Enfin ! Quand tu es seul à assumer le destin d'une nation qui plus est entouré de vautour qui ne pensent qu'à leur gueules.Je comprend pourquoi le roi parait de plus en plus fatigué sur les video, et prend autant de vacances !
Le Maroc, un voisin de plus en plus imprévisible et inquiétant
Le Maroc ferait mieux de suivre la dernière résolution du Conseil de sécurité de l’ONU qui l’enjoint, ainsi que le Front Polisario, à reprendre « sans conditions préalables et de bonne foi » les négociations sur le règlement de la question sahraouie. Ceci serait la meilleure manière de rester fidèles à l’histoire commune entre l’Algérie et le Maroc en dépassant les égoïsmes pour construire ensemble le Grand Maghreb. Car la manière avec laquelle Rabat gère l’impasse dans laquelle il se trouve sur le plan stratégique sur la question sahraouie risque d’emporter la région toute entière.
François Soudan est directeur de la rédaction de Jeune Afrique.
Le Maroc a rompu ses relations diplomatiques avec l'Iran le 1er mai, arguant du soutien militaire de Téhéran au Polisario. Les pièces du dossier d’accusation que Nasser Bourita a présenté à Javad Zarif et que JA a pu consulter sont troublantes.
Édito. Nasser Bourita ne s’est jamais pris pour James Bond. Mais en cet après-midi moite du 30 avril 2018, alors que son avion décolle de l’aéroport Maya-Maya de Brazzaville – où il vient d’accompagner le roi Mohammed VI pendant trois jours de visite officielle –, le ministre marocain des Affaires étrangères sait que la partie qui s’annonce ne sera pas facile. Sa mission : se rendre à Téhéran, y rencontrer son homologue et lui annoncer la décision du royaume de rompre toute relation diplomatique avec l’Iran.
Le diplomate de 48 ans ne voyage pas les mains vides : dans son attaché-case, un dossier, des documents, des photos censés prouver les liens étroits entre le parti chiite libanais Hezbollah – particulièrement sa branche militaire – et les indépendantistes sahraouis du Front Polisario, basés en Algérie. Lorsqu’il en prend connaissance, le ministre iranien des Affaires étrangères, le très policé Javad Zarif, ne bronche pas. Il ne dément pas non plus. Tout juste tente-t-il d’expliquer à Bourita que, contrairement aux apparences et aux liens congénitaux qui les unissent, Téhéran ne contrôle pas toutes les activités du Hezbollah. Lorsque le Marocain lui cite les noms de diplomates iraniens en poste à Alger impliqués dans la collusion avec le Polisario, Zarif s’étonne : il s’agit certainement d’électrons libres, dit-il, sur les agissements desquels il promet d’enquêter.
Guérilla Ces arguments, auxquels il s’attendait, ne convainquent évidemment pas Bourita. Annoncé le 1er mai à Rabat, l’acte de rupture n’a d’ailleurs jamais été considéré comme négociable par une partie marocaine sûre de son bien-fondé. Restent les démentis attendus – ceux du Hezbollah, de l’Iran et de l’Algérie, qui s’offusque d’être indirectement accusée – et les mises en contexte géopolitique des analystes, lesquels ont bientôt fait de placer cet incident dans le cadre de l’offensive américano-israélo-saoudienne contre l’Iran et son programme nucléaire. Dans celui, aussi, d’une volonté de rapprochement entre Rabat et Riyad.
Restent surtout les faits, les pièces du dossier d’accusation que Nasser Bourita a présenté à Javad Zarif et que JA a pu consulter : force est de reconnaître qu’ils sont troublants. La première alerte, pour les services marocains, survient en novembre 2016 quand apparaît à Beyrouth, sous l’égide du Hezbollah, un comité de soutien au peuple sahraoui dont les activités, officiellement culturelles, sont largement relayées par les médias proches du parti de Hassan Nasrallah. Le breaking point survient quatre mois plus tard avec l’arrestation à l’aéroport de Casablanca, par lequel il transite entre Conakry et Beyrouth, de l’un des principaux financiers du Hezbollah, l’homme d’affaires libanais Kassim Tajeddine.
Tajeddine, qui possède également les nationalités belge et sierra-léonaise, a fait fortune en Afrique subsaharienne, notamment en RD Congo, où il possède une importante chaîne de distribution. Il fait, surtout, l’objet d’un mandat d’arrêt délivré par Interpol à la demande des Américains pour « financement d’activités terroristes, fraude et blanchiment ». Incarcéré, interrogé par la police marocaine, il est extradé vers les États-Unis le 23 mars 2017.
L’irruption d’un nouvel acteur militaire dans une crise aussi volatile que celle du Sahara est potentiellement explosive Pour le Hezbollah, c’est une déclaration de guerre. Dès lors, tout s’accélère. Au cours de la deuxième quinzaine de mai, une mission du Polisario est repérée dans le bastion chiite de Beyrouth-Ouest. Les noms de ceux qui la conduisent sont soigneusement notés – en particulier ceux de Mustapha Mohamed El Amine, représentant du Front pour le Moyen-Orient, et du conseiller en communication Lahritani Ould Lahcen – ainsi que ceux de leurs hôtes : des responsables du Hezbollah chargés des opérations extérieures. Si l’on en croit les documents consultés par JA, deux délégations de la branche armée du « parti de Dieu » se seraient rendues en juillet et en août 2017 dans les camps du Polisario de la région de Tindouf pour y sélectionner des stagiaires susceptibles de participer à des entraînements de guérilla urbaine.
Plus grave, début avril 2018, en marge d’une réunion tenue entre des cadres de la commission militaire du Hezbollah et les responsables des sept régions des camps de Tindouf, une livraison de missiles Sam 7, 9 et 11 ainsi que de lance-roquettes aurait été effectuée dans un centre d’instruction secret « quelque part à l’est » de cette localité algérienne. À la manœuvre : le numéro deux de l’ambassade d’Iran à Alger, Amir Moussaoui, officiellement conseiller culturel, en réalité cadre important du corps des Pasdaran – c’est tout au moins ce dont sont persuadés les services marocains.
Pyromanie Certes, d’Alger à Téhéran en passant par Beyrouth, tout le monde nie : c’est la règle du jeu. Et nul n’a oublié que, de 2009 à 2014, les relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran avaient déjà été rompues, Rabat reprochant aux diplomates de ce dernier pays leur prosélytisme politico-religieux effréné. Il est clair cependant que l’irruption d’un nouvel acteur militaire dans une crise aussi volatile que celle du Sahara est potentiellement explosive.
Un million de tonnes d’armes ont disparu des arsenaux libyens après la chute de Kadhafi avant d’être disséminées dans toute la région*. Dans ce contexte, vouloir venger une extradition et « punir » un État pour son influence en matière de propagation d’un islam des lumières en jetant de l’huile sur les braises relève de la pyromanie.
Plus grave, début avril 2018, en marge d’une réunion tenue entre des cadres de la commission militaire du Hezbollah et les responsables des sept régions des camps de Tindouf, une livraison de missiles Sam 7, 9 et 11 ainsi que de lance-roquettes aurait été effectuée dans un centre d’instruction secret « quelque part à l’est » de cette localité algérienne. À la manœuvre : le numéro deux de l’ambassade d’Iran à Alger, Amir Moussaoui, officiellement conseiller culturel, en réalité cadre important du corps des Pasdaran – c’est tout au moins ce dont sont persuadés les services marocains.
Pyromanie Certes, d’Alger à Téhéran en passant par Beyrouth, tout le monde nie : c’est la règle du jeu. Et nul n’a oublié que, de 2009 à 2014, les relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran avaient déjà été rompues, Rabat reprochant aux diplomates de ce dernier pays leur prosélytisme politico-religieux effréné. Il est clair cependant que l’irruption d’un nouvel acteur militaire dans une crise aussi volatile que celle du Sahara est potentiellement explosive.
Un million de tonnes d’armes ont disparu des arsenaux libyens après la chute de Kadhafi avant d’être disséminées dans toute la région*. Dans ce contexte, vouloir venger une extradition et « punir » un État pour son influence en matière de propagation d’un islam des lumières en jetant de l’huile sur les braises relève de la pyromanie.
finalement le Maroc a rendu un grand service a l’Algérie, maintenant la junte sera contrainte de demander le départ de Moussaoui. sinon un jour ils ce réveilleront sur une guerre confessionnelle
le serpent en question
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
il s'agit de la Syrie , Trump veut d'une coalition Arabe labas pour remplacer les forces américaines
Trump a sollicité au pays du Golf le financement pour ces troupes stationner en Syrie pour la lutte anti-terroriste , c'est l'Arabie qui a proposé par trois fois l’envoie de ces propres troupes sur le terrains en échange , cela étant plus bizarre que le territoire des trangos a été totalement repris , sa prépare quelque chose de gros , un article de yabiladi posté sur le topique news FAR , fessait mention de cette possibilité (déploiement de troupes arabes conjointe en syrie) ,
Pour revenir au Maroc ,remarqués l'attitude du Koweït depuis un certains temps vis à vis du Maroc ; boulette maladroite (ou pas) au conseil de Sécu a l'ONU ,message de soutien inexistant ou quasi-timide sur l'affaire pliz/iran et si vous vous rappelez le seul pays du CCG avoir refuser de boycotter le forum Afrique /CCG lors de la présence du poliz ..............il y a quelques choses entre le Maroc et ce pays .....ou pas .
Les pays qui participeront à la coalition en Syrie devront s'opposer à la Turquie. Erdogan attend les élections pour mener une autre opération dans la région de Manbij entre autre. C'est la zone d'influence de la Turquie.
PGM Administrateur
messages : 11663 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
cette histoire de coalition en Syrie, c'est du bidon. Quels seraient les objectifs de cette coalition ? la fin de daech en Syrie ne justifie pas une quelconque intervention dans ce pays. entre la présence iranienne, russe et turque, je ne vois pas bien ce que des pays tiers viendraient faire dans ce merdier. C'est juste un coup de pression en direct de téhéran.
cette histoire de coalition en Syrie, c'est du bidon. Quels seraient les objectifs de cette coalition ? la fin de daech en Syrie ne justifie pas une quelconque intervention dans ce pays. entre la présence iranienne, russe et turque, je ne vois pas bien ce que des pays tiers viendraient faire dans ce merdier. C'est juste un coup de pression en direct de téhéran.
Il ne faut pas avoir l'EI, il faut voir plus loin PGM, le but est de couper le croissant chiite. Le Heezb a gagné les élections au Liban et ils ont détruit tous les signes d'Hariri hier soir et défilent comme des supplétifs de l'Iran. Pour les pays du Golfe, le plus danger est l'Iran et ils feront tout pour casser ce croissant. Le soucis, ca sera les conflits d'intérêts avec d'autres puissances. L'EAU qui occupe l'île de Socotra au détriment du Yémen, quelque chose se prépare.
PGM Administrateur
messages : 11663 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
le passage du croissant chiite par la syrie n'est lié qu'a Assad en personne. dans un pays essentiellement sunnite, il est peu probable qu'a moyen terme ce pays reste une base arrière iranienne. on en fait trop autour de la menace chiite. Les pays du golfe, KSA en tête ont hysterisé ce dossier au delà du raisonnable. il n'y guère, en dehors de l'iran, que 1 ou 2 pays ou les chiites sont majoritaires. Ils ne peuvent valablement "menacer" +300 millions de sunnites
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Fox-One General de Division
messages : 7911 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Selon un article de goud, le maroc est plutot appelle a remplacer la france au Mali, le maroc doit securiser son arrière pays et chasser les rats vers leur zoo d'où ils sont venus
Shugan188 Modérateur
messages : 5257 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Selon un article de goud, le maroc est plutot appelle a remplacer la france au Mali, le maroc doit securiser son arrière pays et chasser les rats vers leur zoo d'où ils sont venus
On a ni les moyens matériels ni humains pour une expédition pareille , je pense que goud fantasme.S'il y remplacement des français ça serait les américains .
Fox-One General de Division
messages : 7911 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Selon un article de goud, le maroc est plutot appelle a remplacer la france au Mali, le maroc doit securiser son arrière pays et chasser les rats vers leur zoo d'où ils sont venus
On a ni les moyens matériels ni humains pour une expédition pareille , je pense que goud fantasme.S'il y remplacement des français ça serait les américains .
Les américains n'y vont jamais seuls ! Pourquoi a ton avis l'edition de AF 18 etait plus intense.
PGM Administrateur
messages : 11663 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Selon un article de goud, le maroc est plutot appelle a remplacer la france au Mali, le maroc doit securiser son arrière pays et chasser les rats vers leur zoo d'où ils sont venus
la France ne va jamais quitté le Mali, les américains sont en embuscade n'attendent que ça pour la remplacer a jamais dans l’Afrique de l'ouest
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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Shugan188 Modérateur
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Selon un article de goud, le maroc est plutot appelle a remplacer la france au Mali, le maroc doit securiser son arrière pays et chasser les rats vers leur zoo d'où ils sont venus
On a ni les moyens matériels ni humains pour une expédition pareille , je pense que goud fantasme.S'il y remplacement des français ça serait les américains .
Les américains n'y vont jamais seuls ! Pourquoi a ton avis l'edition de AF 18 etait plus intense.
Les américains ont commencé à accroître leur présence militaire dans le Sahel , s il y a participation marocaine ca serait probablement du partage des renseignements .Chose que ,je pense ,on fait déjà avec les français .
HASSAN-3 1ere classe
messages : 77 Inscrit le : 13/04/2018 Localisation : FRANCE Nationalité :
#Algérie #Maroc Une démonstration de muscles à la frontière avec le Maroc qui se veut une «riposte» à l’exercice «African Lion» mais qui trahit un degré élevé de panique chez une armée inexpérimentée et peu professionnelle
Selon un article de goud, le maroc est plutot appelle a remplacer la france au Mali, le maroc doit securiser son arrière pays et chasser les rats vers leur zoo d'où ils sont venus
La France restera en Afrique, elle défend avant toute chose ses intérêts stratégiques. Il faut pas qu'on intervienne sur place même pour aider notre allié FR c'est de la perte d'argents pour un ennemi fabriquer de toute pièce par notre voisin de l'est ( les cadres d'al-quaida sont presque tous DZ).
Des parlementaires algériens à Rabat pour mieux défendre l'Iran et le Hezbollah?
Une forte délégation de parlementaires algériens est attendue à Rabat. Si certains médias locaux parlent d'une «initiative d'apaisement», une source contactée par Yabiladi avance une autre version.
La capitale marocaine accueille, les 8 et 9 mai, une nouvelle session de l'Union parlementaire arabe. Les travaux commenceront dès demain par une réunion de la Commission des affaires étrangères consacrée à l'examen des résolutions adoptées lors du dernier sommet de la Ligue arabe de Dahran en Arabie saoudite du 15 avril, indique l'instance dans un communiqué publié sur son site.
Cette édition verra la participation d'une forte délégation algérienne qui sera conduite par Aziz Bezzaz, le vice-président de la Chambre haute. Le quotidien algérien Echourouk a interprété le niveau élevé des représentants du voisin de l'Est à Rabat comme une initiative d'«apaisement».
Un autre son de cloche
Les relations entre les deux pays traversent, en effet et depuis des mois, une zone de turbulence. Après un face-à-face plus au moins à fleurets mouchetés au Conseil de sécurité sur les incursions des éléments armés du Polisario dans les zones tampons, la décision du royaume de rompre ses relations avec l'Iran et la vive réaction qui s'en est suivie de l'Algérie ont davantage ajouté de l'huile sur le feu.
Néanmoins, l'optimisme affiché par la publication conservatrice Echourouk est exagéré et tranche avec la politique marocaine adoptée par le pouvoir en place. «Cette présence est à placer dans son propre contexte. Une forte délégation algérienne est à même de mieux défendre et adoucir le ton de certaines résolutions condamnant l'ingérence de l'Iran et du Hezbollah dans les affaires internes du Maroc et dans d'autres Etats arabes», nous confie une source proche du dossier.
«Cette question devrait animer les travaux de la nouvelle session de l'Union parlementaire arabe. La délégation marocaine est appelée à saisir l'occasion pour arracher le soutien de l'instance», ajoute-elle.
En mars 2016 à Tunis, les ministres arabes de l’Intérieur avaient classé le Hezbollah comme une organisation terroriste. L'Algérie avait tenu à prendre ses distances avec une telle résolution.
«Toute décision concernant ce mouvement doit émaner des Libanais eux-mêmes. Le Hezbollah est un mouvement politico-militaire qui fait partie du paysage social et politique du Liban et qui participe aux équilibres fragiles patiemment et laborieusement négociés dans ce pays», avait expliqué le ministère algérien des Affaires étrangères.
yabiladi
Si Echourouk dis vrai dans ceux qu'il avance , alors l’Algérie est de toute évidence devenue un larbin iranien .
Fox-One General de Division
messages : 7911 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
le serpent commence à s'enrouler sérieusement autour de leurs coups
ralek1 Colonel-Major
messages : 2062 Inscrit le : 27/04/2016 Localisation : Lyon Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 8 Mai 2018 - 21:57
Citation :
Pression sur la FIFA pour disqualifier United 2026
L’Association Internationale de la Presse Sportive (AIPS) a réagi au retournement de veste de l’Afrique du Sud au sujet de son vote pour l’organisation du Mondial 2026. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la décision est bien plus grave qu’elle n’y paraît.
Après avoir officiellement annoncé, il y a trois semaines, son soutien au Maroc, les Sud-africains ont finalement changé d’avis pour accorder leur voix à la candidature nord-américaine. Cette volte-face serait dû au dernier tweet du président américain Donald Trump dans lequel il a menacé tous les pays qui voteront pour le royaume.
Pour l’AIPS, l’Afrique du Sud est le premier pays à avoir succombé aux pressions américaines et annoncé qu’elle ne peut plus soutenir le Maroc. Lors d’un point de presse tenu le 7 mai, la ministre sud-africaine des Sports, Tokozile Xasa a affirmé que son pays ne soutiendra pas la candidature marocaine. « Nous sommes très clairs sur le fait que nous ne pouvons pas soutenir le Maroc. C’est la politique du pays et c’est une obligation pour les organismes sportifs de suivre la politique de l’État », a déclaré la ministre.
Maintenant, la décision de l’Afrique du Sud risque de disqualifier la candidature nord-américaine. Les lois de la FIFA sont claires: toute ingérence politique dans les affaires des fédérations de football est interdite et passible de suspension ou d’expulsion. « La décision du gouvernement sud-africain compromet sérieusement la candidature nord-américaine », a tranché l’AIPS, rappelant que les relations entre le Maroc et l’Afrique du Sud ont frôlé la crise en 2004 à cause du Sahara marocain.
Si la FIFA est d’habitude intransigeante sur ce genre d’écarts, son président Gianni Infantino va-t-il appliquer parfaitement la loi? Face au pays de l’oncle Sam auquel il doit son élection à la tête de l’instance suprême du football, il est clair que l’Italo-Suisse fera des pieds et des mains pour contourner les lois…
_________________ "C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard". William Shakespeare ; Hamlet (1603)
Socket-error General de Division
messages : 5893 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 11 Mai 2018 - 21:58
1 scoop !!
Citation :
Exclusif : Yassine Mansouri quitte la DGED pour le ministère des Affaires étrangères
Après treize années à la tête des services de renseignements extérieurs du Maroc, Yassine Mansouri quitte sa « zone de confort » à la tête la DGED et se prépare à occuper le poste peu convoité de ministre des Affaires étrangères. Cette décision intervient après les multiples déconvenues essuyées par la diplomatie marocaine sous la houlette d’un Nasser Bourita qui s’est révélé être une erreur de casting.
« Le costume de chef de la diplomatie chérifienne s’est révélé être très grand pour Nasser Bourita, qui a entre autre raté la gestion du dossier d’adhésion du Maroc à la CEDEAO », affirme un imminent diplomate africain très proche de Rabat, qui ajoute que le jeune ministre aurait « vendu en haut lieu des succès qu’il n’aurait jamais engrangé ».
En accédant au poste de patron de la diplomatie marocaine, Yassine Mansouri aura certainement pour tâche de faire valoir tout le savoir-faire qu’il a accumulé lors de sa mission à la tête de la DGED. Il aura surtout pour mission, aux yeux du Palais, de démontrer que c’est lui « l’homme de la situation » comme il s’est toujours murmuré dans les hautes sphères de l’Etat.
Source
_________________ لك الله ياوطني
Fahed64 Administrateur
messages : 24823 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 11 Mai 2018 - 22:13
???
Bourita est de loin le plus ambitieux et actif MAE que le Maroc ait eu depuis ses 18 dernière année !
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 11 Mai 2018 - 22:30
Le clan des patates fassi fihri, le combattent depuis son arrivée.... et puis ce site algérien je ne sais s'il faut vraiment le croire...
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.