Sebta et Meliliya.

Rappel du premier message :

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MAP a écrit:: Madrid tente d’utiliser les événements de Sebta comme “le salut pour sortir du débat réel” sur la crise (M. Bourita)

jeudi, 20 mai, 2021 à 20:27

Rabat – L’Espagne tente d’utiliser ce qui s’est passé dans le préside occupé de Sebta comme “le salut pour sortir du débat réel” sur la crise maroco-espagnole relative à l’accueil par Madrid du dénommé Brahim Ghali, poursuivi pourtant pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité, viol et violations des droits de l’homme, a indiqué le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita.

“Le registre du Maroc dans la lutte contre la migration clandestine est connu”, a déclaré à la MAP M. Bourita, soulignant que ce qui s’est passé dans l’enclave occupée de Sebta vient rappeler d’abord le coût que le Royaume assume pour préserver le bon voisinage.

En matière de lutte contre la migration illégale, “le Maroc n’a pas besoin d’être noté par l’Espagne et ses médias”, a-t-il indiqué, rappelant, dans ce cadre, que le Maroc a avorté 13.000 tentatives d’immigration irrégulière depuis 2017, démantelé 4.163 réseaux de trafics et enregistré 48 tentatives d’assaut sur Sebta.

“Il y a une réalité, il y a des chiffres qui méritent reconnaissance”, a soutenu M. Bourita, soulignant que ce qui s’est passé dans le préside occupé rappelle aussi “le coût financier que le Maroc assume pour ce bon voisinage, que certains ont malmené ces derniers jours”.

“L’Europe ne nous donne même pas 20% du coût que le Maroc assume dans la lutte contre la migration clandestine”, a-t-il dit, précisant que les événements de ces derniers jours ont montré que 99% de l’effort de lutte est fait par le Maroc contre “rien de l’autre côté”, a affirmé M. Bourita, qui a rejeté les accusations de chantage de l’Espagne contre le Maroc “qui mobilise ses forces de sécurité et qui paie de son budget pour préserver son voisinage”.

“Le Maroc n’est pas le gendarme, mais il est toujours un acteur responsable” en matière de lutte contre la migration clandestine, a dit le ministre des Affaires étrangères, soulignant que le Royaume est également en droit d’exiger la même responsabilité, le même engagement et la même confiance de ses partenaires.

“Le bon voisinage et le partenariat ne sont pas des slogans. On doit les incarner. Malheureusement ce que le Maroc a reçu depuis le 17 avril n’est pas des preuves de bon voisinage ni de partenariat. Le Maroc d’aujourd’hui n’accepte plus ce genre de double langage”, a-t-il dit.

L’Espagne, a indiqué M. Bourita, fait payer à l’Europe le prix de sa maladresse et doit expliquer à l’Europe comment un pays membre de l’UE admet sur le territoire européen des gens avec une fausse identité.

Madrid, a-t-il ajouté, doit également expliquer à ses pairs européens comment elle peut abriter sur le territoire européen quelqu’un qui est poursuivi pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité, viol et violations des droits de l’homme et comment une femme violée, qui demande son droit, doit attendre que les deux ministres des Affaires étrangères, espagnole et algérien, coordonnent.

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Si l info est vrai c est l occasion de reprendre nos villes y en a marre

Ben battouche rentre a Alger cette nuit, en gros.. si l'ambassadeur espagnol ne quitte pas Rabat au même moment,nous pouvons dire que nous avons gérer cette affaire d'une façon catastrophique.

Un marche arrière maintenant est tout simplement stupide..

Je pense que les notre ont surement mis cette situation dans leurs plans et ils savaient que l’espagne n’allait pas garder ben batbout. Le but était plus médiatique pour nous que pratique.
Maintenant il faut s’attendre a une rupture des relations diplomatiques et economiques avec la castille.
Dommage a eux ils ont perdu un voisin et un ami très utile qui est le maroc, ils auraient pu avoir tt ce qu’il veulent (mont tropic) d’une manière plus subtil comme on dit chez nous (7lawet lssan) et avec une coopération gagnant gagnant.
Daba, ara bera3 chouwaya

Heiin ?

Citation :: https://ledesk.ma/encontinu/diplomatie-espagnole-les-autorites-marocaines-ont-ete-informees-du-depart-de-brahim-ghali/?fbclid=IwAR05Lfo62r-2hj6dBiG-3ZajY0WUuupjn6rby_cJTQwiSNuz7w11ikuNvAQ

J ai quand même l impression qu il y a eu un accord entre espagne et maroc peut etre que je me trompe sinon c est la vrai merde et faut plus les lacher

Il faudrait virer les espagnol de l'accord de pêche en premier temps au sahara ils sont deja assez de ZEE au canarie plus que le Maroc en lui même, et tout ça pour des miettes on marche sur la tete, et il veulent agrandir leur délimitation sur 350 miles sur le mont tropic ce qui illégal du point de vue du droit de la mer car il n'ont que quelque kilomètre de cotes d'un archipel administré par un etat (10km on va dire) face à une côte continentale

Messieurs restez zen Smile

Ben Battouche n'est que Lalibi qui nous amène à poser le fond du problème.

Le MAE a communiqué à ce sujet hier, le départ ou la mise en examen ne règle pas le fond du problème.

Soyez patient et convaincu que nous allons arriver inch'Allah à notre but. Nous avons attendu plus de 2 ans avant de sceller le sort de Guergarat.

Sortez les pop corn il va y avoir des coups bas qui vont pleuvoir Smile

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Sebta et Meliliya. - Page 15 Signat10

nos responsables savaient d'avance que Ben Batouche allait quitter l’Espagne sans être inquiété. il n'aurait jamais mis le pied dans ce pays sans avoir au préalable reçu des garanties de ne pas être jugé pour ses crimes. chose qui a été négocié entre le régime du harkis et Bourak3a.

je trouve que notre diplomatie a bien géré la situation et a su tirer le maximum de points de cette embrouille médiatiquement.
maintenant reste a savoir comment notre diplomatie va gérer l’après épisode ben Batouche.
seuls les prochains jours et peut être semaines ou mois vont répondre a cette question.

https://www.elconfidencial.com/espana/2021-06-02/ghali-juez-logrono-investiga-falsedad-documental_3111884/ a écrit:

L'enquête sur la falsification des documents de Benbattouche va débuté...Après le départ de benbattouche (bien sur c'est tellement logique et impartial) ... Oulah ma ki 7chemou

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Au contraire on a rien à cirer de benbattouch si le procès fait éclater le gouvernement espagnol c'est le but, j'aimerai bien voir laya et pedrolito en prison.

ce sont les autres qui nous fassent savoir qu'on est une puissance régionale, pas l'auto-proclamation

Bruce Wayne a écrit:: L'armée Espagnole a fait des manoeuvres aéro-navales dans l'ilot occupé de Nekkor pas loin d'alhouceima et ceci dans le cadre d'un soutien pour la souveraineté nationales des places (la traduction de googletrad ) en Afrique du nord...

Ils ont eu du mal à digerer ca Razz

https://okdiario.com/espana/fuerzas-especiales-marruecos-simularon-maniobras-capturar-fragata-espanola-eeuu-observador-7307882 a écrit:: CRISE ESPAGNE-MAROC

Les forces spéciales marocaines ont simulé la capture d'un patrouilleur espagnol avec les États-Unis en tant qu'observateur

Les États-Unis déploient des bombardiers B-52 à Morón pour des manœuvres avec le Maroc en pleine crise de Ceuta
Un avion du gouvernement algérien tente de récupérer Ghali mais l'Espagne lui refuse l'autorisation d'atterrir

L'équipage du patrouilleur Sentinel de la marine espagnole a vécu une situation quelque peu surréaliste la semaine dernière : ils ont été approchés par une unité du Groupe d'intervention de la Marine royale marocaine alors que plusieurs Marines américains contemplaient les lieux ; Tout cela s'inscrivait dans le cadre d'un exercice militaire dans le cadre des manœuvres Phoenix Express 21 , auxquelles l'Espagne a participé et qui s'est déroulée au milieu de la grave crise diplomatique entre l'Espagne et le Maroc aux dépens du leader du Front Polisario, Brahim. Ghali .

C'est une technique courante dans les manœuvres militaires internationales : il appartient à un pays d'être « bon » tandis que les troupes d'un autre jouent le rôle de « mauvais ». Dans ce cas, l'Espagne devait assumer le rôle d'un navire suspect qui devait être attaqué par une équipe des forces spéciales de la marine marocaine.

La marine espagnole elle-même a partagé plusieurs images de ce moment dans les manœuvres, bien qu'elle ait évité de nommer le Maroc. Ce que l'on voit sur ces photographies, c'est le moment où ce groupe de spécialistes (avec leur uniforme noir caractéristique) accède au pont du Sentinel , équipé de répliques de mitraillettes , pour « arrêter » plusieurs membres de l'équipage et inspecter le navire. . Ils avaient atteint le bateau à bord d' un zodiac assaut lancement . Les images officielles n'identifient à aucun moment les « assaillants » comme des Marocains, qui atteignent même la passerelle de commandement du navire.

Selon des sources militaires, dans ce type d'action se trouvent plusieurs membres d'équipage du navire « agressé » qui – jamais en uniforme – se font passer pour les détenus. Cependant, des sources de la Marine ne confirment pas que les personnes vues sur la photo conduites par des fantassins marocains soient des soldats espagnols.

Les Marocains ne sont pas les seuls à avoir « agressé » le patrouilleur espagnol. Comme le montrent les images diffusées à la télévision égyptienne, les forces spéciales de ce pays ont également effectué leur exercice, prenant également plusieurs personnes « détenues ».

Tous ces exercices ont été effectués sous l'œil attentif d'observateurs des Marines des États - Unis , qui ont agi comme instructeurs. Les marines d'Espagne, du Maroc , d' Algérie , de Tunisie (qui a agi comme organisateur) et d' Egypte ont participé aux exercices .

Rappelons que dans quelques jours l' African Lion 21 débutera au Maroc , les plus grandes manœuvres militaires de tout le continent et que pour la première fois elles se dérouleront au Sahara occidental. Les États-Unis vont déployer des milliers de soldats et des dizaines d'avions, dont les 4 bombardiers stratégiques B-52 qui ont atterri sur la base de Morón de la Frontera au moment même où commençait l'assaut sur les frontières de Ceuta.

les commentaires sont jubilatoires Laughing

El patrullero #Centinela finaliza su participación en el ejercicio multinacional #PhoenixExpress realizado en aguas de #Túnez .

Gran oportunidad de colaboración y mejora del adiestramiento de las unidades implicadas en operaciones de seguridad marítima.#SomosLaArmada pic.twitter.com/QEzKbEXrnT
— Armada Española (@Armada_esp) May 28, 2021

Merci pour la rigolade Laughing

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Sebta et Meliliya. - Page 15 Signat10

VANDENBERGHE_K-24 a écrit:

Bruce Wayne a écrit:: L'armée Espagnole a fait des manoeuvres aéro-navales dans l'ilot occupé de Nekkor pas loin d'alhouceima et ceci dans le cadre d'un soutien pour la souveraineté nationales des places (la traduction de googletrad ) en Afrique du nord...

Ils ont eu du mal à digerer ca Razz

y a pas eu de manœuvres, il voulait simplement placer un réservoir d'eau sur le rocher ,

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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https://www.yabiladi.com/articles/details/110796/crise-maroco-espagnole-parti-l-istiqlal-appelle.html?utm_source=rss_yabiladi a écrit:

Le président du groupe parlementaire de l'Istiqlal demande a récupérer Sebta et Melilia ainsi que les iles Zaffarines..

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Bruce Wayne a écrit:: Le président du groupe parlementaire de l'Istiqlal demande a récupérer Sebta et Melilia ainsi que les iles Zaffarines..

Encore un incompétent qui parle sans connaitre la valeur de c'est mots qui surf sur la vague pour espérer récolter quelque voix Mad

finissons déjà avec notre Sahara, tracer notre ZEE, booster notre économie, augmenter notre PIB , améliorer le quotidien de nos Citoyens et Sebta et Melilia viendront a nous Sebta et Meliliya. - Page 15 187320

Citation :: Affaire Brahim Ghali: voici comment Pedro Sanchez a utilisé Josep Borell pour jouer la carte de l’UE contre le Maroc

Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, n’a pas été tendre avec le Maroc après la crise entre Madrid et Rabat. Et si on se penchait sur ce qui (vraiment) le meut, lui le Catalan, obligé de Pedro Sanchez?

«Certaines aides sont conditionnées par des comportements (…). L’Union européenne est une somme d’Etats, fondée sur la solidarité mutuelle». C’est en ces termes que s’exprimait Josep Borrell, en début de semaine, sur les médias espagnols en référence à la crise migratoire de Sebta.

En d’autres termes, selon Josep Borell, celui des pays qui a un différend avec l’un des Etats de l’UE devra en répondre devant les 27 membres qui composent cette organisation.

A Rabat, bien avant ces déclarations du responsable européen (d’abord espagnol, nous verrons pourquoi par la suite), Nasser Bourita, le chef de la diplomatie marocaine, a insisté sur le fait que le Maroc n’a pas de problème avec l’Union européenne, mais plutôt avec l’Espagne après l’admission dans la clandestinité du chef du Polisario sous une fausse identité, au mépris des relations de partenariat et de bon voisinage.

Moi, ma femme et Sanchez

Mais il faut revenir à la carrière du haut commissaire européen pour comprendre les dessous de sa sortie chauvine. Josep Borell était membre du parti socialiste (comme Sanchez) et appartient à la génération de l’ex-chef de gouvernement Felipe Gonzales qui en avait fait son ministre du Transport et de l’Equipement.

Président du Parlement européen entre 2004 et 2009, il sombre dans une longue traversée de désert jusqu’en 2017. Cette année-là, il est l’un des principaux opposants à l’indépendance de la Catalogne. En Espagne, nombreux sont les hommes politiques unionistes, mais la voix de Borell comptait et se distinguait, parce qu’il est catalan. Il ira jusqu’à écrire un livre sur le sujet et en récoltera les dividendes juste après.

Mariano Rajoy ayant fait les frais d’une motion de censure en juin 2018, Josep Borell est catapulté ministre des Affaires étrangères par Pedro Sanchez.

Premier cadeau au Catalan unioniste. Le deuxième reviendra à sa femme, Cristina Narbona, épousée en secondes noces la même année 2018. Cristina Borrell est nommée, par Pedro Sanchez, présidente du PSOE, un poste qui, sans valoir le poids du secrétaire général, pèse lourd.

Une année plus tard, soit en 2019, Josep Borrell est nommé haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Poste qu’il doit encore à Pedro Sanchez qui a fait jouer ses relais au sein de l’UE, en vue de confier les rênes de la diplomatie européenne à Josep Borrell. En contrepartie, ce dernier se devait d’être, non le serviteur de L’UE, ni de l’Espagne au sein de l’UE, mais surtout de Pedro Sanchez, de son clan, de sa vision et de ses ambitions.

Pedro Sanchez active ses obligés du même parti quand il manœuvre dans les coulisses. Participe de cette optique, le choix de la région de Rioja où a été admis le chef du Polisario, Brahim Ghali. Le chef de l’exécutif espagnol, qui a autorisé et géré avec sa ministre des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez Laya, l’admission en catimini du chef du Polisario en Espagne, a jeté son dévolu sur la socialiste Concha Andreu, présidente de la Rioja, qui a été mise au parfum et a géré le transfert, dans une ambulance médicalisée, de Brahim Ghali depuis Saragosse à Logroño.

«Au moment de la crise avec le Maroc, nous avons finalement compris la raison et le rôle de Josep Borrell au sein de l’UE. C’était l’occasion pour lui de s’acquitter d’une partie de sa dette envers Pedro Sanchez», souligne une source informée à Madrid. «Josep Borrell ne défend pas les intérêts de l’Europe, mais fait plutôt figure du chef d’une annexe du ministère des Affaires étrangères espagnol à Bruxelles», ajoute la même source.

«Lui, qui ne ratait pas une seule réception à l’ambassade du Maroc à Madrid, pourquoi n’a-t-il pas essayé par exemple de jouer un rôle d’intermédiaire entre les deux pays?», s’étonnent des sources dans la capitale espagnole. «C’est un ami de longue date, mais qui m’a déçu par son attitude envers le Maroc», affirme un de ses, désormais anciens, proches.

https://m.le360.ma/politique/affaire-brahim-ghali-voici-comment-pedro-sanchez-a-utilise-josep-borell-pour-jouer-la-carte-de-lue-239275

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"C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard".
William Shakespeare ; Hamlet (1603)

ralek1 a écrit:: ....

D'ou vient exactement l'eau potable qui va et Sebta et Melilia? Une nappe souterraine ou des barrages?

Est-elle traitée au Maroc ou à l'arrivée (dans les deux villes occupées)? Qui entretient les installations?

Est ce qu'on est engagés par un contrat écrit? Rédigé quand et par qui? Il termine quand? Quelles sont ses clauses?

Qu'ils sont les tarifs appliqués pour l'eau dans les deux villes? Qui fixe les prix? Qui encaisse les consommateurs? Où vont les recettes?

.... .....

Bref, beaucoup de questions ...

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@Adam
Je n'ai pas pu ouvrir le lien!! Le site n'est pas sécurisé!

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"C'est un plaisir de faire sauter l'ingénieur avec son propre pétard".
William Shakespeare ; Hamlet (1603)

Ok ralek1

Cette source gouvernementale parle de trois sources d'alimentation hydrauliques pour les deux villes occupées ... des puits locaux, une alimentation depuis le Maroc installée depuis les années 40 et enfin des usines de dessalement ..

Ils évoquent une solution d'urgence, en cas de crise.. c'est un ravitaillement par bateau depuis la péninsule.... .....

la traduction googlisée est de mauvaise qualité

ministerio de la transicion ecologica a écrit:: Gestion de l'eau à Melilla

Gestion de l'eau

Melilla est située sur la côte sud-est de Cabo de Tres Forcas et occupe une superficie d'un peu plus de 12,3 km2. Elle a environ 6 km de littoral jusqu'à la mer Méditerranée et 10 km de frontière avec le royaume du Maroc. Il a une population juste de 76.000 habitants. La ville a été configurée à travers des enceintes fortifiées successives, qui forment aujourd'hui « Melilla la Vieja » ; en se produisant au début du siècle XX une expansion territoriale et démographique vers l'intérieur et sur la fertile plaine du Río de Oro, en occupant pratiquement la totalité de l'espace.

A l'époque où Melilla n'était constituée que des deux premières enceintes murées, l'approvisionnement en eau comportait une installation de citernes en pierre de taille. Au début de la croissance de la ville, des puits d'eau ont commencé à être mis en service qui distribuaient l'eau par gravité aux sources publiques. En 1927, l'eau a été amenée par conduction depuis les sources de Yasinen (Maroc), situées à environ 7 km de Melilla.

L'augmentation de la population rend l'approvisionnement en puits insuffisant, c'est ainsi qu'en 1942 l'eau est amenée de la source de Trara (Maroc), ce qui permet, pour la première fois, d'avoir une eau de qualité. Bien qu'une série de puits supplémentaires soient mis en service, ils ne peuvent toujours pas fournir à la ville toute l'eau dont elle a besoin. Pour cette raison, en 1962, le Conseil interministériel de l'eau a été créé pour Ceuta et Melilla, qui a commencé une série d'enquêtes sur le territoire de la ville. Un nouvel aquifère est créé, celui du manteau du Gurugú. Mais le problème n'est pas résolu puisqu'il n'y a pas de régularité puisque tous les puits alimentent en eau directement la distribution, et toute panne, dans la ligne électrique ou dans la distribution, interrompt l'approvisionnement.

La Confédération hydrographique du sud de l'Espagne réalise l'installation d'un nouveau réseau de distribution et la construction de quatre réservoirs de régulation d'une capacité de 20 000 m3.

En 1973, on constate que les puits diminuent de façon alarmante et l'étude d'une usine de dessalement d'eau de mer est proposée. L'Institut géologique et minier conseille avant d'entreprendre une nouvelle étude hydrogéologique. En 1974, un aquifère a été détecté à proximité de l'aéroport qui pouvait fournir 60 l/s.

Dans la période de 1983 à 1991, la Confédération hydrographique du Sud a été sollicitée pour la construction de nouveaux réservoirs de régulation, la construction d'un réservoir de 500 000 m3, la construction d'un écran dans la rivière Oro pour capter le subalvéo, l'installation d'une canalisation depuis le port au réservoir, pour amener l'eau dans le camion-citerne et la construction d'une usine de traitement d'eau potable.

Malgré cela, Melilla a subi des restrictions d'eau tout au long de son histoire. L'approvisionnement en eau de la ville était d'environ 13 heures en hiver (6h30-19h00) et 10 heures en été (6h30-16h30), pour cette raison il a été décidé d'entreprendre en 2003 la construction d'une usine de dessalement d'eau de mer qui fournirait 20 000 m3/jour.

En raison de l'ampleur de la construction de l'usine de dessalement et de la nécessité de fournir à Melilla une eau de qualité, la construction d'une usine de dessalement a été entreprise sur une base d'urgence qui permettrait de fournir une eau de qualité aux citoyens de Melilla, réduisant la concentration de les sels des eaux provenant de puits très saumâtres.

Avec les actions menées à travers le Ministère de l'Environnement, il est possible d'approvisionner la ville de Melilla en eau 24h/24, bien que la qualité se soit considérablement améliorée, ce n'est pas encore souhaitable car il n'a pas assez de débit pour assumer le flux de rejet qui exige sa transformation. L'extension de l'Usine de Dessalement est prévue, dans un module supplémentaire, jusqu'à 30 000 m3 pour couvrir pleinement les besoins de la Ville en quantité et en qualité.

Infrastructures hydrauliques

Pipeline pétrolier

Il s'agit d'augmenter les ressources existantes grâce au transport maritime. Son utilisation serait pour un cas extrême dans lequel l'eau serait amenée de la péninsule. À cette fin, un tuyau en fonte ductile de 500 mm de diamètre a été construit qui relie le port aux installations de captage et de pompage du Río de Oro, sur une longueur de 5 kilomètres.

Captage et pompage de la rivière Gold

Galerie de captage : ledit captage, au moyen d'une galerie drainante, interceptera les alluvions du Río de Oro sur une longueur d'environ 120 m. Il s'agit d'une galerie de section rectangulaire située transversalement au Río de Oro. Deux tuyaux du drain longitudinal existant dans la rivière mènent à cette galerie jusqu'à la frontière. La galerie conduira l'eau au réservoir de pompage (400 m3) par gravité.

Déversoir de la rivière Oro : de même, un déversoir de 30 m de long est construit pour retenir les eaux de surface. Il contribue à augmenter la colonne d'eau dans le lit de la rivière et produit une rétention du débit qui favorise l'infiltration à capter par la galerie de collecte et le réseau de drainage situé en amont.

2 Fossé de drainage : ils sont situés dans le lit de la rivière, il s'étend de la galerie de collecte au périmètre de bordure, il est formé par un géotextile qui entoure un filtre artificiel qui entoure deux tuyaux de drainage qui sont reliés à la galerie de collecte. Il récupère l'eau de la sous-location et le ruissellement de surface.

Station de pompage : à proximité du bassin versant, il y a un réservoir de 400 m3 pour collecter l'eau du captage. Ce réservoir est utilisé comme arbre de pompe pour élever l'eau jusqu'au réservoir intermédiaire. A l'intérieur il y a sept pompes électriques; trois pompes horizontales avec un débit nominal de 250 l/s et quatre pompes verticales submersibles, deux d'entre elles de 125 l/s et les deux autres de 250 l/s.

Réservoir intermédiaire de 4 000 m3 : il s'agit d'un réservoir de forme rectangulaire, ouvert d'une capacité de 4 000 m3, dont la mission est de stocker l'eau brute captée par le système, ou bien, issue du transport maritime.

Impulsion entre le Río de Oro et la Balsa de las Adelfas : c'est un tuyau en fonte ductile de 500 mm à l'intérieur qui relie les deux systèmes et élève l'eau du Río de Oro du niveau 20 au niveau 110.

Bureaux : dans les installations de collecte et de pompage d'eau, il y a des bureaux pour le contrôle de l'ensemble de l'installation.

Pompage à pied du barrage et barrage d'Adelfas

Bassin de Las Adelfas : dans le bassin Arroyo de Las Adelfas et avant sa confluence avec la rivière Nano, il existe un bassin d'une capacité de 360 000 m3 à son niveau normal (102,50) et de 410 000 m3 au niveau de crête (104, 00 ) . Le radeau est imperméabilisé avec un écran bitumineux à deux couches fini avec un mât de protection en asphalte. Sous l'écran, il y a un système de drainage sectorisé. Le bassin est équipé de drains de fond, d'un déversoir et d'une prise pour le pompage de Las Adelfas, ainsi que d'une adduction d'eau dans la zone proche de l'ETAP pour permettre l'introduction d'eau dans le bassin.

Station de pompage de Las Adelfas : au pied du réservoir se trouve la station de pompage qui va remonter l'eau du réservoir lui-même jusqu'à la fosse de dérivation. Il se compose de deux pompes horizontales à double chambre avec un débit nominal de 200 l/s, l'une d'elles faisant office de réserve.

Usine DUEAL : ETAP - Desalobradora

L'ETAP, tel qu'il a été initialement conçu, était destiné au traitement de l'eau du Rio de Oro directement, ou de l'eau stockée dans le barrage d'Adelfas. La qualité de l'eau provenant des puits de la Ville se dégradant, il a été envisagé de prévoir des installations complémentaires pour le traitement de ces eaux. L'usine de dessalement a été construite, qui n'est rien de plus qu'une installation, avec un procédé d'osmose à basse pression, qui améliore la qualité de l'eau de 6 000 à 800 µs/cm, obtenant ainsi une eau de qualité similaire à celle obtenue dans l'usine de dessalement. d'eau de mer.

ETAP

Cette installation répond à une Station de Traitement d'Eau Potable conventionnelle, adaptée au traitement des eaux de surface et de la sous-alveo del Río de Oro.

Les inondations en Espagne constituent un risque naturel qui, au fil du temps, a causé de graves dommages matériels et des pertes en vies humaines. En effet, les inondations sont la catastrophe naturelle qui cause le plus de dégâts dans notre pays : le nombre de morts sur la période 1995-2012 s'élève à 306 morts et le montant des dégâts annuels est d'environ 800 millions d'euros en moyenne.

Afin d'atténuer ces dommages et de faire face aux effets néfastes des inondations, la Commission européenne a approuvé en novembre 2007 la directive 2007/60 sur l'évaluation et la gestion des inondations (directive inondations), qui a été transposée dans la législation espagnole par le décret royal 903/ 2010 sur l'évaluation et la gestion des risques d'inondation . La mise en œuvre de cette directive représente une opportunité d'améliorer la coordination de toutes les administrations dans la réduction de ces dommages, en se concentrant principalement sur les zones les plus à risque d'inondation.