Économie marocaine

Rappel du premier message :

Le Maroc paye cher le prix de son indécision face à la coopération avec les chinois, les français jouent un très sale jeux avec nous, et nous sommes incapable d'aller de l'avant, alors que d'autres pays européens profitent pleinement des possibilités d'investissement chinois, je vous rappelle la maladresse du même ministre qui a déclaré qu'on bloqué des investissements à cause de considérations géopolitiques.....

https://twitter.com/Le360fr/status/1627591076931596290?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1627591076931596290%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=

D'aprés les Statistiques de la Banque Mondiale, en 2022,
le Maroc a exportée 30 Milliards de dollars de produits industriels.
14 Milliards pour la Tunisie
et.....1 Milliards pour la Force de Frappe Régionale

Pourtant les Torchons DZ ne nous ont pas dit que les exportations hors hydrocarbure de la Puissance Régionale était de 7 milliards...???

Nous avons un PIB trois fois plus élevé que celui des Tunisiens, mais nous exportons seulement deux fois plus en produits industriels !

Même dans ce contexte économique difficile traversé par nos voisins, nous ne parvenons pas à tirer parti de la situation pour nous développer !

Nous devrions plutôt nous comparer à des pays qui s'en sortent bien, comme le Vietnam par exemple au lieu des bras cassés !!

analyse economique parfaite de la situation economique actuelle caractérisé par l'inflation par le grands économiste Rachid Aourraz
https://web.facebook.com/M24TVMAP/videos/1266068710975714/

Il faut garder en tête qu'en 2013 c'était 13B$ pour la Tunisie contre 14B$ pour le Maroc, en 10 ans on a plus que doublé nos exportations industrielles...

RED BISHOP a écrit:

D'aprés les Statistiques de la Banque Mondiale, en 2022,
le Maroc a exportée 30 Milliards de dollars de produits industriels.
14 Milliards pour la Tunisie
et.....1 Milliards pour la Force de Frappe Régionale

Pourtant les Torchons DZ ne nous ont pas dit que les exportations hors hydrocarbure de la Puissance Régionale était de 7 milliards...???

je ne sais d'où sort ce chiffre de 14 Milliards $ d'exportations industrielles pour la Tunisie ...

je crois que toutes les exportations tunisiennes n'arrivent même pas à ce chiffre, ils doivent tourner autour de 12-13 Milliards par an ....

Un conseil : attention aux chiffres bidonnés et surtout aux analyses qu'on en fait après (ex le Vietnam où le salaire moyen est 100$, soit 900 DH par mois ....) Qui va travailler au Maroc pour 900 DH par mois ???

quant aux statistiques bounifs, c'est de la pure rigolade, personne n'y prête attention , d'ailleurs ils ont arrêté de les publier

Exportations tunisie : ~ 18.5mds
Exportations maroc : ~ 42mds
Donc un peu plus que le double

Exporter le double de la Tunisie alors que la population au Maroc compte 3,5 fois que ce pays, est inadmissible.

Espérons un vrai metro souterrain, une explosion des espaces verts et un périphérique digne de ce nom sans ronds points + le rer !!

https://fr.le360.ma/economie/casablanca-ou-iront-les-47-milliards-de-dirhams-dinvestissements-prevus-dans-le-plan-daction_CAQQDUCO3ZD2ZN2HGIXIISHG4Q/

Zakaria a écrit:

Espérons un vrai metro souterrain, une explosion des espaces verts et un périphérique digne de ce nom sans ronds points + le rer !!

https://fr.le360.ma/economie/casablanca-ou-iront-les-47-milliards-de-dirhams-dinvestissements-prevus-dans-le-plan-daction_CAQQDUCO3ZD2ZN2HGIXIISHG4Q/

Pas de ronds points !!!! Tu rêve.....

Au Canada il n'y y a pas de ronds points. C'est remplacé par des feux ou des stop et le trafic se fait bien.

L’A1 est parfaite comme periph pour casa en plus de l’a3 qui traverse la ville
Je parle de la partie sud qui relie l’A1 depuis erahma c’est la ou il y a quelques ronds points à degager ils sont pas nombreux ca couterai pas si chère
Et il faudrait étendre complètement l’A3 afin qu’elle traverse complètement casa

Helukabel, spécialiste allemand des câbles, installe une filiale au Maroc https://t.co/5NyGWx8hk6 via @LeDesk_ma #LeDesk #Maroc #Allemagne #Helukabel

— Le Desk (@LeDesk_ma) February 22, 2023

La future station de dessalement de Tanger confiée à l'Israélien Mekorot

Ledesk.ma Article

Zakaria a écrit:

Exportations tunisie : ~ 18.5mds
Exportations maroc : ~ 42mds
Donc un peu plus que le double

donc , ce chiffre de 14MM$ rien qu'en exportations industrielles pour la tunisie est bien bidonné et faux...Ils ne peuvent pas exporter à 80% que des produits industriels, même l'Allemagne ne le fait pas ....c'est du délire ...

Avant d'analyser, toujours vérifier les statistiques : Churchill disait : Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées. - ....

marques a écrit:

RED BISHOP a écrit:

D'aprés les Statistiques de la Banque Mondiale, en 2022,
le Maroc a exportée 30 Milliards de dollars de produits industriels.
14 Milliards pour la Tunisie
et.....1 Milliards pour la Force de Frappe Régionale

Pourtant les Torchons DZ ne nous ont pas dit que les exportations hors hydrocarbure de la Puissance Régionale était de 7 milliards...???

je ne sais d'où sort ce chiffre de 14 Milliards $ d'exportations industrielles pour la Tunisie ...

je crois que toutes les exportations tunisiennes n'arrivent même pas à ce chiffre, ils doivent tourner autour de 12-13 Milliards par an ....

Un conseil : attention aux chiffres bidonnés et surtout aux analyses qu'on en fait après (ex le Vietnam où le salaire moyen est 100$, soit 900 DH par mois ....) Qui va travailler au Maroc pour 900 DH par mois ???

quant aux statistiques bounifs, c'est de la pure rigolade, personne n'y prête attention , d'ailleurs ils ont arrêté de les publier

Tout d'abord c'est des chiffres de la banque mondiale, Sauf si vous souhaitez contester, comme les voisins de l'Est !



Réduire le comparatif entre pays au niveau économique au seul critère du "salaire minimal" est trop simpliste et sans fondement ! Si nous suivant votre logique pourquoi les investisseurs préfèrent investir au Maroc et non en Algérie ou en Tunisie alors même que le salaire minimum en Algérie est de 125 euros !! Ils doivent être bêtes !!

Quel est notre véritable objectif ? Émerger et dominer notre région ? Dans ce cas, nous devons viser plus haut.

La crise Covid a bouleversé les chaînes de valeur mondiales de manière significative et a eu un impact considérable sur de nombreux secteurs : tourisme, la santé, l'éducation, l'automobile, les transports, l'industrie manufacturière et aux biens de consommation, ainsi qu'aux secteurs de l'énergie et des technologies. Cette nouvelle situation offre des opportunités pour notre pays.

Le Vietnam a réussi à obtenir des gains économiques considérables grâce à l'attraction des IDE et à l'intégration du pays dans l'économie mondiale. Cela a permis de réduire considérablement la pauvreté et d'améliorer le niveau de vie de la population. En s'inspirant du Vietnam, le Maroc pourrait bénéficier des mêmes avantages.

Le Vietnam offre un excellent cadre juridique pour les investisseurs étrangers et un système fiscal incitatif. Le Maroc pourrait s'inspirer de ce système pour attirer plus d'investissements étrangers et stimuler la croissance économique.

Le Vietnam est un excellent exemple de la façon dont un pays peut s'adapter à l'économie mondiale et développer des industries compétitives et des chaînes de valeur qui sont à la pointe de l'innovation technologique. Le Maroc pourrait s'inspirer de ces pratiques pour mieux s'intégrer au marché mondial et développer des secteurs plus dynamiques.

Le Maroc pourrait également réussir à rester compétitif malgré un salaire minimum élevé par rapport aux pays de la sous région, en le croisant avec une productivité et une compétitivité élevées.

Socket-error a écrit:

marques a écrit:

je ne sais d'où sort ce chiffre de 14 Milliards $ d'exportations industrielles pour la Tunisie ...

Tout d'abord c'est des chiffres de la banque mondiale, Sauf si vous souhaitez contester, comme les voisins de l'Est !

Ce sont les pays qui fournissent leurs chiffres a la banque mondiale, La banque mondiale analyse et traite les chiffres

un pays qui exporte  14 milliards en produit industriel uniquement ne peut avoir un problème de réserve de change  au point qu'il ne peut même pas importer des produits de première nécessité

Je rappel qu’on participe déjà pas mal à l’export tunisien, le maroc est le premier importateur de datte tunisienne….
Faut pas oublier que l’export ca coute cher, plus tu exportes plus tu dois importer de matière premiers de demi produit ext ce qui impacte forcément ta balance des paiements d’où l’importance d’investir dans l’amônt et développer les taux d’întegrations.

Autre sujet, j’ai vue cette semaine le lancement de marjane mall la marketplace du groupe marjane très bien faite. Mais quelle déception de ne trouver aucune marque marocaine, aucune rubrique « produits marocain » une vraie machine à faire de l’importation!!! Si même les entreprises royale ne favorise pas les produits locaux ca va être difficile…

simplet a écrit:

Socket-error a écrit:

marques a écrit:

je ne sais d'où sort ce chiffre de 14 Milliards $ d'exportations industrielles pour la Tunisie ...

Tout d'abord c'est des chiffres de la banque mondiale, Sauf si vous souhaitez contester, comme les voisins de l'Est !

Ce sont les pays qui fournissent leurs chiffres a la banque mondiale, La banque mondiale analyse et traite les chiffres

un pays qui exporte  14 milliards en produit industriel uniquement ne peut avoir un problème de réserve de change  au point qu'il ne peut même pas importer des produits de première nécessité

Raison de plus pour se comparer à des vrais pays émigrants et ne pas se satisfaire des comparaisons avec l'Algérie et la Tunisie !

Bruce Wayne a écrit:

https://medias24.com/2023/02/21/stations-de-dessalement-routes-ports-transport-ferroviaire-le-point-sur-les-grands-chantiers-dinvestissement/

Les aeroports et la RAM get no love.

https://www.cese.ma/le-cese-rappelle-lurgence-dune-reorganisation-des-circuits-de-commercialisation-et-dune-reglementation-du-role-des-intermediaires-pour-attenuer-la-hausse-des-prix-des/

Citation :

Le CESE rappelle l’urgence d’une réorganisation des circuits de commercialisation et d’une réglementation du rôle des intermédiaires pour atténuer la hausse des prix des produits alimentaires | CESE
5 - 6 minutes

Le système de commercialisation des produits agricoles, qui reste marqué par un ensemble de fragilités et de dysfonctionnements organisationnels et fonctionnels, a été l’un des facteurs qui ont contribué au renchérissement des prix des principaux produits alimentaires, et ce, parallèlement aux dysfonctionnements enregistrés en matière de gestion des ressources hydriques, exacerbés par les sécheresses récurrentes, la crise sanitaire et les répercussions de la guerre en Ukraine, sur le coût des facteurs de production. Dans ce contexte exceptionnellement difficile, l’inflation a culminé des niveaux jamais atteints depuis le début des années 1990, avoisinant, selon le HCP, 11% en moyenne pour les produits alimentaires sur l’année 2022.

Face à cette situation et afin de limiter l’impact sur le pouvoir d’achat des citoyens et ne pas compromettre la sécurité alimentaire du pays, les pouvoirs publics ont pris un ensemble de mesures d’urgence, à l’image des opérations de contrôle des prix et de lutte contre les spéculations, de la régulation de l’export pour sécuriser l’approvisionnement du marché intérieur, du soutien aux professionnels du secteur du transport routier et de la levée des droits de douane et de la TVA sur l’importation des viandes rouges (bovins) dans le sens de compenser la baisse de l’offre locale.

Toutefois, ces efforts n’auront pas suffi à résorber le renchérissement des prix des produits alimentaires dans un contexte marqué notamment par la persistance de la tendance haussière des prix des intrants agricoles et des produits phytosanitaires. Cette situation est attribuable à un ensemble de facteurs domestiques à caractère structurel, notamment :

– l’absence d’un cadre de gouvernance global et intégré du processus de commercialisation des produits agricoles entrainant plusieurs insuffisances en matière d’organisation des marchés des produits agricoles (marchés de gros et souks hebdomadaires) et la prédominance des circuits parallèles de commercialisation (vente informelle) ;

– la faible capacité des petits et moyens agriculteurs à s’organiser pour écouler, dans de bonnes conditions, leurs produits. A cela s’ajoute une digitalisation encore très faible des processus de commercialisation et de valorisation des produits agricoles qui ne facilite pas l’accès direct et fluide des petits et moyens agriculteurs aux différents marchés et débouchés ;

– une intermédiation excessive et peu contrôlée qui favorise la spéculation et la multiplication des intervenants, pénalise le producteur, impacte la qualité des produits en rallongeant les circuits de distribution et partant, renchérit le prix de vente final au consommateur. Le prix d’un produit peut, parfois, tripler ou quadrupler avant d’arriver au consommateur.

A la lumière des différents constats et analyses établis par le CESE dans ses différents avis, il est proposé de prendre un ensemble de mesures permettant d’organiser les circuits de commercialisation des produits agricoles et de limiter la spéculation des intermédiaires :

– Accélérer la réforme des marchés de gros en adoptant un dispositif ouvert à la concurrence et conditionné par le respect d’un cahier de charges et en mettant en place une réglementation qui clarifie le fonctionnement interne des marchés, les modalités d’éligibilité des intervenants, et le nouveau système de redevances;

– Développer les circuits courts de commercialisation à caractère coopératif, promouvoir le commerce de proximité et encourager les petits et moyens agriculteurs à se regrouper dans des coopératives en s’inspirant des approches adoptées par la filière sucrière et la filière laitière;

– Mettre en place un cadre juridique encadrant les pratiques de stockage des produits agricoles soit à des fins de consommation ou destinés ultérieurement au culture et permettant de lutter efficacement contre l’entreposage à des fins spéculatives ;

– Accélérer la transformation digitale de la commercialisation des produits agricoles, notamment à travers la conception de plateformes digitales permettant aux agriculteurs, d’une part, d’accéder instantanément aux données sur les prix réels afin de mieux négocier avec tous les intervenants de la chaine de commercialisation, et d’autre part d’écouler directement une partie de leurs produits ;

– Mettre en place un cadre réglementaire précis et opposable pour repenser et réguler le rôle et les missions du métier de l’intermédiaire qui explicite ses droits et ses obligations au niveau de la chaine de commercialisation ;

– Elargir l’étendue et renforcer la fréquence des opérations relatives au contrôle des prix et au respect de la concurrence pour lutter efficacement contre les pratiques spéculatives dans les différents secteurs concernés par la hausse des prix ;

– Mettre en place un «observatoire des prix et des marges », qui pourrait être abrité par le Conseil de la concurrence, pour aider à la détection de tout comportement d’accumulation non-justifiée des marges de profit au détriment du pouvoir d’achat des citoyens.