messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Actualités du Sahara Marocain Ven 27 Nov - 18:15
Rappel du premier message :
Les junkies de podemos multiplient les déclarations en soutien aux terroristes algéro-polzs et l'Espagne a peur que le Maroc ne le lui fasse payer.... c'est la 3e fois que la mae espagnole répète la même déclaration ......
MAP a écrit:
La position de l’Espagne sur le Sahara, une “politique d’Etat” (cheffe de la diplomatie espagnole)
vendredi, 27 novembre, 2020 à 15:57
Madrid – La position du Royaume d’Espagne sur la question du Sahara “reste toujours inchangée” parce qu’il s’agit d’une “politique d’Etat”, a affirmé la ministre espagnole des Affaires étrangères, de l’UE et de la coopération, Arancha Gonzalez Laya.
“Au sein d’un gouvernement de coalition comme le nôtre il peut y avoir des opinions différentes et des sensibilités différentes. Toutefois, notre position sur la question du Sahara demeure inchangée. Il s’agit d’une politique d’Etat”, a souligné Mme Gonzalez Laya qui était l’invitée, jeudi, d’une émission sur la radio nationale espagnole (RNE).
“La politique extérieure de l’Espagne est fixée par le ministère des Affaires étrangères en coordination avec le président du gouvernement”, a relevé la cheffe de la diplomatie espagnole, faisant observer que la position de son pays sur la question du Sahara “est constante et n’a subi aucun changement”.
Mme Gonzalez Laya avait réitéré la semaine dernière que son pays plaide pour un “soutien total” au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, afin qu’il puisse “garantir le maintien du cessez-le-feu” au Sahara et faire avancer “une négociation qui permette une solution politique, négociée, juste et durable conforme aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU”.
“Pour l’Espagne, l’important, ce sont les résolutions des Nations unies. Toutes. La dernière, en octobre de cette année, exprime clairement les paramètres de cette négociation”, avait clarifié Mme Gonzalez Laya.
Dans ce sens, elle avait indiqué avoir transmis, elle-même, cette position lors de “nombreux contacts maintenus ces derniers jours avec le Maroc, la Mauritanie, l’Algérie et le Secrétaire général des Nations unies, pour promouvoir cette voie de dialogue”.
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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messages : 6782 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Des scientifiques britanniques découvrent un incroyable gisement de tellure au fond de l’océan
C’est une montagne sous-marine de 3000 mètres de haut, sous 1000 mètres d'eau, dont le sommet en plateau semble avoir été arasé. Le Tropic Seamount est situé à 500 km des Canaries, dans l’océan Atlantique. Des robots sous-marins du Centre national d’océanographie britannique ont découvert que ce plateau était recouvert d’une croûte de 4 cm renfermant les plus vastes réserves de tellure jamais découvertes. Le Dr Bram Murton, qui a conduit l’exploration, les évalue à 2 670 tonnes.
Je crois pas qu'on encore les moyens militaires et diplomatques et consensus pour faire ce grand rasage comme vous dites, au meilleurs des cas ont imposera une mise en demeure puis un ultimatum à Alger, nous allons dans ce cas déplacer nos troupes dans la zone à l'est du mur, petit à petit jusqu'à délimiter la zone de manœuvre des sandales, ceux ci vont se calmer dès lors. Vous savez même les plus grands sponsors d'Alger ne veulent pas de guerre. Et si il y a une guerre sa sera bien celle qui entraînera au ww3.
Les moyens militaires ? Ils sont largement là. Je veux dire par là que si la guerre reprend et qu’on récupère donc par la suite les 20% restants du sahara en les englobant dans le mur, inévitablement t’auras le polisario qui donc depuis le territoire algerien ou mauritanien enverra des roquettes, mortier etc, et la les moyens d’arreter leur harcèlement c’est soit tirer donc depuis le mur ça ok faisable largement avec notre matos mais ca les fera fuir mais ils reviendront... ou soit on intervhors du murs c’est a dire en territoire algérien où le polisario sera définitivement cantonnée et en finir.....
Je crois pas qu'on encore les moyens militaires et diplomatques et consensus pour faire ce grand rasage comme vous dites, au meilleurs des cas ont imposera une mise en demeure puis un ultimatum à Alger, nous allons dans ce cas déplacer nos troupes dans la zone à l'est du mur, petit à petit jusqu'à délimiter la zone de manœuvre des sandales, ceux ci vont se calmer dès lors. Vous savez même les plus grands sponsors d'Alger ne veulent pas de guerre. Et si il y a une guerre sa sera bien celle qui entraînera au ww3.
Il y a eu des guerres en Europe et la ww3 ne s'est pas déclenchée. Les alliances se défont dès que le jeu n'en vaut pas la chandelle. Regarde notre alliée la France, même pas foutue d'emboîter le pas aux yankees. S'il y a une guerre au Maghreb ils feront leur business comme toujours, et tant pis pour les dégâts humains ou autres. La France a sciemment bordelisé la Libye. Il faut arrêter de croire que la stabilité de la région importe aux puissances de ce monde. Ils n'en ont rien à taper
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
en cette occasion de la decision américaine au sujet de notre intégrité territoriale je vais partager avec vous une phrase mythique des bounifs que vous ne lirez plus jamais sur les forums :
''aucun pays au monde ne reconnait la souveraineté marocaine sur le sahara "
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Dernière édition par mourad27 le Lun 14 Déc - 21:22, édité 1 fois
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Tanjawi sergent
messages : 204 Inscrit le : 04/11/2020 Localisation : France Nationalité :
Des scientifiques britanniques découvrent un incroyable gisement de tellure au fond de l’océan
C’est une montagne sous-marine de 3000 mètres de haut, sous 1000 mètres d'eau, dont le sommet en plateau semble avoir été arasé. Le Tropic Seamount est situé à 500 km des Canaries, dans l’océan Atlantique. Des robots sous-marins du Centre national d’océanographie britannique ont découvert que ce plateau était recouvert d’une croûte de 4 cm renfermant les plus vastes réserves de tellure jamais découvertes. Le Dr Bram Murton, qui a conduit l’exploration, les évalue à 2 670 tonnes.
Quand je dis moyens, je parle pas par rapport au polisario, ceux là c'est un clinex jetable. Car dans ce scénario il faudra s'attendre à un embrasement total avec Algérie appuyée par ses mercenaires sudaf et russes. Donc il faudra du lourd pas juste pour ce de fondre mais pour pouccer le front tout au long de la frontière à l'intérieur des terres du Sahara oriental, tout en évitant à nos villes de subir des bombardements. Il faudra viraiment du lourd pour une telle expedition
Il faut revenir sur les propos de M.bourita que le maroc à droit de réagir avec sévérité Et cela signifie qu'il y aura le dernier clou dans le tombeau du polz
_________________ '' celui qui contrôle le champ de bataille contrôle l'histoire''
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Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
en cette occasion de la decision américaine au sujet de notre intégrité territoriale je vais partager avec vous une phrase mythique des bounifs que vous ne lirez plus jamais sur les forums :
''aucun pays au monde ne reconnait la souveraineté marocaine sur le sahara "
Il y a aussi le fameux ‘dernière colonie d’afrique’ (marrant celui là), alors que sebta et mellila et les iles et ilot au nord sont colonisés par l’espagne, le maroc les revendique et s’occupera de leur cas après la fin complète du pb du sahara et la sécurisation totale du sud. Ensuite on s’occupera aussi du sahara oriental colonisé par l’algerie, ces terres sont historiquement marocaine et n’ont jamais été algerienne.
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Tanjawi sergent
messages : 204 Inscrit le : 04/11/2020 Localisation : France Nationalité :
Quand je dis moyens, je parle pas par rapport au polisario, ceux là c'est un clinex jetable. Car dans ce scénario il faudra s'attendre à un embrasement total avec Algérie appuyée par ses mercenaires sudaf et russes. Donc il faudra du lourd pas juste pour ce de fondre mais pour pouccer le front tout au long de la frontière à l'intérieur des terres du Sahara oriental, tout en évitant à nos villes de subir des bombardements. Il faudra viraiment du lourd pour une telle expedition
On a du lourd t’inquiete, et ne crois pas que l’algérie pourra faire des dégâts significatifs à nos villes ou infrastructures qui sont tous derrière l’atlas loin du danger, leur sous marins? La marine royale ne laissera passer aucun sous marins avec le matos qui arrive. Les Su ils bombarderont à la limite oujda et figuig mais pas plus loin le bouclier patriot et les F16 y veilleront. Et c’est pas comme ci ils avaient des B52 ou b2 spirit ils pourront pas se promener dans notre ciel. Et nous on leur bombardement oran et les multiples installations militaires (bases aériennes, munitions, tank, qu’ils ont stupidement placés trop proche de la frontière théâtre d’opération, les combats se dérouleront dans le sahara oriental, en théâtre algérien et je parle bien de théâtre et pas de terre algérienne ! La prise de tindouf et bechar sera facile ces villes peuvent être prises en tenails facilement. Il faudra du lourd oui mais pour eux aussi il faudra du lourd pour resister, et le pays qui pour l’instant est capable de soutenir une guerre avec son économie, son industrie, ses alliés... c’est le maroc et surement pas l’algerie
Socket-error General de Division
messages : 6782 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
González Laya dit que l'avenir du Sahara occidental ne dépend pas "de la volonté d'un pays, quelle que soit sa taille"
Il ne sait pas ce que fera l'administration Biden mais s'assure qu'il y a des contacts pour que le pays revienne au multilatéralisme
MADRID, 14 déc. (EUROPA PRESS) -
La ministre des Affaires étrangères, de l'UE et de la Coopération, Arancha González Laya, a affirmé ce lundi que la solution du problème du Sahara Occidental "ne dépend pas de la volonté ou de l'action unilatérale d'un pays, quelle que soit sa taille". plutôt, «le centre de gravité est à l'ONU».
González Laya a exprimé ainsi, dans une interview à Onda Cero, recueillie par Europa Press, le fait que les États-Unis ont reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental.
La ministre espagnole a appliqué ce raisonnement à la fois au différend sur le Sahara occidental et au conflit entre Palestiniens et Israéliens, deux problèmes qui, a-t-elle souligné, restent non résolus malgré les accords promus par Washington pour que les pays arabes établissent des relations diplomatiques avec Israël. Dans le cas du Maroc, cet accord inclut la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté marocaine sur le Sahara.
"Dans les deux cas, ce sont des processus centrés sur l'ONU, c'est-à-dire qu'ils ont besoin de l'accord de la communauté internationale pour que la solution soit stable et acceptée par tous", a-t-il fait remarquer.
Ainsi, il a défendu que l'important maintenant est que le secrétaire général de l'ONU nomme un nouvel envoyé spécial pour le Sahara occidental, un poste qui est vacant depuis neuf mois, afin qu'il "dirige" les efforts pour trouver une solution en discutant avec "le des voisins immédiats "comme le Maroc, la Mauritanie et l'Algérie, avec les membres du Conseil de sécurité de l'ONU et avec" un groupe de pays, dont l'Espagne, qui ont des intérêts proches.
González Laya a évité de détailler s'il y avait eu des informations expresses des États-Unis à l'Espagne avant de prendre cette décision, mais a insisté sur le fait qu'il n'avait pas été «pris par surprise».
Il n'a pas non plus voulu «spéculer» sur la question de savoir si l'administration Biden pourrait revenir sur cette décision adoptée par Donald Trump dans la dernière période de son mandat. "Ce sera à lui d'évaluer la situation, de voir comment il veut se positionner et d'œuvrer pour apporter une solution juste mais aussi durable qui ne dépend pas de reculer à un moment ou à un autre mais qui est ancrée dans la communauté internationale", a-t-il défendu.
Comme il l'a dit, le gouvernement espagnol a déjà "une série de contacts" avec l'équipe de Biden pour "chercher un retour au multilatéralisme". De l'avis de l'Espagne, a-t-il déclaré, "il n'y a pas de place pour l'unilatéralisme pour gérer les relations internationales", bien que cela semble être la règle aujourd'hui.
SOMMET REPORTÉ AVEC LE MAROC
Le ministre a également déclaré que ni le Sahara occidental ni la crise migratoire n'ont été à l'origine de la réunion de haut niveau (RAN) entre les gouvernements espagnol et marocain qui devait avoir lieu cette semaine pour être reportée à 2021.
González Laya a insisté sur le fait que la pandémie est la seule raison, et que bien que le Covid ait «navigué», transformant d'abord ce qui devait être une grande réunion en un format «plus prudent», il a finalement été décidé de le reporter à célébrez-le «avec l'ampleur et la profondeur dont il a besoin».
Ainsi, il a déclaré que ce n’était pas le seul rendez-vous qui ait dû être annulé en raison de la pandémie et a donné en exemple un voyage que le Président du Gouvernement allait faire en Tunisie. Le Maroc, a-t-il souligné, est le deuxième pays d'Afrique avec le plus de cas.
Dans tous les cas, il a fait remarquer que le report ne diminue en rien la relation avec le Maroc ni les contacts quotidiens que les deux gouvernements doivent gérer pour gérer de multiples problèmes, y compris les migrations, ce qu'ils font tous les deux, a-t-il dit, «conjointement et conjointement».
Au delà du "lourd" bien que la guerre ne soit que la continuation de la politique il y a des vies en jeu.
Nous étions dans le passé dans une position ou nous étions "obligés" de nous battre par survit pour notre nation.
Aujourd'hui ne sommes pas dans cette position. Si guerre il doit y avoir, c'est à nous de choisir le lieux et le moment.
Nous devons le faire une fois suffisamment sur de notre force et surtout bouger de manière imprévisible comme à Guerguerat
Les FAR en 2024-25 seront au sommet de la chaine alimentaire régionale et auront les moyens matériel qui leur permettront littéralement de rentrer comme dans du beurre dans le dispositif d'à côté.
D'ici la patientons, soyons pragmatique et savourons cette victoire. Nous allons avoir d'ici 18 mois un retournement complet de la situation et le moyen de mettre un KO technique définitif.
Nous sommes tel Khabib qui a été patient et qui a étouffé l'insolent prétentieux de la région
Notre prochaine cible diplomatique doivent être les "amis" européens, ceux qui nous veulent du "bien"
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
ZATOICHI.., Voldenuit, Adam, mr.f-15 Eagle, QuickShark, ralek1 et AIT aiment ce message
Tanjawi sergent
messages : 204 Inscrit le : 04/11/2020 Localisation : France Nationalité :
González Laya dit que l'avenir du Sahara occidental ne dépend pas "de la volonté d'un pays, quelle que soit sa taille"
Il ne sait pas ce que fera l'administration Biden mais s'assure qu'il y a des contacts pour que le pays revienne au multilatéralisme
MADRID, 14 déc. (EUROPA PRESS) -
La ministre des Affaires étrangères, de l'UE et de la Coopération, Arancha González Laya, a affirmé ce lundi que la solution du problème du Sahara Occidental "ne dépend pas de la volonté ou de l'action unilatérale d'un pays, quelle que soit sa taille". plutôt, «le centre de gravité est à l'ONU».
González Laya a exprimé ainsi, dans une interview à Onda Cero, recueillie par Europa Press, le fait que les États-Unis ont reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental.
La ministre espagnole a appliqué ce raisonnement à la fois au différend sur le Sahara occidental et au conflit entre Palestiniens et Israéliens, deux problèmes qui, a-t-elle souligné, restent non résolus malgré les accords promus par Washington pour que les pays arabes établissent des relations diplomatiques avec Israël. Dans le cas du Maroc, cet accord inclut la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté marocaine sur le Sahara.
"Dans les deux cas, ce sont des processus centrés sur l'ONU, c'est-à-dire qu'ils ont besoin de l'accord de la communauté internationale pour que la solution soit stable et acceptée par tous", a-t-il fait remarquer.
Ainsi, il a défendu que l'important maintenant est que le secrétaire général de l'ONU nomme un nouvel envoyé spécial pour le Sahara occidental, un poste qui est vacant depuis neuf mois, afin qu'il "dirige" les efforts pour trouver une solution en discutant avec "le des voisins immédiats "comme le Maroc, la Mauritanie et l'Algérie, avec les membres du Conseil de sécurité de l'ONU et avec" un groupe de pays, dont l'Espagne, qui ont des intérêts proches.
González Laya a évité de détailler s'il y avait eu des informations expresses des États-Unis à l'Espagne avant de prendre cette décision, mais a insisté sur le fait qu'il n'avait pas été «pris par surprise».
Il n'a pas non plus voulu «spéculer» sur la question de savoir si l'administration Biden pourrait revenir sur cette décision adoptée par Donald Trump dans la dernière période de son mandat. "Ce sera à lui d'évaluer la situation, de voir comment il veut se positionner et d'œuvrer pour apporter une solution juste mais aussi durable qui ne dépend pas de reculer à un moment ou à un autre mais qui est ancrée dans la communauté internationale", a-t-il défendu.
Comme il l'a dit, le gouvernement espagnol a déjà "une série de contacts" avec l'équipe de Biden pour "chercher un retour au multilatéralisme". De l'avis de l'Espagne, a-t-il déclaré, "il n'y a pas de place pour l'unilatéralisme pour gérer les relations internationales", bien que cela semble être la règle aujourd'hui.
SOMMET REPORTÉ AVEC LE MAROC
Le ministre a également déclaré que ni le Sahara occidental ni la crise migratoire n'ont été à l'origine de la réunion de haut niveau (RAN) entre les gouvernements espagnol et marocain qui devait avoir lieu cette semaine pour être reportée à 2021.
González Laya a insisté sur le fait que la pandémie est la seule raison, et que bien que le Covid ait «navigué», transformant d'abord ce qui devait être une grande réunion en un format «plus prudent», il a finalement été décidé de le reporter à célébrez-le «avec l'ampleur et la profondeur dont il a besoin».
Ainsi, il a déclaré que ce n’était pas le seul rendez-vous qui ait dû être annulé en raison de la pandémie et a donné en exemple un voyage que le Président du Gouvernement allait faire en Tunisie. Le Maroc, a-t-il souligné, est le deuxième pays d'Afrique avec le plus de cas.
Dans tous les cas, il a fait remarquer que le report ne diminue en rien la relation avec le Maroc ni les contacts quotidiens que les deux gouvernements doivent gérer pour gérer de multiples problèmes, y compris les migrations, ce qu'ils font tous les deux, a-t-il dit, «conjointement et conjointement».
Elle a qu’a se démené et débattre comme elle veut, c’est pas elle qui décidera des choix politiques des USA, les pauvres n’arrivent toujours pas à s’en remettre. J’espere que le gouvernement marocain a bien conscience du fait que l’espagne est notre deuxième grand ennemis (grand c’est a dire en terme de haine), l’espagne n’est pas notre allié. Il faut que le maroc reconsidère d’urgence ses relations avec ce pays et étouffer dans l’oeuf toute tentive espagnole sur notre sahara.
Il fait qu’on devienne plus ferme avec ces gens ! Pas 1 cm de la zee ne leur sera offert, et ils ne verront aucun gramme de tellure de tropic. Que la protection d’allah azawajel soit avec le maroc, et que la destruction soit sur ses ennemis et ceux qui veulent tout faire pour nuir à ce pays.
Tanjawi sergent
messages : 204 Inscrit le : 04/11/2020 Localisation : France Nationalité :
Elle parle de processus politique à l’onu etd’envoyer spéciale la pauvre, l’espagne serait elle aussi autant aveuglée que l’algerie? Elle croit qu’apres ça on va continuer gentiment à l’onu à negocier dans le vide? Elle n’a pas lu le communiqué qui disait qu’on ne negociera pas avec des coupeurs de route? Le temps de la négociation est terminé. Si négociations il y a sa sera sur la forme de l’autonomie comme soutiennent les ricains. J’espère que le maroc prendra note de ce n-iéme coup en traître de nos AMIS espagnols et qu’ils reconsidéreront nos relations avec eux. La fermeté rien que la fermeté ! Aucune concession.
González Laya dit que l'avenir du Sahara occidental ne dépend pas "de la volonté d'un pays, quelle que soit sa taille"
Il ne sait pas ce que fera l'administration Biden mais s'assure qu'il y a des contacts pour que le pays revienne au multilatéralisme
MADRID, 14 déc. (EUROPA PRESS) -
La ministre des Affaires étrangères, de l'UE et de la Coopération, Arancha González Laya, a affirmé ce lundi que la solution du problème du Sahara Occidental "ne dépend pas de la volonté ou de l'action unilatérale d'un pays, quelle que soit sa taille". plutôt, «le centre de gravité est à l'ONU».
González Laya a exprimé ainsi, dans une interview à Onda Cero, recueillie par Europa Press, le fait que les États-Unis ont reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental.
La ministre espagnole a appliqué ce raisonnement à la fois au différend sur le Sahara occidental et au conflit entre Palestiniens et Israéliens, deux problèmes qui, a-t-elle souligné, restent non résolus malgré les accords promus par Washington pour que les pays arabes établissent des relations diplomatiques avec Israël. Dans le cas du Maroc, cet accord inclut la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté marocaine sur le Sahara.
"Dans les deux cas, ce sont des processus centrés sur l'ONU, c'est-à-dire qu'ils ont besoin de l'accord de la communauté internationale pour que la solution soit stable et acceptée par tous", a-t-il fait remarquer.
Ainsi, il a défendu que l'important maintenant est que le secrétaire général de l'ONU nomme un nouvel envoyé spécial pour le Sahara occidental, un poste qui est vacant depuis neuf mois, afin qu'il "dirige" les efforts pour trouver une solution en discutant avec "le des voisins immédiats "comme le Maroc, la Mauritanie et l'Algérie, avec les membres du Conseil de sécurité de l'ONU et avec" un groupe de pays, dont l'Espagne, qui ont des intérêts proches.
González Laya a évité de détailler s'il y avait eu des informations expresses des États-Unis à l'Espagne avant de prendre cette décision, mais a insisté sur le fait qu'il n'avait pas été «pris par surprise».
Il n'a pas non plus voulu «spéculer» sur la question de savoir si l'administration Biden pourrait revenir sur cette décision adoptée par Donald Trump dans la dernière période de son mandat. "Ce sera à lui d'évaluer la situation, de voir comment il veut se positionner et d'œuvrer pour apporter une solution juste mais aussi durable qui ne dépend pas de reculer à un moment ou à un autre mais qui est ancrée dans la communauté internationale", a-t-il défendu.
Comme il l'a dit, le gouvernement espagnol a déjà "une série de contacts" avec l'équipe de Biden pour "chercher un retour au multilatéralisme". De l'avis de l'Espagne, a-t-il déclaré, "il n'y a pas de place pour l'unilatéralisme pour gérer les relations internationales", bien que cela semble être la règle aujourd'hui.
SOMMET REPORTÉ AVEC LE MAROC
Le ministre a également déclaré que ni le Sahara occidental ni la crise migratoire n'ont été à l'origine de la réunion de haut niveau (RAN) entre les gouvernements espagnol et marocain qui devait avoir lieu cette semaine pour être reportée à 2021.
González Laya a insisté sur le fait que la pandémie est la seule raison, et que bien que le Covid ait «navigué», transformant d'abord ce qui devait être une grande réunion en un format «plus prudent», il a finalement été décidé de le reporter à célébrez-le «avec l'ampleur et la profondeur dont il a besoin».
Ainsi, il a déclaré que ce n’était pas le seul rendez-vous qui ait dû être annulé en raison de la pandémie et a donné en exemple un voyage que le Président du Gouvernement allait faire en Tunisie. Le Maroc, a-t-il souligné, est le deuxième pays d'Afrique avec le plus de cas.
Dans tous les cas, il a fait remarquer que le report ne diminue en rien la relation avec le Maroc ni les contacts quotidiens que les deux gouvernements doivent gérer pour gérer de multiples problèmes, y compris les migrations, ce qu'ils font tous les deux, a-t-il dit, «conjointement et conjointement».
Les Marocains ont été très intelligent par rapport au timing de l'annonce on les a envoyé baladé justement pour les pousser à révéler leur vrai malaise par rapport à notre percé sur le terrain et diplomatiquement, surtout qu'ils sont conscients de leur incapacité à faire quoi que ce soit, ils sont out tout simplement
Le ministre a esquivé la question sur Biden.... et subliminalement n'a pas exclu un rétropédalage des US... 21:20
Oui, on peut le voir de cette manière Ssi Adam , après il dit juste qu'on a des acquis à protéger ce qui est pas faux, ça sera le coeur de la bataille si Biden voit ses résultats validé
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
romh General de Division
messages : 4186 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Elle parle de processus politique à l’onu etd’envoyer spéciale la pauvre, l’espagne serait elle aussi autant aveuglée que l’algerie? Elle croit qu’apres ça on va continuer gentiment à l’onu à negocier dans le vide? Elle n’a pas lu le communiqué qui disait qu’on ne negociera pas avec des coupeurs de route? Le temps de la négociation est terminé. Si négociations il y a sa sera sur la forme de l’autonomie comme soutiennent les ricains. J’espère que le maroc prendra note de ce n-iéme coup en traître de nos AMIS espagnols et qu’ils reconsidéreront nos relations avec eux. La fermeté rien que la fermeté ! Aucune concession.
Est-ce que tu crois que le Maroc n'est pas bien informé sur leur vrai position ??? Et que nos décideurs vont attendre ces déclarations pour le savoir ???
Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
Il ne manquait plus que nos amis à l'accent chantant....
MAP a écrit:
Tunisie: l’ambassade du Maroc réfute les contre-vérités diffusées par une radio privée sur l’intégrité territoriale du Royaume
lundi, 14 décembre, 2020 à 23:01
Tunis – L’ambassade du Maroc en Tunisie a réfuté, lundi, les contre-vérités sur la question de l’intégrité territoriale du Royaume avancées lors d’une émission diffusée par une station de radio privée tunisienne.
Dans une mise au point, l’ambassade a affirmé que l’émission “Midi Show”, diffusée vendredi par “Mosaïque FM”, une station de radio privée de Tunisie, comportait une série d’inexactitudes et de mensonges concernant les développements de la question de l’intégrité territoriale du Royaume.
Elle lui a notamment reproché d’avoir négligé “délibérément” de mentionner “les vérités se rapportant à l’histoire, à la terre et à la politique, pour offrir aux auditeurs une recette du temps de la guerre froide, farcie de mensonges absurdes et assaisonnée d’épices d’une idéologie surannée”.
Au niveau des faits historiques et juridiques, note l’ambassade, il n’est pas vraiment nécessaire de produire davantage d’arguments en faveur de la marocanité du Sahara, car, explique-t-elle, les Tunisiens sont pleinement conscients que la marocanité de cette région fait partie des faits historiques corroborés par les preuves du droit international, notamment les résolutions des Nations Unies, l’avis consultatif de la Cour internationale de Justice, outre plusieurs accords établis par le Maroc avec les grandes puissances mondiales avant la fin du XIXe siècle.
À cet égard, les efforts des Marocains du Nord et de leurs frères du Sahara ont fusionné dans l’épopée de la libération nationale pour se lancer dans le processus du parachèvement de l’intégrité territoriale du Royaume, qui s’est achevé avec la récupération par le Maroc de son Sahara en 1975 à travers une Marche verte éternelle, augurant ainsi d’une nouvelle ère d’édification sur l’ensemble du territoire national, rapporte la même source.
Mais, si l’idéologie séparatiste, dissimulée derrière les tendances d’hégémonie régionale, a survécu pendant des années en ressuscitant le “disque de l’autodétermination”, les développements du dossier du Sahara marocain au niveau des Nations Unies ont connu des transformations remarquables, dont la plus importante est l’impossibilité d’un “référendum “ dans cette région, en face de l’émergence d’une nouvelle approche onusienne basée sur la solution politique négociée, fait remarquer l’ambassade.
La présence du Maroc sur son Sahara et le dynamisme particulier de la réalité sur le terrain qui unit les voies du développement économique, de la représentation politique et de l’ouverture en matière des droits de l’homme ont ainsi acculé la thèse des séparatistes et ses soutiens à l’isolement international, étant donné que l’Etat fantoche tant rêvé par les séparatistes est devenu aujourd’hui une simple chimère, a souligné l’ambassade.
Elle a par ailleurs noté que l’ouverture de consulats dans les provinces du sud par des pays arabes et africains et autres, qui renforce la présence diplomatique internationale au Sahara, envoie un message clair à la communauté internationale sur le caractère irréversible de la marocanité du Sahara.
Et pour renforcer la dynamique de la consolidation de la maorcanité du Sahara, et couronner les efforts diplomatiques de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le président américain Donald Trump a promulgué un décret présidentiel, à effet immédiat, portant sur la décision des États-Unis de reconnaitre, pour la première fois de leur histoire, la pleine souveraineté du Royaume sur l’ensemble de la région du Sahara Marocain.
Cette décision considère le plan d’autonomie sous la souveraineté marocaine comme la seule solution au conflit artificiel, a rappelé l’ambassade, soulignant que cette position forte, historique et influente est l’expression d’un soutien absolu au Sahara marocain et que l’ouverture d’un consulat américain dans la ville de Dakhla sera la première concrétisation de l’effet immédiat de cette décision.
D’autre part, l’ambassade marocaine a réaffirmé l’engagement permanent et inébranlable du Royaume à défendre la cause palestinienne, faisant savoir que le Maroc soutient la solution à deux États tout en affirmant que les négociations entre les parties palestinienne et israélienne sont la seule voie pour parvenir à une solution définitive, durable et globale à ce conflit.
SM le Roi a réaffirmé jeudi dernier lors d’un entretien téléphonique avec le président palestinien M. Mahmoud Abbas que le Maroc place toujours la question palestinienne au même rang de la question du Sahara marocain et que l’action du Royaume pour consacrer sa marocanité ne se fera jamais, ni aujourd’hui ni dans l’avenir, au détriment de la lutte du peuple palestinien pour ses droits légitimes, a rappelé l’ambassade.
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Socket-error General de Division
messages : 6782 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Vous avez demandé hier Mbarka Bouaida à tête de l'ambassade marocaine à Washington, elle a donné aujourd'hui une interview à un journal kasher :
Citation :
Le Sahara n'est pas comme la Palestine, et le Maroc n'est pas comme Israël
Elle est devenue un symbole féminin dans le monde musulman, et maintenant elle célèbre l'accord - et la souveraineté. Dans un télégramme à la conférence, la première femme de l'histoire du Maroc à occuper le poste de présidente de district, a déclaré dans une interview à Ynet et Yedioth Ahronoth: "Un prix pour l'accord? Le Sahara occidental a toujours été le nôtre." Sur les luttes pour l'égalité: "Nous devons lutter contre une mentalité chauvine difficile
Nous travaillons depuis de nombreuses années pour obtenir une reconnaissance internationale dans la région du Sahara occidental, qui est une région marocaine à toutes fins utiles", a déclaré Baeida, 45 ans, dans une première interview avec les médias israéliens. "La reconnaissance américaine nous donne une grande confiance et une grande puissance dans notre juste lutte, pour obtenir une reconnaissance internationale pour ce qui nous appartient. Il est bon de savoir que les États-Unis sont de notre côté et reconnaissent la souveraineté du Maroc sur cette région
L'année dernière, lors de la conférence, elle est devenue la première femme de l'histoire du Maroc à être élue à la tête de l'une des provinces qui composent le pays. La conférence, qui a été considérée comme un météore politique pendant des années et l'un des meilleurs politiciens du pays, fait maintenant de son mieux. Elle veut profiter pleinement de l'élan de la conscience américaine pour persuader le reste du monde de suivre les traces des États-Unis. Et en cours de route, il sait même qu'un autre pays soutient la revendication du Maroc de s'approprier la région - Israël. "Il ne fait aucun doute que le soutien d'Israël est important pour nous", dit-elle
La reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental est en fait le prix que Trump a donné au Maroc, en échange de l'accord de normalisation de l'État musulman avec Israël. Lors de la conférence pense bien sûr différemment. "Nous n'avons pas besoin d'un prix car le Sahara Occidental a toujours appartenu au Maroc".
Un peu d'histoire: le Maroc vit sous une occupation colonialiste combinée. Son vaste territoire est partagé entre la France (centre du Maroc) et l'Espagne (nord et sud). En 1956, le Maroc a obtenu son indépendance de la France et le roi Muhammad V est devenu le chef de l'État indépendant. Peu à peu, la lutte pour l'indépendance du Sahara a également commencé. Le gouvernement du dictateur espagnol Franco n'a pas voulu lâcher l'énorme corde, riche en minéraux et en zones de pêche.
En 1975, le colonialisme espagnol a pris fin et le Maroc, la Mauritanie et l'Algérie ont commencé une lutte pour le contrôle de la région. La Mauritanie s'est retirée de ses prétentions sur la corde. Au même moment, le mouvement Polisario s'est installé sur le site, soutenu par l'Algérie et la Libye de Kadhafi. "Le Polisario a commencé comme un mouvement de jeunes étudiants du Sahara, qui ont été influencés par les révolutionnaires d'Amérique du Sud et exploités par l'Algérie et la Libye, jusqu'à ce qu'ils revendiquent la propriété du Sahara occidental", affirme la conférence. De la frontière. "
Mais les demandes du mouvement Polisario pour la corde ont néanmoins été reconnues par la communauté internationale. L'ONU et d'autres institutions internationales ont refusé de reconnaître le Sahara occidental au fil des ans en tant que région marocaine - affirmant que l'Algérie, le Maroc et le mouvement Polisario devraient régler le conflit entre eux. L'Algérie est un ego national et ils veulent gagner le contrôle politique et militaire de la région. L'Algérie craint une confrontation directe avec le Maroc et utilise donc les rebelles du Polisario. "Dans les années 1970, des policiers ont enlevé de nombreux Marocains de leurs maisons et ont ensuite affirmé qu'ils avaient quitté le Sahara volontairement, pour renforcer leur revendication de la corde."
En 1991, un accord de cessez-le-feu a été signé, mettant fin aux combats. La communauté internationale a suggéré la tenue d'un référendum au Sahara occidental qui décidera de l'avenir de la région. Mais un autre débat s'ensuit - comment décidez-vous qui participera au référendum? La plupart des habitants de la région étaient des tribus, dont certaines ont fui pendant les années d'occupation espagnole. Le Maroc a exigé que ces résidents, qui au fil des ans ont déménagé dans d'autres régions du Maroc et d'Europe, participent également au référendum. Le Polisario a exigé que seuls les habitants de la région, documentés dans les registres de la population espagnole, soient éligibles à participer au référendum. Le Maroc a refusé. Jusqu'à présent, la question n'a pas été résolue: qui est défini comme un résident de la région? Pour les Marocains, bien sûr, c'était une solution commode, car le Maroc a pris le contrôle de la corde et l'a même fortifiée en construisant un long mur qui s'étendait sur 2700 kilomètres et était parsemé de nombreuses mines.
Le mois dernier, les combats dans la région ont repris, après que l'armée marocaine a lancé une opération militaire contre la police dans la région. Puis le président Trump s'est également rendu compte qu'il avait une belle récompense pour le roi Muhammad VI: la reconnaissance de la région, à un moment où le Maroc en avait besoin, en échange d'une normalisation avec Israël. "La plupart des pays du monde reconnaissent la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, mais personne ne veut faire un pas devant l'ONU", a indiqué la conférence.
«Lorsqu'il s'agit de conflits, il faut beaucoup de temps, parfois même des décennies, à l'ONU pour les résoudre», ajoute-t-elle. "C'est une guerre diplomatique entre le Maroc et l'Algérie. Le Maroc a quitté l'Union africaine dans les années 1980 parce que l'Algérie a tenté de persuader ses membres de reconnaître le Polisario comme un mouvement légitime. Ces dernières années, le roi a pris la décision éclairée de travailler à nouveau avec l'organisation. Je pense que la plupart des pays africains seront d'accord. "Le problème, c'est que l'Algérie ne veut pas trouver de solution et se cache derrière le Polisario. La reconnaissance américaine nous fournit un soutien juridique et un sceau officiel, ce qui nous aidera à expliquer à l'ONU nos justes demandes pour la corde."
Mais peu de temps après l'annonce de Trump, l'ONU a annoncé qu'elle ne reconnaissait pas le territoire comme marocain: «Oui, malheureusement, une telle déclaration est sortie. J'espère que d'autres grands pays suivront les États-Unis, y compris Israël et d'autres pays du Moyen-Orient. "
La reconnaissance américaine vous a également été donnée en échange d'un accord avec Israël. Sans un accord avec Israël, vous n'auriez probablement pas reçu la reconnaissance américaine. "Nous séparons les deux questions. Nous n'avons pas besoin que les États-Unis nous reconnaissent le Sahara comme un cadeau, c'est le résultat de nombreuses années de travail acharné. Une présence américaine au Sahara occidental est importante pour nous, mais elle n'est pas liée à la question israélo-palestinienne. Le Maroc joue un rôle important dans la résolution des problèmes. Le conflit avec vous, nous avons toujours essayé de le faire.La solution est basée sur deux États pour deux peuples donc pour nous, nous sommes heureux de faire la médiation entre nos deux sociétés, pour un avenir meilleur.A propos de l'accord entre le Maroc et Israël: "A travers l'importante communauté de Marocains vivant en Israël. La communauté juive au Maroc est une partie importante de notre société. Le nouvel accord est un retour aux relations que le Maroc avait avec Israël avant 2002."
Les Palestiniens ne sont pas vraiment satisfaits de l’accord. "Abu Mazen s'est entretenu avec le roi après l'annonce de l'accord et depuis lors, son opinion est plus confortable."
Il ne le soutient toujours pas. "La position du Maroc n'a pas changé et le roi a déclaré qu'il soutenait une solution à deux États. Nous maintenons l'objectif palestinien tout en maintenant le Sahara. Il est important pour nous d'avoir la paix au Moyen-Orient."
Mais le Maroc a pris beaucoup de feu à cause de l'accord avec Israël - en partie à cause des lignes très similaires entre le conflit du Sahara et celui de Cisjordanie. Dans les deux cas, les États revendiquent la souveraineté sur le territoire litigieux (Maroc et Israël), tandis que de l'autre côté se trouvent des organisations revendiquant la propriété des mêmes territoires (Polisario et OLP). La communauté internationale ne reconnaît pas la revendication des Etats sur ces territoires. Les pays de la terre. Il n'est pas surprenant que le peuple du Polisario se soit identifié aux Palestiniens pendant des années - ils les considéraient comme des frères dans une lutte similaire. Quand j'aborde cela avant la conférence, cela élimine la comparaison. " Le Sahara a toujours fait partie du Maroc. "
On peut dire que la Judée et la Samarie faisaient également partie intégrante d'Israël, depuis l'époque de la Bible. «C'est différent, c'est impossible à comparer. Le Sahara était sous occupation coloniale par l'Espagne. Ils nous ont pris la corde. "
Les Britanniques dirigeaient également la Terre d'Israël - une occupation colonialiste à toutes fins utiles. "Il est impossible de comparer. Le conflit israélo-palestinien a un aspect religieux - nous n'en avons pas. Au fait, le Polisario a affirmé ces dernières années que le Maroc est comme Israël, mais nous ne voyons pas la comparaison."
Que ferez-vous si le président Biden annule la reconnaissance controversée de Trump? "L'institution présidentielle est une institution américaine et bien que la décision ait été prise par Trump, nous ne pensons pas qu'il y ait quoi que ce soit à Aidan qui soit déjà une position américaine sur tout."
Vous avez également reçu des armes des Américains en échange d'un accord avec Israël. "Je ne sais rien à ce sujet." Le Premier ministre algérien Abd al-Aziz Jared a déclaré que vous ameniez «l'entité sioniste» à la frontière. "Les Algériens répondent à la bonne nouvelle à leur manière traditionnelle - une tentative de provocation. Je ne suis pas ému par ses paroles - elles étaient prévisibles."
Un télégramme («béni» ou «chanceux» en marocain) à la conférence est un politicien alerte, intelligent et pointu. Elle est née dans le Rawhim, l'une des trois provinces qui composent le Sahara occidental - les deux autres sont pour référence et dahla. Elle est diplômée en économie de l'Université de Casablanca et d'un master en administration des affaires de l'Université de Greenwich à Londres. Elle a travaillé quatre ans en tant qu'économiste en Espagne, jusqu'à son retour au Maroc et à rejoindre son entreprise familiale. Avec le temps, elle a commencé à faire preuve d'engagement politique.
En 2007, elle a été élue membre du Parlement au nom du Parti national de la course à l'indépendance, un parti de centre-droit au Maroc. De là, elle a rapidement grimpé. En 2013, elle a été nommée ministre d'État au ministère des Affaires étrangères et quatre ans plus tard ministre de la pêche. L'année dernière, elle a été élue représentante agréée des factions du district de Rawim pour le poste de présidente de la province - comme mentionné, la première femme élue à la tête d'une province au Maroc.
Sa carrière a également fait d'elle un symbole dans le monde musulman et pour les femmes du monde entier. "Je pense que c'est difficile pour les femmes partout dans le monde, mais en ce qui concerne la position des décideurs, les difficultés s'intensifient. Nous devons lutter contre une mentalité chauvine difficile. Mais le Maroc a fait un grand pas en avant. En 2011, nous avons introduit une clause sur une représentation égale et adéquate des femmes. Aujourd'hui, les femmes sont au parlement. Et dans un gouvernement en dessous de 20% du total, alors nous avons un long chemin à parcourir et nous devons travailler dur pour atteindre l'égalité promise dans la constitution. "
«L'égalité doit être non seulement constitutionnelle mais aussi culturelle», dit-elle. "Dites-vous, est-ce facile pour moi? Ce n'est pas le cas. Les femmes politiques doivent brouiller leur carrière en élevant des enfants. Mon mari aussi est sénateur et nous élevons tous les deux deux enfants, âgés de 7 et 4 ans. Ensemble, chaque jour est une lutte mais je suis déterminé. J'ai entendu "Vous avez d'excellentes femmes à la Knesset en Israël et je veux vraiment les rencontrer et coopérer avec elles. Et bien sûr, j'invite les Israéliens à visiter le Sahara quand ils le veulent. Merhava, vous êtes les bienvenus."
Msakht had lihoud, très futés, toujours une longueur d'avance et ne rate pas une opportunité.
Ils essayent dans la presse internationale de faire le parallèle entre leur situation et le Sahara occidental: décolonisation mal faite des ex puissances coloniales qui ont défiguré la réalité historique, réfugiés... Ils veulent monter sur notre vague pour surfer, ils veulent se déguisé dans nos habits pour passer le contrôle, ils veulent faire un rebranding, une OPA
_________________ ⵜⴰⵢⵔⵉ ⵏ'ⵜⵎⴰⵣⵉⵔⵜ
Dernière édition par AIT le Lun 14 Déc - 23:06, édité 1 fois
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Fahed64 Administrateur
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Pourquoi dans 18 mois est ce que quelqu'un pourrait m'expliquer
C'est ce qu'ils leur reste comme argent avant le grand saut dans l'abys.
@Adam, pour la Tunisie, ils sont piégés plus profondément dans le panarabisme et la question palestinienne.
Ils seront les premiers après la première vague à normaliser. Eux aussi ont une communauté importante et sont "tolérants" simplement contrairement à SM qui a eu la clairvoyance de tout faire pour pas couper les liens, chez eux c'est pas aussi soft.
Le problème pour la Tunisie c'est qu'elle bougera "trop" tard comme d'habitude et n'aura plus rien à gratter.
Car on s'entend que niveau business, premier arrivé premier servi ....
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Ils auraient 44 milliards de dollars de réserve contre 250 en 2014. Un euro s'échange à 250 pauvres dinars. Les sphères qui peuvent s'enrichir et se barrer le feront très vite. Donc 18 mois c'est large.
Ven 27 Nov - 18:15
(marrant celui là), alors que sebta et mellila et les iles et ilot au nord sont colonisés par l’espagne, le maroc les revendique et s’occupera de leur cas après la fin complète du pb du sahara et la sécurisation totale du sud. Ensuite on s’occupera aussi du sahara oriental colonisé par l’algerie, ces terres sont historiquement marocaine et n’ont jamais été algerienne. 
