.ibm.com Nadia Kallel IBM Media Relations +21698485358 tn22240@tn.ibm.com
Citation :
IBM has selected 33 cities worldwide to receive IBM Smarter Cities Challenge grants in 2012. The Smarter Cities Challenge, now in its second year, is IBM's single largest philanthropic initiative, valued at US $50 million. Over three years, the program is deploying teams of top IBM experts to work with 100 cities around the world.
[...]
The cities that have been selected are all different, but they had one clear similarity: the strong personal commitment by the city's leadership to put in place the changes needed to help the city make smarter decisions, said Stanley S. Litow, IBM vice president of Corporate Citizenship & Corporate Affairs, and president of IBM's International Foundation. "These cities demonstrated a desire to set an example for other municipalities, an eagerness to collaborate with multiple stakeholders, and a strong commitment to consider implementing recommendations the city felt would be the most feasible and beneficial to their residents."
Through a competitive selection process, cities identified their top priorities for collaboration with IBM. Winning proposals covered a diverse range of topic ideas including using inhaler and air quality data to identify and reduce the risk of asthma; more precisely measuring vehicle miles to help lower pollution levels; harmonizing bus, rail, bicycle, car and pedestrian modes of transportation; and creating innovative economic and workforce development strategies.
http://smartercitieschallenge.org/
En afrique a cote de Rabat, c'est Accra, Ghana / Nairobi, Kenya et Tshwane, south africa
Parmi la liste de pays, Rabat, Morocco est la seule dans la zone arabo-islamique. alhamdoulillah.
Le peuple marocain doit le comprendre une fois pour toute: l'ideologie n'a plus sa place nulle part, c'est toxique pour notre futur, le XXIemme est le siecle de l'optimisation, du professionalisme.
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 23 Mai 2012 - 3:03
Citation :
Le leader mondial Gemalto s'installe à Rabat
Gemalto, spécialiste mondial de la sécurité numérique, annonce en grande pompe cet après midi à Rabat, l'ouverture de sa filiale au Maroc. Selon le management, cette implantation vise à "renforcer la proximité avec les clients du secteur public au Maghreb». Située au cœur du site de Technopolis, la filiale marocaine comprend une équipe d'experts commerciaux, de conseillers techniques mais surtout d’ingénieurs en recherche et développement. On apprend aussi que Gemalto Maroc compte mener une politique de transfert de compétences dans le domaine des hautes technologies en créant, à Rabat, un pôle d’ingénieurs spécialisés dans les systèmes d’exploitation des logiciels embarqués des documents gouvernementaux, des méthodes de personnalisation de ces documents, de leurs modules de sécurité et des machines et environnements de production. Rappelons qu'en 2010, Gemalto a livré une solution complète "nouvelle génération" pour l’émission du passeport biométrique au Maroc. En matière de télécoms, des opérateurs comme Inwi ont collaboré avec Gemalto. Outre le Maroc, le groupe bénéficie d’une forte présence en Afrique subsaharienne notamment au Sénégal, au Gabon et en Afrique du Sud avec des sites de personnalisation à Cape Town et un site de production à Johannesburg.
les echos
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 23 Mai 2012 - 17:24
PANA
Citation :
FDI: Morocco ranks 2nd in Africa in 2011
Morocco has been ranked second in Africa, behind continental economic powerhouse South Africa, in terms of Foreign Direct Investments (FDIs) in 2011, according to "FDI Intelligence", a Rabat-based subsidiary of the Financial Times Limited.
''The fact that the Alaoui Kingdom comes just after 154-project South Africa and is ahead of 55-project Kenya, as it has attracted another 70 projects in 2011, is a proof of the growing confidence foreign investors have in the business climate of Morocco," the report says.
Morocco has been described as one of the most competitive countries in the region in 2011, with a 40 per cent increase in terms of projects and over 50 per cent growth in investments capital.
FDI in Africa has done more than doubled over the last decade due to the growing optimism of the investors and their confidence in the continent's investments' climate.
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 23 Mai 2012 - 19:54
En français :
Citation :
IDE : Le Maroc et l’Afrique du Sud dominent le classement continental
Le Maroc occupe le 2ème rang en Afrique après l'Afrique du Sud et devant le Kenya dans l'attrait des investissements étrangers directs (IDE) durant l'année dernière, nous apprend un rapport publié hier par FDI Intelligence, filiale de Financial Times Limited. En 2011, le Maroc a attiré 70 nouveaux projets, contre 154 pour l'Afrique du Sud et 55 nouveaux projets pour le Kenya. A noter que le Maroc est l'un des pays les plus performants dans la région en 2011, avec une augmentation de 40% du nombre de projets et plus de 50% de croissance des investissements en capital.
infomediaire
Citation :
Maroc: Eclaircie dans le ciel industriel
Contrairement à ce que prévoyaient les récentes études sur le moral des patrons, ce dernier semble s’améliorer à la fin du mois d’avril. En effet, 51 % des sondés indiquent une amélioration de l’activité en avril, contre 29 % qui estiment qu’elle a stagné et 21 % qui considèrent qu’elle a régressé, soit un solde positif de 30 %.
Un optimisme qui promet de durer
Un optimisme qui s’étend également sur les trois prochains mois. « L’amélioration de l’activité à court terme est anticipée par les opérateurs de l’ensemble des industries à des degrés différenciés », peut-on lire dans la dernière enquête de conjoncture dans l’industrie de Bank Al-Maghrib (BAM). Parallèlement à la hausse de l’activité, les ventes ont également connu une progression par rapport au mois précédent avec un solde d’opinion de 31 %. Au cours des trois prochains mois, les industriels anticipent la poursuite de la hausse des ventes aussi bien locales qu’étrangères. Une tendance qui devrait se poursuivre au cours du prochain trimestre, et ce malgré le renchérissement des prix des produits finis dans l’ensemble des branches sur la même période.
La chimie et la métallurgie en forme
Par secteur, l’enquête fait ressortir une hausse de la production, essentiellement dans les industries chimiques et para-chimiques et les industries mécaniques et métallurgiques, alors que les trois autres branches, notamment agroalimentaire, textile et cuir et électriques et électroniques, ont connu une baisse. Au même titre que pour la production, l’amélioration globale des ventes a été le fait des industries chimiques et para-chimiques, ainsi que des industries mécaniques et métallurgiques. Les nouvelles commandes reçues ont globalement stagné, recouvrant une hausse dans les industries mécaniques et métallurgiques et dans les industries électriques et électroniques et une baisse dans les autres industries. Par ailleurs, au moment où le carnet des commandes est jugé à son niveau normal, les stocks de produits finis sont estimés supérieurs à leur niveau habituel, et pour cause. Le taux d’utilisation des capacités de production a progressé, passant de 73 % à 75 % au niveau global et de 72 % à 73 % hors raffinage. Par branche, il a atteint 79 % dans les industries électriques et électroniques, 78 % dans les industries chimiques et para-chimiques, 72 % dans les industries du textile et du cuir et les industries agroalimentaires, et 69% dans les industries mécaniques et métallurgiques. Quant aux prix des produits finis, le solde d’opinion fait ressortir une hausse se chiffrant à 21 %. Notons que 27 % des réponses indiquent une hausse des prix des produits finis, 67 % une stagnation et 6 % une baisse. Le renchérissement d’un mois à l’autre a concerné l’ensemble des branches à l’exception des industries du textile et du cuir et des industries mécaniques et métallurgiques pour lesquelles les prix des produits finis ont stagné. Ce regain de confiance coïncide avec l’élection d’une femme à la tête du patronat et qui promet d’impliquer davantage « la CGEM dans l’élaboration, le pilotage et le déploiement de programmes sectoriels comme le Pacte national pour l’émergence industrielle (PNEI), destiné à renforcer notre industrie que nous avons, malheureusement, trop longtemps négligée ». Autrement dit, Meriem Bensalah Chaqroun ambitionne de faire de la CGEM « un patronat dynamique et participatif, véritable acteur dans la conception et la mise en œuvre des politiques de développement économique du pays
Ecrit par Sara BAR-RHOUT le SOIR ECHOS MA
metkow Adjudant
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Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 24 Mai 2012 - 1:15
tshaashh a écrit:
PANA
Citation :
FDI: Morocco ranks 2nd in Africa in 2011
Morocco has been ranked second in Africa, behind continental economic powerhouse South Africa, in terms of Foreign Direct Investments (FDIs) in 2011, according to "FDI Intelligence", a Rabat-based subsidiary of the Financial Times Limited.
''The fact that the Alaoui Kingdom comes just after 154-project South Africa and is ahead of 55-project Kenya, as it has attracted another 70 projects in 2011, is a proof of the growing confidence foreign investors have in the business climate of Morocco," the report says.
Morocco has been described as one of the most competitive countries in the region in 2011, with a 40 per cent increase in terms of projects and over 50 per cent growth in investments capital.
FDI in Africa has done more than doubled over the last decade due to the growing optimism of the investors and their confidence in the continent's investments' climate.
Deuxième sur le continent en ce qui concerne les IDE, pas au niveau de l'économie de façon globale. il faut faire attenttion aux titres racoleurs!
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 25 Mai 2012 - 15:01
metkow a écrit:
tshaashh a écrit:
PANA
Citation :
FDI: Morocco ranks 2nd in Africa in 2011
Morocco has been ranked second in Africa, behind continental economic powerhouse South Africa, in terms of Foreign Direct Investments (FDIs) in 2011, according to "FDI Intelligence", a Rabat-based subsidiary of the Financial Times Limited.
''The fact that the Alaoui Kingdom comes just after 154-project South Africa and is ahead of 55-project Kenya, as it has attracted another 70 projects in 2011, is a proof of the growing confidence foreign investors have in the business climate of Morocco," the report says.
Morocco has been described as one of the most competitive countries in the region in 2011, with a 40 per cent increase in terms of projects and over 50 per cent growth in investments capital.
FDI in Africa has done more than doubled over the last decade due to the growing optimism of the investors and their confidence in the continent's investments' climate.
Deuxième sur le continent en ce qui concerne les IDE, pas au niveau de l'économie de façon globale. il faut faire attenttion aux titres racoleurs!
relis le titre
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 26 Mai 2012 - 15:54
Citation :
Maroc - Un taux de croissance de 3,4 pc attendu pour 2012
Le Maroc table sur un taux de croissance économique de 3,4 pour cent pour l’année en cours, tiré essentiellement par les activités non agricoles, a annoncé vendredi la Direction des études et des prévisions financières, relevant du ministère de l’Economie et des Finances.
La valeur-ajoutée agricole connaîtrait un recul limité à 6 pour cent, malgré le repli de la production céréalière de 43 pour cent au cours de la campagne agricole 2011-12 (la récolte céréalière devrait atteindre seulement 48 millions de quintaux), grâce à la performance attendue au niveau des activités de l'élevage, de l'arboriculture fruitière et des cultures, précise un communiqué de la Direction.
Quant aux débarquements de la pêche côtière et artisanale, ils ont affiché une progression de 22 pour cent à fin avril, cette situation s'expliquant notamment par la hausse de 31,8 pour cent des débarquements de la sardine.
La valeur des exportations des produits de la mer a progressé, pour sa part, de 11,8 pour cent en glissement annuel, en lien avec la bonne tenue des exportations des crustacés, mollusques et coquillages, des conserves de poisson et des poissons frais, ajoute la même source.
Concernant les exportations des phosphates, elles ont généré près de 10,9 milliards de dirhams (1 euro = 11,07 dirhams) de recettes à fin mars dernier contre 10,2 milliards un an auparavant, soit une hausse de près de 720 millions de dirhams.
Pour ce qui est des ventes d'électricité, elles se sont raffermies de 12 pour cent lors du 1er trimestre de l'année en cours en glissement annuel.
Concernant la production de l'énergie électrique d'origine hydraulique, la même source fait état d’une baisse de 38,3 pour cent à fin mars dernier après un recul de 59,1 pour cent à fin mars 2011.
A propos du secteur touristique, la Direction note que le nombre d'arrivées s'est établi à 1,7 million de touristes à fin mars, en baisse de 5 pour cent, après une hausse de 6 pour cent une année auparavant.
Les recettes de voyage ont totalisé près de 12,1 milliards de dirhams durant le 1er trimestre 2012, en légère baisse de 0,7 pour cent.
Pana
Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Lun 28 Mai 2012 - 21:38
Citation :
La commission des investissements approuve 35 projets pour un montant de 19,4 MMDH
Rabat - La commission interministérielle des investissements, réunie lundi sous la présidence du chef de gouvernement, M. Abdelilah Benkirane, a examiné et approuvé 35 projets d'investissement pour un montant de 19,4 milliards de dirhams (MMDH), indique un communiqué de la chefferie de gouvernement. MAP
Citation :
C’est acté. 35 projets d'investissements pour un montant de 19,4 MMDH, viennent d’être examinés et validés ce lundi après-midi en commission interministérielle des investissements, sous la présidence du chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane. Dans un communiqué, la primature précise qu’il s'agit de 16 nouvelles conventions d'investissements et de 19 annexes portant amendements de conventions ayant trait à plusieurs secteurs d’activité, notamment l'industrie, l'énergie, les télécommunications, le tourisme, la distribution, ainsi que l'immobilier et le commerce. Au total, ce sont plus de 4.700 postes d'emploi stables et directs que ces projets devraient permettre de créer. Les chantiers approuvés concernent essentiellement les régions de Laâyoune-Sakia El Hamra, Rabat-Salé-Zemmour-Zaër, le grand Casablanca et Tanger-Tétouan. Au début de la réunion, Benkirane a insisté sur la nécessité de présenter un bilan périodique censé évaluer ces conventions et leur contribution à l'activité économique et à l'emploi. Ce suivi régulier devrait également permettre d'identifier les contraintes qui grèvent la réalisation des projets, afin d'adopter les mesures nécessaires pour les dépasser. Abdelkader Aâmara, ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, a de son côté, affirmé que la répartition sectorielle des investissements, démontre une prédominance du secteur de l'énergie avec un investissement de 5,35 MMDH, soit 29%, suivi du tourisme avec 4,18 MMDH (22%). Pour ce qui est des postes d'emploi prévus, le tourisme vient en tête, avec 2.500 postes d'emploi (52%), suivi de l'industrie (1.400 postes, 31%). Concernant le volume des investissements réalisés en partenariat entre des nationaux et des étrangers, il a atteint 10 MMDH, soit 51% du total des investissements prévus, soumis à la Commission, alors que les investissements exclusivement nationaux, viennent en deuxième position avec 4 MMDH (39%).
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jonas General de Brigade
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Sujet: Re: Économie marocaine Mar 29 Mai 2012 - 11:33
Citation :
Business. Made in Turkey
Autoroutes, agroalimentaire, mobilier, distribution… les entreprises turques débarquent en masse. Les enjeux d’une conquête.
Dans un pays où le taux de chômage frôle les 10%, une annonce de ce type ne peut que remonter le moral : “Une entreprise de BTP recrute 3000 techniciens au Maroc. Profils recherchés : chefs de chantier, chefs d’équipe, moniteurs, chaudronniers, etc.”. Cette offre a été lancée l’année dernière par le groupe turc Tekfen. Ce dernier venait à peine de remporter l’appel d’offres du projet de pipeline de l’OCP reliant Khouribga à Jorf Lasfar, en plus de la construction de deux usines de fertilisation. Valeur de l’ensemble de ces projets : 607 millions de dollars. Un montant à rendre jaloux n’importe quel autre opérateur BTP. “Aujourd’hui, on recense 75 entreprises turques installées au Maroc. Elles ont investi un total de 240 millions de dollars et emploient quelque 6200 Marocains”, souligne Selami Incekara, conseiller commercial de l’ambassade de Turquie à Rabat. La diplomatie économique de Recep Tayyip Erdogan est très active au Maroc. Pour être plus proche des milieux d’affaires, Ankara a même ouvert un deuxième bureau de conseil au cœur de Casablanca, ville jumelée, depuis 2009, avec Istanbul, la ville la plus riche de Turquie. “Nous tenons à diffuser en temps réel les informations sur les secteurs d’activité et les appels d’offres ouverts au Maroc”, nous confie la responsable de l’antenne casablancaise.
Vite fait, bien fait…
Pour les firmes turques, le Maroc est un nouveau terrain de chasse, surtout que le pays est un chantier à ciel ouvert. Avant de gagner la confiance de l’OCP, le groupe Tekfen a dû faire ses preuves chez deux autres puissants maîtres d’ouvrage locaux. D’abord chez Autoroutes du Maroc (ADM), en livrant en 2007 l’une des trois tranches de la desserte du port Tanger Med, pour un contrat de 90 millions de dollars. Puis chez le raffineur Samir, qui lui a confié un projet d’extension de sa plateforme à Mohammedia, pour un montant de 40 millions d’euros. Sixième économie européenne, douzième exportateur mondial de ciment, le pays d’Ataturk occupe surtout le deuxième rang mondial du secteur de la construction, juste après la Chine. Le choix des firmes turques s’avère donc parfois incontournable. Cela a été le cas pour Autoroutes du Maroc qui, à deux reprises, a dû faire appel en catastrophe à des entreprises du pays d’Erdogan. Pour le pont Oum Rabii (sur le tronçon Settat – Marrakech), le Turc Dogus avait été appelé à la rescousse quelques semaines après la suspension des contrats respectifs du Serbe Planum et du Marocain Megec. Le deuxième incident trouve son origine dans la défaillance “financière” du Portugais Condirul, adjudicataire initial du projet d’élargissement de la voie reliant Casablanca à Rabat. Suite à cela, ADM a fini par désigner Makyol pour mener à bon port ce chantier qui sera achevé, si tout se passe comme prévu, avant fin 2012. Comment expliquer ce succès des entreprises de l’empire ottoman ? Leur fonctionnement selon une règle triangulaire simple mais efficace : bien faire, moins cher et le plus vite possible. Elles assurent un niveau supérieur de qualité, se contentent d’un niveau minimum de marge bénéficiaire et veillent au respect strict des délais de livraison. “Nous avons bouclé les travaux de certaines zones et nous sommes en train de préparer notre soumission au projet de TGV de l’ONCF”, affirme un dirigeant du groupe turc Yapi Merkezi qui figure parmi les heureux élus de l’appel d’offres du tramway de Casablanca (un contrat de 70 millions d’euros à lui seul). Son concurrent Polat, de même nationalité, a quant à lui déjà laissé sa trace sur la ligne ferroviaire Taourirt – Nador. Un label en vogue De tous les projets BTP confiés aux Turcs, un seul a failli mal tourner : celui impliquant Dogus, sur le tronçon de l’autoroute Asilah–Tanger. L’affaire est aujourd’hui entre les mains de la justice. La diplomatie d’Ankara tente d’apaiser les tensions en sollicitant l’appui des ministres du PJD, allié naturel de l’AKP, parti islamiste au pouvoir en Turquie. “Nos entreprises n’ont aucun souci lorsqu’elles opérent au Maroc et sont parfaitement satisfaites. A l’exception de Dogus, qui souhaite résoudre à l’amiable son litige”, a déclaré l’ambassadeur turc à Rabat, Tunc Ûgdul, lors d’une rencontre organisée début février avec le ministre de l’Equipement et du Transport, Aziz Rabbah. En dehors du secteur de la construction, on peut citer aussi le duel qui opposait jusqu’à une date récente le syndicat des chevillards à un certain Kagnict Mahmut, en sa qualité d’actionnaire majoritaire de la société turque Unlüer, gestionnaire déléguée des abattoirs de Casablanca. Un rapport réalisé par un bureau d’études international avait montré que sa gestion ne respecterait pas le cahier des charges signé avec le conseil de la ville. Le “made in Turkey” commence à avoir le vent en poupe au Maroc. Produits chimiques, fer, acier, textile, cuisinières, fourneaux, portes blindées, mobilier, produits agroalimentaires... le label séduit les clients grâce à des enseignes mondialement connues comme Istikbal, franchise spécialisée dans la décoration d’intérieur. Pareil pour le distributeur Birlesik Magazalar (BIM), que l’on surnomme “le roi des prix cassés”, qui compte ouvrir 400 magasins d’ici fin 2015, contre 80 aujourd’hui. Huit ans après la signature de l’Accord de libre-échange (ALE) entre le Maroc et la Turquie, le bilan penche nettement en faveur d’Ankara. L’ALE a certes boosté les échanges, avec une hausse de 160% sur les cinq dernières années, mais l’offre exportable du royaume est restée concentrée sur un nombre réduit de produits, principalement les phosphates, la pâte à papier et les véhicules industriels. Au total, à fin 2011, le Maroc encaisse 419 millions de dollars à l’export et débourse 921 millions de dollars à l’import. Lorsqu’on sait que les Turcs ambitionnent de porter les flux bilatéraux de 1,3 milliard à 3 milliards de dollars à l’horizon 2015, il y a lieu de s’inquiéter. D’autant que les entreprises marocaines ne pourront même plus revendiquer la préférence nationale puisque, depuis mars, la circulaire du ministre de l’Equipement a majoré de 15% le montant des offres présentées par les entreprises étrangères. La bataille ne fait que commencer…
Textile. Le filon turc
Dans le secteur du textile-habillement, le Maroc est mal placé pour affronter la concurrence d’une industrie turque hautement compétitive, tirée par la disponibilité des matières premières. Cela dit, à la veille de la signature de l’ALE Maroc - Turquie, le gouvernement Jettou a pu négocier une sortie honorable. D’abord en imposant à la partie turque une baisse progressive des droits de douane, étalée sur dix ans. Ensuite, en intégrant la Turquie dans un accord triangulaire avec l’Union Européenne : les produits textile finis marocains destinés à ce marché —intégrant une matière première d’origine turque— bénéficient d’une franchise totale des droits de douane. Cela explique d’ailleurs le poids prépondérant des tissus et fils turcs dans la balance commerciale bilatérale. Mais, les opérateurs locaux constatent une présence de plus en plus massive, en majorité “informelle”, des vêtements turcs au Maroc. Inversement, les produits made in Morocco se font particulièrement rares en Turquie (principalement le jean). Le propriétaire de l’enseigne marocaine Marwa avait l’intention d’ouvrir une antenne à Ankara, avant de renoncer : “Il y a beaucoup de barrières, surtout non tarifaires, à l’entrée du marché turc, nous explique Karim Tazi, PDG de Marwa. Ils font tout pour compliquer la vie aux importateurs”.
telquel
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 29 Mai 2012 - 15:37
Citation :
Morocco to reform subsidies in a month: minister
Reuters
CASABLANCA, Morocco (Reuters) - Morocco plans to reform its costly subsidies system this year, as part of moves to pull key economic indicators out of the red and create employment, the minister in charge of the issue told Reuters on Tuesday.
General Affairs and Governance Minister Najib Boulif said the reforms "will take place within a month at the latest", and that the government does not plan to make other major changes to spending in 2012.
"Our (spending) priorities for 2012 will not change. We will however reform the subsidies system, which should enable us to save a few billions (dirhams) this year," Boulif said on the sidelines of a World Bank competitiveness conference.
Morocco closed 2011 with budget and current account deficits of around 6 percent of its $100 billion GDP - which roughly equates to the amount of money it spent the same year to subsidize wheat, sugar and energy products.
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 29 Mai 2012 - 23:10
La seule maniere de sortir du rouge est d'arreter avec les monopolies,privileges a tout va. Tout le monde doit etre egal que ce soit ce personne s'appelle alaoui,fihri ou meknassi... Jusqu'a ca ne soit reglé le maroc va jamais faire des grandes croissances regulieres
RadOne Capitaine
messages : 815 Inscrit le : 11/10/2009 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 29 Mai 2012 - 23:15
tshaashh a écrit:
Citation :
Morocco to reform subsidies in a month: minister
Reuters
CASABLANCA, Morocco (Reuters) - Morocco plans to reform its costly subsidies system this year, as part of moves to pull key economic indicators out of the red and create employment, the minister in charge of the issue told Reuters on Tuesday.
General Affairs and Governance Minister Najib Boulif said the reforms "will take place within a month at the latest", and that the government does not plan to make other major changes to spending in 2012.
"Our (spending) priorities for 2012 will not change. We will however reform the subsidies system, which should enable us to save a few billions (dirhams) this year," Boulif said on the sidelines of a World Bank competitiveness conference.
Morocco closed 2011 with budget and current account deficits of around 6 percent of its $100 billion GDP - which roughly equates to the amount of money it spent the same year to subsidize wheat, sugar and energy products.
Le prix du pétrole et le prix du sucre vont prendre un coup ...
RadOne Capitaine
messages : 815 Inscrit le : 11/10/2009 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 30 Mai 2012 - 0:39
Morocco Mall : 7 millions de visiteurs en six mois
Citation :
Morocco Mall : 7 millions de visiteurs en six mois
29 mai 2012
Six mois à peine après son inauguration, le Morocco Mall de Casablanca a accueilli pas moins de 7 millions de visiteurs. En moyenne, 58.000 personnes visitent quotidiennement le centre commercial.
La fréquentation du Morocco Mall a augmenté de 50% en avril comparée à mars, et de 20% encore au cours du mois de mai, plaçant ainsi le Morocco Mall parmi les trois plus importants centres commerciaux d’Afrique.
Ces chiffres dépassent de loin les prévisions du groupe Aksal, promoteur du projet, lequel table aujourd’hui sur un chiffre d’affaires de quatre milliards de dirhams d’après Salwa Idrissi Akhannouch, présidente d’Aksal, dans en entretien à Akhbar Al Yaoum.
Toujours d’après Salwa Akhannouch, les Marocains sont friands de marques de luxe. Ainsi les Galeries Lafayette font partie des enseignes attirant le plus de monde avec une moyenne d’achat de 800 dirhams par client. Côté classe moyenne, le Morocco Mall attire principalement pour ses restaurants et parcs d’attraction.
Le mall, qui a nécessité un investissement de deux milliards de dirhams, a été consacré en mars dernier "meilleur mall au monde" par le MIPIM Awards, lors de la 23e édition du "Marché international des professionnels de l’immobilier" de Cannes.
http://www.bladi.net/morocco-mall-visteurs.html
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 30 Mai 2012 - 1:15
benki va répété la même cassette jusqu'a quand? printemp arabe blabla l3am zine blabla , je crois que il se rend toujours pas compte que il est au responsabilité ...
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Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Mer 30 Mai 2012 - 1:52
Je commence à avoir des doutes sur les resultats qu'il peut avoir durant les prochaines législatives ... en tout cas, je pense que le premier coup sera reçu pendant les élections communales.
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leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 30 Mai 2012 - 2:19
Fremo a écrit:
Je commence à avoir des doutes sur les resultats qu'il peut avoir durant les prochaines législatives ... en tout cas, je pense que le premier coup sera reçu pendant les élections communales.
sa c'est certain ,tout cas leurs parti manque de vrai compétence... comme j'ai dis durant les dernières élections , le maroc a encore besoin de technocrate et de ministre manager , les politiciens pur et dure ne sont bon que pour parlé et en temps de crise ils ont pas leurs place , en grèce et en italie les politiciens on laissé place au technocrate pour mené les réformes nous on fait l'inverse ...
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juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 30 Mai 2012 - 6:58
Fremo a écrit:
Je commence à avoir des doutes sur les resultats qu'il peut avoir durant les prochaines législatives ... en tout cas, je pense que le premier coup sera reçu pendant les élections communales.
Agree. Ils sont bien en literature arabe mais quand cela parle du travail et du pragmatism il ya le vide. Ce sont des gens qu'on appellee des academicians ce qui signifies des profs de fact mais pas des gens de terrain. Bien vu fremmo